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Révolution Ludique 14

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Fanzine associatif sur le jeu en général, mais plus sur le jeu de rôle tout'd'même...

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Page 1: Révolution Ludique 14

RÉVOLUT!ONLUD!QUE

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ent-

RévolutionLudiquelefanzineduCercledesCompagnonsd'Onirosetdesautresaussi

No 14

Décembre2011

HISTOIREANATOLE PATOUCHARD

DOSSIERAVEC 3 BOUTS DE BOIS ...

PRATIQUEL’ART D’IMPROVISER

TECHNIQUELA FICHE SANITAIRE, EN CAS DE PÉPIN

BRICOLAGEUN JEU PLEIN DE MÉTAL ET UN GOA’ULD

KUBB R

ULE'S

THE WOOO

RLD !

KUBB R

ULE'S

THE WOOO

RLD !

Page 2: Révolution Ludique 14

RREETTOOUURRNNEEZZ SSUURR HHYYBBRRAASS,, CCO

ONNTTIINNUUEEZZ LLAA TTRRIILLOOGGIIEE.. .. ..

Au large de l 'Aqu i ta ine, en l ’an 526,le Haut Roi Ai l las a réun ifié les îsles Anciennes.Au château d'Ombreleau, les Grands d'Europe

sont invi tés à fêter les fiançai l les deDhrun et de la Princesse Madouc.

GN DIPLOMATIQUE DANS L'UNIVERS DE JACK VANCE, ORGANISÉ PAR LE CCO

2 & 3 juin 2012 ~ chateau de bannegonLe CERCLE DES COMPAGNONS D'ONIROS présente SI VIS PACEM un jeu de rôle grandeur nature dans l'univers de la trilogie de l’écrivain

Jack  Vance «  LE CYCLE DE LYONESSE  ». Scénaristes Franck Blaise et Nicolas Leblanc. Ce jeu ne comporte que des rôles pré-écrits.

Inscriptions Oniros.net et dans les bonnes boutiques. Renseignements au 02 48 64 87 80. PAF prévue de 60 euros.

Page 3: Révolution Ludique 14

RL - No 14

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Édito p.3

The prez of the CCO.

Kalendrier p.4

Toutes les dates.

Tendance p.5

Hein quoi ? Un scénario ?

Bricolage p.7

Big Ful l Métal Planète.

Interview p.9

Nalheulbackstage.

Je joue, donc je suis p.13

Ère glacière sur la préhistoire.

Retour de jeu p.15

Tous des malades !

Histoire de savoir p.17

Anatole Qui ?

Dossier p.19

Des buches sauvées du poêle.

Encart p.20

L'art de balancer le bois.

Guilde du Grand Centre p.22

I ls ont piqué la caisse !

Fiche teknik p.25

Prévoyons l 'accident . . .

Bricolage p.28

Goa'uld Planète.

In real life p.29

Les feux de l 'amour au CCO.

Présentation p.31

Play in Vierzon

Retour de jeu p.33

Wild wi ld Berry

Je joue, donc je suis p.35

Sulfateuse dans les nuages.

Ceux de la révolution p.36

Les 1000 mondes.

Le BCB de Ptit Louis p.33

Le grand départ.

Hach ! Le pon fieu temps ! p.39

Toute première fois, toute toute. . .

On the web p.41

Un ramassi de trucs.

Ha bin oui. . . p.42

Le reste.

SOMMAIRE

Dessin de N icolas

Page 4: Révolution Ludique 14

RL - No 14

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SOUVIENS-TOI DE CET APPEL DE DÉTRESSE LANCÉ DANS L'ÉDITOd'un précédent numéro, souviens-toi du constatdressé sur la pauvre situation de notre région. Oùen est-on aujourd'hui ? Ouvre les yeux et regarde,notre bel le Gui lde est là, s'active et a réussi le tourde force d'unifier les associations de la régionCentre ! Ses projets se préparent, ses acteursœuvrent dans l 'ombre, la machine est en marcheet rien ne peut l 'arrêter. L'aventure humaine quise profi le à l 'horizon s'annonce unique et ludique,pour ton plus grand plaisir !

Mais que serait la Gui lde sans les associations quila composent ? Rien. Une coqui l le vide, une entitésans âme, un bon café sans caféine. . . Pire ! Queserait la Gui lde avec des associations qui el les nevivent pas ? Un train fantôme grignotantmollement les ki lomètres au pays du ludique.C'est pourquoi toi , Lecteur, si tu souhaites queperdure le jeu, pense aussi que ton association nepeut vivre sans toi et que la Gui lde ne peut vivresans ton association. L'on ne te demande pas dedécrocher la lune mais garde ça en tête, dans uncoin, lorsque viendra le moment où l 'on aurabesoin de ta bravoure, de ton sens du partage, deta générosité et de ton envie de faire vivre ta

passion ! Le jeu n'est pas qu'une activitéindividual iste, le jeu, c'est surtout une activitécol lective. Reprenons l 'adage bien connus, plus onest de fous, plus on rit !

Alors Lecteur, déconnecte-toi de Facebook, Twitteret autre consort, tes amis, les vrais, ne sont pasque des images sur un écran à la lumièreblafarde, i ls sont fait de chair et d'os, ett'attendent pour jouer autour d'une table, i ls ontbesoin de ta bonne humeur pour oubl ier le tempsd'une soirée, d'un week-end, que la vie c'est pastoujours faci le, i ls ont besoin de ta forceincommensurable pour monter le prochain jeu del 'asso, i ls ont besoin de toi pour que vive le jeu.Tes obl igations famil iales te retiennent ? Montretout de même que tu es là ! Communique etpromets-toi de rejoindre tes compagnons de jeudès que possible ! Sinon, à quoi bon rejoindre uneassociation ? Pour faire comme les autres ? Pourêtre dans la tendance associative ? Lecteur, lebénévolat, ce ne sont pas juste des mots. Ce sontaussi des actes. Souviens t'en pour que vive laRévolution Ludique Internationale !

Cédric

RÉVOLUTION LUDIQUE, le fanzine des COMPAGNONS D'ONIROS pour et par les acteurs du jeu en Région Centre. I l vise à

rapprocher et faire vivre la communauté des joueurs. Sa propagation se fait par militantisme des acteurs du jeu, sous

format papier ou informatique PDF. Fondateur : Anatole Patouchard. Rédacteur en Chef : Nicolas Leblanc. Éditeur : RLI -

Cercle des compagnons d'Oniros. Ont participé à ce No : Cédric, Franck, Stéphane, Marlyse, Marie, Matthieu, Momo,

Nicolas, Ptit Louis, Gondir, Thomas. On peut joindre la rédaction au 02.48.64.87.80 ou par le net : [email protected]. La

copie, partielle ou non, est autorisée sous réserve quelle serve le jeu et de mentionner la source. La Révolution Ludique

Internationale est un mouvement virtuel visant à faire connaître les jeux de simulation au plus grand nombre. La PAO est faite avec

le logiciel libre SCRIBUS v.1.4.0 rc2, sous OS LINUX MINT 11. Police utilisée pour ce numéro : DejaVu Sans en corps 8 book et

bold, en 10 book et condensed, en 12 bold et ExtraLight, en 15 bold, en 30 bold et 35 ExtraLight. Siège social au : 33 route des

Aix, 18510 Menetou-Salon. Contacter l'association : [email protected]. Site web du CCO : www.oniros.net.

Au moment où toi, lecteur,tu tiendras cet exemplaire

de Révolution Lud!queentre tes mains,

la Guilde du Grand Centreaura presque, ou un peuplus, d'un an d'existence.

ÉDITORIAL

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NUIT DU JEU

6 avril

Menetou-Salon

Organisation :CCO

GN BCBCANAL HISTO.

2, 3 & 4 mars

Ivoy le Pré

Organisation :BCB

RANDONNÉEWESTERN

6 & 7 aôut

Menetou-Salon

Organisation :FG Ranch

KALENDRIER

MENETOUSALON DE JEU

26 & 27 mai

Menetou-Salon

Organisation :MSEF & CCO

GND'INITIATION

Été 2012

Lieu à définir

Organisation :CCO

SOIRÉE JEUX

Chaque jeudi19 h 30 à 22 h.

Bourges(au magasin)

Organisation :GALAHAD

SOIRÉESBIRDLAND

Un mercredipar mois

Bourges

Organisation :Pub Birdland/CCO

GN BCBCAMPAGNE

24, 25 & 26 août

Achères etMenetou-Salon

Organisation :BCB

GN LYONESSE

2 & 3 juin

Bannegon

Organisation :CCO

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M AINTENANT, IL EST HUIT HEURES DU SOIR

ce vendredi, et vos joueurs sont entrain de sonner à la porte. C'est l'heured'affronter la dure réalité : vous n'avezrien. Zéro. Que dalle. Nada.Vous pourriez tout avouer, vous ex-cuser pendant une heure, et ainsivous jeter vous-même en pâture àvos amis rôl istes. Ou bien, vouspourriez tenter quand même devous lancer, avec l 'a ide de notreguide en cinq étapes pour maîtriserquand vous avez que dal le.Suivez bien ces consei ls, et i ls nes'en apercevront jamais. . .

Première étape :prolonger la discussion

La plupart des groupes de rôl istestendent à passer un peu de tempsavant le début de la partie à discu-ter entre eux, en se racontant leurvie ou en débattant sur les pro-grammes de la télé de la semaine,et ainsi de suite. Une manipulationhabi le de cette discussion peut ron-ger de manière dramatique letemps effectif qu' i l restera pour lapartie. Le truc, ici , est d'être assezsubti l pour que les autres ne serendent pas compte que vous parti -cipez. Vous ne devriez normalementpas prendre part à la conversation,mais rester derrière votre écran à"écrire des notes" et à "étudier lescénario" . Toutefois, si la conversa-tion montrait des signes de fai-blesse - prélude à une fin naturel lede la discussion -, vous devriez la re-lancer habi lement et subti lement eny introduisant un nouveau thème.Si , par exemple, vous savez quel 'un des joueurs est un fan absolude la série Buffy contre les vam-pires, vous pouvez demanderinnocemment, d'un ton désinvolte,

si quelqu'un a vu l 'épisode de same-di dernier. Avec un peu de chance,votre fan en parlera sans s'arrêterpendant les quinze ou vingt pro-chaines minutes sans que vous ayezbesoin de prononcer un seul mot.Toutefois, au bout d'un moment, lesrôlistes les plus sérieux et les plus mo-tivés de votre groupe commencerontà en avoir marre de cette petite "dis-cussion", et vous allez être obligé decommencer la partie en elle-même.

Deuxième étape :laisser les joueurs faire du shoppingLa quasi-total ité des rôl istes sont ob-sédés par l 'équipement possédé ettransporté par leur personnage, etsaisiront n' importe quel le occasiond'en acheter encore plus. La plupart

du temps, vous, en tant que MJ , re-streignez leurs achats à quelquesoccasions, quand cela reste plau-sible dans le scénario (en vi l le,entre deux scénarios, etc. ) . Néan-moins, "assoupl ir" la règle que vousvous êtes fixée peut vous faire dé-sormais gagner du temps.Annoncez de manière désinvolte,presque dès le début de votre scé-nario improvisé, qu' i ls viennentjuste de passer devant un magasin,un entrepôt ou un marchand de pro-visions. Si i ls annoncent vouloirentrer, et vous demandent ce qu' i lspeuvent y acheter, prenez un airsurpris (comme s' i l ne vous étaitjamais venu à l 'esprit qu' i ls puissententrer là), et dites quelque chosecomme "eh bien, à peu près tout cequi est disponible dans le l ivre de

règles, je suppose".Cela va immédiatement leur faireétudier de près les l istes d'équipe-ment, convertir leurs pièces d'or end' invraisemblables grandes quanti-tés de pièces de cuivre et se de-mander combien de torches, decordes et de perches de 3m l'aven-turier moyen peut acheter avec sonargent.Une fois qu' i ls ont "acheté" tousleurs objets, est venu le bon mo-ment de réel lement tenir comptedes règles d'encombrement pour lapremière fois, en insistant sur le faitque les joueurs doivent calculer augramme près le poids de leur équi-pement, tout en décrivant précisé-ment l 'endroit où chaque chose setrouve, tout comme la manière

dont le PJ le porte (sur eux, dans unsac à dos, etc. ) . Cela va à nouveauprovoquer une perte de temps, afinqu' i ls décident des objets à aban-donner pour abaisser le poids qu' i lstransportent à un niveau qui leurpermette de continuer à marchersans aucune aide.Si vous voulez être un enfoiré finiavec eux, la issez-les passer une de-mi-heure à choisir avec soin leur lotd'objets à garder absolument, puisune autre demi-heure à redistribuerces objets entre leur sac à dos etles paniers de leur cheval . Ensuite,vous pouvez (en tant que Dieu devotre univers) lancer un ou deuxéclairs pour effrayer ces crétins debourriquets, les faisant décamperau loin (avec, bien entendu, lespaniers mentionnés plus haut).

MAÎTRISER AVEC QUE DALLEVous étiez parti avec les meilleures intentions du monde. Vousalliez lire le livre de règles et écrire le scénario, mais en cheminvous en avez été empêché d'une manière ou d'une autre...

TENDANCES

« Une foi s qu ' i l s ont acheté tous leurs objets,est venu le bon moment de réel l ement ten i r comptedes règles d'encombrement pour la première foi s »

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Cela ne va en aucun cas vous aiderà couvrir l 'absence de scénario.C'est drôle, c'est tout.

Troisième étape :le casse-tête énigmatique

La prochaine étape consiste en l ' im-provisation de ce qui va semblerêtre un casse-tête énigmatique.C'est, bien évidemment, une simpleimpasse déguisée. Par exemple :MJ : "Le tourbil lon mauve vous rat-trape, et vous vous sentez transportéail leurs, avant de perdre conscience.Quand vous vous réveil lez, vous êtesdans une pièce carrée d'environ 6 mde côté. Le sol, les murs et le plafondsont fait d'une pierre grise unie. I l n'ya rien dans la pièce."Joueur 1 : "D'accord, il y a peut-être unpassage secret. J'examine les murs."Joueur 2 : "Ce n'est peut-être qu'unesorte d' i l lusion. Je lance un sort."I l s'agit bien évidemment d'unepièce absolument close et sans is-sue, créée pour emprisonner demanière sûre les personnages pen-dant que vous réfléchissez à quelquechose d'autre. Tout ce que vous avezà faire est d'écouter chacune desidées trouvées par les personnagespour tenter de s'évader, puis de leurdire que leur tentative échoue.Les joueurs vont bien sûr penserqu' i l s'agit là d'une sorted'"énigme", et qu' i ls doivent simple-ment en trouver la "solution" .Si les joueurs commencent à s'en-nuyer et à se plaindre, faites-leur le"discours sur le défi qui conduit à laRécompense". L'essentiel de cediscours consiste à dire que si le MJne cesse d'aider les personnages àaccompl ir leur tâche de manière àce que tout ce qu' i ls fassent sembleêtre ce qu' i ls devaient faire et quetout ce qu' i ls tentent réussisse,alors le jeu perdra rapidement toutintérêt. En conséquence de quoi ,pour des raisons d'éthique unique-ment, i l ne faut pas que vous disiezaux joueurs comment sortir de lapièce. I ls devront tout bonnementrester ici jusqu'à ce qu' i ls trouventla solution. Un des joueurs finirabien par trouver une manière parti -

cul ièrement intel l igente et as-tucieuse pour sortir de là. Quand i lla révélera aux autres, souriez etacquiescez, comme si vous étiezheureux qu' i ls trouvent la solution àl ' "énigme complexe que vous leuraviez préparée", et déclarez quel'entreprise est couronnée de succès."Oui, Zarvod. Comme tu le pensais,vous avez été transportés dans ununivers à quatre dimensions, etvous êtes actuellement emprison-

nés dans un hypercube à quatre di-mensions, qui a une face ouvertesur la quatrième dimension. Vousne pouvez pas la voir, bien sûr,parce que vous êtes tridimension-nels, mais comme tu l'as dit, la défi-nition du livre de règles de ton sortde Déplacement dit qu'il peut tetransporter dans toutes les dimen-sions. Tu lances ton sort de Déplace-ment, marche un peu sur le côté, etvoilà que vous vous retrouvez à l'ex-térieur du cube. . . "

Quatrième étape :le combat à grande échelle

Les systèmes de combat lents etlourds à gérer ont été les sauveursde plus d'un MJ franchement mau-vais. Le truc ici , c'est de mener uncombat qui soit lent, mais pas parti -cul ièrement mortel en fait.

« Fastidieux » est le mot-clef.La mei l leure façon de faire cela estd'avoir un très grand nombre defaibles créatures, comme parexemple un groupe de rats. Le com-bat peut être corsé avec des at-taques spéciales inhabituel les quidemandent beaucoup de comptabilité."OK, donc tous ceux qui sont enface des hamsters ninjas aux pou-voirs psis doivent faire un jet de Vo-lonté pour éviter d'être charméspar eux, sinon vous aurez un malusde -1% sur vos jets d'attaque. Bon,i l y a 10 hamsters, donc vous devezfaire 10 jets. . . "

Cinquième étape :finir tôt

Le truc, valable pour n' importequel le situation de la vie, est des'en sortir avant que tout ne tournemal , et un MJ qui maîtrise un scéna-rio de jeu de rôle en ne l 'ayant pasdu tout préparé se retrouve dansune situation qui tournera mal tôtou tard. Et plutôt tôt que tard.Finir la partie de bonne heure estdonc une option hautement uti le. I ly a bien trop d'excuses possiblespour qu'on puisse en faire ici unel iste exhaustive. La fatigue peutparfois vous attirer la compassiondes joueurs, tout spécialement sivous êtes celui chargé de ramenertous les joueurs chez eux en voi-ture. Dire aussi que c'est un "mo-ment idéal pour couper le scénario"peut marcher, si vous le dites avecassez de confiance dans la voix.Enfin, vous pouvez vous arrangerpour que quelqu'un, comme votremère par exemple, vous téléphoneen prétextant qu'une urgence re-quiert votre présence immédiate, etque vous devez arrêter sur-le-champ la partie. Après tout, vouspouvez diffici lement refuser d'obéirà votre mère, non ?Théoriquement, une petite amiepeut jouer ce rôle, mais là encore,si vous en aviez une, vous ne joue-riez probablement pas ce soir,n'est-ce pas ?

Stéphane

Ça vient de moi où je

pressens comme une

arnaque là ? Dites...

Dessin de N icolas

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UN FULL MÉTALPLANÈTE GÉANT !

QQuuaanndd uunn wwaarrggaammeeuurr ssee llaanncceeddaannss uunn pprroojjeett ffoouu.. .. ..

VO I C I L' O E U VRE D ' U N WAR G AM E U R

ayant pour pseudo Gondir et quifréquente le site web « Opération Zéro ».N'ayant pas réussi à le contacté, jeme permets de publ ier dans cespages le résultat de son travai l a insique ses commentaires issus du forum.

Nicolas

LE JEU EST ÉDITÉ EN 1988 JUSQU' EN 1996et sa réédition semble bien êtretombé dans le néant, je me suisdonc mis sur la conception de cejeu que je n'ai jamais eu, mais quim'a donné beaucoup de plaisir danssa version informatique.

Ma version est nettement plusgrande que l 'originale puisquechaque hexagone fait trois centi-mètres pour un seul ( je crois) dansla version originale.

Voici le plateau qui fait 70 cm par105 cm, j 'a i découpé les hexagonesdans du carton que j 'a i col lé sur uneplanche d' isorel, j 'a i fait ressortir lesplaines et les marais avec du plâtreet fait les cases montagne avec dupolystyrène.

Je suis sur les pions pour quatrejoueurs en ce moment, j 'a iquasiment terminé, tout est en pâteFimo® , les astronefs on du carton,du polystyrène et un oeuf Kinder®

en plus, pour le système de couleur

des équipes, j 'a i a jouté sur chaquepion une antenne où on pourragl isser une perle de couleur,comme ça chaque joueur aura sespions et les captures se ferontfaci lement puis ce qu' i l ni aura qu'achanger de perle. . .

Voici quelques pièces que j 'a i peint,avec les jol ie petites perles et lesastronefs sont les seuls qui nechange pas de couleur, c'est pourça que je les ai mis définitivementen couleur.

Manquent encore les 2 00 mineraisqui vont parsemer le terrain. J 'avaispensé à des pierres semi précieuses

mais le prix ma vite fait changerd'avis ! j ' i ra i me balader et essayerde trouver des petits cai l loux que jevernirai .

Imprimer les cartes marées. . . Ça,ça va. Me trouver un beau petitsabl ier 3 mn pour pas trop cher. . .Peut-être la seule vraie dépense dece projet.

J 'aurai pu ne pas trop m'embêter enfaisant un moule, mais question debudget à ce moment‑là, j 'a i préférétout faire à la chaine. Ça a étéassez vite, c'est le plateau qui apris plus de temps.

Gondir

BRICOLAGE

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Page 9: Révolution Ludique 14

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Photos pri ses par Gondi r

QUELQUES LIENS VERS

FULL MÉTAL PLANÈTE :

Comme FMP ne sera jamais réédité

(mésentente entre les trois créateurs

du jeu) , autant prendre les devants et

retrousser ses manches pour ne pas la-

cher quelques 250 € extorqués par des

marchands sans scrupules :

Un site avec tous les fichiers pour réim-

primer le jeu, une extension "Tempête

sur FMP" en plus. C'est avec ces fichiers

que votre rédac-chef préféré a refait le

jeu pour le CATSS :

eric.alber.free.fr/wiki/doku.php/-

full_metal_planete

Comment refaire les pièces facilement :

trictrac.net/jeux/forum/viewtopic.php?t=3271

Des variantes aux règles pour parties

épicées :

fullmetalplanete.com/FMP_Jeu_Variantes.html

Pour jouer en ligne :

fullmetalgalaxy.com/

Pour jouer par email :

fullmetalplanete.com/FMP_Accueil.html

L'abandonware sous DOS :

myabandonware.fr/abandonwa-

re/full-metal-planete-1ul

Un FMP de voyage :

languedeserpent.free.fr/index.

php?article8/fmp-de-voyage

Page 10: Révolution Ludique 14

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AU LOIN, RÉSONNAIT UN ÉTRANGE BARDE APPELÉ

Mc Circulaire. Visiblement, la musiquen’était pas du goût de tout le monde ici ,et i l faut bien avouer que la discussion,sur fond de rap, m’a vite fait comprendrela signification du mot Chaos Ultime.

Thomas : Vous pourriez nousprésenter le NaheulBand ? Vousavez quand même un style trèsparticulier. Dans le livret duMotocultor, il est indiqué « musique-rolisti-chaotique ». Est-ce que vouspouvez définir ce terme ?POC : La musiquerolistichaotique, ça ne sedéfini pas. Tout ce que je peux dire, c’estque ça n’est pas du rap, bien qu’un jour, onnous ait dit qu’on faisait du hiphopmédiéval, mais c’est quelqu’un qui n’yconnaissait rien ni au hiphop ni aumédiéval. On est quelques métalleuxquand même dans le groupe, mais on faitsurtout du folk et des musiques à influenceceltique, etc. Et on raconte les aventures degens bizarres, des rôlistes.Thomas : En fait, tout est partid’une histoire de jeux de rôles ?Li l i : Oui , je me souviens, c’était unmardi et i l pleuvait.POC : On écoutait François Pérusse.Thomas : Et ça a dérapé ?Li l i : On a dit pas de rap !Thomas : Justement, ça a dé-rapé,c’est une grosse différence !Hahaha !POC : J ’étais le seul responsable.Li l i : Voi là, c’est John (POC).POC : Je les ai tous embringué danscette aventure sur un coup de

téléphone.Lady Fae : Non, moi c’était lors d’uneinterview. J ’écrivais pour un magazine etj ’ai rencontré POC, j ’ai fais son interview.POC : Fais gaffe quand même !Li l i : Qu’est-ce que tu fais ce soir ? Est-ce que tu sais chanter ?Thomas : Ah non, je picole ce soir !Li l i : Ah ben alors, t’es engagé !Thomas : Nous, avec des amis rolistes,on a repris « la bière du donjon » etc’est devenu « la bière d’Oclos », maisça serait trop long et compliqué àexpliquer. Il y a beaucoup de gens quiadaptent vos chansons et les fonttourner entre eux.POC : Est-ce que tu joues de la basse ?Thomas : Eh non…POC : Tu es engagé, merci !Stéphane : Ce soir, 19h30 sur scène.POC : Ne pas savoir chanter, c’est pasgrave. Regarde Ghisla in.(tout le monde parle et rit en même temps)Thomas : Donc, pour vos compos,comment vous procédez ? Vouspartez d’un délire un soir ?Stéphane (désignant POC) : C’est leseul responsable.Naheulband : Non, non, c’est pas vrai !POC : Non, i l y a un peu de tout. Ca va dumorceau que je fais tout seul, quej’enregistre tout seul et puis après, on estensemble sur scène. I l y a le morceau quiva être composé par quelqu’un d’autre,comme Lili en a fait un sur le deuxièmealbum. Fae en a fait une.Lady Fae : J ’en ai même fais deux, trois,quatre, maintenant.POC : Oui , mais pas sur le deuxième ! I ly a Tony aussi .Thomas (à Lili) : Alors c’est toi laresponsable de « la bière du donjon» ? Tu peux pas imaginer le nombrede soirées que j’ai passé là-dessus !Li l i : Oui , avec Knarf, d’ai l leurs, ça c’estune adaptation.Thomas : D’où ma question stupidede tout à l’heure du mec trèscultivé, mais trop.POC : En fait, i l y a des morceaux quisont entièrement faits chez quelqu’und’autre, comme « les soul iers de Lady

Fae » qui ont été faits chez Knarf.Ghisla in : Zoug Amag Zlong, qui a étéfait chez moi et chez Tony. On avait lepremier morceau métal chez Tony, en àpeu près une heure.POC : La répétition des orques sur lepremier CD. I l y a des morceaux, on endiscute à l ’avance et ça prend superlongtemps.Ghisla in : Alors, j’écris un texte stupideet je lui envoie, alors il trouve unemusique dessus et ça fait des chants depoulets.POC : I l n’y a pas vraiment de règles. I ly a des morceaux, on va bosser un andessus avant de les faire.Lady Fae : Et des fois, ils ne sortent jamais.POC : Et des fois, je me lève le matin,et quand je vais me coucher, i l y a unmorceau qui est écrit. J ’a i tout chez moipour enregistrer, alors je fais les voix,les instruments, etc. « La marchebarbare », c’est quasiment ça.Stéphane : Je croyais que tu l’avaiscomposé dans le métro quand tu dormais ?POC : Non, je l ’a i imaginé dans lemétro. Quand je suis rentré chez moi,j ’a i fais l ’écriture et le lendemain, j ’a ifais l ’enregistrement.Ghisla in : Des fois, i l rêve ses chansonsdans ses siestes.POC : C’est rarement sur un messagepsychologique profond.Thomas : Comment voyez-vousvotre avenir musical ?Ghisla in : Avec des lunettes…Thomas : En y réfléchissant bien,vous êtes parti d’une série web(NDLR : Le Donjon de Naheulbeuk),vous en arrivez à faire destournées mondiales !Li l i : Alors, aujourd’hui , le Motocultor,demain, le Monnndddeee !Stéphane : Non, demain, laMoissonneuse-batteuse…Thomas : Plus sérieusement, est-ceque vous vous voyez demain tourner,comme des groupes qui passent leurvie sur la route ?Li l i : Non, à chaque fois, chaque année, onse dit, bon ben là c’est la dernière année.POC : Déjà, on fait une musique où i l

I N TE R V I E WNAHEULBAND AU MOTOCULTOR 2011

EEnn mmee pprroommeennaanntt ddaannss llaa zzoonnee VV.. II ..PP.. uunn iinnddiivviidduu lloouucchhee mm’’aa ddoonnnnéérreennddeezz--vvoouuss àà llaa ttaavveerrnnee…… LLàà,, uunn iinnddiivviidduu eennccoorree pplluuss lloouucchhee mm’’aa

eemmmmeennéé ddaannss uunnee aauuttrree ttaavveerrnnee aavveecc ttoouutt uunn ttaass ddee ggeennss bbiizzaarrrreess..

Page 11: Révolution Ludique 14

RL - No 14

10

faut être en forme pour la faire. C’estune musique, que quand on fait unconcert, on y va pour se marrer. Et lefaire tous les jours, par exemple dansune tournée, au bout du deuxième jour,on est déjà crevé. Et au bout dutroisième, on s’endort. On l ’a déjà fait,mais on le refera plus.Thomas : Donc finalement, c’estplus pour déconner ?Lady Fae : C’est clair, c’est que pour leplaisir.Thomas : Et même si ça marche ?Lady Fae : Ce qui marche, c’est deprendre plaisir. C’est que le publicprenne plaisir, et que nous aussi . Sinous, ça devient chiant et qu’on a plusenvie de le faire, ça marchera plus. Alorsautant que ça soit juste le week-end.Ghisla in : (sur un ton désabusé) : Mercid’être venu, ouais. Vous êtes trop sympas !Li l i : Oui , chaussettes ! Et baston !Ghisla in : On est super motivé !Li l i : Bon, et, on va vous la faire, le trol l .Encore …

Thomas : Vous avez quand mêmetout un tas de produits dérivés, quiont un succès.POC : Ah oui , mais ça je fais seul en fait.Lady Fae : En fait, nous-mêmes, noussommes un produit dérivé.Ghisla in : En fait, au début, j ’étais uneboite de coca, et maintenant je suismusicien dans le Naheulband.POC : Il y a diverses personnes quiparticipent, il y a Dan qui est devenu ingélumière un soir où un mec était pas là.Dan : Je passais par hasard, et j’ai fais, oui .Ghisla in : Oui , donc moi c’est Ghisla in,j ’ interprète le voleur sur scène, maispas dans les épisodes parce que c’estPOC. Je fais des percussions, mal . Jechante, encore plus mal .Stéphane : tu es au-delà du chant.

Ghisla in : Je suis l ’anti -matière du chant.Mais Welf, i l est encore pire que moi .Stéphane : Merci !Ghisla in : D’ail leurs, on veut faire ungroupe à deux qui s’appellera Antimatteret qui fera l’anti-matière de la musique.Et quand l’anti-matière de la musiquerencontre la musique, ça détruit l’Univers.POC : Et ça donne Putrid Cadaver.Ghisla in : Et sinon dans la vie de tousles jours, je suis prof.Clémence : Prof, non, je précise :documental iste dans un CDI .Ghisla in : C’est prof aussi . J ’ai un CAPES.Clémence : Moi, c’est Clémence, nouvellevenue depuis un an, et violoniste quiincarne la prêtresse de Dlûl.Ghisla in : El le jouait avec moi dans notreside-project qui s’appelle Vol. El le joueaussi dans un un très très bon groupe demusique irlandaise qui s’appelle Sl igo.Lady Fae : Et el le fait partie aussi deBidoui l le Prod. C’est des petites vidéos,où el les font n’ importe quoi mais de lamusique. I l faut regarder sur… ?Clémence : I l y a certaines vidéos suryou tube aussi , Bidoui l le Prod, tucherches, tu trouves.POC : C’est en trois temps : tu cherches,tu trouves, et tu pleures !Thomas : Au suivant…Stéphane : Je suis Welf. I l y a mon nomsur mon tee-shirt.Li l i : Et comme c’est marqué dessus ;« Luke, je suis ton ingéson ».Stéphane : Je branche les câbles pources inconscients.Ghisla in : Et i l déteste le wireless, i l fautle savoir.

POC : C’est l ’homme qui a passé le plusde mauvais moments aux concerts duNaheulband du monde entier.Stéphane : J’ai eu approximativement703000222 pannes techniques, différentes,il faut le savoir. La dernière fois, c’était laclimatisation qui a fait sauter le banjo.POC : Donc à chaque nouveau concert,un nouveau problème, c’est son credo.Thomas : Vivement ce soir, ça promet !Li l i : Alors, moi je suis Lil i la guerrière, etje suis chanteuse. Egalement chanteusede Belyscendre, c’est un groupe qu’on amonté avec Lady Fae, avec Tony et Knarf.Lady Fae : Side-project !Li l i : Et puis accessoirement, je suisaussi la femme de l ’ ingéson.Ghisla in : C’est pour ça qu’el le chantetoujours plus fort que les autres !Li l i : Et nous avons une radio aussi , quis’appel le Zoc Radio. Nous faisons despetits épisodes, qui s’appel lent lesaffaires pas très normales.Thomas : En fait la question « c’estquoi vos projets d’avenirs », laréponse est énorme.Lady Fae : En fait, nos projets d’avenir,c’est nos projets maintenant.Thomas : Ca part dans tous les sens !POC : Moi je suis aussi musicien destudio pour plein de gens, notammentHeol Telwen et Bran Barr aussi .Thomas : Oui, j’ai crû comprendreen vous voyant dans la fosse toutquand Heol ont joué.POC : J ’a i joué avec un tas de gensabsolument variés.Stéphane : Tu écris des l ivres d’horreuraussi . . .Thomas : En fait, j’aurai dûcommencer par la question « qu’est-ce que vous n’avez pas envie defaire », ça irait plus vite !Tous : Du rap ! ! !Lady Fae : Bosser dans la banque.POC : Et je ne veux pas faire de pâte àsel non plus.

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Photos pri ses par Thomas Orlanth .

Li l i : : Je veux pas être footbal leur.POC : On veut pas non plus.Clémence : Je veux pas finir mes études.Ghisla in : Moi je suis professeur dansun lycée professionnel et j ’a imerai bienal ler dans un lycée tout court.POC : Mais en même temps, i l est paslà pour exaucer nos vœux.Ghisla in : Ben i l a demandé quelsétaient nos projets d’avenir…Lili : Je veux pas que Sarko soit réélu en 2012 !Thomas : Bon, on va passer à petittruc un peu plus sérieux, parceque là, je trouve que ça allait pas.Ça allait pas du tout. Je vouspropose un petit quizz très rapide,normalement vous devriez vous ensortir pas trop mal.Ghisla in : Iron Maiden !Thomas : Ah non.POC : SPOCK !Thomas : Alors, sérieusement :quelle distance peut atteindre uneflèche d’un elfe sylvain avec duvent de face de force 4 ?POC : Ah, ça c’est dans une BD.Stéphane : Ca dépend, est-ce qu’i l a pluavant ? S’i l a plu avant, la corde estmouil lée, et on divise la distance par deux.Thomas : Alors, on va dire qu’ilfait beau et sec comme ici.POC : Le problème, c’est que l’elfesylvain tire toujours sa flèche en milieuforestier, parce qu’il a peur de s’éloignerdes arbres. Et comme en milieu forestier,il y a des arbres à peu près tous les 5mètres. Tu fais un petit calcul et tu vas terendre compte que la flèche ne va jamaisaller plus loin que 15 mètres.Thomas : Oui, c’est pas mal ! Bon,je vois que les autres, les mathsc’est pas leur trucs, donc on va un

peu simplifier. Alors, combien faut-il de nains pour creuser un tunnelde 25 mètres dans du granit ?Lady Fae : Par essence, la réponse doitêtre 42 .POC : Non, en fait la réponse c’était 48.Lady Fae : Oui , mais 42 c’est déjà laréponse à l ’Univers et le reste.POC : Mais je l ’a i déjà fais enconférence et c’est long.Ghisla in : D’ai l leurs, i l y a des gens quiont contesté son calcul car i ls ont ditqu’ i l n’avait pas pris en compte letemps où les nains al la ient auxtoi lettes. Pour él iminer la bière qu’ i lsboivent pour creuser. Donc forcément,ça prend plus de temps.Stéphane : Parce que les nains pissent surleurs pioches pour les refroidir, alors du coup…Thomas : Bon, soyons beaucoup plussérieux. On revient à la réalité ( ?).Vous faites tous du jeu de rôles ?Tout le monde lève la main.Lady Fae : En fait, ceux qui ne sont paslà en font pas.Thomas : Et est-ce que vous faites duGN (jeux de rôles grandeur nature) ?Clémence : Oui .Lady Fae : Un petit peu.POC : En fait, on fait du GN quand onest invité en concert sur des GN.Clémence : Moi j’ai fais parti d’une assosde GN dans l’Est, qui s’appelle Alter Ego,sur Nancy. J’étais orga pendant deux anset j’ai pratiqué pendant pas mal d’années.Thomas : Et ceux qui ont font,vous continuez à en pratiquer ?Lady Fae & Clémence : à peu près unpar an.Thomas : Donc si une assos quifait du GN vous invite ?Clémence : Ca dépend, i ls paientcombien ?Ghisla in : En fait, après c’est unehistoire d’hébergement. En fait, on vadire qu’on n’est pas tous GNistes. I l yen a qui n’aiment pas le confort GN.Li l i : Le camping !

Stéphane : Les mains qui col lent dansla boue.Ghisla in : Dormir sur la pai l le et cegenre de choses. Donc certains sontd’accord pour al ler dans les tentes,d’autres non ! Donc d’autres sontd’accord pour nous attendre à l ’hôtel .Stéphane : Certains n’aiment pas quela même pièce soit les toi lettes, lacuisine et la douche.Dan : Et avec un peu de chance, i l sedémet l ’épaule, et i l sera pas là.Hahaha !Ghisla in : On a joué deux fois enBelgique, à Avatar, un grand GN belge. Ona joué à la Faille, on était en effectifsréduits.Li l i : On était dans la boue.Thomas : Mais ça c’est parcequ’en Belgique, il pleut.Ghisla in : Oui , mais la Fai l le c’était enAuvergne…

[. . . ] (voir l ien)

Thomas «  Orlanth  »/Les Mille Mondes

Avec :

John Lang « PenofChaos » dit POC  ;

Ghislain le Voleur  ; Aurélie « Lady

Fae of Chaos »  ; Tony «l’Orque»  ;

Céline «Lili la guerrière»  ;

Clémence « la prêtresse de Dlûl »  ;

Dan l’ingé-lumières  ;

Stéphane « Welf», l’ingéson.

Retrouvez l’interview en entier sur

les1000mondes.chez.com/crbst_27.html

ou

lagrosseradio. com/metal/webzine-

metal/interview-metal/p3705-le-

naheulband-au-motocultor-

201 1 .html

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ELLE EST PARTIE D'UN VOYAGE AU FIN

fond de la Méditerranée, sur unepetite île ou plutôt un îlot deterre vierge sans humain et qua-siment sans végétation, retraitespirituel le à la base cette gen-ti l le aventure s'est transforméeen une chasse au trésor dansdes l ieux où le tourisme demasse inexistant n'a pas encoreperverti la nature.

Une retraite sur un îlot désertpourquoi pas ? Mais autant all iéle spirituel au spirituel : plus aunord existe une île qui, a en croirela légende, abrite encore la grottede Calypso, c'est L’île de Gavdos.Gavdos est plus praticable et deslignes maritimes la rendent acces-sible depuis la Crète à conditionque le temps s'y prête.

Ainsi je décidai d'y enterrer untrésor… Mais je n'al la is pasm'encombrer d'un véritable tré-sor, (d'autant plus qu' i l ne seraitpas question d'argent) mais desdifférents lots de dotationsconstituées par des partenairessouriants (dont sur Menetou-Sa-lon, l 'union viticole, la Métal lerieferronnerie du Berry le Cercledes Compagnons d’Oniroset Berry Champ de Bataillepour ne citer que ceuxde notre vi l lage).

Début Avri l nous avons donc misen place un l ivre de bord narrantles aventures du corsaire Bartho-lomé le Bolzec, personnage sortidu cerveau ferti le d’un jeune ro-mancier, Franck Ferric, qui aaccepté de se prêter au jeu,créant ainsi un fi l conducteurpermettant de découvrir l 'empla-cement géographique du trésor.

N'attendant aucun véritable succèsd'une tel le entreprise, nous noussommes en fait laissé déborder parle grand nombre de participants po-tentiels  : ainsi très rapidement,ce sont plus d'une trentaine depersonnes se sont prêtés au jeude la chasse au trésor.

Finalement seules huit personnesont été retenues pour le grand dé-part et ce sont deux jeunes deJoué-les-Tours, Rémy Régent etFlorent Roll in qui ont fini par rem-porter cette course avec brio.D'autant plus que c'était leurpremier voyage à l 'étranger !

Cette course au trésor organisépar « la Guilde du Grand Centre  »était une première activité lan-cée par cette jeune association

regroupant en son sein

des associations de jeux gran-deur nature, mais aussi de l 'uni-vers des jeux de table, el le portele nom de grand centre car lesassoci a ti ons consti tuantesviennent de Menetou-Sa lon ,Bourges, Nevers, Issoudun, Châ-teauroux, Tours, Orléans, Chi-non, bref d'un centre élargi .

Le but de la Guilde est la mise encommun de savoir-faire, de ma-tériel, mais aussi de la promotiondes activités ludiques au senslarge du terme auprès du public.Le trésor sera remis en grande

pompe très certainementdébut 2012, à Achères.

Monsieur M.

CHASSE AU TRÉSORMince, ils l 'ont trouvé !

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GUILDE DU GRAND CENTRE

Dessins & photo arrière plan de Mathieu, photo de droite Florent Rol l in

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DEPUIS PAS MAL D'ANNÉE, JE PROPOSAIS

aux jeunes dans mes stages jeuxde rôles le choix de jouer dansun univers préhistorique. En uti l i -sant le bon vieux système Basic,j 'ai bidoui l lé un jeu préhistoriqueintitulé « Clans  ! », basé sur l 'uni-vers développé pour le GN dumême nom (et maudit) du CCO.

Dans le jeu, les joueurs incar-naient des hommes de néander-tals dans un monde plutôthistorique teinté de fantastiquepar le parti pris d'un côté spiri -tuel avec le chamanisme et lescroyances animistes. Le restedu jeu s'appuyait surtout sur ledépaysement propre à la viesupposée à cette époque. Pour-quoi mettre un dragon là où unrhinocéros à poi l long est autantimpressionnant ? Surtout vu del 'autre côté de l 'épieu à si lexsoudainement très futi le face àune tel le bête. Une bonneséance de course poursuite

avec un ours des cavernes vautbien une débandade face à untrol l fâché. Et puis, ne parlonspas de la simple épreuve d'unetraversée de ravin profond surun tronc instable au-dessusd'une rivière déchainée. Pour cequi est de la magie, une bonnescène mettant en jeu les interac-tions monde des esprits etmonde des vivants fait son effet.

Alors, pourquoi changer ce quifonctionnait depuis dix ans ?Parce que j 'a i découvert Wûrm ,le jeu d'Emmanuel Roudier.

À la base, je recherchais desi l lustrations pour un nouvelécran de meneur. Sur le web,voi là que je trouve de trèschouettes dessins d'un gars quifait une BD préhistorique, devoir que ce dernier est fan depréhistoire et qu'en plus i l est lecréateur d'un jeu amateur basésur ses Bds. Ni une ni deux, jetélécharge donc ce jeu et là,c'est la joie. Quelqu'un a fait (ettrès bien) le jdr que je rêvais de-puis longtemps, avec le mêmeesprit, dans la même époque deprédi lection et avec le mêmepeuple humain dans lequel jefais jouer les gens  ! Sauf que lui,hé bien il a écrit tout ça, l'a mis enpage et a fait des règles correctes.

Donc Würm est un jeu se dé-roulant lors de la dernièrepériode glaciaire (du mêmenom) où les joueurs peuvent auchoix jouer les hommes longs(les Cro-Magnons) ou leshommes ours (les néanderta-l iens). L'ambiance se veut très

proche des dernières donnéesarchéologiques et garde un côtéfantastique avec la spiritual i témise en œuvre. I c i , chaquepersonnage est défin i par sesorig ines, ses forces et savoi rs(techn iques propres auxpeuples) , l es forces amenantde fa i t l a protection d 'un es-pri t totémique sur le person-nage, avec ses restri ctions oùses obl i gations de ri tes.La feuille de personnage est com-plétée avec l'équipement et lespoints de bravoure et de généro-sité que gagnera le joueur enguise d'expérience, lui permettantd'augmenter son statut social etde gagner quelques savoirs sup-plémentaires (à condition desuivre l'enseignement auprèsd'un maitre.. .). Oui, ici pas deconnaissance acquises à la volée,mais de longues périodes d'ap-prentissage entre deux aventures.

Pour ce qui est du moteur dejeu, rien de compl iqué  : chaqueaction est gérée en lançantdeux dés six en opposition àune difficulté ou au résultat del 'adversaire. I l est bien sûr pos-sible d'augmenter ses chancesen uti l isant ses forces particu-l ières ou encore, en faisant ap-pel aux esprits par le biais d'uneréserve commune de dés dé-pendant de son assiduité en-vers les esprits. La faceésotérique du jeu est plutôtsimple d'approche mais néces-site au joueur un véritable rôle-play, ce qui n'est pas faci le avecune bande de jeunes habitués àlancer des boules de feu en ra-fales. Par contre, une fois la

WÜRM, LE JDR DESÂGES FAROUCHESMarre des héros elfes en armures

d'écailles et des éternels gobelins ?

JE JOUE, DONC JE SUIS

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chose entendue, l ' interaction gé-nérée par le jeu avec les espritsest vraiment de qual ité et bienappréciée par les joueurs.

Le monde développé est lui aus-si très riche en possibi l i té et esttrès bien documenté et i lpermettra des heures de jeusans crainte de tourner auporte-monstre-trésor préhisto-rique. L'adaptation de mes an-ciens scénarios a été faci le et i ly a déjà une bonne scénario-thèque mise à disposition par lacommunauté. Pour ceux qui au-raient une appréhension concer-nant les idées de scénarios dansun monde préhistorique, ou-bl iez-les, en cherchant un peu, i ly a presque plus de choses àfaire que dans nos mondes habi-tuels. Juste pour l 'exemple, enfinun jeu où vous al lez vraimentpouvoir jouer de bel les partiesde chasses ! Le bestia ire pro-pose aussi quelques créatures

fantastiques, l 'univers se prêteaussi à ce genre d'exercice, defaçon plus dramatique même :là, i l n 'y a pas de Gros-Bi l ls ar-més jusqu'aux dents.

Le succés du jeu a été récom-pensé par la sortie en versionéditée et révisée du jeu chez leséditions Icare. Le l ivre qui en dé-coule est très chouette et super-bement mise en page parl 'auteur lui même qui a été trèsprésent sur le projet. Le jeu ver-sion amateur reste encore pourquelques temps disponiblemême s' i l y a vraiment l ieu enqual ité et en contenu de fairel 'acquisition de la version éditée.

Donc merci à Emmanuel Rou-dier, qui en plus de faire dechouettes bds et un très bon jeuest un gars très sympathique etaccessible.

Nicolas

Le blog d'Emmanuel Roudier :

http://roudier-neandertal. blogspot. com/

Les éditions Icare :

http://www.editions-icare.com/

Le forum dédié sur la Cour d'Obéron

(des aides de jeu, des scénarios. . . ) :

http://couroberon.com/Salon/index.php

?board=72.0

I l l ustrations d'Emmanuel Roudier

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MES CHERS CONFRÈRES,

Après quelques impératifs de l ieu, l ’expérienceHOPITAL 13 a eu l ieu sur le site de l ’hôpital d'Ain-court (site tenu par l 'association A.R.C.A.N. ) les23,24 et 25 avri l 2011.

L’équipe médicale des Mille Mondes et le per-sonnel soignant du CCO, des gars d'Avord et

quelques spécimens ont pu mener à bienleurs expériences sur 60 patients (réf.607 archives mi l lesmondes) .

Chacune des expérimentations fut tenuesdans le respect du règ lement, tou joursvers la voie de la guéri son et de manièreconsotolud ique.

Pour faci l i ter l 'administration des traitements,le personnel soignant, aidés de médicaments(bonbons variés) et de tonfas, a fait respecter

HOPITAL 13, OULA FOLIE DU JEU.. .

Enfin ! Les pratiquants de jeu de rôles seretrouvent là où nous savons qu'ils finiront !

RETOUR DE JEU

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le règlement (si lence dans le ré-fectoire, pas de regroupement deplus de trois personnes, fouil le ré-gulière et inopinés des patients,évacuation des étages interdits).

Quelques cas plus sujet à la ré-volte, durent bénéficier de traite-ment appropriés tels quel ' isolement (camisole + mise ensal le spécifique), l 'ECT et psycho-stimulant aux effets aléatoire ;d'a i l leurs un patient suite à cetraitement passa de l 'état de pa-tient légume au doux surnom de« carotte » à l'état de lapin de Pâques.

Pour l ' intégration des patientsune brève visite en aveugle futréal isée, avant que chacun se re-trouve dans sa chambre. Suiteau révei l , tous les patientsdurent se rendre au réfectoire etbénéficier du repas équi l ibré denos cuisiniers (purée bleutée,froide, servie en gobeletplastique, sans couverts). Ce re-pas unique fut resservi le soir,rencontrant un succès très miti -gé. . . Notre directeur décrétal 'état festif de l 'établ issement ;alors les patients bénéficièrent

d'un rab' de biscottes et deration de soupe au lard servidans sa barquette à frite(seul conditionnement uti -l isé dans les cuisines afinde répondre auxnormes hospital ière).Tous les autres repas,bien entendu,répondirent à cettenorme.

Les médecinspratiquèrentdes traitementsde relaxation,gym tonique et demanipulations diverses enplus de leur méthode soignantehabituel le (test de Rorschard,test de la goutte d'eau).

Comme prévu par le protocole,un patient fraichement arrivéfut promu médecin « supérieurNuméro » et dut s' intégrer à uneéquipe médicale au passé dou-teux, i l fut malheureusement denombreuse fois maltraités pardes patients et finira à lamorgue malgré les traitementsde choc des blouses blanches.

Sinonl'expériencegynécologique sur lepatient reptil ien « ZED » futréussie avec l 'épluchage de sonœuf et la naissance d'un avia-tauzaure qui nécessitera dessoins particul iers pour son bondéveloppement.

Marlyse

Pour conclure ci-joint la photode groupe :

Photos pri ses par Les M i l l e M ondes

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Jouer sans internet, sans carte graphique ?

QUAND AGNÈS ET SYLVAIN, NOUS REJOI-GNANT SUR LES MÉDIÉVALES DE BANNEGON,apportèrent avec eux ce curieuxjeu de buchettes, nous étionsalors loin d' imaginer à quelpoint i l a l la it devenir importantdans notre vie ludique.

Une des raisons de ce succés au-près des compagnons fut certai-nement d'avoir abordé ce jeupar le biais de l 'animation. En ef-fet, le jeu de Kubb se prête exep-tionnel lement au spectacle : lesdeux équipes se font face etpeuvent s' invectiver, se cham-brer ou se défier, le terrain estplutôt grand et le publ ic peut semettre autours de ce qui de-vient rapidement une arène. Sien plus les joueurs expl iquentaux spectateurs les règles et lesdifférents temps de jeu, rapide-ment, le quidam peut être invitéà venir tenter sa chance letemps d'un lancé de baton oùmême de rejoindre la partie.

I l faut avouer que les compa-gnons sont à cet exercice de

bon batteleurs et offrent pen-dant leurs parties un spectaclegratuit valant bien une partie depétanque à la Pagnol . Ceci àdonc fait que le Kubb est deve-nu incontournable à chaque sor-tie en animation du Cercle.

De plus, comme i l est très faci lede construire sois même sonpropre jeu, rapidement, plu-sieurs jeux entrèrent dans les ga-rages des compagnons. Chacunal lant de sa customisation, maisla préférence dans le Berryétant à la peinture de visagesminimal istes sur les Kubbs.

Autre spécificité locale, le choixd'un jeu à la dure, d'où une va-riante des règles désormaisconnue dans le monde comme« les règles à la berrichonne »,où « la règle pour ceux qui sontpas des gamins ». Cette va-riante consiste à déclarer unkubb tombé uniquement si cedernier a été frappé directementet est tombé sans aucun doutepossible. Donc pas de frole-

ment, de rebond ou de bougé

ici . Que du net et incontestablechez nous. Certains voient danscette règle sans concession laraison de la longueur des par-ties organisées par chez nous.Les vrais kubbeurs rétorquentque si les parties sont longues,c'est que les joueurs sont mau-vais et visent mal !

Enfin, i l a été admis après uneforte contestation et discussionque la seule et unique façond'envoyer son baton était défi -nitivement cel le adopté par lamajorité des joueurs et qui faitdonc loi maintenant dans lesrègles. La méthode de lancerdite "Al lez va chercher le chien"est donc proscrite à jamais etles contrevenants fouettés ouau minimum hués.

Et chez Oniros, les bouts de boisont de l 'avenir, car voici quevient le Molky, le jeu de qui l leoù on lance un rondin !

Nicolas

QUELQUES BOUTS DE BOISDOSSIER

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ENCART

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UN PETIT GROUPE DE PASSIONNÉS DE JEUX

du monde découvre un jour dixcubes de bois placés sur unterrain de huit mètres de long. . .À l 'aide de leurs six bâtons, i ls seprennent au jeu et tentent unetraduction de ce jeu suédois. Aufi l des mois, ce petit groupeexpérimente les variantes et sepassionne pour le Kubb.

Venu d'une île de 3000 km² situéen mer Baltique, Goetland, lekubb aurait des origines viking.Le jeu revient sur les terrainssuédois vers 1995, oùl 'association VM Kubb organiseles 1er championnats du monde.

Du côté de l’hexagone, lesconquérants du Kubbcommencent à réunir des joueursà Fontenay sous Bois, dans le Valde Marne et organisentrégulièrement des rencontresconviviales autour de ce jeu.

Et puis, en juin 2007, l' idée farfeluvient d'organiser les premierschampionnats de France de Kubb.Les rencontres s'enchaînent et

une équipe française seraprésente lors des championnatsdu monde en 2007 et 2008. Leniveau est haut mais l 'ambianceau rendez-vous  !

La fédération frança i se dekubb prendra forme en 2008,grâce au concours desassocia tions Ka loumba , Aléaet Mundus Karavan .

L'objectif est de fédérer lesjoueurs et les associations jouantau kubb, organiser desévénements et les championnatsde France. La 5e édition, en juin2011, s'est déroulée sur lesplages des d'Asnelles, près deCaen et a été organisée par l'as-sociation KubbACaen Normania,championne de France 2010.

L'équipe toulousaine a remportécette dernière édition etorganisera les championnats2012 dans la vi l le rose. Rendez-vous en juin 2012…

Kubbez-bien   !Guil laume

POLITIK EXTÉRIEURE

LA FÉDÉ KUBBEEtt llaa bbuucchhee rrèèggnneerraa ssuurr llaa FFrraannccee

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Vous trouverez plus d'information sur le site

ffkubb. free. fr

kaloumba.blogspot. com/

alealudo.blogspot. com/

munduskaravan.blogspot. com/

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FICHE TEKN IK

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ENCART

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SI VOUS ÊTES UN MINIMUM HABILE AVEC

vos petites mimines potelées(souvenez-vous de la pâte à mo-deler de votre enfance) la réal i -sation est plus simple qu’ i l n’yparaît.

Le matériel :– De la pâte polymère (Fimo...) ,– Du fi l de fer ou de cuivre,– Un four,– Vous.

Éventuellement :– Des perles de verre (pour

faire de beaux yeux) ,– De la col le cyanoacrylate

(uti le en cas de casse et ré-sistante à la cuisson) ,– Des « textures » (nous y re-viendrons) .

Commencez par faire une arma-ture. El le sera indispensable à labonne tenue de votre bestiole,notamment pendant les phasesde cuisson où la pâte se ramol l iet est susceptible de s’effondrersous son propre poids.

Cette armature sera l ittérale-ment le squelette de la bête.Faites lui une colonne verté-brale, ajustez-y les membres (pa-pattes, ai les, tentacules,appendices divers et variés).

Ceci fait vous pouvez appl iquerla première couche de chair.Malaxez bien la pâte avant del ’uti l iser. Cela la rendra plus mal-léable et chassera les éven-tuel les bul les d’air qui peuventse di later à la cuisson et fairedes fissures. Ne lui donnez pastout de suite sa corpulence défi-nitive. Prévoyez un ou deux mil l i -mètres en moins car la peausera faite à la dernière étape.

La cuisson se fait au four à110°C (cela peut varier selon lesmarques). Le temps de cuissonvarie en fonction de lacorpulence de la bête mais àmoins que vous n’ayez fait unbrontosaure adipeux sur vitami-né, 30 à 40 mn devraient suf-fire. N’oubl iez pas de survei l lerla cuisson ! Ça ne va pas débor-der comme les pâtes mais si çacuit trop fort et/ou trop long-temps ça risque de cramer voirefondre avec des émanations defumée bien toxique (beurk) !Sortez votre bestiole avec les pré-cautions d’usage (gants anti feu,pinces…) et laissez la refroidiravant de poursuivre le modelage.

Vous pouvez procéder en autantd’étapes que nécessaire. Si çavous chante vous pouvez aussi

tout travai l ler frais et ne fairequ’une seule cuisson mais çan’est pas du tout pratique carsujet aux accidents et cela nefaci l i te pas la manipulation. Siune partie casse une petitegoute de cyanoacrylate feramervei l le et tiendra aux cuis-sons suivantes.

La finition se fait avec les der-niers détai ls (yeux, griffes,etc…) et l ’appl ication de lacouche de peau : Une couchede pâte fraîche d’un ou deuxmil l imètres à laquel le on pourraappl iquer des textures. Ce peutêtre n’ importe quoi , un bout debois au rel ief bien marqué, uncoqui l lage, une pierre au motifintéressant. Pour ma part jeconsidère que l ’arme ultimeest…tadâââm…la peaud’agrume séchée ! Ça vous faitdes empreintes qui donnent unepeau pustuleuse à souhait !

Une dernière cuisson et votreAl ien est prêt !

Marie

ALIEN « HOME MADE »Ou comment avoir un Goa'uld pour son GN

BRICOLAGE

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HISTOIRE DE SAVOIR

PARISIEN DE NAISSANCE, BERRICHON

D'ADOPTION, COMMUNARD, FONDATEUR DE

LA RÉVOLUTION LUDIQUE INTERNATIONALE.

Mais qui était Anatole patouchard ?Bien souvent le voyageur de pas-sage à Menetou-Salon est inter-pel lé par la plaque scel lée àl 'angle de la rue du Jeu de l 'Oie.Ce qu' i ls l isent sur la plaque decuivre les étonnent plus que ceà quoi i ls s'attendaient ; en ef-fet, en quelques l ignes ciselées,l 'H istoire se rappel le à eux et i lstrouvent là de quoi s'interrogerquelques heures.

Anatole Patouchard nait le 4 fé-vrier 1848 dans un Paris qui voitles derniers jours de la Monarchiede Juil let et prépare sa révolu-tion  ; celle-ci amènera enquelques années la seconde répu-blique puis le second empire quise terminera à Sedan, ouvrantl'épisode de la Commune de Paris.

Les parents d'Anatole tiennentune petite fabrique de cartes àjouer dans un quartier popu-la ire. Dans le tourbi l lon pol itiqueincessant qui baigne les 20 pre-mières années de sa vie, Ana-tole se forge une identitéorientée à gauche. Durant le se-cond Empire, i l reprend l 'entre-prise fami l ia le et voyantapparaître les techniques indus-

triel les de fabrication de jeu decarte, i l transforme l 'atel ier versl ' impression d'affiches de spec-tacles et autres placardsd' information urbaine. Très vite,i l est en contact avec des grou-puscules pol itiques qui lu i de-mandent d' imprimer leursjournaux et de fi l en aigui l le, i lse retrouve lui-même à écriredans ces derniers.

Anatole ne délaissera jamaisl'aspect jeu de carte de son entre-prise, même si la politique em-piète de plus en plus sur sonactivité. C'est ainsi que l'atelier«  Patouchard et Fils » manquefermer après la fameuse histoiredu jeu de Faro imprimé avec descaricatures représentant le mondepolitique et bourgeois en place.Mais ses relations politiques évite-ront la fermeture de l'atelier.

Quand survient la défaite de Se-dan et la chute du Second Em-

pire, Anatole Patouchard(désormais très impl iqué dansle journal « La voix des rues »),rejoint avec enthousiasme lesidées de la Commune. Pour lui ,c'est le moment de propagerl ' idée d'un prolétariat ayant luiaussi accès à des loisirs sanscontraintes de revenus ou destructures. Loisirs devant aussiapporter une réflexion intel lec-tuel le minimale.

C'est avec son pamphlet « Le

peuple joueur ! » qu' i l est re-marqué par les meneurs de larévolte parisienne et est appeléà se présenter aux élections duConsei l de la Commune. I l estélu comme indépendant etprendra alors le poste deConsei l ler au temps ludique. Surses propres fonds i l fera ensorte que chaque l ieu deréunion populaire soit pourvud'un jeu de carte et d'un jeud'échec (aux pièces imprimées

ANATOLEPATOUCHARD

Une figure oubliée de l'Histoire,du jeu et des Monestrosaloniens !

Anatole Patouchard, à la tribune. Gravure anonyme.

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sur des pions en carton).Quand les Versai l la is attaquentParis, l 'atel ier fami l ia l est atteintpar un tir d'arti l lerie prussienneet Anatole Patouchard est bles-sé dans l ' incendie qui s'en suitalors qu' i l imprimait le derniernuméro du journal « La voix desRues ». Évacué par son père (samère a été emportée par unepneumonie en 1864) il verra som-brer la Commune depuis une cavetransformée en hôpital de guerre.Condamné à une peine de pri-son, i l réussira à entamer durantsa détention une partie d'échecpar correspondance avec LouiseMichel , a lors déportée en Nou-vel le-Calédonie. Ce fait permetà certains de le déclarer « inven-teur du jeu par correspondance  ».Quand vient l'amnistie, il décidealors de se faire oublier et partpour le Berry où il s' installera à

Menetou-Salon en 1880. Il y ren-contrera sa femme ; Justine Bran-vier et ouvrira un café-crapettesur la rue principale. C'est dans cecafé qu'il retrouve ses envies poli -tiques et montera (avec quelquesanciens communards partis semettre au vert) une revue s'inspi-rant de ses idées sur le loisir desmasses laborieuses « Révolution

par le jeu  » qui deviendra très vite«  Révolution Ludique ».

Comme à Paris, i l met ses idéesen action et offre aux toutes nou-vel les écoles de Menetou-Salonune ludothèque conséquente(cette dernière sera en grandepartie détruite lors de la rupturede la canal isation d'évacuationdes eaux usées dans la cave del 'école de Fi l le en 1927). Quandi l « remonte » à Paris en 1890, i ln'oubl iera pas le petit vi l lage etfera en sorte d'envoyer chaquenouveauté ludique à Menetou.I l y fera re-découvrir les vins deMenetou, tout juste remis d'une

grave attaque de phyl loxéra .Ce geste fera beaucoup pourapaiser ses relations avec lePrince Auguste d'Arenberg, ad-versaire pol itique, alors députédu Cher et président de la Compa-gnie du Canal de Suez (une figureincontournable à Menetou-Salonoù il possède un château).

Anatole Patouchard meurt en hi-ver 1917 d'une compl icationpulmonaire sans avoir vu la finde la grande guerre dans la-quel le son fi ls a iné, Anselme,éta it pi lote de chasse. I l sera in-humé à Menetou-Salon et lègue-ra à sa commune d'adoptionses écri ts a insi que quelquespièces d'exceptions, tel les sacorrespondance avec Louise Mi-chel ou encore les planches ori-g ina les du fameux jeu de Farointerdit.

Sa veuve Justine, reviendra alorsà Menetou-Salon où el le fera po-ser avec les anciens compa-gnons d'Anatole et à l 'occasiondes 50 ans de la Commune deParis, une plaque commémora-tive encore visible aujourd'hui .

Aujourd'hui, le mouvement révolu-tionnaire ludique reste et la revueque vous avez dans vos mainsest la descendante du journal fon-dé par Anatole Patouchard.

Pour fin ir, i l est amusant de sa-voir que son arrière peti t-fi ls,Anatole Patouchard ( qui aconnu une carrière mouvemen-tée comme pi lote de formule 1dans les années 1990) vis au-jourd'hui à Toulouse où i l a fon-dé une petite maison d'édition«   Rosa Ludix » dédiée aux jeuxde cartes en tirage l imité, repre-nant quelques 150 ans après, latradition fami l ia le.

Nicolas L.

« Du jeu ! Du jeu pour nous, du jeu pour vous,du jeu pour eux, du jeu pour tous ! Partout, du jeu ! »

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Avouons-le, nous savions tous qu' i ls avaient les unpour les autres quelques sentiments : des bisousen coin, des mains tenues discrètement voir mêmedes grognements animal le soir dans les fourréséloignés du campement. . . Nous n'avons donc pasété plus surpris que cela quand ils ont annoncé à latribu CCO leurs intentions d'official iser leurssituations respectives. Bref, ce fut l 'été desmariages au Cercle et même d'une prise de poidsinquiétante pour une des membres. . .Les premiers à convoler furent Christophe etHélène au mois de mars. C'est avec la musiqued'Ennio Moricone que furent enterrés les espoirs dela Ligue des Amoureuses d'Apolon et du Rôliste

Gay Club de France. Oui, y-a pas de justice.

Mais ce n'est rien comparé au désespoir quisurvint quelques semaines plus tard quandl 'annonce de l 'union entre Aurore et Jul ien tomba.En effet, la Confrérie des Soupirants du Lapin nerésista pas à ce mariage et fut dissolue dans ledésarroi le plus total . Mais le Cercle luis'enorguei l l i de mettre une fois de plus à sonactif un couple qui s'est rencontré en son sein. . .

Pour finir l 'été en faisant exploser le thermomètre,c'est cette fois le plus grand crieur publ ic del 'association Oniros qui convolait en juste noces.Oui, Mohamed et Élodie échangeaient lesanneaux pour de bon et faisaient taire en mêmetemps les ragots concernant la vie des geeks. Eneffet, Geek parmis les geeks, Mo n'est pas un êtresans vie sociale et i l ne col lectionne pas (plus ?)les figurines érotiques d'héroine manga. Non.

Entre les différents mariages, i l s'est gl issé unepetite chose au mois d'avri l ; la naissance d'unrejeton fruit d'une relation rapprochée mais horsmariage entre Claire et Cédric. Comme le papa agriboui l lé quelques l ignes que je vous laisse l ire àcôté pour plus de précisions (non, pas sur lafaçon d'on i ls ont fait le petit. . . Non ! ) .

I N REAL LIFE

3 MARIAGES ET UNENFANTEMENT .. .À jouer les elfettes légèresou les lutins lubriques, celadevait arriver.. .

Photos pri ses par Jérémy Leblanc (Champs Libre)

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Rapport n°006-V-201 1 de l'agent Valérian - Connection to data base.../ Extract source file 655984-23 .prg.../ Extract source file 449801 -78.prg.../ Extract

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Rapport n°1410-2011-RST/GRelais Spatio-Temporel / Galaxity

Données du service des naissances :L'Agent Valérian a quitté le vaisseauMère le 17 avril 2011, heure locale16h45. Masse corporelle calculéed'après la pesanteur terrestre soit2,710 kilogrammes pour une tail le de48 centimètres.

Rapport n°001-V-2011 du serviceSpatio-Parental :

Claire a rêvé plusieurs fois que le bébéarriverait le 18 avril, sans doute parcequ'inconsciemment, elle veux profiterdu printemps de Bourges. Le 16 avrilau soir, Cédric mange avec d'ancienscollègues de travail et les discussionstournent autour des bébés. Soncollègue, Tsong, plaisante toutsouriant "Hé, le bébé est prévu pour le9 mai ? Hé, hé ! Ca va arriver supervite, t'es pas en stress ?. . .Dans la nuit du 16 au 17, Claire sentles contractions de plus en plusdésagréables. . . Le travail est déjà encours et le bébé se dirige vers lasortie. Au réveil, pas vraiment de stressmais plutôt un état où l'on vérifie toutet où l'on boucle les sacs. Claire saitque c'est pour aujourd'hui. Cédric lui adu mal à réaliser et pense à soncollègue qui avait fichtrement raison.Départ de la maison vers 11h15(heure approximative, vous pensezbien que dans ces moments le tempsest une valeur quelque peu abstraite).

Arrivés sur place, prise en charge deClaire. Passons les détails car l'après-midi est aussi mouvementée qu'unerave party dans une maison deretraite. Claire est fatiguée, Cédricaussi mais bien moins qu'elle (on saittous que les héros dans les histoiresd'accouchement sont des femmes etnon des hommes). Vers 16h15, lebébé est bien en place pour pointer lebout de son nez.Après un travail remarquable deClaire, c'est un petit garçon qui vientse poser sur son ventre, hurlant bienfort son existence au nez del'humanité et même de la galaxie(c'est qu'i l a de la voix ! ). Certainsavaient pariés sur une fil le, d'autressur un garçon. Claire sentait ungarçon, un peu plus tard Cédric avaitrêvé d'une fil le. . . Finalement,l ' important, c'est que notre petitValérian se porte à merveil le.

Rapport n°057-V-2011 du serviceSpatio-Parental :

Dans 3 jours, au moment où ceslignes sont écrites, Valérian aura déjà6 mois. Le temps passe à une vitessefulgurante ! I l n'en finit pas deprogresser de jour en jour ; c'est qu'i lest bien éveil lé le bougre ! On se dittoujours que le plus "dur" c'est audébut, parce que l'on a peur pourcette petite chose si fragile, parce quel'on dort peu.. . Au bout du compte, leplus facile, c'est durant les premiers

mois. C'est après que ça se corse !Pourquoi ? Et bien quand il est toutpetit, vous le posez à un endroit et ilne bouge pas.. . Ensuite, ces petitesbêtes, ça attrape tout ce qui passe etc'est d'une curiosité insoupçonnable.Mais que ça ne décourage personne,c'est une aventure unique qui vaut lapeine d'être vécue !

Cédric

Ce fut donc une bel le saison2011 chargée en fête, petitsfours et champagne pour leCCO. Mais quelques chose medis que ce n'est pas fini et qu'en2012, i l va se passer encore deschoses du côté des membres duCercle. Mais, en dehors de sereproduire et se marier, i ls fontquoi chez Oniros ? En fait, i lsparient sur les prochains etsurtout, i ls remercient les gensde leur faire partager sesmoments de bohneur. N.

Photo de Jean-M i

Photo de Cédric

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SALUT GEEKS ET GEEKETTES DU GRAND

CENTRE, C'EST MOMO.Je vais vous présenter unenouvel le structure qu'on appel lele Café jeux et c'est à Vierzontout à coté de Bourges

Le café jeux ?Une structure conviviale dédiéeau jeu à partir de 11 ans :• Où l 'on peut découvrir denombreux jeux : jeux de cartes,de dés, de plateaux en tousgenres, jeux du monde, jeuxd'adresse.• Où l 'on peut se retrouverautour d'un jeu ou d'uneboisson.Des animateurs passionnés etspécial istes du jeu ainsi queMohamed, animateur salarié del 'association Veni Vidi ludi , vousaccuei l lera quotidiennement aucafé jeu dans ses heuresd'ouverture. I l sera accompagnéen fonction des séancesd'animateurs bénévoles. Tousces animateurs passionnéspourront vous orienter dans lastructure, dans vos choix de jeu,vous en expl iquer les règles,

vous aider en cas de besoins,vous proposer des animationset surtout vous permettre depasser un agréable moment ausein du café jeu !Le café jeux c'est uneludothèque de plus de 200 jeuxavec les dernières nouveautéschaque mois, c'est le café tourd'Asmodée le premier vendredide chaque mois de 17 à pasd'heure (soirée jeu).

c'est un l ieu ou les Geek, lesnol ifes, les rol istes, les Gnistes,les figurinistes, les jeux deplateauiste (et tout ce qui sefini en iste) peuvent seretrouver a leur guise  pourpasser un bon moment autourd'un jeu.

N'hésitez pas a demander lecafé jeux en ami sur facebook,demandez : lecafé (sansespace) espace jeux.

Momo

PRÉSENTATION

Horaires d'ouverture

De 15h à 19h tous les jours

(sauf samedis pendant les vacances

scolaires) .

De 13h30 à 19h

mercredi et samedi

De 17h à 22h

le vendredi

Adresse et contact

104 rue des ponts 18100 Vierzon06 44 00 07 34

moeofzion@gmail. com

Hé Patron, tu nous

remets deux jungle

speed s' il te plait ?Avec ou

sans dés ?

Comme quoi, un café, c'est pas qu'un endroit où on boitdes blancs-limo en tapant la belote. Non, c'est pas que.

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OLDIES BUT GOODIES

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THE BLACK HILLSWEEKLY PIONNEER

DEADWOOD CITY, BLACK HILLS, SATURDAY, FEBRUARY, 1877

RETOUR DE JEU

THE BLACK HILLSWEEKLY PIONNEER

DEADWOOD CITY, BLACK HILLS, SATURDAY, FEBRUARY, 1877VOL. 2 NO.4

RUÉE VERS L'ORPERDU DES FÉDÉRÉS !

Alors que l'information de la disparition soudaine etmystérieuse du vieux Butch Carson s'était répanduetelle une trainée de poudre dans tous les Etats, lesrumeurs les plus folles concernant son trésoralimentaient les discussions dans les saloons desterritoires du Dakota. Il n'aura fallu que quelquessemaines pour que des bandes d'aventuriers et dedesperados en tout genre, venus de tout le NouveauMonde, convergent vers notre ville de Deadwood, attiréspar la soif d'aventure et surtout l'or du vieux mineur.

Des dizaines de cavaliers se sont massés sur leschemins de nos collines des Black Hills sous unechaleur écrasante qui n'épargnait ni les hommes niles animaux. On avait entendu plus tôt dans la journéeau saloon N°10, cette vieille histoire des mules deButch chaussées de fer en or, il n'en a pas fallu pluspour échauffer les esprits et mettre tout le monde surla piste du trésor caché.C'est alors une véritable ruée vers l'or qui s'en estsuivie. Certains ont cru trouver trace de Butch dans lesanctuaire Showshone tout proche de la Cow Riverqui était à sec en cette période d'été. D'autresglanaient des informations et des indices tout au longde l'après midi, faisant fi des chemins peu surs, leursesprits enivrés par la soif de l'or et de la fortune àportée de main... Les maigres renseignementsobtenus ont conduit ces aventuriers au Fort Weakling,à la croisée des trappeurs, le long de Telegrah-Road,arpentant chemins creux et fouillant le moindre bosquet.

Ce n'est que tard en fin de journée que les premiersaventuriers revenaient sur Deadwood tout sourire enpocession du fer en or, bien que chacun resta discretsur l'emplacement du trésor du vieux Butch, nousavons pu apprendre que beaucoup avaient cherchédans le sanctuaire des Lakotas, ne craignant pas lafureur des esprits des vieux indiens... À défaut decelle du vieux mineur.

Comme il se doit, en soirée, chacun est venu raconterses exploits au saloon N°10 de Deadwood.

Quelques cowboys excités par la présence du fameuxWild Bill Hickok ont rapidement gardé raison devantl'agilité de l'ancien schériff d'Abilène.

La tension palpable est redescendue dès lespremières notes sorties du banjo de Cattle Call, nedit-on pas que la musique adoucit les moeurs ?Moeurs qui se sont avérées une fois de plus légèreslorsque les filles du saloon invitaient les cowboys àvenir les rejoindre sur la piste, ne manquant pas desoulever les jupons et de montrer leurs cuisses devantun public ébahi par une telle débauche, mais pour laplus grande joie des cowboys présents.

Tard dans la soirée d'ailleurs personne n'a puendiguer une bagarre entre les filles de petite vertueLe saloon N°10 a été le haut lieu d'une soirée quirestera marquée dans les esprits des habitants !

Seth CarterJournaliste au Black Hills Weekly Pionneer

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SSii cceerrttaaiinnss ssoonntt rreevveennuuss bbrreeddoouuii ll llee ,, llee bbaannqquuiieerr,, lluuii ,, aa ffaaiitt ddee bboonnnneess aaffffaaiirreess !!

DDeess ffii ll lleess ddee qquuaall iittéé eett bb iieenn éédduuqquuééeess.. .. ..

THE ULTIMATE COWBOY TRAIL RIDECette randonnée western scénarisée est organisépar F.G. Ranch. Elle se déroule à Menetou-Salonsur un terrain alliant forêt et prairies. Prochaineédition (la troisième) : 6 & 7 août prochains.

www.fg-ranch.com02 48 26 96 28

Photos pri sent par Jérémy Leblanc (Champs Libre) .

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Photo de Cédric Léger

LES AILES DELA GUERRE

J E JOUE, DONC JE SU IS

TU T'ES DÉJÀ IMAGINÉ AUX COMMANDES

D'UN SPAD XI I I OU D'UN FOKKER DR I ,avions de la guerre 14 - 18, arméde ta cracheuse de plomb  ? Tuvoles vers ton adversaire et tutentes de deviner ce qu' i l vafaire pour pouvoir le contourneret l 'al lumer copieusement.

How to playI l te faut un Zing représenté parune carte (ou sa figurine). Le jeuen fournit de toutes sortes,différentes couleurs, allié ouallemand. les manœuvres sontsimples, des cartes demouvements, variant selon votreappareil (chaque avion a lessiennes). On peut utiliser le tapisvendu à part, sinon une simpletable fera l'affaire, le jeu est fournitavec les jetons pour marquer lescracrasses que se font les joueurs,sans oublier les deux réglettes detirs et les cartes Dommages.

Les chevaliers du ciel !Au début de chaque tour, i l fautchoisir 3 cartes mouvementsdévoilées successivement audébut de chaque tour. Quand toutle monde a choisi, on dévoile sapremière carte et on fait bougerson avion. On pose alors la cartemouvement devant l'avion, onretire l'avion et on le positionne àla fin du mouvement.

TATATATA ! BOOM !Él iminer votre adversaire rien deplus fastoche, i l faut seulementle dégommer en ayant un axede tir. On uti l ise la réglette poursavoir si on touche l 'adversairedeux dégâts différent seprésentent, court ou long ce quise traduit pas une ou deuxcartes de dégât. Les dégâtsvont de 0 à 5. Si tes points devie tombent à 0, c'est le CRASHet la partie se termine pour toi .

Quand on a uti l isé ses troiscartes, on les remets dans sonpaquet et on choisis 3 ànouveau et rebelote. Et pour lestêtes brulées on peut instauréun scénario : bombardementd'un stock de munition, attaqued'un Zeppelin, enfin tout ce quivous passera par la tête. Et voi làj 'espère que je vous ai donnéenvie de jouer à ce jeu fabuleux.

Un seul risque avec WINGS OFWAR c'est d'avoir envie d'enrefaire une partie.

Captain Momo

SSaa lluutt ppeettii ttss GGeeeekkss eett GGeekkkkeetttteess cc '' eessttccaappttaa iinn MMoommoo eenn dd ii rreecctt dduu cc iieell ddee VViieerrzzoonnqquu ii vvaa vvoouuss ffaa ii rree uunnee ppeettii ttee pprréésseennttaattiioonn

ddee ll '' eexxcceell ll eenntt jjeeuu WWIINNGGSS OOFF WWAARR !!

Cette fois,baron,

Je te tiens !

Meingot !

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SECTION DE SURVEILLANCE

DES GROUPUSCULES LUDIQUES

FICHE D'IDENTIFICATION_______ ____________ _________________________________________

________________________

NOM : L E S MI L L E MO N D E S

CREATION : Novembre 2008

DIRIGEANT : Thomas BOUSSER

LOCALISATION : Neuvy le Barrois (avec antenne sur Clermont Ferrand)

__________ _ __________ _ ________________________________________________________

ACTIVITES CONNUES :

GN, soirees enquetes, raclettes.

SYMPATHISANTS :

Pas de membres autres que la douzaine d' orgas: on propose des jeux, et sont

sympathisants ceux qui viennent.

RELATIONS EXTRIEURES :

Guilde du Centre, La Porte des Songes, BCB, CCO, le Regne du Jeu, ARCAN. .

ACTIONS REVENDIQUEES :

Plus d' une dizaine de soirees enquetes, GN "Mille Indiens pour l' An Mil" (2009),

GN "Hopital n° 13" (2011).

ACTIONS EN PREPARATION :

GN "Camping: bienvenue a Git les plages" (en principe printemps 2012) et

quelques soires enquetes.

LES PROJETS :

Pleins de trucs jusqu' en 2015 sont deja plus ou moins prevus, en ajoutant le facteur

chaotique essentiel.

D / 987018 / CDA /B 18

CEUX DE LA RÉVOLUTION

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LE BCB DE P'TIT LOUIS

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Dessin et scénario par Pti t Lou i s.

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HACH ! LE PON FIEU TEMPS !

I L Y A DES CHOSES QUI PARFOIS NOUS

rappellent brutalement que letemps est un impitoyable salopard.Comme par exemple un viei lami qui vient comme tous lesans avec des sanglots dans lavoix en disant «   Tu me fais un ar-ticle pour le Révo, c'est pour

hier…   ». Comme je suis brave,j 'accepte, tout en n'ayant foutre-

ment pas la moindre idée de cedont je pourrais parler… Et puisun flash, tiens parlons du pre-mier jeu du CCO, c'était quanddéjà ? Et là, boum, le temps quite col le un coup de pel le sur latronche… Putain ! 17 ans…

Notre asso était jeune et bel le,crée dans l 'unique but d'obtenirun local pour jouer à «   Donj ’   »ai l leurs que dans la chambre deNicolas. Rol istes et wargamersdéjà bien rodés, nous aurions putranqui l lement continuer à zi-goui l ler du dragon et user nosdés dans le confort de sal les obs-cures et bien chauffées. Mais

une rencontre fit trébucher les piedsdu destin dans le tapis du hasard (çaveut rien dire mais j'aime bien).

Nicolas qui était et est toujoursprompt à tenter de convertir lesmasses à notre loisir, cherchaitaussi à rassembler les brebis es-seulées du monde ludorol isteberrichon. I l aurait pu faire une

grande carrière de mormon oude raél ien… C'est donc ainsiqu' i l fut contacté par un denom-mé Matthieu qui faisait partied'Alkhémia, une asso de GN…De quoi ? Nous n'avions qu'uneconnaissance assez vague du jeuen grandeur nature, qui semblaità l'époque encore plus mal vu quele jeu sur table (merci Jacques Pra-del). Nous fimes donc la connais-sance dudit Matthieu qui nousexposa avec la verve qu'on luiconnait les merveilles du GN.Super, il fallait qu'on en fasse un !

Ni une ni deux, une troupe seforma et s' inscrivit pour leur jeu

de septembre 1993, le pont dela rivière Bouzane. Je ne m'at-tarderai pas sur ce jeu my-thique, souvent encensé, maisun peu naze quand même parcertains aspects…

Notre brave troupe de cho-meurs, étudiants et autres sala-riés à activités aléatoires jouabravement son rôle d'arkhonien.Mais nous ne savions pas que leGN est une drogue dure qui sou-vent vous alpague à la premièreprise… Il nous en fal lait d'autres.

Et que croyez vous qu' i l advint ?Nicolas me proposa au début duprintemps suivant : « Et si on semontait un GN , hein dit ?  » Lalogique de l 'époque aurait vouluque je réponde un truc dugenre  : ça va pas être possible,c'est trop gros pour nous, maisce jour là ; j 'a i d it oui. Tout auplus quelques remarques surnotre absence de matériel , d 'ex-périence et de terrain. Maisj 'avais dit oui…

En deux temps trois mouve-ments, une date était posée (finjui l let si ma mémoire estbonne), i l dégotait un terrainavec la viei l le intendante duchâteau de Menetou (i l n'ajamais dit comment…). Mainte-nant, i l fa l la it y al ler et ainsidonc commença la création denotre jeu, fort de notre énormeexpérience de UN gn, qui al la itse reveler un peu l imite…

Un univers med-fan pas trop com-pliqué fut conçu, ambiance défri -cheurs de terres et cités libres,avec des elfes, des barbares, dessales bêtes, des religieux tatillons.Rien de révolutionnaire.

I l faut savoir que les 40 person-nages furent tous tapés à lamachine à écrire, aucun denous n'ayant à l 'époque lesmoyens d'avoir un PC. C'étaitassez sommaire, je le reconnais

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PROMENONS NOUSDANS LES BOIS

ou l' inconscience de la jeunesse.. .

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volontiers, mais j 'a i eu par lasuite des persos guère mieux dé-crits dans des jeux d'assos autre-ment plus aguérries…

Bon, le scénar, ç'est fait, labouffe, Helène et Marie-Christine s'en chargeait, restaitle site… Le bois au pied du châ-teau d'eau d'Achères ; sympamais vide. I l y avait par contreces grandes excavations pourfaire le vi l lage. Le CCO de 1994n'avait pas de moyens, maispleins de bras un peu désœu-vrés. Durant tout le mois dejui l let un vi l lage de branchageset de baches fut bâti . La matièrepremière ne manquait pas, desbucherons avaient la issé desdéchets de coupes dans tous lescoins ; ce qui nous obl igea à de-blayer les chemins… Hé bien, i lavait fière al lure ce camp depionniers, avec enclos pour lemouton et les poules qu'Hélènese proposait d'amener…

Notre jeu débuta sous le solei l .Commença alors notre apprentis-sage, innocents que nousétions. Et là furent révélées leschoses à ne pas faire etl 'élément catastrophe imprévi-sible : le joueur chiant :– Le joueur super chevronné àqui tu donnes un rôle charnièreet qui passera son jeu à picoler,– Noë qui en 10 minutes te trouveles gobelins à l'autre bout du bois,– Les monstres joueurs ratatinésen 11 minutes,

– Toujours Noë qui ne comprendrien à rien et se tape des dél ireshors sujet,– Le scénario manquant de re-bondissements.Mais heureusement tout ne futpas que catastrophe, l'ambianceétait bon enfant et un joueur noussauva la baraque. Merci donc àvous monsieur Chimier, le bonjoueur par excellence, qui nousproposa une idée pour relancer lejeu et y réussit pleinement. Sansvous nous n'aurions peut êtrejamais poursuivi l'expérience GN.

Il y eut aussi la joie d'un Jeff à boutde nerfs collant un gros coup demasse à son équipier (Noë…) lorsde la baston finale, la super grossebouffe sympa de fin, Jeff qui courreaprès les moutons pour les re-mettre dans la R11, la satisfaction

des joueurs et notre étonnement :« Ah bon, c'était pas tout pourri ? »

Pour conc l u re, sache cec i am il ecteu r : i l fau t être com-pl ètement con et tota l ementmasoch i ste pour se l ancerdans l ' organ i sa ti on d ' un GN .Tu conçoi s un un i vers et despersonnages que tu adore-ra i s j ouer sans pouvoi r l efa i re , tu te tapes des moi s debou l ot pour deux j ou rs destress et d ' emmerdes. Ma i sfi na l ement, quand tou t est fi -n i , que tou t l e monde sembleà peu prêt con ten t, tu songesà ce que tu as réussi à fa i revi vre. Et tu te d i s que ma l g rétou t c ' éta i t super et pa rfo i smême, tu es fi er de to i…

Franck (oldies but goodies)

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ON THE WEBTÉLÉ, JEUX ET

PT’ITES PÉPÉESII ll nn '' yy ppaass qquuee ddeess ttrruuccss nnuu ll ss ssuurr llaa ttooii ll ee

Jeu de plateaux etwargames en ligne

CONNAISSEZ-VOUS ZUNTZU ?C'est une plateforme outi l enl igne pour jeux de plateaux etwargames en temps réel surinternet entre joueurs. Vousinsta l lez le log iciel , charger«   une boi te de jeu » et vousvous connectez avec votre ad-versa i re. Vous avez devantvous un véri table plateau dejeu , avec ses pions et mêmeles dés en 33DD. Ce qu i est im-pressionnant, c'est le catalogueà d isposi tion, on peut aussibien jouer à Age of Empire 3

qu 'à Formule Dé en passantpar Carcassone ou Zombies !La base de données rassembleplus de 200 jeux et de nom-breux joueurs mettent en l igneleurs trésors. Les amoureux duwargame seront eux aussi com-blé en redécouvrant des ti tresau jourd 'hu i ind isponibles. I l estaussi possible de transposer sa

bonne viei l le boi te de jeu assezfaci lement, mais cela prendraun certa in temps, entre lescanne et la mise en forme desfich iers. Mais malheureusementvotre servi teur n 'a pas putester cet outi l fantastique, car(étonnement) i l n'est pas dé-veloppé pour Linux et Mac maisbêteseu lement pour Windows.Vite, faites l'essai !www.zuntzu . com/index-fr.htm

Ymaginères,webzine massif

OUI, C'EST BIEN LE TERME QUI PEUT ÊTRE

apposé au webzine Ymaginèresavec ses 235 pages. Ce qui estbien, c'est qu'avec le premier nu-méro de septembre, nous avonsde la lecture jusq'en janvier pro-chain. . . On y trouve tout ce quitourne autours de l ' imaginaireet du jeu ; tests de jeux, des thé-matiques, des aides, des cri-tiques interviews et même desnouvel les. À remarquer les en-

carts scénarios de casus Bel l ipremière génération, une bonneidée pour ceux qui ne jouaientpas à cette époque. On retrouveaussi quelques plumes bienconnues dans l 'éditoria l .Question contenu donc, i l y a cequ' i l faut. Du point de vueforme, c'est pas encore ça maispour le prochain numéro, leschoses devraient s'arranger.

ymagineres.net/Nicolas

Bellamy's blogHA QUELLES ÉTAIENT JOLIES

l es Be l l am i nettes deCasus Bel l i ! C'est donc

avec un certain plaisir que jepartage un secret avec vous :Bruno Bel lamy a un petit blogsur lequel vous pourrez retrou-

vez plein plein de cra-quantes ptites nanas desa plume. Même si lamode est passée de lesmettre en tee-shirt

customisé maison, vouspouvez faire de chouettes ca-

deaux avec des originaux et re-productions que l 'auteur metrégul ièrement en vente.

bel laminettes.com/blog/

JDR TVLA WEB-TV DU JEU DE RÔLE.

Un sympatique site proposantplusieurs vidéos sur notre sujetpréfèré : le jdr. Même si je nesuis pas forcement fan de lamanière (un animateur face ca-méra avec le style volontaire-ment néo Antoine De Caunesépoque de Rap-rap-rapidoooo ! )le contenu est très correct etpédagogique pour le non initié.On se prend vite à visionner lessujets à la volée et peut-êtrel ' idée de fi ler un coup de mainpour d'autres sujets de vidéosjeuderolesques vous passerapar la tête. . .

jdrtv. free.fr/index.php

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HA BIN OUI…

Et voilà. . .Incroyable : deux numéros dans l 'année ! C'est cer-tain, i l y a un truc (Pompage ? Drogues  ? Articlesfaits en Chine ? Logiciel d'auto- écriture ?). Sans al-ler jusque là, i l suffit de se souvenir de leurs pro-messes pour ce numéro : où sont les articlesannoncés ? Hein ? Rien sur Larpwriter, nada surBCB CH et pour la recette, nous sommes bon pourun al lez mendier un sandwich SNCF tout pourri .Haha ! Menteurs patentés qu' i ls sont ! En tout cas,c'est curieux et une enquête serait de bon ton. I lest probable que ce soit là le chant du cigne car, i ln'est pas possible de faire durer un tel exploit sansêtre découvert et humil ier sur la place publ ique.Aussi , nous savons déjà que le prochain numérone sortira pas en mars prochain et que nous n'y l i -rons pas ce qu' i ls promettent à côté. Faut pas dé-conner tout de même, bande de truqueurs sans

conscience ! Bon, même si c'est vrai qe l'elfette enposter, WAHOU  ! Mais ça fait pas un zine de qual itéet honnête, non madame. Donc soit disant, dansle numéro de 15 de mars 2012 on trouvera :

Denis, ludo-collecteur

Le site d'orga GN «  LARPWRITER  »

Votre première recette de GN

Des retours de jeux

Deux planches de Ptit-Louis

Scribus ou la PAO libre pour tous

et d'autres trucs…

OU ENCORE « COMMENT FONT-ILS

pour avoir autant d'idées ? »mais surtout «Et si je participaisa u p roch a i n n uméro d e cewebz i n e excep t i on n e l , j eg a g n era i s a u mo i n s + 5 0 enCh a ri sme ! » . E t b i en , d èsaujourd'hui , Révolution Ludiquea l 'honneur de vous annoncer lelancement d'une toute nouvel lerubrique ; Les perles du JDRet du GN . «Mais qu'est-ce donc

cette formidable idée qu'ils

viennent de nous pondre ?»,vous-demandez vous, c'est trèssimple. C'est une rubriqueparticipative où vous, nos biensaimés lecteurs, pouvez nousenvoyer vos anecdotes departies, perles, jeux de motsfoireux, et toutes autreshistoires amusantes qui voussont arrivées lors d'une partiede jeu de rôle ou d'un GN.

Comment fa i re ? Mettez parécri t votre anecdote, ra joutezvotre nom ou pseudo en basde page (ça c'est pour lebonus de +50 mentionné ci -dessus) et envoyez le tout à[email protected]

La Révolution Ludique comptesur vous !

Stéphane

BONJOUR AMIS LECTEURS !Vous vous êtes surement déjà demandés :

« Qui sont ces gens qui écrivent des articles si passionnants ? »

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