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S A N T É C O M

. SA TIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC CENTRE DE DOCUMENTATION

MONTRÉAL

CENTRE DE SANTE SAINTE-FAMILLE

COMPORTEMENT DES AGRICULTEURS ET AGRICULTRICES DU TEMISCÀMINGUE FACE AUX DANGERS

RELIES AU TRAVAIL SUR LA FERME

MDDUIE SANTE

SEPTEMBRE 1986

APPROUVE LE ..

C.M.D

CRI

C.A.

S.P.L,

INSTANCE DECISIONNELLE FINALE

TABLE EES MATIERES

Chapitre page

Avant-propos i

Remerciements

jsnsavcnœ

1. OCNGEPTS

1.1 Définition des concepts 4 1.2 Agresseurs traités

1.2.1 Les gaz d ,ensilage 6 1.2.2 Les pesticides 7 1.2.3 Les poussières végétales 7 1.2.4 Les accidents chez l e s enfants à la ferme 8 1.2.5 Les accidents chez l e s travailleurs et

travailleuses agricoles 1.2.6 Le stress 9

1.3 Modèle ut i l i sé

2. HXF0ŒHE5E

3. MEIHODOEDXXE 3.1 Instrument de mesure (questionnaire) 3.2 Echantillonnage ! ! ! ! l5 3.3 Procédure pour la cueillette des données ! ! ! ! ! ! ! !l6 3.4 Ocopilatian des données [ | l7

4. RESuumrs

4.1 Entrevues 1 8 4.2 Participation ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !!l9 4.3 Profil de la population étudiée 11111111111111111 4.4 Compilation V.23

i i .

5. ANAIXSE 32

5.1 Méthode ut i l i sée 32 5.2 La perception du danger 32 5.3 La reconnaissance du danger . 34

5.3.1 la gravité 34 5.3.2 La fréquence 36 5.3.3 L'1 impression de ne pas contrôler la situation 37

5.4 La responsabilité d'agir 40 5.5 La connaissance des moyens de prévention 41 5.6 la décision d'agir 43 5.7 la prise de l'action

6. KBGCNMANDKFICN5

OCNOnSICN 48

Bibliographie

ANNEXES;

A: Questionnaire

B: Lettre aux participants

C: Grille de ccanpilation

D: Réponses aux questions ne servant pas au modèle

E: Répanses aux questions générales

F: Disponibilité et horaire

G: Horaire d'écoute de la radio

H: Suggestions des participants

AVANT-PROPOS

Consciente de l'importance du secteur agricole dans l'économie du Témiscamingue, du nombre de personnes y oeuvrant e t du f a i t que l'augmentation constante des objectifs de production dans c e t t e industr ie se f a i t au détriment de la sécurité (chiffres de l'UPA à l'appui), l'équipe de santé au travail du Centre de Santé Sainte-Famille de Ville-Marie, juge important de préparer dès maintenant l ' o r i e n t a t i o n des f u t u r e s interventions dans ce secteur.

Ainsi , dans l e cadre d'une subvention obtenue du programme d ' é t u d e , d'analyse et d'intervention en santé ocranminautaire du Ministère de la Santé e t des Services Sociaux, une étude du mil ieu agricole témiscamien veut évaluer e t documenter l a perception, l a connaissance e t l e s a t t i tudes qu'ont l e s travailleurs e t l e s t rava i l l euse s agricoles des r i sques à l a santé présents dans leur milieu de travail . A cette f in , l e modèle "Haie e t Pérusse" e s t u t i l i s é . Par l a même occasion, en plus des questions se rapportant au modèle c h o i s i , d'autres informations p e r t i n e n t e s à l a connaissance du milieu sont recuei l l ies .

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REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier toutes l e s personnes e t organismes gui ont collaboré à la réalisation de cette étude.

Le Ministère de la Santé e t des Services Sociaux du gouvernement provincial qui, dans l e cadre du programme de subventions d'études e t d'interventions en santé camnunautaire, a financé ce projet.

La Fédération de l 'Union des Producteurs A g r i c o l e s de l ' A b i t i b i -Témiscamingue qui a apporté son appui e t sa collaboration à l'étude.

Monsieur Michel Pérusse, docteur en santé e t s écur i t é , p r o f e s s e u r à l'Université lavai, co-concepteur du modèle "Haie e t Pérusse" qui nous a apporté une collaboration étroite e t très appréciée.

Les personnes qui ont généreusement prêté leur collaboration au pré-test du questionnaire servant à l'étude ainsi que l e s agriculteurs e t agricultrices interviewés.

Toutes l e s autres personnes, organismes e t entreprises, que nous oublions, e t qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de cette étude.

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INTRODUCTION

Partant du fa i t que tous l e s dangers découlent plus ou inoins directement du comportement humain, l e s o b j e c t i f s de c e t t e étude sont de dégager l e s grandes lignes de ce comportement, d'après l e modèle "Haie e t Férusse", face aux dangers présents dans l e milieu agricole témiscamien. A cet e f fe t , un sondage es t effectué auprès des agriculteurs e t agricultrices du milieu.

Ainsi, nous voulons identif ier l'étape du modèle "Baie e t Pérussen,qui e s t déterminante dans l e f a i t que la prévention selon certaines sources1 n ' e s t pas eff icace dans ce milieu.

Enfin, cette démarche permettra d'orienter l'approche des intervenants en santé e t sécurité auprès de cette cl ientèle .

(1) Equipe projet été Canada, santé e t sécurité au trava i l en agriculture "Santé e t sécur i té au trava i l en agriculture" DSC Hôte l -Dieu de Montmagny, août 1983, page 4.

Projet prévention "Accidents agr ico les . Abit ibi-Témiscamingue. Résultats d'enquêtes. UPA de l'Abitibi-Témiscamingue, janvier 1984, page 15.

Département de'santé communautaire "Sécurité à l a ferme". Centre Hospitalier universitaire de Sherbrooke, 1985, p. 9

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1 CONCEPTS j ;

1.1 Définition des concepts:

i la population visée par cette étude comprend tous l es travailleurs e t t r a v a i l l e u s e s a g r i c o l e s du Témiscamingue. Comme au Témiscamingue i l y a environ quatre cent (400) e n t r e p r i s e s agricoles membres de l ,Union des Producteurs Agricoles , on peut estimer à environ sept cent (700) à neuf cent (900) personnes l e nombre d'hommes e t de femmes de tout âge, p r o p r i é t a i r e s ou employés qui y travaillent occasionnellement ou à temps plein.

I l convient i c i de préc iser quelques notions qui rev iennent souvent dans l e t exte . Ainsi l e dict ionnaire p e t i t Larousse déf ini t "mesures préventives e t sécur i ta ires adéquates". comme suit:

mesure: moyen mis en oeuvre pour obtenir un résultat précis,

préventive: qui a pour objet d'empêcher un événement fâcheux,

sécur i ta ire : chose dest inée à empêcher un a c c i d e n t , à atténuer un inconvénient,

adéquate: qui correspond parfaitement à son objet.

Ces définitions précisent bien l e sens que nous u t i l i s o n s de ces notions.

Ainsi, s i nous parlons de mettre en oeuvre un moyen pour empêcher | adéquatement un événement fâcheux ou un accident, cela implique la

notion de santé.

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L'Organisation Mondiale de la Santé, quant à e l l e , d é f i n i t la sarité ocmme l ' é t a t de complet bien-être physique, mental e t social e t qui ne cons i s te pas seulement en une absence de maladie e t d'infirmité. Le terme accident implique alors une perte de santé.

Dans cette étude, i l est question de santé du t r a v a i l l e u r e t de ce l l e des autres, car en agriculture p lus ieurs g e s t e s peuvent aussi atte indre la santé des gens séjournant ou passant dans l'environnement, t e l s : l 'épandage de p r o d u i t s chimiques, l'entreposage de produits dangereux, l'encombrement des l i eux , l e mauvais entret ien de l a machinerie, l a mauvaise i n s t a l l a t i o n électrique, l 'affichage avisant du danger inadéquat...

Une autre n o t i o n qui e s t p r é s e n t e e s t c e l l e d ' o b j e c t i f d'augmentation de production. L'industrie agricole témiscamienne qui es t en constant progrès technique, v i se une augmentation de la production en même temps qu'une baisse des coûts de production pour en arriver à une e f f i c a c i t é accrue a i n s i qu'à un meilleur revenu. Ainsi , un object i f d'augmentation de production peut primer sur d'autres objectifs.

1.2 Agresseurs traités:

Cette étude e s t f a i t e à travers s i x (6) s u j e t s , auss i appelés agresseurs qui sont: gaz d 'ens i lage , p e s t i c i d e s , poussières végéta les , accidents chez l e s e n f a n t s , a c c i d e n t s chez l e s travailleurs e t travail leuses e t s t r e s s . I l convient a lors de préciser l a conception de départ de chacun de c e s s u j e t s , concept ion découlant de p l u s i e u r s l e c t u r e s d é c r i t e s en bibliographie.

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1.2.1 Les gaz d'ensilage:

Ce sont des gaz plus ou moins toxiques qui se dégagent des grains ou des herbes, graminées e t légumineuses, entreposés à l ' é t a t humide. Deux (2) phénomènes peuvent se produire:

1° l ' e n s i l a g e dans sa pér iode de s t a b i l i s a t i o n consomme l'oxygène jusqu'à son absence totale,

2° l 'ensilage peut, pour de multiples raisons t e l l e s : épandage de nitrate, stade de coupe, température... e t pour une période plus ou moins déterminée, créer des gaz allant de l'oxyde nitreux, relativement peu nocif, jusqu'à l'oxyde nitrique qui e s t mortel.

Pour ê tre en s é c u r i t é , en t r a v a i l l a n t avec c e t t e technique d'entreposage (en silo-tour ou en silo-meule), l 'u t i l i sa t ion de mesures préventives s'avère nécessaire.

Au Témiscamingue, i l y a une pet i te quantité de s i l o s -tour, mais un grand nombre de silos-meule. Le nombre de ces derniers est par ailleurs appelé à augmenter vu l e s nombreux avantages de cette méthode de conservation.

1.2.2 Les pesticides;

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Les pes t i c ides sont i c i un terme qui comprends l e s insecticides, herbicides , fongicides, engrais , acide formique e t autres produits de cet ordre. Ces produits sont plus ou moins' toxiques en so i e t dépendamment du mode d'absorption. Leur absorption répétée augmente l e risque de détérioration de l a santé, e t l e s problèmes qui apparaissent quelque temps après l e contact sont difficilement re l i é s à leur cause. I l s sont dangereux pour l 'ut i l i sateur e t pour les gens de son environnement (enfants, v o i s i n s ) . Les pes t i c ides sont couramment u t i l i s é s en agriculture au Témiscamingue e t en tout type de production.

1.2.3 Les poussières végétales:

Toutes poussières dégagées par l e s grains, p a i l l e s , l égumineuses e t g r a m i n é e s l o r s de t o u t e s l e s manipulations, semences, réco l te s , entreposages e t distributions sont appelées poussières végé ta l e s . Ces poussières peuvent causer des maladies chroniques ou aiguës, e l l e s véhiculent a u s s i des champignons de moisissures qui, chez l e s personnes allergiques peuvent entraîner de graves problèmes de santé.

Les poussières végétales sont présentes dans la majorité des types de productions agricoles témiscamiennes.

1*2*4

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l e s accidents chez l e s enfants à la ferme:

Un suje t sur lequel i l n ' e x i s t e à .peu près pas de documentation. Par contre, c ' e s t un sujet qui préoccupe l'ensemble de la population agricole témiscamienne. La présence d'enfants autour des l i eux de t r a v a i l e s t fréquente e t l e s accidents qui l e s impliquent sont multiples.

1.2.5 Les accidents chez l es travailleurs e t travailleuses

agricoles:.

Dans c e t t e étude 11 employeur qui accomplit l a tâche qu'il s ' e s t f i x é e s t considéré comme trava i l l eur . Le terme accident s'applique spécifiquement aux accidents l i é s à l'usage de la machinerie agricole. C'est pourquoi même s i dans l e questionnaire cet agresseur porte comme t i t r e accident aux travailleurs; i l faut l ' i n t e r p r é t e r cx.Hiu»e les accidents inpliquarrt la machinerie.

L'Union des Producteurs Agricoles Régionale estime que 27% des accidents sont l i é s à l ' u t i l i s a t i o n d'une machinerie

En y ajoutant l es accidents non déclarés e t l e s "passés proches", ce la donne beaucoup d' importance à c e t agresseur. La machinerie agricole est très u t i l i s é e au Témiscamingue, pendant une grande période de l 'année e t pour la majorité des types de production.

1. lacesté S. laplante R. Rioux L. St-Martin L, "Accidents agr icoles Abitibi-Téndscamingue, Résultats d'enquête" p. 11

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1.2*6 Le stress;

Selon l'Union des Producteurs Agricoles Régionale l e stress est reconnu ocsnme la deuxième cause d'accidents, après la négligence. I l est aussi la cause de maladies. I l existe très peu de documentation sur ce sujet malgré qu'i l tienne une place Importante dans l e monde agricole témiscamien.

1.3 Modèle u t i l i s é :

Le choix du modèle s ' e s t porté sur celui de Haie e t Pérusse: "Ocnportement humain en face du danger" (figure 1 ) . I l propose un schéma conceptuel du cxanportement humain.

Ce modèle tente d'intégrer l e s éléments l e s plus pertinents de d ivers modèles qui essa ient de dégager l e s grandes l i gnes du comportement humain en face du danger, tout en tenant compte de résultats de recherches récentes.

Le modèle schématisé à la figure I, comprend neuf (9) éléments ou sections. Une réponse négative à une question indique qu'un danger subsiste ou croît .

Voic i un bref résumé de l 'analyse de c e s é léments t i r é s du document "Facteurs humains, santé e t sécurité au travail" présenté par Monsieur Michel Pérusse lors du congrès "Le c l i n i c i e n e t l'homme au travail" l es 25 e t 26 mars 1982.

1. Laceste S. Laplante R. Rioux L. St-Martin L, "Accidents agricoles Abitibi-Témiscamingue, Résultats d'enquête", p. 12

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1) Ifi danger e s t - i l perceptible? Un danger p e r c e p t i b l e par l e s 6ens humains e s t p l u s susceptible de susciter des mesures préventives.

2) l a présence d'un danger e s t - e l l e envisagée? Peur palier aux limitations s e n s o r i e l l e s , un individu peut f a i r e un e f f o r t conscient pour envisager l a présence du danger: ut i l i ser un instrument de mesure, son expérience personnelle ou une information.

3) l e danger e s t - i l perçu? L'élément dangereux n ' e s t pas nécessairement perçu par l ' i n d i v i d u qui l ' a f f r o n t e . La m é c o n n a i s s a n c e du fonctionnement d'un appareil ou un défaut sensor ie l peut, entre autre, empêcher la perception du danger.

4) Le danger est- i lreconnu e t étiqueté exame dangereux? I l e x i s t e des circonstances, quand l e danger n ' e s t pas automatiquement reconnu e t étiqueté comme dangereux, où des jugements doivent être portés sur l e niveau de danger.

Ces jugements reposent sur t r o i s (3) grandes catégories de critères:

a) l e f a i t de croire un danger sous notre contrôle ou sous l e contrôle de quelqu'un d'autre, f a i t que l e danger est perçu comme moins menaçant,

b) la sévérité des conséquences potentielles: l ' é c h e l l e de gravité perçue des conséquences n ' e s t pas l a même pour tous,

c) l 'évaluat ion du niveau de p r o b a b i l i t é qui . e s t un mécanisme très ccnplexe,

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5) l a responsabilité d'agir e s t - e l l e assumée? Bien qu'ayant identif ié une source de danger, i l arrive qu'un individu considère qu'il n'est pas de son ressort de prendre une action préventive ou corrective.

6) L'action préventive ou corrective e s t - e l l e connue? I l es t important, s i une personne connaît un danger, de se demander s i e l l e connaît également la bonne façon de contrer l e danger.

7) l a décision d'agir e s t - e l l e prise? On ne peut dire qu'une personne prend délibérément un risque que s i l e risque est perçu et reconnu comme dangereux, que la responsabilité d'agir est assumée, que l 'action à suivre e s t connue mais que la décis ion e s t p r i s e de ne pas e f f ec tuer cette action.

De nombreux facteurs peuvent f a i r e en sorte qu'un individu décide de "prendre des r i sques" , t e l s l e s c o n f l i t s de motivation entre l es objectifs de production e t de t rava i l sécuritaire.

8) L'action e s t - e l l e prise? Même s i l a décis ion d 'ag ir e s t pr i se , l ' a c t i o n n ' e s t pas toujours prise. La décision d'agir e t l 'action sont deux (2) étapes bien distinctes.

9) L'action e s t - e l l e suffisante e t efficace? Même s i une action corrective ou préventive e s t entreprise e l l e peut ne pas faire disparaître l e danger coaiiplètement.

Comme l e modèle u t i l i s é ne comprenait pas de questionnaire type, nous en avons élaboré un (voir annexe A) en fonction des données nécessaires à une t e l l e analyse.

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OCMPCRTEMENT HUMAIN FACE AU DANGER SELON HAIE ET PERU5SE

Figure I

1. |Le danger e s t - i l perceptible?

! 1 2 I ! i

3.

5.

7.

8.

9.

Oui

la présence d'un danger e s t - e l l e envisagée?

I j OUI

Le danger e s t - i l perçu?

I ouï

Le danger e s t - i l reconnu et étiqueté comme dangereux?

I | OUI 1 La responsabilité d'agir

e s t - e l l e assumée? I | OUI

L'action préventive ou corrective e s t - e l l e connue?

I | OUI 1 La décision d'agir

e s t - e l l e prise? I | OUI 1 L'action es t - e l l e prise? I j OUI

L'action e s t - e l l e eff icace e t suffisante?

I I

NON

NON

NON

NON

NON

NCN

NON

NCN

NON

| IE DANGER | j FERSISIE OU j | S'ACCROIT j

| SECURITE RELATIVE |

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HYPOTHESE

L'hypothèse de départ de cette étude est que la majorité, s o i t 51% e t plias des travailleurs et travailleuses agr ico les du Témiscamingue ne prennent pas l e s mesures préventives ou correct ives adéquates e t qu'ainsi l e danger subsiste ou s'accroît dans leur milieu de travail .

Deux (2) raisons sembleraient conduire à cette situation:

1° Les travail leurs e t t rava i l l euses agr ico les sous-estiment l e s risques que comporte leur t rava i l pour leur santé e t c e l l e des autres.

2° L'object i f d'augmentation de production supplante c e l u i de prévention e t sécurité.

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3 METHODOLOGIE

3.1 Instrument de mesure (questionnaire) : Le questionnaire u t i l i s é pour c e t t e étude (annexe A), comprend deux cent s ix (206) questions réparties en huit (8) blocs:

identi f ication, gaz d'ensilage, pesticides, poussières végétales, accidents chez l es enfants à la ferme, accidents chez l es travailleurs e t travailleuses agricoles, l e stress, général.

Le choix de ces s ix (6) agresseurs e s t f a i t parmi l e s suggestions venant du mil ieu agricole témiscamien e t en f o n c t i o n de l a pertinence de ces sujets pour évaluer l e comportement humain de ce milieu.

A part ir d'une banque d ' i n f o r m a t i o n s r e c u e i l l i e s sur c e s agresseurs, l e questionnaire es t bâti en français, selon l e modèle "Haie e t Pérusse" auquel nous a joutons d ' a u t r e s q u e s t i o n s pertinentes à la connaissance de ce milieu.

Monsieur Michel Pérusse, co-œncepteur du modèle u t i l i s é a,à cette étape-ci, commenté la f idé l i t é de l'ébauche du questionnaire.

L'ordre des questions est pensé dans l ' intention d'al ler chercher la spontanéité de la répanse. Pour cette raison e t vu 11 ampleur du questionnaire; la technique de l'interview est choisie.

Un pré-test auprès de sept (7) personnes, permet de v é r i f i e r la compréhension des q u e s t i o n s , l a cohérence de l ' o r d r e des questions, l a durée de l ' e n t r e v u e e t l a f a i s a b i l i t é d'un questionnaire d'une t e l l e ampleur.

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3.2 Echantillonnage:

Etant donné l a non-disponibi l i té d'une l i s t e exhaus t ive des t r a v a i l l e u r s e t t r a v a i l l e u s e s a g r i c o l e s du Témiscamingue, l'échantillonnage est fa i t parmi les agriculteurs e t agricultrices ayant une carte de membre de l'Union des Producteurs Agricoles e t exploitant une entreprise agricole s i se au Témiscamingue. Divisé en quatre (4) secteurs de l'Union des Producteurs Agricoles, l e Témiscamingue comprend les vi l lages suivants:

Secteur Centre; Angliers St-Isidore de Laverlochère, St-Bruno-de-Guigues St-Eugène-de-Guigues

Secteur Est: Fugèreville Latulipe laforoe Moffet

Secteur Nord: Guérin Nédelec Notre-Dame du Nord Rémigny Roulier

Secteur Tar. T*5™'* gr;anQ3Tg»A:

Ville-Marie Béarn Fabre Lorrainville

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De la l i s t e obtenue en consultant ce l le de la fédération régionale de l'Union des Producteurs A g r i c o l e s , un é c h a n t i l l o n n a g e a l é a t o i r e , f i x é à 25% des quatre c e n t t r e n t e - h u i t (438) agriculteurs e t agricultrices du Témiscamingue, e s t f a i t de la façon suivante: pour chaque village classé par ordre alphabétique, l e s ncans des gens sont classés dans l e même ordre. Puis à part ir du quatrième nom, point de départ t i ré au hasard, chaque quatrième nom est retenu. Ainsi, avec les cent neuf (109) noms retenus de cette façon, chaque v i l l a g e e s t représenté à près de 25% de sa population agricole.

I l est aussi convenu de ne pas remplacer l e s gens qui, pour une raison ou une autre ne pourraient répondre au questionnaire. Ainsi , à p a r t i r d'un échant i l l onnage é l e v é au départ , l e pourcentage de répandants demeure valable.

3.3 Procédure pour la raftillette des données:

Etant donné que par l e pré-test, l e temps estimé des, interviews es t de 2H3QM, i l s'avère important, pour garder l ' a t t e n t i o n des répondants jusqu'à la f i n , de prendre rendez-vous e t de ne pas arriver à l'improviste.

Une le t tre (annexe B) expliquant l e but poursuivi par l e sondage e t l e temps à prévoir pour ce t te rencontre, e s t envoyée aux personnes échantillonnées e t habitant l e même secteur . Quelques jours plus tard l'entrevue e s t cédulée avec eux par téléphone. Ceci pour éviter, l e plus possible, l'échange d'informations entre l e s gens sur l e contenu du questionnaire.

la rencontre s e f a i t à domicile, aux heures e t jours qui leur conviennent.

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3.4 OompHation des données:

la compilation des données recueil l ies est fa i te manuellement. Les données se rapportant au modèle Haie e t Pérusse sont d'abord compilées e t présentées en figures pour chaque agresseur, puis en un tableau global e t comparatif. La g r i l l e de compilation du modèle est présentée à l'annexe C.

Les données ne s e rapportant pas au "modèle" ne s o n t pas nécessairement présentées en tableau et se retrouvent aux annexes D, E, F e t G, a i n s i que des suggest ions des p a r t i c i p a n t s à l'annexe H.

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4 RESULTAIS

4.1 Entrevues: L'enquête, sous forme d' interview, s ' e s t déroulée du hui t (8) janvier 1986 au vingt-huit (28) mars 1986, s o i t à un moment de l'année cù la majorité des agriculteurs et agr icu l tr ices peuvent se libérer quelques heures.

Plusieurs rencontres ont l ieu l e s o i r , quelques-unes l e samedi. D'une durée moyenne de tro is (3) heures, e l l e s varient entre une (1) heure trente (30) minutes e t cinq (5) heures.

La façon d'entrer en contact e t surtout l e f a i t d'avoir p r i s rendez-vous e s t appréciée. Ceci permet aux gens d ' a c c e p t e r librement la rencontre puis d'organiser leur disponibilité.

l e s part ic ipants , de façon générale, se montrent a t t e n t i f s , intéressés e t coopérants lors de l'entrevue.

Sauf quelques très rares exceptions, l e s questions sont comprises dans l e même sens par tous l e s répondants. La forme de l'interview permet d'expliquer une question mal perçue e t permet auss i de préciser une réponse. Le tenps alloué aux réponses e s t semblable pour tous: l e s chances sont égales.

La spontanéité e t l 'honnêteté des gens par rapport à l e u r s réponses semblent générales.

Bref, l e s entrevues se sont bien déroulées, sans imprévus e t de façon égale et constante.

Selon les tftrmfts de Monsieur Michel Pérusse, l e sondage a de l a consistance interne.

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Participation :

Parmi l e s c e n t neuf (109) a g r i c u l t e u r s e t a g r i c u l t r i c e s témiscamiens constituant l'échantillonnage aléatoire de 25% de l a population visée, soixante-seize (76) ont participé à l 'entrevue. Ainsi, 69.7% de la population échantillonnée a répandu au sondage, so i t 17.3% de la population agricole du Témiscamngue membres de l'Union des Producteurs Agricoles.

Les raisons des 30.3% des gens échanti l lonnés qui n 'on t pas participé sont l es suivantes:

Nombre Raisons pourcentage 10 Plus en production 9.2% 8 Non intéressés 7.3% 4 Non disponibles 3.7% 4 Non rejoints 3.7% 3 Anglophones 2 • 8% 2 Travail à l'extérieur de la région 1.8% 2 Maladie ou décès 1.8%

la répartition du pourcentage de répondants par secteur e t par municipalité es t présentée à la figure II .

Profil de la population étudiée:

Le profi l du répondant à ce sondage e t de son entreprise e s t l e suivant:

a) i l h a b i t e dans une l o c a l i t é de p l u s de v i n g t (20) agriculteurs e t agricultrices, pour 81.6% des répondants;

b) c ' e s t ion homme, pour 86.8% des répondants;

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c) son âge moyen est de 40 ans: 34.2% de 30 à 39 ans, 23.7% de 50 à 59 ans, 22.4% de 40 à 49 ans, 10.5% de 20 à 29 ans, 9.2% de 60 à 67 ans.

d) son degré de scolarité ccnplété: 9ième année, variant entre 2ième à la 18ième année;

e) i l l u i arrive de s u i v r e des cours ou des s e s s i o n s de formation:

en agriculture pour 61.8% des répondants, dans un autre domaine pour 39.4% des répondants seulement;

f) i l ass iste en moyenne à 2.3 rencontres ou réunions par mois; variant entre 0 à 15 par mois;

g) l e ncaubre moyen d'enfants à la ferme es t de 2; variant entre 0 e t 6 enfants;

h) i l ne travail le que sur la ferme pour 77.6% des répondants;

i) l e conjoint eu conjointe ne travaille pas à l'extérieur de la ferme: pour 78.9% des répondants;

j) i l est producteur agricole dppiis 16 ans 1/2: variant entre 1 e t 50 ans;

k) i l a été élevé sur une ferme pour 86.8% des répondants;

Page 21

l e s t y p e s de product ion d e s e n t r e p r i s e s par o r d r e d'importance sont:

la i t ière , bovine, céréalière, autre;

l e nombre moyen:

d'âcres en culture es t de 306, variant entre 0 e t 1000 acres,

d'âcres en boisé es t de 275, variant entre 0 e t 1200,

de têtes animales es t de 70, variant entre 2 e t 350 bovins;

Page 22

i l travaille sur la ferme en moyenne 51 heures par semaine variant entre 10 et 94 heures par semaine,

l e conjoint eu conjointe travaille sur la ferme en moyenne 41 heures par semaine variant entre 12 et 80 heures par semaine,

l es enfants travaillent sur la ferme en moyenne 24 heures 40 minutes par semaine variant entre 3 et 70 heures par semaine,

les employés occasionnels travaillent en moyenne 47 heures 25 minutes par semaine variant entre 15 e t 80 heures par semaine,

les employés permanents ou associés travaillent en moyenne 48 heures 40 minutes par semaine variant entre 20 e t 80 heures par semaine;

les employés ne sont pas les mêmes d'une année à l'autre pour 57.9% des répondants.

Page 23

POURCENTAGE DES REPONDANTS PAR VILLAGES ET PAR SECTEURS Figure I I

Nbre de personnes échantillonnées

Nbre de personnes ayant répondues

Nbre de non-répondans/village

% de participation des gens échan-

tillonnés/village

i i i

-I ! Secteur ŒKERE: ! . Angliers ! . St-Isidore de Laverlochère ! - St-Bruno-de-Guigues ! . St-Eugène-de-Guigues

2 8

15 8

2 7

12 4

0 1 3 4

100 87.5 80 50

i i I . 1 !

TOTAL 33 25 8 75.8 ! !

! Secteur EST: ! - Fugèreville ! . latulipe ! . Laforoe ! - Moffet

7 4 4 2

5 3 1 0

2 1 3 2

71.4 75 25 0

i i ! ! i .

j TOTAL 17 9 8 53 i « !

! Secteur NGRD: ! . Guérin ! . Nédelec ! . Notre-Dame du Nord ! . Rémigny ! . Roulier

3 11 8 4 1

3 9 5 3 1

0 2 3 1 0

100 81.8 62.5 75 100

! ! ! ! i . i .

TODVL 27 21 6 77.8 ! !

! Secteur IAC 1BCC9C3tfCCNGUE: 1 . Béarn ! . Fabre ! . Lorrainville ! . Ville-Marie

5 7

11 9

2 5 8 6

3 2 3 3

40 71.4 72.7 66.6

1 i i i i

TXJJKL 32 21 11 65.6 i i

i Echantillonnage TOTAL 109/100% 76/69.7% 33/30.3% 69.7 =i

! % de la population agricole 1 TCOMj 25% | 17.3% 7.5% 17.3%

i i

Page 24

4.4 Compilation: Pour chacun des agresseurs, l e schéma du comportement e s t repris avec l e pourcentage des répondants gui ont franchi ou non chacune des sections du modèle. Les figures III , IV, V, VI, VII e t VIII donnent l e s ré su l ta t s des s i x (6) agresseurs. La f i g u r e IX représente la moyenne des s ix (6) agresseurs.

Les résultats des sect ions 1 à 6 incluent tous l e s répondants alors que pour l e s sec t ions 7 e t 8 du modèle l e s r é su l ta t s ne valent que pour l e s répondants concernés.

la section 9 du modèle (l'action e s t - e l l e suffisante e t efficace?) n'est pas véri f iée par l e questionnaire. Ce n ' e s t pas l ' o b j e t de cette étude qui v ise avant tout à analyser l e comportement des gens.

COMPORTEMENT DES REPONDANTS FACE AUX GAZ D'ENSIIAGE

Page 25

FIGURE V I I I

1. |Le danger e s t - i l perceptible?

i 2.

3.

4.

5.

6.

8.

9.

Oui

La présence d'un danger e s t - e l l e envisagée?

I | OUI 98.6% I

Le danger e s t - i l perçu? I | OUI 98.6% 1


I | OUI 1 La responsabilité d'agir

e s t - e l l e assumée? I | OUI 60.6%

L'action préventive ou corrective es t -e l l e connue?

OUI 84.2%

La décision d'agir e s t - e l l e prise?

| OUI

L'action e s t - e l l e prise? I | OUI I

L'action es t - e l l e eff icace e t suffisante?

NCN 81.5%

NCN

NCN

NCN 53%

NCN

NCN

NCN 57.5%

NON 76.2%

NCN

1 | IE DANGER | j FŒRSISIB OU j j S'ACCROIT j

1 l !

N.V.


N.V. : non vér i f i é

(XMPQKTEMENT DES REPCNDANI5 FACE AUX PESTICIDES

Page 26

FIGURE VIII

1. 1 Le danger e s t - i l perceptible? | NCN 82.9%

2.

3.

4.

6.

7.

8.

9.

Oui


I | OUI 97.4% i

Le danger e s t - i l perçu? I | OUI 97.4% 1


I | OUI 61% 1

la responsabilité d'agir e s t - e l l e assumée?

I | OUI 59.2% 1


I | OUI 93.5%

a La décision d'agir e s t - e l l e prise?

| OUI 78.5% 1

L'action e s t - e l l e prise? I | OUI

L'action e s t - e l l e efficace e t suffisante?

NCN

NCN

NCN

NCN

NCN

NCN

NCN 56.9%

NON

| IE DANGER | j PERSISTE OU j | S'ACCROIT j

1 I • I 1 !

N.V.


N.V. : non v é r i f i é

Page 27

OCMPCKEEMENT EES REPONDANTS FACE AUX POUSSIERES VEGETALES

FIGURE VIII

1- |Le danger e s t - i l perceptible?I NCN 82.3%

I 2.

5.

6.

7.

8.

9.

Oui

La présence d'un danger es t -e l l e envisagée?

I OUI 98.7%

Le danger e s t - i l perçu? I | OUI 98.7%

1 Le danger e s t - i l reconnu et étiqueté comme dangereux?

OUI

la responsabilité d'agir e s t - e l l e assumée?

| OUI 87.0% 1


OUI 96.1%

la décision d'agir e s t - e l l e prise?

I | OUI

J L'action e s t - e l l e prise?

I I OUI


I I I | N.V,


NCN

NCN

NON 68%

NCN

NCN | I E DANGER | j FÉRSISTE OU | | S'AOIOIT |

NCN 64.9%

NCN 94.6%

NON


Page 28

CXMPQRTEMEOT DES REPONDANTS FACE AIJX ACCIDENTS AVEC IA MACHINERIE

Figure VI

1. |Ie danger e s t - i l perapptible?

! 2.

3.

4.

5.

6.

8 .

9.

Oui


OUI 100%

Le danger e s t - i l perçu?

OUI 100%


I | OUI 52%

La responsabilité d'agir e s t - e l l e assumée?

I | OUI 60.6%

1 L'action préventive ou

corrective e s t - e l l e connue?

OUI 100%


OUI 66.1%

L'action e s t - e l l e prise? I | OUI I

L'action es t - e l l e eff icace e t suffisante?

I I I | N.V.


NON 98.7%

NCN

NON

NCN

NCN

NCN

NCN.

| IE DANGER | j INSISTE OU j j S'ACCROIT |

NCN 70.3%

NCN


Page 29

CCMPCKEEMENT EES REFCNDANTS FACE MX ACCIDENTS AUX ENFANTS

Figure VII

1. | Le danger e s t - i l perceptible?

2.

4.

6.

7.

8.

9.

Oui


I | OUI 100% i

Le danger e s t - i l perçu? I | OUI 100%

1 Le danger e s t - i l reconnu e t étiqueté comme dangereux?

OUI 88%

La responsabilité d'agir e s t - e l l e assumée?

OUI 94.8%


OUI 97.4%

la décision d'agir e s t - e l l e prise?

OUI 97.1%

L'action e s t - e l l e prise? I | OUI 74.6%

1 L'action es t - e l l e eff icace

e t suffisante? I | N.V.

ISECURHE RELATIVE |

NCN_100% l !

NCN

NON

NON

NCN

NCN

NON

NON

NCN

! =1

| IE DANGER | j IERSISIE OU j | S'ACCROIT


a

Page 30

COMPORTEMENT DES REPONDANTS FACE AIJ STRESS

FIGURE VIII

1. |Le danger e s t - i l perceptible? |

! 2.

3.

4.

5.

7.

8.

9.

Oui

la présence d'un danger e s t - e l l e envisagée?

OUI 86.8%

Le danger e s t - i l perçu? I | OUI 94.8%


I | OUI 68% 1 la responsabilité d'agir

e s t - e l l e assumée?

| OUI 89.5%


OUI 83*0%


I | OUI N.V.

L'action e s t - e l l e prise? I | OUI 55.3%



NCN

NCN

NCN

NCN

NCN

NCN | IE DANGER | j HSRSISTE OU j j S'ACCSOIT j

NCN

NCN

NON

N.V. : non v é r i f i é

Page 31

OCMPQKFEMENT DES REPONDANTS ïN FACE DCJ DANGER (moyenne de 6 agresseurs)

Figure. IX

1. ILe danger e s t - i l perceptible?! NON 89% (1B.5)

! ! 2

3.

4.

5.

6.

7.

8.

9.

Oui

La présence d'un danger | e s t - e l l e envisagée? j

OUI 96.9% (13.2)

Le danger e s t - i l perçu? I | OUI 98.3% (5.2) 1

Le danger e s t - i l reconnu e t | étiqueté comme dangereux? |

I | OUI 58% (56) 1

la responsabilité d'agir | e s t - e l l e assumée? |

| OUI 75.3% (35.6) 1

L'action préventive ou | corrective e s t - e l l e connue? |

e s t - e l l e prise? I | OUI 63.8% (62)

NON

NON

NON

NON

NON

NON

| IE DANGER | j HRSISTE OU j | S'ACCROIT | 1

i • ! ! !

L'action e s t - e l l e prise? | NON 61.3% (69.2) I | OUI 1 L'action es t - e l l e eff icace |

e t suffisante? j NON

I | N.V.


N.V. : non vér i f i é ( ) : écart

Page 32

5. ANALYSE

5.1 Méthode ut i l i sée :

L'analyse des résu l ta t s du sondage e s t f a i t e suivant l e même cheminement que l e modèle ut i l i sé , soi t :

Perception du danger (section 1,2 e t 3),

Reconnaissance du danger (section 4),

Responsabilité d'agir (section 5),

Connaissance des moyens de prévention (section 6),

Décision d'agir (section 7),

La prise de l'action (section 8).

Tous l e s tableaux sont p r é s e n t é s en pourcentage des répondants.

5.2 la perception du danger:

Pour ce t aspect i l y a peu de d i f férence entre l e n iveau de perception l e moins fort 94.8% et l e plus élevé 100%.

Les répondants ont surtout une perception i n t e l l e c t u e l l e du danger. I l s ont lu quelque chose ou entendu parler d'accident ou de maladies, e t i l s envisagent très bien qu'i ls sont exposés à des risques semblables.

Page 33

Par exemple: 54.1% des répandants savent que l e s gaz d 'ens i lage peuvent être mortels.

- 60.4% savent que l e s pesticides causent des problèmes de peau ou des problèmes respiratoires ou qu' i ls sont toxiques. .

- 71.9% des répondants connaissent l e s e f f e t s poss ib l e s des poussières végétales (allergies, problèmes respiratoires)

VOICI QUELQUES PROBLEMES EE SANTE HRCOS FAR IA MAJORITE EES REPONDANTS POOR CERTAINS AGRESSEURS

|\^roblème de | Mort | ^ns. santé j

j Agresseur\J .

| Problème jcutané 1 1

| Problème j respira-jtoire

| Allergies Empoison-| nement etj intoxica-j t ian j

Accident | machinerie j

1 1 1 1 1 1 1 1 1 Gaz j j j I I I 1 | d'ensilage | 54.1 1 1 1 1 I I

j Pesticides j 1 1

1 1 | 24.9 I 20.1

1 1

15.4 |

| Poussières j | végétales j

1 1 1 | 46.4 I 25.5

1 1 1

j Accidents | | aux enfants |

1 1 1

1 1 1 61.6 |

Le tableau 7 (page 46) montre q u ' i l n ' y a pas de r e l a t i o n s proport ionnel les e n t r e l e pourcentage des répondants qui perçoivent l e danger e t ce lu i de ceux qui prennent des mesures préventives.

Page 34

5.3 La reconnaissance du danger;

Pour qu'une personne reconnaisse e t é t iguete une chose comme dangereuse, e l l e se base sur trois (3) critères:

l a g r a v i t é des conséquences d'un a c c i d e n t ou d ' u n e négligence,

la fréquence pu probabilité qu'i l y a i t un accident,

l ' impression que l a personne a de ne pas c o n t r ô l e r l a s i tuat ion . C ' e s t ce d e r n i e r c r i t è r e qui e s t l e p l u s important.

5 .3 .1 la gravité

Le tableau I indique que l e s répondants estiment que l e s conséquences des s i x (6) agresseurs étudiés sont graves ou très graves dans 75.1% des cas.

Page 35

TABLEAU I : NIVEAU EC GRAVITE ACCRUE A CHAQUE AGRESSEUR

Niveau de j gravité

Très grave

| Grave

1

Peu grave

Mineur | 1 1

Ne sai t | pas j

j Agresseur ^ ^ ^ ^ 1 1

1 1

j Gaz d'ensilage 51.2

1 1 | 27.5 6.3

1 1

5 | 10 |

| Pesticides 31.6

1 1 | 50 9.2

1

1.3 | 7.9 |

j Poussières végétales 15.8

1

| 52.4 18.4

1 1

11.8 | 2.6 |

j Accidents aux enfants 19.8

1

| 47.4 15.8

1 1

18.4 | 2.6 |

j Accidents aux | travailleurs 25.6

1 1 | 54.9 13.4

1 1

4.9 | 1.2 |

j Stress 23.4 | 51.3 14.5 1

9.2 | 2.6 |

| KWXQXE 27.9 1 1 47.2 12.9

1 8.4 | 4.5 |

I MAJORITE 75.1

I l n'y a pas tellement d'écart entre l e s niveaux de gravité "grave, très grave"

accordés à chaque agresseur.

5.3.2 la fréquence:

Page 36

Le tableau 2 montre l e niveau de probabilité accordé aux d i f f é r e n t s agresseurs . Dans l ' e n s e m b l e , 57% des répandants estiment la probabilité d'avoir des problèmes de santé comme étant fréquente ou t r è s fréquente. Les niveaux de probabilité sont plus var iables que ceux de gravité. I l s sont de 39.5% pour l e s gaz d 'ens i lage à 73.7% pour l e s t r e s s e t l e s a c c i d e n t s avec l a machinerie.

TABLEAU 2: NIVEAU DE IROBABUTIE AOODRDE A CHAQUE AGRESSEUR

[\Niveau de | j \probabi- j

! X j | Agresseur \ J

1 A. |

Très | fréquent |

1

1 B. |

Fréquentj 1 1

1 A + B |

1 Rare Très rare

Ne sait j pas . j

1 1 j Gaz j j d'ensilage j

1 1

4 |

1

35.5 |

1 1

39.5 | 42 5.3 13.2 t 1 1 1 1 | Pesticides |

1 1

5.2 |

1 1

42.1 |

1 1

47.3 | 40.8 4 7.9 | 1 1 | Poussières | j végétales j

1 1

2.6 |

1 1

44.7 |

1 1

47.3 | 43.5 6.6 2.6 | 1 1 | Accidents | | aux enfants |

1

4 | 1

56.5 |

1

60.5 | 32.9 6.6 0 | 1 1 1 1 | Accidents |

1 1

11.8 |

1 1

61.9 |

1 1

73.7- | 23.7 2.6 0 | 1 1

| Stress j

1 1

10.5 | 1

63.2 |

1

73.7 | 21 0 5.3 |

1 1 | M3YENNE | 6.3 |

1 50.7 |

1 57.0 | 34 4.2 4.8 |

5.3.3

Page 37

L'impression de ne pas contrôler la situation:

Pour évaluer ce critère, l e s répondants sont d i v i s é s en catégories ccamne suit:

Ceux gui considèrent l e u r comportement comme s é c u r i t a i r e e t qui a p p l i q u e n t d e s mesures préventives.

Ceux qui considèrent leur comportement comme non-s é c u r i t a i r e e t qui a p p l i q u e n t d e s mesures préventives.

Ceux qui considèrent leur comportement comme non-sécuritaire e t qui n'appliquent pas l e s mesures préventives.

Ceux qui considèrent l e u r comportement comme sécuritaire e t qui n'appliquent pas l e s mesures préventives.

Seuls l e s répondants de l a dernière c a t é g o r i e sont classés comme ne reconnaissant pas l e danger.

l e tableau 3 dorme les résultats de c e t t e analyse pour l e s s ix (6) agresseurs.

Page 38

TAHUEAU 3; CROISEMENT ENIRE L'IMFKESSICN DE CONTROLER IA SITUATION ET IA IRISE D'ACTIONS PREVENTIVES

1 RECONNAISSANCE DU DANGER 1 OUI NCN | 1 1 A B C TOTAL D |

j AGRESSEURS

(Croient être j sécuritaires jet agissent

— :

Croient être nan-sécuritai-res e t agissent

Croient être non-sécuritai-res e t n'agissent pas

A + B + C

Croient être | sécuritaires j e t n'agissentj pas j

j Accidents j chez l e s j enfants

1 1 1 1 74 12 2 88 12 |

j Stress 1 44 7 17 68 - 32 |

j Pesticides

1 1 1 32 11 18 61 39 |

j Accidents j avec l a j machinerie

1 1 | 26 5 21 52 48 |

j Gaz j d'ensilage

1

1 24 5 18 47 53 |

j Poussières j végétales

1 1 1 3 3 26 32 68 |

| M3ÏENNE 1 1 34 7 17 58 42 |

Page 39

Le tableau 7 (page 46) f a i t ressortir un écart important au niveau de la reconnaissance du danger. En e f f e t , pour l e s accidents chez l e s enfants 88% des répondants reconnaissent l e danger, alors que pour l e s poussières végétales seulement 32% des répondants reconnaissent l e danger.

Le tableau 7 montre aussi une relation proportionel le entre l e niveau de reconnaissance du danger e t c e l u i de pr i se de l'action.

Parmi ceux qui n'appliquent pas l e s mesures de sécur i té , environ 73% croient qu' i l s ont un comportement s écur i ta i re . Ce pourcentage * e s t relativement stable allant de 65% à 86%. Pour chacun des agresseurs étudié i l se présente comme suit:

accident chez l e s enfants 86% stress 65% pesticides 68% accidents avec la machinerie 70% gaz d'ensilage 75% poussières végétales 72% MDYENNE 73%

L'impression de ne pas contrôler la situation étant l'élément l e plus important dans la reconnaissance d'un danger (voir 5.3) l'impression de contrôler la situation es t donc l e facteur dominant qui entraîne l a non-reconnaissance du danger.

* Ceux qui se croient sécuritaires e t n'agissent pas, divisés par l e nombre total de ceux qui n'agissent pas (D divisé par C plus D du tableau 3)

Page 40

5.4 la responsabilité d'agir:

Le tableau 4 montre que dans l 'ensemble, l e s agriculteurs e t a g r i c u l t r i c e s du Témiscamingue assument leur r e s p o n s a b i l i t é d'agir.

Le niveau de responsabilisation des répandants e s t l e plus é levé pour l e s agresseurs où l a p r é v e n t i o n i m p l i q u e p r e s q u e exclusivement l e répondant s o i t : accidents chez l e s enfants, stress e t poussières végétales qui présentent des pourcentages de 94.8, 89.5 e t 87% respectivement. Pour l e s agresseurs où l e s mesures préventives impliquent par fo i s d'autres intervenants (gouvernements, manufactur iers , employés) l e n i v e a u de responsabilité des répondants es t d'environ 25% plus f a i b l e . I l es t de 60.6% pour l e s accidents avec l a machinerie e t l e s gaz d'ensilage, e t de 59.2% pour l e s pesticides.

.L'analyse du tableau 7 (page 46) nous révèle que l e niveau de p r i s e de l ' a c t i o n n ' e s t pas propor t ionne l au n i v e a u de responsabilité reconnue.

Page 41

TABLEAU 4: FOUR CHAQUE AGRESSEUR, ATTRIBUTION EE IA RESPONSABILITE D'AGIR EN POURCENTAGE SELON LES REPONDANTS

Responsable de l 'action

AGRESSEUR

• •p 1 0 c 1 •H a) u 1 u rH p 1 a <0 0) I +J 0 > «H v<l) 1 G H -H -H C I rt & 0 •H U \ u & rr fti Q) I •H

vQ) > o 1 V-i •H <ti C I •a 0 U 0 \ •a en 0 H U| lu

(0 c •H o QJ 'O n<D S

0) e •P «D G g «d i 4-1 -H C 3 W H

Gaz d'ensilage

I I

60.6118.4 6.5 2 .6 3.9

Pesticides

I I

59.2| 9.3 1.3 17.1 7.9 5.2

Poussières végétales 87 2.6 2.6 2.6 5.2

Accidents enfants 94.8| 1.3 3.9

Accidents avec la machinerie

Stress

I I

60.6132.9 I I

89.51

5.2 1.3

1.3 7.9 1.3

5.5 la connaissance des moyens de prévention:

Afin de s 1 assurer que c e t t e connaissance e s t r é e l l e ; lors de l'entrevue, l e s questions portant sur la connaissante sont posées avant toute autre question pouvant informer l e répondant sur l e s act ions préventives. De plus , peu de temps e s t accordé au répondant dans l e but de faire ressor t i r l e s connaissances bien acquises. C'est pourquoi la mention d'une seule mesure préventive es t considérée comme suffisante.

Page 42

Le tableau 5 montre que malgré ces contraintes, seulement 7.6% ne connaissent aucune mesure p r é v e n t i v e , a l o r s que 92.4% en connaissent une ou plus, 51% en connaissent 2 ou plus e t 25.6% en connaissent 3 ou plus. Encore une f o i s , l 'ana lyse du tableau 7 (page 46) ne montre aucune relation d irecte entre l e niveau des connaissances des act ions preventives e t c e l u i de la pr i se de l 'action.

TAHTEMJ 5: HOPO0RTICN DES REPONDANTS QUI CONNAISSENT IES ACTIONS PREVENTIVES FOUR CHAQUE AGRESSEUR

Page 43

5.6 La décision d'agir:

Nous devons nuancer l e t erne "Décis ion d ' a g i r " . Dans l e questionnaire u t i l i s é , l e s questions servant à v é r i f i e r c e t t e section du modèle se l isent ccsnme s u i t , en parlant d'une mesure préventive: "Avez-vous déjà pensé l e faire?" Evidemment, entre penser f a i r e une chose e t déc ider de l a f a i r e i l y a une différence signif icative. Les questions u t i l i s ées mesurent p lutôt l ' intention d'agir. C'est probablement ce qui explique que c e t t e section présente i c i des pourcentages plus élevés que c e l l e de l a reconnaissance du danger. En e f fe t , on peut penser à appliquer une mesure de prévention e t décider de ne pas l e f a i r e , justement parce qu'on juge l e danger insuff isant ou sous contrôle (pas de reconnaissance du danger).

.7 La prise de l'action:

Page 44

C'est au niveau de cette section du modèle que l 'écart es t l e plus important. la prise de l 'action va de 5.4% pour l e s poussières végétales à 74.6% pour l e s accidents chez l e s enfants.

L'analyse du tableau 7 (page 46) montre que l e pourcentage des répondants qui appliquent l e s mesures préventives va dans l e même sens que l e pourcentage de ceux qui reconnaissent l e danger.

Ccsnme nous avons démontré que dans la reconnaissance du danger l e facteur "contrôle de la situation" e s t dominant, logiquement on peut déduire que l e facteur l e plus important au n iveau de l 'ut i l i sat ion d'une mesure sécuritaire est l'impression de ne pas contrôler l es événements.

Malgré 11 importance du facteur analysé précédemment, d'autres contraintes entrent en jeu lors de l'étape de la prise de décision ou de l'action. Le tableau 6 présente ces autres raisons dont l e s plus significatives semblent être: l e manque de temps, l e s coûts e t l é manque d'information.

La raison "manque de temps" e s t dominante au niveau des gaz d'ensilage, des pesticides e t des accidents avec la machinerie. La raison "coûts" ressort pour l e s accidents chez l e s enfants e t pour les accidents avec l a machinerie. Pour ce qui e s t du "manque d'information", i l e s t important pour l e s gaz d 'ens i lage , l e s pesticides e t l e s poussières végétales.

Notons que la raison "manque de personnel ccmpétent" es t ressortie presqu'exclusivement pour l e s accidents chez l e s enfants e t pour les accidents impliquant la machinerie.

Page 45

TABLEAU 6; RAISONS EVOQUEES PAR LES REPONDANTS POUR NE PAS PRENDRE LES MESURES PREVENTIVES

Raisons

AGRESSEUR

<U 0) 3 tr c m s

4J 4J C C g <n E c <D g Q<

I & o ^

« s " -ff

<D O tr c c -H m -S T3

<3 o u en 0>

i C 4-> 0 c (0 0) ^ 4-) 0) ^0) Ck a 0) c 3 O 01

C tH (tf 0) s c

+J <0 0) Du «H

TJ C <D £ 0) c (0 o Uî -H •H <04-> •M HC C 0) 0) /f« > H cd «s w a T3

NO) z

H •H (0 m a> u C 10 a<

Gaz d'ensilage 36.5 9.1 31.8 4.5 4.5 4.5 9.1

Pesticides

Poussières végétales

28.6 9.6 19.1 6.3 6.3 4.8 12.7 9.6

5.8142.1 16.1 4.4 1.4 7.2 10.1 12.9 Accidents enfants 9.4 51.1 24.5 3.8 11.2 Accident des travailleurs machinerie 26 L 5.4 27.2 15.2 4.3 2.2 2.2 8.7 8.8

Stress 16.71 4.3 54.3 20.7

M3YEHNE I

20.5110.1 12 16.3 1.8 1.5 4.3 5.5 11

TOHEEMJ 72 RELATION ENIKE DIFFERENTES SECTICNS DU MODELE POUR LES SIX (6) AGRESSEURS EN POURCENTAGE DES REPONDANTS

1 AQftSSUUHS

Danger perçu | 1 1

Section 1,2 e t 3|

Responsabilité reconnue

Section 5

Connaissance des actions préventives Section 6

| Reconnaissance | du danger 1 | Section 4

Décision d'agir) 1 1

Section 7 j

Prise de | l'action j

Section 8 j

I Accidents chez 1 les. enfants

1 1

100 | 94.8 97.4 1 1 88

J 1 1

97.1 | 74.6 | I Stress

1 94.8 | 89.5 83

1 1 68

1 N.V. | 55.3 |

I Pesticides 97.4 I 59.2 93.5 1 1 61

1 78.5 I 43.1 |

| Accidents avec 1 100 I 60.6 100 I 52

1 66.1 | 29.7 |

j Gaz d'ensilage 1

98.6 | 60.6 84.2 1 1 47 42.5 | 23.8 1

j Poussières I végétales

1 98.7 | 87.0 96.1 1 32

1 35.1 | 5.4 |

1 MJÏBNE 1

98.3 | 75.3 92.4 1 1 58

1 63.9 | 38.7 |

N . V . : non v é r i f i é

0) vO fn

Page 47

RECXMMANDMTCNS

De cette étude découlent l e s recommandations suivantes:

1° Sensibiliser l e s agriculteurs e t agricultrices au f a i t que c ' e s t seulement l'application constante des mesures préventives gui peut assurer leur sécurité.

2° Qu'une concertation se fasse entre l e s intervenants du milieu (U.P.A., M.A.P.A.Q., C.S.S.T. , éco les de formation agr ico le , vendeurs d'équipements et de produits agr ico les , CSSF (SPL).. . ) af in que toutes l e s actions en prévention a i l lent dans l e sens de la première recommandation.

3° Mettre en place un système de déclaration, de compilation e t d'analyse de tous l e s accidents dans ce m i l i e u dans l e but d'établir l e s causes des accidents e t u t i l i s e r ces données pour réaliser la sensibilisation.

Page 48

0CMCUG5ICN

Cette étude par la forme du sondage, e t de l'analyse selon l e modèle Haie e t Pérusse, dégage l e s grandes l i g n e s du comportement humain des travailleurs e t travai l l euses agricoles témiscamiens, face aux dangers présents dans ce milieu*

Le profi l du comportement humain a i n s i obtenu confirme l'hypothèse de départ à savoir que la majorité, s o i t 51% e t plus des t rava i l l eurs e t t rava i l l euse s agr ico les du Témiscamingue ne prennent pas l e s mesures préventives ou correctives adéquates. En e f f e t , l e résultat de la section 8 posant c e t t e question montre que l a grande majorité, s o i t 61.3% des répondants ne prennent pas l 'action préventive ou corrective adéquate, e t qu'ainsi l e danger persiste ou s'accroît dans ce milieu de travail . (Tableau 7) •

Parmi ces agriculteurs e t agricultr ices qui ne prennent pas l e s mesures préventives, 73% estiment être en sécurité. C'est l à une fausse sécur i té qui a j o u t é e aux a u t r e s r a i s o n s (manque de temps, c o û t s , manque d'information, e t c . . . ) explique l e ccanportement non-sécuritaire dominant dans ce milieu.

Et c 'es t précisément là qu'i l faut orienter l e s futures interventions en milieu agricole témiscamien, so i t vers la notion de contrôle.

Page 49

I l faut prouver aux travailleurs e t travai l leuses agricoles témiscamiens que leur impression de contrôle s 'avère fausse e t inadéquate pour a i n s i arriver à motiver à la prévention. C'est seulement après ce changement au n iveau de l a reconnaissance du danger, que l e s a g r i c u l t e u r s e t agricultrices accepteront d'analyser plus rigoureusement l e s raisons qui l e s empêchent d'appliquer l e s mesures préventives qu'i ls connaissent déjà.

Travail préparé par: Danielle Labrie agent de recherche pour ce projet en collaboration avec: Gilles Gobeil, technicien en hygiène i n d u s t r i e l l e Ghislaine Beauregard, infirmière dans l e cadre du programme s a n t é au t r a v a i l Direction des Services de Première Ligne

DI/GG/GB/mc doc. 8-16-14

50.

B I B L I O G R A P H I E

Publications:

Québec, Ministère de l'agriculture des pêcheries et de l'alimentation "Ma sécurité est entre vos mains"

Québec, Ministère de l'agriculture des pêcheries et de l'alimentation "L'utilisation sécuritaire des silos à fourrages" 1984, 2p. i l l .

Québec, l'Institut de technologie agricole de la Pocatiêre et le Ministère de l'agriculture des pêcheries et de l'alimentation "Cours sur l'utilisation rationnelle des pesticides" 191p.

C.S.N., Santé sécurité au travail "Le stress au travail" septembre 85, 33p.

U.P.A., "La prévention des accidents à la ferme" Association paritaire de prévention pour la santé et la sécurité du travail du Québec, 15p.

U.P.A., "La ferme Sécuritaire, c'est..." sécurité sociale et main-d'oeuvre agricoles, 1984, 44p.

Canada, Ministère de l'agriculture, "Choix'et utilisation des silos kermétiquês" 1982, 13p. il 1.

Canada, Service des plans. "Danger gaz d'ensilage", 1982, 6p. i l l .

Canada, Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail. "L'hygiène et la sécurité en agriculture en Ontario risques et stratégies". Toronto, 17 janvier 1985, 37p.

51.

Tf îÎÊS-ËËD^.i^Dî i f lÇËÎloD-ÇÇITE 1 ^ 6 1

"Le burnout: se brûler au travail", traduit et résumé par Yan Erik Deadman et Robert Richards.

Arseneault, Odette. "Pour gérer son stress".•

journaux:

Vanek, Joann. "Work leisurey and family roles: Farm households, United States, 1920-1955". Journal of Family History". 1980, vol. 5(4). p. 422 a 431.

Plante, Florent. "La politique québécoise sur les pesticides sera bientôt dévoilée" "Le Soleil". 14 septembre, 1983.

Santé et Sécurité au travail, Prévention sur la ferme "Terre de chez nous" 12 juin 1983, no. 5. p.7

Lambert, Micheline."Une maladie insidieuse: le poumon du fermier" Le producteur de lait québécois. Volume 4, numéro 2, octobre 1983.

Recherches_et_conférerices :

Pérusse, Michel. "Facteurs humains, santé sécurité au travail". Québec, 1982, 24p.

Equipe projet été-Canada, santé et sécurité au travail en agriculture "Santé et sécurité au travail en agriculture". Département de santé communautaire, Hôtel-Dieu de Montmagny, août 1983.

Service santé au travail. "Etude sur l'exposition des travailleurs agricoles aux produits chimiques". Département de santé communautaire Hôtel-Dieu de Roberval, janvier 1986.

Lapointe, Claude. "Santé et Sécurité en agriculture: les silos et les fosses à fumier liquide". Québec, 1986, conférence.

Arsenault, André. "Le stress et la qualité de vie au travail: vers de nouveaux concepts de la santé du milieu de travailMontréal 1983

Projet-Prévention. "Accidents Agricoles. Abitibi-Témiscamingue. Résultats d'enquête". Union des producteurs agricoles de 1'Abitibi-Témiscamingue, janvier 1984, 15p.

Département de Santé communautaire. "Sécurité à la ferme". Centre Hospitalier universitaire de Sherbrooke, 1985, i l l . 323p.

Equipe santé agricole. "Bilan de l'observation participante en santé sécurité'agricole. Lotbinière-Ouest de mai à octobre 1981". CLSC Lotbinière-Ouest, 11p.

Equipe Santé-Sécurité Agricole, CLSC Lotbinière-Ouest, novembre 84, 55p.

Equipe Santé-Sécurité Agricole, "Bilan de l'observation participante en santé sécurité agricole, Lotbinière-Ouest, avril à novembre 1980". CLSC Lotbinière-Ouest, 19p.

ANNEXE A

Q U E S T I O N N A I R E

CENTRE DE SANTE SAINTE-FAMILLE

SERVICES DE PREMIERE LIGNE

S O N D A G E

SANTÉ ET S É C U R I T É A LA FERME

Préparé par Danie l l e Labrie

DECEMBRE 1985

IDENTIFICATION

LOCALITE:

SEXE:

AGE:

SCOLARITE: a ) degré complé té :

b) s p é c i a l i s a t i o n :

Vous a r r i v e - t - i l de s u i v r e des cours ou des s e s s ions de f o n c t i o n ? a ) en a g r i c u l t u r e :

b) a u t r e s :

Nombre en moyenne de réun ions ou r e n c o n t r e s s u i v i e s par mois?

Nombre d ' e n f a n t s 3 la ferme? Leur êqe :

T r a v a i l l e z - v o u s a l ' e x t é r i e u r ?

Combien d ' h e u r e s ?

Votre c o n j o i n t t r a v a i l l e - t - i l ( e l l e ) a l ' e x t é r i e u r ?

Combien d ' h e u r e s ?

Depuis combien de temps ê t e s^vous p r o d u c t e u r ( t r i c e ) a g r i c o l e ?

Ave2-vous é t é é l e v é su r une ferme?

Type de p roduc t ion p r i n c i p a l e :

• l a i t i è r e • bovine • 0 v i n e

• c é r ë a l i è r e • p o r c i n e • a u t r e

Dimensions de l ' e n t r e p r i s e :

a) Nombre d ' a c r e s en c u l t u r e :

b) Nombre d ' a c r e s en b o i s é :

c ) Nombre de t ê t e s de b é t a i l (vaches e t veaux de plus de 600 lbs e t g é n i s s e s de r e p r o d u c t i o n ) :

Numéro du questionnaire •

Qui t r a v a i l l e sur la ferme?

AGE Nbre d 'heures / semaine Nbre de sem /année moi

c o n j o i n t ( e )

e n f a n t s

employés

moi


e n f a n t s

employés

moi


e n f a n t s

employés

moi


e n f a n t s

employés

moi


e n f a n t s

employés

moi


e n f a n t s

employés

moi


e n f a n t s

employés

moi


e n f a n t s

employés

E n g a g e z - v o u s l e s mêmes p e r s o n n e s d ' u n e a n n é e a l ' a u t r e ?


GAZ D 'ENSILAGE

Pensez-vous q u ' i l e x i s t e des r i s q u e s pour v o t r e s a n t é e t c e l l e des

a u t r e s l o r s du con tac t avec l e s gaz d ' e n s i l a g e ?

• OUI • non

Si Oui » quel s sont l e s problêmes poss i b l e s ?

Q u ' e s t - c e qui vous amène a pense r que l e s gaz d ' e n s i l a g e son t dangereux pour la s a n t é ?

V a - t - i l des s ignes p a r t i c u l i e r s qui a v e r t i s s e n t du danger des gaz d ' e n s i l a g e ?

• OUI • N 0 N

Si o u i , l e s q u e l s ? •

La t echn ique d ' e n s i l a g e , t e l s : l e s t a d e de coupe , l ' é p a n d a g e de

n i t r a t e ou de f u m i e r , l ' e n t r e p o s a g e en s i l o - t o u r ou s i l o - m e u l e ,

e t c . a - t - e l l e une i n f l u e n c e su r l a f o rma t ion des gaz d ' e n s i l a g e ?

• OUI • non

Où retrouve-t-on les gaz d'ensilage toxiques en entreposage en silo-tour?

Quand?

Numéro du q u e s t i o n n a i r e

4.

24. En s i l o -meu le , peut-on ê t r e incoomodé par des gaz d ' e n s i l a g e tox iques?

• OUI Q N0N

25. La r e a c t i o n chimique de l ' e n s i l a g e p e u t - e l l e c r ée r l ' a b s e n c e d ' a i r (d 'oxygène)?

• oui • N0N

26. Selon vous, l e s problèmes de s a n t é qui peuvent ê t r e causes par l e s gaz d ' e n s i l a g e , s o n t - i l s :

O t r è s graves

• graves

• peu graves

CH mineurs

27. Les chances que des problèmes de s a n t é se p roduisen t s o n t - e l l e s '

• t r è s f r équen tes

• f r é q u e n t e s

O r a r e s

• t r è s r a r e s

28. Le danger pour la s a n t é , dû aux gaz d ' e n s i l a g e e s t - i l a ssez

Important pour n é c e s s i t e r l ' u t i l i s a t i o n de mesures p r é v e n t i v e s ?

• OUI • N0N

29. Si o u i , l e s q u e l l e s ?

30, Si l e s gaz d ' e n s i l a g e sont dangereux pour la s a n t é , lequel des i n t e r v e n a n t s su ivant a la plus grande r e s p o n s a b i l i t é de la s é c u r i t é 9 la ferme?

• l e gouvernement

• TUPA

• l e t r a v a i l l e u r concerné

• 1 es f ab r iquan t s de s i l o s

• l e s vendeurs de s i l o s

• l e p r o p r i é t a i r e

• a u t r e , p r é c i s e r : '


31. Vous s e m b l e - t - i 1 nécessa i re d ' accorder p lus d ' i m p o r t a n c e , dans l e m i l i e u , a la prévent ion concernant l e s gaz d ' e n s i l a g e ?

• OUI • NON

32. Si o u i , que ls s e r a i e n t les moyens l e s p lus e f f i c a c e s 7

donner plus d ' i n fo rma t ion sur l e s u j e t

2. n i n c l u r e l e s équipements de s é c u r i t é avec l ' a c h a t J d 'un s i l o - t o u r

3- • donner des c l i n iques de sauvetage e t premiers so ins

• o r g a n i s e r des p ra t iques avec l e m i l i eu (pompiers)

5- •

subvent ionner l ' a c h a t des équipements de s é c u r i t é

augmenter la prévent ion d la ferme

7- • in former l e s médecins

8- O a u t r e , p r é c i s e r : _ _ _ _

33. Le comportement p r é v e n t i f que vous u t i l i s e z présentement avec

l e s gaz d ' e n s i l a g e , vous s e m b l e - t - i l adéquat e t s u f f i s a n t ?

• • NON

3fl. Votre conna issance des dangers des gaz d ' e n s i l a g e vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI Q NON

5- Votre conna issance des mesures p révent ives A u t i l i s e r avec l ' e n s i l a g e vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI Q N 0 N

Fai tes-vous de l ' e n s i l a g e ?

• oui • NON

Prévoye2-vous en f a i r e ?

• OUI • NON

Est -ce en s i l o - t o u r ?

• OUI • • NOr;

Est -ce en s i l o -meu l e?

• OUI Q N0S.


6.

SILO - TOUR

40. Votre s i l o a - t - i l un système de câble pour a t t a c h e r l e s personnes qui y pénè t r en t ?

• OUI • non

41. Si o u i , l ' u t i l i s e z - v o u s ?

• Toujours • Rarement

E l Souvent • J a m a i s

42. Si non , avez-vous dé jà pensé en u t i l i s e r un?

• OUI Q non

43. Les personnes qui pénè t ren t dans l e s i l o l e f o n t - e l l e s sous la s u r v e i l l a n c e de quelqu 'un?

E l Toujours • Rarement

E l Souvent • Jamais

44. Si non , avez-vous déjà pensé l e f a i r e ?

• OUI • non

45. Ven t i l ez -vous l e s i l o avant d ' y péné t r e r ?

E l Toujours Q Rarement

O Souvent • J a m a 1 s

46. Si non, avez-vous dé jà pensé l e f a i r e ?

• OUI Q NON

47. Le loca l ad j acen t a l ' é t a b l e f e r m e - t - i l hermétiquement?

• OUI • NON

48. Le gardez-vous fermé?

E l Toujours Q R a r e m e n t

E l Souvent Q J a r n a i s

Numéro du questionnaire

Si non, avez-vous dé jà pensé l e f a i r e ?

• OUI • NON

Le local ad j acen t a l ' e t a b l e a - t - i l un système de v e n t i l a t i o n ?

• OUI • NON

Venti lez-vous l e local ad j acen t avant de l ' o u v r i r ?

Q Toujours • Rarement

D Souvent • jamais

Si non, avez-vous déjà pensé l e v e n t i l e r ?

• OUI • NON

Placez-vous des pancar tes a v i s a n t du danger?

• Toujours Q Rarement

CD Souvent • Jamais


• oui g NON

En possédez-vous?

• OUI • NON


SILO - MEULE

Levez-vous l e p l a s t i q u e des meules graduel lement pour pe rme t t r e une bonne v e n t i l a t i o n ?


• Souvent Q jamais

Avez-vous dé jà pensé l e f a i r e ?

• OUI Q N 0 N

Q u ' e s t - c e qui peut vous-empêcher de prendre l e s mesures p réven t i que vous croyez c o r r e c t e s en t r a v a i l l a n t avec l ' e n s i l a g e ?

• l e manque d ' i n fo rma t ion sur l e s u j e t

• l e s coOts

• l 'encombrement des équipements de s é c u r i t é

• l e manque de temps '

• a u t r e , p r é c i s e r : '


PESTICIDES

Le terme p e s t i c i d e comprend l e s h e r b i c i d e s , e n g r a i s , i n n o c u l e n t s , in t i c i d e s de champs, de j a r d i n s , d ' é t a b l e s e t de maisons, a i n s i que c e r t a i n s produi t s v é t é r i n a i r e s f o r t s t e l s : l e s p o t t o n , domoso, a n t i -b i o t i q u e s . . . même l ' a c i d e formique.

59. Pensez-vous q u ' i l e x i s t e des r i s q u e s pour vo t r e s a n t é e t c e l l e des a u t r e s l o r s de l ' u t i l i s a t i o n (manipulat ion e t épandage) des p e s t i c i d e s ?

• OUI • NON

60. Si o u i , que ls sont les problèmes p o s s i b l e s ?

- Q u ' e s t - c e qui vous amène a penser que l e s p e s t i c i d e s sont dangereux pour la san té?

62. Y a - t - i l des s ignes p a r t i c u l i e r s qui a v e r t i s s e n t du danger des p e s t i c i d e s ?

• OUI Q N 0 N

63. Si o u i , l e s q u e l s ?

64. Comment les p e s t i c i d e s p e u v e n t - i l s péné t r e r dans v o t r e organisme?


Selon vous, l e s problèmes de san té qui peuvent ê t r e causés par l e s p e s t i c i d e s s o n t - i l s ?

• t r è s graves

f i graves

f i peu graves

l~1 mineurs

Les chances que ces problèmes de san té se produisent s o n t - e l l e s :

• t r è s f r é q u e n t e s

H f r équen te s

P I r a r e s

P I t r è s r a r e s

Le danger pour la san té dû' aux p e s t i c i d e s e s t - i l assez important pour n é c e s s i t e r l ' u t i l i s a t i o n de mesures p réven t ives?

• OUI Q N 0 N

Si o u i , l e s q u e l l e s ?

Si l e s p e s t i c i d e s sont dangereux pour v o t r e s a n t é , lequel des i n t e rvenan t s su ivan t s a la p lus grande r e s p o n s a b i l i t é de la Sécur i t é a la ferme?

l e gouvernement

2- • TUPA

3. • l e t r a v a i l l e u r qui l ' u t i l i s e

D !es fabricants

s. • es vendeurs

O 1 ' ache t eu r

7. • a u t r e , p r é c i s e r :


11.

70. Vous s e m b l e - t - i l n é c e s s a i r e d ' a c c o r d e r p l u s d ' i m p o r t a n c e dans l e m i l i e u , a la p r é v e n t i o n concernant l e s p e s t i c i d e s ?

• OUI Q N 0 N

71. Si o u i , q u e l s s e r a i e n t l e s moyens l e s p lus e f f i c a c e s ?

• d i f f u s e r DIUS d ' i n f o r m a t i o n sur l e s dangers des p e s t i c i d e s

2- • que l e danger s o i t mieux i n s c r i t su r l e s c o n t e n a n t s

3- • que l e s p r o d u i t s dangereux ne s o i e n t p l u s vendus

r n q u ' u n e m e i l l e u r e in fo rma t ion du danger s o i t f a i t e par L—1 l e vendeur

S- f—j que l e s t r a v a i l l e u r s - u t i l i s a t e u r s s e compor ten t avec ' p l u s d a t t e n t i o n au danger

• q u ' o n subven t ionne l e s équipements de p r é v e n t i o n

7- • a u t r e , p r é c i s e r :

72. Le comportement p r é v e n t i f que vous u t i l i s e z , p résen tement avec

l e s p e s t i c i d e s vous s e m b l e - t - i l adéquat e t s u f f i s a n t ?

• OUI Q N0N

73. Votre c o n n a i s s a n c e des dangers des p e s t i c i d e s vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI Q N 0 N

74. Votre c o n n a i s s a n c e des mesures préver i t ives a u t i l i s e r avec l e s p e s t i c i d e s vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI Q NON

75. Po r t ez -vous un masque r e s p i r a t o i r e l o r s de l ' é p a n d a g e des p e s t i c i d e s ?

Q Toujours • Rarement

• Souvent [ ] Jamai s

76. Si non, avez-vous d é j à pensé l e f a i r e ?

• OUI Q NON


Portez-vous des gants de caoutchouc lo r s de l ' u t i l i s a t i o n des p e s t i c i d e s ?


• Souvent • Jamais

Si non, avez-vous déjà pensé en p o r t e r ?

• OUI Q NON

Portez-vous des vêtements p r o t e c t e u r s épa i s ou en caoutchouc, l o r s de l ' u t i l i s a t i o n des p e s t i c i d e s ?



Si o u i , l e s lavez-vous ap rès chaque jour d ' u t i l i s a t i o n ?

• OUI Q NON

S1 non, avez-vous déjà pensé p o r t e r des vêtements p r o t e c t e u r s ?

• OUI Q «ON

Lavez-vous vos mains soigneusement avant de fumer , b o i r e , manger e t a l l e r ft la t o i l e t t e ?




• OUI • NON

La d i r e c t i o n des vents i n f l u e n c e - t - e l l e v o t r e façon de t r a v a i l l e r avec l e s p e s t i c i d e s ?

• Toujours " Q Rarement

• Souvent • Jama i s

Si non, avez-vous dé jà pensé en t e n i r compte?

• OUI Q NON


13.

Quand vous manipulez des p e s t i c i d e s , r incez-vous précautionneusement l e s contenants e t o u t i l s ?


• Souvent Q Jamais

Si non. avez-vous déjà pensé a changer v o t r e façon de l e s n e t t o y e r ?

• OUI Q NON

Replacez-vous i m é d i a tentent ap rès manipula t ion l e s p e s t i c i d e s dans un endro i t i nacces s ib l e aux e n f a n t s ?


O Souvent • j a m a i s

Est -ce dans un endro i t fermé d c l é ?

D Toujours Q Rarement

• Souvent • j a ^ i s

Si non, avez-vous déjà pensé l e f a i r e ?

• oui Q NON

Qu 'e s t - ce qui p o u r r a i t vous empêcher de t o u j o u r s prendre l e s

mesures prévent ives c o r r e c t e s en t r a v a i l l a n t avec l e s p e s t i c i d e s ?

• le manque d ' i n f o r m a t i o n sur l e s u j e t 2 - • l e coût

l'encombrement des équipements de s é c u r i t é

• l e ra len t i s sement du t r a v a i l dG aux équipements

5. Q l e manque de temps

• au t re» p r é c i s e r :


[

POUSSIERES VEGETALES

Pouss iè re qu 'on re t rouve dans l e s é t a b l e s , s i l o s , e n t r e p o t s de f o i n , ou dehors l o r s de travaux de r é c o l t e s .

92. Pensez-vous q u ' i l e x i s t e des r i sques pour la s a n t é au c o n t a c t de la pouss i è re végé ta le?

• OUI Q NON

93. Si o u i , que ls sont l e s problèmes poss ib le s?

. Q u ' e s t - c e qui vous amène d penser que l e s p o u s s i è r e s v é g é t a l e s sont dangereuses pour la san té?

95. Y a - t - i l des s ignes p a r t i c u l i e r s qui a v e r t i s s e n t de la présence du danger des pouss iè res végé ta l e s?

• oui • NON

96. Si o u i , l e sque l s?

. Selon vous, l e s problèmes de san té qui peuvent ê t r e causés par la pouss iè re végé t a l e , s o n t - i l s :

| ~ | t r è s graves

| | graves

I | peu graves

|~~| mineurs


15.

98. Les chances que ces problèmes de san té se p roduisen t s o n t - e l l e s :

• t r è s f r équen te s

• f r équen tes

i~l r a r e s


99. Le danger pour la s a n t é , dû aux pouss i è r e s végé ta les e s t - i l assez important pour n é c e s s i t e r l ' u t i l i s a t i o n de mesures p r éven t ive s?

• OUI Q non


101. Si l e s pouss iè res végé ta l e s nu i sen t a l a s a n t é , quel e s t l ' i n t e r -venant qui a la plus grande r e s p o n s a b i l i t é de la s é c u r i t é a l a ferme?

• l e gouvernement

2. • 1 'UP A

3. • vous

ii. • l e s médecins

5- • a u t r e , p r éc i s e r ;

102. Vous semble - t - i1 nécessa i re d ' a c c o r d e r plus d ' impor t ance , dans

l e m i l i e u , a la prévention concernant l e s pouss i è re s v é g é t a l e s ?

• OUI Q non

Numéro du questionnaire [

16.

Si o u i , que l s s e r a i e n t l e s moyens l e s plus e f f i c a c e s ?

». i—j d i f f u s e r p lus d ' i n f o r m a t i o n sur l e s dangers des pouss i è r e s 1 v é g é t a l e s

subvent ionner l e s équipements de p r o t e c t i o n

3- • adop te r une a t t i t u d e plus p réven t ive au t r a v a i l

informer l e s médecins

5- O a u t r e , p r é c i s e r :

l e s p récau t ions que vous u t i l i s e z présentement avec l e s pouss i è re s végé ta l e s vous s e m b l e n t - e l l e s adéquates e t s u f f i s a n t e s ?

• OUI Q N 0 N

Votre connaissance des dangers des pouss iè res végé ta l e s vous semble - t -e l ' l e s u f f i s a n t e ?

• OUI • «ON

Votre connaissance des mesures p réven t ives a u t i l i s e r avec l e s pouss iè res v é g é t a l e s vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• oui • NON

Portez-vous un masque a p o u s s i è r e quand 11 y a des g a l e t t e s blanches dans l e f o i n ?


• Souvent • j a m a i s


• oui • NON

Portez-vous des l u n e t t e s p r o t e c t r i c e s en cas d ' a l l e r g i e s ou d ' i r r i t a t i o n des yeux, au champs ou S l ' é t a b l e ?

• N o n H e u • Toujours

• Souvent • Rarement .

I I Jamais

Numéro du q u e s t i o n n a i r e •

Si non, avez-vous dé j à pensé l e f a i r e ?

' • OUI Q non

Por tez-vous des gants dans l e cas d ' a l l e r g i e ou d ' i r r i t a t i o n de la peau?

• Non l i e u Q Toujours

• Souvent • Rarement

I~1 Jamais


• OUI Q NON

En cas d ' a l l e r g i e ou d ' i r r i t a t i o n r e s p i r a t o i r e , por tez-vous des équipements p r o t e c t e u r s ?

• N°n l i e u • Toujours

• Souvent • R a r e i ï i e n t

I I Jamais


• OUI Q non

Prenez-vous des médicaments pour soulager vos a l l e r g i e s ? (an t i . -h i s t amin iques )

• Non l i e u Q Toujours

• Souvent • Rarement

I I Jamais


En cas de malaises ou d'incommodations dus aux pouss i è r e s v é g é t a l e s , q u ' e s t - c e qui p o u r r a i t vous empêcher de prendre l e s mesures prévent ives co r r ec t e s en t r a v a i l l a n t dans l e s pouss iè res végé t a l e s?

• l e coOt

l'encombrement des équipements de s é c u r i t é

3- • l e manque d ' i n fo rma t ion sur l e s u j e t

U. F I , e manque de d i s p o n i b i l i t é des épuipements dans l e s —' magasins

5. • a u t r e , p r é c i s e r :

Numéro du ques t ionna i re

19.

ACCIDENTS CHEZ LES ENFANTS A LA FERME

Les e n f a n t s qui vivent en mi l ieu a g r i c o l e .

Pensez-vous q u ' i l e x i s t e des r i sques d ' a c c i d e n t pour l e s e n f a n t s qui v ivent en mil ieu a g r i c o l e ?

118. Si o u i , quels sont l e s problèmes p o s s i b l e s ?

119. Qu ' e s t - ce qui vous amène d penser que l e s e n f a n t s sont exposés aux acc iden t s sur une .ferme?

Y a - t - i l des s ignes qui peuvent vous a v e r t i r de la présence d 'un r i sque d ' a c c i d e n t pour l e s e n f a n t s ?

121. Si o u i , l e sque l s?

Les acc iden t s aux en fan t s a r r i v e n t s u r t o u t 3 l ' S g e de:

1. • 0 a 3 ans

2. • 3 a 6 ans

3- • 6 a. 10 ans

• 10 a 15 ans

5. • t ou t age

• OUI • NON

• OUI • NON


20.

Selon vous, l e s a cc iden t s a r r i v e n t aux e n f a n t s s u r t o u t :

n pendant Qu ' i l s sont avec vous au travail

j—I pendant q u ' i l s sont sans s u r v e i l l a n c e A la maison L—1 ou a i l l e u r s

Quels sont l e s l i eux oû l e s en fan t s sont l e p lus exposés aux a c c i d e n t s ? exemple: bâ t iments , maison, garage , champs, c o u r , cours d ' e a u , c h e m i n s . . . )

Quels sont l e s éléments l e s plus souvent impliqués dans l e s a c c i d e n t s des e n f a n t s ? exemple: machiner ie , animaux, p r o d u i t s chimiques , é l e c t r i c i t é , eau, équipements, a l i m e n t s , c o n s t r u c t i o n , a l l e r g i e s . . . )

Selon vous, l e s a cc iden t s qui a r r i v e n t aux e n f a n t s s o n t - i l s généralement:

[ H t r è s graves

• graves

P i peu graves

1 | mineurs

Les a c c i d e n t s qui a r r i v e n t aux e n f a n t s s o n t - i l s généra lement :

• t r è s f r é q u e n t s

I I f r é q u e n t s

("1 r a r e s

I~~) t r è s r a r e s

Les r i sques d ' a c c i d e n t chez l e s e n f a n t s s o n t - i l s se lon vous, assez importants pour n é c e s s i t e r l ' u t i l i s a t i o n de mesures p réven t ives?

• OU! • NON

Numéro du ques t ionna

Si o u i , l e s q u e l l e s ?

Lequel des éléments su ivants d o i t f a i r e l e p lus de prévent ion en

ce qui concerne les acc iden t s chez l e s e n f a n t s a la ferme?

1- O l ' e n f a n t lui-même

2. • l e s parents

3- • l e mil ieu

Q l e gouvernement

5. • a u t r e , p r é c i s e r :

Vous s e m b l e - t - i l nécessa i re d ' a c c o r d e r p lus d ' impor t ance , dans l e m i l i e u , a la prévention concernant l e s a c c i d e n t s chez l e s e n f a n t s 8 la ferme?

Le comportement prévent i f que vous u t i l i s e z présentement con t re l e s a cc iden t s che2 les e n f a n t s a la ferme vous s e m b l e - t - i l adéquat e t s u f f i s a n t ?

• OUI • NON

Si o u i , que ls s e r a i e n t l e s moyens l e s p lus e f f i c a c e s ?

donner plus d ' i n f o r m a t i o n sur l e s u j e t

2- • o rgan i se r un système de gardiennage adéquat

3. • subventionner la garde des e n f a n t s

donner des cours .de prévent ion aux e n f a n t s a l ' é c o l e

5. • a u t r e , p r éc i s e r : •

• OUI • NON


Votre connaissance des r i s q u e s s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI

Votre connaissance des mesures s u f f i s a n t e ?

• OUI

Si vous avez des jeunes e n f a n t s . avec vous l o r s des t r a v a u x :

a) « J e t a b l e :

n Toujours

I I Souvent

k) ÊDJKÇbiDÇrie-

0 Toujours

F I Souvent

c) du champs:

• Toujours

1 I Souvent

Les f a i s i e z - v o u s garder par

• Toujours

I | Souvent

Le s l a i s s i e z - v o u s s e u l s ?

r~l Toujours

I I Souvent

d ' a c c i d e n t chez l e s e n f a n t s , vous

• NON

préven t ives vous s e m b l e - t - e l l e

• NON

ou en avez e u . l e s ameniez-vous

f i Rarement

H Jamais

P I Rarement

P I Jamais

f i Rarement

I 1 Jamais

personne compétente?

I I Rarement

P I Jamais

|~1 Rarement

P I Jamais


Auriez-vous p r é f é r é pouvoir vous o rgan i se r autrement?

• • NON

Si o u i , conwent?

Avez-vous i n t e r d i t c e r t a i n s jeux ou c e r t a i n s l i eux aux e n f a n t s , parce que vous l e s j ug iez t r o p dangereux?


Souvent Q Jamais

Avez-vous de ja pense l e f a i r e ?

• OUI Q m

Q u ' e s t - c e qui peut ou pouva i t vous empêcher d ' a g i r de la façon que vous j u g i e z s é c u r i t a i r e pour l e s e n f a n t s ?


24.

LES ACCIDENTS CHEZ LES TRAVAILLEURS ET TRAVAILLEUSES AGRICOLES

Pensez-vous q u ' i l y a des r i sques d ' a c c i d e n t pour l e s t r a v a i l l e u r s e t t r a v a i l l e u s e s qui u t i l i s e n t la machiner ie a g r i c o l e ?

• OUI • NON

Q u ' e s t - c e qui vous amène S penser q u ' i l y a des r i s q u e s d ' a c c i d e n t chez l e s t r a v a i l l e u r s e t t r a v a i l l e u s e s l o r s du t r a v a i l avec de la machiner ie ag r i co le?

Y a - t - i l des s ignes qui peuvent vous a v e r t i r de la présence d 'un r i sque d ' a cc iden t l o r s de l ' u t i l i s a t i o n de la machiner a g r i c o l e ?

• OUI Q NON

Si o u i , l e sque l s?

Selon vous, l e s problèmes de s a n t é , causes par l e s a cc iden t s de machiner ie , en général s o n t - i l s :

I I t r è s graves

i~l graves

| ~ | peu graves

I I mineurs

Numéro du questionnaire [

25.

Les chances que des problèmes de san té se p rodu i sen t s o n t - e l l e s :

• t r è s f r équen tes

I | f réquentes

• r a r e s


Le danger pour la santé dû aux acc iden t s de machiner ies e s t - i l

assez important pour n é c e s s i t e r l ' u t i l i s a t i o n de mesures p réven t ives?

Si ou i , l e s q u e l l e s ?

Si l e s acc idents sont dangereux pour la san té des t r a v a i l l e u r s , lequel des in te rvenan ts a la p lus grande r e s p o n s a b i l i t é de la s é c u r i t é 8 la ferme?

•• D l e gouvernement

2. • l.'UPA

3. • l e t r a v a i l l e u r concerné

l e s f a b r i c a n t s de machiner ies

5. • l e p r o p r i é t a i r e de machiner ies

6. Q a u t r e , p r é c i s e r :

Vous s e n b l e - t - i l nécessa i re d ' a c c o r d e r p lus d ' impor t ance , dans l e m i l i e u , d la prévention des a c c i d e n t s des t r a v a i l l e u r s e t t r a v a i l l e u s e s ag r i co l e s?

• OUI • NON

• OUI • NON


26.

154. Si o u i , que l s s e r a i e n t l e s moyens l e s p lus e f f i c a c e s ?

1. O . donner plus d ' i n f o r m a t i o n sur l e s u j e t

2 i—« donner plus de format ion sur l ' u t i l i s a t i o n s é c u r i t a i r e 11 des machiner ies

3 I I q u e 1 a m a 1 n " d ' o e u v r e a g r i c o l e su ive ob l iga to i r emen t un ' cours de prévent ion des acc iden t s

O subvent ionner l ' a c h a t des équipements s é c u r i t a i r e s

5. Q l a u t r e , p r é c i s e r :

155. Le comportement p réven t i f que vous avez présentement envers l e s r i sques d ' a c c i d e n t chez l e s t r a v a i l l e u r s e t t r a v a i l l e u s e s a g r i c o l e s vous semble- t -11 adéquat e t s u f f i s a n t ?

• OUI • NON

156. Votre connaissance des r i s q u e s d ' a c c i d e n t chez l e s t r a v a i l l e u r s

e t t r a v a i l l e u s e s a g r i c o l e s vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI • NON

157. Votre connaissance des mesures p réven t ives des a c c i d e n t s vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI • NON

158. Conroent vos proches ( e n f a n t s , c o n j o i n t s , employés) o n t - i l s appr i s l e s p r i n c i p e s de prévent ion e t de s é c u r i t é avec la machinerie?

I. • i l s on t t o u j o u r s f a i t ce que j e f a i s

2- O j e l e u r a i a p p r i s moi-même

3. O i l s ont app r i s par eux-mêmes

Q 1 1 s ne l e s connaissen t pas

5. • a u t r e , p r é c i s e r :

159. Vos t r a c t e u r s o n t - i l s une cabine s é c u r i t a i r e ou un cadre de p ro tec t ion répondant aux nonnes de s é c u r i t é ?

• 7 o u S • Quelques-uns • Aucun

160. Avez-vous pensé les en équiper?

• OUI • NOr.

Numéro du q u e s t i o n n a i r e

161. Vos t r a c t e u r s o n t - i l s une c e i n t u r e de s é c u r i t é ?

• Tous • Quelques-uns Q Aucun

162. Si non, avez-vous pensé l e s en équiper?

• oui • NON

163. Avez-vous modif ié vos machiner ies pour l e s r é p a r e r p lus f a c i -lement , en en levant des gardes ou t û l e s ?


• Souvent • j a m a i s

164. Arrê tez-vous l e moteur du t r a c t e u r fi chaque f o i s que vous avez a t r a v a i l l e r su r lu i ou la machinerie q u ' i l a c t i onne?

, • Toujours Q Rarement


165. Si non, avez-vous dé jà pensé a l e f a i r e a chaque f o i s ?

• OUI Q N0N

166. - L 'exigez-vous des personnes qui t r a v a i l l e n t pour vous ou qui vous donnent un coup de main?



167. Avez-vous déjà songé l ' e x i g e r ?

• OUI Q NON

168. Par lez-vous de prévent ion e t de s é c u r i t é aux nouvel les personnes qui t r a v a i l l e n t pour vous ou qui vous a i d e n t ?


• Souvent . • Jamais


28.

169. Avez-vous déjà pensé l e f a i r e ?

• OUI Q NON

170. Fai tes-vous a t t e n t i o n que l e s vêtements que vous por tez ne so ient pas déch i rés ou t r o p amples?


• Souvent • jamais

171. Avez-vous déjô pensé l e f a i r e ?

• OUI Q NON

172. Pensez-vous que l e s a u t r e s t r a v a i l l e n t p lus dangereusement que vous?

• OUI • NON

173. Y a u r a i t - i l des mesures p r é v e n t i v e s ou s é c u r i t a i r e s , par r appor t

aux machiner ies , que vous j u g e r i e z n é c e s s a i r e s d ' a d a p t e r

sur vo t re ferme?

• OUI • NON


Qu 'es t -ce qui peut vous empêcher de prendre l e s mesures prévent i co r r ec t e s par rappor t au t r a v a i l avec la machinerie?

J. • le manque d ' i n f o r m a t i o n sur l e s u j e t

2. • l e s coûts

3. • l e manque de format ion des employés

k. • le manque de temps

5. • a u t r e , p r é c i s e r :


LE STRESS

Dans l e sens néga t i f du terme: grande f a t i g u e , épuisement

176. Pensez-vous que la cond i t ion de p r o p r i é t a i r e a g r i c o l e s o i t la cause de s t r e s s ?

• OUI Q N 0 N

177. Y a - t - i l des choses qui vous s t r e s s e n t en a g r i c u l t u r e ?

• OUI Q N 0 N

178. Si o u i , l e s q u e l l e s e t par importance:

179. Selon vous, l e s t r e s s augmente - t - i l l e s r i s q u e s d ' a c c i d e n t de t r a v a i l ?

• OUI Q NON

180. Selon vous, l e s t r e s s qui e s t vécu en a g r i c u l t u r e p e u t - i l avo i r des e f f e t s sur la san té?

• OUI Q N 0 N

Le danger pour la san té dû au s t r e s s e s t - i l pour vous assez

important pour n é c e s s i t e r l ' u t i l i s a t i o n de mesures p réven t ives?

• OUI Q «ON

Selon vous, l e s problèmes de san té qui peuvent ê t r e occasionnés par l e s t r e s s "ag r i co le" s o n t - i l s :

1. • t r è s graves

2. [ ] j graves

3- • peu graves

Q mineurs

Numéro du ques t i onna i r e

Selon vous, l e s t r e s s " a g r i c o l e " e s t - i l la cause de maladies card iaques?

Selon vous, l e s maladies ca rd iaques s o n t - e l l e s f r é q u e n t e s dans l e mi l ieu ag r i co le?

• t r è s f réquen tes

P I f r équen te s

H ) r a r e s


Selon vous, l e s problèmes d 'épuisement s o n t - i l s f r é q u e n t s dans l e mi l ieu ag r i co le?

H t r è s f r équen t s

[~~1 f r é q u e n t s

• r a r e s

n r a r e s

Savez-vous quand vous ê t e s s t r e s s é ?

Si o u i , connaissez-vous ce qui peut vous d é - s t r e s s e r ?

• OUI • NON

• OUI • NON

• OUI • NON

Si o u i , l ' u t i l i s e z - v o u s ?

I I Toujours

| j Souvent

I 1 Rarement

\ | Jamais


Si non, pourquoi?

Vous ê t e s s t r e s s e , vous vous sentez a bout de f o r c e s , a bout de

n e r f s , lequel des i n t e r v e n a n t s su ivan t s a la plus grande respon-

s a b i l i t e de con t rô l e r l e s t r e s s ?

1. • l e s médecins

2. • votre f a m i l l e

3- • vous

U. • l'UPA

S. • l e gouvernement

6. • l e mil ieu

7. • a u t r e , p r é c i s e r :

Vous semble-t-11 n é c e s s a i r e d ' a cco rde r p lus d ' importance dans l e m i l i e u , a la prévent ion du s t r e s s ?

• OUI • NON

Si o u i , quels s e r a i e n t l e smoyens l e s p lus e f f i c a c e s ?

1. • a l l e r vers un système de fermes p lus p e t i t e s

2. • augmenter l e s subvent ions gouvernementales

3- • c rée r p lus d ' e n t r a i d e dans l e mi l i eu

• donner plus d ' i n f o r m a t i o n sur l e s t r e s s e t l e s moyens de l e combattre

5. • a u t r e , p r é c i s e r :


Le comportement p r év en t i f que vous avez présentement par rappor t au s t r e s s vous semble-t-11 adéquat e t s u f f i s a n t ?

• OUI Q NON

Votre connaissance des dangers du s t r e s s vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

1 • OUI • NON

Votre connaissance du c o n t r ô l e du s t r e s s vous s e m b l e - t - e l l e s u f f i s a n t e ?

• OUI • NON


GENERAL

Pensez-vous q u ' i l d e v r a i t y a v o i r plus d ' i n f o r m a t i o n sur la prévent ion des a c c i d e n t s en a g r i c u l t u r e ?

Pensez-vous q u ' i l d e v r a i t y a v o i r plus d ' i n f o r m a t i o n su r l e s maladies dues 8 l ' a g r i c u l t u r e ?

Lequel des a c c i d e n t s ou des maladies vous semble l e p lus important 8 t r a i t e r ?

• a c c i d e n t s

f~ l maladies

f i l e s deux

Courent c e t t e in format ion p o u r r a i t - e l l e l e mieux vous r e j o i n d r e ?

Pré fé rez -vous des cours ou des journées d ' i n f o r m a t i o n su r la prévent ion des acc iden t s a la ferme?

f i cours

• j ou rnées d ' i n f o r m a t i o n

D l e s deux

Lors d 'un cours ou d 'une journée sur la prévent ion 8 la fe rme , 8 votre a v i s , de que ls s u j e t s d e v r a i t - o n d i s c u t e r ?

• OUI • NON

• OUI • NON

Numéro du q u e s t i o n n a i r e •

34.

Les suggest ions su ivan tes vous s e m b l e n t - e l l e s u t i l e s ?

1° que l e s garages de machiner ies a g r i c o l e s a f f i c h e n t quelques mesures p réven t ives?

• OUI Q NON

2° que l e s vendeurs de p rodu i t s chimiques en sou l ignent l e s

dangers e t l e s mesures p r é v e n t i v e s ?

• OUI Q NON

3° qu 'au min i s t è r e de 1 ' a p r i c u l t u r e , des a f f i c h a g e s sur la

prévention s o i e n t d la vue de tous?

• OUI Q NON

0 que des rencont res d ' i n f o r m a t i o n s o i e n t organisées sur la prévention de d i f f é r e n t s s u j e t s ?

• OUI Q «ON

0 que des cours de prévent ion des a c c i d e n t s 8 la ferme so ien t données?

• OUI Q NON

0 que lo r s de rencont res d ' i n f o r m a t i o n a g r i c o l e , la prévent ion appropr iée s o i t soul ignée?

• OUI • NON

0 qu'un manuel de mesures de p réven t ion des acc iden t s 3 la ferme s o i t publ ié?

• OUI Q NON

Numéro du ques t ionna i r e •

35.

203. Dans l e cas de cours ou de rencon t res que l l e s sont vos d i s p o n i b i l i t é s t a n t :

1° qu'aux mois ou B la s a i s o n :

2° qu'au nombre de j o u r s par semaine:

3° qu'aux j o u r s de la semaine:

4° qu'aux heures de la j o u r n é e :

204. A que l l e heure écoutez-vous la r ad io?

1° de 5HOO A 10H00:

2° de 10H00 a 14H00: _ _

3° de 14H00 8 19H00: "

4° de 19H00 a minu i t :

>05. Quels jours de la semaine écoutez-vous la r ad io?

Avez-vous des conmentai res a f a i r e sur l e p résen t ques t i i r e :

Merci de vo t re c o l l a b o r a t i o n

Numéro du q u e s t i o n n a i r e '

/me 30-12-85

ANNEXE B

LETTRE AUX P A R T I C I P A N T S

V

\ C5 S s f Centre de Santé Sainte-Famille

Le 20 février 79*6

36. 22. Notre Dame nord C.P. 7000 Tél. 18191 629 24?0 VILLE MARIE. P.O. J02 3W0

OBJET: Sondage.

BonjouA,

Le Cejtùie. de Santé ScUnte-FamUle de Vllte-McvUe, qui travaille à la prévention des problèmes de santé est à ^aire un sondage dans le milieu agricole témiscamlen. Ce sondage a pouA but de situer la pensée et les connaissances des agriculteurs et agKlc.vdUbiLc.eA témlscamlens quant à la prévention deJS problèmes de santé à la ierme. Ces résultats serviront à l'équipe de santé an travail et CUL monde agricole témiscamlen et seront tA&s Importants pour oAgoniseA la prévention dans Le milieu.

Un échantillonnage, au hasaAd, a été efâectué paAml la population agricole et votre nom a été retenu. J'aimeAais donc vous rencontrer personnellement, chez vous, pouA passer ce sondage sous forme d'entrevue. Cette rencontre devrait être d'envlAon deux (2) heures trente (30) minutes. Je vais, sous peu, communiquer avec vous pour &ixer un rendez-vous, selon vos disponibilités. Je peux vous rencontrer le matin, l'aprls-mldi ou en moirée, selon ce qui vous conviendra le mieux.

Il est donc tris Important poux la santé des gens travaillant et vivant dans le milieu agricole témlscamlen, de collaborer à ce sondage.

Nous comptons SUA votre bonne participation, à bientôt.

LES SERVICES VE PREMIERE LIGNE,

VanielZe Labrie, projet "santé et sécurité au travail en agriculture"

VL/mc

ANNEXE C

G R I L L E DE C O M P I L A T I O N

GRILLE DE COMPILATION

Pour chaque agresseur voici le numéro de la question se rapportant 3 une section du.modèle.

Dans le cas où plusieurs questions se rapportent â la même section, le mode de calcul est le suivant:

Section 6: le.résultat de cette section est celui de une bonne réponse et plus.

Section 8: les choix de réponses â cette question sont cotées ainsi: toujours: oui

souvent : rarement: jamais :

non

sauf exceptions qui sont notées

Section 9: pour vérifier cette section, une inspection serait nécessaire; la forme du questionnaire est inadéquate

ANNEXE D

RÉPONSES AUX QUESTIONS

NE SERVANT PAS AU MODÈLE

QUESTIONS COMMUNES A CHAQUE AGRESSEUR 39.

Question: Vous semble-t-il nécessaire d'accorder plus d'importance, dans le milieu, à la prévention concernant les agresseurs?

Réponse:

Choix

Agresseur

NO. QUESTION OUI NON NE SAIT PAS

Gaz d'ensilage 31 85.5 11.9 2.6

Pesticides 70 88.2 9.2 2.6

Poussières végétales 102 69.7 29 1.3

Accidents aux enfants 131 89.5 9.2 1.3

Accidents aux travailleurs 153 97.4 2.6 0

Stress 191 77.6 19.7 2.7

MOYENNE 84.7 13.6 1.7

Question: Pour accorder plus d'importance à la prévention d'un agres-seur, quels sont les moyens les plus efficaces?

Gaz d'ensilage (question 32)

Réponse: - Donner plus d'information sur le sujet: 47.9%

- Inclure les équipements de sécurité avec l'achat d'un silo-tour: 21.8%

- Augmenter la prévention à la ferme: 9.8%

- Donner des cliniques de sauvetage et premiers soins: 6.5%

- Subventionner l'achat des équipements de sécurité: 6.5%

- Organiser des pratiques dans le milieu: 4.3%

- Autre: 3.2%

Pesticides (question 71)

Réponse: - Diffuser plus d'information sur les dangers des pesticides: 23.6%

- Qu'une meilleure information du danger soit faite par le vendeur: 20.4%

- Que les travailleurs-utilisateurs se comportent avec plus d'attention au danger: 20.4%

- Que le danger soit mieux inscrit sur les contenants: 16.1%

- Que les produits dangereux ne soient plus vendus: 9.7%

- Qu'on subventionne les équipements de prévention: 3.2%

- Autre: 6.6%

Poussières végétales (question 103)

Réponse: - Diffuser plus d'information sur les dangers des poussières végétales: 62.9%

- Adopter une attitude plus préventive au travail: 25.8%

- Informer les médeci ns: 6•5%

- Subventionner les équipements de protection: 3.2%

- Ne sait pas: 1.6%

Accidents aux enfants (question 132)

Réponse: - Donner des cours de prévention aux enfants â l'école: 44.6%

- Organiser un système de gardiennage adéquat: 20.8%

- Donner plus d'information sur le sujet: 16.6%

- Subventionner.la garde des enfants: 13%

- Autre: 5%

Accidents aux travailleurs et travailleuses (question 154)

Réponse: - Que la main-d'oeuvre agricole suive obligatoirement un cours de prévention des accidents: 29.8%

- Donner plus de formation sur l'utilisation sécuritaire des machineries: 25.9%

- Donner plus d'information sur le sujet: 23.4%

- Subventionner l'achat des équipements sécuritaires: 7.3%

- Autre: 13.6

Stress (question 192)

Réponse: - Donner plus d'information sur le stress et les moyens de le combattre: ,50.6%

- Créer plus d'entraide dans le milieu: 23.3%

- Aller vers un système de ferme plus petite : 12.3%

- Augmenter les subventions gouvernementales: 8.2%

- Autre: 5.6%

Question: Votre connaissance des dangers de Vagresseur vous semble-t-elle suffisante?

Réponse:

Choix

Agresseur ^ ^ ^ ^ NO.

QUESTION OUI NON Ne sait pas

Gaz d'ensilage 34 56.6 42.1 1.3

Pesticides 73 56.6 40.8 2.6

Poussières végétales 1.05 52.6 47.4 0

Accidents aux enfants 134 80.3 17.1 2.6

Accidents aux travailleurs 156 68.4 31.6 . 0

Stress 194 61.8 38.2 0

MOYENNE 62.7 36.2 1.1

Question: Votre connaissance des mesures préventives à utiliser contre l'agresseur vous semble-t-elle suffisante?

Réponse:

^ ^ ^ ^ ^ Choix

Agresseur NO.

QUESTION OUI NON Ne sait pas

Gaz d'ensilage 35 50 50 0

Pesticides 74 55.3 42.1 2.6

Poussières végétales 106 55.2 44.8 0

Accidents aux enfants 135 75 22.4 2.6

Accidents aux travailleurs 157 61.8 38.2 0

Stress 195 57.9 42.1 0

MOYENNE 59.2 39.9 0.9

QUESTIONS DE CHAQUE AGRESSEUR

44.

GAZ D'ENSILAGE

Question 21 : La technique d'ensilage a-t-elle une influence sur la formation des gaz d*ensilage?

Réponse: - oui: 50% BONNE REPONSE - non: 19.7% - ne sait pas: 30.3%

Question 21: Où. trouve-t-on les gaz d'ensilage toxiques en entrepo-sage en silo-tour?

Réponse: - sur l'ensilage (suppose gaz lourd): 36.4% ---BONNE REPONSE - ne sait pas: 35.2% - en haut: 16.9% - autre (plusieurs réponses): 11.5%

Question 23: Quand est-ce toxique?

i i Réponse: - période de fermentation plus ou moins précis: 57.3% --BONNE REPONSE

- ne sait pas: 23.4% - tout le temps: 12.9% - au moment de la fabrication et pendant quelques jours: 3.8% - autre: 2.6%

45.

Question 24: En silo-meule, pèut-on être incommodé par les gaz d'ensilage?

Réponse: - oui: 44.7% BONNE REPONSE - non: 43.4% - ne sait pas: 11.9%

Question 25: L'ensilage peut-il causer l'absence d'oxygène?

Réponse: - oui: 71% BONNE REPONSE - non: 4% - ne sait pas: 25%

Question 36: Faites-vous de l'ensilage?

Réponse: - non: 69.7% - oui: 30.3%

Question 37: Prévoyez-vous en faire?

Réponse: - non: 64.5% - oui : '35,5%

Question 38: Est-ae en silo-tour?

Réponse: - non: 89.5% - oui: 10.5%

Question 39: Est-ae en silo-meule?

Réponse: - non: 73.6% - oui: 26.4%

SILO-TOUR

Question 40: Votre silo a-t-il un système de câble pour attacher les personnes qui y pénètrent?

Réponse: - non: 85.7% - oui: 14.3%

Questi on 47: Le local adjacent à l'êtable ferme-t-il hermétiquement?

Réponse: - non: 57.1% - oui: 42.9%

47.

Question 50: Le local adjacent à l'êtable a-t-il un système de ventilation?

Réponse: - non: 71.4% - oui : 28.6%

Question 55: Possèdez-vous des pancartes avisant du danger?

Réponse: - non: 57.1% - oui: 42.9%

P E S T I C I D E S

Question 64: Comment les pesticides peuvent-ils pénétrer dans votre organisme?

Réponse: Tous ont répondu au moins une voie. Par pourcentage de choix: .respiratoire: 43.6%

.cutanée : 35.9%

.digestive : 20.5%

POUSSIÈRES VEGETALES

Question 115: Prenez-vous des médicaments pour soulager vos allergies

Réponse: - jamais: 85% - toujours: 10% - souvent:. 5%

ACCIDENTS CHEZ LES ENFANTS À LA FERME

Question 122: Les accidents aux enfants arrivent surtout à l 'âge de:

Réponse: - tout âge: 41.5% - 3 3 6 ans: 21.3% - 6 à 10 ans: 14.9% - 10 a 15 ans: 14.9% - 0 à 3 ans: 7.4%

Question 123: Les accidents arrivent aux enfants:

Réponse: - pendant qu'ils sont sans surveillance: 35.6% - pendant qu'ils sont avec nous au travail: 26.3% - autant l'un que l'autre: 30.2% - ne sait pas: 5.3%. - ne s'applique pas: 2.6

49.

Question 124: Les lieux où les enfants sont le plus exposés:

Réponse: - cour: 25.9% - champs: 21.6% - chemins: 16.3% - partout: 13.8 - bâtiments: 10.3% - garages: 6% - cours d'eau: 5.2% . - forêt: 0.9%

Question 125: Les éléments le plus souvent impliqués dans les accidents aux enfants:

Réponse: - machinerie et équipements: 65.7% - animaux: 14.1% - tout: 7.1% - produits chimiques: 6.1% - électricité: 2% - autres: 5%

50.

Question 136: Amenez-vous les jeunes enfants avec vous lors des travaux?

Réponse: a) â_Vétable:

- souvent: 45.5% - toujours: 33.3% - rarement: 13.6%

- - jamais: 7.6%

b) en machinerie:

- rarement: 53.7% - souvent: 26.8% - jamais: 12% - toujours: 7.5%

c) §u_chamf)s:

- rarement: 38.8% - souvent: 31.3% - jamais: 22.4% - toujours: 7.5%

Question 137: Les faites-vous garder?

Réponse: - toujours: 79% - rarement: 10.5% - souvent: 9% - jamais: 1.5%

51.

Question 138: Les laissez-vous seuls?

Réponse: - jamais: 73% - souvent: 15% - rarement: 9% - toujours: 3%

Question 139: Auriez-vous préféré vous organiser autrement?

Réponse: - non: 55.2% - oui: 44.8%

Question 140: Si oui, comment?

Réponse: - gardiennage & la maison: 87.1% - gardiennage hors de la ferme: 6.5% - rester â la mai son-engager pour la ferme: 6.4%

52.

ACCIDENTS CHEZ LES TRAVAILLEURS ET TRAVAILLEUSES AGRICOLES

Question 158: Comment les proches ont-ils appris les principes de prévention et de sécurité avec la machinerie?

Réponse: - je leur ai appris moi-même: 75.9% - ils ont appris par eux-mêmes: 15.7% - ils ont toujours fait ce que je fais: 7.2% - ils ne les connaissent pas: 1.2%

Question 172:. Pensez-vous que les autres travaillent plus dangereu-sement que vous?

Réponse: - oui: 51.4% - non: 41.9% - ne sait pas: 6.7%

Question 173: Y a-t-il des mesures préventives ou sécuritaires jugées nécessaires d'adopter sur votre ferme?

Réponse: - non: 67.6% - oui: 32.4%

Question 174: Si oui> lesquelles?

Réponse: - ajouter ou remettre des gardes: 30.6% - arceau de sécurité sur tracteur: 26.1% - modifier machinerie pour son entretien: 13.1% - arrêter les moteurs de tracteurs: 8.7% - augmenter la prévention des employés: 4.3% - poser frein à main sur tracteur: 4.3% - modifier montée du nettoyeur: 4.3% - réparer échelle: 4.3& - ne sait pas: 4.3%

STRESS

Question 177: Y a-t-il des choses qui vous stressent en agriculture?

Réponse: - oui: 81.6% - non: 18.4%

54.

Question 178: Si oui, lesquelles?

Réponse: - température: 31.1% - finances: 26.9% - quantité de travail â faire: 13.5% - maladie des animaux: 3.4% - accidents: 2.5% - imprévus: 2.5% - fatigue: 2.5% - incompétence de la main-d'oeuvre: 1.8% - bris: 1.8% - gouvernement: 1.8% - multiplicité des tâches: 1.8% - autres; 10.4%

Question 179: Le stress augmente-t-il les risques d'accident de

travail?

Réponse: - oui: 94.7% - non: 5.3%

Question 183: Le stress peut-il être la cause de maladies cardiaques?

Réponse: - oui: 79% - non: 6.6% - ne sait pas: 14.4%

Questi on 184: Les maladies cardiaques sont-elles fréquentes dans

le milieu agricole?

Réponse: - fréquentes: 47.3% - rares: 26.3% - ne sait pas: 17.1% - très fréquentes: 5.3% - très rares: 4%

Question 186: Savez-vous quand vous êtes stressé:

Réponse: - oui: 82.9% - non: 10.5% - n'est pas stressé: 6.6%

Question 189: Pourquoi vous n'utilisez pas ce qui peut vous

dé-stresser?

Réponse: - faut continuer le travail: 54.3% - manque de temps: 16.7% - laisser aller: 14.7% - coûts: 4.3% - pas assez concentré: 2% - manque de conviction: 2% - manque d'employés compétants: 2% - stress trop élevé: 2% - faut accepter les choses comme elles sont: 2%

ANNEXE E

RÉPONSES AUX QUEST IONS GÉNÉRALES

56.

GENERAL

Question 196: devrait-il y avoir plus d'information sur la prévention

des accidents en agriculture?

Réponse: - oui: 86.8% - non: 13.2%

Question 197: Devrait-il y avoir plus d'information sur les maladies

dues à l'agriculture?

Réponse: - oui: 94.7% - non: "5.3%

Question 198: Lequel des accidents ou maladies vous semble le plus

important?

Réponse: - les deux: 71% - maladies: 18.4% - accidents: 6.6% - aucun: 4%

Question 199: Comment cette information peut-elle le mieux vous

rejoindre ?

Réponse: - lecture: 37.4% - radio: 22.1 - rencontres: 15.,4% - télévision: 15.4% - cours: 7.7% - jase: 1% - pratique: 1%

Question 200: Préférez-vous des cours ou journées d'information?

Réponse: - aucun: 44.7% - journée d'information: 35.5% - cours: 14.5% - les deux: 5.3%

Question 201: De quel sujet devrait-on parler?

Réponse: - tous: 31.9% - accidents: 18.7% - stress: 17.6% - machinerie: 6.5% - maladies: 12.1% - enfants: 3.3% - produits chimiques: 3.3% - poussières végétales et poumon du fermier: 2.2% - pesticides: 2.2% - électricité: 2.2%

ANNEXE F

1 D I S P O N I B I L I T É ET HORAIRE J

Question 203: Disponibilité tant:

Réponse:

Réponse:

Réponse:

1° qu'au mois:

- février: 24.3% - janvier: 23.5% - mars: 14.4% - novembre: 13.6% - décembre: 12.9% - avril: 6.8% - octobre: 4.5%

2° qu'au nombre_de jours par_semaine

- 1 jour: 53.4% - 2 jours: 24.4% - 3 jours: 8.9% - 4 jours: 4.4% - 5 jours: 8.9%

3° qu'aux jours de la_semaine:

- mercredi: 22.9% - jeudi: 21% - mardi: 19.3% - vendredi: 18.1% - lundi: 17.5% - samedi: 0.6% - dimanche: 0.6%

Réponse: 4°_ qu'aux heures de_la journée:

- 13 5 14h: 19.2% - 14 a 15h: 19.2% - 15 à 16h: 17.3% - 10 â llh: 13.5% - 11 â 12h: 13.5% - 9 â 1Oh : 10.2% - 16 â 17h: 2.7% - 20 â 21 h: 2.2% - 21 â 22h: 2.2%

Donc2-blocs_les_glus_gogulaires:

1° 1/2 journée: 13 â 16 heures

2° de 10 heures â 16 heures

3° de 9 heures a 16 heures

ANNEXE G

HORAIRE D ' É C O U T E DE LA RADIO

Question 204: Heures d'écoute de la radio

Réponse: - 8 d 9h: 19% - 7 â 8h: 15.8%

- 12 a 13h: 13%

- 9 â 1Oh: 11.8%

- 11 a 12h: 11.1%

- 10 â l l h : 9.2%

- 6 a 7h: 5.3%

- 13 a 14h:, 3.3%

- 14 a 15h: 2.6%

- 15 a 16h: 1.9%

- 16 a 17h: 1.9%

- 17 d 18h: 1.9%

» 18 a 19h: 1.9%

- 5 a 6h: 1.3%

1° 7 a 9h

2° 12 â 13h

Question 205: Jours d9êcoute de la radio

Réponse: - lundi: 16.8% - mercredi: 16.8% - jeudi: 16.8% - vendredi: 16.8% - mardi: 16.4% - dimanche: 8.6% - samedi: 7.8%

ANNEXE H

SUGGEST IONS DES P A R T I C I P A N T S

61.

SUGGESTIONS

Question 202: Ces suggestions semblent-elles utiles?

1° que les garages_de machineries agricoles affichent quelques mesures

préventives?

Réponse: - oui : 92% - non: 8%

2° que_lesjuendeurs_de produits_chimiques soulignent les dangers

et mesures préventives?

Réponse: - oui: 96% - non: 4%

3° qu'au ministère_de l'agriculture des affichages sur la prévention

soient à la vue de tous?

Réponse: - oui: 92% - non: 8%

4° que_des rencontres d'information_soient organisées sur la prévention

de différents sujets?

Réponse: - non: 51.3% - oui: 48.7%

62.

5° que des cours de prévention des accidents à la_ferme soient_donnés?

Réponse: - non: 68.4%

- oui : 31.6%

6° que lors de rencontres_d^information agricole3 la prévention appropriée soit soulignée?

Réponse: - oui : 94.7%

- non: 5.3%

7° qu'une forme de manuel de mesures de prevention _des _accidents à la ferme_soit publié?

Réponse: - oui : 96%

- non: 4%

SUGGESTIONS RECUEILLIES LORS DES ENTREVUES

Que des cours de premiers soins adaptés au milieu agricole soient dispensés.

Présenter des documents préventifs audio-visuels intéressants, par des images chocs.

Placer des pancartes préventives, voyantes et gaies dans les entrepri ses agricoles (garages, laiteries, granges...).

Simplifier, vulgariser les termes des produits chimiques.

Etre salariés pour suivre des cours de prévention.

Inspecter les entreprises et obliger, dans des délais raisonnables, les corrections nécessaires, sinon pénaliser.

Distribuer un pamphlet sur les mesures préventives et les premiers soins (symptômes et risques).

Cours aux enfants en dehors des heures d'écoles.

Compiler des statistiques sur les accidents et les diffuser.

La sensibilisation à la prévention doit se faire par la ténacité répétée et la publicité.

Que les équipements de protection soient disponibles dans les magasins.

Que les camions de transport de lait et les insiminateurs soient avertis de faire moins de vitesse pour protéger nos enfants.

Faire des recherches pour concevoir un siège de tracteur confortable et sécuritaire.

Faire des recherches pour trouver un test dépisteur de l'allergie "poumon du fermier".

F 3547

Ville-Mario 629-2420 Be I teterre 722-2161 Moffei 747-41 71

Laforce 722-2453 Rémigny . . POINTS DE SERVICE Nédalec 784-4541

Angliers 949-4351

Latulipe 747-5561

22, Notre-Dame Nord C P. 2000 - VILLE-MAR IE, Qc JOZ 3W0

Documents

SANTÉCOM - santecom.qc.ca€¦ · face aux danger présents dans lse milie agricolu témiscamiene A cet. effet, un ... l'environnement, ... Les pesticide sons ict ui n term que comprendi