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Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

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Maurice GrevisseGrammairien, 1895 –1980Auteur du BON USAGE et de nombreux ouvrages destinés à l’apprentissage de la langue française.

Dans la même collection GREVISSE LANGUE FRANÇAISELe français correct Guide pratique des difficultés Maurice GrevisseMichèle Lenoble-Pinson

L’accord de l’adjectif Règles, exercices et corrigésHenri Briet

L’accord du verbe Règles, exercices et corrigésHenri Briet

À PARAÎTREExercices de grammaire françaiseL’accord du participe passéL’oral et l’écritLa ponctuation

Apprenez, vérifiez, explorez et entraînez-vous !

Apprenez, vérifiez, explorez et entraînez-vous !• Une série d’ouvrages pratiques, rigoureux et attrayants.• À garder à portée de main pour répondre à toutes les questions de langue au quotidien. • Dans la filiation du BON USAGE de Maurice Grevisse et André Goosse.

32e édition revue par Marc Lits

Maurice Grevisse1895 – 1980Docteur en philosophie et lettres, grammairien et professeur, Maurice Grevisse a consacré toute sa vie à la langue française et à l’observation de son évolution. Dans LE BON USAGE, comme dans ses autres ouvrages à visée pédagogique, il a toujours allié une grande rigueur d’analyse à la clarté d’un exposé nuancé.

Marc LitsDocteur en philosophie et lettres, Marc Lits est professeur à l’École de Journalisme de Louvain et directeur de l’Observatoire du récit médiatique (Université catholique de Louvain). Il assure depuis 1995 une mise à jour du PETIT GREVISSE dans l’esprit de son auteur, toujours à l’affût de l’évolution de la langue.

Référence inégalée, Le petit Grevisse propose :• les règles grammaticales, dans une présentation complète, claire et nuancée ;• de très nombreux exemples, classiques et actuels ;• les dernières évolutions de la langue (nouvelle orthographe, féminisation des noms, etc.) ;• deux index détaillés (index alphabétique et index thématique des questions les plus fréquentes).

LA grammaire, classique et contemporaine, destinée à toute personne pour qui le bon usage de la langue française est une nécessité et un plaisir !

PGISBN 978-2-8011-0087-5

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© De Boeck Supérieur s.a., 2009 32e édition Fond Jean Pâques, 4 – B-1348 Louvain-la-Neuve 6e tirage 2015

Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de l’éditeur, de reproduire (notamment par

photocopie) partiellement ou totalement le présent ouvrage, de le stocker dans une banque de données ou de le communiquer au public, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit.

Imprimé en Italie Dépôt légal : Bibliothèque royale de Belgique, Bruxelles : 2009/0035/006 ISBN 978-2-8011-0087-5

Pour toute information sur notre fonds et les nouveautés dans votre domaine de spécialisation, consultez notre site web: www.deboecksuperieur.com

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En 1939, Maurice Grevisse publiait le Précis de grammaire française, trois ans après la première édition du Bon usage. Le succès de ce manuel, dans le monde entier, auprès de plusieurs générations d’élèves comme d’innom-brables adultes soucieux de vérifier leur bon usage de la langue, est dû à la clarté de son exposé (les termes « clairement » et « clair » sont tous deux présents dans le court avertissement de quinze lignes qui ouvre le volume), à la présentation systématique des différentes parties du discours, à l’ex-posé exhaustif des règles régissant l’organisation des phrases simples et des propositions subordonnées, à la somme des exemples illustrant chaque cas présenté. Ce succès considérable amena le grammairien à remanier sans relâche son ouvrage. Sans cesse, Maurice Grevisse recherchait des exemples nouveaux dans la fréquentation des grands auteurs français, il se tenait aussi à l’affût de l’évolution de la langue et des recherches des linguistes, pour améliorer ses ouvrages de référence. Presque chaque année, il prépa-rait ainsi une nouvelle édition, revue et améliorée, de son Précis.

Les années passant, on aurait pu craindre que ce travail de description des règles de fonctionnement de la langue apparût dépassé. Il n’en est rien. Malgré l’évolution, lente et progressive, de la langue française, malgré le développement de nouvelles théories grammaticales, malgré les proposi-tions, en France, au Québec, en Suisse ou en Belgique, de modifications de certaines règles orthographiques ou morphologiques, le Précis est resté un ouvrage de référence partout reconnu et apprécié.

Néanmoins, comme tous les grands monuments de notre patrimoine culturel, il requiert de temps à autre quelques travaux d’aménagement pour conserver l’éclat de sa jeunesse. Comme Maurice Grevisse nous a quittés en 1980, d’autres ont voulu poursuivre ce travail permanent d’actualisation, en écoutant les conseils du poète haïtien René Depestre :

Avant-propos

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Le petit Grevisse

De temps à autre il est bon et juste de conduire à la rivière la langue française et de lui frotter le corps avec des herbes parfumées qui poussent en amont de mes vertiges d’ancien nègre marron

Ce beau travail me fait avancer à cheval sur la grammaire de notre Maurice Grevisse la poésie y reprend du poil de la bête (…).

La trentième édition, en 1995, a été l’occasion d’une refonte complète de l’ouvrage, tout en respectant la logique d’ensemble de la grammaire, ainsi que la terminologie retenue par M. Grevisse. En effet, contrairement à ce que l’on pourrait croire, une relecture attentive, ligne à ligne, du Précis de 1939 (ou plus exactement de sa vingt-huitième édition revue de 1969) n’a guère entraîné de modifications fondamentales dans les descriptions lin-guistiques. Pour une double raison : d’abord, parce que la langue, dans sa structure et son usage, évolue lentement ; ensuite, parce que le système descriptif choisi par le grammairien est à la fois cohérent et plus nuancé qu’une lecture superficielle (et parfois caricaturale) ne le laisse croire. Cette refonte a d’ailleurs été réalisée en plein accord avec les principes et les règles présentés et discutés de manière exhaustive dans le Bon Usage. Le présent volume propose ainsi des renvois systématiques aux paragraphes de la quatorzième édition du Bon Usage, afin que le lecteur puisse y retrouver très aisément des développements plus importants, des exemples plus nom-breux, des particularités qui n’ont pu être retenues dans ce manuel néces-sairement plus succinct.

Le découpage des parties reste donc identique aux éditions précédentes. Les modifications de présentation sont essentiellement d’ordre visuel, afin d’assurer un meilleur confort de lecture et une subdivision mieux articulée des différentes parties de chapitres. Par contre, les exemples sont très sou-vent renouvelés. Ceux qu’avait retenus M. Grevisse reflétaient les idées de son temps et étaient souvent choisis parmi les auteurs de son époque. Depuis lors, les modes de vie ont continué à évoluer, de nouveaux auteurs sont apparus, la francophonie s’est ouverte à de plus larges horizons. Il est donc opportun de tenir compte de cette évolution pour montrer combien des règles ancestrales continuent à régir la langue la plus actuelle, mais avec des accents renouvelés.

Il est, par exemple, un lieu de changement plus rapide que celui de la syn-taxe, c’est le lexique. Si les propositions subordonnées ont peu changé (l’étiquetage en a été modifié par les linguistes, mais non la structure

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Avant-proposLe petit Grevisse

dans son usage réel), les mots qu’elles contiennent vieillissent plus vite ou se transforment. Pour deux raisons, parce que la néologie est une force vive de l’usage, et parce que la législation vient aider à modifier les règles du jeu. Présenter comme exemples de néologisme les termes « pénicilline, télévision, autoroute » semble aujourd’hui assez cocasse pour des élèves nés bien après l’apparition de ces inventions. De même, « U.R.S.S. » est un acronyme dépassé par les évolutions géopolitiques. Mais les phénomènes linguistiques perdurent, et il n’est guère difficile de trouver de nouvelles occurrences, comme « informaticien », « vidéothèque » ou « sida ».

Par contre, ce que M. Grevisse n’avait pas prévu, c’est l’interventionnisme législatif répété dans le champ linguistique. Comme à l’époque de Richelieu, les États veulent aujourd’hui imprimer leur marque dans l’évolution de la langue, sanctionner des usages en émergence ou favoriser des évolutions socio-linguistiques. C’est ainsi que, ces dernières années, plusieurs pays francophones ont légiféré pour normaliser certaines incohérences orthogra-phiques ou reconnaître la féminisation des titres, grades et fonctions. Là, le pouvoir politique use de tout son poids pour accélérer des évolutions, ce que le grammairien qui travaille dans le long terme ne pouvait imaginer. Il faut désormais prendre cela en compte.

L’alphabet phonétique international est ainsi introduit pour faire appa-raître plus clairement les remarques liées à la prononciation, et relever quelques usages spécifiques à l’oral, dimension à laquelle le Précis accor-dait peu de place. Dans les appendices, une première partie présente précisément les nombreuses variations qui existent dans la langue fran-çaise, comme dans toutes les langues. Les principales d’entre elles sont liées aux usages différents dans les pratiques orales et écrites. Mais ces variations sont aussi dues aux situations spécifiques de communication présentes dans des communautés linguistiques constituées selon des cri-tères géographiques, culturels, sociaux très disparates. Il y a dès lors de nombreux registres de langue, liés aux contextes multiples dans lesquels celle-ci est utilisée. Ensuite, les rectifications orthographiques publiées par le Journal officiel de la République française du 6 décembre 1990, ainsi que les règles de féminisation des noms édictées par diverses ins-tances législatives, sont reproduites en fin d’ouvrage, et parfois signalées en notes de bas de page.

Ainsi, cette nouvelle édition de la grammaire veut à la fois rester fidèle à l’esprit qui présida à sa confection (c’est pourquoi elle reprend le nom du créateur dans son nouveau titre), et tenir compte des évolutions de la langue, en n’oubliant jamais qu’une grammaire est bien sûr un outil descriptif de la langue et de ses usages, mais qu’elle véhicule aussi une certaine conception du monde, des valeurs, une image de la littéra-ture. Aujourd’hui, la littérature francophone ne se limite plus aux auteurs

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Le petit Grevisse

français , et Paris n’est plus la seule référence. Une place est donc ouverte, dans les exemples, aux auteurs belges, suisses, québécois, antillais, algé-riens, sénégalais… Une place aussi pour l’essai, l’aphorisme, le théâtre, voire le roman policier. Place encore aux écrivains féminins. Mais en jouant cette carte du métissage francophone, il faut se garder de ne retenir que certains effets de mode qui affectent les parlers contemporains. Il ne s’agit pas de courir derrière la dernière nouveauté, pour coller à l’actua-lité, mais d’intégrer les évolutions de la langue française qui semblent bien installées dans l’usage collectif, de faire place à la trace qu’en don-nent aussi les auteurs francophones attentifs à promouvoir cette langue à travers leur création.

C’est en cela qu’une grammaire reste toujours indispensable pour prendre acte de l’état de la langue et de ses règles de fonctionnement, même quand certains pensent que la maîtrise de la grammaire et de l’orthographe n’est qu’un luxe périmé ou une contrainte dont on peut se passer sans dommage. Pourtant, si les règles élémentaires de l’orthographe semblent pouvoir être ignorées pour envoyer un bref message via un téléphone portable, il ne faut pas oublier que les logiciels qui permettent de composer le mot adéquat au départ de la pression des touches numériques ont dû intégrer la totalité du vocabulaire français, en respectant scrupuleusement toutes ses spécificités orthographiques. De la même manière, pour trouver une référence sur un site web, le serveur ne pourra être contacté s’il y a la moindre faute dans l’adresse composée. Dans ce simple geste, la maîtrise de l’orthographe doit être parfaite. Le lexique évolue, de nouveaux idiomes surgissent, au sein de groupes de jeunes, via des modes musicales, dans certaines zones où des sous-groupes se reconnaissent entre eux par l’usage d’un langage spé-cifique. Mais à chaque fois, si l’invention lexicale et syntaxique est grande, il s’agit de maîtriser les règles forgées en commun pour attester de son appartenance au groupe. Toute communication suppose la connaissance et la maîtrise des règles linguistiques pour participer à l’échange. Aujourd’hui comme hier. Avec cet avantage que l’accès aux sources de référence est désormais bien plus facile pour chacun. En cas d’hésitation sur le sens précis d’un mot, il n’est plus nécessaire de disposer d’un dictionnaire en dix volumes dans sa bibliothèque, tout internaute peut consulter en ligne le Trésor de la langue française informatisé, qui fait autorité en matière de lexicologie 1. D’autres ressources linguistiques sont encore disponibles sur Internet, de la part d’organismes officiels, comme l’Académie française 2 ou

1. À l’adresse suivante : http://atilf.atilf.fr. On peut trouver ailleurs, sur Internet, d’autres types de diction-naires, par exemple, à l’adresse http://www.dicorama.com.

2. À l’adresse http://www.academie-francaise.fr. On y trouve à la fois une version en ligne du Dictionnaire de l’Académie française et des remarques nombreuses sur l’usage de la langue.

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Avant-proposLe petit Grevisse

la Délégation générale à la langue française et aux langues de France 1, ou d’amoureux de la langue française. C’est le signe que celle-ci reste un outil de communication extrêmement dynamique. Apprendre à la maîtriser au mieux, sans dogmatisme, mais avec rigueur, c’est bien l’enjeu d’un manuel de grammaire aujourd’hui. C’est dans ce cadre de référence foisonnant que veut résolument s’inscrire cette nouvelle édition revue du Précis de gram-maire française, désormais intitulé le Petit Grevisse, en hommage à son créateur, et dans un souci affirmé de rappeler sa volonté de proposer un outil directement accessible et utile à tous.

Maurice Grevisse, dans l’avertissement qui ouvrait son Précis, avançait comme premier objectif, celui de s’efforcer « de présenter clairement la matière ». Nous pensons, dans cette trente-deuxième édition, être resté fidèle à ce souhait, en ayant amélioré la lisibilité de l’ouvrage, tenu compte de quelques évolutions de la langue et modernisé le choix des exemples, dans le droit fil de l’observation et de la description du « bon usage » d’aujourd’hui.

Marc LITS

2009

1. À l’adresse http://www.culture.gouv.fr:80/culture/dglf/garde.htm. On trouve aussi des sites de défen-seurs de la langue française (par exemple à l’adresse http://www.langue-fr.net) qui proposent de nombreux outils de travail (dictionnaires, règles et exercices d’orthographe, dossiers pédagogiques sur la langue fran-çaise…) et des liens vers des sites spécialisés dans l’une ou l’autre question linguistique.

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1 L’homme exprime principalement ses idées, ses sentiments, ses volontés et ses sensations par la parole, et c’est le langage parlé, ou par l’écriture, et c’est le langage écrit. Le langage est un outil de communica-tion privilégié pour entrer en contact avec les autres. Il a donc deux fonc-tions essentielles : l’expression et la communication ¹ (Bu § 3).

C’est par phrases que nous pensons et que nous parlons ; la phrase est un assemblage organisé logiquement et grammaticalement pour exprimer un sens complet ; elle est la véritable unité linguistique.

Le langage est constitué de sons qui permettent de former des mots, les-quels sont donc un assemblage de sons porteurs de signification.

Le langage écrit représente les sons au moyen d’un système de signes ou caractères appelés lettres. Mais il faut se garder de confondre les lettres et les sons. Par exemple, le mot eau contient trois lettres mais un seul son. Ces sons s’appellent des phonèmes.

2 La grammaire (ou linguistique) est l’étude systématique des élé-ments constitutifs d’une langue. Elle comprend :1o la phonétique ou science des sons du langage, des phonèmes ;2o la lexicologie ou science des mots, elle étudie le lexique ;3o la morphologie ou science des diverses formes que certains mots sont

susceptibles d’utiliser ;

1. Le lecteur trouvera régulièrement des renvois à la quatorzième édition du Bon Usage de Maurice Grevisse et André Goosse (De Boeck-Duculot, 2008). Il pourra ainsi découvrir des développements plus importants des notions présentées ici, ou d’autres exemples. Ces renvois sont signalés par le symbole Bu ; ils indiquent les numéros des paragraphes auxquels le lecteur peut se référer.

Notions préliminaires

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Le petit Grevisse

4o la syntaxe ou ensemble des règles qui concernent le rôle et les relations des mots dans la phrase (Bu § 5) 1.

R emarqueÀ ces secteurs de base peuvent s’ajouter :a) la prononciation ou manière d’articuler les mots ;b) l’orthographe ou ensemble des règles permettant d’écrire correctement

les mots ;c) l’étymologie, qui étudie l’origine des mots ;d) la sémantique, qui est la science des significations des mots.

1. Dans le présent ouvrage, on a choisi d’étudier conjointement la morphologie et la syntaxe des parties du discours. D’autre part, il a paru bon de placer l’étude de la phrase et de la proposition avant celle des diverses espèces de mots : la connaissance de certaines variations morphologiques des mots suppose, en effet, celle de leurs relations dans la proposition.

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Partie 1

Les éléments de la langue

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Partie 1 Les éléments de la langue

A Les sons 15

B Les signes 20

C La prononciation 23

D Les mots 27

A Les sons

1. Sons et syllabes

3 Les sons du langage ou phonèmes sont des émissions d’air produites par l’appareil phonateur (ou vocal).Les principaux organes de la phonation (ou émission vocale) sont : les pou-mons ; le larynx, sorte d’entonnoir cartilagineux, au travers duquel se tendent, bordant une fente appelée glotte, les deux paires de cordes vocales ; le pha-rynx (arrière-bouche) ; le voile du palais (le petit appendice charnu qui pend au milieu, à l’entrée du gosier, est la luette) ; la langue ; les lèvres (Bu § 16).

L’ensemble des mouvements qui règlent la disposition des organes vocaux sur le passage du souffle expiratoire s’appelle articulation. La base d’articu-lation est la position des organes vocaux à l’état d’indifférence (donc pen-dant le silence avec respiration normale).

4 Une syllabe est un son ou un groupe de sons que l’on prononce par une seule émission de voix : Eau, mi-di, é-lé-phant (Bu § 19).

5 Les sons se divisent en voyelles et consonnes.L’Association phonétique internationale a établi un système de transcrip-tion dans lequel chaque phonème est retranscrit par un seul et même signe. La langue française parlée compte ainsi seize voyelles, dix-sept consonnes (plus une, si l’on y intègre le [ŋ] emprunté à l’anglais) et trois semi-voyelles.

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A Les sonsPartie 1 Les éléments de la langue

L’alphabet phonétique international

VOYELLES CONSONNES SEMI-VOYELLES ou SEMI-CONSONNES

[a] date [b] bon [j] yeux

[ɑ] pâte [d] déjà [w] oui

[e] pré [f] fier [ɥ] cuir

[ε] mère [g] gare

[ə] chemin [k] car

[i] cri [l] loup

[o] rose [m] main

[ɔ] note [n] non

[ø] lieu [p] par

[œ] peur [�] rose

[u] trou [s] sol

[y] pur [t] tas

[v] ver

[ɑ] manger [z] zéro

[ε] matin [ʃ] chat

[ɔ] saison [�] jardin

[œ] lundi [�] agneau

[ŋ] smoking

Le double point après une voyelle montre qu’elle est longue : alors [alɔ:�].L’apostrophe devant une voyelle marque la présence d’un h aspiré ou signale qu’il y a un hiatus empêchant la liaison : hum ! [’ym] ; un héros [œ’e�o].Si une lettre est placée entre parenthèses, par exemple l’e dit muet [ə], c’est que le son ainsi désigné peut ne pas être prononcé : fenêtre [f(ə)nεt�(ə)].

2. Les voyelles

6 On appelle voyelles des sons produits par les vibrations des cordes vocales et s’échappant sans avoir été arrêtés nulle part dans le canal vocal (Bu § 22-29).

7 Les voyelles sont orales ou nasales.Elles sont dites orales quand le souffle qui les produit s’échappe unique-ment par la bouche : [a], [ɑ], [e], [ε], [ə], [i], [o], [ɔ], [ø], [œ], [u], [y].Elles sont dites nasales quand le souffle s’échappe par le nez et par la bouche à la fois : [ã], [e], [ɔ], [œ].

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ALes sons

Partie 1 Les éléments de la langue

R emarques1. Dans l’articulation des voyelles, l’ouverture buccale est plus ou moins grande :

les voyelles sont :– ouvertes quand elles s’articulent avec une ouverture buccale plus grande

que pour l’arti culation d’autres voyelles : Mère, note, car, lin, plan ;– fermées quand elles s’articulent avec une ouverture buccale plus petite que

pour l’arti culation d’autres voyelles : Cri, dé, feu, mur, sou, rose.

2. D’après leur durée, les voyelles sont :– longues : Corps, mur, tige, rage ;– brèves : Morte, lu, prix, bac.

3. D’après le point d’articulation (c’est-à-dire la zone du palais en face de laquelle la langue se masse), les voyelles sont :– antérieures, lorsque la langue se masse en avant dans la bouche :

Date, mère, pré, cri, lin, brun ;– postérieures, lorsque la langue se masse en arrière dans la bouche :

Sou, rose, note, pâte, bon, plan.

N.B.L’a qui n’est ni ouvert ni fermé, pour l’articulation duquel la langue est étendue, est une voyelle mixte : Parisien.

4. Pour l’articulation correcte des voyelles (comme aussi pour l’articulation des consonnes), les muscles de l’appareil vocal doivent être tendus avec un effort suffisant pendant toute la durée de l’articulation ; ainsi articulées, les voyelles sont dites tendues ; quand la tension n’est pas suffisante, les voyelles sont relâchées.

5. L’e sourd, demi-ouvert, demi-fermé (sans accent dans l’écriture) s’appelle e muet ou caduc parce que, en certains cas, il tombe dans la prononciation : Gredin, rapp(e)ler, un(e) fenêtr(e).

6. Selon sa place dans la syllabe, une voyelle est :– libre, quand elle termine la syllabe (la syllabe est dite alors ouverte) :

Dé-fi-nir ;– entravée, quand elle ne termine pas la syllabe (la syllabe est dite alors

fermée) : Per-tur-ba-tion.

7. Le timbre d’une voyelle est le caractère propre et distinctif dû à la combinaison de la note fondamentale avec des sons accessoires appelés harmoniques. Tout changement dans la disposition des cavités pulmonaires et bucco-nasales modifie le timbre de la voyelle. En particulier, le timbre varie avec le degré d’ouverture de la bouche : Rose [o] fermé, note [ɔ] ouvert.

8. D’après leur hauteur, c’est-à-dire d’après le degré d’élévation de la voix, les voyelles sont plus ou moins graves ou plus ou moins aiguës.

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A Les sonsPartie 1 Les éléments de la langue

Tableau des voyelles

ANTÉRIEURES POSTÉRIEURES

Fermées Ouvertes Fermées Ouvertes

Orales [i] cri[e] dé

[ø] feu[y] mur

[ε] mère[a] date[œ] leur

[u] sou[o] rose [ɔ] note

[ɑ] pâte

[ə] gredin

Nasales [ε] brin[œ] brun

[ɔ] bon[ɑ] plan

3. Les consonnes

8 Les consonnes sont des bruits de frottement ou d’explosion produits par le souffle qui, portant ou non les vibrations des cordes vocales, ren-contre dans la bouche divers obstacles résultant de la fermeture ou du res-serrement des organes (Bu § 30-34).

R emarques1. D’après la voie d’échappement du souffle, on distingue :

– les consonnes orales : [b], [p], [d], [t], [g], [k], [v], [f], [z], [s], [�], [ʃ], [l], [�] ;– les consonnes nasales : [m], [n], [�] ; (et [ŋ], dans des mots étrangers) ;– l’h « aspiré ». Cette appellation est doublement impropre : 1o parce que,

quand l’h dit aspiré est vraiment un son, il comporte non une aspiration, mais une intensité particulière du souffle expiré ; 2o parce que l’h aspiré n’existe plus comme son en français moderne : c’est un simple signe graphique, qui a pour effet d’empêcher l’élision et la liaison.

Toutefois il se fait parfois entendre réellement dans certaines interjections comme ha ! hé ! holà ! ou encore quand la syllabe initiale d’un mot commençant par un h « aspiré » est frappée d’un accent d’insistance : C’est une honte ! [setyn’ ɔt].

2. D’après le degré d’ouverture ou de fermeture des organes, on distingue :– les consonnes occlusives (ou explosives), qui s’articulent de telle manière

que le souffle, d’abord arrêté par la fermeture complète des organes buccaux s’échappe brusquement : [b], [p], [d], [t], [g], [k] ;

– les consonnes fricatives, dans l’articulation desquelles il y a resserrement des organes buccaux, sans fermeture complète : [v], [f], [z], [s], [�], [ʃ].

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ALes sons

Partie 1 Les éléments de la langue

Les consonnes [s], [z], sont souvent appelées sifflantes ; les consonnes [ʃ], [�], sont souvent appelées chuintantes ;

– la consonne liquide [l], dont l’émission comporte comme un « écoulement » du souffle sur les côtés de la langue ;

– la consonne vibrante [�], dont l’articulation (du moins pour l’r parisien) comporte une vibration du dos de la langue sur le voile du palais. (Dans l’articulation de l’r roulé, c’est la luette qui vibre.)

3. D’après l’endroit où les organes buccaux se touchent, on distingue :– les consonnes labiales (lèvres) : [b], [p], [m], et labio-dentales (lèvres

et dents) : [v], [f] ;– les consonnes dentales (langue et dents) : [d], [t], [z], [s], [l], [n] ;– les consonnes palatales (langue et palais) : [�], [ʃ], [�] ;– les consonnes vélaires (langue et voile du palais) : [g], [k], [R], [ŋ].

4. Les consonnes sont sonores quand le souffle qui les produit est pourvu des vibrations des cordes vocales ; elles sont sourdes quand le souffle qui les produit n’est pas pourvu des vibrations des cordes vocales.

5. Dans la prononciation, une consonne est simple quand elle est produite par une seule émission vocale ; elle est double quand elle fait l’impression d’être émise deux fois de suite ; ainsi [m] se prononce simple dans sommet, mais il se prononce double dans sommité.

6. Il y a trois semi-voyelles ou semi-consonnes (Bu § 35) : [y] (qu’on nomme ué), comme dans lui, juin, fuir ;[w] (qu’on nomme oué), comme dans oui, poids ;[j] (qu’on nomme yod), comme dans pied, yeux.

7. Une diphtongue résulte de l’émission rapide d’une voyelle et d’une semi-voyelle : Œil [œj], yeux [jø].Il y a synérèse lorsque deux voyelles contiguës se fondent, dans la prononciation, en une seule émission : la première voyelle fait alors fonction de semi-voyelle : diamant [djamã]. Les poètes ont souvent recouru à cet usage, pour des raisons de métrique.C’est le duel effrayant de deux spectres d’airain. (V. Hugo)Il y a diérèse lorsque les éléments d’une diphtongue se trouvent dissociés et deviennent deux voyelles autonomes :J’ai su tout ce détail d’un anci-en valet. (P. Corneille)

8. Lorsque deux consonnes se trouvent en contact phonétique, elles tendent à s’assimiler l’une à l’autre.L’assimilation est progressive quand la première consonne impose son caractère à la seconde, quant à la sonorité : subsister (prononcé [sybziste]) ;

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B Les signesPartie 1 Les éléments de la langue

la consonne sonore [b] fait devenir sonore, en la changeant en [z], la consonne [s], sourde par nature.L’assimilation est régressive dans le cas contraire : absent (prononcé [apsɑ]) ; la consonne sourde [s] fait devenir sourde, en la changeant en [p], la consonne [b], sonore par nature.Il y a dissimilation lorsque deux consonnes identiques, se trouvant dans le voisinage l’une de l’autre, se différencient ; ainsi quand le mot latin peregrinum est devenu en français pèlerin, il y a eu dissimilation du premier [R] par le second.

Tableau des consonnes

Labiales Dentales Labiales Dentales

Orales Occlusives sonores sourdes Fricatives sonores sourdes Liquides Semi-voyelles postérieures antérieures

[b] bal[p] pot[v] vol[f] fer

[w] oui[y] nui

[d] dur[t] tir[z] zut[s] sol[l] lac

[�] jour[ʃ] char

[j] yeux

[g] gare[k] col

[�] rat

Nasales [m] mer [n] non [�] digne [ŋ] smoking

B Les signes

1. L’alphabet

9 La langue écrite note les différents sons du français au moyen de vingt-six lettres, dont l’ensemble constitue l’alphabet (Bu § 84-86). Ces lettres sont majuscules (ou capitales) : A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z ;ou minuscules : a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z.

10 Il y a six lettres-voyelles : a, e, i, o, u, y ; les autres lettres sont les lettres-consonnes.

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BLes signes

Partie 1 Les éléments de la langue

R emarquesParce que notre alphabet ne possède pas autant de lettres qu’il y a de phonèmes à représenter, et aussi parce que notre orthographe n’a pas évolué en même temps que la prononciation et qu’en outre, cette orthographe s’est souvent conformée à l’étymologie, il se fait :

1o qu’il faut, pour représenter certains sons, combiner deux lettres : eu pour [ø], ou pour [u], on pour [ɔ], ch pour [ʃ], gn pour [�] ;

2o qu’une même graphie peut représenter des phonèmes différents : Cage, [ka�], cire [siR] ; gare, gène ; nation, partie ; tache, orchestre ; ville, béquille ;

3o qu’un même phonème est, selon les mots, représenté par différentes graphies : [o] dans trône, beau, Saône ; [a] dans cage, femme ; [ε] dans lin, étain, simple, symbole, syntaxe, Reims ; [f] dans faner, phare ; [�] dans joli, geôle.

D’autre part, il arrive souvent qu’une ou plusieurs lettres, disparues dans la prononciation depuis le moyen âge, sont pourtant toujours exigées par l’orthographe : Doigt, tort, vert, lourd.

2. Les signes orthographiques

11 Les signes orthographiques sont : les accents, le tréma, la cédille, l’apostrophe et le trait d’union.

12 Les accentsOn distingue trois sortes d’accents : l’accent aigu (’), l’accent grave (`) et l’accent circonflexe (ˆ) (Bu § 103).

– L’accent aigu se met, en général, sur le e représentant le son [e] non suivi d’un d, d’un f ou d’un z finals :

Vérité, coupés. (Sans accent aigu : pied, clef, chanter, nez, etc.)

– L’accent grave se met :1o Sur le e représentant le son [ε], à la fin d’une syllabe ou devant s

final :Père, procès.

2o Sur a dans deçà, déjà, delà, voilà, holà (mais non dans cela).3o Sur a, u, e, dans certains mots, qui peuvent, par ce moyen, être dis-

tingués d’autres mots, homonymes :à, a ; là, la ; çà, ça ; où, ou ; dès, des.

– L’accent circonflexe se met sur a, e, i, o, u, et indique soit la chute d’une voyelle ou d’un s de l’ancienne orthographe :

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22

B Les signesPartie 1 Les éléments de la langue

Bâtir (autref. bastir), tête (autref. teste), âge (autref. eage) ;soit la prononciation longue de certaines voyelles 1 :

Cône, infâme, extrême.

Parfois l’accent circonflexe sert à distinguer des homonymes :dû (participe passé de devoir), du (article contracté) ;crû (participe passé de croître), cru (participe passé de croire) ;mûr (adjectif), mur (nom).

13 Le tréma (¨) se met sur les voyelles e, i, u, le plus souvent pour indi-quer que, dans la prononciation, elles se séparent de la voyelle qui les pré-cède ou qui les suit (Bu § 105) :

Haïr, aiguë, contiguïté.

14 La cédille (¸) se place sous le c devant a, o, u, pour indiquer que ce c doit être prononcé [s] (Bu § 106) :

Avança, leçon, reçu.

15 L’apostrophe (’) se place en haut et à droite d’une consonne pour marquer l’élision de a, e, i (Bu § 107) :

L’arme, d’abord, s’il pleut.

16 Le trait d’union (-) sert à lier plusieurs mots (Bu § 108-110) : Arc-en-ciel, dit-il, toi-même.

On emploie le trait d’union :1o Dans certains mots composés 2 : Arc-en-ciel, vis-à-vis, après-midi, c’est-

à-dire, porte-clé (mais non portefeuille), etc.2o Entre le verbe et le pronom personnel (ou ce, on) placé après lui :

Dit-il, voit-on, est-ce vrai ?3o Entre le verbe à l’impératif et les pronoms personnels compléments

formant avec lui un seul groupe phonétique, sans la moindre pause possible : Crois-moi, prends-le, dites-le-moi, faites-le-moi savoir. (Mais sans trait d’union : Veuille me suivre, viens me le raconter.)

4o Avant et après le t, consonne euphonique : Répliqua-t-il, chante-t-elle, convainc-t-on ?

1. Les rectifications de l’orthographe française publiées dans le Journal officiel de la République française du 6 décembre 1990 proposent de nouvelles règles pour l’emploi de l’accent circonflexe, dont la suppression de cet accent, sauf pour certaines exceptions, sur les lettres i et u. L’usage du tréma est également modifié. Ces règles sont détaillées plus loin [ voir § 495].

2. Les rectifications de l’orthographe française portent également sur les mots composés [ voir §§ 503, 504, 510] et sur l’écriture des noms de nombre [ voir § 496].

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23

CLa prononciation

Partie 1 Les éléments de la langue

5o Dans les noms de nombre composés, entre les parties qui sont l’une et l’autre moindres que cent 1 : Quatre-vingt-dix-huit, cinq cent vingt-cinq.

6o Devant ci et là joints aux diverses formes du pronom celui ou à un nom précédé d’un adjectif démonstratif : Celui-ci, ceux-là, cette per-sonne-ci, ces choses-là ; et dans les expressions composées où entrent ci et là : Ci-contre, ci-joint, là-haut, jusque-là, par-ci, par-là, etc.

7o Entre le pronom personnel et l’adjectif même : Moi-même, nous-mêmes, etc.

C La prononciation

1. L’accent d’intensité

17 L’accent d’intensité (on dit aussi accent tonique) consiste dans un appui particulier de la voix sur une des syllabes d’un mot ou d’un groupe de mots (Bu § 39). Les syllabes frappées de l’accent d’intensité sont toniques ; les autres sont atones.

Une syllabe est dite protonique quand elle précède immédiatement la syllabe tonique ; elle est dite posttonique quand elle suit immédiatement la syllabe tonique.

18 Accent de mot. Dans les mots français considérés isolément, l’accent d’intensité frappe la dernière syllabe articulée (donc l’avant-dernière syllabe écrite – la pénultième – quand la finale est en -e muet) :

Vérité, sentiment, l’indifférenc(e), les montagn(es),ils désespèr(ent).

Accent de groupe. Dans la phrase, l’accent d’intensité frappe la dernière syllabe articulée, non pas de chaque mot, mais de chaque groupe de mots unis par le sens et prononcés sans aucun repos de la voix (chaque groupe est un seul groupe rythmique) :

Prenez votre livr(e).Comme vous le savez, / je pars demain.Un grand bruit d’homm(es) / et de chevaux / avait succédé / au silenc(e).

1. Les rectifications de l’orthographe française étendent cette règle à toutes les parties des noms de nombre composés [ voir § 496].

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C La prononciationPartie 1 Les éléments de la langue

R emarques1. Les articles, les adjectifs démonstratifs ou possessifs, certains pronoms,

les prépositions, les conjonctions, n’ont pas d’accent d’intensité.

2. Il faut se garder de confondre l’accent d’intensité avec les accents, signes orthographiques [ voir § 12].

3. L’accent d’intensité doit encore être distingué de l’accent d’insistance, qui affecte telle ou telle syllabe prononcée avec une énergie particulière (on l’appelle encore tantôt affectif ou expressif quand il exprime une émotion ou un sentiment subjectif, tantôt intellectuel quand il met en relief le contenu intellectuel de l’énoncé ou souligne un mot jugé essentiel) ; cet accent d’insistance ne supprime pas l’accent d’intensité (Bu § 39b) :

C’est détestable ! C’est un spectacle épouvantable ! N’oubliez pas l’importance du surmoi chez Freud !

4. Ton. Le ton est proprement le degré de hauteur musicale d’un son : tel son est plus ou moins aigu, plus ou moins grave.Dans un sens large, le ton est la manière particulière de parler relativement aux mouvements de la pensée ou des sentiments : une phrase peut être dite sur un ton impérieux, doctoral, badin, doucereux, etc.

5. Intonation. Les sons, associés pour former des mots ou des phrases, se prononcent rarement d’une manière uniforme : l’intensité, la hauteur musicale, la durée des syllabes donnent au débit une intonation particulière (Bu § 40). À ce propos, il faut observer que d’ordinaire la phrase française comporte deux parties : dans la première, qui est ascendante, le ton s’élève progressivement jusqu’à une note qui est la plus haute de la phrase ; dans la seconde, qui est descendante, le ton s’abaisse par degrés jusqu’à une note qui est la plus basse de toutes. Les phrases interrogatives n’ont pas de partie descendante : elles se terminent généralement sur la note la plus haute. Les phrases exclamatives ont le plus souvent une intonation descendante.

2. La liaison

19 Une consonne finale, muette devant un mot isolé, se prononce, dans certains cas, devant la voyelle ou l’h muet initial du mot suivant, et s’ap-puie même si intimement sur ce mot que, pour l’oreille, elle fait corps avec lui plutôt qu’avec le mot auquel elle appartient : c’est ce qui s’appelle faire une liaison (Bu § 41-43) :

Sans ordre, un petit homme.

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CLa prononciation

Partie 1 Les éléments de la langue

R emarques1. Certaines consonnes changent de prononciation dans les liaisons :

s et x se prononcent [z] : pas à pas [pazapa], deux hommes [døzɔm] ; d se prononce [t] : grand effort [gRãtεfɔR] ; g se prononce [k] : sang et eau [sãkeo].

2. La liaison n’a lieu qu’entre des mots unis par le sens, et la moindre pause l’empêche toujours. D’ailleurs, beaucoup de liaisons qui se font dans le discours soutenu ou dans la lecture d’un texte littéraire, ne se font pas dans la conversation ordinaire.

3. L’élision

20 L’élision est la suppression, dans la prononciation, d’une des voyelles finales a, e, i, devant un mot commençant par une voyelle ou un h muet (Bu § 44-45). Les élisions qui se font dans la prononciation ne sont pas toujours mar-quées dans l’écriture :

Faible escorte, il a presque échoué.Quand elles le sont, la voyelle élidée est remplacée par une apostrophe :

L’or, d’abord, l’heure, s’il t’aperçoit.

21 a) L’élision de l’a est marquée par l’apostrophe dans l’article la :L’église, l’heure.et dans le pronom atone la, devant les pronoms en, y, ou devant un verbe :Cette voix, je l’entends. Elle a réussi : je l’en félicite.Elle refuse de partir : je l’y contraindrai.(Mais : Laisse-la entrer, envoie-la ouvrir : ici la est accentué.)

b) L’élision de l’e est marquée par l’apostrophe :1o Dans l’article le :L’aveugle, l’homme.2o Dans les pronoms je, me, te, se, le (atone), devant les pronoms en, y, ou devant un verbe :J’ai, il m’entend, je t’invite, il s’avance, on l’aperçoit, je m’en doute, il s’y perd. (Mais : Fais-le asseoir : ici le est accentué.)3o Dans de, ne, que, jusque, lorsque, puisque, quoique, et dans les locutions conjonctives composées avec que :Fables d’Ésope, il n’a pas, ce qu’on a, qu’on est bien !, je veux qu’il parte, jusqu’ici, lorsqu’il dit.

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C La prononciationPartie 1 Les éléments de la langue

Lorsqu’à des propositions… (Littré). Lorsqu’en 1637… (Acad.).Puisqu’on veut. Quoiqu’un homme soit mortel.Avant qu’il vienne.

4o Dans le pronom ce devant en et devant l’e ou l’a initial d’une forme simple ou composée du verbe être :

C’est, ç’a été, c’eût été, c’en est fait.5o Dans presqu’île, quelqu’un(e). (Mais non dans presque entier, presque

achevé, quelque autre, etc.)6o Dans entre, élément des cinq verbes s’entr’aimer, entr’apercevoir,

s’entr’appeler, s’entr’avertir, s’entr’égorger.Mais sans apostrophe : entre eux, entre amis, entre autres, etc.

R emarqueL’Académie a abandonné, dans les mots suivants, l’apostrophe qui marquait l’élision de l’e final de entre, et a soudé les éléments composants : s’entraccorder, s’entraccuser, entracte, s’entradmirer, entraide, s’entraider, entrouverture, entrouvrir.

c) L’élision de l’i est marquée par l’apostrophe dans la conjonction si devant il(s) :

S’il vient, s’ils viennent.Dis-moi s’il part.

22 L’élision n’a pas lieu devant le nom un (chiffre ou numéro), ni devant oui, huit, huitain, huitaine, huitième, onze, onzième, yacht, yak, yatagan, yole, yucca, ni devant certains noms propres tels que : Yougoslavie, Yémen, Yucatan, etc. :

Il suffit de oui, de non. (V. Hugo)Il me fit signe que oui.Le un, le huit et le onze sont les numéros gagnants de la loterie.

Toutefois on peut dire :Je crois qu’oui. Je lui fis signe qu’oui. (A. France)Je pense qu’oui. (La Bruyère) Il dit qu’oui. (M. de Sévigné)Par un beau soleil d’onze heures. (Ch.-A. Sainte-Beuve)Le bouillon d’onze heures.

Pour ouate, l’usage hésite ; cependant on dit plus souvent l’ouate que la ouate.

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DLes mots

Partie 1 Les éléments de la langue

D Les mots

1. Les parties du discours

23 Les mots du français peuvent être rangés en neuf catégories ou par-ties du discours.

a) Les mots variables

Cinq espèces de mots sont variables :1o Le nom ou substantif, qui sert à désigner, à « nommer » les êtres ou les

choses.2o L’article, qui sert à marquer un sens complètement ou incomplètement

déterminé du nom qu’il précède.3o L’adjectif, qui se joint au nom pour le qualifier ou pour le déterminer.4o Le pronom, qui, en général, représente un nom, un adjectif, une idée,

une proposition.5o Le verbe, qui exprime l’existence, l’action ou l’état.

N .B.– Le nom, l’article, l’adjectif et le pronom varient :

en genre, pour indiquer, en général, le sexe des êtres ;en nombre, pour indiquer qu’il s’agit : soit d’un seul être ou objet, soit de plusieurs êtres ou objets.Les adjectifs possessifs, les pronoms possessifs, les pronoms personnels varient, non seulement en genre et en nombre, mais aussi en personne.

– Le verbe varie :en nombre ;en personne, pour indiquer qu’il s’agit : soit de la personne qui parle : 1re personne, soit de la personne à qui l’on parle : 2e personne, soit de la personne (ou de la chose) dont on parle : 3e personne ;en temps, pour indiquer à quel moment se situe le fait ;en mode, pour indiquer de quelle manière est connue et présentée l’action (ou l’état, ou l’existence).Au participe, le verbe varie quelquefois en genre.

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D Les motsPartie 1 Les éléments de la langue

b) Les mots invariables

Quatre espèces de mots sont invariables :1o L’adverbe, qui modifie un verbe, un adjectif ou un autre adverbe.2o La préposition, qui marque un rapport entre le mot devant lequel elle

est placée et un autre mot.3o La conjonction, qui unit deux mots, deux groupes de mots ou deux

propositions.4o L’interjection, qui marque l’irruption d’un sentiment personnel dans le

discours.

R emarqueIl faut mentionner à part les deux présentatifs voici et voilà, qui servent à annoncer, à présenter [ voir § 431].

2. L’origine des mots

24 Les mots de la langue française proviennent :1o D’un fonds latin. Vers le Ve siècle, les parlers gaulois ont été supplantés

par le latin populaire, qui s’est peu à peu transformé en langue romane, selon des lois dont la principale est celle de la persistance de la syl-labe tonique : bastonem, radicinam, animam, par exemple, ont abouti à bâton, racine, âme (Bu § 6).

2o D’un certain nombre de mots gaulois ou germaniques. Au fonds latin – dans lequel se sont maintenus un petit nombre de mots gaulois – l’inva-sion franque du Ve siècle a mêlé un apport assez considérable de mots germaniques, qui nous ont donné, par exemple : banc, bannière, héron, etc.Les différents dialectes romans formèrent de part et d’autre d’une ligne de démarcation qui irait approximativement de La Rochelle à Grenoble, deux grands domaines linguistiques : au nord, celui de la langue d’oïl, et au sud, celui de la langue d’oc. À partir du XIIe siècle, le francien ou dialecte de l’Île-de-France prit le pas sur les autres dialectes.

3o De différents emprunts faits au latin écrit, au grec, aux dialectes et à diverses langues (Bu § 153-159). 1. Latin. À partir du XIIe siècle, le vocabulaire roman s’est enrichi, par

formation savante, de quantité de mots calqués par les lettrés sur des mots du latin écrit. Mais certains de ces mots avaient déjà été transformés en mots romans par le peuple ; ainsi un même terme latin a pu produire un mot populaire et un mot savant, c’est-à-dire des doublets : navigare a donné nager (mot populaire) et naviguer

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Index

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361

Index

A Index alphabétique 361

B Index thématique 372

A Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.Les termes généraux (par exemple Accents) sont en caractères gras.Les termes particuliers (par exemple Acheter) sont en italiques.

A

À, préposit. (répétit.), 435.– préposit. vide, 48, Rem. 2À lui, à moi (~ signalé etc.), 234, Rem. 1.Abréviation, 32.Accents (signes orthogr.), 12.Accent circonflexe sur dû, mû, etc., 336,

499.– sur les adv. en -ûment, 407, b, Rem., 499.Accent d’insistance, 18, Rem. 3.Accent d’intensité (ou accent tonique),

17.– Accent de mot, 18–– de groupe, 18Accord de l’adjectif, 177.–– composé, 186.–– possessif, 213.– de certains adjectifs, 188.

– des mots de couleur, 185.– du participe passé, 378.– du verbe, 393Accru, 336, Rem.À ce que, 461, 1o, Rem.Acheter, 329.À (la) condition que, 476.Active (voix ~), 293.À demi, 188, b.Adjectifs, 23, a, 3o ; 152.– Accord, 177– Complém. de l’adj., 65.– composés (accord), 186.– Degrés des adjectifs, 172.– démonstratifs, 214.– indéfinis, 217.– interrogat., exclamat., 216, b, c.– numéraux, 199.– possessifs, 206.

Les numéros renvoient aux paragraphes.

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Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.

– pris adverbialement, 187.– qualificatifs, 154.–– Accord, 177.–– Degrés des adjectifs, 172.–– Féminin, 155.–– Place, 197.–– Pluriel, 168.– relatifs, 216, a.Adjectif verbal, 373.Adjective (locution ~), 152.Adverbe, 23, b, 1o ; 404.– Complém. de l’adv., 66. 1o.– Espèces, 406.– d’affirmation, 406, e.– de doute, 406, g.– d’interrogation, 406, g, Rem.– de lieu, 406, d.– de manière, 406, a ; 398.–– en -ment, 407.– de négation, 406, f ; 418.– de quantité (d’intensité), 406, b ; 412.–– sujet, 395.– de temps, 406, c ; 416.– Degrés des adverbes, 408.– Place de l’adverbe, 409.Affirmatives (propos. ~), 73, 1o.Agent (compl. d’ ~), 57.– Subordonnée compl. d’agent, 482.Aïeul (plur.), 114.Aigle, 106, 1°.Ail (plur.), 115.Ainsi que, joignant des sujets, 401.Air (avoir l’~), 183.Alinéa, 93.Allemands (mots ~), 24, 3o, 5.Aller (emploi de l’auxil.), 301, 3o.Aller (semi-auxil.). 300.Alphabet phonétique, 5.Ambassadeur (fém.), 100, Rem. 2.Amour (genre), 106, 2°.Anacoluthe, 78, b.Analogie, 33.Andalou (féminin), 99, 6° ; 160, Rem.Anglais (mots ~) 24, 3o, 5.– Leur pluriel, 130, c.Antécédent, 256.Antonymes, 37.

Apostrophe, 15.– Mots mis en apostrophe, 68, 2o.Apparemment que, 72, Rem.Apposition, 63, e.– avec ou sans article, 151, 4o.– Subordonnée en apposition, 459.Après-midi (plur.), 125.Arabes (mots ~), 24, 3o, 6.Archaïsme, 25, Rem. 1.Arrêter que (mode), 462, Rem. 2.Article, 23, a, 2o ; 134.– contracté, 139.– défini, 136.– élidé, 138.– indéfini, 142.– partitif, 145.– Omission de l’art., 151.– Répétition, 149.Aspects du verbe, 298.Assez de, 218, Rem. 1.Assimilation de consonnes, 8, Rem. 8Astérisque, 92.Atones (syllabes ~), 17.À travers, au travers, 436.Attendu, 381.Attribut, 40 ; 58.– avec ou sans article, 151, 4o.– pron. pers. attribut, 238.– Subordonnée attribut, 457.Attribution (cpl. d’~), 51. N.B.Aucun, adject., 219.– , pronom, 274.Aussi, autant, 412.– Aussi… que pour si… que dans la

subord. d’opposition, 474, Rem. 3.Au travers, 436.Autre (ne explétif après ~), 425.Autre, autre chose (répétés dans la

comparais.), 479, Rem. 3.Autrui, 276.Auxiliaires (verbes ~), 299.– de temps, d’aspect, 300.Avant que (mode), 466, b. Avec (causer ~), 437.– , joignant des sujets, 401.Avoir (conjugais.), 306.– (auxiliaire), 302.

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363

Index

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Avoir l’air, 183.Ayant cause, ayant droit, 126 ; 372, Rem.

B

Bailleur, 100, Rem. 3.Banal (plur.), 170, Rem.Barbarisme, 33, N.B., 2.Barre oblique, 94.Battre, 338.Beau, nouveau, etc., 157, Rem.Beaucoup, 18, Rem. 1 ; 413.– Degrés, 408, Rem.Béni, bénit, 333.Bénin (fémin.), 158, Rem.Bercail, 112.Bétail, 112.Bien (degrés), 83, Rem.Bien de, bien des, 218. Rem. 1Bijou, etc. (plur.), 113.Billion, 202, Rem. 2.Bleu (plur.), 111.But (subord. compl. circ. de ~), 470.

C

Çà, 12, 3o.Çà (pron.), 255, Rem. 2 et 3.Caduc (fém.), 163.Calque, 25.Cantatrice, 100, Rem. 2.Cardinaux (adj. numér. ~), 200.Cause (subord. compl. circ. de ~), 468.Causer à, ~ avec, 437.Ce, adject., 215.– pronom, 251.– sujet, 251 ; 397.Ceci, celui-ci, etc. 254.Cédille, 14.– dans vb. en -cer, 327.Celui, celle(s), ceux, 250.Ce n’est pas que (mode), 469, Rem.Cent, 201Cent et un, 200, Rem. 1.Certain, adj. indéf., 222.Certainement que, 72, Rem. 1.

C’est… qui, c’est… que, 79 ; 252, Rem. 1.Chacun (avec l’adj. possess.), 211.Chanteur (féminin), 100, Rem. 2.Chaque, 221.Charmeur (féminin), 100. Rem. 3.Chasseur (féminin), 100, Rem. 3.Châtain (fém.), 167.Chic (fém.), 167.Ci, 215, Rem. 2.– Ci-annexé, ci-joint, ci-inclus, 382.Ciel (plur.), 116.Ciseau(x), 133.Coi (fém.), 167.Collectif (nom ~), 96, c.– sujet, 395.Combien de, 218, Rem. 1.Comme, joignant des sujets, 401.Comme si, 479, Rem. 2.Comparaison (subord. compl. circ. de ~),

479.Comparatif des adject., 174.– Complém. du comparatif, 65.– Subordonnée compl. de comparatif,

487, Rem. – des adverbes, 408.Complément de l’adj., 65.Complément de l’adv., 66.– du comparatif, 65, N.B.– de la conjonction de subordin., 66.– de l’interjection, 66– de la préposition, 66.– du présentatif, 66.– déterminatif, 63.– du verbe, 47.– d’objet direct, 48.– d’objet indirect, 51.– d’attribution, 51, N.B.– circonstanciel, 55.– d’agent, 57.– Subordonnée compl. d’adj., 487.–– d’agent, 482.–– de nom ou de pronom, 484.–– d’objet, 461.–– circonst., 465.–– de comparatif, 487. Rem.Complet, concret, etc. (fém.), 159.Composition, 28.

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364

Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Concordance des temps, 489.Concret (fém.), 159.Condition (subordonnées de ~), 476.Conditionnel, 294, a, 2o ; 360.Conjonction, 23, b, 3o ; 441.– Liste, 443.– Rapports, 447 ; 449.Conjugaison, 304.– vivante, morte, 305.– Auxiliaires, 306 ; 307.– impersonnelle, 344.– interrogative, 345.– passive, 342.– pronominale, 343.– des vb. intrans. avec être, 313.Consonnes, 8.Contamination, 33.Contester que (mode), 462, Rem. 3.Contraires, 39.Coordination, 75.Copule, 58, Rem. 1 ; 284.Coupure des mots, 38.Coûté, 383.Crochets, 89.Cru (accord), 395.Crû, 336.

D

Davantage, 414.De (répétition), 435.De beaucoup, 413.De, prépos. vide, 48, Rem. 2 ; 63, e, Rem.

3 ; 428, Rem.De, partitif, 147.De ce que, 461, 1o, Rem.De, du, de la, des, avec la négat., 148.Débiteur (féminin), 100, Rem. 2.Décider que (mode), 462, Rem. 2.Décréter que (mode), 462, Rem. 2.Décru, 336, Rem.Défectifs (vb. ~), 348.Défendeur (fém.), 100, Rem. 3.Degrés des adjectifs, 172.– des adv., 408.Délice(s), 106, 3°.

Demandeur (fém.), 100, Rem. 3.Démentir que (mode), 462, Rem. 3.Demi, 188.Démonstratifs (adj. ~), 214.– pronoms ~, 248.Dérivation, 26.Dernier-né, 186, d.Des, partitif, 145.Désobéi (passif), 293, Rem. 2.Des plus, des moins, des mieux, + adjectif,

184.De suite, 416.Déterminants du nom, 63.– du pronom, 64.Déterminatif (subordonnée compl. ~),

485, 1o.Deux points, 86.Deuxième, second, 204, Rem. 1.Devin, devineur (fém.), 100, Rem. 4.Devoir, auxil., 300 ; 477, Rem. 4.– précédé de ce, 251, 2o ; 397, Rem. 4.Dialectes, 24, 3o, 3.Diérèse, 8, Rem. 7.Différents, 222.Dine, 102, note.Diphtongue, 8, Rem. 7.Disconvenir que (mode), 462, Rem. 4.Discours, (parties du ~), 23.Discours direct, indirect, 492.Discret (fém.), 159.Dissimilation de consonnes, 8, Rem. 8.Dissimuler que (mode), 462, Rem. 4.Dit (accord), 385.– Ledit, etc., 377, Rem. 2. Divers, 222.Donné (étant ~), 381, Rem.Donné + infin., 388, Rem. 2.Dont, 284.– avec sortir, etc., 264, Rem. 3.Doublets, 24, 3o, 1.Douter que (mode), 462, Rem. 3.Du, de la, des, partitifs devant un adjectif,

147, Rem.– avec la négat., 148.Dû (accord), 385.Dû, mû, etc. (accent circonfl.), 336.Durant, pendant, 438.

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365

Index

Les numéros renvoient aux paragraphes.

E

e caduc (ou muet), 7, Rem. 5.-e, terminaison de la 1re pers., 314.Élément incident, 75, Rem. 2. N.B.Élision, 20.– de l’article, 138.Ellipse, 69.Empereur (fém.), 100, Rem. 2.Emprunts, faux emprunts, 25.En, pronom, 230 ; 243.– ou le possessif, 212.En, prépos. (répétit.), 435.En attendant que (mode), 467.Enchanteur (fém.), 100, a.Entre (élision), 21, b, 6o.Épithète, 63.– Sa place, 197.Espagnols (mots ~), 24, 3o, 4.Est-ce que, 345, Rem. 2 ; 406, Rem.Et, dans les adject. numér., 200, Rem. 1.Étant donné, 381, Rem.Être (conjug.), 307.– (auxil.), 301.– avec un complém., 299, Rem. 2o.– ayant pour sujet ce, 397. Étymologie, 2, Rem.– populaire, 33.Eu + infinitif, 388, Rem. 2.Excepté, 381.Excepté que, 481, c.Exclamatifs (adj. ~), 216, c.Exclamatives (propos. ~), 73, 4o.Exiger que (mode), 462, Rem. 2.Explétif (mot ~), 68, 3o.– Ne explétif, 422.Explicatif (subordonnée compl. ~), 485, 2o.Exprès (fém.), 160, Rem.

F

Faire, vb. impersonnel, 288, a.– Se faire fort de, 190.Fait + infinitif, 388, Rem. 1.Famille de mots, 34.Faux (fém.), 160.

Favori (fém.), 99, 4° ; 159.Féminin des adj. qualif., 155.–– bas, gras, etc., 160.–– beau, nouveau, etc., 157, Rem.–– en -c, 163.–– en -el, -eil, 157.–– en -er, 161.–– en -eur, 166.–– en -f, 162.–– en -g, 164.–– en -gu, 165.–– en -n, 158.–– en -s ou -x, 160.– des adject. composés, 186.Féminin des noms, 99.–– en -c, 99, 8°.–– en -el, -eau, 99, 1°.–– en -en -on, -in, -an, 99, 2°.–– en -er, 99, 5°.–– en -eur, 100.–– en -f, 99, 7°.–– en -et, 99, 3°.–– en -s, ou -x, 99, 6°. Féminin en -eresse, 100.– en -esse, 101.– en -euse, 100 a.– en -trice, 100, b.– Forme spéciale au fém., 102.– Fém. de radical différent,103.– Même forme aux 2 genres, 104.– Noms sans forme féminine, 105.Féminisation des noms de métier, 516.Feu (adject.), 189.Finales des temps, 320.Flandricismes, 33, N.B., 1.Fleurir, 334.Force gens, 218, Rem. 1.Formation des adv. en -ment, 407.Formation parasynthétique, 28, N.B.Formation populaire, ~ savante, 25.Fort (se faire ~ de), 190.Fou (fém.), 157, Rem.Foudre, 106, 4°.Frais (fém.), 160, Rem.– Fraîche éclose, 186, d.Franc (fém.), 163.Franc de port, 191.

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366

Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Futur antérieur, 295 ; 358.Futur antérieur du passé, 295 ; 359.Futur du passé, 295 ; 359.Futur simple, 295 ; 357.

G

Gallicisme, 33, N.B., 1.Garde, dans les noms composés, 126,

Rem. 2.Garde (prendre ~ que), 423. Rem. 1.Gaulois (mots ~), 24, 2o.Genre des noms, 97.– Noms des deux genres, 106.Gens, 106, 5°.Germaniques (mots ~), 24, 2o.Gérondif, 294, Rem. ; 376, 6o.– Construction, 391.Grammaire, 2.Grand, 192.Grand ouvert, 186, d.Grand-père (trait d’union ; pluriel), 192.Grasseyer, 331, Rem. Grec (fém.), 99, 8° ; 163.Grecs (mots ~), 24 3o, 2.Guillemets, 90.

H

Haïr, 335.Haut la main, 193.Hauteur des voyelles, 6, Rem. 8.Hébreu (fém.), 167.– (plur.), 171.Heureusement que, 72, Rem. 1.Homonymes, 35.Hormis que, 481, c.Hors que, 481, c.Hymne, 106, 6°.

I-J-K

i consonne, 8, Rem. 6.Imparfait, 295 ; 352.– du subjonct. (sa rareté), 491, Rem. 4.

Impératif, 294, a, 3o ; 361.Impersonnels (verbes ~), 288.– accord, 396.Impersonnelle (conjug. ~), 344.Incidente (propos. ~), élément incident,

75, Rem. 2.Incomplet (fém.), 159.Indéfinis (adjectifs ~), 217.– Article indéf., 142.– (pronoms ~), 272.Pron. relat. indéf., 257, N.B. et Rem. 1.Indépendante (propos. ~), 71, 1o.Indépendants (mots ~ dans la propos.),

68.Indicatif, 294, a, 1o ; 350.Indiscret (fém.), 159.Infinitif, 294, b, 1o ; 365.Infinitive (propos. ~), 461, 4o.Inquiet (fém.), 159.Insertion (construction par ~), 75, Rem. 2.Interjection, 23, b, 4o ; 68, 1o ; 450.Interrogatifs (adj. ~), 216, b.– (pronoms ~), 266.Interrogation directe, indirecte, 73, 3o,

Rem. 1 ; 461, 3o ; 464.Interrogative (conjug. ~), 345.Interrogative (propos. ~), 73, 3o.Intonation, 18, Rem. 4.Inversion, 78, a.– du sujet, 45.– de l’attribut, 62.– du complém. d’obj. dir. ou indir., 54,

Rem. 1.Irréel (dans les circonstanc. de cond.), 477.Italiens (mots ~), 24, 3o, 4. – Leur pluriel, 130, b.Jumeau (fém.), 157.Jusque, 439.Jusqu’à ce que (mode), 467.Juxtaposition des propos., 76.Kaki, 167.

L

Langue d’oc, ~ d’oïl, 24, 2o.La plupart, sujet, 395, Rem. 1.

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367

Index

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Latins (mots ~), 24, 1o.– Leur pluriel, 130, a.Le, la, les, devant plus, moins, mieux,

141.Le, la, les, pron. attributs, 239.Ledit, etc., 377, Rem. 2.Le peu, 387, a, Rem. ; 395, Rem. 2.Lexicologie, 2, 2o.Liaison des mots, 19.– Mots de liaison dans la propos., 67.Lieu (adv. de ~), 406, d.Lieu (subordonnée) (compl. circonst.

de ~), 481, a.Locution adjective, 152.– adverbiale, 405.– conjonctive, 442.– interjective, 451.– prépositive, 429.– pronominale, 226.– substantive, 95.– verbale, 283.Long (fém.), 164.Lorsque (élision), 21, b, 3o.Lui, leur (~ signalé, etc.), 234, Rem. 1.L’un et l’autre, sujet, 403.L’un ou l’autre, sujet, 402, Rem. 3.

M

Mal (degrés de l’adv. ~), 408.Malgré que, 474, Rem. 2.Malin (fém.), 157, Rem.Mander que (mode), 462, in fine, Rem. 2.Meilleur, 174, Rem.Même, 224.Métis (fém.), 99, 6°.Mi, 188, c.Mien, tien, etc., adj., 207.Mieux, 408, Rem.– Des mieux + adj., 184.Mille, mil, 202.Mille et un, 200, Rem. 1.Milliard, millier, million, 202, Rem. 2.Mise en relief, 79.Modes du verbe, 294.– Syntaxe des modes, 350.

Mode dans la subordonnée en apposition, 460.

–– Attribut, 458.–– compl. d’adj., 488.––– d’agent, 483.––– d’objet, 462 ; 463 ; 464.––– circ. d’addition, 481, b.–––– but, 471.–––– cause, 469.–––– compar., 480.–––– concess., 475.–––– condit., 477.–––– conséq., 473.–––– lieu, 481, a.–––– manière, 481, d.–––– restrict., 481, c.–––– temps, 467.––– de nom ou de pron. (sub. relatives),

486.–– sujet, 456.Moindre, 174, Rem.Moins de deux, 395.– Des moins, suivi d’un adjectif, 184.Morphologie, 2, Rem.Mort-né, 186, c.Mot mis en apostrophe, 68, 2o.Mots : Classificat., 23.– Origine, 24.– Format. des mots, 25.– Famille de mots, 35.Mou (fém.), 157, Rem.Mû (accent circonfl.), 336.Multiplicatifs (mots ~), 205.

N

Ne, 421.– explétif, 422.Ne… que, 420.Néerlandais (mots ~), 24, 3o, 5.Négation avec l’art. partitif. 148.Négative (propos. ~), 73, 2o.Neiger, 334.Néologisme, 25, Rem. 2.Neutre (pron. ~), 226, Rem. 3.Ni, joignant des sujets, 402.

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368

Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Nier que (mode), 462, Rem. 3.Nombre de, 218, Rem. 1. Nombre dans les noms, 107.– dans les adj., 168.– dans les verbes, 291.Noms, 23, 1o ; 95.– Complément du nom, 63, f.–– Subordonnée compl. de nom, 484.– Féminin des ~, 98.– à double genre, 106.– Pluriel des ~, 108.–– accidentels, 131.–– composés, 122, 497.–– étrangers, 129.–– propres, 118.– à double pluriel, 114.– inusités à l’un des deux nombres, 132.Nom, 419.Non plus, 412. Rem. 2.Notre, votre, etc., après chacun, 211.Nôtre, vôtre, etc., (adj.), 207.Nouveau (fém.), 157, Rem.Nouveau-né, 186, c.Nu, 194.Nul (adj.), 219.– (pron.), 275.Nul doute que, 77, Rem. 1.

O

Obéi (passif), 239, Rem. 2.Objet (compl. d’~), 47.Oblong (fém.), 164.Oc (langue d’~), 24, 2o.Œil (plur.), 117.Œuvre, 106, 7°.Oïl (langue d’~), 24, 2o.Omission de l’article, 151.On, 277.Onomatopées, 31, 505.Onze, onzième (élision), 22.Opposition (propos. d’~), 474.Ordinaux (adj. numéraux ~), 204.Ordonner que (mode), 462, Rem. 2.Ordre des mots, 77.Orge,106, 8°.

Orgue, 106, 9°.Orthographe, 2. Rem.– Rectification de l’orthographe, 495.Orthographiques (signes ~), 11.Ôté, 378.Ou, joignant des sujets, 402.Où, pron. relat., 265.Ouï, 381.Oui (élision devant ~), 22.Outre que, 481, b.

P

Pâque(s), 106, 10°.Parataxe, 76, Rem. 1.Pardonné (passif), 239, Rem. 2.Parenthèses, 88.Paronymes, 36.Participe, 294, b, 2o ; 369.– passé, 377.– présent, 370.–– et adjectif verbal, 276.Participe (construction), 391.Participe (propos. ~), 392.Parties du discours, 23.Passé (accord du mot), 381.Passé antérieur, 295.Passé composé, 295.– simple, 295.Passive (voix ~), 293, 2o.Pécheur (fém.), 100, a.Pendant, durant, 438.Période, 106, 11°.Personne (pronom), 278.Personne du verbe, 292.Pesé, 383, b.Peu (le ~), 387, a, Rem. ; 395, Rem. 2.Peut-être que, 72, Rem. 1.Phonétique, 2.Phrase, 1 ; 39 ; 40 ; 41 ; 74.Pire, 174, Rem. ; 410, Rem.Pis, 408, Rem. ; 410.Place de l’adj. épithète, 197.– de l’adverbe, 409.– de l’attribut, 62.

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369

Index

Les numéros renvoient aux paragraphes.

– du compl. d’objet direct ou indir., 54, Rem. 1.

– du sujet, 45.Plein, 195.Pléonasme, 70.Plupart (la ~), sujet, 395, Rem. 1.Pluriel des adject., 168.– des adj. composés, 186.– des noms, 108.–– accidentels, 131.–– composés, 122.–– étrangers, 129, 502.–– propres, 118.Plus d’à demi, plus qu’à demi, 415.Plus, moins, mieux, avec l’art., 141.Plus d’un, sujet, 395.Plus-que-parfait, 295, 356.Plus tôt, plutôt, 411.Point (ponctuat.), 81.– d’exclamation, 83.– d’interrogation, 82.Points de suspension, 87.Point-virgule, 85.Ponctuation, 80.Porter (se ~ fort), 190.Portugais (mots ~), 24, 3o, 4.Positif dans les adj., 173.– dans les adv., 408.Possessifs (adj. ~). 206.– (pron. ~ ), 245.– avec chacun, 211.Possible, 196.Potentiel (dans les propos. de condit.),

477.Préfet (fém.), 99, 3°.Préfixes, 28, 2o.Premier-né, 186, d.Préposition, 23, b, 2o ; 428.– Complém. de la prépos., 66, 2o.– vide, 48, Rem. 2 ; 63, e. Rem. 3 ; 428,

Rem.– Répétition, 435.Près de, prêt à, 440.Prescrire que (mode), 462, Rem. 2.Présent, 295 ; 355.Présentatifs (voici, voilà), 431 ; 462,

Rem. 5.

Presque (élision), 21, b, 5o.Principale (propos. ~), 71, 2o.Probablement que, 72, Rem. 1.Pronom, 23, a, 4o ; 226.Pron. démonstratifs, 248.– indéfinis, 272.– interrogatifs, 266.– personnels, 229.–– explétifs, 68, 3o.–– réfléchis, 241.– possessifs, 245.– relatifs, 256.Pronominale (voix ~), 293.Pronominaux (verbes ~), 287.Prononciation, 2, Rem.Proposition, 40.Propositions (Espèces), 71.– Groupement, 74.– coordonnées, juxtaposées, 75.– subordonnées, 71, 3o ; 454.–– en apposition, 459.–– attributs, 457.–– compl. d’adj., 487.–– compl. de comparatif, 487, Rem.–– compl. de nom ou de pronom (sub.

relatives), 484.–– compl. d’agent, 482.–– compl. d’objet, 461.–– complém. du présentatif, 462, Rem. 5.––– circ. d’addition, 481, b.–––– but, 470.–––– cause, 468.–––– compar., 479.–––– condit., 476.–––– conséq., 472.–––– lieu, 481, a.–––– manière, 481, d.–––– oppos., 474.–––– restrict., 481, c.–––– temps, 467.–– sujets, 455.– elliptiques, 72.– incidentes, 75, Rem. 2.– infinitives, 454, Rem. ; 461, 4o.– participes, 392 ; 454, Rem.– relatives, 454, Rem. ; 484.Pu (accord), 385.

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370

Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Q

Qualificatifs, 154.Que, pron. rel., 259 ; 461, Rem. 3 ; 487.– pron. interrog., 269.Que, conjonct., 455 ; 459 ; 461, 1o.– particule conjonctionnelle, signe du

subjonctif, 363, Rem. 1.– employé seul pour marquer l’opposition,

474, Rem. 4.Quel que, quelque, 220.Quelqu’un, 279.Qui, pron. relat., 258.–– sujet, 398.– interrogatif, 268.Quiconque, 260.Quoi, pron. relat., 262.– interrogatif, 270.Quoi que, quoique, 261.Quoique (élision), 21, b, 3o.

R

Racine, 27.Radical, 27.– du verbe, 289, 1o.Recevoir, 311.Réciproques (verbes pronomin. ~), 287,

2o.Rectification de l’orthographe, 495.Redû, 336.Réfléchis (verbes pronomin. ~), 287, 1o.Régionalismes, 494.Registres de langue, 494.Régné, 383, a.Rendre, 312.Repentir, (se ~), 343.Répétition de l’article, 149.– de la préposit., 435.Replet (fém.), 159.Rien, 280.

S

-s, à l’impér., 315, Rem.Sache (je ne ~ pas), 363, Rem.

Sans que, 426, c ; 481, d.Sauf que, 481, c.Sauveur (fém.), 166, a.Scandinaves (mots ~), 24, 3o, 5.Sec (fém.), 163.Second, 204.Secret (fém.), 159.Sémantique, 2, Rem.Semble (il me ~ que), 456, Rem.Semi, 188, b.Semi-consonnes, semi-voyelles, 8, Rem.

6.Sentir, 310.Se repentir, 343.Si, adv., 412.Si (élision), 21, c.Si ce n’est, 397, Rem. 1.Si ce n’est que, 481, c.Sien (adj.), 207.Signes orthographiques, 11.– de ponctuation, 80.Snob (fém.), 167.Soi, 230 ; 242.Soi-disant, 242, Rem. 2.Solécisme, 33, N.B. 3.Son, sa, ses, avec chacun, 211.Sons, 3.Sterling, 167.Style direct, indirect, 492.Subjonctif, 294, a, 4o ; 362.- Concordance des temps, 491.Subordonnées, 71, 3o ; 454 (voir

Propositions).Suffixes, 27.Sujet, 42.- apparent, réel, 44.- Place, 45.- Subordonnée sujet, 455.Superlatif dans les adj., 175.- dans les adv., 408.Supposé, 381.Syllabe, 4.Syllepse, 226, Rem. 4.Synérèse, 8, Rem. 7.Synonymes, 37.Syntaxe, 2.- des modes et des temps, 350.

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371

Index

Les numéros renvoient aux paragraphes.

T

t euphonique (dans aime-t-il), 345, Rem. 3.

Tant, 412.Tautologie, 33.Tel, 225.Temps du verbe, 295.– dans chaque mode, 296.– simples, composés, 297.– surcomposés, 298.– Concordance des temps, 489.– Finales des temps, 320.– Syntaxe des temps, 350.Terre-plein (plur.), 127.Tien (adj.), 207.Tiers (fém.), 160, Rem.Timbre des voyelles, 7, Rem. 7.Tiret, 91.Ton, 18, Rem. 4.Toniques (syllabes ~), 17.Tout, 223.Tout de suite, 416.Tout-puissant, 186, d, Rem.Tout… que (emploi du mode), 475, Rem.

3.Trait d’union, 16, 496.– dans les adj. numér., 200, Rem. 2.– dans grand-mère, etc., 192.Travers (à ~, au ~), 436.Tréma, 13, 506, 507.Turc (fém.), 99, 8° ; 163.

U

u consonne, 8, Rem. 6.Un de ceux qui (accord du vb.), 398, Rem.

4.Un des… qui (accord du vb.), 398, Rem.

4.Unième, 204, Rem. 2.

V

Valu, 383, b.Variations de la langue, 494.

Va-t’en, 315, Rem.Vécu, 383, a.Vendeur (féminin), 100, Rem. 3.Vengeur (fém.), 100, a.Verbe, 23, a, 5o.– Accord du verbe, 393.– terme de la propos., 46.– copule, 58, Rem. 1 ; 284.– Ses compléments, 47.– Voix du verbe, 293.Verbes auxiliaires, 299.– défectifs, 248.– impersonnels, 288.– irréguliers, 347.– pronominaux, 287.– transitifs, intransitifs, 286.–– avec être, 301, 2o ; 303 ; 313.– en -aître, -oître, 340.– en -cer, 327.– en -eler, -eter, 329, 500.– en -ger, 328.– en -indre, -soudre, 337.– en -ire, 341.– en -yer, 331 ; 332.– ayant un e muet à l’av.-dernière

syllable, 329.– ayant un e fermé à l’av.-dern. syllabe,

330.– Similitudes entre cert. formes verbales,

321.Vieux (fém.), 157, Rem.Vingt, 201.Virgule, 84.Voici, voilà, 72, Rem. 2 ; 432.Voici + inf., 461, Rem. 2.Vôtre (adj.), 207.Voyelles, 6.Vraisemblablement que, 72, Rem. 1.Vu, 381.

Y

Y, pronom, 230 ; 243.– apr. impér., 315, Rem.Y compris, 381.

Page 45: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

372

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Index thématique

Accord des adjectifs avec le nom (177-225)

Place de l’adjectif qualificatif, 197-198.Règle générale, 177-178.Règles particulières, 179-187.Cas spéciaux :– à demi, 188, b.– adjectifs composés, 186.– adjectifs de couleur, 185.– aucun, 219.– avant-dernier, 186, b.– avec noms joints par une conjonction

de comparaison, 179.– avec noms synonymes ou en gradation,

180.– avoir l’air, 183.– cent, 201.– certain, 222.– chaque, 221.– cher, clair, 187.– couleur, 185.– demi, 188.– des mieux, des moins, des plus, 184.– différent, divers, 222.– feu, 189.– fort, 190.– franc de port, 191.– grand-, 186, a, 192.– haut, 193.– haut placé, 186, c.– leur, 213.– même, 224.– mi, 188, b.– mille, 202.– notre, 213.– nouveau-né, 186, c.– nu, 194.

– nul, 219.– plein, 195.– possible, 196.– quel… que, quelque, 220.– semi, 188, b.– tel, 225.– tout, 223.– tout-puissant, 186, d.– vingt, 201.– votre, 213.

Accord des participes présents et passés (369-392)

Adjectif verbal (-ant ou –ent), 373-376.Participe passé (378-392).Règle générale :– avec avoir, 380.– avec être, 379.– sans auxiliaire, 378.– Règles particulières :– attendu, non compris…, 381.– ci-annexé, ci-joint, ci-inclus, 382.– coûter (verbe intransitif), 383. – dit, dû, cru, su, pu…, 385.– excepté, 381.– fait + infinitif, 388.– mesurer, 383.– participe en tête de phrase, 391.– précédé de en, 389.– précédé de l’, 386.– précédé d’un collectif ou d’un adverbe

de quantité, 387.– proposition participe, 392.– suivi d’un infinitif, 388.– verbes impersonnels, 384.

B Index thématique des questions les plus fréquentes

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Page 46: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

373

Index

Les numéros renvoient aux paragraphes.

– verbes pronominaux, 390.– y compris, 381.Participe présent (-ant), 370-376.

Accord du verbe avec le sujet (393-403)

Règles générales, 393.Règles particulières : le sujet est– adverbe de quantité, 395.– ce, 397.– il impersonnel, 396.– infinitif, 400.– joints par ainsi que, comme, avec…,

401.– joints par ou, ni, 402.– l’un et l’autre, 403.– l’un ou l’autre, 402.– la plupart, 395.– le peu, 395.– moins de deux, 395.– nom collectif, 395. – personnes différentes, 394.– plus d’un, 395.– plusieurs sujets, 394.– plusieurs sujets en gradation, 399.– plusieurs sujets résumés, 399.– plusieurs sujets synonymes, 399.– qui (pronom relatif), 398.– rien, 399.– tout, 399.

Analyse (39-77)

Adjectif, 63, c.Adverbe, 63, d.Apposition, 63, e.Article, 63, a.Attribut, 58-62.Complément circonstanciel, 55-56.Complément d’agent, 57.Complément d’objet direct, 48-50.Complément d’objet indirect, 51-54.Complément de l’adjectif, 65.

Complément déterminatif, 63, f.Complément des mots invariables, 66.Conjonction de coordination, 67, 1°.Conjonction de subordination, 448-449.Coordination, 75.Épithète, 63.Interjection, 68, 1°.Interrogation directe, 73, 3°.Interrogation indirecte, 73, 3°.Juxtaposition, 77.Mot explétif, 68, 3°.Mot mis en apostrophe, 68, 2°.Parataxe, 76, Rem. 1.Phrase composée, 41.Phrase simple, 40.Préposition, 67, 2°.Proposition, 40.Proposition affirmative, 73, 1°.Proposition elliptique, 72.Proposition exclamative, 73, 4°.Proposition incidente, 76.Proposition indépendante, 71, 1°.Proposition interrogative, 73, 3°.Proposition négative, 73, 2°.Proposition principale, 71, 2°.Proposition subordonnée, 71, 3°.Sujet, 42-45.Verbe, 46.

Concordance des temps (489-491)

Conjugaison (304-349 et 489-493)

Avoir, 306.Concordance des temps, 489-491.Conjugaison impersonnelle, 344.Conjugaison interrogative, 345-346.Conjugaison pronominale, 343.Discours indirect, 492-493.Être, 307.

Page 47: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

374

Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Verbes en –er, 308.Verbes en –er particuliers, 327-332.Verbes en –ir (finir/finissant), 309.Verbes en –ir particuliers (finir/finissant),

333-335.Verbes en –ir (sentir/sentant), 310.Verbes en –oir, 311, 336.Verbes en –re, 312.Verbes en –re particuliers, 336-341.Verbes irréguliers (liste alphabétique), 349.Voix passive, 342.

Coupure des mots en fin de ligne (38)

Discours indirect (492-493)

Féminin (97-106 et 155-167)

des adjectifs (155-167).Règle générale, 156.Règles particulières, adjectifs en– –c, 163.– –el, -eil, + nul, gentil, 157.– –er, 161.– –eur, 166.– –f, 162.– –g, 164.– –gu, 165.– –n, 158.– –s, 160.– –t, 159.– –x, 160.Cas spéciaux, 167.des noms (97-106).Règle générale, 98.Règles particulières, noms en– –an, 99, 2°.– –at, 99, 4°.

– –c, 99, 8°.– –eau, 99, 1°.– –el, 99, 1°.– –en, 99, 2°.– –er, 99, 5°.– –et, 99, 3°.– –eur, 100.– –f, 99, 7°.– –in, 99, 2°.– –ot, 99, 4°.– –s, 99, 6°.– –x, 99, 6°.Cas spéciaux (101-103).– féminin en –esse, 101, 1°.– féminisation des noms de métier ou

grade, 517-521. – forme spéciale, 102. – noms à double genre (aigle, amour,

délice, foudre, gens, hymne, œuvre, orge, orgue, Pâques, période), 106.

– noms ne variant pas en genre, 104-105.– radical différent, 103.

Féminisation des noms de métier ou grade (517-521)

Nature des mots (95-453)

Adjectif, 152-225.– degré des adjectifs qualificatifs,

172-176.– démonstratif, 214-215.– exclamatif, 216.– féminin (voir rubrique “Féminin”),

155-167.– indéfini, 217-225.– interrogatif, 216.– numéral, 199-205.– pluriel (voir rubrique “Pluriel”),

168-171.– possessif, 206-213.– qualificatif, 154-198.– relatif, 216.

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375

Index

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Adverbe, 404-427.– degré des adverbes, 408.– formation des adverbes en –ment, 407.– négation, 418-421.– place, 409.Article, 134-151.– contracté, 139.– défini, 136-139.– élidé, 138.– indéfini, 142-144.– partitif, 145-148.Conjonction, 441-449.– de coordination, 446-447.– de subordination, 448-449.– locution conjonctive, 442, 444.Interjection, 450-453.Nom, 95-133.– féminin (voir rubrique “Féminin”),

97-106.– pluriel (voir rubrique “Pluriel”),

107-133.Préposition, 428-440.– locution prépositive, 429, 432.Pronom, 226-281.– démonstratif, 248-255.– indéfini, 272-281.– interrogatif, 266-271.– personnel, 229-244.– personnel réfléchi, 241-242.– possessif, 245-247.– relatif, 256-265.Verbe, 282-403.– accord du participe passé (voir rubrique

“Accord des participes présents et passés”), 369-392.

– accord verbe–sujet (voir rubrique “Accord du verbe avec le sujet”), 393-403.

– aspect, 298.– auxiliaire, 299-303.– conjugaison (voir rubrique

“Conjugaison”), 304-349.– concordance des temps, 489-491.– copule, 284.– discours indirect, 492-493.– intransitif, 286.

– impersonnel, 288.– modes, 294. conditionnel, 360.impératif, 361.indicatif, 350-359.infinitif, 365-368.participe, 369-377.subjonctif, 362-364.– pronominal, 287.– temps, 295-297.– transitif, 286.– voix active et passive, 293.

Orthographe

L’orthographe de certains mots (principalement les noms, les adjectifs et les verbes) est spécifiée tout au long de la grammaire. Certains mots particuliers sont repris dans l’index précédent. Pour les autres, il faut se référer à un dictionnaire.

Pluriel (107-133 et 168-171)

des adjectifs (168-171).Règle générale, 168.Règles particulières, adjectifs en– –al, 170.– –eau, 171.– –s, 169.– –x, 169.des noms (107-133).Règle générale, 108.Règles particulières, noms en– –ail, 112.– –al, 110.– –au, 111.– –eu, 111.– –ou, 113.– –s, 109.– –x, 109.– –z, 109.

Page 49: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

376

Index alphabétique

Les numéros renvoient aux paragraphes.

Cas spéciaux :– aïeul, 114.– ail, 115.– ciel, 116.– œil, 117. – noms accidentels (mots invariables,

infinitifs…), 131.– noms changeant de sens, 133.– noms composés, 122-128, 497, 503.– noms étrangers, 129-130.– noms propres, 118-120.– noms propres géographiques, 121.– noms toujours au pluriel, 132.

Ponctuation (80-94)

Alinéa, 93.Barre oblique, 94.Crochets, 89.Deux points, 86.Guillemets, 90.Parenthèses, 88.Point, 81.Point d’exclamation, 83.Point d’interrogation, 82.Point de suspension, 87.Point-virgule, 85.Tiret, 91.Virgule, 84.

Propositions subordonnées (454-493)

Apposition, 459-460.Attribut, 457-458.Complément circonstanciel (465-481) :– addition, 481, b.– but, 470-471.– cause, 468-469.– comparaison, 479-480.– conséquence, 472-473.– concession, 474-475.– condition, 476-478.– lieu, 481, a.– manière, 481, d.– opposition, 474-475.– restriction, 481, c.– temps, 466-467.Complément d’agent, 482-483.Complément d’objet, 461-464.Complément de pronom, 484-486.Complément du nom, 484-486.Concordance des temps, 489-491.Discours indirect, 492-493.Sujet, 455-456.

Page 50: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

377

Table des matièresAvant-propos .............................................................................................................. 5

Notions préliminaires ............................................................................................ 11

PREMIÈRE PARTIE

Les éléments de la langue

A. Les sons ............................................................................................................... 151. Sons et syllabes ......................................................................................... 152. Les voyelles ................................................................................................. 163. Les consonnes ............................................................................................ 18

B. Les signes ........................................................................................................... 201. L’alphabet ..................................................................................................... 202. Les signes orthographiques ................................................................... 21

C. La prononciation ............................................................................................. 231. L’accent d’intensité ................................................................................... 232. La liaison ...................................................................................................... 243. L’élision ......................................................................................................... 25

D. Les mots .............................................................................................................. 271. Les parties du discours ........................................................................... 272. L’origine des mots .................................................................................... 283. La formation des mots ............................................................................ 294. Les familles de mots ................................................................................ 385. Les mots apparentés ................................................................................ 396. Les règles de coupures des mots ........................................................ 39

Page 51: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

378

DEUXIÈME PARTIE

La phrase, la proposition

A. Les termes essentiels ................................................................................... 431. La phrase ...................................................................................................... 432. Le sujet ......................................................................................................... 453. Le verbe et ses compléments ............................................................... 494. L’attribut ....................................................................................................... 56

B. Déterminants et compléments .................................................................. 591. Les déterminants du nom ...................................................................... 592. Les déterminants du pronom ................................................................ 643. Le complément de l’adjectif .................................................................. 644. Le complément des mots invariables ................................................ 65

C. Les mots de liaison ....................................................................................... 661. La conjonction de coordination .......................................................... 662. La préposition ............................................................................................. 66

D. Les mots indépendants ................................................................................ 671. L’interjection ............................................................................................... 672. Le mot mis en apostrophe ..................................................................... 673. Le mot explétif .......................................................................................... 67

E. L’ellipse et le pléonasme ............................................................................ 671. L’ellipse ......................................................................................................... 672. Le pléonasme .............................................................................................. 68

F. Les espèces de propositions ...................................................................... 68

G. Le groupement des propositions ............................................................. 721. La coordination .......................................................................................... 732. La juxtaposition ......................................................................................... 74

H. L’ordre des mots .............................................................................................. 75

I. La ponctuation ................................................................................................. 77

Page 52: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

379

TROISIÈME PARTIE

Les parties du discours

Chapitre 1 — Le nom

A. Définitions et espèces .................................................................................. 85

B. Le genre du nom ............................................................................................. 861. Le féminin des noms ............................................................................... 872. Les noms à double genre ....................................................................... 92

C. Le nombre du nom ......................................................................................... 951. Le pluriel des noms .................................................................................. 962. Le pluriel des noms propres .................................................................. 983. Le pluriel des noms composés ............................................................. 994. Le pluriel des noms étrangers .............................................................. 1015. Le pluriel des noms accidentels .......................................................... 1026. Cas particuliers ........................................................................................... 103

Chapitre 2 — L’article

A. L’article défini .................................................................................................. 1041. Définition ..................................................................................................... 1042. Emploi ............................................................................................................ 105

B. L’article indéfini .............................................................................................. 1071. Définition ..................................................................................................... 1072. Emploi ............................................................................................................ 1073. L’article partitif .......................................................................................... 107

C. La répétition de l’article ............................................................................. 109

D. L’omission de l’article .................................................................................. 110

Chapitre 3 — L’adjectif

A. Les adjectifs qualificatifs ........................................................................... 113

Page 53: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

380

1. Le féminin des adjectifs qualificatifs ................................................ 1132. Le pluriel des adjectifs qualificatifs ................................................... 1173. Les degrés des adjectifs qualificatifs ................................................ 1184. L’accord des adjectifs qualificatifs ..................................................... 1215. La place de l’adjectif épithète ............................................................. 127

B. Les adjectifs numéraux ................................................................................ 1281. Les adjectifs numéraux cardinaux ....................................................... 1292. Les adjectifs numéraux ordinaux ......................................................... 131

C. Les adjectifs possessifs ............................................................................... 1321. Définition ..................................................................................................... 1322. Emploi ............................................................................................................ 1333. Accord ............................................................................................................ 134

D. Les adjectifs démonstratifs ....................................................................... 135

E. Les adjectifs relatifs, interrogatifs et exclamatifs ........................ 136

F. Les adjectifs indéfinis .................................................................................. 1371. Définition ..................................................................................................... 1372. Emploi ............................................................................................................ 138

Chapitre 4 — Le pronom

A. Les pronoms personnels .............................................................................. 1471. Définition ..................................................................................................... 1472. Emploi ............................................................................................................ 148

B. Les pronoms possessifs ............................................................................... 155

C. Les pronoms démonstratifs ........................................................................ 1561. Définition ..................................................................................................... 1562. Emploi ............................................................................................................ 157

D. Les pronoms relatifs ..................................................................................... 1601. Définition ..................................................................................................... 1602. Emploi ............................................................................................................ 161

Page 54: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

381

E. Les pronoms interrogatifs .......................................................................... 1651. Définition ..................................................................................................... 1652. Emploi ............................................................................................................ 166

F. Les pronoms indéfinis .................................................................................. 1671. Définition ..................................................................................................... 1672. Emploi ............................................................................................................ 168

Chapitre 5 — Le verbe

A. Les espèces de verbes .................................................................................. 1721. Le verbe copule .......................................................................................... 1722. Les verbes transitifs et intransitifs .................................................... 1723. Les verbes pronominaux ......................................................................... 1744. Les verbes impersonnels ......................................................................... 175

B. Les formes du verbe ...................................................................................... 1761. Les nombres ................................................................................................ 1772. Les personnes ............................................................................................. 1773. Les voix ......................................................................................................... 1774. Les modes .................................................................................................... 1785. Les temps ..................................................................................................... 180

C. Les verbes auxiliaires ................................................................................... 183

D. La conjugaison ................................................................................................. 1861. Les conjugaisons principales ................................................................ 1862. La conjugaison des verbes irréguliers et défectifs ....................... 209

E. La syntaxe des modes et des temps ..................................................... 2311. L’indicatif ..................................................................................................... 2312. Le conditionnel .......................................................................................... 2403. L’impératif .................................................................................................... 2414. Le subjonctif ............................................................................................... 2425. L’infinitif ....................................................................................................... 2446. Le participe ................................................................................................. 245

Page 55: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

382

F. L’accord du verbe avec le sujet ............................................................... 257

Chapitre 6 — L’adverbe1. Définitions et espèces ............................................................................. 2652. La formation des adverbes en -ment ................................................. 2683. Les degrés des adverbes ......................................................................... 2694. La place de l’adverbe ............................................................................... 2705. Emploi de certains adverbes ................................................................. 271

Chapitre 7 — La préposition1. Définition ..................................................................................................... 2812. Répétition des prépositions .................................................................. 2843. Emploi de quelques prépositions ......................................................... 285

Chapitre 8 — La conjonction1. Définition ..................................................................................................... 2872. Les conjonctions de coordination ....................................................... 2903. Les conjonctions de subordination .................................................... 290

Chapitre 9 — L’interjection .................................................................... 292

QUATRIÈME PARTIE

Les propositions subordonnées

A. Classification ..................................................................................................... 297

B. Les subordonnées sujets ............................................................................. 299

C. Les subordonnées attributs ....................................................................... 303

D. Les subordonnées en apposition ............................................................. 304

E. Les subordonnées compléments d’objet .............................................. 306

F. Les subordonnées compléments circonstanciels .............................. 311

Page 56: Référence inégalée, Le petit Grevisse propose

383

1. Les subordonnées de temps .................................................................. 3122. Les subordonnées de cause ................................................................... 3133. Les subordonnées de but ....................................................................... 3154. Les subordonnées de conséquence ..................................................... 3155. Les subordonnées d’opposition ............................................................ 3176. Les subordonnées de condition ........................................................... 3197. Les subordonnées de comparaison ..................................................... 3228. Les autres subordonnées ........................................................................ 324

G. Les subordonnées compléments d’agent ............................................. 325

H. Les subordonnées compléments de nom ou de pronom .............. 326

I. Les subordonnées compléments d’adjectif ......................................... 329

J. La concordance des temps .......................................................................... 3301. La subordonnée à l’indicatif ................................................................. 3312. La subordonnée au subjonctif .............................................................. 332

K. Le discours indirect ....................................................................................... 3341. Définitions ................................................................................................... 3342. Mode, temps et personne ...................................................................... 335

Appendices

A. Les variations de la langue ........................................................................ 339

B. Les rectifications de l’orthographe ........................................................ 342

C. La féminisation des noms .......................................................................... 353

Index alphabétique ................................................................................................. 361

Index thématique ..................................................................................................... 372

Table des matières .................................................................................................. 377

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Maurice GrevisseGrammairien, 1895 –1980Auteur du BON USAGE et de nombreux ouvrages destinés à l’apprentissage de la langue française.

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