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LES ÉCHOS AUX LAZARISTES Réseau La Salle N° 36 Juin 2013 L’orientation“Aux Lazaristes”, un cheminement et un suivi Bulletin de - La communauté éducative - L’amicale des anciens élèves - L’association des parents d’élèves

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  • LES ÉCHOSAUX LAZARISTES

    Réseau La Salle

    N° 36Juin2013

    L’orientation“Aux Lazaristes”,un cheminement et un suivi

    Bulletin de

    - La communauté éducative- L’amicale des anciens élèves- L’association des parents d’élèves

  • ÉditoLes activités pédagogiques,

    culturelles et séjours linguistiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P. 3

    ÉCOLE SAINT NIZIERCarnaval

    ÉCOLE SAINT JEANFêtons Pâques, fêtons la vie à l’école maternelle

    COLLÈGERevue de presse : A l’école du bridgeSur les traces de Léonard de VinciÉchange avec BerlinLes mathématiques au collège, site Saint Jean

    LYCÉEUne sortie à la centrale nucléaire du BugeyLa fête de la musique à l’internatLes voyages forment la jeunesse…La seconde 3 dans la «Ville Lumière»Les mathématiques, site Saint-BarthélemyCertification en allemandLa certification VoltaireOlympiade académique des sciences de l’ingénieurSortie ski pour les élèves du niveau terminal S

    CLASSES PRÉPARATOIRESConférences sur le thème de la PAROLESortie ski des TaupinsWeek-end ski pour les prepas Ecam

    Les Échos Aux Lazaristes n° 36

    Directeur de la publication: FrédéricBODIN

    Rédacteur en chef : Benoît LOURDAISComité de Rédaction :La communauté éducativeL’amicale des anciens élèvesL’association des parents d’élèves

    Centre Scolaire « Aux Lazaristes »24, montée Saint-Barthélemy - 69005 LYONTél. 04 72 77 13 90 - Fax 04 78 38 22 05

    [email protected]

    C’ e s t l as e c o n d ep a r t i e d el’année scolaire quevous découvrirez enparcourant notrerevue de juin 2013.

    L’ in se r t ion dans l e s an imat ionsmunicipales ; les certifications ; lesvoyages linguistiques ; les confrontationsdans les challenges scientifiques etsportifs ; l’apport des professionnels dansl ’or ientat ion ; se ret rouver dansl ’établ issement ou avec d’autresétablissements pour faire la fête ; laconnaissance d’œuvres littéraires,musicales ou des grands équipementsénergétiques ; l’engagement auprès desautres ; la démarche de découverte oud’approfondissement de la foi chrétienne.

    Des allers et retours dosés entre la viedans le centre scolaire et à l’extérieur decelui-ci. Le plus tôt possible, nous devonsvivre ensemble. Il s’agit de découvrir sesforces mais aussi ses fragilités en senourr i s sant de la rencontre , dudépassement, du service et de la joie depercevoir la parole de Dieu.

    Bel été à toutes et à tous.

    F. BODIN,Chef d’établissement coordonnateurdu Centre Scolaire « Aux Lazaristes »

    SOMMAIRE

    L’association des parents d’élèves . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P. 17Forum des métiers, 3ème édition

    La vie de l’association sportive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P. 18«Aux Lazaristes»

    La pastorale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P. 21du centre scolaire «Aux Lazaristes»

    Conte de noël à l’école Saint-Jean

    Association “Akwaba, les enfants”

    Témoignage des confirmands

    L’Unicef “Aux Lazaristes”

    La fête de l’établissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P. 23Un regard sur les différences

    L’association des anciens élèves . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P. 24

    Le tour de France du service à Limonest . . . . . . . . . . . . .P. 27

    P. 13

    L’orientation“Aux Lazaristes”,un cheminement et un suivi

  • juin 2013 • Les Echos n°36 3

    Tous les élèves de l’École Saint-Nizier Tour Pitrat ont défilé le mercredi 3 avril pourillustrer notre projet sur l’Art.

    Les activitésculturelles et sportives

    École Saint Nizier

    CARNAVAL

    Les enfants de maternelles étaient déguisés en clowns, oursons, lionceauxet domptés par leurs enseignantes. Musiciens, peintres se déplacent avecleurs instruments et pinceaux…Et un superbe voyage à Venise clôture ce défilé ! Ce périple s’achève sur la couravec distribution de friandises. Quelle belle après-midi !

    M. BIGNON-SIGAL,Professeur des écoles CE2

    Un matin, sur l’invitation de Françoise BODIN,notre animatrice en pastorale, Serge est arrivé

    dans notre classe avec deux compagnons : un magnifique Coq etune belle poule.

    École Saint Jean

    Il nous a raconté leur vie et expliquécomment « maman » poule fabriquaitses œufs pour ensuite peut êtredonner naissance à des poussins.

    Mai s , savez-vous que l le es t l acondition?

    Le papa « coq » doit faire un bisouamoureux à la « maman » poule.

    À la fin de la matinée, Serge est repartiavec ses deux amis mais nous a laisséen pension une couveuse contenantune vingtaine d’œufs.

    Nous avons attendu 21 jours pendantlesquels notre mission était de vérifier

    quotidiennement le taux d’humiditéet la température de la couveuse.

    Le matin du 21ème jour, quelle surprisede découvrir 5 adorables poussins crééspendant la nuit et quelle joie d’assisteren direct à la naissance du 8ème. C’étaitformidable de voir apparaître une patte,puis une aile… Et enfin la tête.

    Au total, nous avons accueilli 12poussins qui ont rejoint la nursery surlaquelle notre aide maternelle Catherineveillait comme une « MAMAN POULE ».

    Les élèves de petite et moyennesection de l’école Saint-Jean

    Fêtons PÂQUES, fêtons la vie à l’école maternelle Saint-Jean

    Écoles

    PÂQUES

  • Les élèves LV2 italien duniveau quatrième ont pu

    voyager en Italie, sur les traces de "Léonardde Vinci".

    4 Les Echos n°36 • juin 2013

    Collège

    Heureux de visiter samaison natale dansun petit v i l lage,d'observer des dessins etmaquettes ; nous avonsa dm i r é e n s u i t e d e speintures au musée desOffices de Florence. Levoyage a enthousiasméélèves et professeurs.

    J. BOREL, Professeurd'Italien sur les sitesSaint-Jean et Saint-

    Barthélemy

    F. PINELLI, Professeurd'Arts Plastiques sur les

    sites Saint-Jean etSaint-Barthélemy

    J. BOISSENET,Responsable Éducatif

    À l’école du bridge

    Cette année, 28 élèves de 4ème et 3ème du collège Aux Lazaristes ont eu l’occasionde participer à un échange avec la Sophie-Scholl-Oberschule de Berlin et ainsi

    tisser des liens avec 28 jeunes Berlinois.

    Sur les traces de Léonard de Vinci

    Échange avec Berlin pour des élèves de quatrième et troisième

    Dans un premier temps, les élèvesfrançais ont accueil l i leurcorrespondant berlinois du 23au 30 septembre 2012. Une semainedurant, tous ont appris à se connaîtreet à partager le quotidien d’une famillefrançaise. Les Berlinois sont allés à ladécouverte de Lyon. Les visites leuront permis de voir les différentesfacettes de la ville en allant du quartierhistorique du Vieux-Lyon jusqu’auquartier moderne de Confluence.

    Ensuite, ce sont les élèves berlinois quinous ont accueillis du 11 au 18 avril2013. Lors de notre séjour, les jeunesfrançais ont non seulement pu

    approfondir leurs connaissanceslinguistiques mais aussi découvrir à leurtour les us et coutumes allemands.Enfin, nous avons participé à denombreuses visites qui nous ont dévoiléla grande richesse culturelle (visite duPergamon Museum, du « Neues Palais »à Potsdam…) et historique (visite du« Deutsches Historisches Museum », ducentre Anne Frank, du Reichstag…) dela capitale allemande.

    Cet échange a ainsi contribué àpérenniser l’amitié franco-allemande.

    E. GUENOT, Professeur d’Allemandsur les sites Saint-Jeanet Saint-Barthélemy

    Collège

    REVUE DE PRESSE

    ALLEMAGNE

    ITALIEN

  • juin 2013 • Les Echos n°36 5

    Tous les élèves de 6ème, 5ème et 4ème ont passé les épreuves duConcours de Mathématiques intégral /drôle de maths qui a eu

    lieu le 28 janvier 2013. Merci à L’A.P.E.L. qui a financé ce projet.

    C'est une épreuve de 45 minutes sous la forme d'un QCM où pourchacune des 20 questions, plusieurs réponses sont possibles.

    On félicitera en particulier :

    Les classes de 6ème 2 et 6ème 5 ont participé au concours Mathématiques SansFrontières. C’est un concours international organisé par l’académie de Strasbourg.

    Chaque classe doit résoudre 9 exercices en 55 minutes et rend une seule feuille réponse par exercice

    et par classe. L'énoncé de l'un des exercices est donné en langue étrangère ; sa solution doit être

    rédigée dans cette même langue. Pour les élèves composant sur le sujet francophone, les langues

    étrangères proposées sont : l’allemand, l’anglais ou l’arabe pour le niveau CM2-6ème.

    Les mathématiques au collège, site Saint Jean:

    Mais au-delà des classements,

    nous félicitons tous nos élèves pour

    leur participation qui sera récompensée

    par la remise d'un diplôme,

    et de nombreux lots lors d'un moment

    festif à la fin de l’année.

    Pour l’équipe des mathématiques,L. THOMAS

    CONCOURS

    Pour le niveau 6è m e : sur 33 581candidats

    • Guillaume Vindry : 1er de l'établissementet 12ème au rang national (6ème 4) ;

    • Sergiy Nanterme, 2ème établissement et77ème national (6ème 4) ;

    • Emma Legros, 3ème établissement et 604ème

    national (6ème 2).

    Pour le niveau 3ème : sur 23 910candidats.

    • Louis Travers : 1er établissement et 240ème

    au rang national (5ème 1) ;

    • Philomène Bonnet : 2ème de l'établissementet 365ème au rang national (5ème 5) ;

    • Constance Lay : 3ème de l’établissement et526ème au rang national (5ème 5).

    Pour le niveau 4ème : sur 14 972candidats.

    • Clément Charmont: 1er établissement et22ème au rang national (4ème 5) ;

    • Romain Bellon : 2ème de l'établissement et226ème au rang national (4ème 5) ;

    • J e a n D i a z Ch an t r a i n e : 3 è m e d el’établissement et 230ème national (4ème 4).

  • 6 Les Echos n°36 • juin 2013

    Un concert impossible !

    La fête de la musique à l’internat

    Sa date : le jeudi 20 décembre (veillede vacances scolaires, jour de la Fêtedes Internes et de ses nombreusesactivités concurrentes dont le « mythiquetournoi de football ») ; le lieu : une salle deconférence ; les musiciens : des jeuneslycéens qui ce sont parfois juste croisés ;le programme: des interprétations deMozart, Ludwig van Beethoven (la LeichtedSonate, tout de même!!!), Chopin, maisaussi Yann Tiersen, The White Stripes,Radiohead, Coldplay, et des surprises,des compos… (éclectisme !) ; le « matos »d i s pon i b l e : l e s f ondamen t aux ;l’encadrement : gratuité à l’entrée maiscelui qui entre ne peut en sortir avant lafin.

    Et pourtant une réussite totale : de la joiee t d e s l a rm e s d e B o n h e u r , u napplaudimètre qui essaie vainement demesurer l’expression de toutes cesémotions, simplement, ces sourires, cesyeux brillants…

    « Là où est laMusique, il n'y apas de place pourl e M a l »e x p l i q u e r a i tM i g u e l d eCervantès. Il estvrai mais ce serait sans considérer le travailaccompli par toutes « les petites mains » :et tout d’abord, le « Maestro », le Metteuren scène de cette soirée, V. Laffont ; puis,P. Grangeon, en grande partie Productricequi a permis entre autre, de donner lapossibilité de jouer et d’écouter les sonsd’un véritable piano à queue de Concert ;E. Bouteloup, Directeur de l’Internat, W. Marcheval, Directeur du Lycée etF. Bodin, Chef d’Établissement. Sans euxrien n’eut été possible ! Une nécessiténon suffisante pourtant.

    Il ne fait aucun doute que la réussite decette soirée revient de facto à ses acteurset spectateurs : les musiciens qui ont tout

    donné pour nous fa i re rêver, lesspectateurs qui ont su recevoir. Mais aussi,les élèves chargés de la sécurité, ceux quiont fait la publicité du concert, ceux quiont s implement accompagné. Etn’oublions pas Monsieur Arthur Massina,un présentateur vedette qui a su faire dece spectacle un véritable show. C’est verseux que do i v en t a l l e r t ou s no sremerciements et pour eux que nousdevons nous mobiliser pour que la Fêtede l’année prochaine soit encore ettoujours plus Belle.

    O. ROOSE,Personnel d’éducation internat

    Le mardi 18 décembre deux classes de Première, la1ère S3 et la 1ère STI2D-EE, partent visiter en sortie

    scolaire la centrale nucléaire du Bugey et une maison passive dansses alentours. Ces visites tournent bien sûr autour du thème del’énergie.

    Une sortie à la centrale nucléaire du BUGEY

    Le groupe suit tout d’abord uneconférence sur le fonctionnementtechnique d’une centrale, pourensuite se séparer et partir vers diversesactivités. Certains restent pour uneseconde conférence, celle-ci sur les métiersdu nucléaire, d’autres partent visiter lesite.

    Le conférencier nous apprend que 1200personnes travaillent sur le site, et nousp r é s en t e l e s nombreux mé t i e r sd’ingénieurs et de techniciens. La questionde la sécurité des sites est égalementabordée, tout comme la productiond’électricité en Rhône-Alpes. On nousexplique le fonctionnement logistique

    d’une centrale et le déroulement de laproduction d’électricité à l’aide del’uranium.

    Puis, nous nous dirigeons vers notre guide,qui nous prépare à la visite du site. Chacunreçoit un badge de visiteur, ainsi qu’uncasque et des lunettes de protection.Après être passés sous un portique desécurité, nous visitons le site de la centrale.

    La guide nous fait découvrir d’abord lesdifférents bâtiments qui composent unecentrale : les tours caractéristiques, aunombre de quatre et les cinq réacteursdont seulement quatre actifs. Nous visitonsla salle des machines de l’unité 5 oùquatre turbines, entraînées par la vapeurd’eau issue du réacteur, permettent latransformation de l’énergie mécaniqueen énergie électrique. Les murs de la sallesont à l’épreuve des missiles, pour contenirles accidents éventuels ! La chaleur y estétouffante et il est conseillé de protégerses oreilles à l’aide des bouchons en libre-service à l’entrée.

    Notre sortie se poursuit et se termine,après le déjeuner, par la découverte desmoyens d’isolation et de chauffage d’unemaison dite « passive ». C'est-à-dire ayantréduit de 80% ses dépenses en chauffage,par rapport à une maison neuve selondes normes récentes. Dans le jardin, unpuits canadien récupère les calories dusol pour réchauffer l’air de la maison. Degrandes baies vitrées sont tournées versle Sud, et toutes les fenêtres disposentde « casquettes », censées réguler latempérature intérieure en fonction del’inclinaison du soleil. Nous apprenonsensuite comment sont isolés les murs dubâtiment.

    Cette sortie nous a permis de découvrirles coulisses de la production d’énergieen centrale nucléaire et les divers procédéspermettant de réduire sa consommationen chauffage. Nous avons côtoyé, selonles écologistes, l’Ange et le Démon: lamaison passive et la centrale nucléaire.

    P. BITCHATCHI,Élève en 1ère S3

    Lycée

    Lycée

    SORTIE

    MUSIQUE

  • juin 2013 • Les Echos n°36 7

    Ce célèbre dicton peut s’appliquer au voyage à Rome effectué par 50 élèves latinistes etitalianisants de seconde. Mais qu’ont donc appris ces jeunes qu’ils n’auraient découvert

    en restant au lycée?

    Les voyages forment la jeunesse…

    Tout d’abord ils ont pu constaterque les Romains étaient de bonsbâtisseurs puisque la ville d’Ostieest encore debout après 2000 ansd’histoire et que le Colisée nous domine

    encore de ses 50 mètres de hauteur.Ensuite ils ont pu partager l’intimitéd’une famille italienne et certains ontmême expérimenté un nouveau menutypique : pâtes et pizza le même soir !

    Ils se sont promenésdans les décors deGangs of New Yorket de la série Romele jour où RobertoBenigni enregistraitune émission pourla télévision dans lesstudios de Cinecittà.Ils ont découvert unos de chrétien dans

    les catacombes St Calixte. Enfin ils onteu le privilège de rencontrer BenoîtXVI lors d’une audience papale richeen émotions. Les cinq professeursaccompagnateurs ont été témoins deleur émerveillement et ont pu partageravec eux des moments de complicité.

    Merci donc aux Spart iates, auxPingouins, aux Tiramisu, aux Gelati etaux Carlos1 pour leur enthousiasme quinous donne encore envie de former lajeunesse !

    D. RIAUD,Professeur de Lettres Classiques

    sur le site Saint-Barthélemy

    Du 7 au 8 mars 2013, la classe de seconde 3, encadrée par leur professeur principal,Mme Simon, et leurs professeurs de sciences, Mme Frachisse et M. Marie, a eu l’occasion

    de visiter la capitale au cours d’un voyage culturel mémorable…

    Depuis le début de l’année déjà, la classe tout comme les différents professeurs accompagnateurs ontpréparé, par l’intermédiaire de diverses recherches et par des sorties au musée, l’excursion prévue depuisle mois de septembre.

    La seconde 3 dans la « Ville Lumière »

    Ainsi, nous avons pu profiter d’unevisite concernant divers domainesdans la capitale. Nous avons visitél a C i t é d e s s c i e n c e s e t t o u tp a r t i c u l i è r emen t l e s a s p e c t sastronomiques et phys iques del ’expos i t ion, a ins i que le vasteplanétarium. Même si la célérité étaitde mise, nous avons pu sans encombreatteindre le Centre Pompidou àBeaubourg et ainsi contempler sesexpositions d’art moderne parmilesquelles figurent les œuvres d’YvesKlein ou de Salvador Dalí. Enfin, lajournée prit fin après une ascension dela butte Montmartre et une brève visitede l’immaculé Sacré-cœur où tous,élèves comme professeurs, ont suprofiter du temps libre qui leur étaitoffert.

    Après une soirée dans l’auberge dejeunesse, moyennant diverses activités,la classe a débuté rapidement la suitede la visite qui allait s’avérer encoreplus impressionnante. En effet, le groupes’est acheminé vers l’Institut de France,

    lieu prestigieux, où il était attendu parp lus ieurs conférenc iers et p lusparticulièrement par un membre del’Académie des Sciences, le ProfesseurFrançois Gros, Secrétaire perpétuelhonoraire de l’académie et Professeurau Collège de France. Malgré sesnombreux titres, il a su nous accueillirchaleureusement et dans une grandesimplicité. S’ensuit alors une grandiosevis ite de quelques-uns des plusprestigieux lieux de cette Institution,tels que la bibliothèque Mazarine ou lasalle de l’Académiefrançaise.

    A p r è s u n e b r è v erestauration dans lejardin des Tuileries, faceau musée du Louvre,le groupe s’est renduau musée d’Orsaypour y découvrir lesœuvres fameuses descourants réalistes etimp r e s s i onn i s t e s ,composées par de

    grands Maîtres tels que Courbet, Monetou encore Renoir.

    Enfin, après un temps libre aux Champs-Élysées, la classe prit le chemin duretour.

    Cet te excur s ion , conv iv i a l e e tenrichissante aura permis, grâce auxprofesseurs l’ayant organisée, unvéritable accroissement culturel et unrenforcement des liens unissant la classe.

    C. ANNICCHIARICO,Élève de seconde 3

    1Noms de baptême des 5 groupes d’élèves formés pour les déplacements en transport en commun.

    ITALIE

    PARIS

  • 8 Les Echos n°36 • juin 2013

    Jeudi 1er mars, les 5 classes de 3ème et les 7 classes de 2nde

    ont participé au rallye mathématique de l’académie deLyon (+ de 500 classes inscrites) : c’est une épreuve parclasse. Pendant 2 heures, chaque classe a cherché (ettrouvé) des solutions à des énigmes de différents niveaux ;elles ont aussi illustré sur une feuille format A3 un de cesproblèmes. Plusieurs énigmes étaient données en langueétrangère (anglais, allemand, espagnol, italien), la réponseétant bien sûr à donner dans une de ces langues.

    Palmarès :

    Le jeudi 15 mars, les élèvesvo lonta i res de t ro i s ième,seconde, première et terminaleont passé les épreuves duconcours Kangourou. C’est uneépreuve individuelle de 45minutes sous forme d’un QCM.Merci à l’A.P.E.L. qui a financéce projet.

    Le groupe « math + » est un groupe d’élèves de 2nde et 1ère S, passionnés par les mathématiques, qui se retrouve pourchercher des petits problèmes, animé par les différents professeurs de l’établissement. Il s’est réuni certains lundis oumercredis midi de l’année pour rechercher énigmes et défis ainsi que découvrir de nouveaux concepts mathématiques.

    Seconde 7 : 1ère classe des lycées du Rhône, zone 2 (6ème : 2ème 5 ; 11ème : 2ème 4 ; 13ème : 2ème 1 ; 18ème : 2ème 8 ;23ème : 2ème 3 ; 26ème : 2ème 6 ; 28ème : 2ème 2 sur 100classes).

    TROISIÈME 5: 5ème classe des collèges du Rhône, zone2. (14ème : 3ème 4 ; 17ème : 3ème 1 ; 20ème : 3ème 2 ; 34ème :3ème 3 sur 100 classes).

    PalmarèsEn 3ème :• Pierre Clarou, 4ème international, sélectionné pourparticiper au trophée kangourou début juin à Paris(concours qui rassemble les 10 meilleurs de chaqueniveau du point de vue international). Samuel Knoche,155ème. Bénédicte Chabac, 264ème

    En 2nde :• Antoine Rombaut, 234ème. Baudouin Danel, 278ème.Enguerrand Sauterel, 307ème.

    En 1ère :• Série S: Lancelot Imberton, 60ème. Téophane Dimier,113ème. Louis-Arnaud Péchenart, 337ème.

    • Série non S: Auguste Barrellon, 100ème. Nicolas Cadi,219ème. Annouk Touzet, 245ème.

    En TS :• Loïc Omnes, 13ème. Rémi Carloni, 71ème. Matthias Carre,87ème.

    Bravo à tous les participants au concours qui recevrontdifférents prix (T-shirt, livres…).

    Mercredi 20 mars, 137 élèves volontaires de 1°ES, 1°S ou 1°STI ont participé aux olympiades de mathématiques : c’estune épreuve individuelle. 4 problèmes à chercher durant 4 heures, raisonnements et rédaction à l’honneur !

    Bravo à tous pour ces excellents résultats et leur participation nombreuse. Les élèves primés ont été reçus au CNRSpour une remise des prix le mercredi 22 mai 2013.

    jeudi 28 mars, quelques élèves de terminale S ont passé l’épreuve du concours général de mathématiques durant4 heures. Résultats en juin…

    Sur 90 participants en série non S :

    • 2 élèves primés (sur 5 primés) : Hippolyte Prost : 3ème etAgathe Mas: 4ème.

    • 2 élèves ont obtenu « très bonne copie dont la qualité a étéremarquée par le jury » : Grégoire de Widerspach et ThéaLoisel.

    Sur 1024 participants en série S :

    • 2 élèves primés (sur 20 primés) : Lucas Degenève, 4ème etAlexis Burguburu, 7ème.

    • 2 élèves ont obtenu « très bonne copie dont la qualité a étéremarquée par le jury » : Sébastien Haentjens et LancelotImberton (21ème ex aequo), Louis-Arnaud Péchenart, MaïlysVignoud, Téophane Dimier et Mathilde Lay.

    Les mathématiques au collège et au lycée, site Saint Barthélemy :

    Nous félicitons tous les élèves pour leur implicationimportante à ce rallye.

    Les 2nde 7 ont donc participé àla finale du rallye sur le campusde la Doua le jeudi 14 maia c c omp a g n é s p a r l e u rprofesseur principal C. Béal etp a r l e u r p r o f e s s e u r d emathématiques, S. Jouseau.

    BRAVO aux participants,

    Pour l’équipe des mathématiques,L. THOMAS.

    CONCOURS

    Affiche réalisée par la classe de 2nde 7,lors du rallye des mathématiques

  • Chaque élève s'est beaucoupinvesti dans ces projets, pendantles heures obligatoires mais aussien dehors de ces horaires, en prenantsur leur temps libre.

    Ce dévouement est récompensé,puisqu'un groupe (Jérôme RONY, BenoîtFAVREAU, Aymeric FRANÇOISE et PierreÉtienne SOURY) a remporté une coupepour le projet pluri-technologique,pleinement méritée.

    Ce projet consiste en un aspirateur detable autonome, équipé de capteurspour ne pas renverser d'obstacles etpour ne pas chuter de la table. La partiecommande est confiée à une carteARDUINO, entièrement programméepar les élèves. Un important travail deconception sur Solidworks a égalementété réalisé, notamment sur la coque,

    réalisée sur l'imprimante 3D du lycée.Beaucoup de temps a été employéenfin pour la réalisation, avec les moyensqu'offre l'espace projet SI-STI2D.

    Toutes nos félicitations aux gagnantset un grand bravo pour tous !

    D. CHRISTOPHE,Professeur en Sciences de l’Ingénieur

    sur le site Saint-Barthélemy

    Cette année scolaire, 20 élèves volontairesdes classes de seconde ont participé à lacertification en allemand « DeutschesSprachdiplom » du niveau A2/B1 du CECRL(Cadre Européen Commun de RéDeutschesSprachdiplomférence en Langue).

    Les épreuves écrites (compréhension de l’écrit, compréhension de l’oral, expressionécrite) ont eu lieu le mardi 19 mars 2013 et les épreuves d’expression orale entrele 25 mars et le 3 avril 2013. Tous les élèves se sont bien investis dans lapréparation de cet examen. 14 élèves ont réussi le niveau B1 dans toutes lescompétences et 6 élèves ont validé le niveau B1 dans une partie des épreuves.

    Félicitations à nos élèves pour la réussite.B. VENET,

    Professeur d’Allemand sur le site Saint-Barthélemy

    juin 2013 • Les Echos n°36 9

    Certification en allemand

    Une quinzaine d’élèves de secondese sont portés volontaires pourpréparer cette certification encompagnie de trois professeurs de français,C. Béal, G. Pinchard et D. Riaud, à raisond’une heure par semaine. Une dizained’autres, élèves de seconde et de première,se sont préparés tout seuls ou avec l’aidedu logiciel Projet Voltaire commercialisépar la société Woonoz. Au final dix-neufcandidats ont passé l’examen organisédans notre lycée le jeudi 18 avril.

    Après une courte dictée, ils ont dû trouveren deux heures t rente les erreursd’orthographe qui se sont glissées dansdeux cent cinquante phrases.

    Les résultats de cette première session sontencourageants : 53% des candidats ontatteint un niveau d’orthographe techniqueet 32% un n iveau d ’or thographeprofessionnelle. Nous espérons que lesélèves ont eu plaisir à améliorer leurorthographe et relever ce défi.

    Nous les avons trouvés très motivés etnous pouvons d’ores et déjà les féliciter.

    D. RIAUD,Professeur de Lettres Classiques

    sur le site Saint-Barthélemy

    Trois équipes de projet ont participé le mercredi17 avril aux olympiades académiques des

    Sciences de l'ingénieur : deux groupes de terminale S -SI et ungroupe de Terminale STI2D ITEC. Ils ont présenté à l'École Centralede Lyon les projets qu'ils mènent dans le cadre de l'enseignementdes Sciences de l'ingénieur aux Lazaristes :- Un robot ramasse-miettes. Un systèmede récupération d'énergie à partirdes appareils de musculation. Unsupport pour tablette tactile, adaptéau gyropode EWEE.

    (Les 3 groupes ont présenté leurs projetsle matin, puis s'en sont retournés versle bac blanc l'après-midi…).

    Olympiade académique des sciences de l’ingénieur

    DEUTSCHES SPRACHDIPLOM Depuis cettea n n é el’établissement a entrepris unpartenariat avec la sociétéWoonoz qu i o rgan i se desexamens validant la CertificationVoltaire. De quoi s’agit-il ? Aumême titre que le TOEIC ou leTOEFL qui valident un niveaud’anglais, la Certification Voltaireatteste le niveau d’orthographefrançaise du candidat. Il ne s’agitni d’un diplôme ni d’un concours,le candidat obtient à l’issue del’examen un score sur mille pointsq u i m e s u r e s o n n i v e a ud’orthographe. Ce résultat pourraensuite être mentionné sur uncurriculum vitae ou un dossierd’orientation pour mettre envaleur la compétence acquise.

    Certification Voltaire

    VOLTAIRE

    SCIENCES

  • 10 Les Echos n°36 • juin 2013

    Sortie ski pour les élèvesdu niveau terminal S

    Le week-end du 26 au 27 janvier 2013, 16élèves de terminale S ont eu la chance de

    partir skier ensemble à Valloire. Cette initiativelancée par leur professeur d’E.P.S. Monsieur ODRASleur a permis de passer ensemble de très bonsmoments autant sur les pistes qu’au chalet le soirvenu. Ils ont pu y partager une fondue savoyardeavec les élèves du lycée avant de profiter d’unesoirée conviviale.

    Dans la conférence que nous adonnée François Bourgue ausujet des Romances sans paroles,trois axes majeurs ressortent.

    D’une part, ce recueil poétique, s’ilsemble, dès le titre, accorder peu oupas d’importance à la parole, met enréalité en place un vaste réseaupolyphonique : Verlaine place au débutde certains poèmes des citations d’autresauteurs, appelées épigraphes, auxquellesses poèmes vont répondre ; il emprunteégalement des express ions, despersonnages, des situations, à d’autresartistes, ainsi qu’à la chanson populaire.

    D’autre part, la particularité desRomances sans paroles consiste en ceque Verlaine y fait l’essai d’une poésieimpersonnelle. Celle-ci cherche àexprimer le moi autrement que par lelyrisme à outrance qui caractérise leromantisme. Toutefois, Verlaine ne selibère pas totalement de la subjectivité,et François Bourgue cite ici Jean-PierreRichard : Verlaine est « attaché à sonpropre langage et perdu dans la langueanonyme ».

    Enfin, l’œuvre est l’occasion d’unerecherche des limites de la parole, entrele dicible et l’indicible. La parole y esttout le temps « en sourdine ». Pourdépasser cette limite, Verlaine chercheà intégrer à la poésie le silence d’unepart, et la musique d’autre part. FrançoisBourgue nous a montré ici de nombreuxexemples de musicalité dans lesdifférents poèmes du recueil, dont lecélèbre « Il pleure dans mon cœur ».

    S. DESIGNOLLE, MP*.

    Les conditions étaient parfaites, le soleil et laneige fraîche ont fait la joie de tous les skieurs,et malgré les différences de niveau, chacun apu trouver son bonheur sur le joli domaine de

    Valloire.

    Cette expérience a été un bon moment de détente

    pour ces élèves qui préparent leur baccalauréat. Ils

    sont très reconnaissants à leurs professeurs d’avoir

    organisé cette sortie et les remercient.

    B. GUILLARD et N. SANS,

    Élèves de TERMINALE S1

    PAROLE

    SKI

  • juin 2013 • Les Echos n°36 11

    Prépas

    Conférences sur le thème de la PAROLEÀ l’initiative de V. CHABERT-GRANGEON, les élèves des CPGE (deuxième année) ontpu assister à plusieurs conférences, le thème de cette année étant « La parole ».

    Chaque intervention a porté sur l’une des œuvres au programme: le Phèdre de Platon, Les faussesconfidences de Marivaux et Romances sans paroles de Verlaine.

    Dans un premier temps,M . P r a d e a u ,spécialiste de Platon,comme auteur et traducteur,nous rappelle que si Platoncritique l'enseignement écritau profit de l'enseignementoral c'est qu'à cette époque,tout se faisait à travers l'oral.Platon n'a ainsi jamais écritses dialogues, mais les adictés. Par ailleurs, Platoncritique l'écrit car aucun écrit ne peut se défendre lui-même vis-à-vis de ses détracteurs, il préfère ainsiprivilégier le dialogue qui permet à chacun de forgerson opinion. M. Pradeau cite alors le dialogue dePlaton, le Théétète, où penser, selon Socrate n'est enfait qu'un « dialogue de l’âme avec elle-même ».

    Toutefois M. Pradeau nous avertit de la possibilité dese tromper, de dire le faux, comme un dialoguesophistique qui viserait à imposer une opinion sans ladiscuter. Le discours, au contraire, doit être démonstratifde l'intelligible (ce que Platon appelle aussi les « idées »qui sont des réalités qui dépassent les simples apparences).

    Mais comment percevons-nous ces idées, extérieuresà nous-mêmes? Grâce à une faculté que Platon nommel'intellect. En effet, ce dernier dégage en nous troisaspects : l'intellect, l'ardeur (le courage) et la facultédésirante qu'il symbolise par un attelage ailé. Notreâme, selon Platon serait dirigée par deux chevaux,l'un blanc, l'autre noir symbolisant pour le premiernotre attirance pour le vrai, pour le second notrefaculté désirante. Ainsi à la vue d'un beau garçon/bellefille ces deux chevaux s'animent en nous et noussommes soumis à un choix entre le désir sexuel(insatiable), ou admirer l'idée de beau qui se dégagede l'objet de nos désirs.

    Dans ce dernier cas, l'amant, par son amour, transmetà l'aimé une vision des formes intelligibles et lui permetd'accéder lui-même à l'idée du Beau, inséparable decelles du Vrai et du Bien.

    F. VIDAL, PSI*.

    PAROLE

    La conférence sur Marivaux fut réaliséepar Madame Catherine Ailloud-Nicolas, spécialiste de Marivaux etdramaturge. Elle s’est tout d’abord attardéesur l’explication du titre. En effet, le titreinitial était la fausse confidence, celle-cirenvoyait à la première confidence qui aenclenché l’action mais deux autresconfidences vont suivre. Puis, elle engageaune réflexion sur la composition del’œuvre puisqu’il faut trois actes pourarriver au dénouement.

    Toute la pièce est centrée sur troispersonnages , Dorante , intendantd’Araminte aimerait l’épouser mais celui-ci, ruiné et à son service, est dansl’incapacité de dévoiler ses sentiments. Letrio est complété par Dubois œuvrant avecDorante.

    Tout au long de la pièce, le jeu de laparole a un rôle capital puisque lesmalentendus permettent à Dorante et àAraminte d’avouer leur sentiment malgréla pression sociale. Dans Les faussesconfidences, la parole permet au désir dese transformer en amour réciproque.

    M. TOUITOU etC. CHARDAT, TSI.

  • 12 Les Echos n°36 • juin 2013

    Week-end ski pour les PREPAS ECAMC’est avec des courbatures, des bleus, mais surtout avec des souvenirs inoubliables que lesétudiants des classes préparatoires à l’ECAM quittent malgré eux la petite station de Superdévoluy.

    Après ces trois jours de ski de folies, plus d’un Ecamien verseune larme en remontant dans le bus les ramenant à laréalité.Sous un grand ciel bleu, un soleil omniprésent et de la bonneneige fraîche, Superdévoluy a permis à chacun de s’émerveiller :

    les « riders » ont pu tester leur back flip au snowpark, les skieursont testé la poudreuse, ou encore ceux qui n’ont de skieurs quele nom, et qui ont préféré descendre des chocolats chauds plutôtque des pistes, ont trouvé leur refuge au chalet. Même ceux quiont chaussé les skis pour la première fois, ont pu descendre sansdifficultés leurs premières pistes, grâce aux conseils de M. Odras.Il était accompagné de nos professeurs les plus téméraires : Mme.Raulin, M. Goeb, M. Monroe, et M. Lahcene, qui ont faitaugmenter l’ambiance après une rude bataille de boules deneige.

    Après s’être épuisé toute la matinée, une petite pause s’impose.Pourquoi ne pas s’arrêter sur les pistes autour d’un barbecue??C’est grâce au BDE que les deux promotions des classes prépasont pu savourer de bons hot-dogs, tout en profitant de l’air fraisde la montagne.

    En quelques mots, ce week en ski ON S’EN SOUVIENDRA!!

    BDE ECAMnesia Classes Préparatoires à l’ECAM

    Sortie ski des Taupins Bientôt 5 mois après être rentré en classe préparatoire, le dimanche 27 janvier est enfin arrivé.Jour du départ pour le week-end ski.

    Certes, il a fallu se lever tôt un dimanche(ce qui ferait râler tout taupin car c'estle seul matin où nous pouvons dormir)mais appelés par l'air de la montagne : celaimportait peu. Le rendez-vous était donnéà 6 h Quai de Bondy où nous attendaientdéjà F. Cailler, S. Dumas, S. Leroy et G.Audras. Quel amusement ! Se regarder lesuns les autres à moitié endormis encombinaison et chaussures de ski ! Pourbeaucoup, la nuit s'est prolongée dans lecar tandis que d'autres parlaient déjà, lesyeux brillants, des pistes qu'ils dévaleraientdans la journée.

    Arrivés à la station : un grand soleil et uneneige fraîche. On n'avait qu'une hâte : arriveren haut des pistes pour s'amuser et oublierle travail. Cependant, on s'en rend vitecompte, les maths et la physique noussuivent partout. Ainsi, il n'était pas rared'entendre l'un d'entre nous parler desforces de frottements que la piste exerçaitlorsque l'on glissait… Eh oui Taupin un jour,Taupin toujours ! Mais le plaisir a été decourte durée pour Ahmed qui, deux heuresaprès avoir commencé à skier, s'est cassé laclavicule. Ce petit incident n'a pas pourautant entamé le moral des troupes et toutle monde s'est retrouvé pour manger dehorset profiter du temps.

    En fin d'après-midi, fatigués par cette journéemais le sourire aux lèvres, nous sommestous allés au chalet. Là, les activités étaientdiverses et variées : baby-foot avec S. Leroy,ping-pong contre S. Dumas ou tournoi de

    tarot avec F. Cailler… Certains, qui nesemblaient pas épuisés ont poursuivi l'après-midi en faisant une bataille d'oreillers au3ème étage vite interrompue car on lesentendait du rez-de-chaussée…

    21 heures, l'heure que nous attendionstous : le dîner. Au menu: fondue savoyardepréparée par Jamila. À certaines tables, lerepas était plutôt silencieux (sûrement fatiguéspar cette journée) tandis qu'une tablecontrastait vivement avec les autres. Eh oui,la table comportant les anciens sup 1 avaittraversé une nouvelle occupation : donnerun gage à celui qui laissait tomber sonmorceau de pain dans le fromage.

    Une fois le repas terminé, la salle à mangers'est transformée en boîte de nuit dont lestyle musical datait des années 80… Lasoirée s'est poursuivie jusque tard dans lanuit. Pendant quecertains rangeaient,d'autres étaient déjàplongés dans uns o m m e i l b i e nprofond qui fut detrès courte durée carle réveil le lendemaindeva i t s onne r à6h30.

    R a n g e m e n t ,nettoyage : il fallaittout mettre en ordreavant de repartirskier. Tous ont vouluprofiter jusqu'à la

    dernière minute de ces 2 jours de détente.Le trajet du retour a été silencieux (audépart) puis a été mis en musiquenotamment grâce aux enceintes du futurBDE et pendant près d'une heure le fonddu car a fait chanter les élèves pour le plusgrand plaisir de certains. Enfin, arrivée à21h00 à Lyon et là c'était reparti. Il fallaitmonter les affaires de ski aux Lazos. Dans lamontée, certains commençaient à s'inquiéterdes colles non révisées, d'exercices nonfaits… Mais qu'importe, nous étions toustrop contents des 2 jours partagés ensemble.Les liens tissés depuis le début de l'annéesont devenus plus forts. Prêts et déterminéscomme jamais, nous disons tous en cœur,avec F. Caillier, "Oh Yeah !".

    E. MALLEIN-GERINet les membres du BDE CPGE

    SKI

    SKI

    Classes préparatoires

    Prépas

  • L’orientation“Aux Lazaristes”,un cheminement et un suivi

  • Le BDI m’a beaucoup apporté. J’aipu découvrir certaines filièresscolaires que je ne connaissais pas,déterminer mes qualités ainsi quemes défauts grâce à un tableauque nous devions compléter. Celam’a permis de connaître undomaine de mét ie r qu i mecorrespond davantage. Ainsi, j’aichangé d’avis sur le métier quej’aimerais exercer plus tard. À l’issuede mes recherches, j’ai dû présentermon projet à l’oral devant maclasse. Cet exercice est un bonentraînement pour mes oraux àvenir. Le BDI m’a permis de mieuxme connaître et m’a ainsi aidéedans mon orientation.

    M. ESCOULA

    Depuis le BDI en classe de 4ème,mon envie de devenir architected’intérieur a diminué. A présent,je souhaiterais travailler dansl’économie. Ce choix peut sûrementchanger jusqu’au Bac ES que jecompte obtenir. Le BDI m’a permisde découvrir plus tôt l’univers desbaccalauréats, des filières er desmétiers. J’ai pu approfondir monfutur métier que je comptais fairecar avant le BDI, je n’avais quetrès peu d’idées.

    N. BONNARD

    Quand on pense orientation, on pense souvent choix d’une filière au lycée ou pour le post-bac, date dusalon de l’étudiant, rendez-vous avec un conseiller d’orientation.

    Mais l’orientation ne se limite pas à ces étapes-clés, elle constitueun fil rouge tout au long de la scolarité, avec certaines étapesplus visibles que d’autres. Elle se construit au long cours avecune multitude d’acteurs qui vont avoir des rôles complémentaires.

    Comment aider les jeunes à se connaître comme individu, àaffronter les questionnements et l’incertitude, mais aussi àcomprendre le sens des exigences de chaque discipline et à fairedes liens entre elles? Comment créer les conditions qui permettentà chacun de trouver sa voie, de choisir une dynamique personnelleet de la rendre compatible avec les perspectives de débouchés?

    Aux Lazaristes, le travail surl’orientation commence aucollège en classe de 4ème

    avec le BDI (bureau ded o c u m e n t a t i o n e t

    d’information).

    Le choix de la filière en fin de 3ème

    (seconde générale et technologique ouseconde professionnelle), décidera del’avenir d’un enfant qui se connaîtencore mal.

    C’est la raison pour laquelle la classede 4ème est mise à profit pour unemeilleure connaissance de soi et pourla découverte des différentes voiespossibles après la 3ème. Par l’échangeet l’écoute, nous les aidons à identifier,par eux-mêmes, leurs aspirations

    personnelles, leurs atouts et difficultésscolaires ainsi que leurs qualitésémotionnelles et relationnelles.

    Cette étape, incontournable dans unprojet personnel, est souvent sourcede doute et de crainte pour les élèvesqui sont confrontés à plus de questionsque de réponses.Nous essayons doncde les accompagner dans cette analyseet cette prise de conscience de leursaptitudes et de leurs points faibles.

    Sans nous substituer au conseillerd’orientation ou au psychologue, nousavons pour seule ambition d’aider cesjeunes adolescents à réfléchir sur eux-mêmes et à s’interroger sur leur projetpersonnel. A un âge où l’on aime tantse fondre dans un groupe, il n’est pastoujours facile d’oser s’affirmer et encoremoins de se démarquer.

    LE TRAVAiL SUR L’ORiEnTATiOn

    TÉMOIGNAGES

    Forum des métiers

  • Suivant son projet personnel etson profil scolaire, chaqueélève va devoir proposer unparcours susceptible de luiconvenir et rechercheractivement un staged’observation en entreprise.

    Ce travail se poursuit en classe de

    3ème : stage d’observation, qui peut

    permettre à un élève de découvrir le

    monde du t r ava i l ma i s au s s i

    d’apprendre sur lui-même. L’élève

    devra auss i fa i re le choix des

    enseignements d’exploration qu’il

    suivra en classe de 2nde. Si ce choix

    n’est pas déterminant pour une

    or ienta t ion fu ture , i l pe rmet

    néanmoins de découvrir certaines

    disciplines ou de se familiariser avec

    des méthodes de travail.

    Ainsi, informé, accompagné dans son

    cheminement et surtout suivi,

    conse i l l é pa r se s p ro fe s seur s

    principaux de 4ème et 3ème, l’élève

    devrait se sentir moins démuni lors

    des choix importants qu’il devra

    opérer en classe de 2nde.L’aide à

    l’orientation se poursuit bien sûr sur

    les trois niveaux du lycée. Elle fait

    interagir l’équipe éducative, l’élève

    et sa famille. Aux Lazaristes, elle va

    s’appuyer sur des modalités variéeset complémentaires.

    Elle se fonde principalement sur undialogue avec les famil les parl’intermédiaire d’une fiche-navette(utilisée en 2nde et en 1ère), à l’occasiondes rencontres parents-professeurs(tous niveaux), avec l’organisation der é u n i o n s d ’ i n f o rma t i o n s u rl’orientation à destination des élèveset des parents (en 2nde et 1ère) et surla procédure Admission post-bac (enTerminale).

    La classe de Seconde est uneannée charnière : quellefilière choisir en Première?selon quels critères?

    Quand nous intervenons auprès del’ensemble des élèves de Secondepour leur présenter les différentesfilières, nous mettons l’accent surtrois éléments : leurs goûts, leur projet,leurs capacités.

    Chaque filière est exigeante et vanécessiter l’acquisition de nouvellesméthodes de travail : si l’élève estintéressé, il voudra se rendre comptede quoi il est capable, il sera plusmotivé pour travailler. Certains élèvessemblent avoir une vocation, d’autres,adeptes du « je ne sais pas », ont du

    mal à sortir d’une phase d’hésitation,voire de déni. Certains projetsnécessitent une filière particulière(études de médecine par exemple),d’autres sont à l’inverse accessiblespar plusieurs filières (bac S ou STI2Dpour des études d’ingénieur, bac ES ouS pour les écoles de commerce parexemple) : dans ce cas, il faut amenerl’élève à trouver quelle est la filièredans laquelle il réussira le mieux etqui lui permettra de réaliser son projet.

    Pour cela, il faut analyser les résultatsdans les différentes disciplines, maisaussi la façon de travailler de l’élève(préfère-t-il manier des conceptsthéoriques ou partir d’une situationconcrète, fait-il le lien avec la réalitéqui l’entoure?).

    Forum des métiers 2013

  • Certains projets peuvent paraître en

    décalage avec les résultats de l’élève.

    Il peut s’agir d’un questionnement

    en termes de parcours : il peut parfois

    exister différentes voies d’accès à une

    formation ou un métier. Il peut aussi

    s’agir d’un choix plus fondamental

    nécessitant une introspection : il faut

    alors aider l’élève à analyser ce qui le

    motive particulièrement dans son

    projet. L’aide à l’orientation consiste

    alors à rendre compatibles une part

    de rêve et les réalités des modalités

    de sélection ou de perspectives

    d’emploi.

    Cette démarche prend du temps :

    c’est pourquoi i l faut l ’ in i t ier

    suffisamment tôt, mais avec la

    possibilité de revenir sur certains

    points d’information tout au long de

    l’année. En effet, l’information efficace

    est aussi l’information qui intervient

    au moment où l’élève est réceptif.

    Le professeur principal, quel que soit

    le niveau d’enseignement, va avoir

    un rôle-clé, de façon formelle pendant

    les heures de vie de classe et

    d’accompagnement personnalisé, à

    l’occasion de rendez-vous avec la

    famille mais aussi tout au long del’année par les échanges individuelsavec les élèves. Il travaille égalementen coordination avec les équipespédagogiques, les responsables deniveaux, le chef de travaux et ledirecteur du collège ou du lycée.

    Lorsque le conseil de classedu troisième trimestre vaformaliser une décision, celle-ci n’est que la conclusiond’une réflexion engagée surplusieurs mois.

    Aux Lazaristes, nous faisons égalementintervenir des étudiants (souvent desanciens élèves) et des professeurs dupost-bac (dès la classe de Premièremais également dans le cadre du forumdes Terminales en janvier), et desprofessionnels : de façon ciblée parfilière ou dans le cadre du forum desMétiers organisé par l’A.P.E.L.. Lesélèves du lycée ont aussi la possibilitéd’aller au Forum des grandes écolesscientifiques proposé à nos élèves desCPGE.

    En filière ES par exemple, les Lazaristesdemandent aux élèves de Premièrede faire un stage en entreprise en

    cours d’année. Au-delà de sacomplémentarité évidente avecl ’ en se ignement de s s c i ence séconomiques et sociales, il viseégalement à leur permettre d’avancerdans leur réflexion sur leur orientationfuture.

    Ces élèves bénéficientégalement d’un bilan decompétences réalisé par unprofessionnel leur permettantde mieux connaître leurprofil.

    M. CHEVALLEREAU, Responsable duniveau première (site Saint-Barthélemy),B. LESAGE, professeur documentaliste

    au collège, site Saint-Jean,B. LOURDAIS, chargé de communication.

  • juin 2013• Les Echos n°36 17

    La direct ion du Lycée a souhaitél’organisation d’un 3ème Forum desMétiers qui, originalité de cette 3èmeédition, était rendu obligatoire pour les élèvesde 2nde et de 1ère. Ainsi chaque élève de cesniveaux devait choisir au moins deux métierset s’y pré-inscrire.

    Les troisièmes et terminales, avisés par voied’affiches actualisées chaque jour, pouvaients’y rendre sans pré-inscription.

    L’association desparents d’élèvesFORUM des MÉTiERS, 3ème édition

    Grâce�à�la�belle�mobilisationdes�parents�d’élèves�:

    les�secteurs�d’activités�et�lesmétiers� ont� pu� être� aussidiversifiés�que :

    Pendant la semaine du Forum, près de 35métiers ont ainsi été présentés sous formed’ateliers de 45 mn pendant l’heure dudéjeuner avec près de 600 participations.

    Les questionnaires d’évaluation recueillisauprès des élèves après chaqueintervention (74 % de retour) indiquentune large part de satisfaction :

    Médecin, avocat d’affaires - commerceinternational, chirurgien plasticien etchirurgie digestive, Ingénieurs dansl’électronique / dans l’agriculture etl’environnement, professionnels de laFinance: conseil en cessions acquisitionsd’entreprises et directeur de lapart ic ipat ion en capi ta l - r i squetechnologique, architecte, notaire,e x p e r t c o m p t a b l e , d é l é g u épharmaceutique, médecins psychiatre,pédopsychiatre et anesthésiste, conseilsen entreprises et services, les métiersde la Police, conseil en développementéconomique, directeur de Clusterlogiciels et services informatiques,conseil en orientation, acheteur, avocatfiscaliste, agent général d’assurances,ingénieur designer, web manager,créateur d’entreprise dans l’acoustique,chef de projet et responsable qualitéinformatiques, créateur d’entreprisedans l ’ intér im et la formation,vétérinaire enseignante, pharmacienne,pilote de Chasse, directrice d’agenced e c ommun i c a t i on , d i r e c t e u rd’entreprise de biotechnologie.

    Le projet professionnel de nos jeunes se construit tout au long de leur scolarité grâce,notamment, à un dialogue régulier avec les différents acteurs de l’orientation et leur famille.

    Le Forum des métiers de l’A.P.E.L. s’inscrit, en complémentarité de l’accompagnement à la découvertedes métiers et des formations par l’équipe éducative du centre scolaire des Lazaristes.

    A.P.E.L.

    L’A.P.E.L.

    93% ont trouvé un intérêt au Forumdes Métiers.82 % ont reçu une réponse à leursattentes durant la présentation dumétier.92 % de satisfaction globale.

    l e p ro f e s s i onna l i sme de l eu rpréparation

    et pour avoir « fait vivre » leur métieravec implication et passion auprèsdes élèves.

    Les élèves ont également suggéré desmétiers complémentaires pour les futureséditions, tandis que les intervenantsremarquaient l’attention des jeunes, lesquestions toujours pertinentes même sielles sont parfois considérées comme « peunombreuses ».

    Les intervenants, parents d’élèves engrande majorité, et des professionnelsspécifiquement sollicités, sont prêts às’impliquer à nouveau lors d’un prochainForum. A l’occasion de ce bilan nousremercions la Direction, l’équipe éducativeet le service de restauration pour avoirfacilité l’organisation de ce Forum et pourla qualité de leur accueil.

    Nos remerciements vont également versles parents qui s’étaient proposés et lesintervenants pour :

    Et merci aux jeunes d’avoir participé aussiattentivement à ces interventions dequalité.

    Pour l’avenir et toujours en complémentarité,la formule du Forum pourra évoluerselon les besoins et pourrait êtrecomplétée par l’A.P.E.L. avec, par exemple,un atelier de préparation aux entretiens(ex d’admission post-bac, de stage…).

    Quoi qu’il en soit ce type de forum estune étape dans l’orientation.

    Il participe à rendre accessible et vivantle monde professionnel auprès desélèves, à tisser un début de lien, uncommencement de réseau qui se poursuitau-delà de la semaine du Forum et restecomplémenta i re aux documents ,informations traditionnelles commenumérique. Un beau rendez-vous avecl’avenir !

    L. CHARLES, L. DOUMBA-KINDA etC. DE WIDERSPACH, Commision

    Orientation de l’A.P.E.L.

  • 18 Les Echos n°36 • juin 2013

    La vie de l’associationsportiveL’association�sportive�au�collège

    Le projet professionnel de nos jeunes se construit tout au long de leur scolarité grâce, notamment, à undialogue régulier avec les différents acteurs de l’orientation et leur famille.

    Le Forum des métiers de l’A.P.E.L. s’inscrit, en complémentarité de l’accompagnement à la découvertedes métiers et des formations par l’équipe éducative du centre scolaire des Lazaristes.

    Benjamins�et�MinimesCette saison 2012/2013, L’A.S. Lazaristes a engagé une équipe de foot benjamins et une équipe de footminimes en championnat U.G.S.E.L.

    Le niveau de ces équipes étaitmoyen, avec de bons joueurs etd’autres joueurs au potentielphysique et technique plus modeste.

    Globalement, le collectif a bienfonctionné.

    Les équipes ont su rester solidaires etmotivées, ne baissant pas les bras devantdes résultats parfois décevants.

    L’une et l’autre ont terminé en milieude classement de leur catégorierespective, derrière des équipes plusfortes et plus homogènes.

    Point positif, les équipes benjamines etminimes ont été animées d’une bonneambiance. Les joueurs ont tissé desliens de franche camaraderie.

    G. ODRASProfesseur d’E.P.S.

    sur le site Saint-Barthélemy

    BenjaminsLe mercredi 13 mars 2013, s’est déroulé au gymnase des Lazaristes (site Saint-Barthélemy) le ChallengeBenjamin Basket en lien avec la FFBB (Fédération Française de Basketball).

    L’objectif de cette finale régionale aété de qualifier une équipe fille etune équipe garçon à la grandefinale nationale à Angers en juinprochain. Les élèves benjamins (classede sixième et de cinquième) se sontaffrontés lors d’épreuves individuellesde tirs et de match en 3 contre 3. Sixétablissements étaient présents,

    l’Immaculée Conception (Villeurbanne),Chevreul (Lyon), Robin (Vienne), NotreDame du Bon Conseil (Oullins), LesMarronniers (Condrieu) et bien sûr lesLazaristes. L’équipe des Lazos se classe3ème au classement général toutesépreuves confondues. Bravo à Chevreulet à L’immac qui qualifient leurs équipespour la finale.

    Le mercredi 20 mars 2013, s’est déroulée au Centre Scolaire Notre Dame des Victoires (Voiron) la finalerégionale du championnat de basket U.G.S.E.L. (Union Générale du Sport de l’Enseignement Libre)catégorie minimes (quatrième, troisième).

    L’équipe de Lazo termine égalementà la troisième place face à deséquipes de joueurs de clubs d’un

    niveau largement supérieur mais qui

    ont été quelque peu accrochés par nos

    élèves des Lazaristes qui se sont bien

    battus, le tout dans un très bon étatd’esprit.Bravo à tous les basketteurs pour leurimplication et leurs performances !

    M. BIENVENUProfesseur d’E.P.S.

    sur le site Saint-Barthélemy

    BASKET

    F O OT

    Minimes

    AssociationSportive

  • juin 2013 • Les Echos n°36 19

    L’association�sportive�au�lycée

    La musculation est largement présente dans les pratiques physiques dela société moderne.

    Nos é l è v e s s e r o n t t r è scertainement appelés plus tardà pratiquer la musculation, entant que :• sportif attentif à son état de forme• adulte soucieux de sa santé• "culturiste".

    Ainsi 23 de nos élèves se sont inscritscette année à l’activité musculationproposée dans le cadre de l’associationsportive, sur les créneaux du lundi de16h45 à 18h15 et du mercredi de 16h45à 18h15.

    Trois objectifs de développement leursont proposés :

    • « Accompagner un projet sportif( r e che rche ga in de pu i s sancemusculaire) »

    • « Conduire un développement physiqueen relation avec les objectifs de forme,d e p r é v e n t i o n d e s a c c i d e n t s( ton i f i ca t ion , ra f fe rmissementmuscu l a i r e , a f f i n emen t de l asilhouette) »

    • « Solliciter la musculature pour ladévelopper (hypertrophie) »

    À travers la pratique de cette activité,nous souhaitons préparer nos élèves enleur donnant le sens des responsabilitéset de l’autonomie ici et maintenant envue d’une pratique efficace et sécuriséeailleurs et plus tard.

    A. BIBLOCQUEProfesseur d’E.P.S.

    sur le site Saint-Barthélemy

    Le niveau s’est élevé progressivement tout au long de l’année, moins de dribbles, plus de passes courtes et plus demouvements sans ballon, ont donné du rythme au jeu. Bravo aussi à l’état d’esprit de tous, le fair-play, le respect desautres et la cordialité des rapports humains ont participé à la réussite totale de cette association sportive 2012-2013.J.P ORIF, Professeur d’E.P.S. sur le site Saint-Barthélemy

    L’Association Sportive FUTSAL a regroupé 30 élèves des niveaux SECONDE, PREMIÈREet TERMINALE, les lundis et mercredis. La fréquentation assidue a révélé l’attrait

    incontestable de ce sport très éprouvant (Il n’y a pas de touche, donc pas de temps de repos).

    FUTSAL

    MUSCULATION

    L’association sportive escalade a enregistré 69 inscriptions sur le deuxième semestrede l’année 2012/2013.

    Cela concernait une majorité d’élèves de6èmes et de 5èmes, avec un tiers de l’effectifreprésenté par des filles. Après l’acquisitiondes compétences de sécurité (savoirs’encorder, savoir assurer), une compétitionpar équipes de trois, tirées au sort, a étéorganisée.

    • Gauthier Muguet (4ème 5),

    • Raphaëlle Mangon (5ème 2),

    • Marie Picard (5ème 1),

    sont les gagnants de cette compétition.

    En bilan de cette activité,

    pour Raphaëlle : « moi je trouve quec’est une bonne idée d’avoir fait un murd’escalade au collège ! » ;

    quant à Gauthier : « c’est bien parceque c’est varié, il y a des voies pour tousles niveaux ».

    Resp. B. LEFEBVRE et J.M PERRET,Professeurs d’EPS sur le site Saint-Jean

    ESCALADE

  • 20 Les Echos n°36 • juin 2013

    Le dimanche 14 avril 2013, les coureurs de la « Lazo Team »ont participé au LYON URBAN TRAIL pour la deuxième fois .

    Nous nous retrouvons à 8h30 àproximité de la fontaine de laplace des Terreaux pour latraditionnelle photo d’avant course,

    en compagnie du speaker officiel de lacourse qui a repéré notre groupe, il estvrai encore bien plus nombreux quel’an passé. Cette année la « Lazo Team »

    relève un défi bien particulier, celui de

    faire mieux que nos voisins les Maristes,

    eux aussi engagés dans la compétition.

    Le retour à un ancien tracé fait évoluer

    les coureurs dans les difficultés bien

    spécifiques à la course : à savoir la rue

    Terme (pente qui a accueilli le tout

    premier funiculaire du monde en 1860),

    la montée des Carmes, la montée

    Nicolas de Lange et ses 520 marches

    jusqu’à Fourvière, le parc du Rosaire,

    la montée du Gourguillon, le parc des

    Hauteurs, l’ancienne piste de ski de la

    Sarra et bien d’autres montées et

    marches de la ville.

    Les coureurs de la Lazo Team ont encore

    réalisé de très belles performances, un

    grand bravo à tous, et notamment aux

    6 élèves de prépa CPGE et TSI pour

    leur implication.

    Encore un grand bravo à tous les coureurs, et à bientôt pour de nouvelles épreuves !

    M. BIENVENU,Professeur d’E.P.S. sur le site Saint-Barthélemy

    NOM Prénom Classe Temps Classement général Classement catégorieGUILHEM Jean CPGE 59,15 49 4/JuniorBIENVENU Matthieu Prof 1,03,02 114 66/SeniorCHARLENT Victor CPGE 1,03,03 115 23/EspoirFOURNIER Vincent CPGE 1,03,42 128 10/JuniorHERTZ César TS3 1,03,55 136 11/JuniorCOMPAIN Thibault 2nd 3 1,05,51 187 7/CadetTISSEYRE Vincent CPGE 1,06,13 203 33/EspoirBURRELIER Marc TS4 1,06,27 207 15/JuniorMARCHEVAL Wilfried Directeur 1,07,53 248 27/Vétéran1BIBLOCQUE Alexandre Prof 1,13,13 445 268/SeniorBOURDARIAT Azadeh 1S2 1,13,29 458 1/CadetteBERGE Quentin CPGE 1,16,34 584 58/EspoirPROST Hippolyte 1ES2 1,17,17 611 19/CadetBAUMGARTEN Matthieu 1S3 1,17,46 636 21/CadetVALLIN Jérémie 1S4 1,18,42 706 22/CadetLEYNAUD Roman 1ES2 1,22,03 896 24/CadetGUICHARD Quentin CPGE 1,27,37 1192 41/JuniorCHAMMAS Adrien TS3 1,31,45 1387 42/JuniorMASSINA Arthur 1S3 1,32,44 1435 30/CadetCOMPAIN Valentine 1S2 1,33,26 1465 2/CadetteSOUCHELEAU Léa TS1 1,34,59 1548 10/JuniorFTHIEVON Nicolas 1S4

    RÉSULTATS

    LYON URBAN TRAIL

  • juin 2013 • Les Echos n°36 21

    La pastoraledu centre scolaire « Aux Lazaristes »

    Conte�de�noëlà�l’école�Saint-Jean

    Association�“Akwaba,�les�enfants”

    La classe deCM2 de l’École

    Saint Jean a fait le choix, au coursde l’Avent de préparer des contesde Noël à présenter aux autresclasses de l’École grâce à unthéâtre japonais.

    LYON 5E 41 lycéens des Lazar

    istes ont

    participé à des actions h

    umanitaires

    Depuis vingt

    ans, le

    centre scolaire laza-

    riste participe au ser-

    vice missionnaire lassali

    en

    sous le vocable « Akw

    aba

    les enfants » (bonjour

    en

    Ivoirien).

    L’été dernier, les lycée

    ns

    lyonnais sont partis en d

    eux

    directions : Rodrigues, île

    de

    l’océan indien, et Keesa

    ra,

    village en Inde. « Nous avo

    ns

    préparé ce séjour pend

    ant

    deux ans, financièrement

    par

    de petits travaux pour pay

    er

    le voyage et le matériel à e

    m-

    porter », explique Adrien

    .

    Parti à Rodrigues, Jules

    ra-

    conte : « C’est un pays t

    rès

    pauvre, mais les gens ne

    se

    plaignent pas et s’entr

    ai-

    dent ».

    Le dernier mot est collégi

    al :

    « Nous sommes partis pou

    r

    les aider, mais c’est eux q

    ui

    nous ont apporté beaucou

    p:

    leur accueil, leur sourire,

    leur

    générosité, leur amitié et t

    out

    ce que nous avons partag

    é ».

    Tous les parents et amis r

    as-

    semblés ont écouté

    les

    jeunes : « Nous sommes p

    ar-

    tis pour rencontrer

    des

    gens », répètent-ils au co

    urs

    de la soirée de vendredi e

    t le

    public les a sentis marqu

    és

    par ces rencontres.

    M. Bodin, chef d’établis

    se-

    ment, a souhaité longue v

    ie à

    Akwaba les enfants, « dan

    s la

    continuité des 300 jeun

    es

    partis depuis vingt ans ! ».

    Pierre Chaverot, présid

    ent

    du service du civisme, Je

    an-

    Claude Parcot, délégué

    des

    Écoles pour l’arrondis

    se-

    ment ont remis le « diplôm

    e »

    traditionnel du civisme,

    aux

    jeunes et aux neuf accomp

    a-

    gnateurs. La coupe du

    ci-

    visme a été décernée p

    our

    l’établissement, remise à

    M.

    Bodin et à Benoît Lourda

    is,

    président de « Akwaba

    les

    enfants ».

    Solidarité. Le service mi

    ssionnaire lassalien reg

    roupe en France, les lycé

    ens des Frères des école

    s chrétiennes, volontaire

    s pour une action au cou

    rs

    des vacances, dans un p

    ays défavorisé.

    Parents et amis ont

    longuement applaudi

    les lycéens. Photo Janine Ch

    alavon

    Souvenir de Keesara :

    un sac de riz. « C’était n

    otre

    nourriture quotidienne

    ! »

    Photo Janine Chalavon

    La coupe du civisme !

    De gauche à droite,

    MM. Chaverot, Bodin, L

    ourdais

    et Parcot. Photo Janine C

    halavon

    1

    2

    3

    1

    3

    2

    Le Progrès, le 3 décembre 2012

    Les élèves de la classe se sont répartisen 5 groupes (correspondant aux 5autres classes de l’École) et ont travailléen plusieurs étapes.

    • Lecture et analyse des textes afin deles « découper » en scènes.

    • É l a bo r a t i on i nd i v i due l l e d el’illustration de chaque « scène » surune planche

    • Mise en commun des ébauches pourdéterminer des caractères communsà chaque histoire

    • Élaboration des planches définitivesau crayon à papier

    • Colorisation des planches

    • Répartition des rôles de lecteurs

    • Répétition des lectures et mise enscènes des histoires

    • Tout ce travail a demandé del’écoute, de la solidarité, du respect…

    Une fois les planches terminées et lesrôles répartis, les groupes ont présenté àleurs classes respectives les contes deNoël dans la semaine qui a précédé cettefête. Le retour des autres élèves a été trèspositif, ils étaient ravis ! Puis un petit livreta été réalisé pour chacun des participants.Les élèves de la classe eux-mêmes nousont fait part de leur satisfaction à avoirélaboré ce projet de classe tous ensemble.

    En définitive, ce fut une belle réussite quinous engage à poursuivre dans la miseen place de tels projets pour les annéesà venir.

    C. LAPEINE,Professeur des écoles CM2

    F. BODIN, APSAnimatrice en pastorale

    UNE REVUE DE PRESSE

    THÉÂTRE

    Groupe Rodrigues 2012

    Groupe inde 2012

    Pastorale

  • 22 Les Echos n°36 • juin 2013

    Témoignage�des�confirmandsNous avions commencé notre préparation àla confirmation depuis plusieurs mois déjà

    mais ce que nous avons pu vivre le 28 janvier était fort : nous avons puparticiper à la journée diocésaine des confirmands.

    L’Unicef�“Aux�Lazaristes”En janvier, des bénévoles du comité du Rhône de L'Unicef sont intervenus lors des coursde pastorale. Ils nous ont tout d'abord présenté l'association : l'Unicef essaie de faire

    respecter tous les droits des enfants (droit à la santé, à l'éducation…) partout dans le monde. L'associationa trois missions : la mission de plaidoyer qui consiste à connaître les situations de détresse vécues par lesenfants du monde et les besoins qui en découlent, la mission de collecte de ressources et la mission desensibilisation de leurs droits.

    Les bénévoles nous ont montré undiaporama sur les conditions devie des enfants soldats : aujourd'hui,250000 sont exploités militairementaprès avoir été arrachés à leur famille,ils apprennent à se battre et à se servird'une arme.

    Les jeunes filles aussi sont concernées,elles font la guerre, sont souvent violéespuis abandonnées si elles tombentenceintes. L’UNICEF les aide en les

    faisant sortir de cet enfer puis en lesaidant psychologiquement et en leurapprenant un métier ou en leur offrantune éducation. Les enfants peuventbien sûr rejoindre leur famille, s'ils sontacceptés.

    Depuis 2001, 100 00 jeunes associésaux forces armées ont pu être soutenusdans leur libération et leur réinsertion.Les bénévoles qui sont venus dans notrelycée nous ont ouvert les yeux sur les

    conditions de vie de ces enfants, et surnotre propre chance d'être dans unpays où il n'y a pas la guerre et où lesjeunes ne sont pas exploités.

    Au début, nous avons été choqués devoir des images de petites filles et depetits garçons qui tiennent des armes.Ensuite, certains d'entre nous ont euenvie de les aider. Par ailleurs, il nousest aussi permis de participer endevenant Jeune Ambassadeur del'Unicef.

    Pour cela, il suffit d'entrer en contactavec le comité du Rhône de l'Unicef,dans le 6ème arrondissement. Une ventede bracelets a déjà été effectuée pardes Jeunes Ambassadeurs à l'intérieurdu lycée. N'hésitez pas à nous rejoindre!

    V. BERCEGEAY,Élève de 2nde 1

    CONFIRMATION

    UNICEF

    Réunis en début d'après midi ensalle de conférence aux lazaristesavec des jeunes venant de tout lediocèse, nous avons tout d'abordentendu un message de MonseigneurBarbarin. Puis nous avons pu assisterà deux témoignages très intéressantsexpl iquant ce que représentaitconcrètement le fait d’être confirmé.Nous avons ensuite pu partager en

    petits groupes nos impressions parrapport à ces témoignages. Puis nousavons pris le chemin de la cathédralepour assister à une messe avec notrearchevêque. La célébration fut animéepar le groupe de pop-louange Glorious.Lors de cette eucharistie très vivante,le cardinal a prêché sur l’Évangile dujour, les noces de Cana, en les mettanten relation avec la confirmation. Le

    samedi 6 avril dernier nous noussommes retrouvés chez les Frères pourvivre ensemble une journée centréesur le sacrement que nous préparons.Nous continuons actuellement notrepréparation qui nous mènera enoctobre pour la cérémonie.

    T. DIMIER,Élève de 1S3

  • juin 2013 • Les Echos n°36 23

    La fête de l’établissement…Un regard sur les différences

    Le 9 avril dernier, nous fêtions notre Saint Jean-Baptistede La Salle sous le signe du service, thème proposé parnotre réseau La Salle. Nous avions décliné ce thème dela manière suivante : « Mieux connaître l’autre et sesdifférences pour mieux servir ».

    Foi, fraternité, service, nos pilierslasalliens (mais avant tout chrétiens !),nous accompagnent depu i squelques années dans notre réseau. Etle service, nous l’avons retrouvé à diversniveaux dans cette journée particulière…

    Tout d’abord dans le travail de ceux quiont organisé la journée, ceux quipermettent que chacun s’amuse etqu’ensemble, élèves et éducateurs, nouspuissions célébrer la joie de vivre cebout de chemin dans le charisme deJean-Baptiste de La Salle.

    Le service, nous l’avons retrouvé dansnos multiples intervenants et associationscomme ADOS, Unicef, SEMIL, mais aussides personnes venues apporter leur« grain de sel » pour donner du goût àces rencontres par leur témoignage(personnes malvoyantes venues avec leurchien, personnes malentendantes, etc…).

    Le service, nous l’avons retrouvé dansl’eucharistie célébrée le matin avec deuxde nos prêtres référents, les pères Samuelet Sébastien, et où chacun, que ce soit

    les membres de la chorale(lycée et collège !), lesmusiciens, les animateurs,les lecteurs et toutel ’ a s s e m b l é e , a p uparticiper et faire unité.

    Le service, nous l’avons retrouvé dans leflashmob, préparé tout spécialementpar les 5èmes et 4èmes ainsi que les enfantsde l’école st Jean. Une soixantaine devolontaires a répété lors de nombreusesrencontres, sur le temps de midi, surune reprise de J-J. Goldman « Je tedonne »… Belle occasion de prendre untemps différent avec eux et de découvriravec quelle énergie ils savent s’engagerdans un projet et rester fidèles à cetengagement. Les enfants de l’école StJean et leurs enseignantes y ont mis toutleur cœur pour répéter ! Ce flashmob aété l’occasion de montrer le souci devivre ensemble dans un grand centrescolaire, vivre avec nos différences, àcommencer par l’âge, puisque nousaccueillons des enfants de 2 ans et demijusqu’à 20 ans environ !

    Ce flashmob, nous l’avons retrouvé lelendemain avec une délégation decollégiens au Tour de France du serviceà l’Institut Sandar.

    Le service, nous l’avons retrouvé dansnos jeunes de 4ème qui ont donné leuraprès-midi de fête pour aider les pluspetits, dans nos collègues qui ont réfléchiet imaginé des activités amusantes pourles jeunes…

    Enfin, le service, nous l’avons retrouvédans les sourires échangés, et lesmoments partagés un peu « à part »…histoire de nous rappeler, en parlant dufondateur à nos élèves, que ce nom de« frère » n’est pas anodin.

    Être les grands frères de ceux qui noussont confiés, voilà une belle mission etun beau défi au service de leur croissance,comme nous y invite notre Projet ÉducatifLasallien !

    Rendez-vous donc l’année prochainepour une nouvelle journée, dont le thèmeaura changé certes, mais où le servicesera toujours présent et vivant !

    S. BALMELLECoordinatrice de la pastorale

    du Centre Scolaire “Aux Lazaristes”

    FÊTE DE L’ÉTABLISSEMENT

    Fête

    @tekoaphotos

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  • 24 Les Echos n°36 • juin 2013

    L’associationdes anciens élèvesnouvelles des anciens

    Association desAnciens Élèves

    Quand la voiture est versée, chacun vientdonner des conseils. Arménie

    Bavardage est écume sur l’eau, action est goutte d’or. Tibet

    Qui crée dans sa vie, meurt en souriant. Pologne

    Les cinq sens sont cinq portes pour les péchés. Suède

    L’eau arrive à laver beaucoup de choses,mais pas une mauvaise langue. Croatie

    À celui que vous voulez embarrasser, laissez la liberté de choisir. Monde arabe

    Délibère lentement et exécute lentement. Italie

    Pauvreté honnête vaut mieux que richesse mal acquise. Grèce

    La charité n’a jamais appauvri. Allemagne

    On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite. Japon

    « Sagesse du monde » retient l’attention de nos lecteurs. Adressez-nous vos découvertes.Notre prochaine parution consacrera cette rubrique à nos envois. Merci

    N.H. KOUZOUPIS

    DéCèSNous avons été informés du décès deMonsieur Alain BONNAND, survenu le

    27 juin 2012.

    Nous présentons à sa famille nos plussincères condoléances.

    (Sortie en 1967)

    7, rue du rif Tronchard38120 Saint-Egrève

    Souscription

    TIRAGE 20131er prix n° 1341 1 appareil photo numérique

    2ème prix : n° 2881 1 montre

    3ème prix : n° 3401 1 livre sur la ville de Lyon

    4ème prix : n° 1071 1 bouteille de whisky

    Pour retirer les lots, les gagnants doivents'adresser à notre secrétariat “Aux Lazaristes”,

    Valérie COLOMB - Tél. 04 72 77 13 90

    Date à retenirASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ANCIENS ÉLÈVES

    Samedi 19 octobre 2013 à 11h • Messe du souvenir à 10h

    SAGESSE DU MONDE

    Anciensélèves

  • juin 2013 • Les Echos n°36 25

    UDAEC�des�Responsables�d’Amicales,�RHÔNE�-�ROANNAIS�Rencontre,le�30 janvier�2013

    Nous considérons en effet que nous avonsreçu plus qu’un simple enseignement dequalité, et nous souhaitons que nos écolespoursuivent leur mission. Or, nosAssociations ont beaucoup de difficulténon seulement à se développer, maismême à maintenir le nombre de leursadhérents, et parfois à survivre, alors quepourtant chaque année, de nombreuxélèves finissent leur cursus scolaire…

    Nous avons donc essayé de réfléchir àdes solutions possibles pour aider lesAssociations à surmonter ces difficultés.C’est dans cette optique que nous avonsorganisé une réunion de travail avec lesresponsables de nos associations d’anciensélèves, qui s’est tenue le 30 janvier 2013,au Lycée LA FAVORITE.

    Nous avons été reçus très chaleureusementpar son Directeur général : Jean-PierreDUFOUR, qui a participé à toute notreréunion. Bernadette TOURLONIAS(Présidente) de l ’association de laFAVORITE, qui avait organisé cette réunionn’a pu, à la dernière minute se joindre ànous… Nous la remercions vivementd’avoir tout prévu pour que cette réunionse passe dans les meilleures conditionspossibles ;

    Étaient également présents :

    • Michel ARVERS, de Jehanne de France

    • Arlette JACQUEMET (Secrétaire) del’ICOF ;

    • Guy JUILLARD, Robert ANGST, Pierre-Louis CHAMPEL, Adrien MORAT etmoi-même, de LA MACHE;

    • Noël JANIN, Jean-Marc LETELLIER etBernadette MOYAT, de LA SALLE -SACRE-CŒUR;

    • Jean-Paul BESSON, Bernard ARNOUXet Pierre PIGUET des LAZARISTES ;

    • Annie VILLOT, de SAINT-ROCH /Feyzin ;

    • Jacques MAGNARD, de SAINT-MARC;

    • Marinette RETY, de SAINTE-URSULE ;

    • Pierre AYME, de l’ECAM

    Soit 16 personnes représentant 9 Amicales.

    Ont été empêchés et se sont excusés :

    • Julien CALLIGARO, président del’AESTAV, de Saint-Thomas d’Aquin-Veritas

    • Maurice RIGOTTO, président del’Amicale de N.D. de Bellegarde

    • Joseph COQUARD, de Sandar

    Nous avons t rava i l lé sur notreproposition, à savoir :La création au sein de nos Amicales d’ungroupe des « Jeunes Aînés »… (Vous savezque les groupes politiques ont tous créé leur« groupe jeune », avec un certain succès…)

    L’objectif est le suivant :

    • créer une image plus jeune del’Amicale auprès de ceux qui quittentl’école…

    • palier à la différence culturelle existantaujourd’hui entre les jeunes étudiantset nous-mêmes, en part icul ierconcernant tout ce qui touche àl’informatique, à internet, aux forumset aux « réseaux sociaux »…

    • faciliter les échanges sur les métierset sur les emplois, les l iens etpasserelles avec les jeunes, qui aimentse retrouver autour d’une fête…

    • se faire connaître auprès des élèvesen orientant le site internet vers eux.

    • développer les réseaux d’échanges etd’expérimentations.

    L’âge maximum pour appartenir à cegroupe des « Jeunes Aînés » serait de 40ans ; Tous les moins de 40 ans seraientdonc inscrits dans ce groupe ;

    L’objectif étant que chaque Amicalesoutienne et mette en avant ce groupe,qui aura ses propres propositions etcommissions à lui, et qui correspondrontbeaucoup mieux aux souhaits des « JeunesAînés » et des étudiants.

    La gestion des demandes de stagepourrait, peut-être, faire partie de leurprérogative, à charge aux 40 à 60 ans deproposer des listings… Cela devrait susciterplus d’intérêt de la part des élèves pource groupe des « Jeunes Aînés »…

    La présidence pourrait être proposée àun membre déjà présent du Conseil del’Amicale…

    Il constituerait alors un groupe, toujoursavec l’approbation de l’ensemble desmembres du Conseil, à qui il en référerait…

    Les modalités de fonctionnement restantbien sûr à approfondir…

    La grande difficulté, notre assemblée ena convenu, est de trouver des jeunes demoins de 40 ans qui acceptent d’entreraux Conseils de nos Amicales, comptetenu de leur emploi du temps à cetteépoque de la vie où on est engagé à fonddans son travail, peut-être aussi dans safamille…

    Toutefois, nous savons que cela estpossible, nous avons au Conseil à LaMache 4 jeunes de moins de 40 ans…Mais il faut que cela devienne un objectifprioritaire du Conseil que de repérer lesbons profils, les intégrer…

    L’Udaec souhaite qu’au moins une Amicaleexpérimente cette proposition…

    Nous avons terminé la so i rée enéchangeant nos idées au cours d’un trèsbon repas servi au self de La Favorite, surle même site géographique…

    H. CHAMPEL, Président UDAEC

    UDAEC

    Nous considérons que les Anciens Élèves sont la mémoire de leurs Écoles, leurs racines culturelles. Ilsconnaissent bien l’historique et le Projet d’Établissement. Nos écoles ont besoin de leur aide pourmaintenir vivantes leurs traditions, les projets des femmes et des hommes qui les ont créés.

  • Le�rallye�pédestre,�lors�de�la�fête�de�l’établissement

    Après la célébration en la primatiale SaintJean-Baptiste, les 9 équipes de trois seprésentent au stand de départ près de lacafétéria. Il ne fait pas très chaud, et leciel demeure menaçant. Qu’importe, lesconcurrents récupèrent les feuilles deroute comportant les questions et lesdonnées permettant de répondre et derespecter l’itinéraire.

    Elles contiennent une vingtaine dequestions diverses faisant appel àl’observation, la curiosité, à l’histoire ainsiqu’à des éléments et des événementspropres à la ville de Lyon. Un certainnombre de réponses, avec un peu deperspicacité sont repérables ou lisiblestout au long du parcours.

    Dans un premier temps, directionl’esplanade de Fourvière, puis il fautemprunter l’ancienne ligne de tram, laplus courte de France, jusqu’au cimetièrede Loyasse. Le périple continue afin derejoindre le sommet du site archéologiqueromain. Il est difficile de s’appesantir surle panorama grandiose qui s’offre sur laville, car le temps presse. Ici encore, il estnécessaire d’étudier avec soins les élémentsparmi le dédale des ruines, les réponsesse trouvant souvent à portée de vue.

    Après avoir rejoint l’entrée principale, lesparticipants peuvent rentrer Aux Lazaristes,site Saint-Barthélemy, sans oublier derépondre aux deux questions subsidiairesservant à départager les candidats exaequo. Les équipes que nous avions

    lâchées toutes les trois minutes sont deretour à treize heures. Le circuit cetteannée semble relativement plus court,mais les questions plus nombreuses. Lesrésultats dans l’ensemble sont bons.Internet at-il favorisé les choses?

    Pour les trois premières équipes, la remisedes prix se traduit sous forme de bonsd’achat autour du verre de l’amitié.Moment intéressant et très sympathiquepour nous, anciens élèves, qui n’avonspas assez d’occasions de nous entreteniravec les futurs anciens.

    A l’année prochaine, et un grand merciaux organisateurs et aux participants.

    J. P BESSON,Le président

    Mardi 9 avril, jour de la fête de l’établissement, plusieurs membres du bureau des anciens élèves se sontréunis Aux Lazaristes, afin d’assurer le bon déroulement du rallye pédestre annuel, réservé aux élèves duniveau troisième jusqu’au niveau terminale. Auparavant, le samedi 9 mars, une petite équipe s’était déjàretrouvée afin de reconnaître et de finaliser le futur circuit.

    AVIS AUX ÉLÈVES QUITTANT LES LAZOS

    Nous participons à la plupart des événements quiponctuent la vie de l’établissement. Notre bulletin,ouvert à tous, édité deux fois par an et notre site,vous permettront de recevoir des nouvelles de voscamarades et de votre lycée.Les membres du bureau organisent tous les ansdes manifestations festives en collaboration avecles élèves et les anciens.Nous participons au conseil de gestion del’établissement et maintenons des contacts avectoutes les parties prenantes de la communautééducative. Notre amicale est regroupée au seind’une fédération nationale. Nos entrées cotisationsengendrent différentes actions ponctuelles enfaveur de l’école, des élèves et des anciens suivantles disponibilités et les priorités.

    Nous restons à votre disposition, pour vous fairebénéficier de nos conseils et de notre expérience.Lien indispensable entre les générations, noustravaillons afin de développer des relations d’amitié,de solidarité et d’entraide au sein de notreassociation.

    Cotisant ou non, pensez à nous communiquer vosadresses respectives, afin que nous puissions dansl’avenir vous prévenir à l’occasion de manifestationsou de réunions de promotion.

    Venez vite nous rejoindre, merci d’avance et àbientôt.

    J.P BESSON,Le Président

    BULLETIN D'ADHÉSIONAssociation des Anciens Élèves des LAZARISTES 24, montée Saint-Barthélemy - 69321 LYON CEDEX 05

    E-mail : association @anciens-lazos. org • Site : anciens-lazos.org

    NOM: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Prénom: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Téléphone : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    E-mail : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .@ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Année sortie

    Vous avez terminé vos études secondaires aux Lazos. Nous vous rappelons qu’il existe dans notrelycée, une amicale des anciens élèves qui entretient entre eux et leur école des relations privilégiées.

    RALLYE

  • juin 2013 • Les Echos n°36 27

    Le tour de Francedu service à Limonest

    Une étape placée sous le signe de l’attention et durespect mutuel, c’est ainsi que Jean Chapuis, délégué deTutelle de la délégation a conclu la journée, en ajoutant :"Nous vous avons trouvé formidables !" Et c’est vraiqu’ils l’ont été tant les jeunes que les adultes…

    La particularité de l’étape, s’il doit y en avoir une, estcelle de l’appartenance, appartenance à un réseau, àdes convictions : "Everybody love JB LaSalle", c’était le refrain repris par tous lors de la présentation deJean-Baptiste de La Salle de Clermont-Ferrant et il résume bien le climat de cette belle journée !

    Limonest, Institut Sandar, chacunvenait investi d’une mission, cellede présenter son établissement auxautres participants. Pas une présentation

    protocolaire et froide mais une

    présentation qui dise ce que l’on y

    vit… et chacun a rivalisé d’ingéniosité,

    d’inventivité essentiellement sous la

    forme de clip vidéo, quelques exemples:

    • un court-métrage des TS et TSTAV

    de Sandar sur la vie dans leur

    établissement, de l’humour et du

    respect, un beau combiné ! La vie

    à Sandar vue par les élèves, ça

    donne envie…

    • Une parodie des enfoirés par

    l’équipe des jeunes et des adultes

    de l’institut des jeunes sourds Plein

    Vent « et des gens qui bougent

    encore, et des gens qui rêvent encore »

    a été l’occasion pour tous de faire

    une tentative de signer sous la

    bienveillante conduite de Kevin

    Escharavil.

    • Le rap du Lil Family group, dejeunes de Bac Pro, CAP et Bac STIà Saint-Louis - Sainte-Barbe de Saint-Étienne, pour certains demandeursd’asile.

    • Le Lip Dup des collégiens du CentreScolaire « Aux Lazaristes » sur lamusique de Génération Goldman« Je te donne », utilisé lors de la fêtede l’établissement du mardi 9 avril.

    • sans oublier le Harlem Shake de LaSalle Pringy et…

    Comme le soleil était avec nous eti l luminait le site magnif ique del’établissement, nous ne sommes pasrestés à l’intérieur, même si ce quenous y partagions était passionnant :Flash mob, band