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REVUE DE PRESSE Du 29/08/14 au 22/09/14

REVUE DE PRESSE - fondationona.ma de presse au 22 Sep 2014.pdfInsurgente» (1970), d'après le reportage écrit en 1914 par le journaliste américain John Reed sur ses aventures avec

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REVUE DE PRESSE

Du 29/08/14 au 22/09/14

LA VIE ECO – 29/08/14 – page 39

ASSABAH – 29/08/14 – page culture

MAP – 29/08/14

Rabat - Le Film "Frida nature vivante" sera projeté, le 05 septembre à la villa des Arts de Rabat (19H00), en marge de l’exposition "Complicités : Frida et Diego", qui se tiendra du 05 au 30 septembre au même endroit. Ce film, qui relate la vie de Frida Kahlo, a été tourné dans sa maison, connue sous le nom de "Maison Bleue" (Casa Azul), convertie en Maison-Musée de Frida (Casa-Museo de Frida), à Coyoacan, ville de Mexico, indique-t-on dans un communiqué de la Fondation ONA. Sur son lit de mort, Frida se souvient de sa vie. Dans son esprit et sur l'écran défilent les personnages et les situations les plus significatifs de son existence, décrit-on dans le synopsis du film réalisé par Paul Ludec.

Ce long métrage, qui a remporté 17 prix au Mexique et dans d'autres pays, est classé 50ème sur la liste des 100 meilleurs films du Cinéma Mexicain, selon l'avis de 25 critiques et spécialistes, rappelle cette même source.

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Casablanca, une soirée littéraire où poésie et nouvelle seront réunies avec le poète Jamal Bousselham et la jeune auteure Maroco-Sénégalaise, Hajar Pourmera Thiam, est prévue, le 03 septembre, à la Villa des Arts de Casablanca (19h00). Le premier recueil de poésie "Espoir" sera présenté, lu, récité, déclamé par le poète Bousselham et par ses filles Maha et Sofia, indique-t-on dans un communiqué de la Fondation ONA.

Bousselham est lauréat du 2ème prix CEPAL (Centre Européen pour la Promotion des Arts et des Lettres), qui lui a été décerné à l’issue de la 13ème édition de son concours littéraire international. S’en suivra une lecture de la nouvelle "A la découverte de soi" par la très jeune auteure Pourmera Thiam de Saint-Louis du Sénégal, lauréate du prix littéraire "Alain Decaux" de la Francophonie dans les mentions spéciales (moins de 18 ans).

La nouvelliste sera accompagnée par le Griot Yahya Diebate, qui joue de la Kora, instrument qui ressemble à une harpe à 21 cordes, poursuit le communiqué.

LE MATIN – 29/08/14

«Frida, nature vivante» s’invite à Rabat En marge de l’exposition «Complicités : Frida et Diego» qui aura lieu du 5 au 30 septembre prochain à la Villa des arts de Rabat, le film «Frida, nature vivante» sera projeté. Organisée par la Fondation ONA et l’ambassade du Mexique, la projection de ce film est prévue le vendredi 5 septembre à 19 h au même endroit.

Le film «Frida, nature vivante» est basé sur l’histoire de Frida Kahlo, tourné dans sa maison réputée par la célèbre «Maison bleue» autrement dit «Casa Azul» convertie en maison-musée de Frida (Casa-Museo de Frida», à Coyoacán, ville mexicaine. Sorti en 1986, ce film de 108 min, réalisé par Paul Leduc, réunit Ofelia Medina, Juan José Gurrola, Alejandro Luna et José Joaquin Blanco. L’histoire de «Frida, nature

vivante» est très touchante. L'an 1954, au Mexique. Frida Kahlo se meurt. Elle a 47 ans. Sur le lit où elle agonise, elle revit les épisodes principaux d'une existence qui n'a pas été tendre, mais dont elle a su faire, à force de courage et de talent, un exemple de dignité. Atteinte de poliomyélite dès l'âge de sept ans, broyée par un tramway quelques années plus tard, un accident dont son corps ne s'est jamais vraiment remis, elle s'appuie sur ces terribles coups du destin pour développer une œuvre artistique d'une rare puissance. Elle se marie avec Diego Rivera, le plus grand peintre de son pays, une authentique force de la nature. Ensemble, Diego et Frida se rangent aux côtés de Léon Trotski dans sa lutte contre le stalinisme... Il s’agit de la vie enflammée de Frida Kahlo : son omniprésence déchirée sur ses toiles, sa relation tumultueuse avec le peintre Diego Rivera. Un portrait qui renonce à la parole pour la puissance évocatrice des images. Cette œuvre a remporté 17 Prix au Mexique et dans d’autres pays. On notera les Prix Ariel du meilleur film, meilleur directeur, meilleure actrice, meilleure édition, meilleure photographie, meilleure ambiance, meilleure performance féminine, meilleure performance masculine et meilleur argument original. Il a raflé d’autres distinctions dans d’autres festivals de cinéma de Bogota, de La Havane, d’Istanbul, les Prix ACE. Le film est également classé parmi les meilleurs films du cinéma mexicain, selon l’avis de 25 critiques et spécialistes. Son auteur, Paul Leduc, est considéré comme l'un des meilleurs réalisateurs dans l’histoire du cinéma mexicain. Après des études d'architecture, une activité de critique et un séjour à l'IDHEC, il réalise quelques courts métrages et s'impose à l'attention par son premier long métrage, «Reed, México Insurgente» (1970), d'après le reportage écrit en 1914 par le journaliste américain John Reed sur ses aventures avec Pancho Villa : réalisé en 16 mm noir et blanc avec un très petit budget, ce modeste film donne cependant une image authentique et très convaincante de l'épopée révolutionnaire. Dans le long métrage documentaire «Etnocidio, notas sobre el Mezquital» (1976), Leduc dénonce l'ethnocide dont sont victimes les Indiens de la vallée du Mezquital de la part des propriétaires terriens et du pouvoir fédéral. Dans «Historias prohibidas de Pulgarcito» (1980), il apporte une précieuse documentation sur le processus révolutionnaire en cours au Salvador. En 1984, il signe «Frida, naturaleza viva», magnifique évocation biographique de Frida Kahlo, peintre surréaliste et compagne de Diego Rivera. «Barroco» (1989) et «Latino Bar» (1991) sont deux films d'une profonde originalité, le premier bâti sur une dérive musicale dans le temps et l'espace, le second privé de dialogues, attentif à l'atmosphère et au climat d'un microcosme social. Dans une même veine, mais avec un propos politique plus virulent, il tourne ensuite «Dollar mambo» (1993).

Fiche technique du film • Titre original : «Frida, naturaleza viva». • Réalisateur : Paul Leduc. • Année : 1986. • Nationalité : mexicain. • Genre : biographique. • Durée : 1 h 48. • Acteurs principaux : Claudio Brook, Lolita Cortes, Juan Jose Gurrola, Max Kerlow, Ziwta Kerlow, Ofelia Medina, Gina Morett, Valentina Leduc Navarro, Salvador Sanchez et Cecilia Toussaint.

AL BAYANE – 02/09/14 – page 14

AUJOURD’HUI LE MAROC – 02/09/14 – page 17

LIBERATION – 03/09/14 – page culture

LE MATIN – 03/09/14 – page 14

LIBERATION – 04/09/14 – page culture

MAP – 05/09/14

Un concert de musique classique mexicaine contemporaine avec les artistes Mercedes Gomez Benet et Gerardo Tamez, se produira, le 19 septembre à la Villa des Arts de Rabat (20h00), après le vernissage de l’exposition inédite de photographies "Complicités : Frida et Diego" et la projection du film "Frida naturaleza viva". Cette manifestation est organisée par la Fondation ONA-Villa des Arts de Rabat et l’ambassade du Mexique au Maroc. Mercedes Gomez, née à Mexico, a suivi des études musicales en 1974 sous la direction de Judith Flores Alatorre au Conservatoire National de Musique, où elle obtient le diplôme d’harpiste de Concert avec mention honorifique. Elle fut l’élève d’Urzula Makureky, des maîtres Marian Shaffer et Marjorie Tyreen à l’Université du Sud de Tennessee, indique-t-on dans un communiqué de la Fondation ONA.

L'artiste Gomez est membre de l’Orchestre Philarmonique de l’Université Autonome du Mexique (OFUNAM), professeur d’harpe au Conservatoire National de Musique et soliste de récitals et de concerts d’harpe seule et de musique de chambre. Elle fut Harpiste de l’Orchestre Symphonique du Palais de Mine de l’Université Nationale Autonome du Mexique durant huit ans. Elle est Fondatrice et membre de l’équipe organisatrice de trois Rencontres d’Etudiants d’Harpe (1991, 1992 et 1993) et de la Première et Seconde Rencontres Latino-américaines de l’Harpe (1993 et 1994) qui ont réuni pour la première fois des compositeurs et des interprètes d’harpes classiques et folkloriques.

Gerardo Tamez, est quant à lui, compositeur et guitariste mexicain. Il a étudié au Conservatoire National de Musique, à l’Ecole Nationale de Musique (Université Nationale Autonome de Mexique), au Centre de Recherches et Etudes Musicales (CIEM) et au "California Institute of The Arts". Il a été membre fondateur du Groupe Los Folkloristas avec lequel il a reçu en 1972 le Prix de la Uni?n de Cronistas de Teatro y M?sica en Radio y Televisi?n. Ses productions incluent musique pour le cinéma, théâtre, dance et télévision. Il est arrangeur pour solistes et groupe de chambre et symphonique comme la Camerata de las Américas, Orcquestra Sinf?nica de Oaxaca, Filarm?nica de Acapulco, entre autres.

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Une exposition unique qui regroupe les principales estampes du peintre Georges Braque, conservées dans la prestigieuse collection de la Fondation Maeght de Saint-Paul de Vence (France), se déroulera du 16 septembre au 03 octobre à la Villa des Arts de Casablanca et du 9 au 22 octobre à la Galerie de l’Institut français de Rabat. Cette exposition est organisée par l’Institut français du Maroc, en partenariat avec la Fondation ONA, indique-t-on dans un communiqué de la Fondation ONA. "Depuis la première eau forte de 1907 d’inspiration cézanienne, en passant par les gravures de l’époque cubiste, jusqu’aux natures mortes et aux grands oiseaux, c’est l’ensemble du parcours d’un des plus importants artistes du XXème siècle que cette exposition de près de 70 œuvres originales permettra de découvrir", indique-t-on de même source. "D’abord engagé dans le sillage des fauves (Matisse, Derain, Friesz), Georges Braque deviendra, avec Pablo Picasso, un des principaux inventeurs du cubisme en bouleversant les lois de l’utilisation de la perspective et de la couleur", poursuit le communiqué. "Mais ce précurseur est aussi le dépositaire de la tradition classique française dont témoigne la série plus tardive des oiseaux, dont deux exemplaires ornent un des plafonds du Musée du Louvre. Deux ans avant sa disparition, une rétrospective lui est consacrée en 1961 par le Musée du Louvre. Il est le premier peintre à être exposé de son vivant dans ce prestigieux musée", souligne le communiqué.

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L’artiste Farid Ghannam donnera un concert acoustique, le 11 septembre, à la villa des arts de Casablanca (20h00), en interprétant un répertoire inédit. Dès son jeune âge, Farid, qui s’initie à la musique Gnaoua, bercé par les drum skills de son oncle qui a joué avec les plus grands, affectionne particulièrement le Gembri qui le faisait vibrer.Cette relation avec les instruments à cordes sera renforcée avec la découverte de la guitare basse, qui deviendra également une passion. Plus tard, Farid devient musicien confirmé dans le genre gnaoui et rejoint deux groupes "Gnawa Click" et "Gawa Fusion". Il deviendra ensuite un bassiste reconnu dans de la scène underground nationale et fondera le groupe Mayara Band, révélation de la scène musicale marocaine, qui vaudra au groupe le premier prix du concours Génération Mawazine 2007, et le premier prix du tremplin l'boulevard 2008, avec un jeu de sonorités funk et jazz tout en gardant la référence Gnawa.

LES ECOS – 05/09/14 – page 22

LIBERATION – 08/09/14 – page culture

AL BAYANE – 08/09/14 – page 14

LE MATIN – 08/09/14 – page 13

AUJOURD’HUI LE MAROC – 09/09/14 – page 21

LE MATIN – 09/09/14 – page 11

AUJOURD’HUI LE MAROC – 10/09/14 – page 20

TELQUEL ONLINE – 10/09/14

Georges Braque exposé à Casablanca et Rabat Georges Braque. Crédit : DR

Par Youssef Roudaby C’est l’une des expositions majeures de la rentrée culturelle. Les principales estampes gravées de Georges Braque seront exposées à Casablanca puis à Rabat. A travers 70 œuvres, l’exposition retrace le parcours de l’évolution de l’un des artistes les plus marquants de l’époque moderne. Georges Braque, considéré comme l’un des précurseurs du cubisme avec Pablo Picasso, s’est illustré dans plusieurs courants artistiques. D’abord en faisant partie des fauves aux côtés d’Henri Matisse et Friesz (entre autres), il remet en question les codes de la couleur et de la perspective en s’essayant au cubisme, avant de bifurquer vers une période beaucoup plus classique, notamment en peignant plusieurs tableaux sur le thème de l’envol dont plusieurs ornent les plafonds du musée du Louvre. En 1961, Georges Braque devient le premier artiste exposé dans ce musée parisien de son vivant avecL’atelier de Braque, une exposition qui fait une rétrospective de l’essentiel de son œuvre. L’exposition passera à la Villa des arts de Casablanca du 16 septembre au 23 octobre prochains avant de s’installer à la galerie de l’institut français de Rabat du 9 au 22 octobre 2014.

LES ECOS – 10/09/14 – page 30

LIBERATION – 11/09/14 – page 19

LIBERATION – 11/09/14 – page culture

AUJOURD’HUI LE MAROC – 11/09/14 – page 19

LE MATIN – 11/09/14 – page 15

L’ECONOMISTE – Du 29/08/14 au 22/09/14 – page « agenda culturel »

TEL QUEL – Du 12 au 18/09/14 – page 56

LA VIE ECO – 12/09/14 – page 57

LE MATIN – 15/09/14 – page 15

LES ECOS – 16/09/14 – page 13

ILLY ON WEB – 16/09/2014

LES CHEFS D’ŒUVRES DE GEORGES BRAQUE A CASABLANCA Par Ghizlaine Tazi C’est ce soir que débute à Casablanca l’exposition des oeuvres de Georges Braque provenant de la collection de la Fondation Maeght. Cet événement d’exception organisé conjointement par la Fondation ONA et l’Institut Français du Maroc offrira au public un voyage onirique dans l’univers d’un des pères fondateurs du cubisme.

Georges Braque, Le Char II, 1953. Lithographie originale en couleurs sur Arches, 50 x 65 cm. Fondation Marguerite et Aimé Maeght Photo Claude Germain ©Archives Fondation Maeght, Saint-Paul de Vence (France) ©ADAGP, Paris 2013 Le fauvisme

Georges Braque découvre les Fauves au Salon d’Automne de 1905. Dans la salle VII du Grand Palais cette année là, les oeuvres d’Henri Matisse! A la fois pures et violentes, les couleurs étaient plus libres. André Gide avait écrit à leurs propos: « Lorsque j’entendais crier devant Matisse : « c’est de la folie ! » j’avais envie de répliquer : « mais non, Monsieur, tout au contraire. C’est un produit de théories. » Tout s’y peut déduire, expliquer ; l’intuition n’y a que faire. Sans doute quand M. Matisse peint le front de cette femme couleur pomme et ce tronc d’arbre rouge franc, il peut nous dire : « c’est parce que… » Oui, raisonnable, cette peinture, et raisonneuse même. » Othon Friesz, élève en 1893 avec Georges Braque chez Charles Lhuillier, à l’Ecole des Beaux-Arts du Havre, exposait également au salon d’Automne de 1905. Ses œuvres avec des aplats de couleurs éclatantes et au dessin nerveux donnaient l’impression de pénétrer dans “une cage aux folles” selon les critiques de l’époque. En 1906, Braque réalise ses premières peintures fauves. Il expose ensuite pour la première fois en mars 1907 au XVIII Salon des Indépendants. Puis, ses peintures séduisent le marchand d’art d’origine allemande Daniel-Henry Kahnweiler, après avoir été refusées au Salon d’Automne de 1908. Son style est résolument novateur, le critique Louis Vauxcelles découvre dans ses œuvres des “cubes”: c’est la naissance du cubisme. Le cubisme Une étroite collaboration naît entre Picasso et Braque dès 1908. Elle devient quasi-quotidienne. En 1912, Braque signe un contrat avec Kahnweiler et il passe l’été avec Picasso à Sorgues. En 1914, Kahnweiller refuse de s’embarquer pour la première guerre mondiale avec l’armée allemande. Déclaré déserteur, il fuit en Suisse. Ses biens sont saisis, y compris sa galerie et les œuvres de Braque. Braque est comme dans un trépas. Bloqué et blessé, il retourne à Sorgues en 1916. Il publie “Pensées et réflexions sur la peinture” dans la revue Nord-Sud. Il signe avec Léone Rosenberg plus tard et expose à la galerie “L’Effort Moderne.” Et il finit par vendre ses toiles bloquées chez Kahnweiler en 1921.

ILLY ON WEB – 16/09/2014

En 1947, Braque a un nouveau marchand: Aimé Maeght. S’en suivent les distinctions et les expositions acclamées par la critique et la classe intellectuelle. Il remporte le Grand Prix de la peinture à la Biennale de Venise de 1948 et Les éditions Maeght publient “Le Cahier de Georges Braque” commencé en 1917. En 1953, il réalise le plafond de la salle Henri II du Louvre et en 1954, il crée les vitraux pour l’église de Varengeville. 2 grandes expositions se suivent en 1960 et 1961. D’abord, son oeuvre graphique est exposée à la Bibliothèque Nationale puis l’exposition “L’atelier de Braque” se déroule au Louvre. En 1963 a lieu l’exposition “Les Bijoux de Braque” au Musée des Arts décoratifs. Il décède le 31 août alors que la collection “Les Bijoux de Braque” est à bord du paquebot France à destination de New York. André Malraux, alors Ministre d’Etat chargé des Affaires culturelles prononce le discours “Oraison funèbre” devant la colonnade du Louvre. Exposition Georges Braque A La Villa des Arts de Casablanca du 16 septembre au 3 octobre 2014. A la galerie de l’Institut Français de Rabat du 9 au 22 octobre 2014

LES ECO – 17/09/14 – page 30

LES ECOS – 13/06/14 – page 29

LIBERATION – 17/09/14 – page culture

AL BAYANE – 18/09/14 – page 14

LE MATIN – 20 et 21/09/14 – page 9