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REVUE DE PRESSE 18 NOVEMBRE 2013

REVUE DE PRESSE 18 NOVEMBRE 2013 - ADPMv~revue-de...2013/11/18  · 6 Revue de presse | APM Date de publication : 15 novembre 2013 Auteur(s) : - Le syndicat des cols bleus réclame

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REVUE DE PRESSE18 NOVEMBRE 2013

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Incendies et interventions

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20131117 CTV18h Accident voiture Plateauhttp://youtu.be/-5DRpPS2kds

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Incendies et interventions : Médias électroniques

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Un véhicule s'est retrouvé sur le toit suite à une perte de con-trôle survenue en début de nuit dimanche, dans le Plateau-Mont-Royal, à Montréal.

Le conducteur a embouti deux véhicules stationnés à l'inter-section de la rue De Lorimier et de l'avenue du Mont-Royal Est, avant de terminer sa course sur le toit.

L'homme a réussi à sortir du véhicule par lui-même. Il a été transporté à l'hôpital pour soigner des blessures mineures.

«Il s'agit probablement d'une fausse manœuvre. L'alcool ne serait pas en cause», a expliqué Raphaël Bergeron, du Ser-vice de police de la Ville de Montréal.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 17 novembre 2013Auteur(s) : Gabrielle Leblanc

Voiture renversée sur Mont-Royal

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Syndicats2

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20131115 TVA Qc Cols bleus poursuivent Labeaumehttp://youtu.be/hKBQJKZiWVQ

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Syndicats : Médias électroniques

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Le syndicat des cols bleus de Québec poursuivent l’administration Labeaume pour des propos jugés «hautement men-songer et diffamatoires», le 15 octobre dernier. Le syndicat réclame 1,7 M$ à titre de dommages moraux et exemplai-res.

«Cette poursuite ressemble à celle du syndicat des pompiers de Québec, où la ville a été condamnée à payer plus de 300 000$ en dommages-intérêts», explique Eddy Jomphe, conseiller au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), affilié au syndicat des cols bleus de Québec. (Photo archives Québec Hebdo)

Cette somme représente le versement de 1 500$ à chacun des 1 100 cols bleus et 50 000$ au syndicat des employés manuels.

Le syndicat des cols bleus (SCFP 1638) entreprennent cette poursuite après avoir mis en demeure le maire Régis La-beaume, le 18 octobre. Le principal intéressé a choisi de ne pas se rétracter. En conférence de presse, le même jour, Labeaume a affirmé: «On a bien choisi nos mots, on les a pesés. On ne reviendra pas là-dessus.»

Autre cause entendue le 2 décembre

«C’est sérieux. Ce recours et de la même nature que celui du syndicat des pompiers de Québec, où la ville a été con-damné à payer plus de 300 000$ en dommages-intérêts et punitifs, pour des propos diffamatoires tenus par Richard Côté», commente Eddy Jomphe, conseiller au SCFP (Syndicat canadien de la fonction publique), affilié au syndicat des cols bleus de Québec.

À cette poursuite des cols bleus s’ajoute une première poursuite, le 21 octobre dernier, contre le maire pour ingérence dans les affaires syndicales et négociation de mauvaise foi. La Commission des relations du travail du Québec (CRT) entendra la requête le 2 décembre prochain.

Depuis la fin des élections municipales générales, les négociations entre la ville de Québec et les cols bleus – en pré-sence d’une conciliatrice du ministère du Travail – demeurent au point mort.

Rappelons que la convention collective des 1100 cols bleus de Québec est échue depuis le 31 décembre 2010. De-puis février 2011 jusqu’à ce jour, 40 séances de négociation ont eu lieu entre les parties syndicale et patronale.

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Date de publication : 15 novembre 2013Auteur(s) : -

Le syndicat des cols bleus réclame 1,7 M$ à Labeaume

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Le syndicat des cols bleus de Québec dépose une réclamation pour diffamation contre la Ville de Québec à la suite d'unedéclaration du maire Régis Labeaume.

Cela fait à sa déclaration du 15 octobre dernier, en pleine campagne électorale, dans laquelle le maire Labeaume assi-milait la clause d'heures minimum travaillées de la convention collective des cols bleus à un plancher d'emploi destiné à financer la FTQ.

«On sait tous que les planchers d'emploi, ça existe pour financer la FTQ. C'est tout. Pendant six ans, je n'ai jamais eu une réponse, parce que la réponse, qui est honteuse, c'est celle-là. La FTQ et les organisations syndicales ont réussi à imposer des planchers d'emploi», disait le maire Labeaume.

Mis en demeure de se rétracter, le maire Labeaume n'en a rien fait, disant que le syndicat cherchait à le faire taire et à l'empêcher d'aborder des enjeux importants durant la campagne électorale.

Les cols bleus mettent donc leur menace à exécution et, par voie de grief, ils réclament à la Ville le versement de 1500 $ à chaque col bleu et de 50 000 $ au Syndicat des employés manuels de la Ville de Québec pour les propos «haute-ment mensongers et diffamatoires» du maire Labeaume. Total : environ 1 650 000 $.

Des propos, explique le conseiller syndical Eddy Jomphe, qui ont impact direct sur les cols bleus.

«...au travail et même hors travail. Même hors travail, les gens ne se promènent plus avec leur veste "Ville de Québec" parce que, même au dépanneur, à l'épicerie ou chez Rona, ils se font écoeurer par les citoyens.»

En voyage à Paris, le maire Labeaume a été mis au courant de la procédure. Il s'agit selon lui d'une mesure d'intimida-tion pour le museler et dit qu'il n'a pas l'intention de se taire.

En moins d'un mois, c'est la deuxième procédure que le syndical des cols bleus à la suite de propos du maire La-beaume. Le 21 octobre, il avait déposé une plainte contre le maire, auprès de la Commission des relations de travail, pour ingérence dans les affaires syndicales et pour négociation de mauvaise foi.

Rappelons qu'un arbitre du travail a déjà condamné la Ville de Québec à verser 300 000 $ aux pompiers de Québec et à leur syndicat, à la suite de propos jugés diffamatoires prononcés contre l'ancien vice-président du comité exécutif, Richard Côté.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 15 novembre 2013Auteur(s) : -

Les cols bleus de Québec réclament 1,65 M$

Page 9: REVUE DE PRESSE 18 NOVEMBRE 2013 - ADPMv~revue-de...2013/11/18  · 6 Revue de presse | APM Date de publication : 15 novembre 2013 Auteur(s) : - Le syndicat des cols bleus réclame

Le syndicat des cols bleus accuse Régis Labeaume d’avoir tenu des propos qui «ont mis en danger la vie et l’intégrité physique» de ses membres. Il réclame 1,7 million $ en dommages moraux et exemplaires.

Les propos que le syndicat qualifie de «méprisants et injurieux» ont été tenus le 15 octobre lorsque le maire avait dit en conférence de presse que les cols bleus bénéficient d’un «plancher d’emplois» qui sert «à financer la FTQ».

Le syndicat note aussi dans son grief que M. Labeaume a parlé du «nombrilisme corporatif» du syndicat qui, a-t-il dit, «n’a aucun souci du bien commun et de l’équité en société».

« Ces propos ont provoqué de graves répercussions contre les salariés», allant jusqu’à «mettre en danger la vie et l’in-tégrité physique des membres » , écrit le syndicat dans le grief.

«Ceux-ci ont non seulement dû essuyer une salve d’injures par des citoyens mécontents et évidemment mal rensei-gnés par les propos mensongers de l’Employeur, mais ont également fait l’objet de graves et troublantes menaces ver-bales et physiques lesquelles ont d’ailleurs été soumises au service de police», peut-on lire.

Le syndicat fait allusion à une lettre d’une organisation inconnue, l’Association des payeurs de taxes de la Ville de Qué-bec, qui a menacé de soumettre tous les employés syndiqués, leurs conjoints et leurs enfants, à une «partie de bâton de baseball».

Au Service de police de Québec, la porte-parole Catherine Viel a indiqué hier que l’enquête est toujours en cours pour retrouver les personnes à l’origine des menaces.

«LE RECOURS EST SÉRIEUX»

Le syndicat demande à titre de dommages moraux et exemplaires que la Ville verse 1500 $ à chaque col bleu et 50 000 $ au Syndicat des employés manuels.

Puisque l e syndicat compte 1100 membres, la somme réclamée atteint 1,7 million $.

« Le recours est sérieux » , commente le conseiller au Syndicat canadien de la fonction publique Eddy Jomphe. «Un arbitre du travail a condamné la Ville à verser plus de 300 000 $ en dommagesintérêts et punitifs pour des propos diffa-matoires tenus par le conseiller municipal Richard Côté [à l’endroit des pompiers]», illustre-t-il. La Ville de Québec a depuis porté en appel cette décision d’un arbitre du travail.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 16 novembre 2013Auteur(s) : Valérie Gaudreau

Les cols bleus poursuivent Labeaume pour 1,7 M$

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Enjeux3

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L’incendie d’une éolienne à Murdochville en Gaspésie, survenu cette semaine, suscite des questions sur le degré de préparation des pompiers à ce type d’événement.

André Minville, directeur du service d’incendie de Murdochville, a reçu l’appel vers 13h10 mercredi : une éolienne flam-bait au parc du mont Copper.

M. Minville et ses pompiers ont rejoint les techniciens de la compagnie Next Era Energy sur place. Ils ont érigé un péri-mètre de sécurité et attendu que le feu se calme de lui-même. Personne n’a été blessé. L’incendie a détruit une pale et la nacelle (partie centrale de l’éolienne, qui contient la génératrice).

Mais avant mercredi, M. Minville n’avait pas discuté une seule fois avec ses pompiers de l’éventualité d’un feu dans une éolienne, même si 60 de ces machines encerclent Murdochville. Quant à tenter d’éteindre l’incendie, «de toute fa-çon, on n’a pas l’équipement, dit M. Minville. Le jet d’eau ne se rendrait pas à 80 mètres de hauteur».

Il ne vaut pas la peine d’équiper les pompiers pour ces circonstances, juge M. Minville, mais «au moins, il faudrait avoir une formation sur ce qu’on peut faire quand ça arrive», dit-il.

Le schéma de couverture de risques de la MRC Côte-de-Gaspé, qui compte cinq parcs, n’aborde pas spécifiquement le domaine éolien. Ça ne veut pas dire que rien n’est prévu, précise Étienne Couture, coordonnateur incendie à la MRC, mais que ces risques sont traités parmi d’autres. Les éoliennes auraient toutefois intérêt à devenir «une préoccu-pation», admet M. Couture.

TROISIÈME FEU D’ÉOLIENNE

Les feux d’éolienne ont beau demeurer rares, il s’agit du troisième en 15 ans en Gaspésie. En 1999, les flammes avaient endommagé une nacelle dans le secteur de Matane. Et en 2001, une machine du parc Le Nordais, à Cap-Chat, avait flambé.

Instruits par le feu de Cap-Chat, les pompiers de la Haute-Gaspésie sont maintenant prêts, juge Carol Dugas, direc-teur du service d’incendie de Sainte-Anne-des-Monts. « On a une procédure établie et nos pompiers sont au courant. On dresse un périmètre de sécurité, on attend que les débris aient fini de tomber et on va les éteindre», indique M. Du-gas. Si le feu s’étendait à la forêt, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) prendrait le relais.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 16 novembre 2013Auteur(s) : Geneviève Gélinas

Prêts, les pompiers?