REVUE DE PRESSEMSA Nord-Pas de Calais

et plus encore...

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ACTION SANITAIRE ET SOCIALE p 4Accompagnement microcrèche « Hermies : lundi les bambins arrivent «à petits pas» la nouvelle microcreche p 5

du territoire» La Voix du Nord - le 3 septembre 2016

Appel à projet jeunes « mIeux vivre en milieu rural » « La MSA Nord-Pas de Calais renouvelle l’appel à projet jeunes vivre en p 7

milieur rural » Horizons-Nord Pas de Calais - 2 septembre 2016

« Appel à projet jeunes : 2016-2017, c’est parti ! » p 8

Le Syndicat Agricole - 2 septembre 2016

« Just for your’te : décharge électrique » p 9 Le bimsa - septembre 2016

Forum «habiter bien, habiter malin» « Bien vieillir chez soi : deux conférences pour adapter son logement à son âge » p 11 La Voix du Nord - 18 septembre 2016 PRESTATIONS FAMILIALES p 12Allocation de rentrée scolaire « L’allocation de rentrée scolaire versée le 18 aout par la MSA » p 13

Le Syndicat Agricole - 2016

Revenu de solidarité active « Revalorisation de 2% » p 14 Horizons Nord-Pas de Calais - 16 septembre - 2016

SANTE p 15Dépenses 2015 « Les dépenses en légère baisse en 2015 » p 16 Horizons Nord-Pas de Calais - 16 septembre 2016

RELATION ADHERENTS p 17Dématérialisation « Au service de l’inclusion numérique » p 18 Le bimsa - septembre 2016

« Cap sur la dématérialisation » p 19

Horizons Nord-Pas de Calais - 26 août 2016

COTISATIONS p 20En bref « Calcul de cotisations MSA N-1» p 21

Le Syndicat Agricole - 23 septembre 2016

SOMMAIRE

ÉVÉNEMENT p 22Terres en fête « Terre en fête : une vitrine unique » p 23 Le bimsa - août 2016

Terres en Folie 2016 « Une com’ positive malgré la crise » p 24 Horizons-Nord Pas de Calais - 5 août 2016

« Terre en folie 2016 débarque dans le Boulonnais » p 25 Le Syndicat Agricole - 29 juillet 2016

Foire d’Hazebrouck « Un week end ensoleillé, une foire réussie : plus de 40 000 visiteurs accueillis ! » p 26 Le Syndicat Agricole - 16 septembre 2016

« Ce week end, c’est la foire » p 27 Horizons Nord-Pas de Calais - 9 septembre 2016

VIE MUTUALISTE p 28Etienne Billaud, élu MSA Nord-Pas de Calais - Comité échelon local Métropole lilloise « Ferme Billaud à Herlies, une septième génération d’agriculteurs s’annonce » p 29 La Voix du Nord - posté le 20 août 2016

SANTE SECURITE AU TRAVAIL p 32Colloque Caisse centrale MSA « Innover en formation » « La MSA organise le colloque Innvover en prévention » p 33 Le Syndicat Agricole - 26 août 2016

RETRAITES p 34Actualité « Retraites agricoles : où en sommes - nous ? » p 35 Le Syndicat Agricole - 19 août 2016

« Anticiper pour réussir son départ à la retraite » p 36 Horizons Nord-Pas de Calais - 23 septembre 2016

OFFRE DE SERVICES p 37Marpa « Pas de Calais - Une 8ème MARPA » p 38 Le bimsa - septembre 2016

ACTUALITE AGRICOLE p 39Actualité moissons « Moisson, l’effondrement des rendements fait craindre le pire dans le blé» p 40 Le Syndicat Agricole - 4 aout 2016

Conjoncture, les difi cultés à l’echelle régionale «La Chambre régionale d’agriculture des Hauts de France a reuni, avec la FRSEA, p 41

les OPA de la région pour avancer sur les solutions à déployer à court et moyen terme» Le Syndicat Agricole - 12 août 2016

«Les partenaires du monde agricole réunis à Fruges» p 42 Le Syndicat Agricole - 23 septembre 2016

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ACTION SANITAIRE ET SOCIALE

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Hermies: lundi, les bambins arrivent« À petits pas », la nouvelle microcrèche du territoire

Ce lundi 5 septembre à 7 h 30, la microcrèche « À petits pas » accueille ses premiers bambins de 0 à 4 ans, une étape qui marque la concrétisation d’une réflexion menée depuis trois ans par la communauté de communes du sud Artois (CCSA) et la caisse d’allocations familiales (CAF), dans le cadre du contrat enfance – jeunesse.

Par La Voix du Nord | Publié le 03/09/2016

Personnel souriant, ici en compagnie de Lysiane Herbert et Daniel Tabary, et mobilier aux couleurs chatoyantes attendent les petits bambins.

« Cette structure d’une capacité de 10 places, qui s’inscrit dans le cadre du service petite enfance du territoire, propose une complémentarité à l’existant, offrant aux parents trois possibilités d’accueil collectif de jeunes enfants sur le territoire de la CCSA » indique Lysiane Herbert, responsable du pôle petite enfance. Au vu des inscriptions et de l’engouement suscité, elle répond à un besoin du territoire, ce qu’avaient ciblé la CAF, la MSA et la CCSA.

Installée dans l’ancien centre de tri acquis par la CCSA, « elle veut travailler dans l’esprit Montessori, visant à développer l’autonomie de l’enfant, précise Cindy Pesin, référente technique infirmière de formation. L’espace a été aménagé et le personnel sensibilisé dans cet objectif » À ses côtés œuvreront Valérie Pinta, auxiliaire de puériculture, et deux titulaires du CAP petite enfance, Nancy Damez, à temps plein, et Aurore Drancourt (0,4 ETP). Actuellement, neuf enfants inscrits occupent, pas à temps plein, près de 60 % des créneaux horaires. Ainsi des places d’accueil restent disponibles. « Une attention particulière

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sera portée aux parents en parcours de réinsertion », précise Daniel Tabary, vice-président en charge de l’enfance – jeunesse.

Le fi nancement

Le montant total des travaux est de 277 000 € HT subventionnés à 44 % par la CAF nationale dans le cadre du plan crèches et à 26 % par les fonds propres de la CAF du Pasde-Calais. Les subventions proviennent de 40 000 € de la MSA et de 1 600 € du conseil départemental par place créée. 47 000 € demeurent à charge de la CCSA.

Pratique

– Horaires : du lundi au vendredi de 7 h 30 à 19 h 30.– Formules d’accueil : contrats réguliers d’un minimum de 3 mois ou occasionnel avecaccueil à la journée ou à la demi-journée.– Tarifs : en fonction des revenus et du nombre d’enfants à charge. Prestation de service unique (PSU) comprenant repas, couches, entretien… Pour un enfant, le tarif peut varier de 0,40 € à 2,92 € l’heure.– Renseignements : 03 21 23 31 98 ou 07 89 26 43 71.

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1er juillet 2016

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Bien vieillir chez soi: deux conférences pour adapter son logement à son âge

Parce qu’une maison n’est pas forcément adaptée aux pertes d’équilibres et autres changements dus à l’âge, la MSA Nord-Pas-de-Calais propose deux conférences pour aider les seniors à connaître les solutions pour faire les travaux nécessaires.

Par Par Thomas Evrard | Publié le 17/09/2016

Cet escalier si simple à gravir il y a quelques années. Cette baignoire si confortable mais au rebord difficile à enjamber. Ou encore ce magnifique tapis de laine dont l’adhérence partielle au sol pourrait vous trahir. Avec l’âge, une maison peut passer du cocon chaleureux au petit enfer sur Terre.

Lundi, la MSA en partenariat avec l’Agirc-Arrco, le CLIC, INHARI et Info énergie du Cambrésis, propose une demi-journée au théâtre de Caudry pour informer les seniors, ceux qui le seront bientôt et leurs proches sur les aménagements possibles dans un logement pour le mettre en conformité avec les contraintes de l’âge.

« On va aborder les aspects les plus basiques, comme le fait d’installer une douche à l’italienne plutôt qu’une baignoire quand on rénove sa salle de bain et qu’on est déjà à la retraite. Mais évidemment les aménagements plus complexes, directement liés à des pathologies, seront eux aussi expliqués », promet Hélène Ducatillon, chargée d’études à la MSA.

Ce rendez-vous s’inscrit dans la continuité de la charte de solidarité avec les aînés, adoptée en septembre 2013. Celle-ci comprend une dimension préventive, dont il est question ici. « On veut faire comprendre à de jeunes seniors que ces aménagements doivent être effectués avant que les problèmes de santé ne surviennent. »

Lundi de 14h à 17h au théâtre de Caudry. Gratuit. Programme : 14h30, « Bien chez moi », présentation d’Agirc-Arrco ; 14h45, conférence « L’aménagement du domicile » ; 15h45, conférence « Des économies d’énergie aux aides techniques et financières » ; pot convivial en fin d’après-midi. Une aide au transport est possible. Contact au 03 27 77 72 72.

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PRESTATIONS FAMILIALES

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12 août 2016

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SANTE

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26 août 2016

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COTISATIONS

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ÉVÉNEMENT

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Le 22 juillet 2016

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VIE MUTUALISTE

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Ferme Billaud à Herlies: une septième génération d’agriculteurs s’annonce

PUBLIÉ LE 20/08/2016PAR CAROLE MOCELLIN

La transmission des exploitations agricoles est un vrai casse-tête pour les agriculteurs qui souhaitent prendre leur retraite. En France, seulement 60 % de l’ancienne génération sont remplacés par la nouvelle. Mais il arrive que les enfants marchent dans les pas de leur père...

« Je fais ce métier en toute connaissance de cause, par choix et par conviction. » Marion, fille, petite-fille et arrière petite-fille d’agriculteurs, s’apprête à prendre la succession de son père Étienne. Père et fille se sont donnés cinq ans pour que, à terme, Marion reprenne la ferme édifiée en 1840. Elle incarnera la 7e génération de cette famille d’agriculteurs installée au Hameau du Pilly. La ferme produit des légumes et des céréales.

« Après les intempéries exceptionnelles de mai-juin que nous venons de vivre, si elle continue, c’est qu’elle est bien décidée », confie Étienne. « En quarante ans, je n’avais jamais vu ça. Il est tombé 200 millimètres d’eau en trois semaines. L’an dernier, j’ai fait plus de cent quintaux de moyenne en céréales cette année à peine 60. » Et encore... L’agriculteur estime que sur l’ensemble de sa production, il a pu rebondir. « Mais, pour les légumes, on subit les dégâts maintenant. » Les intempéries les ont empêchés d’intervenir à temps. Les insectes ont pris le relais de la pluie.

« Mais moi, il m’en faut plus pour me décourager », lance Marion. Devenir agricultrice quand on a été chercheuse de tête pour de grandes entreprises du monde de la finance (lire ci-contre), cela ne peut se faire qu’en ayant pas mal de caractère.

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Ce matin, père et fille ont cueilli des courgettes cultivées en plein champ. Lever 5 heures et ramassage à la main sous les phares du tracteur. Les courgettes, c’est à l’incitation de la coopérative de Phalempin. Un partenaire apprécié de la ferme Billaud : « Ils sont de bons conseils pour les jeunes », dit Marion.

Transmission d’un savoir-faire

Les courgettes, c’était nouveau aussi pour Étienne. Il a fallu s’habituer au calibrage : 21 cm, dit-il en écartant ses doigts de l’index au pouce. « Sinon, ça ne se vend pas. » Mais comment contrôler la pousse des courgettes ? En surveillant tous les jours, voire deux fois par jour. Ce que Marion résume dans une formule : « avoir l’œil ». Prendre la bonne décision au bon moment, savoir réagir aux aléas climatiques, prévoir, connaître les gestes, les techniques,... tout un savoir-faire qu’il a appris de son propre père et par lui-même et qu’il est en train de transmettre à sa fille.

Pour autant, Marion reconnaît qu’elle n’a pas choisi la facilité. « Faire des légumes, c’est physique. » Sous le soleil, la pluie, le froid, tout se fait à la main. Et « le paysan n’a pas le droit d’être malade ». Car pour apprendre son métier d’agricultrice, Marion n’a pas droit à un traitement de faveur. « Je suis même plus dur », assure Étienne. Plus tard, Marion veut se lancer dans l’agriculture bio. La ferme est déjà classée en agriculture raisonnée. « Papa est un peu réticent », dit Marion. « Je l’empêche pas, je la pousse », réplique Étienne, qui observe qu’il faudra tenir compte d’un coût à la production plus élevé.

En chiffres 60 % seulement de l'ancienne génération sont remplacés par la nouvelle. 25 % d'exploitations agricoles en moins entre 2000 et 2010. 16 000 exploitations agricoles non reprises chaque année en moyenne. Chiffres 2010. Source : du site je-transmets-mon-exploitation.com Pour Marion, le bonheur d’une reconversion dans le pré Fillette, Marion allait cultiver les légumes dans les champs avec son père. De cette expérience d’enfant, elle a retenu le goût de l’effort. « Aujourd’hui, je remercie mon père de m’avoir poussée. Je râlais car les copines restaient bien tranquilles pendant les vacances mais, au fond, j’aimais cela. Aujourd’hui, je n’ai pas peur de faire des heures. Cela m’a appris la vie. » Sa collaboration avec son père, elle la considère comme un travail d’équipe. Une équipe qui inclut son mari, ingénieur en télécom, avec qui elle a pris cette décision atypique de reconversion. « C’est un vrai projet de famille », sourit-elle.

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Devenir agricultrice après avoir été consultante en ressources humaines pour un grand cabinet de recrutement à Paris, cela ne se voit pas tous les jours. Bac+4 en droit, elle a repris ses études pour obtenir un brevet professionnel de responsable d’exploitation agricole, sésame indispensable aux yeux de l’administration. Car les démarches administratives sont nombreuses. Et « il faut de la rigueur, dit Marion, sinon on coule ».Toutefois, elle en comprend la nécessité : « Fournir un bilan d’exploitation, c’est normal. Ce n’est pas la peine d’envoyer des jeunes au casse-pipe.» Marion est aussi maman de deux enfants de 5 et 6 ans, ce qui ajoute aux difficultés de cette reconversion exigeante et réclame une organisation très pointue. Mais elle ne regrette pas d’avoir remplacé ses talons aiguilles par des bottes : « J’ai pris la meilleure décision de toute ma vie. » Et son aîné, Gabriel, ne veut-il pas déjà être plus tard docteur et planteur de choux comme Maman ?

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SANTE SECURITE AU TRAVAIL

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28 août 2016

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RETRAITES

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OFFRE DE SERVICES

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Septembre 2016

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ACTUALITE AGRICOLE

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