Revue de presse du Mars 2017 Pressespiegel vom 1 März 2017 … · 2018. 11. 12. · che 23 avril, une semaine après Pâ-ques. Et ce jour-là, faisons péter tous les records d'affluence

Revue de presse du 10 Mars 2017

Pressespiegel vom 10. März 2017

Rassegna stampa 10 Marzo 2017

Date: 10.03.2017

Journal de la région de Cossonay 1304 Cossonay-Ville021/ 861 11 61www.journalcossonay.ch

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Réf. Argus: 64563229Coupure Page: 1/2

L'ÉDIT() ET VOUS, QUE PRENDREZ-VOUS EN ENTRÉE ?

C'est plus que jamais le moment desoutenir les joueuses du BBC Cossonay

,

COSSONAY. Un selfie avec les joueuses et le staff de cette équipe du BBC Cossonay évoluant en LNBaprès leur victoire samedi dernier au Pré-aux-Moines.

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Date: 10.03.2017







PASCAL PEllEGRINO,

RÉDACTEUR EN CHEF

ppelleglino@journalcossonayd)

Les joueuses du BBC Cossonayévoluant en LNB ont le vent enpoupe! Samedi passé, au PAM, ellesl'ont emporté 69-47 face à Baden,une équipe contre laquelle elless'étaient inclinée sur le score de 30-47en décembre. Résultat: elles sont entête du classement, à quatre matchsde la fin du championnat. Cette vic-toire signifie aussi que les basketteu-ses sont la quasi-certaines de pren-dre part aux playoffs des 9 avril (àl'extérieur) et 23 avril (à Cossonay).

Et maintenant, pour paraphraserun titre de Gilbert Bécaud, qu'allons-nous faire?

De leur côté Les joueuses vonttout faire pour terminer premièresde leur groupe. Leur prochain matchest ce dimanche 12 mars à Ar-lesheim (BL). Puis, elles joueront àdomicile le 18 mars (à 15h), puis àLonay le 25 mars (à 18h) et enfin le1er avril à 20h au PAM à Cossonaypour l'ultime match de la phase in-termédiaire du groupe 1.

Et nous? Nous, qu'allons-nousfaire et surtout que pouvons-nousfaire? Les soutenir bien sûr! Com-ment? De trois façons, la plus simpleétant la première: se rendre auxmatchsà domicile et les encourager.la présence d'une centaine de per-sonnes dans le public samedi derniera sans aucun doute motivé les joueu-ses. On nous rétorquera que cen'était pas l'affluence record de

l'équipe masculine du BBC Cosso-nay dans les années 1990 (quand lePAM accueillait un millier de spec-tateurs et qu'on devait rajouter deschaises)! Mais on pourrait en toutcas tenter de viser un minimum de200 personnes dans le public pourles deux derniers matchs à domi-cile, soit le samedi 18 mars à 15h etsurtout le samedi ler avril à 20hdans la salle de gymnastique duPré-aux-Moines.

Et si le BBC Cossonay atteint lesplayoffs pour la troisième fois de sonhistoire en LNB (ce qui est quasi ac-quis), alors réservez déjà le diman-che 23 avril, une semaine après Pâ-ques. Et ce jour-là, faisons péter tousles records d'affluence au PAM poursoutenir nos basketteuses!

La deuxième façon de soutenirl'équipe, c'est de participer nom-breux au repas de soutien que leBasket Club de Cossonay organisele samedi 18 mars (apéro dès18h30 et repas à 20h) au Restau-rant du PAM.

Pour ce club, comme pour tantd'autres dans la région, ces repassont un excellent moyen d'obtenirun soutien financier tout en passantune belle soirée. Pour vous inscrireou vous renseigner, appelez le079 735 53 65 ou envoyez un mail à[email protected].

Enfin, pour la troisième façon,j'ai envie de m'adresser plus spécifi-quement aux sponsors potentiels quiliraient ces lignes. Rêvons un peu, çane peut pas faire de mal: si Cossonay

terminait à la première place des

playoffs, l'équipe aurait la possibilitétechnique de monter en LNA. Elle adix jours pour se rétracter. Maiscette montée en ligue nationale Acoûte cher. Le budget de 20'000.- enLNB passerait à 100'000.- en LNA.Et là, bien sûr, à ce jour, seul le rêvepermet d'accéder à ce niveau. Mais,sait-on jamais, si des sponsors ontenvie de rendre ce rêve atteignable,dans le cas d'une victoire du BBC auplayoffs, nous ne pouvons que les en-courager à prendre contact avec leclub.

Quoi qu'il en soit, que les basket-teuses atteignent ou pas le Graal,elles nous donnent de magnifiquesémotions durant cette saison 2016-2017 Et cela, c'est l'essentiel. Jugezplutôt, c'est historique: auparavant,elles n'avaient jamais gagné plus de

six matchs consécutifs. Cette saison,elles ont déjà remporté deux sériesde sept victoires consécutives!

Le sport est une source éternelled'émotion, de détermination et deperpétuel challenge avec soi-même.Pour terminer cet édito, je me sou-viens de ces mots de Nelson Mande-la: «l'éducation est une arme puis-sante pour faire évoluer lesmentalités et transcender les diffé-rences. Et le sport est une sourced'inspiration, de dépassement, detolérance et d'apprentissage du res-pect de- la jeunesse. Ces deux élé-ments participent à créer une socié-té plus juste et fraternelle.»

On en a bien besoin, non?

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COSSONAY Nouvelle victoirepour l'équipe féminine de LNB duBBC Cossonay. Samedi dernier, àdomicile, les Vaudoises l'ont em-porté 69-47 face à Baden. Ce suc-cès (avec un écart de 22 points)leur permet, non seulement d'effa-cer leur défaite lors du match aller(perdu 30 à 47) mais aussi de pren-dre seules la tête du classement.

«Notre première mi-temps aété l'une des plus abouties de la sai-son autant en attaque qu'en dé-fense. En revanche, notre troi-sième quarta été nettement moinsbon. Nous n'avons pas réussi àtrouver les bons placements etavons été trop passifs en défense.Ensuite mes joueuses se sont repri-ses et on a pu faire la différencelors des dix dernières minutes, no-tamment grâce à notre profondeurde banc », confie Fabrice Zwahlen,l'entraineur du BBC Cossonay.

Devant une centaine de specta-teurs, les filles du PAM menaientdéjà 36-19 à la pause mais ont en-suite vu leurs adversaires rédui-rent l'écart à dix points avant d'en-tamer le dernier quart. «Notre

passage en défense de zone vers la28' minute nous a permis de cas-ser leur jeu offensif. En attaque,c'est dans le secteur intérieur quel'on a dominé avec 45 points mar-qués dans la raquette», ajoute lecoach. De plus, les basketteuses denotre région ont réussi à limiterCinzia Ferrari (meneuse de Badenet l'une des meilleures joueuses deLNB) à 15 points. Cela fut l'un despoints clé du match.

C'est la deuxième fois cette sai-son que l'équipe gagne sept mat-ches consécutivement. Cette vic-toire donne à Cossonay deux pointsd'avance au classement sur SionBasket et quatre sur Baden.«A 99%, on est en playoffs. Leweek-end prochain sera décisif etune victoire face à Arlesheim nouspermettrait de faire un grand pasvers la première place. Pour cela,on doit retrouver une qualité dé-fensive pendant tout un match. Ilnous reste un mois pour tra-vailler», conclut Fabrice Zwahlen.Prochain match dimanche 12 marsà Arlesheim (BL) à 14h30.DELPHINE COCHARD

BASKET -NATIONALE B

eut river auxplayoffs

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Le Quotidien de la Côte1260 Nyon 1022/ 994 41 11www.lacote.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 8'041Parution: 5x/semaine





Les chantres du sport-loisir en finaleBASKETBALL La 4e ligue du

BBC Nyon s'est qualifiéepour la finale de la Coupevaudoise. Rendez-vousle 30 avril, à Renens.

«Cette finale représente beau-coup pour l'ensemble de l'équipe,c'est un moment particulier pourcertains d'entre nous qui n'ont ja-mais disputé une finale et pourd'autres qui n'ont plus été en finaledepuis... longtemps!» Michael Cuc-ciniello, alias «Cucci», a la ba-nane. Et pour cause: son équipe,la ligue du BBC Nyon, a signél'exploit de se qualifier pour la fi-nale de la Coupe vaudoise.

L'histoire est belle («cela fait denombreuses années que je suis dansla sphère orange et je crois bien quec'est la première fois qu'une équipede 4e ligue se qualifie pour la finale»).La formation entraînée par Gian-paolo Patelli vit une saison entous points exceptionnelle: invain-cue en championnat (douze vic-toires en autant de matches) eten Coupe, elle vise la promotionen 3e ligue. «Quant à la Coupe, elle

ne représentait pas un objectif Noussavions notre équipe bonne pour la4e ligue, voire l'échelon supérieur,mais nous ne pensions pas pouvoirbattre une équipe de 2E ligue»,ajoute «Cucci», assistant coachet capitaine des Nyonnais, aprèsla victoire contre le LUC, mardien demi-finale.

Pour certainsqui n'ont jamaisdisputé unefinale, c'estparticulier.»MICHAEL CUCCINIELLOCAPITAINE DU BBC NYON, 4E LIGUE

La magie de la Coupe a frappé.Qui compose l'ADN de cette im-probable «dream team»? «Desretraités, rigole Michael Cucci-niello. Plus sérieusement, le motsenior ne convient plus.» L'âge des

quatorze joueurs varie entre 20et 38 ans, certains font partie del'équipe depuis des années, d'au-tres viennent d'arriver; les impé-ratifs familiaux et professionnelsou l'armée se sont mêlés. «Eh oui,les priorités changent dans le vraimonde.»

A Renens, en familleChantre du sport-loisir, la li-

gue du BBC Nyon s'entraîne deuxfois par semaine, voire mêmequ'une fois, lorsque le club évolueà domicile (car les rencontres sedéroulent en plein coeur de la se-maine). «D'aillleurs, se lever un di-manche pour la finale du 30 avrilsera... étrange pour tout le monde»,sourit «Cucci».

L'équipe de Gianpaolo Patelli af-frontera un ténor de 2e ligue. Ellene sera pas la seule à fouler le par-quet de la salle du Léman, à Re-nens, en ce jour de finale. Le clubdu Rocher alignera aussi deux for-mations du mouvement jeunesse,qualifiées pour la finale. «Nousirons en finale en famille, commel'esprit du BBC Nyon!» FLOS

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La Liberté1705 Fribourg026/ 426 44 11www.laliberte.ch






Thomas Jurkovitz défend les couleurs de Villars. En espérant un jour rejoindre son frère Natan en LNA

La même passion que son frère

JEANNE MARMY

Basketball » Grâce à unedeuxième mi-temps à sensunique, Villars s'est imposémercredi soir contre Grasshop-per Zurich (83-65). Les pension-naires du Platy ont pourtantcouru après le score durant lesvingt premières minutes (32-42à la mi-temps). Mais après unhaussement de ton du coachMartin Mihajlovic (une foisn'est pas coutume!) et une dis-cussion dans les vestiaires, Vil-lars est revenu avec une toutautre attitude en deuxième par-tie de match.

«Nous devions arrêter deprendre des tirs précipités etcommencer à pénétrer dans la

raquette. Après quelques

layups réussis en début de troi-sième quart, nous avons prisconfiance et les tirs ont com-mencé à rentrer», analyse lecoach des Villarois.

Blessure à la chevilleThomas Jurkovitz a dû assisterau match depuis le banc detouche, en raison d'une blessureà la cheville à l'entraînement lasemaine passée. Il s'est tout demême échauffé avec ses coéqui-piers : «Je n'ai pas trop mal maisl'entraîneur a préféré me laisserau repos. J'espère pouvoir re-jouer la semaine prochaine(prochain match à Nyon le18 mars, ndlr).» Né en France,Thomas est venu en Suisse avecses parents alors qu'il avait

«Natan estun modèle pourmoi, ça seraitbien de jouerensembleune fois»

Thomas Jurkovitz

deux ans. Il a commencé le bas-ket à l'âge de dix ans à Villarsavant de rejoindre l'Académie.

Depuis deux saisons, il est deretour dans son club formateur:«J'avais besoin de jouer de ma-nière plus décontractée. L'am-biance à Villars est nettementmeilleure qu'à l'Académie. Nos

ThomasJurkovitz»Nos deuxAméricainssont bienintégrés etnous avonsun groupetrès soudé.»Alain Wicht

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La Liberté1705 Fribourg026/ 426 44 11www.laliberte.ch






deux Américains sont bien inté-grés et nous avons un groupetrès soudé. Mais ça me manquequand même un peu de ne plusm'entraîner tous les jours. AVillars, nous n'avons que troisentraînements par semaine»,souligne l'ailier de 20 ans.

Aucune rivalitéThomas, petit frère de Natan,joueur du Fribourg Olympic(7 cm de moins mais tout de

même 1 m 94!), entend biensuivre les traces de son aîné.«Natan est un modèle pour moi,ça serait bien de jouer ensembleune fois. Nous avons déjà jouél'un contre l'autre quand luiétait à Villars et moi à l'Acadé-mie et maintenant c'est lui quiest à Olympic et moi à Villars,c'est dommage!» rigole-t-il.Deux frères et une même pas-sion, de quoi créer de la rivalitéentre eux? «Non, pas du tout!»répond le petit Jurko. «Nousnous soutenons beaucoup.»

Les ambitions de ThomasJurkovitz ne s'arrêtent toutefoispas au basket. Absent en débutde saison, il est parti apprendrel'allemand durant quatre moiset souhaite commencer l'uni-versité en médecine l'année pro-chaine. «Je vais essayer de pas-ser le numerus clausus, et sinonje ferai de l'économie», conclutle Fribourgeois. »

VILLARS - GRASSHOPPER83-65(15-19 17-23 28-9 23-14). Salle duFlaty. 50 spectateurs. Arbitres: Emery etDemierre.Villars: Bugnon 4 points, Sain 5, Rey 11,Holmes 18, Hain 25 ; Schwab 6, Fouda2, Thalmann 0, Teca 0, De Gottrau 12,Currat O.

LE CLASSEMENT

1. Vevey Riviera 18 15 3 1431-1162 302. Nyon 18 13 5 1501-1228 263. Meyrin 18 13 5 1363-1214 264. Pully 18 12 6 1296-1104 245. Villars 18 9 8 1394-1229 206. Grasshopper ZH 19 5 14 1223-1395 107. Académie FR 19 5 14 1118-1464 108. Lugano M23 18 0 18 1005-1535 0

LE CLASSEMENT

1. Vevey Riviera 18 15 3 1431-1162 302. Nyon 18 13 5 1501-1228 263. Meyrin 18 13 5 1363-1214 264. Pully 18 12 6 1296-1104 245. Villars 18 9 8 1394-1229 206. Grasshopper ZH 19 5 14 1223-1395 107. Académie FR 19 5 14 1118-1464 108. Lugano M23 18 0 18 1005-1535 0

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Le Nouvelliste 1950 Sion027/ 329 75 11www.lenouvelliste.ch






: À FINALE DE LA COUPE DE SUISSE 2003

«On étaitune vraieéquipede Coupe»

Le jour le Valais devint

nom du

Le ou le Valais devint

nom du bleu

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Le BBC Monthey a disputé six finalesde Coupe de Suisse. A moins d'un mois de la septième,retour sur la première éditon avec Mathias Fernandez quiinaugure notre série. En 2003, les Valaisans, loin d'être favoris,décrochaient leur premier succès.

IEREMIE MAYORAZ

La première finale sera labonne pour le BBC Monthey,titré le 5 avril 2003 à Sainte-Croix. Devant 3100 spectateurs(guichets fermés), les Chablai-siens surprennent le grand favo-ri Boncourt, avec un succès 84-76. Capitaine de la formationbas-valaisanne, Mathias Fernan-dez s'en souvient comme sic'était hier. Ce jour-là, le meneurvaudois avait inscrit 14 points. Ilraconte.

LE CONTEXTE«Physiquement et technique-

ment, nous étions en dessous deBoncourt, le grand Boncourt del'époque qui était censé faire ledoublé et qui s'entraînait avec unestructure pro, contrairement ànous. Chez nous, les seuls joueurssalariés étaient les deux étrangers(ndlr: Deon George et JamesZimmerman), les autres étaientaux études ou travaillaient à côtédu basket. On était défrayés etpayés en bouteilles Germanier (ri-res). Logiquement, nous n'étionsdonc pas du tout favoris pour cettefinale. Du coup, nous n'avions pasgrand-chose à perdre, au contrairede notre adversaire. La donne étaitassez simple, il fallait mettre da-

vantage d'intensité pour espérerl'emporter.»

LE MATCH«On voulait surprendre Bon-

court d'entrée de partie, ne paslaisser les Jurassiens mettre leurjeu en place. Souvent, le petitPoucet tient une mi-temps etaprès le favori prend le dessus.Cette fois, nous avons tenu bon,notre adversaire n'a jamais trou-vé la parade. De bout en bout, cefut un match serré, ça s'est jouésur des détails. On a passél'épaule à l'arraché, aux tripes.On a joué notre rôle de challengerà fond, en nous appuyant sur no-tre solidarité et notre alchimiepour compenser notre déficittechnique. On était vraiment uneéquipe de Coupe, c'est-à-dire quine lâchait rien, à l'image dejoueurs comme Porchet ou moi.On a toujours été le poil à gratterde nos adversaires.»

SON MATCH«Il fallait que les Suisses s'illus-

trent, on ne pouvait pas que se re-poser sur George et Zimmerman.Je suis allé au bout de moi-même,d'autant plus que nous n'avionspas beaucoup de rotations. Je neretiens pas les points que j'ai mar-qués, mais cette envie de se dépas-ser, une envie qui animait toutel'équipe. Et enfin, tous les effortsque j'avais consentis étaient ré-compensés. Une grande fierté. J'aidû attendre l'avant-dernière sai-

son de ma carrière pour enfingagner un titre. Quand j'étaispetit, je me souviens de finales de

Coupe disputées par Pully, devant5000 personnes à la patinoire desVernets à Genève. Je rêvais d'y par-ticiper une fois, pas de jouer enNBA.»

L'ANECDOTE«On me parle encore de ce bal-

lon que j'ai récupéré après unénorme saut vertical. C'était enfin de match, pour éviter unecontre-attaque ou un retour enzone, je ne sais plus bien. J'ai entout cas sauvé la possession etcela a sans doute eu un effetpsychologique qui a ragaillardil'équipe. Ce saut, c'est une imagequi me reste.»

L'AMBIANCE«Il y avait deux des meilleurs pu-

blics du pays. Je me souviens d'unesalle pleine à craquer, de la cha-leur, d'une ambiance magnifique.C'était la première finale de Mon-

they et donc l'occasion d'écrireune nouvelle page de l'histoire duclub. Le public l'a compris et ajoué son rôle à fond. Depuis deuxsaisons, on montrait de belles cho-ses et les supporters nous sui-vaient de plus en plus. Cette finalea permis d'atteindre un nouveausommet.»

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LE MONTHEY 2017«Cette saison, Monthey est hy-

perfavori partout. Avec son bud-get pharaonique, il a bâti unebelle équipe, dans l'élan de ce quiavait été mis sur pied la saisondernière. Garder l'entraîneur Bav-cevic et certains joueurs fut posi-tif Aujourd'hui, l'équipe possèdele meilleur collectif du pays, c'esttrès agréable à voir jouer. Sans luimettre la pression, je pense que

le BBCM pourrait légitimementêtre déçu s'il ne réalise pas le tri-plé.»

LA FINALE 2017«Une finale de Coupe reste une

finale de Coupe, c'est-à-dire l'évé-nement de l'année dans le basketsuisse. Avec ses émotions à nulleautre pareilles. De mémoire, il n'ya rien de tel que de battre Genèveà Genève (rires). On y était par-venu en 2005 en finale du cham-pionnat. Monthey doit juste fairece qu'il fait si bien d'habitude et çase passera bien, pas besoin de luisouhaiter bonne chance. Je serailà, dans le camp des supportersvalaisans. Qui aurait envie de ra-ter le retour du basket helvétiquedans une salle de 5000 person-nes?»

AMATEURISME

«C'était une autreépoque, on étaitpayés en bouteillesGermanier.»

BBC MONTHEY

DE GENÈVE

8 AVRIL 201718 heures

FINALE 2017

«Monthey doitjuste faire ce qu'ilfait si biend'habitude et çase passera bien.»

MATHIAS FERNANDEZNé le 6 septembre 1972 à CullySituation familiale: divorcé,papa de Titien, 11 ans, et Ella,3 ansProfession: a ouvert à Pullyun studio de coaching physiquedepuis sept ans, préparateurphysique de Pully en LNAféminine, consultant pour SwissBasketball dans la formationdes coachs en préparationphysiqueClubs: formé à Pully, Cossonay

(LNB), Fribourg Olympic,Cossonay (LNA), Pully, Boncourt,Vevey Riviera, BBC Monthey(2001-2005)Ses finales de Coupe:1993 défaite avec Fribourgcontre Bellinzone, 1997 défaiteavec Pully contre Fribourg,2001 défaite avec Rivieracontre Lugano, 2003 victoireavec Monthey contre Boncourt,2004 défaite avec Montheycontre Genève.

BBC MONTHEY

LIONS DE

8 AVRIL 201718 heures

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LNAF PDS BBC TROISTORRENTS

Une nouvelle Américaine, bientôt deuxSuite aux blessures de ses étrangères Devaux et Hajdune Csaszar,l'équipe chablaisienne enregistre l'arrivée de l'Américaine Patricia Bright.

Patricia Bright. DR

La fin de saison approche àgrands pas pour le PdS BBCTroistorrents. Dans une phasede classement sans enjeu, puis-que sans relégation, il ne resteque cinq matchs aux Chablai-siennes avant de clore l'exerciceen cours. L'heure n'est pourtantpas à la relâche. Pas question delaisser filer cette fin de saison.Suite aux blessures de ses deuxétrangères, la Française Mélanie

Devaux et la Hongroise Andrea pour le match de ce week-end.Hajdune Csaszar, le club chor- Les dirigeants se sont égalementgue a décidé de réagir immédia- mis sur la piste d'un deuxièmetement. Il annonce l'arrivée de renfort, lui aussi américain.l'Américaine Patricia Bright, une Une joueuse est attendue enjoueuse intérieure de 1 m 93. début de semaine prochaine.«Mélanie s'est blessée au genoulors du dernier match, elle doit ob-server deux à trois semaines d'ar-rêt. Andrea souffre elle d'une dé-chirure sous le pied et doit attendredix jours avant de retourner chez le

médecin. Sans ces deux joueuses,la fin de saison aurait été trèscompliquée. Nous ne voulionspas prendre cinquante points àchaque rencontre», explique Jean-Michel Rouiller, président duBBC Troistorrents. Patricia Bri-ght, 26 ans, évoluait à NevsehirBektas, 18e du championnatde deuxième division turque(16,4 pts et 10,2 rebonds demoyenne). Elle sera qualifiée

Cette double opération aura évi-demment une influence sur lesfinances du club, comme leconfirme Jean-Michel Rouiller.«Oui, cela va engendrer quelquescoûts supplémentaires, mais rien

d'énorme. De toute façon, il étaithors de question de solder la sai-son, de finir à cinq joueuses. Parrapport aux filles, aux spectateurs,aux sponsors, cela n'aurait pas étécorrect. On pense aussi au pro-chain exercice, on ne veut pas quel'équipe soit touchée morale-ment.» Battu le week-end der-nier par Riva (48-60), Troistor-rents se déplace ce samedi àBellinzone.

LNAF PDS BBC TROISTORRENTS

Patricia Bright. DR

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Date: 10.03.2017

Le Quotidien Jurassien2800 Delémont032/ 421 18 18www.lqj.ch






Un samedi de basket pourles écoles à Porrentruy

Jura Basket organise pour latroisième fois, ce samedi, sur lessites du Banné et de l'Oiselier àPorrentruy, son tournoi desécoles regroupant plus de 40équipes (participant au basketécole). Cette grande fête mobi-lisera 200 joueurs, qui s'affron-teront en mode 3 contre 3, de9 h à 15 h.

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Date: 10.03.2017

Hauptausgabe

20 Minuten Zürich8004 Zürich044/ 248 68 20www.20min.ch






Capela überzeugtBASKETBALL. Clint Capela von den

Houston Rockets musste in der

NBA trotz eines starken Auftrittsals Verlierer vom Feld. Dem Genfergelangen bei der 108:115-Heim-

niederlage gegen Utah 19 Punkte,womit er hinter Superstar JamesHarden (35 Punkte) der zweitbes-te Werfer beim Heimteam war. SAA

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Date: 10.03.2017

Hauptausgabe

Basellandschaftliche Zeitung4410 Liestal061/ 927 26 00www.basellandschaftlichezeitung.ch/






Die Starwings sind ein einziges LazarettBasketball Geht es nachPapierform, so sollten dieStarwings am Sonntagabendals definitiver Playoff-Teilneh-mer feststehen. Dazu brau-chen sie sehr wahrscheinlichaber Schützenhilfe vonCentral Luzern.VON GEORGES KÜNG

Vor Saisonbeginn hatten die Starwingsein 14-Mann-Kader. Man glaubte, end-lich nicht nur eine kompatible Spitze,sondern auch in der Breite konkurrenz-fähig zu sein. Anfang März muss mankonstatieren, dass die beste Deutsch-schweizer Equipe der letzten 15 Jahreein Haufen Elend ist. Vier Akteure - dieJunioren Augusto Carrara und AleksaPavlovic sowie die Zuzüge Patrik Hauri(ehemaliger U-20-Internationaler) undAnthony Thelemarque - fallen seit Mo-naten aus und mussten alle operiertwerden. Rückkehrer Robert Devcickonnte Beruf (Liftmonteur) und Spit-zensport nicht vereinbaren - auch erhat heuer keine einzige Nationalliga-A-Minute (wie Carrara und Thelemarque)bestritten. Teamcaptain Joa Fuchs

(26), der bereits in seiner neunten Sai-son bei den Starwings spielt, erlitt vorWeihnachten einen Bänderriss undkürzlich noch eine Knieverletzung,trotz derer er sich durch die Spielequält. Alessandro Verga (21), ein Eigen-gewächs, der alle U- Nationalmann-schaften durchlaufen hat, fällt mit ei-ner Daumenverletzung aus. Top-ZuzugAlexis Herrmann (vom BC Boncourt) istseit Anfang diesen Jahres zuerst grippe-krank gewesen - und fällt nun mit einerAugenentzündung aus. Björn Schoo,mit 213 Zentimetern der längste Spielerder gesamten Nationalliga A, schlägtsich mit chronischen Rückenschmer-zen herum. Der 35-jährige Deutschespielt stark handicapiert und kann sei-ne Grösse unter den Körben nicht wir-

kungsvoll einsetzen.

Einarmiger SpielmacherUnd als wäre das alles nicht genug,

kommt als letztes Malheur die Daumen-verletzung des amerikanischen Spiel-machers und Topskorers Chris Jonesdazu. Der universalste Basketballer dergesamten Nationalliga A fehlte zwarnur ein Spiel, muss aber nun quasi ein-armig agieren, sodass er nicht mehr je-ner Lenker und Denker ist, als der erdie Basket-Schweiz zu entzücken ver-mochte und als der er vier Mal denvom europäischen Fachportal «euro-basket.com» verliehenen Titel «Playerof the week» gewann. Diese lange Listeverletzter Spieler bedeutet, dass bis aufOctavius Brown, Jones' LandsmannDarell Vinson sowie dem Aargauer Phi-lippe Sager alle Akteure out oder starkeingeschränkt sind. Nur diese drei sindeinigermassen verletzungsfrei.

Schwierigkeiten ja, Krise neinEine Situation, die auch für Cheftrai-

ner Roland Pavloski schwierig ist, wieer erklärt: «Seit Monaten kann ich niemit zehn Mann trainieren. Wir sind ei-ne Handvoll Spieler. Ich muss dosie-ren, weil ich sonst am Spieltag nichteinmal fünf einsatzfähige Akteure hät-te.» Darum will er die 20-Punkte-Nie-derlage beim abgeschlagenen Schluss-licht Winterthur und die letzte 30-Punkte- Abfuhr zu Hause gegen den Ta-bellenvorletzten SAM Massagno nichtals Krise taxiert haben. «Wir sind nichtin einer Krise, aber wir durchleben ei-ne ganz schwierige Phase», so derBirsfelder.

Und zurecht weist Pavloski daraufhin, dass «wir, als wir einigermassen inVollbestand spielen konnten, zweimalgegen Lausanne, Boncourt, Central Lu-zern sowie in Massagno und zu Hausegegen Winterthur gewonnen haben.

Dazu noch gegen das grosse Lugano,das heuer um den Titel spielen wird.»

Zu erwähnen ist noch, dass die Un-

terbaselbieter der einzige Klub sind,der auf Verletzungen und ungenügendeLeistungen der Profispieler nicht re-agieren kann. «Alle anderen zehnTeams haben ihre Profis munter ausge-wechselt, neue Schweizer verpflichtetund sich verstärkt», so Pavloski. Hattenvor Saisonbeginn die beiden Deutsch-schweizer Rivalen Luzern und Winter-thur ein ldeineres Budget, so hat derAktivismus dazu geführt, dass die Star-wings am wenigsten Mittel aufwenden.«Und dennoch sind wir Sechster undkönnen uns bereits an diesem Wochen-ende definitiv für die Playoffs qualifizie-ren. Boncourt oder Massagno wendendas Doppelte auf - und liegen hinteruns», sagt Pavloski.

Damit Platz 6 zementiert werdenkann, müssten die Starwings am Sonn-tagnachmittag gegen Les Lions de Ge-neve siegen. Selbst in Vollbesetzungwäre dies aber ein Husarenstück. Mitdem aktuellen Lazarett ist es de factounmöglich. Die andere Option ist, dassLuzern (nach drei unerwarteten Erfol-gen in Serie) in Monthey verliert. Damithätte das Nervenflattern ein Ende unddas Saisonziel der Starwings wäre be-reits im März übertroffen worden.

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Date: 10.03.2017

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Basellandschaftliche Zeitung4410 Liestal061/ 927 26 00www.basellandschaftlichezeitung.ch/






Joel Fuchs beim Korbleger. ZVGJoöl Fuchs beim Korbleger. ZVG

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Date: 10.03.2017

Basler Zeitung4002 Basel061/ 639 11 11www.baz.ch






BasketballSchlimmer Traum

Birsfelden. Die Spieler und Funktio-näre der Starwings werden sich vor-kommen wie in einem Traum, in einemziemlich schlechten noch dazu. Dakommt es ja oft vor, dass man kurz vordem Ziel an Ort und Stelle tritt, nichtweiterkommt. Nun ja, so ists momen-tan auch beim Baselbieter Basketball-verein. Seit einer gefühlten Ewigkeitbrauchen sie nur noch einen mickrigenSieg für die Playoff-Qualifikation. Dochdieser will nicht gelingen. Und da auchdie direkte Konkurrenz die Frechheitbesitzt, einfach nicht mehr zu verlieren,ist es plötzlich gar nicht mehr so abwe-gig, dass die Starwings die Finalrundedoch noch verpassen. Die Situation istklar: Verliert Luzern am Samstag gegenMonthey oder gewinnen die Starwingsam Sonntag zu Hause gegen Genf,dann ist dieser schlimme, schlimmeTraum endlich vorbei. tmüSonntag, 16 Uhr. NLA, 19. Runde.Starwings-Genf, Sporthalle Birsfelden.

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Date: 10.03.2017

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Berner Zeitung 3001 Bern031/ 330 33 33www.bernerzeitung.ch






CapelaüberzeugtBASKETBALL Clint Capela vonden Houston Rockets musste inder NBA trotz einem starken Auf-tritt als Verlierer vom Feld. DemGenfer Center gelangen bei der108:115-Heimniederlage gegenUtah Jazz 19 Punkte, womit erhinter Superstar James Harden(35 Punkte) der zweitbeste Wer-fer beim Heimteam war. Dazuliess er sich 12 Rebounds notierenund komplettierte damit seinelftes Double-Double in dieserSaison. sda

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Date: 10.03.2017

Der Landbote8401 Winterthur052/ 266 99 00www.landbote.ch






Zu wenigtreffsicherBASKETBALL Wie zuletzt inLuzern und Fribourg war dieTrefferquote des BCW auchgegen Neuenburg zu niedrigfür einen Sieg in der NLA.

Es wurde nichts mit dem drittenHeimsieg in Folge. Nach den Er-folgen über Lausanne und Baselunterlagen die WinterthurerUnion Neuchätel Basket 59:75.Wie schon im Auswärtsspiel ge-lang es dem BCW auch daheimnicht, die freien Distanzwürfevon Neuenburg zu unterbinden.Prompt trafen die Westschweizer9 von 19 Versuchen von der Drei-Punkte-Linie in den Korb.

Auch in Winterthurs Offensivepasste nicht viel zusammen. DerAmerikaner Jordan Downing,normalerweise für 18 Punkte proPartie gut, traf erst in der 25. Mi-nute in den Korb - nach zwölfFehlversuchen... Am Ende stan-den nur 7 Punkte für ihn in derStatistik. Vielleicht wäre es an-ders gekommen, hätte der Win-terthurer Coach Daniel Rasljic

auf Topskorer Rashad Whackzählen können. Doch der sass, an-geschlagen, 40 Minuten nur aufder Bank.

Entscheidung vor der Pause

Der BCW war gut ins Spiel gestar-tet und lag nach 13 Minuten 7:2vorne. Zehn Minuten späterführten immer noch die Gastge-ber (22:21). In der zweiten Hälftedes zweiten Viertels schuf sichNeuchätel aber einen Vorsprungvon einem halben Dutzend Punk-ten, als Winterthur zwei Minutenohne Korb blieb. Die Differenzwuchs nach dem Seitenwechselauf 14 Punkte an. Als sich derBCW etwas steigerte, nützte dasnichts mehr.

Erwähnenswert bei Winter-thur die Leistung von Kevin Mon-teiro (14 Punkte, 5 von 9 getroffe-ne Würfe aus dem Feld) sowie die15 Punkte und 12 Rebounds vonMilton Jennings, erzielt inner-halb von nur 25 Minuten Einsatz-zeit. skl

BC Winterthur: Savon (2), Monteiro (14),Petkovic, Ramirez, Downing (7), Hulliger (3),Southwell (14), Marchand (4), Jennings (15).

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St. Galler Tagblatt 9001 St. Gallen071 227 69 00www.tagblatt.ch






Basketball

Capela überzeugttrotz NiederlageClint Capela von den HoustonRockets musste in der NBA trotzeines starken Auftritts als Verlie-rer vom Feld. Dem Genfer gelan-gen bei der 108:115-Heimnieder-lage gegen die Utah Jazz 19 Punk-te, womit er der zweitbesteWerfer beim Heimteam war.Dazu liess er sich zwölf Reboundsnotieren und komplettierte damitsein elftes Double-Double in die-ser Saison.

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The Watches Magazine1222 Vésenaz/Genève022/ 752 60 12www.thewatchesworld.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Magazines spéc. et de loisirTirage: 4'400Parution: 4x/année





Stolz, Schweizerin zu sein!Sharrnila Berlin

om Chemin des Tourenes bis zum der Jungfrau.vo Loch] bis zum Berner Oberland: Tissot zeigtihren Stolz auf ihre schweizerische Identität bei

jedem ihrer Projekte. Die Marke beweist Tag für Tag ihreLiebe zu dem Land, in dem sie gegründet wurde - nicht nur inihren Uhren, sondern auch durch Partnerschaften mit lokalenUnternehmen.

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Date: 10.03.2017

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Die höchsten Gipfel erobern ist - im wörtlichen wie imübertragenen Sinn-das ehrgeizige Ziel, das sich Tissot gesetzthat. Seit seiner Gründung in Locle im Jahr 1853 und seinemUmzug in den Chemin des Tourelles im Jahr 1907 bewies dasUnternehmen Innovation für Innovation seine Begeisterungfür die Uhrmacherkunst und seine zarte Besessenheit fürpräzise Zeitmessung. Von den goldenen Taschenuhren, dieCharles-Felicien Tissot - der Gründer des Uhrenkontors, derspäter zu der heutigen Manufaktur werden sollte - und seinSohn Charles-Emile im 19. Jahrhundert entwickelten, bis hinzur jüngsten digitalen Kollektion der T-Touch blieb das Strebennach Innovation der Antrieb des Hauses Tissot. Sie gilt alsbedeutendste Volumenmarke der Welt, beschränkt sich jedochlängst nicht auf die Uhrenherstellung: Sie ist ebenfalls imBereich des Sports aktiv, und zwar als offizieller Zeitnehmerund Premiumpartner. Doch was Tissot am liebsten tut, ist alsBotschafter ihres Heimatlandes aufzutreten: der Schweiz.

Destination das Dach EuropasDie Schweiz, die Heimat der Uhrmacherkunst schlechthin,schmiegt sich mit ihren grünen Landschaften und schroffenBergreliefs zwischen die Gebirgszüge des Jura und der Alpen.Und genau hier. im herzen des Berner Oberlands, wurde imJahr 2012 eine Partnerschaft zwischen der Marke aus Locleund der Bahngesellschaft Jungfrau Ra ilway aus der Taufegehoben.

First diff Walk

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Letztere betreibt die Jungfraubahn. eine 1912 in Dienstgestellte Zahnrad-Bahnlinie. die die Kleine Scheidegg mitdem Jungfraujoch verbindet, einem zwischen dem Gipfel desMönch und der Jungfrau gelegenen Pass, der bis auf 3471Meter Ilöhe ansteigt. Die Jungfrau dominiert ihrerseits mitihren 4158 Metern Höhe das Grindelwaldtal - eine Ski- undWanderstation im Kanton Bern - sowie den Thunersee.

Ein atemberaubender SpaziergangAus dieser Faszination für die Schweizer Alpen entstand dasKonzept der Spaziergänge - auf Englisch Waiks. Die ersteAusgabe, Peak Walk by Tissot" getauft, fand im Oktober2014 am Glacier 3000 statt, im Skigebiet Diablerets imKanton Waadt. Während dieses Spaziergangs weihte derExtremsportler und Abenteurer Mike Horn eine 107 Meterlange Hängebrücke ein, die zwei Gipfel verbindet.Die Zweite, First Cliff Walk by Tissot", folgte im September2015. First ist eine Skistation, deren Zentrum das DorfGrindelwald ist und die über die längste Rodelbahn der Weltverfügt. Ein Steg führt um diesen Berg herum und endetan einer Brücke. die in 45 Metern Höhe über die Schluchtgespannt ist.

höhen BasketballIm September 2016 wurde am Jungfraujoch eigens einBasketballfeld errichtet, um ein Match zwischen dem NBA-Star Tony Parker und einem schweizerischen Profiteamzu ermöglichen. Der Spielmacher der San Antonio Sinusabsolvierte unter extremen Wetterbedingungen und großerKälte auf 3454 Metern Ilöhe ein Spiel fünf gegen fünf.

Selbst in einem Sweatshirt und einem gefütterten Anorakglänzte der Markenbotschafter von Tissot durch seinelegendäre Beweglichkeit und Schnelligkeit - sehr zur Freudeeiner Iundertschaft von Journalisten. die aus der ganzen Weltangereist waren.

Eine Uhr, so groß wie ein AbenteuerDie Alpen haben Tissot auch zur Kreation einer Sondereditioninspiriert, die eine Ilornmage an den Gebirgszug ist: dieT-Touch Solar Jungfraubahn. Im Zentrum des Zifferblattserheben sich die Berge Eiger, Mönch et Jungfrau, gezeichnetin verschiedenen Graustufen. An ihrem Fuß sind zwei breitefluoreszierende Zeiger angebracht, wobei der Minutenzeigerin einem rot lackierten Pfeil endet.Die T-Touch Solar Jungfraubahn ist eine Art SchweizerMesser als Uhr. Ihr Gehäuse aus Titan und schwarzem PVD

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hat einen Durchmesser von 45 mm, ist bis 100 Meter Tiefewasserdicht und trägt auf ihrer Rückseite das eingravierteLogo der Jungfraubahn. Es beherbergt ein solarbetriebenesQuarzuhrwerk. das eine Reihe von Funktionen antreibt, die fürAlpinisten und andere Abenteurer nützlich sind :Wetterbericht.Höhenmeter, Kompass. Countdown. Chronograf, doppelterAlarm, zweite Zeitzone oder hundertjähriger Kalender, umnur einige zu nennen.

Ende der Reise und Rückkehr nach Lock.Der Chemin des Tourelles ist auf eine gewisse Art die WiegeTissots. An dieser Adresse wurde im Jahr1907 die Manufakturgegründet. Hier befindet sich noch immer der Firmensitz, dendie Marke mit einer Kollektion von Zeitmessern ehrt, zu derauch das Modell Chemin des Tourelles edition speciale Suissegehört.Auf der Unterseite des Gehäuses. das in einem Durchmesservon 44 oder 32 mm erhältlich und mit einer mit goldenemPVD beschichteten Liinette versehen ist, ist die Darstellungder Helvelia eingraviert, die weibliche Personifizierungdes Schweizer Bundes, bewehrt mit Lanze. Schild undLorbeerkranz sowie umringt von 23 Sternen. Auf der Oberseiteist das versilberte Zifferblatt mit einem Mosaik aus kleinenSchweizer Kreuzen überzogen. Von dem automatischenKaliber Powermatic80 angetrieben, das für eine Gangreservevon 80 Stunden sorgt. ziehen die Stunden-, Minuten- undSekundenzeiger im Zentrum des Zifferblatts ihre Kreise. DasDatum ist in einem Fenster bei 6 Uhr untergebracht.

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Solar JungfraubahnT-Touch Solar jungfrauhahn

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Chemin des TourellesSwitzerland Special Edition

Chemin des TourellesStvitzerland Special Edition

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Date: 09.03.2017

Der Landanzeiger5036 Oberentfelden062/ 737 90 00www.landanzeiger.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 48'706Parution: hebdomadaire





Basketball

BC AKA News - Qualifiziert!

Auch die Bank (hier Katja Wasser) wusste zu glänzen

Die Damen des BC Alte Kanti Aaraustarten mit einem Ausrufezeichen indie Zwischenrunde. Sie besiegen denErzfreund Winterthur überraschenddeutlich und qualifizieren sich vorzei-tig für die Playoffs.

Viele hatten ein umkämpftes Derby er-wartet, wie es diese Saison schon zwei-mal der Fall war. Doch Aarau hatte vonBeginn an andere Pläne. Befeuert durcheinen Blitzstart und eine solide Defen-sive stand es bereits nach zehn Minuten24 zu 13. Danach kämpfte sich Winter-thur zwar leidenschaftlich zurück, fandaber schlicht kein zuverlässiges Mittelgegen die Mauer aus Aarauer Spielerin-nen. Aarau selbst entwickelte gleichzei-tig immer mehr Spielfreude und zogletztlich klar davon. So sehr, dass AarausTrainer Milenko Tomic für die Schluss-minuten seine gesamte Bank einwech-seln konnte, und dafür auch noch mittollen Schlussminuten belohnt wurde.Aarau hat mit diesem 90 zu 63 Sieg ei-nen Playoffplatz auf sicher. Ob es amEnde der dritte oder vierte Rang wird,wird sich noch zeigen müssen. Es bleibt

BiLdlost Künzft also hochspannend! YN

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Date: 09.03.2017

Küsnachter für die Gemeinde Küsnacht8048 Zürich

www.lokalinfo.ch






Die BCKE Wallabiesverlieren unerwartetAm Samstag empfingen die BCKEWallabies die Nachwuchsmannschaftdes SAM Basket Massagno. Die Tessi-ner waren in der Tabelle deutlichschwächer klassiert. Mit einem Sieghätten die Wallabies gute Chancenauf den dritten Rang gehabt.

Doch die Goldküstenmannschaftbegann das Spiel mit ausserordent-lich wenig Energie. Körperlich wardie Heimmannschaft zwar deutlichstärker und offensiv gelang somit ei-niges. Die Gäste spielten aber frechund bestraften die zu langsame Ver-teidigung der Wallabies mit schnellenGegenangriffen.

Aufholjagd reicht nicht ausSo verschafften sie sich rasch eineFührung von über zehn Punkten. DieWallabies konnten den Rückstand niewesentlich reduzieren und knappe

vier Minuten vor Spielende lagen sieimmer noch mit zehn Punkten hin-ten. Defensiv waren die Gastgeberjetzt deutlich aggressiver und konn-ten zahlreiche Ballverluste erzwin-gen. Zusätzlich versenkte Winstonkurz hintereinander drei Wahn-sinns-Dreier, sodass die Wallabies beieiner guten Minute verbleibenderSpielzeit nur noch einen Punkt hintenlagen.

Huber hatte eine gute Chance, umseine Farben in Führung zu bringen,doch der Ball rollte aus dem Ringheraus. Auch zwei weitere Versuchevon Winston, das Spiel auszuglei-chen, verfehlten ihr Ziel. Damit verlo-ren die Wallabies mit 87:95 und ga-ben somit zwei Punkte auf, die sie ei-gentlich fest einkalkuliert hatten.Dennoch finden sie sich noch aufdem vierten Tabellenrang und derdritte bleibt in Reichweite, falls siedie letzten zwei Vorrundenspiele fürsich entscheiden. (e.)

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Date: 08.03.2017

Die Botschaft5312 Döttingen056/ 269 25 25www.botschaft.ch






Capela und Sefoloshamit NiederlagenClint Capela und Thabo Sefo-losha erlitten ih der NBA mitihren Mannschaften Niederlagen- allerdings gegen die beidenTopteams der Liga.

BASKETBALL - Ilouston Rockets mitCapela verloren bei den San AntonioSpurs 110:112. Es war eine ärgerlicheNiederlage für dis; Gäste. Nach dem 8:7lagen sie bis zum 71:71 in der viertletz-ten Minute des dritten Viertels stets vor-ne. Sechs Minuten zuvor hatten die Ro-ckets noch 62:49 geführt. Der maximaleVorsprung betrug 16 Punkte. Im Schluss-abschnitt stand es zwischenzeitlich 98:91für Houston und 39,7 Sekunden vor demEnde 108:107. Danach gelangen denSpurs fünf Punktc in Serie zum 112:108- allesamt durch tawhi Leonard, der 39Zähler totalisierte

Fast wieder ein Double-Doublevon Capela

Bei Houston verzeichnete James Hardenebenfalls 39 Punkte. Capela kam wäh-rend beinahe 25 Minuten Einsatzzeit auf

zwölf Punkte und neun Rebounds. Der22-jährige Genfer brachte sechs seinerelf Abschlüsse im Korb unter. Es war fürdie Rockets, die immer noch das drittbes-te Team der Liga sind, die dritte Nieder-lage in den letzten elf Spielen.

Fünf Punkte von Sefolosha

Sefolosha erlitt mit den Atlanta Hawkseine 111:119-Heimniederlage gegen dieGolden State Warriors, die Nummer 1 inder NBA. Auch die Hawks hatten langeZeit die Vorteile auf ihrer Seite. Nach dem8:7 führten sie stets bis zum 66:66 zu Be-ginn des dritten Viertels, einmal gar mit15 Punkten (52:37). Nach dem 69:70 leg-ten die Warriors einen Zwischenspurt zum87:76 hin, worauf Atlanta nur noch einmalbis auf einen Punkt (93:94) herankam. Se-folosha musste sich bei der dritten Nieder-lage der Hawks in Serie mit fünf Punktenund vier Rebounds begnügen. Mit einerBilanz von 34:29 Siegen befindet sich At-lanta als Fünfter der Eastern Conferencenach wie vor auf Playoff -Kurs.

Die Partie zwischen den MinnesotaTimberwolves und den Portland TrailBlazers wurde wegen Kondenswasserauf dem Parkett verschoben.

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Date: 08.03.2017

Frauenfelder Woche8501 Frauenfeld052/ 720 88 80www.frauenfelderwoche.ch






Gute Leistung belohntDie 1.-Liga-Basketballerinnen desCVJM Frauenfeld gewinnen zu Hausedank guter Teamleistung gegen Divacmit 75:54 (55:35). Die Taktik lauteteAusblocken und die Center im Augebehalten. Mehr als ein Drittel der er-zielten Punkte wurden durch Center-Spielerinnen erzwungen (21 Punktedurch G. Morbioli) bis zum 37:22.Im selben Rhythmus ging es in derzweiten Halbzeit weiter. Mit einer soli-den, gemeinsamen Defensivleistung,konnte man dem Gegner den Zug zumKorb verweigern. Im Gegensatz zumletzten Match gegen Divac lieferten dieFrauenfelderinnen schönes Team-Bas-ketball und holten sich den Sieg nochrecht deutlich. bf)

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Date: 10.03.2017

Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch






III Basket in carrozzina Cihanno provato, i Ticino Bulls,ma gara-1 delle semifinali deiplayoff di LNA ha sorriso alleAquile di Meyrin (61-50). Ora iticinesi attendono gara-2, il 18marzo alle 18.00 al Ciossetto diSementina.

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Revue de presse du Mars 2017 Pressespiegel vom 1 März 2017 … · 2018. 11. 12. · che 23 avril, une semaine après Pâ-ques. Et ce jour-là, faisons péter tous les records d'affluence