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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.
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La revue de Presse KYLIA
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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 1 au 7 Octobre 2012
LES ARTICLES DE LA SEMAINE
Forte chute des crédits immobiliers malgré des taux
en baisse
Le 2/10/12
Les crédits accordés en France ont chuté de 29% au troisième trimestre. Pourtant, les taux
d'intérêt des crédits immobiliers se sont établis e n moyenne à 3,44% en septembre contre
3,51% en août, selon une étude de l'Observatoire Cr édit Logement/CSA.
Le paradoxe immobilier, qui caractérise l'Hexagone, perdure : les taux d'intérêt des crédits immobiliers
ont encore baissé en septembre pour s'établir à 3,44 % en moyenne _ contre 3,51% en août où ils
étaient revenus à leur niveau de janvier 2011_ mais le volume de crédits accordés a, lui aussi,
continué de plonger, avec une baisse de 29% au troisième trimestre, constate une étude de
l'Observatoire Crédit Logement/CSA publiée mardi.
« En septembre 2012, le total des prêts accordés était ainsi en recul de 26,2% en rythme annuel,
contre +14,8 % en 2011 à la même époque. Et sur les 9 premiers mois de 2012, la contraction du
marché reste forte avec un recul de 31,9 % » par rapport au trimestre correspondant de 2011,
poursuit souligne Crédit Logement, l'organe central de garantie des prêts pour le logement.
Pour le seul mois de septembre, « alors qu'habituellement le marché retrouve de la vigueur, la chute
(des crédits) s'est poursuivie avec -5,4% », par rapport au mois d'août, déplore Crédit Logement. Par
rapport à septembre 2011, le plongeon est de 36,6%. Durant le troisième trimestre 2012, la production
est en recul de 29,0% par rapport à la même période de 2011, ajoute le communiqué.
Le montant des crédits immobiliers accordés par les banques avait déjà enregistré un très fort recul
au premier semestre avec une baisse de 33,1% par rapport au semestre correspondant de 2011.
Pour l'ensemble de l'année 2012, les crédits immobiliers accordés par les banques devraient se
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stiteur dans la fourchette de 110 à 120 milliards d'euros, accusant une baisse de près de 25% à 30%
par rapport à 2011 (160 milliards). Et très loin du record absolu de 2007 (170,2 milliards).
Marasme
Pourtant, les taux moyens continuent de baisser, ce qui devrait faciliter leur distribution mais la chute
des crédits accordés illustre le marasme dans lequel se trouve le secteur immobilier en France. Les
taux d'intérêt des crédits immobiliers se sont établis en effet en moyenne à 3,44% en septembre
contre 3,51% en août, 3,54% en juillet et 3,60% en juin, selon Crédit Logement. « Depuis mars 2012,
les taux ont donc reculé: de 51 points de base (0,51 point de pourcentage, ndlr), ils reviennent
maintenant vers le point bas de novembre 2010 (3,25% en moyenne) », indique le communiqué.
Cette baisse concerne l'ensemble du marché mais surtout les marchés des travaux (3,40%) et de
l'ancien (3,42%) plutôt que le neuf (3,51%). La durée moyenne des prêts consentis s'est établie à 207
mois en septembre contre 206 mois en août mais 215 mois en août 2011, selon Crédit Logement.
Un début d'explication ? Contraintes par le nouveau cadre prudentiel dit « Bâle III », qui doit entrer en
vigueur début 2013, les banques se désintéresseraient des crédits à long terme, qui sont pénalisés
par les nouvelles règles.
Source : LesEchos.fr
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Les nouveautés fiscales qui concernent l'immobilier
Le 2/10/2012
Le projet de loi de finances 2013 inclut un grand n ombre de mesures concernant l'immobilier.
Tour d'horizon de ce qui devrait changer dès l'an p rochain.
• Nouveau dispositif fiscal en faveur de l'investisse ment locatif
Le "Duflot" sera lancé pour quatre ans, du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2016. Il permettra aux
particuliers qui achètent un logement neuf ou assimilé dans les zones où la demande de location est
forte et l'offre insuffisante de bénéficier d'une réduction d'impôt de 18 % répartie sur neuf ans. Cette
réduction sera plafonnée, soit en euros par mètre carré de surface habitable, soit à 95 % du montant
de l'investissement, dans la limite d'un plafond global de 300 000 euros.
En contrepartie de ce coup de pouce fiscal, le propriétaire du logement devra le proposer à des
niveaux de loyers inférieurs à ceux du marché, à des locataires répondant à des conditions de
ressources. La proportion de logements bénéficiant de la réduction d'impôt dans un immeuble neuf
sera désormais plafonnée.
• Abattement exceptionnel sur les plus-values
En 2013, les propriétaires de biens immobiliers, autres que les terrains à bâtir, bénéficieront d'un
abattement exceptionnel de 20 % sur leurs plus-values nettes imposables, après la prise en compte
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de l'abattement légal pour durée de détention. "C'est une réforme conjoncturelle, qui ne fonctionnera
que l'an prochain. Elle est destinée à favoriser la vente rapide de biens immobiliers. Toutes les autres
conditions d'imposition sont inchangées, la résidence principale conserve donc son exonération de
taxation sur les plus-values", précise Alexia Henry, ingénieure patrimoniale à la BPE.
Cet abattement s'appliquera uniquement sur l'imposition de 19 % et non sur les prélèvements sociaux,
qui seront donc dus en intégralité. Ainsi, pour une plus-value nette de 100 000 euros, un particulier
paiera l'an prochain 30 700 euros d'impôt sur les plus-values, contre 34 500 euros s'il vend en 2012,
soit une baisse de 11 %.
• Taxe sur les logements vacants
Au 1er janvier 2013, la taxe sur les logements vacants sera étendue. Elle s'élèvera à 12,5 % de la
valeur locative (qui sert de base de calcul pour la taxe d'habitation) la première année, et à 25 % les
années suivantes.
Tous les logements situés dans les agglomérations de plus de 50 000 habitants, où il existe un
déséquilibre entre l'offre et la demande, seront potentiellement concernés par cette taxe. Les
propriétaires en seront exonérés seulement si leur bien immobilier est occupé pendant plus de 90
jours consécutifs dans l'année. Les résidences secondaires meublées et les biens vacants pour des
raisons indépendantes de la volonté du propriétaire ne sont pas concernés.
• Plus-value et abattement sur les terrains à bâtir
A partir du 1er janvier 2015, ces plus-values seront imposées au barème progressif de l'impôt sur le
revenu.
Par ailleurs, l'abattement pour durée de détention (les plus-values immobilières sont totalement
exonérées au bout de trente ans de détention) sera supprimé dès le 1er janvier 2013. En cas de
signature d'une promesse de vente avant cette date et si celle-ci débouche sur une cession avant le
1er janvier 2014, alors l'ancien régime d'abattement s'appliquera.
Enfin, à compter des impositions dues au titre de 2014, les terrains à bâtir situés dans les zones de
plus de 50 000 habitants dans lesquelles les tensions immobilières sont fortes subiront une majoration
de leur taxe foncière.
Source : LeMonde.fr
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Les prix de l'immobilier à Paris flambent encore
Le 2/10/2012
En moyenne, pour acheter un logement ancien dans la capitale, il fallait débourser 8.410 euros du
mètre carré en juillet. Le prix pourrait grimper au-delà des 8.500 euros selon la Chambre des notaires.
Les transactions ont pourtant reculé à Paris de 20% entre juillet 2011 et juillet 2012.
Copyright AFP
Record battu à Paris... et ce n'est pas fini. Le prix de vente moyen des logements anciens a atteint
8.410 euros le mètre carré dans la capitale en juillet, selon des chiffres de la Chambre des Notaires
de Paris Île-de-France. Le record devrait même à nouveau être battu dans les prochains mois. La
Chambre des Notaires de Paris Île-de-France prévoit en effet que le prix moyen au mètre carré dans
Paris atteindra 8.580 euros en septembre pour se stabiliser ensuite.
La baisse des prix se fait toujours attendre
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Et pourtant, beaucoup s'entendent sur une baisse des prix à l'avenir, tant le nombre d'acheteurs
potentiels fond comme neige au soleil. La croissance au point mort, la baisse du pouvoir d'achat, le
chômage en hausse ou la restriction des conditions d'accès aux prêts bancaires sont autant
d'indicateurs qui devraient infléchir la demande et donc les prix. Mais Paris reste Paris. Alors que le
prix de l'ancien y est clairement surestimé (35%), comme l'indiquait Olivier Eluère, économiste du
Crédit Agricole, à l'Expansion, la pierre parisienne reste une valeur refuge importante dans un
environnement de forte volatilité des marchés boursiers et obligataires. Les vendeurs restent
également coriaces pour céder leur bien, tant que les conditions de cession qu'ils estiment adéquates
ne sont pas remplies. La demande reste également sous certains aspects soutenue, au regard de la
démographie croissante et de la multiplication des recompositions familiales.
Les taux des crédits immobiliers restent bas
Les taux des crédits immobiliers, enfin, stagnent à un niveau très bas et ont continué de reculer en
septembre, selon l'Observatoire Crédit Logement. Ils se rapprochent peu à peu du point bas de
novembre 2010 (3,25%). Les taux des prêts immobiliers sur l'ensemble du marché (ancien, neuf et
travaux) ont continué de reculer en septembre à 3,44% contre 3,51% le mois précédent, selon les
chiffres de l'Observatoire Crédit Logement. Ce qui équivaut à un recul de "51 points de base" depuis
mars 2012, indique l'Observatoire.
Hausse des prix... mais chute des transactions
La situation à Paris est d'autant plus paradoxale qu'en parallèle de la hausse des prix, le nombre de
transactions, lui, chute brutalement. A Paris, elles ont reculé de 20% entre juillet 2011 et juillet 2012.
Et dans le même temps, entre juillet 2011 et juillet 2012, les prix à dans la capitale ont augmenté de
2,1%.
L'immobilier est une des problématiques phares du gouvernement, qui s'emploie à encadrer les
loyers, à encourager la construction de logements sociaux, et également à inciter fiscalement les
transactions. Ce, en offrant pour l'année 2013 un abattement exceptionnel de 20% aux propriétaires
de biens immobiliers, autres que les terrains à bâtir, sur leurs plus-values nettes imposables, après la
prise en compte de l'abattement légal pour durée de détention. A partir du 1er janvier 2015, les plus-
values seront imposées au barème progressif de l'impôt sur le revenu.
Source : LaTribune.fr
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Immobilier : la fiabilité des diagnostics énergétiq ues
mise en cause
Le 2/10/2012
© REA
Un an après sa première enquête , l’UFC Que choisir épingle à nouveau le manque de fiabilité des
diagnostics de performance énergétique (DPE) pour les logements. Pour contrôler l’efficacité de cette
batterie de tests, à laquelle tout propriétaire doit se soumettre lors de la vente ou de la location de son
bien, l’association de consommateurs a fait expertiser cinq maisons, à chaque fois par cinq
professionnels différents.
Les résultats sont édifiants : deux d’entre-elles ont été classées dans trois classes énergétiques
différentes. Dans une maison, l’association de consommateurs a même relevé un écart de notes
allant de B… à E, soit la pire qui puisse être délivrée.
Pour rappel, ces étiquettes énergétiques sont fonction du niveau d’isolation des logements. Les
appartements et maisons peuvent selon les cas se voir attribuer une note allant, de A à G, comme
c’est le cas pour les appareils électroménagers
En début d’année, plusieurs mesures, visant à renforcer la fiabilité des diagnostics, avaient pourtant
été été mises en place. Depuis le 1er janvier, tous les DPE doivent ainsi être réalisés à l’aide de
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logiciels certifiés par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Le nombre
de données entrant dans le calcul des diagnostics a été porté à 60, contre 30 actuellement.
Las. Face à l’inefficacité de persistantes des contrôles de performances énergétiques, l’UFC Que
Choisir demande une meilleure formation des diagnostiqueurs, une plus grande surveillance de leurs
obligations et un renforcement des sanctions. Difficile, en effet, pour un acheteur ou un locataire de
contester les conclusions d’un DPE devant un tribunal en cas de résultat erroné. Or ce dispositif a
désormais un impact important sur les négociations. Lors de la vente, les biens les plus énergivores
peuvent subir des décotes de 10% à 20%....
Source : Capital.fr
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De nombreux chefs d'entreprise mettraient en vente
leur logement
Le 4/10/2012
Pour échapper au durcissement de la fiscalité, les riches Français seraient de plus en plus
nombreux à vendre leur logement pour partir à l'étr anger. Avec une proportion importante de
jeunes entrepreneurs...
Les riches Français sont de plus en plus nombreux à vendre leur logement pour quitter le pays.
Reuters/Benoit Tessier
Les craintes liées à l'alourdissement de la fiscalité se feraient déjà sentir, selon les professionnels de
l'immobilier. Le marché français de l'immobilier de luxe voit en effet affluer nombre de nouveaux biens
dont les riches propriétaires veulent se défaire avant de partir à l'étranger. "C'est un peu l'affolement
général. De 400 à 500 habitations de plus d'un million d'euros sont venus s'ajouter (récemment) au
marché parisien", expliquent les dirigeants de Daniel Féau, un cabinet immobilier spécialisé dans
l'immobilier de luxe.
Pour le moment, il n'y a pas d'exil massif comme en 1981 après l'élection du premier président
socialiste François Mitterrand, estiment néanmoins les experts du secteur. C'est surtout l'alignement,
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sur le barème de l'impôt sur le revenu, de la taxation de la plus-value enregistrée lors d'une cession
d'entreprise qui incitent de jeunes dirigeants de start-up à déménager leur siège social. Ils partent
accompagnés de leur famille, commente Didier Bugeon, directeur général de Equance, société de
conseils en gestion de patrimoine.
De plus en plus de jeunes entrepreneurs
Avec les nouvelles technologies répandues dans de multiples secteurs, "il est désormais possible de
travailler de n'importe quel coin du monde en venant passer une semaine par mois en France",
commente Thibault de Saint Vincent, président de Barnes France, principal concurrent de Daniel
Féau. "Ceux qui partent à l'étranger craignent une prochaine taxation sur les mouvements de
capitaux", explique-t-il. Daniel Féau note que "la typologie des départs a changé". "Ce ne sont plus de
riches inactifs ou des rentiers mais des managers de grandes compagnies internationales, des
entrepreneurs et des repreneurs d'entreprises beaucoup plus jeunes qu'auparavant, effrayés par la
taxation des plus-values d'actions à 62,21% en taux marginal", détaille-t-il.
Si le phénomène de mise en vente de ces biens haut de gamme est contenu, nul ne sait comment il
va se développer car il est récent. "Personne, jusqu'à présent, n'avait cru que les plus-values sur les
actions seraient autant taxées", souligne-t-on chez Féau. Dans la capitale française et dans la
première couronne de la banlieue ouest, notamment à Neuilly, seuls 2.000 ventes par an dépassent le
million d'euros.
Londres, New York et Genève favorites
La province, comme Paris, n'échappe pas à cette tendance. Thibault de Saint Vincent cite l'exemple
typique d'un Niçois de 35 ans, propriétaire de deux restaurants et d'une villa, estimés entre 6 et 7
millions d'euros, exilé à Miami pour y vivre et travailler. Les destinations favorites de ces nouveaux
exilés sont surtout Londres, New York et Genève mais aussi le Canada, Israël et Singapour, précise
Laurent Demeure, président de Coldwell Banker France. Bruxelles a, elle, les faveurs des retraités qui
ont cédé leurs affaires ou qui veulent effectuer des donations à leurs enfants en étant moins imposés.
"L'an prochain, pour aller dîner chez des amis, je ne prendrai plus le taxi mais le Thalys pour Bruxelles
ou l'Eurostar pour Londres", plaisante M. Demeure. Il affirme enregistrer actuellement "une demande
d'estimation par jour" pour des logements de luxe. Conséquence: depuis 2 à 3 mois, le prix des
grands appartements parisiens a baissé de 5%. "Mais aucun effondrement n'est prévu car le marché
de l'offre reste parcimonieux", commente-t-on chez Daniel Féau.
Enfin, les biens de plus de 4 millions d'euros ont surtout les faveurs d'acquéreurs étrangers. "Un bien
sur les quais de Seine est en train d'être cédé à un Chinois pour 35 millions d'euros. Une famille du
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Moyen-Orient vient (elle) d'acquérir, pour 15 millions, un haras près de Deauville" (Calvados),
destination huppée à deux heures de Paris, indique-t-on chez Barnes France.
Source : L’Expansion.com
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Les agences en ligne font recette Le 5/10/2012
Avec l'essor d'Internet, les agences immobilières s ans boutique ont creusé leur sillon dans le
secteur de la transaction. Leurs atouts : des tarif s low cost et des services à distance.
En une décennie, Internet a bouleversé le petit monde de la transaction immobilière. Grâce à cette
nouvelle technologie et aux outils de communication numériques, les agences sans vitrine ou sans
boutique ont fait irruption dans ce métier et gagné leur part de marché. Aujourd'hui, ces « nouveaux
modèles d'affaires font directement concurrence aux agences traditionnelles », assure Olivier
Babeau, professeur en stratégie d'entreprise à Paris-VIII et auteur d'un récent rapport, « Les
nouveaux défis des agences immobilières à l'heure du numérique » (*).
Moins cher pour les vendeurs
Selon cette étude, les atouts de ces nouveaux venus seraient triples : une « puissance d'information »
(profusion, diversité, facilité de navigation) mise à disposition sur les sites, une « simplicité
d'utilisation » (consultation possible n'importe où et n'importe quand), et des prix « compétitifs ». Les
« pure players » se démarquent des « anciens » par des honoraires low cost. Leurs tarifs peuvent
avoisiner de 2,5 % à 3 % au lieu de 6 % à 9 % du prix du bien dans une agence classique.
« Chez Efficity, pour ramener ces frais à 1 %, le vendeur est mis à contribution, c'est-à-dire qu'il doit
effectuer les visites lui-même », explique Christophe du Pontavice, créateur du site.
Ces prix bas n'empêchent pas cette nouvelle génération de négociateur de toucher par transaction
une commission en moyenne deux fois plus importante que celle de son homologue, salarié dans une
agence. Cet écart s'explique par les frais fixes dépensés en loyer, taxes, etc. A terme, « i l est
probable que la variable coût devienne davantage l'un des nouveaux critères de choix des
consommateurs », affirme Olivier Babeau.
Une relation à distance
Des réseaux comme OptiHome, Capifrance ou encore Efficity privilégient des contacts et des
échanges d'informations à distance. Cela va de la description et de la présentation du bien (photos,
vidéos, plans), en passant par des services à la carte (alertes, comptes rendus de visites). La force de
frappe des agences sans boutique résiderait dans leurs fichiers communs ou partagés. « Chez
Capifrance, ce sont plus de 33.000 biens proposés à la vente en permanence contre moins d'une
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centaine pour une agence classique », affirme ce rapport. A côté de ces jeunes réseaux immobiliers
en ligne, plusieurs grands sites d'annonces sur Internet ont essaimé (Avendrealouer.fr,
Explorimmo.com, Seloger.com), regroupant des offres de professionnels et de particuliers. Sur la
Toile, « les modèles sont assez variés. Même sans avoir pignon sur rue, ces nouveaux
professionnels conservent une proximité avec le client. Tous se déplacent chez les propriétaires et
connaissent leur secteur et leur marché », explique Olivier Babeau.
Source : LesEchos.fr
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A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / [email protected] / 01 46 51 93 39