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PASTO LAZOS NEWS N°5 - Vendredi 8 mai 2020 La lettre de la Pastorale aux Lycéens Ce#e semaine, nous restons dans l’incer/tude quant au retour au lycée. J’habite à Fourvière juste à côté de la basilique, j’avais besoin de documents qui étaient dans le bureau de la pasto à St Barthélémy, alors je suis passé aux Lazos … Choc de voir le lycée en(èrement vide ! Je n’ai croisé personne ! Les murs crient pour réclamer votre présence ! Concrètement, pour rester en contact nous vous proposons ce#e pe#te le’re de la pasto du lycée. Au mois de mai, nous publierons une le,re tous les quinze jours pour tous les lycéens et une le+re tous les quinze jours pour les secondes qui préparent leur confirma1on. Ce#e semaine, le thème est interreligieux : le Ramadan. Quelques éléments sur ce mois sacré vécu par les musulmans : une présenta+on de ce qu’est le Ramadan, une ini+a+ve originale d’un musulman belge Ismaël Saïdi et son spectacle Djihad et enfin une réflexion sur la générosité des jeunes qui va à l’encontre des idées reçues... J’espère que ce,e le#re vous plaira. Dernière chose : nous a(endons vos réac)ons. Dites-nous si cela vous a plu, si cela vous a agacé, si vous voulez autre chose… Nous sommes à votre service et nous avons hâte de vous voir ! P. Jean Eudes Chavanat et l’équipe pastorale du lycée [email protected] vu d’ailleurs Un Ramadan confiné en Arabie saoudite Alors que le mois sacré de Ramadan devrait débuter vendredi, les mosquées resteront fermées au grand public en Arabie saoudite. La maladie menace aussi le grand pèlerinage musulman qui doit se tenir fin juillet à La Mecque. Nicolas Keraudren, La Croix le 24/04/2020 Dubaï « Nos cœurs pleurent », se lamente Ali Mulla, le muezzin de la Grande Mosquée de La Mecque interviewé par la chaîne de télévision Al Arabiya. À l’approche du Ramadan qui devrait débuter vendredi (NDLR 24 avril) en Arabie saoudite, ce sentiment de tristesse est partagé par de nombreux résidents du pays. Car le royaume, qui abrite les lieux saints de La Mecque et de Médine, s’apprête lui aussi à vivre un Ramadan confiné. Le Grand Mufti, Sheikh Abdulaziz Al Sheikh, a donc exhorté les fidèles à prier depuis la maison pour éviter les rassemblements. Les mosquées resteront fermées au grand public. Des mesures avaient pourtant été prises très tôt par les autorités pour endiguer la propagation du nouveau coronavirus. Dès le 27 février, les visas touristiques avaient été suspendus. Les écoles ont également été fermées début mars, suivies des mosquées. Le petit pèl erinage des musulmans, la omra, avait aussi été suspendu pour les étrangers d‘abord, puis pour les résidents du royaume. Malgré tout, le nombre de personnes contaminées par le Covid-19 n’a cessé d’augmenter en Arabie saoudite. À ce jour, plus de 12 000 cas positifs ont été confirmés, et plus de 100 décès liés à la maladie recensés dans la monarchie du Golfe qui comptabilise environ 33 millions d’habitants. Face à ce chamboulement, les fidèles du royaume réagissent avec fatalisme. « Nous sommes tristes, car nous ne pourrons pas dîner avec nos familles, ni même nous réunir comme nous le faisions chaque année. Mais nous devons suivre les instructions du gouvernement pour assurer notre sécurité », analyse Abdulrahman. Ce jeune saoudien de 21 ans avait aussi « l’habitude d’aller à La Mecque tous les ans pendant le Ramadan ». Mais cette année, il devra rester chez lui à Riyad. Abdallah, un ressortissant français de 39 ans vivant lui aussi dans la capitale saoudienne, souhaitait rentrer « au pays » pour célébrer le Ramadan avec sa famille. Son voyage a été annulé. Depuis le 15 mars, l‘Arabie saoudite a aussi suspendu tous les vols internationaux. Abdallah espère toutefois un » assouplissement » des règles de confinement d’ici à la fin du mois de Ramadan. « Cela nous permettrait de passer les derniers jours ainsi que l’Aïd dans les lieux saints », suppute le Français qui se dit de « nature optimiste ». Un scénario qui semble peu réaliste au vu de la hausse constante des cas. Dans ce contexte donc, le grand pèlerinage des musulmans qui doit se tenir fin juillet est lui aussi menacé. Le ministre chargé du hadj, Mohammed Banten, a exhorté les fidèles musulmans du monde entier à « attendre avant de planifier » leur séjour. Le cousin d’Abdallah et sa femme prévoyaient de venir cette année. « Ils ont reporté ce projet à l’année prochaine », précise le Français. Voici la vidéo réalisée par l'Ensemble Scolaire Aux Lazaristes - La Salle afin de remercier nos élèves. Juste leur ou dire MERCI ! h"p://www.auxlazaristes.fr/2020/04/juste-vous-dire- merci-en-video/ ou h"ps://urlz.fr/cBAy Musique et Vidéo Juste une heure avec toi ! (Cover 'Mistral Gagnant' Renaud) h"ps://urlz.fr/cAyE Qu’est-ce que le Ramadan ? | Le tour de la question h"ps://urlz.fr/cBAN

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PASTO LAZOS NEWS

N°5-Vendredi8mai2020

LalettredelaPastoraleauxLycéens

Ce#esemaine,nousrestonsdansl’incer/tudequantauretouraulycée.J’habiteàFourvièrejusteàcôtédelabasilique,j’avaisbesoindedocumentsquiétaientdanslebureaudelapastoàStBarthélémy,alorsjesuispasséauxLazos…Chocdevoirlelycéeen(èrementvide!Jen’aicroisépersonne!Lesmurscrientpourréclamervotreprésence!Concrètement,pourresterencontactnousvousproposonsce#epe#tele'redelapastodulycée.Aumoisdemai,nouspublieronsunele,retouslesquinzejourspourtousleslycéensetunele+retouslesquinzejourspourlessecondesquipréparentleurconfirma1on.Ce#esemaine,lethèmeestinterreligieux:leRamadan.Quelquesélémentssurcemoissacrévécuparlesmusulmans:uneprésenta+ondecequ’estleRamadan,uneini+a+veoriginaled’unmusulmanbelgeIsmaëlSaïdietsonspectacleDjihadetenfinuneréflexionsurlagénérositédesjeunesquivaàl’encontredesidéesreçues...J’espèrequece,ele#revousplaira.Dernièrechose:nousa(endonsvosréac)ons.Dites-noussicelavousaplu,sicelavousaagacé,sivousvoulezautrechose…Noussommesàvotreserviceetnousavonshâtedevousvoir!P.JeanEudesChavanatetl’équipepastoraledulycé[email protected]

vu d’ailleurs Un Ramadan confiné en Arabie saoudite Alors que le mois sacré de Ramadan devrait débuter vendredi, les mosquées resteront fermées au grand public en Arabie saoudite. La maladie menace aussi le grand pèlerinage musulman qui doit se tenir fin juillet à La Mecque. Nicolas Keraudren, La Croix le 24/04/2020 Dubaï « Nos cœurs pleurent », se lamente Ali Mulla, le muezzin de la Grande Mosquée de La Mecque interviewé par la chaîne de télévision Al Arabiya. À l’approche du Ramadan qui devrait débuter vendredi (NDLR 24 avril) en Arabie saoudite, ce sentiment de tristesse est partagé par de nombreux résidents du pays. Car le royaume, qui abrite les lieux saints de La Mecque et de Médine, s’apprête lui aussi à vivre un Ramadan confiné. Le Grand Mufti, Sheikh Abdulaziz Al Sheikh, a donc exhorté les fidèles à prier depuis la maison pour éviter les rassemblements. Les mosquées resteront fermées au grand public. Des mesures avaient pourtant été prises très tôt par les autorités pour endiguer la propagation du nouveau coronavirus. Dès le 27 février, les visas touristiques avaient été suspendus. Les écoles ont également été fermées début mars, suivies des mosquées. Le petit pèlerinage des musulmans, la omra, avait aussi été suspendu pour les étrangers d‘abord, puis pour les résidents du royaume. Malgré tout, le nombre de personnes contaminées par le Covid-19 n’a cessé d’augmenter en Arabie saoudite. À ce jour, plus de 12 000 cas positifs ont été confirmés, et plus de 100 décès liés à la maladie recensés dans la monarchie du Golfe qui comptabilise environ 33 millions d’habitants. Face à ce chamboulement, les fidèles du royaume réagissent avec fatalisme. « Nous sommes tristes, car nous ne pourrons pas dîner avec nos familles, ni même nous réunir comme nous le faisions chaque année. Mais nous devons suivre les instructions du gouvernement pour assurer notre sécurité », analyse Abdulrahman. Ce jeune saoudien de 21 ans avait aussi « l’habitude d’aller à La Mecque tous les ans pendant le Ramadan ». Mais cette année, il devra rester chez lui à Riyad. Abdallah, un ressortissant français de 39 ans vivant lui aussi dans la capitale saoudienne, souhaitait rentrer « au pays » pour célébrer le Ramadan avec sa famille. Son voyage a été annulé. Depuis le 15 mars, l‘Arabie saoudite a aussi suspendu tous les vols internationaux. Abdallah espère toutefois un » assouplissement » des règles de confinement d’ici à la fin du mois de Ramadan. « Cela nous permettrait de passer les derniers jours ainsi que l’Aïd dans les lieux saints », suppute le Français qui se dit de « nature optimiste ». Un scénario qui semble peu réaliste au vu de la hausse constante des cas. Dans ce contexte donc, le grand pèlerinage des musulmans qui doit se tenir fin juillet est lui aussi menacé. Le ministre chargé du hadj, Mohammed Banten, a exhorté les fidèles musulmans du monde entier à « attendre avant de planifier » leur séjour. Le cousin d’Abdallah et sa femme prévoyaient de venir cette année. « Ils ont reporté ce projet à l’année prochaine », précise le Français.

Voicilavidéoréaliséeparl'EnsembleScolaireAuxLazaristes-LaSalleafinderemerciernosélèves.

JusteleuroudireMERCI!

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Musique et Vidéo

Juste une heure avec toi ! (Cover 'Mistral Gagnant' Renaud)h"ps://urlz.fr/cAyE

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Écrite et interprétée par des belges musulmans, cette comédie se moque des jeunes djihadistes qui se rendent en Syrie. Après avoir connu un succès retentissant en Belgique francophone, elle est jouée vendredi 15 avril à Trappes, devant 700 lycéens. Raphaëlle d’Yvoire, La Croix, le 14/04/2016 à 14:29

L’autodérision comme recette pour libérer la parole, provoquer le débat, et pourquoi pas faire de la prévention. Voilà le pari réussi du metteur en scène belge Ismaël Saïdi, auteur de la pièce Djihad. Ce Bruxellois de 39 ans, fils d’immigré marocain et « musulman pratiquant assumé », a eu l’idée du scénario au cours de l’été 2014, en entendant Marine Le Pen expliquer lors d’une interview télévisée que le départ de jeunes Français en Syrie « ne lui posait pas de problème, tant qu’ils ne reviennent pas ». « De tels propos de la part d’une responsable politique m’ont scandalisé, mais cela m’a donné envie d’écrire avec humour, car c’est tout ce que je sais faire », explique l’auteur qui reconnaît qu’il aurait pu, en son temps, tomber lui-même dans la radicalisation « par perte identitaire ». Au cœur de l’actualité L’histoire est simple et se veut réaliste : trois jeunes belges musulmans, un peu paumés, en quête d’idéal, mais qui n’ont jamais véritablement lu le Coran, décident au nom de leur religion de partir se battre en Syrie. Le long d’une odyssée tragicomique qui les mène de Bruxelles à Homs, ils découvrent les raisons qui ont poussé chacun à partir, et déchantent ensemble face à une réalité beaucoup moins belle que prévu. Le texte moque leur naïveté, leur obéissance aveugle, et surtout leur ignorance. Programmée laborieusement pour quelques dates en décembre 2014, la pièce a été rattrapée par l’actualité tragique de 2015. « On a commencé en espérant tenir cinq soirs devant vingt personnes maximum », explique Ismaël Saïdi. Le metteur en scène se souvient particulièrement de la représentation du 9 janvier 2015, qui devait initialement être la dernière. Ce soir-là – deux jours après les attentats de Charlie Hebdo, les hommes du GIGN venant d’abattre Amedy Coulibaly à l’Hyper Cacher –, les acteurs sont « un peu paniqués » mais décident de ne rien annuler. « Il y a eu finalement tellement de public, qu’on a dû jouer la pièce deux fois. À partir de là, c’était parti… », raconte le metteur en scène. Utilité publique Après cette soirée, l’attention autour de la pièce s’emballe. Des enseignants l’identifient comme « outil pédagogique » pour discuter du sujet avec leurs élèves. Et la ministre francophone bruxelloise en charge de la culture et de l’enseignement, Fadila Laanan, propose de la déclarer « d’utilité publique », afin qu’elle soit gratuitement accessible aux scolaires. Le metteur en scène accepte, exigeant en retour que les représentations au théâtre rassemblent des écoles de différents quartiers pour créer les conditions du débat. Car dans Djihad, l’humour est conçu comme vecteur de réflexion. Chaque représentation se termine par un débat avec les comédiens, un journaliste et un islamologue. « L’idée est de permettre aux jeunes de se lâcher, précise Ismaël Saidi. Au théâtre, ils en ont le droit. Après, c’est à nous de déconstruire les préjugés et démonter les clichés. » Après la Belgique, la France À ce jour, 40 000 personnes ont vu la pièce, dont 20 000 lycéens de Belgique francophone. À l’automne dernier, suite aux attentats terroristes du 13 novembre à Paris, l’équipe de Djihad est remontée sur les planches à Bruxelles ; la pièce a aussi été diffusée à la télévision belge. Et le travail d’élèves d’une classe de Rhétorique (équivalent Terminale) d’un prestigieux lycée bruxellois, a permis en décembre 2015 la sortie d’un livre (1), accompagné d’un dossier pédagogique. L’équipe de Djihad poursuit sur sa belle lancée hors des frontières belges, après avoir bravé les réticences et difficultés administratives de programmation en France, parfois invoquées « pour des raisons de sécurité ». La pièce doit être donnée vendredi 15 avril devant 700 lycéens de Trappes, dans les Yvelines. D’autres dates sont prévues à Nantes, Lyon ou au Puy en Velay (2)… Toujours avec cette conviction : l’humour est une arme universelle pour « combattre le cercle vicieux de l’ignorance, de la peur et de la méconnaissance de l’autre ». (1) Djihad, la pièce, Éd. La boîte à Pandore. Le livre devrait sortir en France fin janvier. (2) Le site de la pièce.

Une interview sur TV5 monde d’Ismaël Saïdi : "Ma pièce djihad pour réveiller les consciences"

h"ps://urlz.fr/cBAI

Djihad, la pièce de théâtre belge qui dénonce la radicalisation par l’humour

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Lesfaits:Plusdelamoi,édesjeunesdonateursontréaliséundondepuisledébutdelacrisesanitairedueaucoronavirus.Unepropor/onplusfortequedanslesautrestranchesd’âge.MathieuCastagnet,LaCroixle29/04/2020à22:01

Lesresponsablesassocia.fslesaventbien,lesseniorscons%tuenttoujoursleplusgrosbataillondedonateurs.Maislesplusjeunesnesontpaspourautantenpannedegénérositéetapparaissentmêmepar,culièrementmo,vésdepuisledébutdel’épidémiedueaucoronavirus.Selonlebaromètreréaliséparl’Ifoppourl’agenceLimite(1),quisuitdepuisdixansleshabitudesdesdonateursenligne,53%desdonateursdemoinsde35ansonteffectuéundonenréponseàlacrisesanitaire.Unepropor1onplusélevéequedanslesautrestranchesd’âge,oùletauxa5eint45%chezles35-49ansettourneautourd’un+erschezles50-64anscommechezlesplusde65ans.Desengagementsmul,plesCe#eréac)vitépar)culièredesjeunesdonateursn’estpasunesurprise.«Celaconfirmecequel’onvoyaitdéjàauparavantsurlesmoteursdudondansce#egénéra*on.Ilssontmoinsfidèlesàuneassocia1onenpar1culiermaissontprêtsàmul+plierleursengagementspourrépondreàdesactualitésquilestouchentouàdesprojetsprèsdechezeux»,expliqueLaurentTerrisse,fondateurdel’agencedecommunica(onLimite,spécialiséesurlessujetsd’intérêtgénéral.

Lamobilisa*ondesjeunesdonateursenréponseàlacrisesanitairedépassetoutefoislargementlessursautsayantaccompagnéd’autresévénementsrécents.Aprèsl’incendiedeNotre-DamedeParisoulesfeuxgigantesquesenAmazonie,un,ersdesjeunesdonateursenligneavaientpar$cipéd’unefaçonoud’uneautreauxopéra$onsdecollectedefonds.UneautrefaçondedonnerSilesplusjeunesdiffèrentdeleursaînésparleurréac"vité,ilssesingularisentégalementparleurfaçondedonner.Ilsenvoientrarementunchèqueàuneassocia2on.Ilsu2lisentenrevanchefréquemmentlesou2lsnumériquesetnotammentlescagno,esenligne.«Lesjeunesontsouventdepe.tsmoyens.Enappelantleursamisetleurréseauàsejoindreàeux,ilspeuventainsiréunirdavantaged’argent.Etcelaleurdonneaussilesen3mentd’êtreacteurdeleurdon,commes’ilscréaientavecleurentourageunemicro-ONGpoursoutenirunprojetquileur!entàcœur»,analyseLaurentTerrisse.Depuisledébutdel’épidémie,lesmoinsde35ansquisesontengagésontd’abordchoisilesou3enauxpersonnesendifficulté.Un-ersd’entreeux(34%)aainsidonnépouraccompagnerlespopula.onslesplusfragiles(sansdomicile,migrants…).Unautre0ers(32%)achoisil’aideauxsoignants.Unepropor.onàpeinemoindre(29%)apar$cipéàdescollectesenfaveurdelarecherchemédicale,unecausequid’ordinairenefigurepasparmileurspriorités.

(1)Sondagesur2029Français,dont601« e-donateurs »,interrogésdu1erau5avril.

L’épidémie de Covid-19 stimule la générosité des jeunes