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sauf lundis et jours fériés - TV5Monde

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Page 1: sauf lundis et jours fériés - TV5Monde
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Exposition ouverte tous les jourssauf lundis et jours fériésDu mardi au vendredi de 11h00 à 20h00les samedis et dimanches de 11h00 à 19h00

Entrée libre : 127-129, rue Saint Martin – 75004 Paris

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Le Centre Wallonie Bruxelles expose desœuvres de Alassane Drabo exception-

nelles par leurs dimensions et surtout leursens. « Afrique sous perfusion », troissculptures constituées de morceaux debois d’ébène assemblés par des liensmétalliques, révèlent une vision puissantede l’Afrique, à la symbolique brutale, donton voudrait pouvoir nier la réalité.Pour lui, l’artiste n’est pas intéressant ensoi, seules ses œuvres et leur rôle socialimportent. En ce sens, il accepte d’êtrequalifié « d’artiste politique », impliquédans les affaires de la cité.La création plastique étant encore trèsmal connue du public burkinabè, l’artistemilite pour le développement des discipli-nes artistiques à l’école.Alassane est né en 1968 à Koudougou et aprèsavoir suivi une formation artistique à l’AtelierPolyvalent d’Arts Plastiques de Ouagadougou,il participe ensuite aux stages de sculpture etde design lors d’une édition de «Ouag’Art ».On lui doit des sculptures monumentales quiornent les places de Ouagadougou. Il exposerégulièrement à Ouagadougou, en Côted’Ivoire, au Bénin, au Sénégal, et en Europe(France, Pays Bas). Ce sculpteur est égale-ment un excellent designer dont les créationshabillent les centres culturels français deBobo Dioulasso et de Ouagadougou.

Sans titre, photo © DR

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Sambo Boly est un peintre autodidacte, sa peinture est totalement originale etses sujets s’enracinent dans la tradition. Ses toiles sont un tissage composé

de bandelettes déchirées et enchevêtrées où il tend et inclut des morceaux debois, de grandes cuillères, des fers de lance…Cependant, par l’originalité de son langage plastique, il prend une certaine dis-tance avec ces références traditionnelles et s’interroge plus largement sur lanature humaine.

Né en 1960, à Sabcé, dans la province du Bam. Il s’initie au dessin pendant ses études cora-niques, puis à l’art artisanal au Centre national d’Artisanat d’Art de Ouagadougou (CNAA).Expose au CNAA, aux Centres culturels français de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso, àla galerie Escalier rouge de Ouagadougou. Il expose à Genève en mai et en juillet 2000, ilparticipe à une exposition collective à Grenoble. En décembre 2004, il exposera en Suisse.

L'Union, huile sur toile, tissu, terre, 190 x 80 cm, photo © DR

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Hamed Ouattara est un artistequi fait preuve d’une remar-

quable maîtrise technique. Sapeinture est pour lui le moyend’exprimer son chaos intérieur etde le canaliser dans un espace trèsstructuré.Hamed Ouattara excelle aussidans la réalisation d’aquarellesminiatures délicates, dont émer-gent des personnages à peineébauchés, sortis d’un imaginaireféerique et poétique lié à la tradi-tion orale. Comme de nombreuxartistes burkinabé, il souhaitedémystifier la peinture et sensibili-ser le public à l’art contemporain.

Né en 1971 à Ouagadougou, HamedOuattara étudie d’abord la comptabilitéavant de se lancer, en autodidacte,dans la peinture. Il se forme à laFondation Olorun, suit le stage de l’édi-tion 1996 de Ouag’Art et participe àdeux ateliers à Bamako et à diversesexpositions collectives puis individuel-les à Ouagadougou où il possède unatelier au sein du village artisanal. Ilexpose ensuite à Grenoble en 1998, àBruxelles en 1999 et en Italie les deuxdernières années. Ce peintre est égale-ment un excellent designer.

Racine, teinte, aquarelle, 30 x 35, photo © DR

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Seul artiste à avoir été formé à l’Université, Ilest amoureux de l’écriture qui nourrit et com-

plète son travail pictural.Sa démarche s’articule autour de deux axes etdeux techniques complémentaires : des compo-sitions à l’encre, fluide et légère. Figuratives,elles sont traversées par des personnagesaériens et racontent des bribes d’histoires quidonnent matière à interprétation. Abstraites,elles sont sillonnées de signes, d’écritures grat-tées difficilement déchiffrables qui nous invitentà la méditation plus qu’à la compréhension.

Né en 1972 à Tikaré. Après des études supérieures enarts et communication à l’université de Ouagadougou,il se tourne définitivement vers la peinture.L’association Afrique en Créations lui demande larédaction des notices biographiques des artistes burki-nabé pour son catalogue sur l’art africain contempo-rain. Plus récemment il fut rédacteur en chef du catalo-gue des artistes plasticiens du Burkina Faso. Il a parti-cipé à des expositions collectives au Burkina, auSénégal, en France et en Belgique.

Sans titre, aquarelle, photo © DR

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La Fondation OlorunAssociation à but non lucratif dirigée pa Christophe de Contemson, Olorun s’est fixée pourprincipaux objectifs d’assurer la promotion de la culture africaine à travers l’art contempo-rain et le design. Dans ses ateliers de Ouagadougou, elle contribue par le biais d’une forma-tion pointue, à l’insertion ou la réinsertion de jeunes en difficulté ou déscolarisés.Commencée avec cinq artistes, Olorun en compte aujourd’hui plus d’une quarantaine, dontles œuvres sont désormais présentées et vendues dans le monde entier.

Danseur au départ, il a étéformé à la fondation Olorun à

Ouagadougou durant de nom-breuses années. Il y développeprogressivement un style très per-sonnel qui lui permet aujourd’huid’exposer à l’étranger…Très inspiré par l’architectureurbaine, ses tableaux représen-tent des paysages où grouillentfoule humaine et voitures ou enco-re, des scènes d’intérieur dont lespersonnages – silhouettes délibè-rent dans des salles aux décorsimposants et surchargés. SaïdouTassembedo, le plus jeune desexposants, nous offre une peinturefaussement naïve où transparaît lacritique d’une société repue

Le Conseil, photo © DR

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Chant et guitare : Bil Aka Kora ; Percussions : KoudianAkoousse ; Basse : Serge Dieudonné Léopold Coulibaly ;Guitare rythmique : Hassan Dembélé ; Batterie : IbrahimKambou

Chanteur à la voix ample, auteur, compositeur, BilAka Kora est le grand ambassadeur de la musi-

que Gurunsi mais il est impossible de l’enfermerdans un genre précis. Sa carrière internationaleprend de plus en plus d’ampleur.

Le Djongo, ou la danse de la force, est une danse de séduc-tion à la base rythmique époustouflante où tambours d’ais-selle, tambours-calebasses et percussions rivalisent entreeux et conjuguent la syncope des rythmes Kasena, sarégion d’origine. Des morceaux traditionnels aux rythmesendiablés alternent avec des chants interprétés seuls à laguitare.

15, 16 octobre à 20 h 30

17 octobre à 17 h 00

Bil Aka Kora, photo © Marc De Backer

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18 octobre à 19 h 00

Dynamique historique,sociale, culturelleet les grands enjeux duBurkina Faso.Burkina Faso, mosaïque depeuples entre tradition etmodernité.De l’oral à l’écrit, le rapportà la langue française.

19 octobre à 19 h 00

Statut de la cultureet des artistes.Rôle de la critiqueet évaluation artistique.Culture, moteurdu développement?

Avec la participation de Bonaventure Ouedraogo, député vice-président de Traditions et Modernité ;Stéphane Eliard, critique d’art ; Christophe de Contemson, directeur de la Fondation Olurun ; SaliaSanou, danseur-chorégraphe, co-fondateur de la Cie de Salia Nï Seydou ; Samuel Millogo, professeurd’anglais à l’Université de Ouagadougou, auteur, traducteur d’auteurs anglophones africains ;Oumarou Sanfo, administrateur général Jovial’ Production et coordinateur du Festival Fêt’arts, artis-tes en fête, manager du groupe Yeleen ; Bil Aka Kora et Astrid Bilgo, directeurs de DjongoProduction ; et les plasticiens Alassane Drabo, Christophe Sawadogo, Hamed Ouattara, SamboBoly… (sous réserve de modification)

Entrée libre

photo © Claude Yersin

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Lectures23 octobre à 18 h 00 et 20 h 30 et 24 octobre à 17 h 00 et 19 h 15

Lectures de textes inédits, écrits à la suite de la résidence d’écriture, la Ruche Sony Labou Tansià Bamako en novembre 2003. Ces deux cycles de lectures différents proposés les 23 et 24 octobresont dirigés par Claude Yersin et sont composés de larges extraits des huit auteurs : Djalila HajarBali (Algérie), Valérie Deronzier (France), Véronika Mabardi (Wallonie-Bruxelles), CoulibaliM’Bamakan Soucko (Mali), Ibrahima Aya (Mali), Brahim El Hanaï (Maroc), Jean-Yves Picq(France), Robert Silivili (Togo).

24 octobre à 20 h 00

Rencontre : D’une terre à l’autreRéflexion animée par Sylvie Chalayeet les auteurs de Retour de Bamako

Terres de fantasme, l’Afrique comme l’Europe nourrissent, ici comme là-bas, l’imagi-naire des auteurs. Ceux-ci ont justement fait l’expérience de cette «transhumance»

avec Ecritures vagabondes, le Nouveau Théâtre d’Angers et Sében viendront entémoigner.

Sylvie Chalaye est professeur à l’Université Rennes 2 où elle enseigne l’histoire et l’esthétique du Théâtre,membre du CNRS, elle est responsable de la rubrique théâtre d’Africultures.

Ecritures vagabondes regroupe des écrivains et dramaturges d’expression française. Depuis septem-bre 2000, elle organise des résidences ou chantiers au Liban, Togo, Mali, Maroc, Cameroun… des comman-des d’écritures, des mises en lecture ainsi que l’édition en partenariat avec les éditions Emile Lansman.

Claude Yersin est comédien, traducteur, metteur en scène, formé auprès de Jean Dasté à la Comédie deSaint-Etienne, il dirige le Nouveau Théâtre d’Angers (CDN) depuis 1986.

Production : Nouveau Théâtre d’Angers, Ecritures Vagabondes, Seben. En coréalisation avec le Théâtre de l’Ephémère, Le Mans ; le CentreWallonie-Bruxelles à Paris ; la Maison du Spectacle-La Bellone- Bruxelles ; la Comédie de Genève. Retour de Bamako est subventionné par l’AFAA,la Région et la DRAC Pays-de-la-Loire, le ministère des Affaires étrangères – Direction de la Coopération culturelle et du Français, l’Agence inter-gouvernementale de la Francophonie, l’Association Beaumarchais et la Ville d’Angers. Avec le soutien du SCAC de l’Ambassade de France auMaroc et du Centre culturel français d’Alger.

Entrée libre

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Chanteur, auteur, compositeur,multi instrumentaliste et notam-

ment virtuose de l’arc à bouche, TimWinsé accompagné du Wassamanaqu’il fonde en 2002, nous propose unefusion de rythmes samo et de sonori-tés modernes teintées de jazz.En avril 2004, il lance son premier CDZessa au festival Jazz à Ouaga.Parallèlement, Tim Winsé composeles musiques de spectacles chorégra-phiques pour la compagnie Salia NiSeydou et Kongo Ba Teria.

19, 20 novembre à 20 h 30

21 novembre à 17 h 00

Chant, Kora, Arc à bouche : Tim Winsé • Basse : Alain Nyame • Batterie : Abdoulaye Zon •Guitare rythmique : Saïdou Sangare • Clavier : Ben Kporha • Percussions : Simon Winsé

Tim Winsé, photo © Antoine Tempé

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Création par 3 danseurs et un percussionniste.

Chorégraphie : Auguste Ouédraogo • Danse : Auguste Ouédraogo,Bienvenue Bazié, Wilfried Souly • Musique : Mamadou Kiénou, maîtrepercussionniste

Bûudu est un hommage à la vie, regard critique d’un peuplesur ses mythes, ses coutumes et ses croyances. Tã signi-

fie trois en moré, l’une des principales langues du BurkinaFaso. Trois comme le miroir de trois jeunes danseurs burkinabéunis par l’harmonie et l’espoir.

Auguste Ouédraogo intègre dès 1993 la troupe polyvalente et artisti-que Le Bourgeon du Burkina. Il participe à plusieurs stages de forma-tion dont celui du Festival Montpellier Danse et travaille sous la direc-tion de Claude Brumachon et Benjamin Lamarche au CentreChorégraphique National de Nantes. Il est membre fondateur de laCompagnie Tã. En décembre 2002, il rejoint la Cie DIT de RobertSeyfried à Grenoble, pour la création Transpace.

Wilfried Souly intègre la compagnie Le Bourgeon du Burkina en 1994.Grâce à ses talents de musicien et danseur, la compagnie obtient lesecond prix lors de la première édition des grands prix nationaux de ladanse en 1997 et le premier en 1999. Ses qualités d’artiste le condui-sent plusieurs fois en Europe, en Guyane et au Canada pour y animerdes stages en danse contemporaine et traditionnelle.

Bienvenue Bazié est danseur de la compagnie Kongo Ba Téria, lau-réat des Rencontres chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan indienen 2001. En 2002, il collabore avec la compagnie ivoirienne Tchéchéd’Abidjan et rejoint la compagnie Tã.

Mamadou Kiénou est issu d’une famille de griots d’origine dafing.Ses talents de percussionniste lui permettent de travailler non seule-ment au Burkina mais aussi en Europe. Il est directeur et fondateur dela compagnie Anseko et professeur de musique à l’École de musiquede Ouagadougou.

Cie Kongo Ba Téria, photo ©Saïdou Bougoum

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Chorégraphie et danse : Souleymane Badolo et LacinaCoulibaly Musique : Arouna Coulibaly et AbdoulayeDiabatéRésidence de création mars-avril 2004 du Centre culturel fran-çais de Bobo-Dioulasso

Conjuguer nos efforts pour changer la face dumonde… Dans un même élan, toutes nos socié-

tés prônent le dépassement de soi et l’accomplisse-ment individuel. Cet individualisme prend l’avanta-ge sur l’esprit de groupe or les forces décuplent lors-qu’elles se conjuguent au pluriel.

Né à Ouagadougou, Souleymane Badolo – dit Solo – adébuté sa carrière de danseur dans la troupe de laDAMA (Direction des arts et des métiers d’art) aprèsavoir écumé la scène de la mythique Maison du peupleet des quartiers populaires de la ville de Ouagadougoudans les groupes de danse Dodo. Il fonde avec ses amisla Compagnie Kongo-Ba en 1993 et devient le directeurartistique de la plupart des créations. En 2001, il estlauréat de Sanga 2001 avec Kongo Ba Teria.

Lacina Coulibaly est né à Ouagadougou et a intégréla Cie Kongo-Ba en 1994. A 15 ans, il fait ses débutsdans la troupe Le Bourgeon du Burkina qui regroupedes jeunes gens pour des cours de danse et de musi-que traditionnelle. Après quelques tournées provin-ciales, Lacina se lance dans l’aventure de Kongo-Bamais se rend disponible pour d’autres compagniesavec l’objectif de se former à d’autres démarches. En2001, il est lui aussi consacré lauréat des rencontreschorégraphiques d’Afrique et de l’Océan indien avecla compagnie Kongo Ba Teria.

26, 27 novembre à 20 h 30

28 novembre à 17 h 00

Cie Tà, photo © Antoine Tempé

Page 14: sauf lundis et jours fériés - TV5Monde

Paroles et chant : Smarty • Chant et guita-re acoustique : Mawndoré • Guitares, per-cussions : Wend La Vim Zabsonre •Basse : Samuel Zabsonre • Batterie, per-cussions : Marcel Balbone • Claviers :Adama Kouanda

Yeleen : lumière en Bambara

Ce groupe acoustique est essen-tiellement une rencontre musica-

le et humaine entre deux styles etdeux sensibilités, celle de Mawndoré– griot, chanteur et sculpteur, à la voixenvoûtante avec le parolier et poèteSmarty.Fusion de sonorités musicales dunord et du sud et de textes profonds,les deux artistes proposent une nou-velle approche du rap. Il rentre d’unetournée de trois semaines au Canada.

3, 4 décembre à 20 h 305 décembre à 17 h 00

Yeleen, photos © DR

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Toaster : Raphaël Kaboré • Rappeur : Mahamadi Kafando • Rappeur : KarimVictor • Rappeur : Joanna-Cédric Malanda-Baniala • Chanteur : CamaraAbdulkarim Kabélé

Un des premiers groupes à impulser la dynamique du rap àl’africaine Sofaa, du nom des valeureux guerriers de Samory

Touré, grand résistant mandingue à l’envahisseur colonial au XIXe

siècle. Leur message vise à redonner l’espoir et à éveiller lesconsciences. En 2003, sortie de leur premier album Akili-Kouman,parole de la sagesse en langue Bambara.Il remporte les cinq trophées au Burkina Rap Awards 2003.

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Direction artistique : Marianne Hicterassisté de Aurélie Le Doaré et Danièle Vallée

Centre Wallonie-Bruxelles à Paris46, rue Quincampoix – 75004 Paris

Métro : Châtelet Les Halles/Rambuteau

Réservations : 0153019696Entrée : 15 €/10 € (tarif réduit)/8 € (groupe)

Remerciements• Fondation Olurun – Christophe de Contemson• Bureau Wallonie-Bruxelles APEFE – Fabrice Sprimont et Anselme Sawadogo• Centre culturel français de Ouagadougou• Centre culturel français de Bobo Dioulasso• Jovial’ Productions – Oumarou Sanfo• Umané Culture – Ali Diallo• AFAA-Afrique en créations – Valérie Thfouin• Ayoko Mensah• Les Francophonies en Limousin – Limoges• Blaise Patrix• Studio Abazon - Smockey • Seydoni production

Avec le soutien de l’Agence intergouvernementale de la Francophonie, duMinistère de la Culture et de la Communication, du Commissariat Général auxRelations Internationales de la Communauté française de Belgique et duMinistère de la Culture, des Arts et du Tourisme du Burkina Faso.En partenariat médiatique avec Radio FranceInternationale, L’Express et Africultures

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