86
SCI RUE DE LILLE - MONT SAINT MARTIN 15 CVC SCI RUE DE LILLE - MONT SAINT MARTIN 102C rue Amelot 75011 PARIS 11 Construction d'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes de 100 lits et places Rue de Lille 54350 MONT SAINT MARTIN C.C.T.P. Cahier des Clauses Techniques Particulières Lot 15 - CVC Atelier d’Architecture MULLER 7 rue Général de Gaulle 57630 GORZE Monsieur Ph. MULLER téléphone +33387 699 920 [email protected] Electricité Bureau d'études B 3 E 17 rue des Terres Rouges 57070 SAINT JULIEN lès METZ Monsieur F. LORRAIN téléphone +33387 750 219 [email protected] Fluides Bureau d'études SOGECLI 7 chemin de la Moselle 57160 SCY-CHAZELLES Monsieur M. MARTIN téléphone +33387 622 017 [email protected] StructureBureau d’études OMNITECH 7 chemin de la Moselle 57160 SCY-CHAZELLES Monsieur J. PLEINERT téléphone +33387 181 140 [email protected] Bureau de Contrôle VERITAS 25 La Tannerie 57078 METZ cedex 1 Monsieur O. FOURMONT téléphone +33387 399 312 [email protected] Coordination Sécurité et Protection de la SantéVERITAS 25 La Tannerie 57078 METZ cedex 1 Monsieur J-M. GARAU téléphone +33387 399 312 jean-michet.garau @bureauveritas.com

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SCI RUE DE LILLE - MONT SAINT MARTIN 15 CVC

SCI RUE DE LILLE - MONT SAINT MARTIN102C rue Amelot 75011 PARIS 11

Construction d'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes de100 lits et places

Rue de Lille 54350 MONT SAINT MARTIN

C.C.T.P. Cahier des Clauses Techniques Particulières Lot 15 - CVC

Atelier d’Architecture MULLER 7 rue Général de Gaulle 57630 GORZEMonsieur Ph. MULLER téléphone +33387 699 920 [email protected]

Electricité Bureau d'études B 3 E 17 rue des Terres Rouges 57070 SAINT JULIEN lès METZMonsieur F. LORRAIN téléphone +33387 750 219 [email protected]

Fluides Bureau d'études SOGECLI 7 chemin de la Moselle 57160 SCY-CHAZELLESMonsieur M. MARTIN téléphone +33387 622 017 [email protected]

StructureBureau d’études OMNITECH 7 chemin de la Moselle 57160 SCY-CHAZELLESMonsieur J. PLEINERT téléphone +33387 181 140 [email protected]

Bureau de Contrôle VERITAS 25 La Tannerie 57078 METZ cedex 1Monsieur O. FOURMONT téléphone +33387 399 312 [email protected]

Coordination Sécurité et Protection de la SantéVERITAS 25 La Tannerie 57078 METZ cedex 1Monsieur J-M. GARAU téléphone +33387 399 312 [email protected]

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 2222

SOMMAIRESOMMAIRESOMMAIRESOMMAIRE

ARTICLE 1 ARTICLE 1 ARTICLE 1 ARTICLE 1 ---- CLAUSES ET PRESCRIPTCLAUSES ET PRESCRIPTCLAUSES ET PRESCRIPTCLAUSES ET PRESCRIPTIONS GÉNÉRALESIONS GÉNÉRALESIONS GÉNÉRALESIONS GÉNÉRALES 8888

1.1)1.1)1.1)1.1) OBJET DU PRÉSENT C.COBJET DU PRÉSENT C.COBJET DU PRÉSENT C.COBJET DU PRÉSENT C.C.T.P..T.P..T.P..T.P. 8888

1.2)1.2)1.2)1.2) PRESCRIPTIONS GÉNÉRAPRESCRIPTIONS GÉNÉRAPRESCRIPTIONS GÉNÉRAPRESCRIPTIONS GÉNÉRALESLESLESLES 8888

ARTICLE 2 ARTICLE 2 ARTICLE 2 ARTICLE 2 ---- DESCRIPTION GÉNÉRALEDESCRIPTION GÉNÉRALEDESCRIPTION GÉNÉRALEDESCRIPTION GÉNÉRALE DES INSTALLATIONSDES INSTALLATIONSDES INSTALLATIONSDES INSTALLATIONS 9999

2.1)2.1)2.1)2.1) PRINCIPE DES IPRINCIPE DES IPRINCIPE DES IPRINCIPE DES INSTALLATIONSNSTALLATIONSNSTALLATIONSNSTALLATIONS 9999 2.1.1) Chauffage – ventilation 9 2.1.2) E.C.S. solaire thermique 11

2.2)2.2)2.2)2.2) HYPOTHÈSES DE CALCULHYPOTHÈSES DE CALCULHYPOTHÈSES DE CALCULHYPOTHÈSES DE CALCUL DE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGE 11111111 2.2.1) Température 11 2.2.2) Température et mode de fonctionnement des installations 11 2.2.3) Calcul des corps de chauffe 12 2.2.4) Calcul des batteries des C.T.A. 12 2.2.5) Calcul de la production d’ECS 12 2.2.6) Renouvellement d'air spécifique 12 2.2.7) Besoins de chauffage 13 2.2.8) Principe d'étude et de réalisation 13

2.3)2.3)2.3)2.3) PRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLATIONS DE VMCATIONS DE VMCATIONS DE VMCATIONS DE VMC 14141414 2.3.1) Généralités 14 2.3.2) Niveaux sonores 14 2.3.3) Débits de ventilation 14

2.4)2.4)2.4)2.4) DÉSENFUMAGE CIRCULATDÉSENFUMAGE CIRCULATDÉSENFUMAGE CIRCULATDÉSENFUMAGE CIRCULATIONIONIONION 15151515 2.4.1) Principe 15 2.4.2) Règlementation 15 2.4.3) Hypothèse de calcul 15

ARTICLE 3 ARTICLE 3 ARTICLE 3 ARTICLE 3 ---- SPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNIQUES DES MATÉRIELS IQUES DES MATÉRIELS IQUES DES MATÉRIELS IQUES DES MATÉRIELS DE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGE 16161616

3.1)3.1)3.1)3.1) CHAUDIÈRECHAUDIÈRECHAUDIÈRECHAUDIÈRE 16161616

3.2)3.2)3.2)3.2) BRÛLEUR GAZBRÛLEUR GAZBRÛLEUR GAZBRÛLEUR GAZ 16161616 3.2.1) Brûleur 16 3.2.2) Équipement 18

3.3)3.3)3.3)3.3) NEUTRALISATEUR DE CONEUTRALISATEUR DE CONEUTRALISATEUR DE CONEUTRALISATEUR DE CONDENSATSNDENSATSNDENSATSNDENSATS 18181818

3.4)3.4)3.4)3.4) ALIMENTATION EN COMBALIMENTATION EN COMBALIMENTATION EN COMBALIMENTATION EN COMBUSTIBLEUSTIBLEUSTIBLEUSTIBLE 19191919 3.4.1) Généralités 19 3.4.2) Branchement 19 3.4.3) Canalisation enterrée 19 3.4.4) Alimentation chaufferie 19 3.4.5) Organe de coupure 20

3.5)3.5)3.5)3.5) CONDUIT DE FUMÉESCONDUIT DE FUMÉESCONDUIT DE FUMÉESCONDUIT DE FUMÉES 20202020 3.5.1) Conduit de fumées 20 3.5.2) Raccordements de la chaudière 21

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 3333

3.6)3.6)3.6)3.6) VENTILATION LOCAUX TVENTILATION LOCAUX TVENTILATION LOCAUX TVENTILATION LOCAUX TECHNIQUESECHNIQUESECHNIQUESECHNIQUES 21212121 3.6.1) Ventilation basse 21 3.6.2) Ventilation haute 22

3.7)3.7)3.7)3.7) POMPE A CHALEURPOMPE A CHALEURPOMPE A CHALEURPOMPE A CHALEUR 22222222 3.7.1) Généralités 22 3.7.2) Caractéristiques 22

3.8)3.8)3.8)3.8) BALLON TAMPONBALLON TAMPONBALLON TAMPONBALLON TAMPON 23232323

3.9)3.9)3.9)3.9) SYSTÈME DE SÉCURITÉ SYSTÈME DE SÉCURITÉ SYSTÈME DE SÉCURITÉ SYSTÈME DE SÉCURITÉ FLUIDE FRIGORIGÈNEFLUIDE FRIGORIGÈNEFLUIDE FRIGORIGÈNEFLUIDE FRIGORIGÈNE 23232323 3.9.1) Généralités 23 3.9.2) Ventilation mécanique d’urgence 23 3.9.3) Entrée d’air 23 3.9.4) Rejets 24 3.9.5) Système de détection de fluide frigorigène 24

3.10)3.10)3.10)3.10) BRANCBRANCBRANCBRANCHEMENT HEMENT HEMENT HEMENT –––– REMPLISSAGEREMPLISSAGEREMPLISSAGEREMPLISSAGE 24242424 3.10.1) Branchement 24 3.10.2) Remplissage 24

3.11)3.11)3.11)3.11) GLYCOLGLYCOLGLYCOLGLYCOL 25252525 3.11.1) Produit 25 3.11.2) Bac de récupération 25 3.11.3) Pompe de réinjection 25

3.12)3.12)3.12)3.12) ÉVACUATION DES EAUXÉVACUATION DES EAUXÉVACUATION DES EAUXÉVACUATION DES EAUX 25252525

3.13)3.13)3.13)3.13) EXPANSION EXPANSION EXPANSION EXPANSION ---- SÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉ 25252525 3.13.1) Généralités 25 3.13.2) Circuit primaire de la P.A.C. 26 3.13.3) Circuit secondaire de la P.A.C et le circuit chauffage 26 3.13.4) Circuit secondaire plancher chauffant 26 3.13.5) Circuit chaudière 26

3.14)3.14)3.14)3.14) COLLECTEURSCOLLECTEURSCOLLECTEURSCOLLECTEURS 27272727 3.14.1) Généralités 27 3.14.2) Collecteurs température constante 27 3.14.3) Collecteurs basse température chaud 27 3.14.4) Collecteurs plancher et cassettes froid 27 3.14.5) Collecteurs plancher chauffant réversible 27

3.15)3.15)3.15)3.15) ÉCHANGEUR A PLAQUESÉCHANGEUR A PLAQUESÉCHANGEUR A PLAQUESÉCHANGEUR A PLAQUES 27272727 3.15.1) Généralités 27 3.15.2) Échangeur P.A.C. 28 3.15.3) Échangeur plancher chauffant 28 3.15.4) Échangeur plancher rafraîchissant 28 3.15.5) Échangeur plancher chauffant 29

3.16)3.16)3.16)3.16) POMPES CHAPOMPES CHAPOMPES CHAPOMPES CHAUFFAGEUFFAGEUFFAGEUFFAGE 29292929 3.16.1) Généralités 29 3.16.2) Pompe primaire P.A.C. 29 3.16.3) Pompe circuit basse température chaud depuis P.A.C. 29 3.16.4) Pompe circuit froid cassettes 30 3.16.5) Pompe circuit primaire froid plancher 30 3.16.6) Pompe circuit primaire température constante E.C.S. (charge) 30 3.16.7) Pompe circuit primaire température constante E.C.S. (décharge) 30 3.16.8) Pompe circuit température constante C.T.A. 30 3.16.9) Pompe circuit radiateurs 31 3.16.10) Pompe circuit primaire plancher chauffant 31 3.16.11) Pompe circuit secondaire n°1 NORD/OUEST plancher chauffant/rafraîchissant 31

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 4444

3.16.12) Pompe circuit secondaire n°2 NORD/OUEST plancher chauffant/rafraîchissant 31 3.16.13) Pompe circuit secondaire n°3 NORD/OUEST plancher chauffant/rafraîchissant 32 3.16.14) Pompe circuit secondaire n°4 SUD/EST plancher chauffant/rafraîchissant 32 3.16.15) Pompe circuit secondaire n°5 SUD/EST plancher chauffant/rafraîchissant 32

3.17)3.17)3.17)3.17) RÉGULATIONRÉGULATIONRÉGULATIONRÉGULATION 33333333 3.17.1) Généralités 33 3.17.2) Régulation D.D.C. (Direct Digital Control) 33 3.17.3) Description de l’architecture du système 35 3.17.4) Mise en service de la G.T.B. 36 3.17.5) Description du système 37 3.17.6) Analyse fonctionnelle 39

3.18)3.18)3.18)3.18) CORPS DE CHAUFFECORPS DE CHAUFFECORPS DE CHAUFFECORPS DE CHAUFFE 41414141 3.18.1) Radiateurs 41 3.18.2) Montage des corps de chauffe 41 3.18.3) Peinture 41 3.18.4) Robinetterie 41

3.19)3.19)3.19)3.19) CHAUFFAGE PAR LE SOLCHAUFFAGE PAR LE SOLCHAUFFAGE PAR LE SOLCHAUFFAGE PAR LE SOL 42424242 3.19.1) Généralités 42 3.19.2) Principe 42

3.20)3.20)3.20)3.20) CENTRALES DE TRAITEMCENTRALES DE TRAITEMCENTRALES DE TRAITEMCENTRALES DE TRAITEMENT D’AIR DOUBLE FLUENT D’AIR DOUBLE FLUENT D’AIR DOUBLE FLUENT D’AIR DOUBLE FLUXXXX 44444444 3.20.1) Généralités 44 3.20.2) Caractéristiques C.T.A. coté cage A 45 3.20.3) Caractéristiques C.T.A. coté cage B 45 3.20.4) Caractéristiques C.T.A. buanderie 45 3.20.5) Caractéristiques C.T.A. salle de réunion niveau 1 45

3.21)3.21)3.21)3.21) CENTRALE DE TRAITEMECENTRALE DE TRAITEMECENTRALE DE TRAITEMECENTRALE DE TRAITEMENT D’AIR SIMPLE FLUXNT D’AIR SIMPLE FLUXNT D’AIR SIMPLE FLUXNT D’AIR SIMPLE FLUX 45454545 3.21.1) Généralités 45 3.21.2) Caractéristiques C.T.A. cuisine 46 3.21.3) Caractéristiques C.T.A. plonge 46

3.22)3.22)3.22)3.22) EXTRACTION SPÉCIFIQUEXTRACTION SPÉCIFIQUEXTRACTION SPÉCIFIQUEXTRACTION SPÉCIFIQUEEEE 47474747

3.23)3.23)3.23)3.23) SOCLESOCLESOCLESOCLE 47474747

3.24)3.24)3.24)3.24) EXTRACTION CUISSONEXTRACTION CUISSONEXTRACTION CUISSONEXTRACTION CUISSON 47474747 3.24.1) Généralités 47 3.24.2) Hottes d'extraction 47 3.24.3) Extracteur 47 3.24.4) Coffret de commande 48 3.24.5) Variateur de vitesse 48

3.25)3.25)3.25)3.25) EXTRACTION LAVERIEEXTRACTION LAVERIEEXTRACTION LAVERIEEXTRACTION LAVERIE 48484848 3.25.1) Extracteur 48 3.25.2) Coffret de commande 49 3.25.3) Variateur de vitesse 49

3.26)3.26)3.26)3.26) TUYAUTERIESTUYAUTERIESTUYAUTERIESTUYAUTERIES 49494949 3.26.1) Tubes acier 49 3.26.2) Calorifuge des tuyauteries 49 3.26.3) Calorifuge des tuyauteries d’eau glacée/chaude 50

3.27)3.27)3.27)3.27) ROBINETTERIEROBINETTERIEROBINETTERIEROBINETTERIE 50505050

3.28)3.28)3.28)3.28) CONDUITS D’ÉVACUATIOCONDUITS D’ÉVACUATIOCONDUITS D’ÉVACUATIOCONDUITS D’ÉVACUATION DES MACHINES BUANDN DES MACHINES BUANDN DES MACHINES BUANDN DES MACHINES BUANDERIEERIEERIEERIE 51515151

3.29)3.29)3.29)3.29) RÉSEAUX DE GAINERÉSEAUX DE GAINERÉSEAUX DE GAINERÉSEAUX DE GAINE 52525252 3.29.1) Gaines 52

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 5555

3.29.2) Isolation thermique 52 3.29.3) Gaines souples 52 3.29.4) Supports de gaines 52 3.29.5) Accessoires de gaines 53

3.30)3.30)3.30)3.30) GRILLESGRILLESGRILLESGRILLES 53535353 3.30.1) Généralités 53 3.30.2) Diffuseurs carrés à jet hélicoïdal en plafond (soufflage) 53 3.30.3) Diffuseurs carrés à noyau amovible de 600 x 600 (reprise) 55 3.30.4) Grille circulaire 56 3.30.5) Grille d’air neuf ou de rejet en façade 58

3.31)3.31)3.31)3.31) PROTECTION INCENDIEPROTECTION INCENDIEPROTECTION INCENDIEPROTECTION INCENDIE 59595959 3.31.1) Clapet coupe-feu 59 3.31.2) Habillage coupe-feu 59

3.32)3.32)3.32)3.32) UNITÉS INTÉRIEURESUNITÉS INTÉRIEURESUNITÉS INTÉRIEURESUNITÉS INTÉRIEURES 59595959 3.32.1) Généralités 59 3.32.2) Cassettes 60 3.32.3) Support 61 3.32.4) Raccordement électrique 61

3.33)3.33)3.33)3.33) FILTREFILTREFILTREFILTRE 61616161

3.34)3.34)3.34)3.34) POT A BOUE POT A BOUE POT A BOUE POT A BOUE ---- DEGAZEURDEGAZEURDEGAZEURDEGAZEUR 61616161

3.35)3.35)3.35)3.35) COMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIES 61616161

3.36)3.36)3.36)3.36) ARMOIRE ET RACCORDEMARMOIRE ET RACCORDEMARMOIRE ET RACCORDEMARMOIRE ET RACCORDEMENTS ÉLECTRIQUESENTS ÉLECTRIQUESENTS ÉLECTRIQUESENTS ÉLECTRIQUES 62626262

3.37)3.37)3.37)3.37) RRRRÉCUPÉRATION DES CONDÉCUPÉRATION DES CONDÉCUPÉRATION DES CONDÉCUPÉRATION DES CONDENSATSENSATSENSATSENSATS 64646464

3.38)3.38)3.38)3.38) RÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGE 64646464

3.39)3.39)3.39)3.39) APPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLEEEE 64646464

3.40)3.40)3.40)3.40) NOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATION ET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIEN 64646464

ARTICLE 4 ARTICLE 4 ARTICLE 4 ARTICLE 4 ---- SPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNIQUES DES MATÉRIELS IQUES DES MATÉRIELS IQUES DES MATÉRIELS IQUES DES MATÉRIELS DE V.M.C.DE V.M.C.DE V.M.C.DE V.M.C. 65656565

4.1)4.1)4.1)4.1) ENTRÉES D’AIRENTRÉES D’AIRENTRÉES D’AIRENTRÉES D’AIR 65656565

4.2)4.2)4.2)4.2) BOUCHES D’EXTRACTIONBOUCHES D’EXTRACTIONBOUCHES D’EXTRACTIONBOUCHES D’EXTRACTION 65656565

4.3)4.3)4.3)4.3) CONDUITS D’EXTRACTIOCONDUITS D’EXTRACTIOCONDUITS D’EXTRACTIOCONDUITS D’EXTRACTIONNNN 65656565

4.4)4.4)4.4)4.4) VENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRACTIONCTIONCTIONCTION 66666666 4.4.1) Généralités 66 4.4.2) Caractéristiques des extracteurs 66

4.5)4.5)4.5)4.5) SOCLESOCLESOCLESOCLE 66666666

4.6)4.6)4.6)4.6) REJET D’AIRREJET D’AIRREJET D’AIRREJET D’AIR 67676767

4.7)4.7)4.7)4.7) INSONORISATIONINSONORISATIONINSONORISATIONINSONORISATION 67676767

4.8)4.8)4.8)4.8) RÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGE 67676767

4.9)4.9)4.9)4.9) TRAVAUX D’ELECTRICITTRAVAUX D’ELECTRICITTRAVAUX D’ELECTRICITTRAVAUX D’ELECTRICITEEEE 67676767

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 6666

ARTICLE 5 ARTICLE 5 ARTICLE 5 ARTICLE 5 ---- SPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNIQUES DIQUES DIQUES DIQUES DES MATÉRIELS D’E.C.SES MATÉRIELS D’E.C.SES MATÉRIELS D’E.C.SES MATÉRIELS D’E.C.S. SOLAIRE. SOLAIRE. SOLAIRE. SOLAIRE 68686868

5.1)5.1)5.1)5.1) CAPTEURSCAPTEURSCAPTEURSCAPTEURS 68686868

5.2)5.2)5.2)5.2) SUPPORTS CAPTEURSSUPPORTS CAPTEURSSUPPORTS CAPTEURSSUPPORTS CAPTEURS 68686868

5.3)5.3)5.3)5.3) ÉCHANGEURSÉCHANGEURSÉCHANGEURSÉCHANGEURS 69696969 5.3.1) Échangeurs à plaques sur le primaire solaire 69 5.3.2) Échangeur à plaques sur le secondaire E.C.S. 69

5.4)5.4)5.4)5.4) COLLECTE DU GLYCOLCOLLECTE DU GLYCOLCOLLECTE DU GLYCOLCOLLECTE DU GLYCOL 69696969 5.4.1) Glycol 69 5.4.2) Bac de récupération 69 5.4.3) Pompe de réinjection 70 5.4.4) Ballon de stockage solaire 70

5.5)5.5)5.5)5.5) CANALISATIONSCANALISATIONSCANALISATIONSCANALISATIONS 70707070 5.5.1) Tube 70 5.5.2) Fourreaux 71 5.5.3) Supports 71 5.5.4) Calorifuge des canalisations 71

5.6)5.6)5.6)5.6) EXPANSION EXPANSION EXPANSION EXPANSION ---- SÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉ 72727272

5.7)5.7)5.7)5.7) ROBINETTERIESROBINETTERIESROBINETTERIESROBINETTERIES 72727272

5.8)5.8)5.8)5.8) APPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLEEEE 72727272

5.9)5.9)5.9)5.9) COMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIES 73737373

5.10)5.10)5.10)5.10) REMPLISSAGE DU CIRCUREMPLISSAGE DU CIRCUREMPLISSAGE DU CIRCUREMPLISSAGE DU CIRCUIT PRIMAIRE ET SECONIT PRIMAIRE ET SECONIT PRIMAIRE ET SECONIT PRIMAIRE ET SECONDAIREDAIREDAIREDAIRE 73737373

5.11)5.11)5.11)5.11) ESSAIS D’ÉTANCHÉITÉESSAIS D’ÉTANCHÉITÉESSAIS D’ÉTANCHÉITÉESSAIS D’ÉTANCHÉITÉ 73737373

5.12)5.12)5.12)5.12) NOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATION ET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIEN 74747474

5.13)5.13)5.13)5.13) RÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGE 74747474

ARTICLE 6 ARTICLE 6 ARTICLE 6 ARTICLE 6 ---- SPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNIQUES DES MATERIELIQUES DES MATERIELIQUES DES MATERIELIQUES DES MATERIELS DE DESENFUMAGES DE DESENFUMAGES DE DESENFUMAGES DE DESENFUMAGE 75757575

6.1)6.1)6.1)6.1) GAINES DE DÉSENFUMAGGAINES DE DÉSENFUMAGGAINES DE DÉSENFUMAGGAINES DE DÉSENFUMAGEEEE 75757575 6.1.1) Généralités 75 6.1.2) Gaines et dévoiement 75 6.1.3) Habillage coupe-feu 75

6.2)6.2)6.2)6.2) BOUCHES D'AMENÉES D'BOUCHES D'AMENÉES D'BOUCHES D'AMENÉES D'BOUCHES D'AMENÉES D'AIR ET D'EXTRACTIONAIR ET D'EXTRACTIONAIR ET D'EXTRACTIONAIR ET D'EXTRACTION 76767676 6.2.1) Généralités 76 6.2.2) Bouches d'amenée d'air sur gaines 76 6.2.3) Grille de prise d’air en façade 78 6.2.4) Bouches d’extraction sur gaines 79 6.2.5) Bouches d’extraction en plafond 82

6.3)6.3)6.3)6.3) VENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRACTIONCTIONCTIONCTION 82828282

6.4)6.4)6.4)6.4) LIAISONS ELECTRIQUESLIAISONS ELECTRIQUESLIAISONS ELECTRIQUESLIAISONS ELECTRIQUES 84848484

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ARTICLEARTICLEARTICLEARTICLE 7 7 7 7 ---- SPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNSPÉCIFICATIONS TECHNIQUES DES MATERIELS IQUES DES MATERIELS IQUES DES MATERIELS IQUES DES MATERIELS DIVERSDIVERSDIVERSDIVERS 85858585

7.1)7.1)7.1)7.1) CONTRAT DE MAINTENANCONTRAT DE MAINTENANCONTRAT DE MAINTENANCONTRAT DE MAINTENANCECECECE 85858585

7.2)7.2)7.2)7.2) PLANS D’EXÉCUTIONPLANS D’EXÉCUTIONPLANS D’EXÉCUTIONPLANS D’EXÉCUTION 85858585

7.3)7.3)7.3)7.3) AUTOCONTRÔLEAUTOCONTRÔLEAUTOCONTRÔLEAUTOCONTRÔLE 85858585

7.4)7.4)7.4)7.4) TRI, TRANSPORT ET FRTRI, TRANSPORT ET FRTRI, TRANSPORT ET FRTRI, TRANSPORT ET FRAIS DE DÉCHARGEAIS DE DÉCHARGEAIS DE DÉCHARGEAIS DE DÉCHARGE 85858585

7.5)7.5)7.5)7.5) PERCEMENTSPERCEMENTSPERCEMENTSPERCEMENTS ET REBOUCHEMENTSET REBOUCHEMENTSET REBOUCHEMENTSET REBOUCHEMENTS 86868686

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ARTICLE 1 ARTICLE 1 ARTICLE 1 ARTICLE 1 ---- CLAUSES ET PRESCRIPTCLAUSES ET PRESCRIPTCLAUSES ET PRESCRIPTCLAUSES ET PRESCRIPTIONS GÉNÉRALESIONS GÉNÉRALESIONS GÉNÉRALESIONS GÉNÉRALES

1.1)1.1)1.1)1.1) OBJET DU PRÉSENT C.COBJET DU PRÉSENT C.COBJET DU PRÉSENT C.COBJET DU PRÉSENT C.C.T.P..T.P..T.P..T.P. Le présent document a pour objet de définir les travaux de CHAUFFAGE – CLIMATISATION – VENTILATION – DÉSENFUMAGE, à réaliser pour la création d’un Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes et de deux unités d’Accueil Spécialisée Alzheimer à MONT SAINT MARTIN, pour le compte de la SCI RUE DE LILLE (AMO : ALTERNA). La description des ouvrages ci-après a pour but de définir le principe général des travaux objet du présent lot, en précisant le niveau de qualité minimum requis. Elle a pour objet de renseigner l’entreprise sur la nature des travaux à effectuer, sur leurs nombres, leurs dimensions et leurs emplacements. Les prestations énumérées n’ont, en aucun cas, un caractère limitatif, l’attributaire du présent lot devra exécuter, comme compris dans son prix, sans exception ni réserve, tous les travaux inhérents à sa profession, nécessaires et indispensables pour l’achèvement complet de son lot. Le Titulaire doit prévoir, dans le cadre de son forfait, toutes les prestations et sujétions inhérentes à la livraison de ses ouvrages en parfait ordre de marche et ce, en fonction des indications et spécifications découlant de l’application des textes, circulaires et prescriptions, d’une part, et des indications portées aux plans du Maître d’œuvre, joints au présent dossier, d’autre part.

1.2)1.2)1.2)1.2) PRESCRIPTIONS GÉNÉRAPRESCRIPTIONS GÉNÉRAPRESCRIPTIONS GÉNÉRAPRESCRIPTIONS GÉNÉRALESLESLESLES Le Titulaire doit respecter les prescriptions du C.C.C., du C.C.A.P., du P.G.C. et du R.P.A.O.

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ARTICLE 2 ARTICLE 2 ARTICLE 2 ARTICLE 2 ---- DESCRIPTION GÉNÉRALEDESCRIPTION GÉNÉRALEDESCRIPTION GÉNÉRALEDESCRIPTION GÉNÉRALE DES INSTALLATIONSDES INSTALLATIONSDES INSTALLATIONSDES INSTALLATIONS

2.1)2.1)2.1)2.1) PRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLATIONSATIONSATIONSATIONS

2.1.1) Chauffage – ventilation

La production de chaleur et le rafraîchissement sont assurés par une P.A.C. air/eau, placée dans le local technique en toiture terrasse, assurant le chauffage pendant les périodes froides, avec un arrêt lorsque la température extérieure est inférieure à 5 °C. Lors de l’arrêt de la P.A.C., une chaudière à condensation, fonctionnant au gaz naturel, prend le relais pour le chauffage des locaux par plancher chauffant et radiateurs. Les locaux équipés d’un plancher chauffant sont également rafraîchis par ce plancher réversible. Les locaux, salle à manger et les lieux de vie des différents étages ont un rafraîchissement complémentaire assuré par des terminaux de type cassettes et alimenté par un circuit spécifique d’eau glacée issus de la P.A.C. Ce rafraîchissement permet de respecter la règlementation par la mise à disposition de locaux rafraîchis en cas de canicule. La chaudière et les équipements des réseaux sont placés dans une chaufferie équipée conformément aux conditions de l’arrêt du 23 juin 1978 en toiture terrasse. Les fumées pour la chaudière sont évacuées par un conduit pressurisé auto portant. L’amenée d’air neuf est assurée par une grille placée en partie basse donnant sur l’extérieur et la ventilation haute est assurée par un conduit en acier galvanisé débouchant en toiture. Il est prévu la réalisation d’un branchement gaz naturel de 300 mbars pour l’alimentation de la chaufferie. L’origine des installations est le coffret de coupure gaz, placé en limite de propriété. La conduite gaz, entre le coffret et la chaufferie, est réalisée en tube P.E.H.D. placé dans une tranchée mise à disposition par le V.R.D., jusqu’à un mètre avec le bâtiment puis réalisée en tube fer jusqu’à la chaudière, compris montée en façade. La production d’eau chaude sanitaire est assurée, par un système semi-instantané avec un ballon de stockage primaire et un échangeur à plaque. La lutte contre la légionelle est garantie par l’absence de stockage secondaire et une circulation allant le plus près possible des points de soutirages avec un retour à 55°C minimum. Un complément de production d’eau chaude est assuré par de capteurs solaires thermiques qui couvriront 40 % des besoins d’eau chaude sanitaire annuels. Il est créé un circuit ECS, un circuit pour les C.T.A., un circuit pour les radiateurs et 5 circuits pour les planchers chauffants dont 3 réversibles pour la façade NORD/OUEST et 2 réversibles pour la façade SUD/EST. La régulation est de type numérique, gérée par une G.T.B., comprise comptage sur les différents réseaux. Toutes les vannes de régulation à deux ou trois voies sont dimensionnées de manière à obtenir une caractéristique de réglage linéaire. Les horloges nécessaires à la sélection du régime normal réduit sont à programme journalier hebdomadaire, à réserve de marche, permettant plusieurs commutations journalières. Les circuits radiateurs et plancher chauffant sont alimentés par un fluide régulé en fonction de la température extérieure asservie à une horloge. Le régulateur est à action progressive avec courbe de chauffe visualisée et réglage manuel, sélection des programmes par touches lumineuses, affichage à cristaux liquides, fonction ECO, optimisation par sonde d’ambiance, fonction antigel et horloge avec programme journalier et hebdomadaire.

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Un PC, avec un programme de gestion des températures et des abaissements, est prévu dans la chaufferie. Le chauffage des locaux est assuré par du plancher chauffant réversible pour la plus grande partie, à l’exception des salles de bains des chambres, des locaux en sous-sol et des locaux de cuisine et buanderie. Pour les locaux du sous-sol, de la cuisine et de la buanderie le chauffage est assuré par des radiateurs qui sont régulés également par des robinets thermostatiques. La distribution de chauffage est réalisée en tube fer noir de qualité chauffage, avec une enveloppe calorifuge sur toutes les parties ne concourant pas au chauffage, exposées au gel ou pouvant donner lieu à un dégagement excessif de chaleur. Les réseaux alimentant les collecteurs du plancher chauffant sont équipés d’un calorifuge pour réseau d’eau glacée. Ces réseaux cheminent dans les locaux techniques en combles, dans les gaines techniques, dans les faux plafonds et en apparent. Deux centrales de traitement d’air double flux avec récupération de chaleur sont prévues pour les lieux de vie de tous les niveaux, la salle à manger, la salle à manger famille, les salles d’activité et le PASA assurant le renouvellement d’air. Les centrales de traitement d’air sont placées dans les locaux techniques des combles. Leurs débits fonctionnent en deux vitesses, une première vitesse pour le fonctionnement en hiver et une deuxième vitesse pour le fonctionnement en été, ainsi qu’en mode freecooling. Une centrale de traitement d’air double flux avec récupération de chaleur est prévue pour la buanderie assurant le renouvellement d’air. La centrale de traitement d’air est placée dans les locaux techniques des combles. La diffusion et l’extraction d’air des locaux sont assurées par des grilles dimensionnées en fonction des débits en soufflage ou extraction. La cuisine est équipée d’une hotte d’extraction adossée à filtres à choc qui est raccordée à un groupe d’extraction placé en combles. L’air neuf nécessaire à l’extraction de la hotte est insufflé par une centrale de traitement d’air simple flux placée dans les locaux techniques de la toiture terrasse. Dans la plonge est prévu un réseau d’extraction avec des grilles en plafond du local qui sont raccordées à un groupe d’extraction placé en combles. L’air neuf nécessaire à l’extraction de la plonge est insufflé par une centrale de traitement d’air simple flux placée dans les locaux techniques de la toiture terrasse. Un réseau de ventilation spécifique est prévu pour l’extraction des autres locaux pollués ou borgnes qui ne sont pas des sanitaires. Des clapets coupe-feu et habillages coupe-feu sont prévus aux traversées des parois le nécessitant. La diffusion et la reprise d’air sont réalisées par des gaines en tôle d’acier galvanisé de section rectangulaire ou circulaire avec isolation thermique et phonique. Les différentes alimentations, raccordements électriques et armoires sont prévus pour assurer un parfait fonctionnement des installations. Une installation de VMC pour les locaux sanitaires, à pollution spécifique et humide, est prévue. Toutes les installations de VMC sont de type « à fonctionnement permanent ». Les circulations des chambres, les dégagements vers les sorties de secours, ainsi que les locaux sur ces tracés sont désenfumés mécaniquement. Il est prévu la mise en œuvre de grilles d’amenée d’air neuf et de grilles de sortie d’air vicié qui sont commandées par l’alarme incendie par action sur les bobines à émission de ces grilles, compris contact de position.

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Le désenfumage par tirage mécanique est assuré par des extracteurs mécaniques de fumées et des amenées d’air naturel disposées de manière à assurer un balayage du volume à désenfumer. L’extraction des fumées est réalisée par des bouches raccordées au moyen de conduits au ventilateur d’extraction. L’amenée d’air naturel est réalisée par des bouches raccordées à un conduit de ventilation avec prise d’air en toiture.

2.1.2) E.C.S. solaire thermique

La production d’eau chaude sanitaire est assurée en base, par un système semi-instantané avec un ballon de stockage de petite capacité en acier inoxydable et un échangeur à plaque. Un complément de production d’eau chaude est assuré par 101,44 m² des capteurs solaires thermiques sous vide qui couvriront 40 % des besoins d’eau chaude sanitaire annuels. Le primaire solaire alimente un échangeur à plaques par lequel passe l’eau froide de remplissage de la production d’eau chaude assurant ainsi un préchauffage. Les capteurs solaires thermiques sont de modèle sous vide, placés sur la toiture des locaux techniques en terrasse, 6 ballons de stockage primaire E.C.S. solaire de 1 000 litres unitaire sont placés dans la chaufferie.

2.2)2.2)2.2)2.2) HYPOTHÈSESHYPOTHÈSESHYPOTHÈSESHYPOTHÈSES DE CADE CADE CADE CALCULLCULLCULLCUL DE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGE Le présent projet bénéficie de la règlementation thermique 2005. L’étude thermique a été réalisée avec la liste des isolants ci-dessous : ! L’isolant extérieur en façade de 11 cm d’épaisseur, R ≥2,9 m². K/W. ! L’isolant intérieur des murs extérieurs de 9,3 cm d’épaisseur, R ≥2,55 m². K/W. ! L’isolant des murs enterrés de 9,3 cm d’épaisseur, R ≥2,55 m². K/W. ! L’isolant des soubassements de 6,8 cm d’épaisseur, R ≥1,7 m². K/W. ! L’isolant intérieur sur les locaux non chauffés de 6 + 1 cm d’épaisseur, R ≥1,8 m². K/W. ! L’isolant plafond lourd +étanchéité de 14 cm d’épaisseur, R ≥3,95 m². K/W. ! L’isolant terrasse RdC de 10 cm d’épaisseur, R ≥2,8 m². K/W. ! L’isolant plancher sur extérieur de 10 cm d’épaisseur, R ≥2,2 m². K/W sous dalle et 4 cm

d’épaisseur, R ≥1,7 m². K/W. ! L’isolant sur vide sanitaire avec plancher chauffant de 8 cm d’épaisseur, R ≥3,45 m². K/W. ! L’isolant sur vide sanitaire sans plancher chauffant de 10 cm d’épaisseur, R ≥2,2 m². K/W. ! Le sous-sol est construit sur terreplein avec une isolation sous toute sa surface réalisée par un

matériau ayant les caractéristiques thermiques suivantes : R ≥ 2,35 m².°C/W. ! des vitrages de type peu émissif en aluminium avec lame d’argon de 16 mm, coefficient

Uw : 1,50 W/m² °C. ! des volets roulants monobloc lame de 12 mm UC : 1,44 W/m² °C avec 0,28/LC. Le bâtiment bénéficie d’un classement B.B.C. Effinergie RT 2005.

2.2.1) Température

! Température extérieure hiver : - 15 °C ! Température intérieure hiver : + 22 °C

2.2.2) Température et mode de fonctionnement des installations

Émission de la pompe à chaleur jusqu’à 5°C ! Température de départ : 45 °C ! Chute admise : 5 °C ! Température de retour : 40 °C. Émission des chaudières jusqu’à - 15°C Circuit normalCircuit normalCircuit normalCircuit normal :::: ! Température de départ : 80 °C

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! Chute admise : 20 °C ! Température de retour : 60 °C. Circuit condensationCircuit condensationCircuit condensationCircuit condensation :::: ! Température de départ : 50 °C ! Chute admise : 15 °C ! Température de retour : 35 °C.

2.2.3) Calcul des corps de chauffe

Les radiateurs et le plancher chauffant ont été calculés en tenant compte des paramètres suivants : ! Température de départ : 45 °C ! Chute admise : 5 °C ! Température de retour : 40 °C.

2.2.4) Calcul des batteries des C.T.A.

Les batteries des centrales d’air ont été calculées en tenant compte des paramètres suivants : ! Température de départ : 60 °C ! Chute admise aux batteries : 15 °C ! Température de retour : 45 °C.

2.2.5) Calcul de la production d’ECS

L’échangeur a été calculé en tenant compte des paramètres suivants : ! Température de départ : 80 °C ! Chute admise aux batteries : 20 °C ! Température de retour : 60 °C.

2.2.6) Renouvellement d'air spécifique

L'ensemble des débits de renouvellement d'air pour les locaux sera conforme au règlement sanitaire et départemental type aux arrêtés ministériels du 12 mars 1976 et du 25 juin 1980, ainsi qu'au cahier du C.S.T.B. n° 2286 d'octobre 88.

LOCAUXLOCAUXLOCAUXLOCAUX SOUFFLAGESOUFFLAGESOUFFLAGESOUFFLAGE EXTRACTIONEXTRACTIONEXTRACTIONEXTRACTION

SOUS-SOL

Vestiaire personnels femme 300 m3/h 300 m3/h

Vestiaire personnels homme 240 m3/h 240 m3/h

Atelier 180 m3/h

Local info 200 m3/h

T.G.B.T. 120 m3/h

Rangement (chaque : 4) 90 m3/h

Cuisine 4 800 m3/h 5 400 m3/h

Salle à manger résidents 3 500 m3/h 3 500 m3/h

Salle à manger famille 250 m3/h 250 m3/h

Préparation froide 120 m3/h

Au-dessus des chambres froides (chaque : 3)

90 m3/h

Reserve cuisine 90 m3/h

Légumerie 120 m3/h

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LOCAUXLOCAUXLOCAUXLOCAUX SOUFFLAGESOUFFLAGESOUFFLAGESOUFFLAGE EXTRACTIONEXTRACTIONEXTRACTIONEXTRACTION

REZ DE CHAUSSEE

Laverie 1 500 m3/h 1 500 m3/h

Poubelles 120 m3/h

Vestiaire cuisine (chaque douche : 2)

45 m3/h

Hall d’accueil 585 m3/h

Coiffeur 120 m3/h

Espace principale d’activité 450 m3/h 450 m3/h

Salle d’activité spécifique 300 m3/h 300 m3/h

Salle de repos personnel 270 m3/h 270 m3/h

Activité 1 300 m3/h 300 m3/h

Activité 2 180 m3/h 180 m3/h

Activité collective 360 m3/h 360 m3/h

Buanderie / Lingerie 1 500 m3/h 1 500 m3/h

Stockage linge sale 60 m3/h

Rgt 60 m3/h

ETAGE

Rgt 60 m3/h

Local sale (R+1 à R+4) 90 m3/h

Local propre (R+1 à R+4) 90 m3/h

ETAGE

Office (R+1 à R+4) 120 m3/h

Soins/bureau (R+1 à R+4) 120 m3/h

Lieu de vie (R+1 à R+4) 400 m3/h 400 m3/h

Snoezelen 60 m3/h

Réunion R+1 350 m3/h 350 m3/h

2.2.7) Besoins de chauffage

! Puissance circuit radiateurs : 32 kW ! Puissance circuit plancher chauffant réversible circuit n°1 NORD/OUEST : 90 kW ! Puissance circuit plancher chauffant réversible circuit n°2 NORD/OUEST : 67 kW ! Puissance circuit plancher chauffant réversible circuit n°3 NORD/OUEST : 60 kW ! Puissance circuit plancher chauffant réversible circuit n°4 SUD/EST : 65 kW ! Puissance circuit plancher chauffant réversible circuit n°5 SUD/EST : 117 kW ! Puissance circuit C.T.A. : 115 kW

______________ TOTALTOTALTOTALTOTAL : : : : 546546546546 kWkWkWkW ! Puissance ECS masquée : 333355550000 kWkWkWkW

2.2.8) Principe d'étude et de réalisation

Déperditions Déperditions Déperditions Déperditions –––– coefficientscoefficientscoefficientscoefficients :::: Les déperditions et les différents coefficients (U, Uw, Ψ, Ubat et C) sont calculés en fonction des règles de la RT 2005, à savoir :

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! Décret N° 2000-1153 du 29 novembre 2000, relatif aux caractéristiques thermiques des

constructions ! Arrêté du 29 novembre 2000 relatif aux caractéristiques thermiques des bâtiments nouveaux et

des parties nouvelles de bâtiments ! Arrêté du 9 novembre 2001 ! Règles Th-C ! Règles Th-E ! Règles Th-Bât : règles Th-I, règles Th-S, règles Th-U.

2.3)2.3)2.3)2.3) PRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLPRINCIPE DES INSTALLATIONS DE VMCATIONS DE VMCATIONS DE VMCATIONS DE VMC

2.3.1) Généralités

Les installations de VMC concernent des locaux sanitaires, à pollution spécifique et humide, elles seront conformes aux documents suivants : ! Arrêté du 09/01/1995 : Isolation acoustique ! Arrêté du 25/11/1994 : N.R.A. ! D.T.U. n° 68.2 - octobre 1988 : Exécution des installations de VMC (cahier des (AFNOR P

50-411) clauses spéciales et cahier des clauses techniques) ! Aux agréments et avis techniques du C.S.T.B. ! Aux règles interprofessionnelles ! Aux exigences du Maître d’Œuvre et recommandations du Bureau de Contrôle ! Essais conformes aux documents techniques COPREC et de manière générale, à tous les textes

législatifs et règlementaires en vigueur à la date fixée pour la remise d’offres. ! Règlement sanitaire départemental. ! Règlement de sécurité contre l'incendie relatif aux ERP, notamment les articles CH 41 à 43 CH ! Loi n° 92-1444 du 31 décembre 1992 relative à la lutte contre le bruit des dispositions

règlementaires en matière d'acoustique, dans les établissements de santé, soins et action sociale.

NOTANOTANOTANOTA : Toutes les installations de VMC sont de type « à fonctionnement permanent ».

2.3.2) Niveaux sonores

La dépression en tête des conduits sera inférieure ou égale à 180 pascals. La vitesse maximale dans le réseau horizontal ne dépassera pas 4 m/s. L’écart de pression statique entre les extrémités d’un conduit vertical sera inférieur ou égal à 40 pascals. Les ventilateurs d’extraction seront suspendus à la charpente ou fixés aux murs en faux-plafonds. Il sera également prévu les renforts en toiture. Le choix des ventilateurs est tel que la relation suivante d > 1/3Vq sera respectée :

« d » étant le diamètre de la turbine « q » étant le débit total extrait augmenté de 10 % exprimé en m3/s

Lw < 25 + 10 log V/12,5.

2.3.3) Débits de ventilation

! Salle de bains des chambres : 45 m3/h ! WC public : 45 m3/h ! WC personnel : 45 m3/h ! Salle de bains commune : 90 m3/h ! Ménage : 90 m3/h ! Office : 120 m3/h ! Soins : 120 m3/h ! Kiné – Ergo : 180 m3/h ! Pharmacie : 180 m3/h

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2.4)2.4)2.4)2.4) DÉSENFUMAGEDÉSENFUMAGEDÉSENFUMAGEDÉSENFUMAGE CIRCULATIONCIRCULATIONCIRCULATIONCIRCULATION

2.4.1) Principe

Les circulations des chambres, les dégagements vers les sorties de secours, ainsi que les locaux sur ces tracés sont désenfumés mécaniquement. Il est prévu la mise en œuvre de grilles d’amenée d’air neuf et de grilles de sortie d’air vicié qui sont commandées par l’alarme incendie par action sur les bobines à émission de ces grilles, compris contact de position. Dispositions relatives au désenfumage mécanique : ! Le désenfumage par tirage mécanique est assuré par extracteur mécanique de fumées et

amenée d’air naturel disposés de manière à assurer un balayage du volume à désenfumer. ! L’extraction des fumées est réalisée par des bouches raccordées au moyen de conduits au

ventilateur d’extraction. ! L’amenée d’air naturel sera réalisée par des bouches raccordées à un conduit de ventilation

avec prise d’air en toiture. ! La section et l’emplacement des conduits sont définis sur les plans de désenfumage.

2.4.2) Règlementation

Le présent projet est classé en ERP de type J 4ème catégorie. Les installations de désenfumage seront conformes aux règlementations suivantes : ! Sécurité incendie dans les locaux recevant du public. ! A l’instruction technique n° 246 de l’arrêté du 22 mars 2004. ! A l’instruction technique n° 247 relative au mécanisme de déclenchement des dispositifs de

fermeture résistant au feu et de désenfumage. ! Aux normes incendie NFS 61 et NFS 62. ! A la règlementation relative à la sécurité incendie arrêté du 25/06/1980, modifié le 02/02/1993

et le 22/03/2004.

2.4.3) Hypothèse de calcul

Le calcul des sections et débits d’extraction est basé sur l’instruction technique 246 paragraphe 5 « solutions applicables aux dégagements », soit : ! 0,5 m3/s par unité de passage. ! Les grilles d’air neuf auront leur partie supérieure à 1 m maximum du sol. ! Les grilles d’extraction auront les parties inférieures à minimum 1,80 m du sol. ! Les grilles d’air neuf et d’air vicié seront réparties de façon alternée. ! La distance entre deux grilles ne devra pas excéder 15 m en partie droite et 10 m

dans le cas contraire. ! Toute porte accessible au public aura une distance maximale de 5 m d’une bouche

d’extraction ou d’air neuf.

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ARTICLE 3 ARTICLE 3 ARTICLE 3 ARTICLE 3 ---- SPÉSPÉSPÉSPÉCIFICATIONSCIFICATIONSCIFICATIONSCIFICATIONS TECHNIQUES DES TECHNIQUES DES TECHNIQUES DES TECHNIQUES DES MATÉRIELSMATÉRIELSMATÉRIELSMATÉRIELS DE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGEDE CHAUFFAGE

3.1)3.1)3.1)3.1) CHAUDIÈRECHAUDIÈRECHAUDIÈRECHAUDIÈRE Il sera prévu la mise en place d’une chaudière acier à condensation selon directive rendement 92/42/CEE avec marquage CE, à foyer pressurisé, à haut rendement et pouvant fonctionner en basse température. Le corps de chauffe comprendra trois parcours de fumées, à faible charge thermique de la chambre de combustion, assurant une combustion à faibles rejets polluants et d’émissions d’oxydes d’azote. Elle sera équipée de condenseurs réalisés par un échangeur en acier inoxydable austénitique placé en vertical après la chambre de combustion sur le premier passage des fumées. La position verticale de l’échangeur permettra un écoulement des condensats rapide évitant toute multiplication d’évaporation et limitant ainsi les concentrations d’acide. Ce principe d’évacuation évite le retour des gaz de chauffe dans la chambre de combustion et d’entourer le cœur de la flamme permettant de céder davantage de chaleur et d’être plus froide en diminuant la formation de NOx. La chaudière sera équipée de 2 manchons de retour permettant une dissociation de circuits ayant des températures différentes pour une condensation plus importante. L’ensemble est raccordé sur le circuit basse température. Effet autonettoyant renforcé par la circulation des gaz de chauffe et des condensats dans le même sens et par des surfaces en inox, lisses. Pilotage 0/10 V. Cette chaudière aura les caractéristiques techniques et les performances suivantes : ! Puissance nominale : 575 à 630 kW ! Température de service maximale : 100 °C ! Température de sécurité : 110°C ! Pression de service maxi : 4 bars ! Contre pression côté fumées : 200 Pa ! Dimension : 2 105 L x 1 128 l x 2 290 h ! Poids : 1 053 kg ! Capacité en eau : 570 l ! Raccordement départ chaudière : ø 100 PN 6 ! Raccordement retour 1 chaudière : ø 100 PN 6 ! Raccordement retour 2 chaudières : ø 80 PN 6 ! Buse de fumées : ø intérieur 250 ! Rendement global annuel en 75/60°C : 106 % ! Rendement global annuel en 40/30°C : 109 % ! Débit d’eau de chaudière : Aucun, quelle que soit la charge du brûleur ! Température de retour chaudière : Aucune, quelle que soit la charge du brûleur. Elle sera de marque VIESSMANN type VITOCROSSAL 300 type TC3B ou techniquement équivalent. Il sera également prévu la mise en fonctionnement de la chaudière par le fabricant.

3.2)3.2)3.2)3.2) BRÛLEUR GAZBRÛLEUR GAZBRÛLEUR GAZBRÛLEUR GAZ

3.2.1) Brûleur

Le brûleur sera de type bas NOx de classe 3, modulant et garantissant un mélange parfaitement proportionné d’air et de gaz, pour marche au gaz naturel moyenne pression 300 mbars, avec pré-ventilation de la chambre de combustion.

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Le brûleur à compartiments séparés comprend : ! Un corps en alliage d’aluminium de forme cubique, protégé par une peinture époxy. ! Un groupe moto-ventilateur insonorisé aux performances optimisées par un système de

réinjection d’air, avec turbine centrifuge. ! La fermeture totale motorisée du volet d’air à l’arrêt du brûleur. ! Une tête de combustion bas NOx, <67 mg/kWh,+/- 10%, avec le réglage repéré, le dispositif de

démontage rapide avec le Système RTC (Réglages de Tête Conservés). ! Une prise de pression foyer intégrée. ! Un compartiment électrique intégré IP54, avec tableau de bord sous hublot amovible,

signalisations locales, équipement pour la télécommande et la télé-information. ! Un pré-équipement pour le régulateur électronique PID. ! Une rampe gaz orientable, avec le filtre, assemblée, câblée et entièrement contrôlée en usine. Il sera équipé d’un système MDE (Mémorisation des Données d’Exploitation) permettant de collecter : Informations «instantanées» : ! Cycles de démarrage du brûleur, ils seront inférieurs à 13 500 cycles à l’année. ! Mesure de la valeur de la tension d’alimentation. ! Mesure de la valeur du signal de flamme. Informations «stockées» : ! Statistiques sur le fonctionnement du brûleur, notamment le total des heures de

fonctionnement. Techniques sur les conditions d’utilisation. Ces informations, indiquées en clair, pourront être extraites pour être communiquées au système d’exploitation afin d’en faciliter la maintenance. Ces informations sont disponibles sur un afficheur situé sur le tableau de bord du brûleur.

La conception, le développement et la construction sont organisés selon la Norme Européenne EN 676. Le brûleur sera fabriqué sous assurance, qualité ISO 9002 certifiée par l’AFAQ. Il sera conforme aux exigences des Directives Européennes : ! 73 / 23 / CEE = Basse Tension ! 89 / 336 / CEE = Compatibilité électromagnétique ! 89 / 392 / CEE = Machines ! 90 /396 / CEE = Appareils à gaz ! 92 / 42 / CEE = Rendement, lorsqu’ils sont installés sur des corps de chaudières. Le brûleur sera équipé de : ! Régulateur électronique PID pour assurer le fonctionnement modulant du brûleur. ! Un système de variation de vitesse du ventilateur avec pour effet de réduire la consommation

d’énergie électrique et le bruit et d’augmenter le rapport de modulation. ! Plaque de façade CP5.1. ! Vanne manuelle ¼ de tour et filtre gaz. ! Ventilation permanente avec piège à son. ! Manomètre gaz 400 mbars. ! Relais de télé-information. Le mélange air/gaz sera géré par un régulateur pneumatique fonctionnant en boucle fermée qui maintient le rapport air/gaz optimal et constant sur toute la plage de puissance, avec surveillance de la pression foyer. Le brûleur monobloc à air soufflé aura les caractéristiques suivantes : ! Plage de puissance : 150 - 630 kW ! Fonctionnement : modulant ! Combustible : gaz naturel (300 mbars) ou Propane (150 mb)

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! Agrément : CE Certificat, installé sur une chaudière certifiée CE,

ce brûleur permet d’obtenir un ensemble conforme à la norme EN 303.3.

! Tension d’alimentation : 400 V triphasé + neutre. Soit, par chaudière, un brûleur de marque CUENOD type C.80 GX507 P300 D20/25 T1 ou techniquement équivalent, équipé d’usine d’un Variatron. Dans son chiffrage, le titulaire du présent lot devra prévoir la mise en service et les réglages réalisés par le fabricant du brûleur.

3.2.2) Équipement

Il sera également prévu, à la charge du présent lot, le matériel suivant : ! 1 vanne à gaz DN 50. ! 1 filtre à gaz DN 50. ! 1 contrôle de flamme et coffret de sécurité, conformes aux normes ATG-C30. ! 1 kit GTC défaut brûleur. ! 1 compteur gaz 1/100 MDI à impulsion 8 décades BF. ! 1 automate PID action brûleur et vanne chaudière :

Le logiciel, en régulant sur la température des fumées, permettra une adéquation entre les besoins du réseau et la charge chaudière, régulation pour chaudière à condensation et sans risque de condensation pour les retours sécurisés et une loi spécifique pour la chaudière à condensations valorisant les condensats. Cette régulation permettra le transfert de charge, optimisant ainsi la puissance maxi et mini chaudière. Le rendu de performance du logiciel reste du ressort de l'exploitant ou du maître d'ouvrage. Le variateur intégré au brûleur permettra un rapport de modulation maximum, en adaptant les débits et pressions d'air à la charge demandée ; réduisant ainsi la consommation électrique et le niveau sonore. La partie « Montage inclus une platine » à fixer dans l’armoire électrique de chaufferie, recevant : disjoncteur, transformateur, matériel de régulation et de dérogation manuelle avec "Montage en puissance obligatoire du brûleur" ; un schéma électrique de l'ensemble complet ; Brûleur, variateur et platine de régulation avec une unité de gestion local seront fournis. Les repérages du bornier de la platine et du brûleur sont identiques, permettant ainsi un câblage en toute sécurité. En cas de panne de l'automate ou bien de mise en marche forcée, il sera prévu une dérogation manuelle du brûleur. Le seuil de fonctionnement sera alors fixé à la puissance nominale de la chaudière.

3.3)3.3)3.3)3.3) NEUTRALISATEUR DE CONEUTRALISATEUR DE CONEUTRALISATEUR DE CONEUTRALISATEUR DE CONDENNDENNDENNDENSATSSATSSATSSATS Fourniture, pose et raccordement d’un neutralisateur de pH, pour la chaudière, entre l’écoulement des condensats issu de la cheminée de chaque chaudière à condensation et l’égout. La neutralisation se fait par un parcours d’écoulement à travers des granulés empêchant des valeurs de pH trop élevées. Il est composé comme suit : ! Un bac en matériau de synthèse rigide. ! 25 kg de granulés. ! Une pompe industrielle robuste pour relevage des condensats. ! Une régulation intégrée avec affichages « remplir de granulés » et « trop-plein ».

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3.4)3.4)3.4)3.4) ALIMENTATION EN COMBALIMENTATION EN COMBALIMENTATION EN COMBALIMENTATION EN COMBUSTIBLEUSTIBLEUSTIBLEUSTIBLE

3.4.1) Généralités

La chaufferie est alimentée en gaz naturel de 300 mbars depuis le coffret coupure/détente, placé en limite de propriété. La distribution est faite par canalisation enterrée depuis le poste de détente gaz jusqu’à la façade du bâtiment, puis la canalisation cheminera en apparent contre la façade et sur la terrasse jusqu’à la chaufferie. Une vanne de coupure sous coffret est prévue, sur la façade à 1,50 m du sol fini sur le début de la colonne en façade et bien avant la pénétration dans la chaufferie pour son alimentation en gaz, compris réalisation d’une bouteille tampon gaz. Il est également prévu des organes de coupure conformément aux normes en vigueur.

3.4.2) Branchement

Pour le branchement en limite de propriété, le raccordement se fait à la sortie des coffrets, il comprend : ! Joint diélectrique. ! Organe de coupure. Le cheminement est à soumettre pour approbation. Le coffret de comptage/détente gaz est fourni et posé par Le Titulaire, compris tous accessoires de raccordements.

3.4.3) Canalisation enterrée

La liaison entre le poste de comptage/détente gaz 4 bars/300 mbars, en limite de propriété et la façade de la chaufferie, est réalisée en tube polyéthylène conforme à la norme NF T 54-065, il est de couleur noire avec un liseré jaune. Les tubes sont posés dans une tranchée, au lot VRD. Son rayon de courbure doit être d’au moins 30 fois son diamètre extérieur. La remontée au coffret peut être de 12 fois le diamètre extérieur du tube à condition d’utiliser un fourreau formé préalablement à cet effet. Le tube polyéthylène gaz est équipé d’un raccord polyéthylène fer avant la remontée en façade vers la chaufferie. Depuis les raccords P.E.-fer en enterré, il est réalisé un réseau gaz en tube acier noir, tarif 1 ou 10, conforme aux normes NFA 49.111 ou 49.115. Le conduit fer enterré est revêtu d’un enrobage P.E. avec protection Polyken, comprenant entre le coffret et la gaine technique : ! 1 primaire d’accrochage. ! 1 bande polyken 931. ! 1 bande polyken 930-35. ! Jonction sur canalisations GDF par brides à collerette PN 10 suivant notice guide

B 17.101.2. ! Robinet papillon PN 10 à commande par levier suivant préconisation GDF. ! Fourreaux en plastique pour traversées des murs.

3.4.4) Alimentation chaufferie

Il est prévu la réalisation de canalisations gaz en tube fer montant sur la façade pour rejoindre la chaufferie en terrasse.

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Puis cette canalisation est posée en apparent pour l’alimentation de la chaudière depuis la vanne de coupure extérieure sous coffret bris de glace. Toutes les traversées de murs, planchers ou cloisons sont effectuées avec fourreaux. Les tuyauteries en acier sont assemblées par soudure autogène ou à l’arc électrique. Les coudes à souder sont du type 5 D ou réalisés à la cintreuse jusqu’au diam. 40. La peinture des canalisations est à prévoir et comprend une protection antirouille (2 couches) et d’une couleur rouge orangée normalisée (couleur de fond jaune orangé moyen et des rectangles d’identifications rose moyen conformément à la norme NF X 08.100). Pente des canalisations : 3 mm par mètre vers les points de purge. Les supports des canalisations se font par suspentes scellées ou boulonnées à hauteur réglable et colliers à contrepartie démontable, interposition de fourreaux en élastomère. Les suspentes et colliers sont recouverts de deux couches de peinture antirouille. Les tuyauteries à moins de 2 m du sol sont protégées des chocs par une coquille métallique en acier inoxydable ventilée. Il est réalisé une rétention d'une capacité tampon respectant la règle du 1/1000ème dans la chaufferie pour l’alimentation de la chaudière.

3.4.5) Organe de coupure

Il est prévu, conformément à la règlementation incendie en vigueur, une vanne de coupure gaz extérieure avant la pénétration dans la chaufferie. Cette vanne d’arrêt est placée dans des coffrets bris de glace de couleur rouge à côté de la vanne de coupure générale. Elle est équipée d’étiquettes en plastique à fond rouge et gravées en blanc avec le texte suivant :

« VANNE D’ARRET GAZ CHAUFFERIE ». Le texte doit être indélébile. Cette étiquette est placée le plus visiblement possible au-dessus de la vanne gaz. Il est prévu une vanne d’arrêt ¼ de tour gaz et un filtre à tamis sur l’alimentation de chaque chaudière. Avant toute mise en service, il est réalisé un contrôle d’étanchéité rigoureux (pression d’épreuve : 1 bar). Un certificat de conformité est établi après réalisation.

3.5)3.5)3.5)3.5) CONDUIT DE FUMÉESCONDUIT DE FUMÉESCONDUIT DE FUMÉESCONDUIT DE FUMÉES

3.5.1) Conduit de fumées

Le conduit de fumées est dimensionné pour la chaudière, en fonction de sa puissance unitaire. Les fumées de la chaudière sont évacuées par l’intermédiaire d’un conduit de fumées en acier inoxydable spécial gaz et conformément à l’article 15 de l’arrêté du 20 juin 1975. Le conduit de fumée est dimensionné conformément à l’arrêté du 25 juillet 1997 fixant la hauteur des rejets et les valeurs limites des rejets. La vitesse d’éjection des fumées en sortie de cheminées doit être impérativement comprise entre 2 et 5 m/s. Le conduit de la chaudière est réalisé en acier inoxydable spécial gaz pour chaudière à condensation de type autoportant.

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Le conduit est constitué de la façon suivante : ! La paroi intérieure est en acier inoxydable AISI 316 conforme à l’appellation AFNOR Z6 CND

17.12. Ø 250 intérieur ! L’élément thermique est constitué d’un isolant haute densité de 30 mm d’épaisseur comprimé

à force dans l’espace annulaire. ! La paroi extérieure est réalisée en acier inoxydable AISI 304 laqué gamme RAL au choix de

l’architecte conforme à l’appellation AFNOR Z2 CDT 18.02. ! Hauteur unitaire dHauteur unitaire dHauteur unitaire dHauteur unitaire duuuu conduit : conduit : conduit : conduit : 4444 mètres.mètres.mètres.mètres. Ils sont composés d’un coude isolé à 90° pour raccordement sur carneau.

3.5.2) Raccordements de la chaudière

La chaudière est raccordée au conduit de fumées par un ensemble de buses doubles parois modulaires, de qualité AISI 316 intérieur et AISI 304 extérieur, équipé des accessoires de fixation et d’assemblage. Il est constitué de la façon suivante : ! La paroi intérieure est en acier inoxydable AISI 316 de diamètre intérieur de 250. ! L’élément thermique est constitué d’un isolant haute densité de 30 mm d’épaisseur, comprimé

à force dans l’espace annulaire et fibre céramique. ! Paroi extérieure réalisée en acier inoxydable AISI 304. Le raccordement de chaque chaudière est réalisé par Le Titulaire et comprend, l’ajustement en longueur, 2 coudes à 45°, 4 colliers unions et 1 raccord de chaudière spécial. L’ensemble est démontable et assemblé par brides avec joints en litaflex. La pénétration dans les conduits de fumées est réalisée à 135°. Dans tous les cas, les extrémités des carneaux de fumées ne doivent pas être bloquées, mais leur raccordement ne doit pas pouvoir se déboîter. NotaNotaNotaNota : Une température de 35 °C est considérée comme le maximum tolérable (DTU 24-1). Il est prévu des orifices bouchonnés diam. 15 mm, permettant l’installation des thermomètres et le contrôle de combustion. La longueur effective entre chaque chaudière et chaque cheminée ne doit pas excéder ¼ de la hauteur effective de la cheminée avec un maximum de 7 m. Les carneaux de la chaudière sont inclinés vers les chaudières et sont équipés de tampon purge pour la collecte des eaux des condensats. Ces eaux de condensats sont évacuées par un tube en acier inoxydable vers un neutralisateur de P.H. puis à l’égout.

3.6)3.6)3.6)3.6) VENTILATION VENTILATION VENTILATION VENTILATION LOCAUX TECHNIQUESLOCAUX TECHNIQUESLOCAUX TECHNIQUESLOCAUX TECHNIQUES

3.6.1) Ventilation basse

ChaufferieChaufferieChaufferieChaufferie :::: Fourniture et pose d’une ventilation basse d’une section libre de 0,30 m² comprenant : ! Les percements. ! Le cadre à sceller. ! La grille pare-pluie en acier galvanisé. Local PACLocal PACLocal PACLocal PAC :::: Fourniture et pose d’une ventilation d’une section libre unitaire de 3,0 m² comprenant : ! La grille pare-pluie en acier galvanisé.

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3.6.2) Ventilation haute

ChaufferieChaufferieChaufferieChaufferie :::: Fourniture et pose d’un conduit pour la ventilation haute, comprenant : ! Une gaine circulaire en acier galvanisé diam.350. ! Une sortie de toiture compris chevêtre, étanchéité et toutes sujétions. ! Un chapeau pare-pluie. Local PACLocal PACLocal PACLocal PAC :::: Fourniture et pose d’une ventilation d’une section libre unitaire de 3,0 m² comprenant : ! La grille pare-pluie en acier galvanisé.

3.7)3.7)3.7)3.7) POMPE A CHALEURPOMPE A CHALEURPOMPE A CHALEURPOMPE A CHALEUR

3.7.1) Généralités

La pompe à chaleur air/eau est placée dans le volume technique en toiture terrasse, elle est réversible et permet d’alimenter en été, en eau glacée, les planchers rafraîchissant et en hiver, la pompe à chaleur permettra d’alimenter jusqu’à 5 °C extérieur les circuits radiateurs et plancher chauffant.

3.7.2) Caractéristiques

Elle est équipée d’un dispositif de limitation de l’intensité électrique au démarrage. Les éléments composant la P.A.C. sont installés dans une caisse constituée d’un châssis en tube habillé d’une jaquette avec une isolation acoustique renforcée, une finition par revêtement de résine époxy. La transmission du bruit de fonctionnement est affaiblie par des compresseurs à coussinets doubles et des pieds équipés d’amortisseurs de bruits. Les circuits, primaire et secondaire, issus de la pompe à chaleur sont raccordés à celle-ci par l’intermédiaire de tubes flexibles d’une longueur minimale de 1 mètre, disposés en cor de chasse ou équipés de manchettes antivibratoires. La P.A.C. est équipée de six compresseurs montés en parallèle de puissance équivalente et de type Scroll hermétique. Il y a deux circuits frigorigène par compresseur, qui sont sans CFC et incombustibles, ce fluide frigorigène est de type R 407 C, mélange de trois fluides frigorigènes dont les proportions sont de 23 % de R32, 25 % de R 125 et 50 % de R134a. La pompe à chaleur est équipée d’un échangeur de chaleur réalisé par des plaques en acier inoxydable, Z 5 CND 17.12, brasé au cuivre pour le circuit d’eau glycosée. La régulation de la pompe à chaleur est assurée par le régulateur numérique du fabricant de la P.A.C. en fonctionnement à température constante de 40 °C. Les équipements électroniques et les régulations sont placés dans des armoires intégrées à l’enveloppe de la P.A.C. et escamotables. Commande et verrouillage électrique depuis la GTC. Les caractéristiques du groupe sont les suivantes : ! Alimentation électrique : 400 Volts ! Puissance frigorigène : 166 kW ! Puissance calorifique : 185 kW ! Puissance absorbée compresseur : 65 kW ! EER : 3,64 ! Chargé en fluide frigorigène : R410A

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! Nombre de compresseurs : 4 scroll ! Nombre de circuits de froid : 2 ! Nombre de ventilateurs centrifuges : 4 ! Débits d’air : 4 x 4 250 m3/h ! Niveau acoustique à 10 m : 60 dB(A). ! Longueur : 3 110 mm ! Largueur : 2 220 mm ! Hauteur : 2 150 mm ! Poids en fonctionnement : 1 900 kg Il sera de marque GEA type GLAH 0704 BD2.LT réversible ou techniquement équivalent.

3.8)3.8)3.8)3.8) BALLON TAMPONBALLON TAMPONBALLON TAMPONBALLON TAMPON Il est prévu la mise en œuvre de ballons tampons pour le secondaire de la pompe à chaleur, ainsi que pour le stockage primaire de la production ECS. Les ballons sont exécutés en acier, et sont équipés des piquages nécessaires aux raccordements hydrauliques, ainsi que des orifices nécessaires à la mise en place de purge, de vidange, de thermomètre de contrôle et sondes de température pour la régulation. Les ballons sont calorifugés par de la laine minérale d’épaisseur 100[mm] protégée par une enveloppe classe M1. Les ballons sont de marque LACAZE ou techniquement équivalents, et ont les caractéristiques suivantes : Ballon tampon PACBallon tampon PACBallon tampon PACBallon tampon PAC

Capacité : 750 [l] CR : 0,06 [Wh/j.°C.l] Dimensions : Diam. 900mm x H 1 820 mm.

Ballons primaires ECSBallons primaires ECSBallons primaires ECSBallons primaires ECS

Capacité : 2 x 1 500 [l] CR : 0,034 [Wh/j.°C.l] Dimensions : Diam. 1 200 mm x H 1 960 mm.

3.9)3.9)3.9)3.9) SYSTÈME DE SÉCURITÉ SYSTÈME DE SÉCURITÉ SYSTÈME DE SÉCURITÉ SYSTÈME DE SÉCURITÉ FLUIFLUIFLUIFLUIDE FRIGORIGÈNEDE FRIGORIGÈNEDE FRIGORIGÈNEDE FRIGORIGÈNE

3.9.1) Généralités

Les installations sont réalisées conformément aux exigences de la norme NF – EN 378 concernant les systèmes de réfrigération et pompe à chaleur. Un conduit est mis en œuvre depuis le local pompe à chaleur jusqu’à la façade du bâtiment.

3.9.2) Ventilation mécanique d’urgence

Un extracteur est installé dans le local pompe à chaleur, comportant des équipements frigorifiques. Le local pompe à chaleur est équipé de deux commandes d’urgence indépendantes, l’une située à l’extérieur et l’autre à l’intérieur. Un extracteur mécanique est installé en plafond du local pompe à chaleur avec rejet en façade, de marque ALDES, de type VC 315 ou techniquement équivalent. ! Débit : 1 500 m3/h ! HMT : 250 Pa.

3.9.3) Entrée d’air

Les conduits d’air neuf sont réalisés en tôle d’acier galvanisé cylindrique ou rectangulaire.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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L’entrée d’air est installée sur la façade du bâtiment. Respect des écarts entre chaque sortie avec les autres corps d’états, afin d’être conformes aux D.T.U.

3.9.4) Rejets

Les conduits de rejet sont réalisés en tôle d’acier galvanisé cylindrique ou rectangulaire. Une sortie est installée en façade. Respect des écarts entre chaque sortie avec les autres corps d’états, afin d’être conformes aux D.T.U.

3.9.5) Système de détection de fluide frigorigène

Les installations sont réalisées conformément aux exigences de la norme NF – EN 378 concernant les systèmes de réfrigération et pompe à chaleur. Dans le cas où la capacité de fluide frigorigène excède 25 kg, une détection est installée dans le local pompe à chaleur. Le Titulaire du présent lot doit la fourniture et la pose : ! D’un système de détection de fluide frigorigène de type L1 composé d’un système d’alarme

secouru (fonctionnement sur batterie en cas de coupure d’électricité) avec détecteurs de fluide frigorigène répartis dans le local pompe à chaleur.

! Report d’alarme sur voyant lumineux et diffuseur sonore placé dans une armoire métallique étanche au rez-de-chaussée de chaque entrée avec visualisation du voyant sur les paliers du rez-de-chaussée et une étiquette sérigraphiée précisant le défaut.

! Asservissement de la ventilation mécanique d’urgence. ! Gants de protections règlementaires. ! Protection oculaire. ! Consignes de sécurité.

3.10)3.10)3.10)3.10) BRANCHEMENT BRANCHEMENT BRANCHEMENT BRANCHEMENT –––– REMPLISSAGEREMPLISSAGEREMPLISSAGEREMPLISSAGE

3.10.1) Branchement

Le raccordement comprend dans le sens du fluide, sur l’arrivée d’eau froide principale, placée en chaufferie, les matériels suivants : ! Une vanne d'arrêt quart de tour à boisseau sphérique après compteur. ! Un robinet de vidange à boisseau. ! Un clapet de non-retour antipollution de classe A. ! Un manomètre.

3.10.2) Remplissage

Il est réalisé à partir de la canalisation d’eau froide traitée à 0 °Th dans la chaufferie, l’alimentation en eau des installations de chauffage, de la production d’ECS solaire et d’eau glacée. Chaque alimentation comprendra les équipements suivants : ! 1 dis-connecteur à zones de pression non-contrôlables. ! 1 canalisation en cuivre. ! 2 vannes de barrage à boisseau sphérique. ! 1 vanne avec étiquette et un vase doseur de marque PERMO ou techniquement équivalent

type PERMOSAS 40 pour introduction d’un complexe inhibiteur de corrosion PERMOFILM.

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3.11)3.11)3.11)3.11) GLYCOLGLYCOLGLYCOLGLYCOL

3.11.1) Produit

Le circuit primaire entre la P.A.C. et l’échangeur en chaufferie est rempli avec l’adjonction d’un complexe antigel et anticorrosion, garantissant une protection de la batterie de la centrale par une température de – 21 °C. Ce complexe est de marque PERMO ou techniquement équivalent, de type PERMOGLYCOL SANIT à raison de 35 % de l’ensemble du circuit secondaire. Le Titulaire doit la réalisation d’un piquage en DN 25, avec un bipasse et trois vannes quart de tour, pour le remplissage à l’aide d’une pompe de glycol.

3.11.2) Bac de récupération

Le Titulaire doit la fourniture et la pose d’un bac de récupération de l’eau glycolée évacuée par les soupapes de sécurité. L’eau glycolée crachée par ces soupapes est canalisée par un entonnoir et un réseau en P.V.C. jusqu’aux bacs prévus à cet effet. Le bac est en polyéthylène d’une capacité de 20 % supérieure à la capacité du réseau.

3.11.3) Pompe de réinjection

La cuve de récupération des eaux glycolées est équipée d’une sonde de liquide raccordée à la G.T.C. et d’une pompe de réinjection de l’eau glycolée récupérée dans les cuves. Cette pompe est de type immergé, pour eaux corrosives, elle est commandable depuis un commutateur manuel à proximité de la cuve. Son débit est de 1 m3/h par pompe avec une hauteur manométrique de 3 mCE. Il est également prévu à la charge du présent lot les tubes de liaisons entre les pompes de réinjection et le réseau de remplissage sondes.

3.12)3.12)3.12)3.12) ÉVACUATIONÉVACUATIONÉVACUATIONÉVACUATION DES EAUXDES EAUXDES EAUXDES EAUX Les eaux de vidange, de condensation, de trop-plein des soupapes, etc. sont évacuées par gravité en tube fonte S.M.E. jusqu'aux attentes au niveau -1 laissées par le gros œuvre. Chaque installation doit pouvoir être vidangée entièrement par circuit. La vidange de chacune des parties doit pouvoir être réalisée à l'aide de canalisations fixes d'au moins 15 mm de diamètre, munies de robinets à boisseau sphérique. Aucun déversement par l'intermédiaire du sol n’est accepté.

3.13)3.13)3.13)3.13) EXPANSION EXPANSION EXPANSION EXPANSION ---- SÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉ

3.13.1) Généralités

L’expansion des différents réseaux est assurée par des vases, du type fermé sous pression d’air et concernera les installations suivantes : ! Pour le circuit primaire de la P.A.C., circuit glycolé. ! Pour le circuit secondaire de la P.A.C et le circuit chauffage. ! Pour le circuit secondaire du plancher chauffant. ! Pour le circuit chaudière L’eau et le gaz doivent être séparés par une membrane, à haute résistance mécanique.

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3.13.2) Circuit primaire de la P.A.C.

Il est prévu la mise en œuvre d’un vase d’expansion conforme aux prescriptions du poste 3.13.1 de marque FLEXCO de 300 litres, 2,5 bars. Le vase d’expansion est installé en chaufferie et raccordé suivant les indications du constructeur. Le circuit primaire de la P.A.C. est muni de deux soupapes de sécurité, tarées à 4 bars, conformes à la norme NF 52-801 de marque FLEXCO type 185-3/4 ou techniquement équivalent. Les soupapes sont raccordées aux conduites de départ par un tube d’une longueur de 1,00 m minimum, elles seront placées en chaufferie. Un manomètre avec robinet d’isolement permet le contrôle de la pression. Un pressostat manque d’eau, réglé à 0,3 bars, est installé en chaufferie. Il arrête le fonctionnement des pompes en cas de baisse anormale de la pression, faisant craindre un manque d’eau.

3.13.3) Circuit secondaire de la P.A.C et le circuit chauffage

Il est prévu la mise en œuvre d’un vase d’expansion conforme aux prescriptions du poste 3.13.1 de marque FLEXCO de 600 litres, 2,5 bars. Le vase d’expansion est installé en chaufferie et raccordé suivant les indications du constructeur. Chaque chaudière est munie de deux soupapes de sécurité, tarées à 4 bars, conformes à la norme NF 52-801 de marque FLEXCO type 185-3/4 ou techniquement équivalent. Les soupapes sont raccordées aux conduites de départ par un tube d’une longueur de 1,00 m minimum. Un manomètre avec robinet d’isolement permettra le contrôle de la pression. Un pressostat manque d’eau, réglé à 0,3 bars, est installé en chaufferie. Il arrête le fonctionnement des pompes en cas de baisse anormale de la pression, faisant craindre un manque d’eau.

3.13.4) Circuit secondaire plancher chauffant

Il est prévu la mise en œuvre d’un vase d’expansion conforme aux prescriptions du poste 3.13.1 de marque FLEXCO de 600 litres, 2,5 bar. Le vase d’expansion est installé en chaufferie et raccordé suivant les indications du constructeur. Le circuit est muni de deux soupapes de sécurité, tarées à 4 bars, conformes à la norme NF 52-801 de marque FLEXCO type 185-3/4 ou techniquement équivalent. Les soupapes sont raccordées aux conduites de départ par un tube d’une longueur de 1,00 m minimum. Un manomètre avec robinet d’isolement permettra le contrôle de la pression. Un pressostat manque d’eau, réglé à 0,3 bars, est installé en chaufferie. Il arrête le fonctionnement des pompes en cas de baisse anormale de la pression, faisant craindre un manque d’eau.

3.13.5) Circuit chaudière

Il est prévu la mise en œuvre d’un vase d’expansion conforme aux prescriptions du poste 3.13.1 de marque FLEXCO de 1 000 litres, 2,5 bars. Le vase d’expansion est installé en chaufferie et raccordé suivant les indications du constructeur.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Chaque chaudière est munie de deux soupapes de sécurité, tarées à 4 bars, conformes à la norme NF 52-801 de marque FLEXCO type 550-1 ¼ ou techniquement équivalent. Les soupapes sont raccordées aux conduites de départ par un tube d’une longueur de 1,00 m minimum. Un manomètre avec robinet d’isolement permettra le contrôle de la pression. Un pressostat manque d’eau, réglé à 0,3 bars, est installé en chaufferie. Il arrête le fonctionnement des pompes en cas de baisse anormale de la pression, faisant craindre un manque d’eau.

3.14)3.14)3.14)3.14) COLLECTEURSCOLLECTEURSCOLLECTEURSCOLLECTEURS

3.14.1) Généralités

Création de quatre collecteurs départ et retour en tube fer noir de qualité chauffage, un pour les réseaux température constante des CTA et ECS, un pour les réseaux basse température des radiateurs et du plancher en mode chaud, un pour le plancher et les cassettes en mode froid et un pour les différents réseaux de plancher réversible. Ces collecteurs sont dimensionnés avec une vitesse de passage de 0,25 m/s maxi et seront posés sur des pieds supports en tube fer compris fixations et toutes sujétions et calorifugés. Chaque départ comprend une étiquette en dilophane gravée. Certaines extrémités de collecteurs sont reliées entre elle, en tube fer de diamètre 26/34 compris clapet de non-retour et vanne de réglage à soupape.

3.14.2) Collecteurs température constante

Ils ont un diamètre de 168,3 x 6,3 avec 2 piquages décomposés comme suit : ! 1 piquage pour les C.T.A. : diamètre 76,1 x 3,2 ! 1 piquage pour la production d’ECS (primaire) : diamètre 76,1 x 3,2

3.14.3) Collecteurs basse température chaud

Ils auront un diamètre de 273,0 x 6,3 avec 2 piquages décomposés comme suit : ! 1 piquage radiateurs : diamètre 50 / 60 ! 1 piquage pour échangeur chaud plancher : diamètre 159,0 x 4,5.

3.14.4) Collecteurs plancher et cassettes froid

Ils auront un diamètre de 273,0 x 6,3 avec 2 piquages décomposés comme suit : ! 1 piquage pour les cassettes : diamètre 88,9 x 3,2 ! 1 piquage pour échangeur froid plancher : diamètre 159,0 x 4,5.

3.14.5) Collecteurs plancher chauffant réversible

Ils auront un diamètre de 193,7 x 5,4 avec 5 piquages décomposés comme suit : ! 1 piquage plancher chauffant circuit 1 NORD/OUEST : diamètre 88,9 x 3,2 ! 1 piquage plancher chauffant circuit 2 NORD/OUEST : diamètre 88,9 x 3,2 ! 1 piquage plancher chauffant circuit 3 NORD/OUEST : diamètre 76,1 x 3,2 ! 1 piquage plancher chauffant circuit 4 SUD/EST : diamètre 88,9 x 3,2 ! 1 piquage plancher chauffant circuit 5 SUD/EST : diamètre 101,6 x 3,6

3.15)3.15)3.15)3.15) ÉCHANGEURÉCHANGEURÉCHANGEURÉCHANGEUR A PLAQUES A PLAQUES A PLAQUES A PLAQUES

3.15.1) Généralités

Il est prévu la mise en œuvre d’échangeurs à plaques aux points suivants :

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! Entre le réseau glycolé de la P.A.C. et le réseau de distribution, cet échangeur permet de

limiter l’installation glycolée en volume. ! Entre l’alimentation en chauffage et la distribution des réseaux plancher chauffant, cet

échangeur permet de protéger des risques de boues le plancher chauffant du reste des installations.

! Entre l’alimentation en eau glacée et la distribution des réseaux plancher rafraîchissant. ! Pour la production d’eau chaude sanitaire Les échangeurs sont placés dans la chaufferie.

3.15.2) Échangeur P.A.C.

Il sera prévu la mise en place d’un échangeur P.A.C. pour isoler le réseau glycolé de la P.A.C. en extérieur du réseau non glycolé à l’intérieur. Il aura les caractéristiques suivantes : ! Puissance en mode chaud : 185 kW ! Débit primaire en mode chaud : 32 m3/h ! Débit secondaire en mode chaud : 32 m3/h ! Température primaire : 45/40 ! Température secondaire : 43/38 ! Puissance en mode froid : 185 kW ! Débit primaire en mode froid : 32 m3/h ! Débit secondaire en mode froid : 32 m3/h ! Température primaire : 5/10 ! Température secondaire : 7/12. ! Perte de charge au primaire : 5 m CE ! Perte de charge au secondaire : 5 m CE Il est monté avec des vannes d’isolement et des thermomètres en aval.

3.15.3) Échangeur plancher chauffant

Il est prévu la mise en place d’un échangeur plancher chauffant pour isoler le réseau général du circuit plancher chauffant pour limiter les boues. Il a les caractéristiques suivantes : ! Puissance en mode chaud : 399 kW ! Débit primaire en mode chaud : 68,62 m3/h ! Débit secondaire en mode chaud : 68,62 m3/h ! Température primaire : 45/40 ! Température secondaire : 43/38 ! Perte de charge au primaire : 3 m CE ! Perte de charge au secondaire : 3 m CE Il est monté avec des vannes d’isolement et des thermomètres en aval.

3.15.4) Échangeur plancher rafraîchissant

Il est prévu la mise en place d’un échangeur plancher rafraîchissant pour isoler le réseau général du circuit plancher rafraîchissant pour limiter les boues. Il a les caractéristiques suivantes : ! Puissance en mode froid : 399 kW ! Débit primaire en mode froid : 68,62 m3/h ! Débit secondaire en mode froid : 68,62 m3/h ! Température primaire : 5/10 ! Température secondaire : 7/12. ! Perte de charge au secondaire : 3 m CE ! Perte de charge au secondaire : 3 m CE Il est monté avec des vannes d’isolement et des thermomètres en aval.

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3.15.5) Échangeur plancher chauffant

Il est prévu la mise en place d’un échangeur plancher pour la production d’eau chaude sanitaire qui est alimenté par deux ballons primaire. Il a les caractéristiques suivantes : ! Puissance en mode chaud : 350 kW ! Débit primaire en mode chaud : 6,2 m3/h ! Débit secondaire en mode chaud : 6,2 m3/h ! Température primaire : 80/60 ! Température secondaire : 60/55 ! Perte de charge au primaire : 3,5 m CE ! Perte de charge au secondaire : 3,5 m CE Il est monté avec des vannes d’isolement et des thermomètres en aval.

3.16)3.16)3.16)3.16) POMPES CHAUFFAGEPOMPES CHAUFFAGEPOMPES CHAUFFAGEPOMPES CHAUFFAGE

3.16.1) Généralités

Les pompes seront à faible consommation électrique de classe A, permettant une variation de débit automatique, elles seront sélectionnées en ∆P constant avec ralenti de nuit et module de communication pour la permutation des pompes. Les pompes seront munies de capteurs de pression différentielle agissant sur un variateur de fréquences électroniques afin d’ajuster la vitesse au débit. Elles seront adaptées à la pression et à la température du fluide qui les traverse. Elles seront choisies sans presse-étoupe. La vitesse de rotation ne devra pas excéder 2 900 tr/mn en rotor noyé. Toutes les pompes ci-après seront du type double. Les caractéristiques des pompes sont données à titre indicatif. Le choix définitif sera fait en fonction des calculs d’exécution.

3.16.2) Pompe primaire P.A.C.

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe primaire, double corps, pour le réseau primaire glycolé, alimentant, depuis la P.A.C., l’échangeur. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 32 m3/h ! H.M.T. : 4,5 mCE ! Type : double corps à 3 vitesses ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.3) Pompe circuit basse température chaud depuis P.A.C.

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe secondaire, double corps, pour le réseau secondaire de la P.A.C. en mode chaud qui alimente les collecteurs basse température chaude. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 32 m3/h ! H.M.T. : 3,5 mCE ! Type : double corps à 3 vitesses ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

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3.16.4) Pompe circuit froid cassettes

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur les collecteurs de la P.A.C. mode froid. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 15,9 m3/h ! H.M.T. : 4,5 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.5) Pompe circuit primaire froid plancher

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur les collecteurs de la P.A.C. mode froid. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 32 m3/h ! H.M.T. : 4,5 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.6) Pompe circuit primaire température constante E.C.S. (charge)

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe double corps, pour l’alimentation du circuit température constante E.C.S. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 6,2 m3/h ! H.M.T. : 4,9 mCE ! Type : double corps à 3 vitesses ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.7) Pompe circuit primaire température constante E.C.S. (décharge)

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe double corps, pour l’alimentation du circuit température constante E.C.S. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 6,2 m3/h ! H.M.T. : 4,9 mCE ! Type : double corps à 3 vitesses ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.8) Pompe circuit température constante C.T.A.

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe double corps, pour l’alimentation du circuit température constante C.T.A.

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Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 6,6 m3/h ! H.M.T. : 5,0 mCE ! Type : double corps à 3 vitesses ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.9) Pompe circuit radiateurs

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur le collecteur départ circuit basse température. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 5,5 m3/h ! H.M.T. : 6,5 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.10) Pompe circuit primaire plancher chauffant

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur le collecteur départ circuit basse température. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 60,53 m3/h ! H.M.T. : 3,1 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.11) Pompe circuit secondaire n°1 NORD/OUEST plancher chauffant/rafraîchissant

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur le départ du circuit plancher chauffant/rafraîchissant après les échangeurs. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 15,50 m3/h ! H.M.T. : 7,1 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.12) Pompe circuit secondaire n°2 NORD/OUEST plancher chauffant/rafraîchissant

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Cette pompe est placée sur le départ du circuit plancher chauffant/rafraîchissant après les échangeurs. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 11,60 m3/h ! H.M.T. : 6,6 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.13) Pompe circuit secondaire n°3 NORD/OUEST plancher chauffant/rafraîchissant

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur le départ du circuit plancher chauffant/rafraîchissant après les échangeurs. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 10,40 m3/h ! H.M.T. : 7,9 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.14) Pompe circuit secondaire n°4 SUD/EST plancher chauffant/rafraîchissant

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur le départ du circuit plancher chauffant/rafraîchissant après les échangeurs. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 11,20 m3/h ! H.M.T. : 7,3 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

3.16.15) Pompe circuit secondaire n°5 SUD/EST plancher chauffant/rafraîchissant

Il est prévu la fourniture et la pose d’une pompe électronique à variation de débit automatique. Elle est de type double corps, isolable par deux vannes ¼ de tour et équipée d’un bipasse de prise de pression amont et aval. Cette pompe est placée sur le départ du circuit plancher chauffant/rafraîchissant après les échangeurs. Les caractéristiques techniques de cette pompe sont : ! Débit : 20,20 m3/h ! H.M.T. : 8,2 mCE ! Type : double corps à débit variable ! Marque : GRUNDFOS ! Quantité : 1.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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3.17)3.17)3.17)3.17) RÉGULATIONRÉGULATIONRÉGULATIONRÉGULATION

3.17.1) Généralités

Chaufferie La régulation est de type numérique, gérée par une G.T.B. Un PC, avec un programme de gestion des températures, des abaissements et le comptage des énergies consommées, est prévu dans la chaufferie. Toutes les vannes de régulation à deux ou trois voies sont dimensionnées de manière à obtenir des caractéristiques de réglage linéaire. Toutefois, la perte de charge au débit nominal est limitée à 1,5 mCE maxi. Ces vannes sont équipées de servomoteurs prévus pour assurer une régulation progressive du type proportionnel intégral ou proportionnel intégral dérivé. Dans tous les cas, les régulateurs doivent être adaptés aux conditions de réglage qui leur sont imposées, tant en ce qui concerne le temps de réponse que la stabilité de réglage. Il est fait impérativement usage de vannes de régulation à soupapes. Les horloges nécessaires à la sélection du régime normal réduit sont à programme journalier-hebdomadaire, à réserve de marche de 36 heures, permettant plusieurs commutations journalières. Elles sont munies, en complément, d’un système de dérogation manuel permettant de fonctionner en permanence sur le régime normal ou le régime ralenti. Solaire La pompe primaire est pilotée par un interrupteur crépusculaire avec cellule photoélectrique dont la sensibilité sera réglable de 0 à 2000 lux, à contact inverseur. La mise en fonctionnement de la pompe s'effectuera pour une intensité solaire ≥ 100 W/m2. La pompe secondaire est asservie à la pompe primaire et pilotée par un régulateur différentiel à écart réglable contrôlant l’écart de température entre l'arrivée des capteurs à l'échangeur et le bas du ballon solaire. La mise en fonctionnement de cette pompe s’effectue lorsque la température capteurs sera supérieure de 4 °C à la température du bas du ballon et s’arrêtera lorsque cet écart atteindra une valeur de l’ordre de 2 °C.

3.17.2) Régulation D.D.C. (Direct Digital Control)

Il est prévu la fourniture, la pose et le raccordement d’unités de traitement D.D.C. / U.G.L. (Direct Digital Control / Unités de gestion locales) de marque SAUTER type SYSTEME NOVA 3600. L’unité de gestion locale et les modules de terrain constituent un ensemble d’automation destiné au contrôle, à la conduite, à la régulation et la commande de l’ensemble des équipements techniques. Le système DDC de marque SAUTER dans sa configuration de base doit permettre : ! La gestion, la commande et la régulation des installations techniques. ! Le fonctionnement en autonome avec visualisation et commande locale par une unité de

dialogue, signalisation par led intégré aux modules de fonctions DI, DO, AO. ! Entrées Digitales, sorties Digitales, sorties Analogiques et étiquetage. ! La communication directe avec un PC existant, y compris les graphiques dynamiques, sera

possible ultérieurement. ! En AUTONOME, une capacité mémoire suffisante pour le stockage de toutes les informations

gérées par l'UGL, la gestion d'une banque de données historiques pour une durée minimale d'une semaine.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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! La détection et l'affichage des alarmes (14000 évènements horodatés en interne). ! La gestion d'un programme temporel et d'un calendrier possible sur deux ans, pour chaque

adresse de commande et de régulation. ! Un dispositif optique de diodes permettra de contrôler si les sous-stations reçoivent et émettent

correctement les signaux nécessaires. ! Une protection contre la foudre et une résistance aux surtensions. Calculateur de l’unité de gestion localeCalculateur de l’unité de gestion localeCalculateur de l’unité de gestion localeCalculateur de l’unité de gestion locale L'UGL est construite autour d'un microprocesseur de 32 bits minimum avec possibilité d'adressage sur 32 et 64 bits en virgule flottante. La mémoire vive (RAM) et la mémoire morte programmable (EPROM) doivent gérer toutes les fonctions de l'UGL. La mémoire vive est secourue par une batterie au lithium pour une durée minimale de 10 ans. Les unités de gestions des différents équipements seront synchronisées au niveau de l'horloge interne. Entrées et sortiesEntrées et sortiesEntrées et sortiesEntrées et sorties Les contacts libres de potentiel pour les sorties binaires sont dimensionnés au minimum pour 230 Volts - 2 A, sans interface supplémentaire. Les signaux d'entrées analogiques seront de type NI 1000, Pt 1000, 0/10 V, 0,4- 20 Ma permettant une précision de réglage sur une résolution 32 bits. Le temps de scrutation des points analogiques doit être inférieur à 2 secondes2 secondes2 secondes2 secondes, avec une possibilité de scrutation rapide sur certains points analogiques. Le temps de scrutation d'états binaires est inférieur à 100 ms. Chaque entrée binaire est signalée par une LED bicolore verte et rouge intégrée à l'UGL. La couleur choisie par logiciel en fonction du type de point (alarme = rouge, état ou rétro signalisation = vert). A chaque point, il est possible de placer une ou plusieurs limites minimales et maximales paramétrables en tout temps qui génèrent un message d'alarme ou une réaction système. Les modules de fonction intègrent les fonctions de secours en cas de rupture de l’unité centrale. Ils assurent la fonction de bornier intelligent en réduisant les coûts d’installation en assurant les fonctions manuelles de secours. Placés directement dans l’armoire de commande, ils permettent les fonctions de commutation et de positionnement assurant de manière claire les tâches, en fonctionnement prioritaire, les tensions présélectionnées par les potentiomètres sont appliquées aux sorties. ModificationsModificationsModificationsModifications Les modifications de programme permettent également de commander, visualiser l'ensemble des points programmés et reliés. Un module de service en langage clair est commun pour l’ensemble des points et paramètres reliés (chaudières et circuits secondaires). Plusieurs niveaux d'accès sont possibles suivant les autorisations de l'intervenant. Le contrôle panel NOVA 240 permet de visualiser localement les informations souhaitées sur les valeurs et états du processus. Des ordres de commutation et de réglages ou des programmes horaires peuvent être modifiés. La manipulation est guidée par menus déroulants, à l’aide de 6 touches à effleurement. Le display rétro éclairé dispose de 8 lignes de 21 caractères.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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L’ensemble des points de données et attributs étant résidant dans l’unité de gestion, aucune programmation n’est nécessaire. ProgrammeProgrammeProgrammeProgramme Les programmes de régulation P, PI, PID, comptage, calculs, valeurs limites, surveillance, etc. doivent réduire la consommation en énergie des installations de chauffage, cascade chaudières, régulation des circuits, contrôle des pompes doubles avec permutation sur défaut moteur et sur temps de fonctionnement. Blocs de fonctionsBlocs de fonctionsBlocs de fonctionsBlocs de fonctions Les boucles de régulation peuvent être de type P, PI, PID, P+PI et les algorithmes incrémentiels incorporés dans le micro logiciel, les fonctions rampe, filtre, séquenceur, niveau de priorité, maximum et minimum, timer, etc. doivent pouvoir être associés. Pour les calculs arithmétiques et mathématiques, le programme doit supporter la panoplie des opérations courantes et indispensables : +, -, x 2, log, sin, cos, tg, etc. Les fonctions logiques SI, ET, OU, NON, INVERSE, =, sup, inf, etc. Modules de terrainModules de terrainModules de terrainModules de terrain DIDIDIDI :::: Permet la saisie et la signalisation de 16 informations digitales de contacts libres de potentiel

d’optocoupleurs ou de transistors. Il est utilisé en temps que borne intelligente et comporte pour chaque entrée digitale une zone d’annotation avec signalisation par LED. AOAOAOAO :::: Le module permet de délivrer 4 signaux de réglage 0/10V. L’unité est pourvue d’éléments optiques, de signalisation et d’éléments manuels pouvant être

utilisés en tant que commande manuelle locale. DODODODO :::: Les modules sont de deux ordres O/1 et O/1/2 par bloc de 4 fonctions. Les modules disposent de LED de signalisation intégrés par fonction, ainsi que d’éléments de

dérogation manuelle intégrée, en tant que dérogation locale. AIAIAIAI :::: On doit pouvoir utiliser des sondes actives ou passives. Plages admises 0/10 Volts, 0/20 Ma, 0-2000 Ohms. Les paramètres de conversion sont définis par logiciel.

3.17.3) Description de l’architecture du système

Le système de marque SAUTER type EY 3600 proposé, repose sur une organisation découpée en grandes fonctions hiérarchisées : ! Les sous-systèmes de terrain d'acquisition des données et de gestion des équipements en

temps réel dialoguent avec le serveur frontal de communication intégré dans le PC ou le poste de conduite.

! Les équipements SAUTER REGULATION. ! Les postes opérateurs assurent les dialogues homme / machine. Le réseau à haut débit assure la connexion entre le poste opérateur existant et ces réseaux de communication de terrain. Systèmes d’acquisitionSystèmes d’acquisitionSystèmes d’acquisitionSystèmes d’acquisition Ces systèmes sont chargés de scruter les capteurs élémentaires, d’exécuter les fonctions locales ou réflexes d’exploitation. Rôle des équipementsRôle des équipementsRôle des équipementsRôle des équipements Les unités de gestion locales de marque (UGL) SAUTER ont la charge de piloter tous les procédés hydrauliques, aérauliques décrits dans le DCE GTB. Elles ont également la possibilité de prendre en charge la gestion des points électriques disponibles dans les différents tableaux répartis sur le site.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Caractéristiques principales d'une Caractéristiques principales d'une Caractéristiques principales d'une Caractéristiques principales d'une UGLUGLUGLUGL ! Processeur 32 bits ! Communication inter automate ! Base de données locales ! Gestion de ses propres grilles horaires (sur 2 ans) ! Archivage local de 14000 évènements horodatés (archivage évènementiel) ! Modules d’automatisme, de régulation, de calcul ! Fixation sur rail DIN ! Raccordement local d’un module de visualisation et de commande par prise RJ11 ! Protection contre les surtensions. Principales caractéristiques du bus «Principales caractéristiques du bus «Principales caractéristiques du bus «Principales caractéristiques du bus « novaNetnovaNetnovaNetnovaNet »»»» ! Topologie libre, 2*0,8 mm Cu torsadé : possibilité de boucler le bus de communication ou bien

de partir en étoile sur des colonnes, etc. ! Protection anti-foudre par varistances Zn02. ! Communication inter automate : il n’est plus nécessaire de passer par le superviseur ou un

frontal de communication pour échanger des informations entre deux équipements du réseau.

! Vitesse de transmission 19200 bauds (32 bits) de type ÉVÉNEMENTIEL.... Poste de supervisionPoste de supervisionPoste de supervisionPoste de supervision Fonctionnalités novaPro32 (existant) : ! Gestion des alarmes :

• Les alarmes sont émises spontanément des UGL vers les superviseurs ou les imprimantes si celles-ci sont raccordées sur le bus novaNet (via nova230).

! Traitement des historiques : • Les historiques sont effectués dans les UGL et/ou par le superviseur. Les données sont

visualisables sous forme de courbes, de listes avec un certain nombre de fonctions associées (zoom, etc.).

! Navigation graphique conviviale : • La navigation graphique sur le poste de conduite s’effectue par de simples clics souris sur

les synoptiques de procédés ou de navigation. • Gestion des astreintes • Edition de journaux.

! Routage d’évènements vers : • Alphapage • E-Mail • Fax.

3.17.4) Mise en service de la G.T.B.

Le Titulaire doit la mise en service des équipements, par des techniciens SAUTER, en coordination avec les techniciens des autres corps d’état concernés. Les tâches suivantes de mise en service sont assurées : ! Vérification de la conformité du matériel avec les spécifications. ! Vérification de leur bonne implantation. ! Contrôle de la continuité des lignes. ! Contrôle des raccordements et des mises à la terre. ! Contrôle et adaptations éventuelles du paramétrage des logiciels. ! Vérification du fonctionnement et de la programmation des unités de gestion locales. ! Vérification du fonctionnement des asservissements et automatismes définis dans la gestion

technique. ! Mise en service des unités locales pour les installations de production d'énergie. Un dossier final G.T.B. a constitué de tous les éléments suivants : ! Liste de tous les points G.T.B. ! Schémas d’architecture définitifs. ! Schémas de raccordement.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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! Analyses fonctionnelles. ! Listing du paramétrage des logiciels / sauvegarde sur disquettes. ! Bibliothèque de symboles graphiques. ! Documentations techniques sur le matériel utilisé. ! Documentation générale. Les programmes sont réalisés à l’aide du logiciel CASE (Computer Aided Sauter Engineering). Fonctions essentielles : ! Établissement des schémas de principe. ! Réalisation des diagrammes fonctionnels. ! Schémas de câblage des équipements. ! Documentation des programmes générés. ! Utilitaire de mise en service des installations. Le dossier final des travaux GTB est constitué des éléments suivants : ! Liste de tous les points d’information. ! Schémas d’architecture définitive. ! Schémas de raccordement. ! Analyses fonctionnelles. ! Listing du paramétrage des applications. ! Documentation technique du matériel utilisé. ! Procès-verbaux de réception.

3.17.5) Description du système

Le système est de marque SAUTER type EY 3600 et permettra de réguler, de commander et de contrôler les installations techniques du bâtiment. La famille du système EY3600EY3600EY3600EY3600 comporte les composants suivants : ! Unités de gestion locales EY3600 novaEY3600 novaEY3600 novaEY3600 nova ! Système de régulation de locaux individuels EY3600 ecosEY3600 ecosEY3600 ecosEY3600 ecos ! Niveau de management avec logiciel d'exploitation du système EY3600 novEY3600 novEY3600 novEY3600 novaaaaPro32.Pro32.Pro32.Pro32. Les unités locales librement programmables de hiérarchie équivalente échangent les données en intercommunication (point à point) et transposent le concept de "l'intelligence répartie" dans la pratique. Les modules déportés appliquent ce concept et réduisent par leurs fonctions les frais d'installation en tant que borniers logiques. Complétés par des fonctions manuelles et de secours et disposés à proximité des informations de commande et de régulation, ils assurent la clarté des fonctions de réglage. Les modules de contrôle et de visualisation mobiles ne nécessitant aucune programmation permettent de visualiser et de modifier localement les informations souhaitées. Évènements et protocoles peuvent être transmis selon des horaires et avec des priorités à différentes destinations telles qu'imprimantes, e-mail, fax, pager, système de recherche de personnes, etc. Les unités de gestion locales nova215, nova225, , , , nova106 permettent de commander les modules déportés installés. Ceux-ci assument la fonction de "bornier intelligent" et réduisent ainsi considérablement les coûts d'installation. Pourvus des fonctions manuelles et de secours et placés là où des informations de commutation et de positionnement sont nécessaires, ils assurent de manière claire des tâches toujours plus complexes. Les LED vertes (Power LED) indiquent un raccordement correct et clignotent lors de fonctionnement prioritaire/Watchdog ou secouru.

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Les appareils novaLink164, novaLink165 et novaLink170 permettent le passage en service secouru dès que le télégramme de terrain novaLink ne délivre plus de tension d'alimentation. L'alimentation de secours provient directement d'un transformateur 24 V~ ou indirectement de l'appareil alimentation secourue (EYZ 101 F001) et est raccordée aux bornes 31/32. Le passage en fonctionnement Watchdog ou prioritaire selon le codage des ponts, (pont fermé priorité, pont ouvert Watchdog), s'effectue dès que la borne 3 est au potentiel de la masse ou que le télégramme de terrain novaLink est en défaut. En fonctionnement prioritaire, les tensions présélectionnées par les potentiomètres ou les niveaux de commutation présélectionnés par les commutateurs DIP seront appliqués aux sorties. En fonctionnement Watchdog, les tensions présélectionnées par les potentiomètres ou les niveaux de commutation présélectionnés par les commutateurs DIP seront appliqués aux sorties uniquement sur position automatique du commutateur manuel. Les modules déportés peuvent être montés en armoire en tant qu'unités déportées au moyen de profilés EN 50022 (par ex. lors de la séparation de la puissance et de la partie DDC dans une armoire) ou montés directement sur les équipements de l'installation. La liaison dénommée novaLink entre les unités de gestion locales et les modules déportés est réalisée par une paire torsadée blindée mise à la masse des deux côtés. EY3600 novaLink est une liaison "point à point" pour chaque unité. La distance maximale entre les UGL et le module déporté est de 100 m (< 5 nF / 12 Ω) pour les applications avec du câble standard, du câble spécial est nécessaire pour de plus grandes distances. Les régulateurs individuels d'ambiance de la famille EY3600 ecos utilisent le même bus et le même microprocesseur 32 bits que les unités de gestion locales et sont donc entièrement intégrables à l'ensemble du système. Les régulateurs individuels d'ambiance ecos201 et ecos202 assurent la régulation individuelle de la température, de la qualité de l'air ou de l'humidité dans les locaux individuels en fonction des conditions ambiantes. Les appareils ecos205 et ecos206 sont équipés d'un capteur statique de pression différentielle et assurent la régulation de débit volumique dans les locaux individuels. Le mode de fonctionnement est librement programmable dans le régulateur individuel d'ambiance DDC. Chacun des régulateurs individuels d'ambiance DDC est raccordé au boîtier d'ambiance correspondant par une interface 3 fils. Le réseau de communication se caractérise par une structure simple et une haute résistance aux perturbations. La communication entre les participants est réalisée par le bus de système EY3600 novaNet. Un participant peut être une unité de gestion locale, un régulateur individuel d'ambiance DDC ou un PC. La structure de EY3600 novaNet correspond aux normes internationales de modèles de couches OSI. Spécifications EY3600 novaNet : ! 1 paire, torsadée, blindage recommandé ! Résistance de boucle max. : 300 Ω ! Capacité max. : 200 nF ! dont capacité de chaque UGL : 0.6 nF ! Durée du signal : max. 30 µsec ! Vitesse de transmission : 19200 bauds ! Largeur de données : 32 bits

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! Câble de transmission standard : par ex. Uninet G87, classe V (résistance de

boucle 130 Ω / km, capacité 42 nF/km) ! Capacité : 141 UGL, 2,5 km. Une interface universelle permet d'échanger des données avec des systèmes non Sauter ou des sous-systèmes au niveau de l'automatisme.

3.17.6) Analyse fonctionnelle

Le Titulaire doit la mise en œuvre de tout le matériel permettant de répondre à l’analyse fonctionnelle du projet. Mode chaud jusqu’à 0°C extérieurMode chaud jusqu’à 0°C extérieurMode chaud jusqu’à 0°C extérieurMode chaud jusqu’à 0°C extérieur :::: La production de chaud est assurée par la P.A.C. air/eau sur un régime modulant en fonction de la température extérieure : ! La pompe primaire de la P.A.C. s’enclenche ! La P.A.C. démarre ! Les vannes trois voies de bipasse mode chaud ou mode froid sont en mode chaud, plus

d’irrigation des collecteurs froids ! Démarrage des pompes des circuits radiateurs, échangeur chaud plancher et plancher

chauffant. ! Le circuit radiateur régule sur une loi de chauffe en fonction de la température de retour et de

la température extérieure ! Les circuits plancher chauffant régulent sur une loi de chauffe en fonction de la température

de retour, de température de sol par circuit et de la température extérieure. Mode chaud pour des températureMode chaud pour des températureMode chaud pour des températureMode chaud pour des températuressss inférieureinférieureinférieureinférieuressss à 0°C extérieurà 0°C extérieurà 0°C extérieurà 0°C extérieur :::: Quand la température de retour des circuits n’est plus satisfaite ou que la température extérieure est inférieure à 0°C : ! La P.A.C. s’arrêt ! La pompe primaire P.A.C. s’arrête ! Les vannes trois voies de bipasse mode chaud ou mode froid sont en mode froid, plus

d’irrigation des collecteurs chauds ! La chaudière démarre ! Démarrage des pompes des circuits radiateurs, échangeur chaud plancher et plancher

chauffant. ! Le circuit radiateur régule sur une loi de chauffe en fonction de la température de retour et de

la température extérieure ! Les circuits plancher chauffant régule sur une lois de chauffe en fonction de la température

de retour, de température de sol par circuit et de la température extérieure. Production d’E.C.S.Production d’E.C.S.Production d’E.C.S.Production d’E.C.S. A chaque fois qu’il y a demande d’ECS : ! La chaudière démarre ! La pompe primaire ECS démarre ! La pompe secondaire ECS démarre ! La production d’eau chaude par l’échangeur fournir l’eau chaude à la température de

consigne ! L’énergie solaire et privilégié dans les demandes d’ECS par la prise dans les ballons solaire de

décharge par la mise en service de la pompe solaire de décharge ! La température sur le primaire de l’échangeur de décharge est comparée avec la

température sur le secondaire de l’échangeur de décharge (température de l’eau froide. ! Si la température de stockage solaire est supérieure de 5°C à la température de l’eau froide, la

pompe solaire de décharge continue à fonctionner ! Si la température de stockage solaire est inférieure ou égale à la température de l’eau froide,

la pompe solaire de décharge arrête de fonctionner

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Production d’E.C.S. solaireProduction d’E.C.S. solaireProduction d’E.C.S. solaireProduction d’E.C.S. solaire ! Un interrupteur crépusculaire à contact inverseur réglable de 2 à 2000 lux (réglage à 1000 lux

environ) avec temporisation de 80 s à l'enclenchement et à la coupure, voyant de contrôle, cellule photoélectrique. Il est installé en toiture en veillant à ne pas être dans une zone d’ombre de jour et éclairée la nuit.

! L'interrupteur est installé dans le coffret de commande, il est raccordé en 230 V monophasé, protégé par fusibles.

! L'interrupteur crépusculaire pilotera la mise en service de la pompe primaire. ! Son contact fermé par élévation de l'intensité lumineuse est raccordé en série avec la phase

d'alimentation de la bobine du contacteur et du régulateur différentiel. ! Un régulateur différentiel à affichage digital avec sonde « froide » à plongeant, fixée par doigt

de gant sur piquage bas du ballon solaire et sonde "chaude" à plongeant, fixée sur la canalisation de retour des capteurs à l'échangeur.

! Il pilote la mise en service de la pompe secondaire par l’alimentation de la bobine du contacteur.

Mode froidMode froidMode froidMode froid En cas de forte chaleur les utilisateurs peuvent passer en mode froid par une simple action sur le programme de la G.T.C. traduit par une commande mode froid : ! Action sur le synoptique de G.T.C., sur le P.C., en lançant le programme mode froid ! La pompe primaire de la P.A.C. s’enclenche ! La P.A.C. démarre en mode eau glacée ! Les vannes trois voies de bipasse mode chaud ou mode froid sont en mode froid, plus

d’irrigation des collecteurs chauds ! Démarrage des pompes des circuits plancher rafraîchissant. ! Les circuits plancher chauffant régulent sur une loi de froid en fonction de la température de

retour, de température de sol par circuit, de la température extérieure et de l’hygrométrie ! En complément du plancher rafraîchissant si la diffusion du froid par le plancher ne suffit pas,

par une commande local les utilisateurs pourront solliciter l’aide de la diffusion de froid par les cassettes

! Cette action enclenchera la circulation de la pompe du circuit cassette et la régulation par local des cassettes par action sur les vannes trois voies

! La diffusion du froid est assurée par des cassettes régulées par leur sonde de reprise et leur thermostat d’ambiance.

Ventilation et surVentilation et surVentilation et surVentilation et sur----ventilationventilationventilationventilation Les locaux lieux de vie, salle à manger et buanderie sont équipés de centrale de traitement d’air double flux : ! Le fonctionnement de base est la ventilation de ces locaux en ½ débit règlementaire ! Avec une commande locale les utilisateurs peuvent passer en sur-ventilation avec le débit

règlementaire ! Lors de grosse chaleur, quand la température extérieure est inférieure à la température

intérieure et que cette température est supérieure à 25 °C les centrales de traitement d’air double flux passent en mode sur-ventilation de nuit entre 22h00 et 5h00.

Fonctionnement cuisineFonctionnement cuisineFonctionnement cuisineFonctionnement cuisine Lors de l’utilisation de la cuisine les utilisateurs enclenche le fonctionnement de la hotte : ! La mise en fonctionnement de la hotte entraine : ! La mise en fonctionnement de la centrale de traitement d’air simple flux. ! La température de soufflage est régulée par une vanne trois voies et la sonde de reprise. ! L’arrêt de la hotte entraine l’arrêt de la C.T.A. cuisine. ! Une commande locale fait passer la hotte d’extraction en désenfumage, cette fonction

n’enclenche pas la compensation d’air. Fonctionnement plongeFonctionnement plongeFonctionnement plongeFonctionnement plonge ! La mise en fonctionnement de la plonge entraine : ! La mise en fonctionnement de la centrale de traitement d’air simple flux ! La température de soufflage est régulée par une vanne trois voies et la sonde de reprise ! L’arrêt de l’extraction plonge entraine l’arrêt de la C.T.A. plonge

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Fonctionnement buanderieFonctionnement buanderieFonctionnement buanderieFonctionnement buanderie ! La mise en fonctionnement de la buanderie entraine : ! La mise en fonctionnement de la centrale de traitement d’air simple flux ! La température de soufflage est régulée par une vanne trois voies et la sonde de reprise ! L’arrêt de l’extraction buanderie entraine l’arrêt de la C.T.A. double flux de la buanderie. Les mesures effectuées (débits - températures) permettront de connaître : ! L’énergie solaire utile égale au produit du débit par l’écart de température entre TSS et TEF. ! L’énergie d’appoint utile égale au produit du débit par l’écart de température entre TSA et TSS. La mesure de la température d’arrivée des capteurs à l’échangeur (TSC) et le contrôle de l’état des circulateurs permettent de vérifier à tout instant le fonctionnement de l'installation.

3.18)3.18)3.18)3.18) CORPS DE CHCORPS DE CHCORPS DE CHCORPS DE CHAUFFEAUFFEAUFFEAUFFE

3.18.1) Radiateurs

Il est prévu la mise en place de radiateurs acier fonctionnant avec une pression de service de 4 bars. Les radiateurs sont de modèle vertical ou horizontal revêtus d’une peinture poudre époxy polyester blanche et seront livrés recouverts d’une protection. En cas de détérioration de la peinture, les retouches rendues nécessaires sont réalisées. Les consoles sont en nombre suffisant et conformes aux normes du constructeur, elles sont livrées de la même peinture que les radiateurs. Les radiateurs ont des émissions conformes à la norme NF EN 12 831 et sont conformes à la norme NFP 52.011 et EN 442. Ils sont de marque ACOVA type FASSANE.

3.18.2) Montage des corps de chauffe

En règle générale, les radiateurs sont posés sur pieds ou sur consoles en allège des fenêtres. Dans le cas de parois avec isolation intérieure par polyplaques (polystyrène + plâtre), l’entrepreneur doit l’installation, avant la pose du revêtement d’entrecroises en acier, coupé dans un fer U ou exécuté spécialement pour les dimensions hors standard. En cas de parois légères, les radiateurs sont posés sur pieds pour les radiateurs verticaux et en plinthe, et fixés sur bâti-supports placés dans les cloisons pour les autres radiateurs. Les radiateurs en allège sont placés afin de positionner la partie supérieure à une hauteur minimale ou égale à 45 cm de haut pour éviter tout appui instable.

3.18.3) Peinture

L’entrepreneur doit prévoir la dépose et la repose des radiateurs pour travaux de peinture.

3.18.4) Robinetterie

Sur les départs : Il est prévu un robinet thermostatique corps finition nickelée, à forte pression de rappel, celui-ci doit être de 5 bars minimum avec tige de commande de 2 mm et de tête sonde commande intégrée à dilatation de liquide, de couleur blanche avec anneau antivol, ils sont de marque OVENTROP OVENTROP OVENTROP OVENTROP type Rf et type UNI LHUNI LHUNI LHUNI LH, ou techniquement équivalent, quel que soit le type de radiateur. Dans les locaux avec deux radiateurs, un radiateur sur deux, il est prévu un robinet à simple réglage à pointeau micrométrique finition nickelée, quel que soit le type de radiateur, il sont de maque OVENTROP OVENTROP OVENTROP OVENTROP type HRVHRVHRVHRV.

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Sur le retour de tous les radiateurs : Il est prévu une unité de réglage à mémoire finition nickelée de marque OVENTROPOVENTROPOVENTROPOVENTROP type COMBI 2COMBI 2COMBI 2COMBI 2 et pour tous les radiateurs un robinet de vidange et de purgeurs d’air à clé.

3.19)3.19)3.19)3.19) CHAUFFAGE PAR LE SOLCHAUFFAGE PAR LE SOLCHAUFFAGE PAR LE SOLCHAUFFAGE PAR LE SOL

3.19.1) Généralités

Le chauffage par le sol des locaux suivant plans, est réalisé par des tubes en polyéthylène réticulés noyés dans la chape (hors lot) et assurant le chauffage statique et le rafraîchissement. Les installations de chauffage par le sol sont réalisées conformément aux indications du D.T.U. 65.8.

3.19.2) Principe

Les installations de chauffage par le sol seront réalisées conformément aux indications du D.T.U. 65.8. Joints de construction des bâtimentsJoints de construction des bâtimentsJoints de construction des bâtimentsJoints de construction des bâtiments On entend par joint de construction, un joint de gros œuvre où toute l'épaisseur de la dalle, y compris l'armature est interrompue. Les joints de construction des bâtiments ne doivent pas être franchis par des éléments de chauffage. Joints de fractionnementJoints de fractionnementJoints de fractionnementJoints de fractionnement des dallesdes dallesdes dallesdes dalles On entend par joint de fractionnement un joint où, seule, une partie de l'épaisseur de la dalle est interrompue. Il est admis que les tubes puissent passer sous un joint de fractionnement, à condition que toutes les précautions soient prises pour que les tubes ne soient pas détériorés. En cas de réalisation des joints de fractionnement après coup, il est impératif, pour ne pas endommager les tubes, de respecter les profondeurs de sciage. Ces profondeurs, ainsi que le positionnement du tube dans la dalle font partie des documents à fournir indiqués dans le Cahier des Clauses Spéciales. Les surfaces entre joints de fractionnement ne doivent pas dépasser 40 m², la plus grande longueur étant toutefois inférieure à 8 m. Joints de dilatation des dalJoints de dilatation des dalJoints de dilatation des dalJoints de dilatation des dalles désolidariséesles désolidariséesles désolidariséesles désolidarisées Les joints de dilatation servent à compenser les variations dimensionnelles des dalles (dues essentiellement aux variations de température). Ils traversent toute l'épaisseur de la dalle. Dans la mesure du possible, il faut éviter de traverser les joints de dilatation. Dans le cas contraire, les tubes doivent être protégés par un fourreau ou un manchon en matériau compressible (du type alvéolaire) d'une longueur de 30 cm de part et d'autre du joint et d'un diamètre égal à 2 fois le diamètre extérieur du tube. Seules les canalisations aller et retour peuvent traverser le joint de dilatation ; le serpentin lui-même ne le traverse pas. Le présent lot aura à sa charge la fourniture et la pose des tubes en polyéthylène, du film en polyéthylène épaisseur 5 microns, de l'isolation en plaques à plots (polystyrène) épaisseur 68 à 98 mm, compris adjuvant sur toute la surface du bâtiment.sur toute la surface du bâtiment.sur toute la surface du bâtiment.sur toute la surface du bâtiment. ! Résistance thermique mini de 2,10 m²°C/W sur les dalles basses du RdC et R+1. ! Résistance thermique mini de 0,75 m²°C/W sur les dalles bases du R+2 ; R+3 et R+4. Les prestations suivantes sont à la charge du présent lot : ! Adjuvant :

• Pour la confection de la dalle, il y a lieu d’utiliser l’adjuvant comme entraîneur d’air dosé à 80 g par 50 kg de ciment.

! Relevé de plinthes autocollantes posées en périphérie de l’ensemble des locaux.

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! Film polyéthylène posé sur l’isolant avec remontée en bordure sur le relevé de plinthes (15 cm)

Épaisseur : 15/100e en largeur de 1,50 m. ! Isolation thermique à plots :

• Les produits devront être conformes aux normes en vigueur (caractéristiques ACERMI) modèle à plots d’une résistance de 2,1 m².K/W avec une épaisseur de 68/98 mm et d’une résistance de 0,75 m².K/W avec une épaisseur de 24/54 de classe I (résistance à l'écran), le titulaire du présent lot doit la fourniture et la pose de cet isolant thermique sur toute la surface des locaux avec chauffage réversible par le sol et sur les zones des locaux de sommeil afin d’assurer l’isolation thermique.

! Tubes PER : • Les tubes sont impérativement en polyéthylène réticulé haute densité, recouverts d’une

barrière anti - oxygénation. • Diamètre nominal 13 x 16.

! Collecteurs modulaires en matériau de synthèse : • Collecteur rouge pour le départ équipé de vannes motorisées. • Collecteur bleu pour le retour équipé d’un débitmètre à lecture directe.

! Chaque circuit est muni sur le départ et le retour d'une vanne d'isolement à boisseau sphérique, d'un organe d'équilibrage des débits sur les retours, de purgeurs d'air automatiques et de thermomètres à alcool.

Un treillis métallique est mis en œuvre, suivant la nature de la chape. L'entrepreneur général doit également la fourniture des bandes de polystyrène épaisseur 8 mm pour les joints de dilatation et les relevés sur le périmètre des murs. Les travaux sont réalisés suivant les recommandations du COCHEBAT (spécifications techniques) et des D.T.U. 26.2, 52.1, 65.6. La résistance thermique du revêtement de sol ne doit pas dépasser 0,15 m².K/W. L’ensemble des panneaux est réalisé avec des tubes PER 13 x 16. Le plancher chauffant est de marque REHAU ou techniquement équivalent. Le titulaire du présent lot doit prévoir dans son offre tout moyen nécessaire à la mise en chauffe de la chape où est intégré son plancher chauffant, conformément au D.T.U. 65.14 P2 cité ci-dessous : « Cette opération ne doit être faite qu'au moins 14 jours après la réalisation de la dalle. La première mise en chauffe commence avec un fluide à une température comprise entre 20 °C et 25 °C qui doit être maintenue pendant au moins trois jours. Ensuite, la température maximale de service doit être atteinte et maintenue pendant au moins quatre jours supplémentaires. NOTE 1NOTE 1NOTE 1NOTE 1 :::: Ce mode de mise en chauffe a pour conséquence une montée de température progressive de l'enrobage. NOTE 2NOTE 2NOTE 2NOTE 2 :::: La température maximale de service est la température de départ calculée dans les conditions de base. Les opérations de mise en chauffe et de préchauffage doivent faire l'objet de procès-verbaux. Les planchers chauffants recevant un revêtement scellé désolidarisé peuvent s'affranchir de la première mise en chauffe ». Cette action doit obligatoirement être réalisée avant la programmation de la pose du revêtement de sol. Pour ce faire, le Titulaire a à sa charge et à ses frais la mise en œuvre de tous moyens nécessaires à cette action : ! Utilisation des installations de régulation définitive. ! Utilisation de la production d’énergie définitive. ! Utilisation de moyen extérieur provisoire (tel que chauffe-eau électrique ou et régulateur

provisoire).

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3.20)3.20)3.20)3.20) CENTRALES DE TRAITEMCENTRALES DE TRAITEMCENTRALES DE TRAITEMCENTRALES DE TRAITEMENT DENT DENT DENT D’AIR DOUBLE FLUX’AIR DOUBLE FLUX’AIR DOUBLE FLUX’AIR DOUBLE FLUX

3.20.1) Généralités

Les vestiaires au R-1, la salle à manger des familles, la salle à manger des pensionnaires, la salle polyvalente/activités, la salle de réunion, la buanderie et les lieux de vie sont équipés, chacun, d’une centrale double flux construite en tôle d’acier galvanisée, garnie de nappes de laine de minérale, panneaux d’habillage à emboîtement démontable, amovibles, sans ponts thermiques, étanche à l’air et à l’eau. Les centrales de traitement d’air double flux sont placées dans les combles et posées sur des socles anti-vibratiles. L’isolation thermique et acoustique est de classe MO, les panneaux d’habillage auront une épaisseur de 35 mm, une conductivité thermique de 0,04 W/mK, un coefficient de transmission thermique de 0,91 W/m²K, une résistance au passage de chaleur de 1,10 m²K/w et une isolation acoustique Rw selon DIN 52210 de 33 dB. Le cadre de structure est réalisé par des tubes carrés en acier soudé et galvanisé, équipé de portes de visites à verrous tournants sur le côté d’accès et d’anneaux de levages. La centrale comprend : ! 1 section filtre avec cadre G4, registre extérieur et porte de visite filtre à poche sur l’air neuf. ! 1 section filtre à poche F7 sur glissières accessible par la face démontable de la centrale et

porte de visite sur l’air neuf. ! 1 échangeur à roue avec un rendement de 90%. ! 1 caisson de ventilation au soufflage équipé d'un ventilateur radial à double ouïe et aubes

inclinées vers l’avant en acier galvanisé : " Roue équilibrée statiquement et dynamiquement. " Liaison élastique entre le ventilateur et le caisson. " Portes de visite à double paroi et verrous tournants. " Ventilateurs montés sur plots antivibratiles dans le caisson, fixés sur traverse diagonale

rigide. " Entraînement par moteur électrique à une vitesse, triphasé 400 V : 50Hz et courroies

trapézoïdales. " Moteurs montés sur plots antivibratiles dans le caisson, fixés sur traverse diagonale

rigide. ! 1 section rejet avec porte de visite. ! 1 caisson batterie chaud, en tube cuivre de 1 mm d’épaisseur minimum, avec ailettes en

aluminium. ! 1 caisson piège à sons placé à la reprise avec baffes en fibre minérale, cadre en acier

galvanisé et revêtement imprégné hydrofuge et résistant à l’abrasion, non inflammable selon la norme DIN 4102.

! 1 caisson de ventilation au rejet équipé d'un ventilateur radial à double ouïe et aubes inclinées vers l’avant en acier galvanisé.

! 1 caisson de ventilation au soufflage équipé d'un ventilateur radial à double ouïe et aubes inclinées vers l’avant en acier galvanisé.

Les caissons de ventilation ont : ! Roue équilibrée statiquement et dynamiquement. ! Liaison élastique entre le ventilateur et le caisson. ! Portes de visite à double paroi et verrous tournants. ! Ventilateurs montés sur plots antivibratiles dans le caisson, fixés sur traverse diagonale rigide. ! Entraînement par moteur électrique à deux vitesses, triphasé 400 V : 50Hz et courroies

trapézoïdales. ! Moteurs montés sur plots antivibratiles dans le caisson, fixés sur traverse diagonale rigide. ! Sonde antigel. ! Registre motorisé antigel compris tringlerie - Manchettes souples à l’aspiration et au soufflage

de la centrale en toile plastifiée.

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Ils comprennent tous les accessoires de raccordement et de manchettes. NotaNotaNotaNota : Le Titulaire doit le déplacement des sondes antigel, fournies par le fabricant de la

centrale, à l’intérieur de toutes les centrales de traitement d’air. Le déplacement de cette sonde étant nécessaire pour un bon fonctionnement de celle-ci.

3.20.2) Caractéristiques C.T.A. coté cage A

! Débit d’air : 1 980 / 3 960 m3/h ! Vitesse régulée : par régulateur électronique à variateur ! Pression statique : 305 Pa ! Température d’entrée d’air neuf : - 15 °C ! Température de soufflage : + 30 °C ! Température de reprise : + 22 °C ! Rendement de l’échangeur : 90 %

3.20.3) Caractéristiques C.T.A. coté cage B

! Débit d’air : 2 675 / 5 350 m3/h ! Vitesse régulée : par régulateur électronique à variateur ! Pression statique : 360 Pa ! Température d’entrée d’air neuf : - 15 °C ! Température de soufflage : + 30 °C

3.20.4) Caractéristiques C.T.A. buanderie

! Débit d’air : 705 / 1 500 m3/h ! Vitesse régulée : par régulateur électronique à variateur ! Pression statique : 310 Pa ! Température d’entrée d’air neuf : - 15 °C ! Température de soufflage : + 30 °C ! Température de reprise : + 22 °C ! Rendement : 90 %

3.20.5) Caractéristiques C.T.A. salle de réunion niveau 1

! Débit d’air : 175 / 350 m3/h ! Vitesse régulée : par régulateur électronique à variateur ! Pression statique : 260 Pa ! Température d’entrée d’air neuf : - 15 °C ! Température de soufflage : + 30 °C ! Température de reprise : + 22 °C ! Rendement : 90 %

3.21)3.21)3.21)3.21) CENTRALE DE CENTRALE DE CENTRALE DE CENTRALE DE TRAITEMENT D’AIR SIMTRAITEMENT D’AIR SIMTRAITEMENT D’AIR SIMTRAITEMENT D’AIR SIMPLE FLUXPLE FLUXPLE FLUXPLE FLUX

3.21.1) Généralités

La cuisine et la plonge sont équipées d’une centrale de traitement d’air simple flux asservie au fonctionnement de la hotte et de l’extraction. Elles sont construites en tôle d’acier galvanisée garnie de nappes de laine de minérale, panneaux d’habillage à emboîtement démontable, amovibles, sans pont thermique, étanche à l’air et à l’eau.

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L’isolation thermique et acoustique est de classe MO, les panneaux d’habillage auront une épaisseur de 25 mm, une conductivité thermique de 0,04 W/mK, un coefficient de transmission thermique de 0,91 W/m²K, une résistance au passage de chaleur de 1,10 m²K/w et une isolation acoustique Rw selon DIN 52210 de 33 dB. Le cadre de structure sera réalisé par des tubes carrés en acier soudé et galvanisé, équipé de portes de visites à verrous tournants sur le côté d’accès et d’anneaux de levage. Caque centrale comprend : ! 1 section filtre à poche G4 sur glissières accessible par la face démontable de la centrale et

porte de visite. ! 1 caisson batterie chaude, en tube cuivre de 1 mm d’épaisseur minimum, avec ailettes en

aluminium. ! 1 caisson de ventilation pour le soufflage équipé d'un ventilateur radial à double ouïe et

aubes inclinées vers l’avant en acier galvanisé. ! Roue équilibrée statiquement et dynamiquement. ! Liaison élastique entre le ventilateur et le caisson. ! Portes de visite à doubles parois et verrous tournants. ! Ventilateur monté sur plots antivibratoires dans le caisson, fixé sur traverse diagonale rigide. ! Entraînement par moteur électrique à une vitesse, triphasé 400 V : 50Hz et courroies

trapézoïdales. ! Moteur monté sur plots antivibratoires dans le caisson, fixé sur traverse diagonale rigide. ! Sonde antigel. ! Pressostat différentiel. ! Registre motorisé antigel compris tringlerie - manchettes souples à l’aspiration et au soufflage

de la centrale en toile plastifiée. Les gaines sont équipées de pièges à sons au départ de chaque centrale. Elles sont placées pour permettre un libre accès à la maintenance. NotaNotaNotaNota : Le Titulaire doit le déplacement des sondes antigel, fournies par le fabricant de la

centrale, à l’intérieur de toutes les centrales de traitement d’air. Le déplacement de cette sonde étant nécessaire pour un bon fonctionnement de celle-ci.

3.21.2) Caractéristiques C.T.A. cuisine

! Débit d’air : 4 800 m3/h ! Vitesse régulée : par régulateur électronique à variateur ! Pression statique : 154 Pa ! Température d’entrée d’air neuf : - 15 °C ! Température de soufflage : + 30 °C ! Température de reprise : + 22 °C ! Rendement : 90 % ! Puissance batterie : 73 kW ! Régime de fonctionnement : 60/45°C.

3.21.3) Caractéristiques C.T.A. plonge

! Débit d’air : 1 350 m3/h ! Vitesse régulée : par régulateur électronique à variateur ! Pression statique : 154 Pa ! Température d’entrée d’air neuf : - 15 °C ! Température de soufflage : + 30 °C ! Température de reprise : + 22 °C ! Rendement : 90 % ! Puissance batterie : 21 kW ! Régime de fonctionnement : 60/45°C.

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3.22)3.22)3.22)3.22) EXTRACTION EXTRACTION EXTRACTION EXTRACTION SPÉCIFIQUESPÉCIFIQUESPÉCIFIQUESPÉCIFIQUE Il est prévu des groupes d’extraction pour les locaux décrits dans le poste 2.2.6 autres que ceux équipés de centrale double ou simple flux. Les caractéristiques de ces ventilateurs doivent permettre de maintenir une dépression constante, malgré les effets thermiques. Les dimensions et vitesses sont définies afin d'obtenir, à la fois un fonctionnement très silencieux (ne pas dépasser 900 tr/mn), et un débit stable. Les moteurs et ventilateurs sont mis en place dans un caisson en tôle d’acier galvanisé. Chaque moteur est protégé par un dispositif ipsotherme. Les groupes d'extraction sont installés en toiture, fixés à la charpente sur plots anti-vibratiles. Ils sont de marque ALDES ou techniquement équivalent et définis tels que : Zone cage AZone cage AZone cage AZone cage A :::: ! Débit d’air : 680 m3/h ! Pression statique : 346 Pa Zone centraleZone centraleZone centraleZone centrale :::: ! Débit d’air : 1 140 m3/h ! Pression statique : 280 Pa Zone caZone caZone caZone cage Bge Bge Bge B :::: ! Débit d’air : 1 755 m3/h ! Pression statique : 320 Pa

3.23)3.23)3.23)3.23) SOCLESOCLESOCLESOCLE Le Titulaire doit la fourniture et la pose de socles pour la protection contre la transmission des vibrations dans le plancher pour tous les équipements en local technique terrasse. Ces socles sont de type du commerce, réalisés par un matelas de laine minérale enveloppé d’une tôle d’acier galvanisé complètement étanche. Ils sont intercalés entre les groupes et la terrasse et auront une surface égale à celle des centrales ou groupe d’extraction.

3.24)3.24)3.24)3.24) EXTRACTION CUISSONEXTRACTION CUISSONEXTRACTION CUISSONEXTRACTION CUISSON

3.24.1) Généralités

La cuisson est équipée d'un ensemble d'extraction formé par une hotte adossée (hors lot). Les filtres d'extraction sont raccordés par des réseaux en gaines circulaires ou rectangulaires à un caisson d’extraction implantée au droit de la zone de captage.

3.24.2) Hottes d'extraction

Prestation à la charge du cuisiniste

3.24.3) Extracteur

Il sera prévu un groupe d'extraction résistant au feu 400 °C pendant 2 heures de marque ALDES ou techniquement équivalent, placé en combles, compris costière, chevêtre et toutes sujétions. Il est muni d’une embase en acier galvanisé de section carrée avec un plateau en acier galvanisé renforcé avec des bords tombés. Il est muni d’une turbine à réaction en acier avec moteur IP 55 classe F. Le capot moteur en polyéthylène de couleur grège (RAL 7035) avec ailettes pivotantes en ABS de couleur anthracite, résistant aux UV permettant un refoulement vertical.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Il est équipé d’un moteur triphasé et d’une variation de vitesse et sera asservi à la centrale de la cuisson. Il est placé en combles à une distance de 8 m de toute prise d’air neuf ou ouvrant et aura les caractéristiques suivantes : ! Débit : 2 700 / 5 400 m3/h ! Version : variation de vitesse + désenfumage ! Pression disponible : 300 Pa.

3.24.4) Coffret de commande

Le raccordement électrique et l'asservissement avec la CTA de l’extraction cuisson sont à la charge du présent lot depuis l'armoire chauffage ventilation, compris toutes sujétions de raccordement. Le titulaire du présent lot doit la fourniture, la pose et le raccordement d’un coffret de commande confort avec variateur de vitesse et désenfumage, posé en encastré, assurant le démarrage simultané du groupe d’extraction et de la centrale de soufflage pour la hotte compris raccordement et toutes sujétions. Il comporte plusieurs positions, soit : ! Variateur extraction et soufflage. ! Désenfumage. Mise en place d’un interrupteur de proximité. Le coffret de commande à variateur et désenfumage est placé dans un boîtier en PVC IP 55 et est équipé comme suit : ! Trois presse-étoupe montés pour les raccordements électriques. ! Contacteurs avec protections thermiques. La commande de relayage, conforme à la norme NFS 61-937, est installée pour assurer le pilotage de l’extracteur de désenfumage. Elle est installée à proximité du moteur du groupe en combles. Le coffret doit obligatoirement intégrer les accessoires annexes suivants : ! Le contrôleur permanent d’isolement, installé à proximité du moteur. ! La commande arrêt pompier 949, installée à proximité du moteur. ! L’interrupteur de proximité, installé à côté du moteur. ! La commande de réarmement à clé, installée dans la zone de mise en sécurité. ! La télécommande de mise à l’arrêt du ventilateur, installée dans la zone de mise sécurité.

3.24.5) Variateur de vitesse

Pour permettre une variation de la vitesse autre que 1ère et 2ème vitesse, il sera prévu la mise en œuvre d’un variateur de vitesse électronique triphasé.

3.25)3.25)3.25)3.25) EXTRACTION LAVERIEEXTRACTION LAVERIEEXTRACTION LAVERIEEXTRACTION LAVERIE

3.25.1) Extracteur Il est prévu un groupe d'extraction résistant au feu à 400 °C pendant 2 heures, placé en toiture, compris costière, chevêtre et toutes sujétions. Il est muni d’une embase en acier galvanisé de section carrée avec un plateau en acier galvanisé renforcé avec des bords tombés. Il est muni d’une turbine à réaction en acier avec moteur IP 55 classe F. Le capot moteur en polyéthylène de couleur grège (RAL 7035) avec ailettes pivotantes en ABS de couleur anthracite, résistant aux UV permettant un refoulement vertical.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Il est équipé d’un moteur triphasé et d’une variation de vitesse et sera asservi à la centrale de la cuisson. Il est placé en combles à une distance de 8 m de toute prise d’air neuf ou ouvrant et aura les caractéristiques suivantes : ! Débit : 1 500 m3/h ! Version : variation de vitesse ! Pression disponible : 200 Pa.

3.25.2) Coffret de commande

Le raccordement du caisson d’extraction de la hotte laverie est raccordé sur l’armoire de ventilation compris commande par variation de vitesses près de la hotte. Le coffret de commande de la laverie sera placé dans un boîtier en PVC IP 55 encastré dans le mur et sera équipé comme suit : ! Trois presse-étoupe montés pour les raccordements électriques. ! Contacteurs avec protections thermiques.

3.25.3) Variateur de vitesse Pour permettre une variation de la vitesse autre que 1ère et 2ème vitesse, il sera prévu la mise en œuvre d’un variateur de vitesse électronique triphasé.

3.26)3.26)3.26)3.26) TUYAUTERIESTUYAUTERIESTUYAUTERIESTUYAUTERIES

3.26.1) Tubes acier

La distribution de chauffage ou d’eau glacée est réalisée en parapluie, par du tube acier noir tarif 1 jusqu’aux diamètres 50/60 inclus et tarif 10 pour les diamètres supérieurs. La tuyauterie est assemblée par soudure, posée sur supports démontables et colliers. Des lyres de dilatation sont prévues tous les 30 mètres maxi, les piquages des radiateurs sont réalisés avec une longueur suffisante afin d’éviter des efforts trop importants sur les points de raccordement. Le cheminement de la tuyauterie s’effectue dans les faux-plafonds et en plinthes, les points hauts sont réalisés de telle sorte que la purge d’air s’effectue sur les radiateurs, cassettes, collecteurs plancher ou C.T.A. Dans le cas contraire, il est fait usage de bouteilles de dégazage avec purgeur automatique à flotteur isolé par robinet d’arrêt et purge manuelle ramenée à 1,50 m du sol. L’ensemble des tuyauteries doit pouvoir être facilement vidangé au moyen de robinets à boisseau avec bouchons d’étanchéité. Toutes les précautions sont prises afin d’éviter la transmission des bruits et des vibrations en particulier les fourreaux et tous les supports ou colliers seront munis de matériaux antivibratoires. Fourniture et pose de deux couches de peinture antirouille, de couleurs différentes, sur l’ensemble de ces canalisations avant la pose du calorifuge. Pour ce faire, le Titulaire doit un dégraissage des surfaces à peindre, un brossage soigné des canalisations et la pose d’un produit d’accrochage.

3.26.2) Calorifuge des tuyauteries

Une enveloppe calorifuge est prévue sur les canalisations de chauffage unique alimentant les C.T.A. la production d’eau chaude sanitaire, les radiateurs et les réseaux principaux de chauffage en chaufferie.

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Ce calorifuge est mis sur toutes les parties ne concourant pas au chauffage, exposées au gel ou pouvant donner lieu à un dégagement excessif de chaleur, les passages dans les locaux non chauffés tels que faux-plafonds, etc. sont calorifugés ainsi que les tuyauteries en chaufferie. ! Les diamètres extérieurs de tubes, inférieurs à 60 mm, auront une épaisseur de calorifuge de

30 mm. ! Les diamètres supérieurs ou égaux à 60 mm auront une épaisseur de calorifuge de 50 mm. Il est constitué de laine minérale de conductivité 0,042 W/k.m sous forme de coquilles avec protection par coquilles PVC classées M1, dans les locaux non chauffés. Tous les supports et raccords sont maintenus en dehors du calorifuge. Dans la chaufferie, le calorifugeage est arrêté 5 cm avant les brides et les vannes, toutes les brides, vannes et joints devront être visibles.

3.26.3) Calorifuge des tuyauteries d’eau glacée/chaude

Les tuyauteries d'eau glacée et chaude des planchers chauffants/rafraîchissants, des cassettes et issus de la P.A.C. sont calorifugées par 1 coquille polystyrène extrudée, imputrescible, classée incombustible et imperméable à la vapeur d'eau de conductivité 0,026 W/m.°k à 10 °C, avec finition ARMACAL blanc de marque OUEST ISOLE ou techniquement équivalent. ! Les diamètres extérieurs de tubes, inférieurs à 76 mm auront une épaisseur de calorifuge de 30

mm. ! Les diamètres extérieurs de tubes, entre 89 à 159 mm auront une épaisseur de calorifuge de 40

mm. ! Les diamètres extérieurs de tubes, supérieurs à 159 mm auront une épaisseur de calorifuge de

50 mm. A la mise en place de la tuyauterie, fourniture et pose de supports isolants de type ISOPIRFLAM 80 de haute densité, pré-revêtus d’ARMACAL blanc. L’isolation des tuyauteries et des organes de réglage et d’arrêt est réalisée avec des coquilles ou douelles en STYROCLIM. Les joints sont remplis d’un mastic étanche. Il est prévu l’application d’une première couche d’enduit pare-vapeur de type STYROCOAT, puis d’une bande enroulée de tissus de verre type OI 557 avec recouvrement de 30 % et une deuxième couche en finition d’enduit pare-vapeur de type STYROCOAT. Les arrêts de calorifuge sont réalisés en BS 886-06. La robinetterie est également calorifugée, seul le volant de manœuvre sera extérieur au calorifuge. Toutes les sujétions pour le calorifuge des appareils, robinetteries et accessoires pour supprimer tous ponts thermiques et points de rosées, sont à la charge du présent lot compris attache rapide de marque OUESTISOL type BOAX.

3.27)3.27)3.27)3.27) ROBINETTERIEROBINETTERIEROBINETTERIEROBINETTERIE Les différentes dérivations des circuits ainsi que les appareils, pompes, etc. peuvent être isolés au moyen de vannes à papillon, PN 10, pour les diamètres supérieurs à 50 mm, modèle à boisseau sphérique pour les diamètres inférieurs ou égaux à 50 mm compris contre brides, joints et boulons pour les diamètres supérieurs. Chaque appareil ainsi que le bipasse des vannes 3 voies sont équipés d’une vanne de réglage PN 10, modèle à soupape à joint fileté pour les diamètres inférieurs à 33 et à brides pour les diamètres supérieurs. Il est prévu sur le circuit radiateur et plancher chauffant/rafraîchissant, la mise en place d’un bipasse, après la pompe, équipé d’une soupape différentielle avec indicateur de pression.

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Il est prévu sur chaque circuit, une vanne de réglage permettant de régler la plage de fonctionnement des pompes en fonction des données débits/températures propres à chaque circuit. L’installation peut être vidangée dans sa totalité par des robinets de vidange à tournant avec clé de manœuvre. Lorsqu’un point haut est inévitable, il doit être prévu une purge d’air comprenant une bouteille, un purgeur automatique à flotteur avec robinet d’isolement et une purge d’air manuelle, ramenée à 1,50 m du sol, comprenant un robinet de purge. Les clapets de non-retour sont du type à battant, avec joint d’étanchéité, à faible perte de charge ou à clapets profilés avec ressort inoxydable de compensation. Toute la robinetterie doit être conforme aux normes NF. ! Vannes à passage direct à papillon. ! Vannes à boisseau sphérique. ! Vannes à soupapes. ! Filtres à tamis. ! Clapets de non-retour.

3.28)3.28)3.28)3.28) CONDUITS D’ÉVACUATIOCONDUITS D’ÉVACUATIOCONDUITS D’ÉVACUATIOCONDUITS D’ÉVACUATION DES MACHINES BUANDN DES MACHINES BUANDN DES MACHINES BUANDN DES MACHINES BUANDERIEERIEERIEERIE Il est prévu la mise en œuvre des conduits verticaux pour l’évacuation des vapeurs et pour les ventilations des machines de la buanderie. Les conduits sont en acier inoxydable spécial gaz. Ils sont réalisés par des éléments à assembler à joints pour chaudière à condensation, de type isolé. Ses parois extérieures seront en acier inoxydable AISI 316 conforme à l’appellation AFNOR Z6 CND 17.12, l’élément thermique sera constitué d’un isolant haute densité de 25 mm d’épaisseur comprimé à force dans l’espace annulaire et la paroi extérieure sera réalisée en acier inoxydable AISI 444 conforme à l’appellation AFNOR Z2 CDT 18.02. Ils sont composés des éléments suivants : ! Un coude isolé à 45°. ! Un té isolé avec piquage à 135°. ! Ensemble de supports. ! Un tampon purge raccordé par un tube d’écoulement à l’égout. ! Un ensemble d’élément droit d’un mètre de long. ! Un ensemble, en quantité suffisante, de brides murales pour le maintien du conduit contre la

paroi. ! Un ensemble de brides de sécurité pour assemblage des éléments. ! Un chevêtre et solin de toit. ! Un cône de finition. Il est également prévu par le présent lot, tout élément de construction ou fixation nécessaire à la bonne réalisation de l’ouvrage. Caractéristiques : Séchoirs 1 conduits : ! Diamètre : 200 mm ! Hauteur : 10 m. Séchoirs 2 conduit : ! Diamètre : 200 mm ! Hauteur : 12 m.

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3.29)3.29)3.29)3.29) RÉSEAUX DE GAINERÉSEAUX DE GAINERÉSEAUX DE GAINERÉSEAUX DE GAINE

3.29.1) Gaines

Les conduits de soufflage, reprise, prise d’air neuf, rejet et rejet P.A.C. sont réalisés en tôle d'acier galvanisée façonnée à la demande, conforme à la norme NF A 36 221 ou C.E pour les sections circulaires. L'épaisseur des conduits est choisie de manière à éviter toutes les vibrations ou phénomènes de résonance. Pour les pressions inférieures à 50 mmCE, elles ne pourront être inférieures à : ! Jusqu'à 500 mm de côté : 8/10° mm ! De 500 à 1000 : 10/10° mm ! De 1000 à 1500 : 12/10° mm ! Au-dessus de 1500 : 15/10° mm. L’assemblage des conduits et l’étanchéité doit permettre d’assurer la rigidité de l’ensemble et de limiter le débit de fuite à 1 % du débit normal. Des essais à la cartouche fumigène sont faits de manière à vérifier l’étanchéité des conduits. Les coudes doivent avoir un rayon au moins égal au diamètre de la gaine, sinon procédé donnant les mêmes pertes de charges (aubes directrices). Les dérivations sont réalisées en « pied de biche » de manière à réduire les pertes de charge, toute dérivation à angle droit est prohibée. Les conduits sont assemblés par coulisses et épingles avec bandes d'étanchéité si nécessaire.

3.29.2) Isolation thermique

Les gaines de soufflage, reprises, rejet et de prise d'air neuf sont revêtues extérieurement d'un isolant constitué en un feutre de laine de verre imprégnée de résine thermodurcissable avec un voile de verre noir sur la face en contact avec le flux d’air et un voile en verre jaune sur la face en contact avec la tôle. Cet isolant a une épaisseur de 25 mm avec un coefficient de conductivité thermique de 0,035 W/m °C, une masse volumique de 62 kg/m3 et une réaction au feu M0, compris pattes de fixation, colle et agrafes de bord anti-décollement et toutes sujétions de mise en œuvre.

3.29.3) Gaines souples

Le raccordement des bouches de soufflage et de reprise sur les gaines se fait par des gaines circulaires flexibles isolées phoniquement M0/M1. Ces gaines sont de marque FRANCE AIR type PHONI-FLEX composées d’une gaine intérieure micro perforée de type Compri-Flex de classification à la tenue au feu M0, un matelas de laine de verre d’une densité de 16 kg/m3 d’épaisseur 25 mm et d’un pare-vapeur extérieur d’une épaisseur de 30µm. Le titulaire du présent lot doit le supportage de ces gaines suivant les préconisations du fabricant en intégrant dans son prix les raccords RM, la bande autoadhésive en aluminium, les colliers de serrage métalliques et les systèmes de supports de gaine.

3.29.4) Supports de gaines

Colliers boulonnés sur deux tiges filetées diam. 8 mm, à intervalle maximal de 2 m. Pas de connexions métalliques directes entre gaines ou appareils et la construction. Les supports sont isolés de la maçonnerie et de la charpente par des manchons antivibratoires.

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3.29.5) Accessoires de gaines

Il est mis en œuvre des prises de température sur chaque départ de gaines au groupe de traitement d'air. Des orifices bouchonnés sont mis en place pour l'introduction d'appareils de mesure en amont et en aval des centrales de traitement d'air et sur les réseaux. A l'aspiration et au refoulement des caissons de ventilation, il est prévu un registre d'équilibrage à tous les endroits nécessitant un réglage de débit ou de pression. Chaque registre est exécuté en tôle galvanisée d'une épaisseur minimale de 15/10ème de mm et est muni d'un indicateur de position, repéré sur un secteur circulaire avec dispositif de blocage efficace. Le caisson d'aspiration des centrales de traitement d'air est équipé de registre motorisé.

3.30)3.30)3.30)3.30) GRILLESGRILLESGRILLESGRILLES

3.30.1) Généralités

Les grilles de soufflage, de reprise, d’extraction, d’air neuf et de rejet sont de marque ALDES ou techniquement équivalent en tôle d’acier de teinte blanche, chaque grille est équipée de registre de réglage et de plénum de raccordement.

3.30.2) Diffuseurs carrés à jet hélicoïdal en plafond (soufflage)

Elles sont constituées par des modules de 600 x 600, encastrées dans le faux-plafond. Les diffuseurs à jet hélicoïdal seront prévus dans les locaux ci-dessous, ils seront de forme carrée de marque ALDES, type SF 861 T ou techniquement équivalent, en aluminium peint RAL 9010 blanc, compris plénum de raccordement type LRE et registre de réglage type BR. Ces grilles sont placées dans le faux-plafond et ont les caractéristiques suivantes : ! Vestiaires femmes sous-sol

• Débit : 150 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Vestiaires hommes sous-sol

• Débit : 120 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Salle d’activité 1

• Débit : 150 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Salle d’activité collective

• Débit : 180 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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! Salle d’activité 2

• Débit : 180 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 1.

! Espace principal d’activité

• Débit : 225 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 250 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 2.

! Salle d’activité spécialisée

• Débit : 150 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Salle de repos personnel

• Débit : 135 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Salle à manger

• Débit : 350 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 315 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 10.

! Hall d’accueil

• Débit : 293 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 315 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 2.

! Buanderie

• Débit : 375 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 315 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 4.

! Salle de réunion

• Débit : 175 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 200 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Lieu de vie (chaque : 8)

• Débit : 200 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 250 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 2.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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3.30.3) Diffuseurs carrés à noyau amovible de 600 x 600 (reprise)

Elles sont constituées par des modules de 600 x 600, encastrées dans le faux-plafond. L’extraction est assurée par des diffuseurs carrés à noyau amovible incorporés dans une plaque de 600 x 600 de marque ALDES type SF 704 TP, ils sont en tôle d’acier, peints à base de peinture époxy peint RAL 9010 blanc pur compris plénum de raccordement type RE et registre de réglage incorporé. Ces grilles sont placées dans le faux-plafond et ont les caractéristiques suivantes : ! WC douche vestiaires femmes sous-sol (chaque : 2)

• Débit : 150 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 1.

! WC douche vestiaires hommes sous-sol (chaque : 2)

• Débit : 120 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 1.

! Salle d’activité 1

• Débit : 150 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Salle d’activité collective

• Débit : 180 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Salle d’activité 2

• Débit : 180 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 1.

! Espace principal d’activité

• Débit : 165 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 2.

! Salle d’activité spécialisée

• Débit : 150 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Salle de repos personnel

• Débit : 135 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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• Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Lingerie

• Débit : 375 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Diamètre du diffuseur : 375 x 375 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 6.

! Salle à manger

• Débit : 350 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 375 x 375 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 10.

! Hall d’accueil

• Débit : 293 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 375 x 375 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • Quantité : 2.

! Salle de réunion

• Débit : 175 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 160 • Quantité : 2.

! Lieu de vie (chaque : 8)

• Débit : 200 m3/h • Dimension de la grille : 600 x 600 • Dimension du diffuseur : 225 x 225 • Diamètre de raccordement plénum : 200 • 45Quantité : 2.

3.30.4) Grille circulaire

Les grilles d’extraction et de soufflage de petits débits seront de marque ALDES de type BIM 400 ou techniquement équivalent, grille circulaire à débit fixe, elles auront un module de régulation de débit type MR ou techniquement équivalent, à réglage fixe à la mise en service. Ces grilles sont placées dans le faux-plafond et ont les caractéristiques suivantes : ! Vestiaire cuisine (chaque douche : 2)

• Débit reprise : 45 m3/h • Quantité : 1

! Stockage linge sale

• Débit reprise : 60 m3/h • Quantité : 1

! Rangement (chaque : 6)

• Débit reprise : 60 m3/h • Quantité : 1

! Snoezelen

• Débit reprise : 60 m3/h • Quantité : 1

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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! Au-dessus des chambres froides (chaque :3)

• Débit reprise : 90 m3/h • Quantité : 1

! Reserve cuisine

• Débit reprise : 90 m3/h • Quantité : 1

! Rangement (chaque : 4)

• Débit reprise : 90 m3/h • Quantité : 1

! Local sale (chaque : 4)

• Débit reprise : 90 m3/h • Quantité : 1

! Local propre (chaque : 4)

• Débit reprise : 90 m3/h • Quantité : 1

! Vestiaire personnels homme

• Débit soufflage : 120 m3/h • Quantité : 2 • Débit reprise : 120 m3/h • Quantité : 2

! Préparation froide

• Débit reprise : 120 m3/h • Quantité : 1

! Légumerie

• Débit reprise : 120 m3/h • Quantité : 1

! Poubelles

• Débit reprise : 120 m3/h • Quantité : 1

! Coiffeur

• Débit reprise : 120 m3/h • Quantité : 1

! Office espace d’activité

• Débit reprise : 120 m3/h • Quantité : 1

! Office

• Débit reprise : 120 m3/h • Quantité : 1

! Vestiaire personnels femme

• Débit soufflage : 150 m3/h • Quantité : 2 • Débit reprise : 150 m3/h • Quantité : 2

! Atelier

• Débit reprise : 180 m3/h • Quantité : 1

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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! T.G.B.T.

• Débit reprise : 200 m3/h • Quantité : 1

3.30.5) Grille d’air neuf ou de rejet en façade

Les prises d’air et les rejets se font sur la façade des locaux techniques en toiture terrasse. Pour ces prestations le titulaire du présent lot doit la réalisation de tous les chevêtres dans le bardage, des percements de murs et de la pose des grilles et de leurs cadres de scellement ou de fixation. Elles sont de marque ALDES de type AG 638 ou techniquement équivalent, grille pare pluie en acier galvanisé avec ailette fixe, grillage anti-volatil à maille de 12 x 12, cadre de fixation ou de scellement et toutes sujétions. ! Rejet d’air vicié du caisson VS – cage A

• Débit : 680 m3/h • Dimension grille : 400 x 400

! Rejet d’air vicié du caisson VS – centre

• Débit : 1 080 m3/h • Dimension grille : 600 x 400

! Rejet d’air vicié du caisson VS – cage B

• Débit : 1 755 m3/h • Dimension grille : 600 x 600

! Rejet d’air vicié du caisson VMC – cage A

• Débit : 3 360 m3/h • Dimension grille : 1 000 x 600

! Rejet d’air vicié du caisson VMC – centre

• Débit : 720 m3/h • Dimension grille : 400 x 400

! Rejet d’air vicié du caisson VMC – cage B

• Débit : 2 715 m3/h • Dimension grille : 800 x 600

! Rejet d’air vicié du caisson de la cuisine

• Débit : 5 400 m3/h • Dimension grille : 1 000 x 1 000

! Rejet d’air vicié du caisson de la plonge

• Débit : 1 500 m3/h • Dimension grille : 600 x 400

! Prise d’air neuf de la centrale simple flux cuisine

• Débit : 4 800 m3/h • Dimension grille : 800 x 800

! Prise d’air neuf de la centrale simple flux plonge

• Débit : 1 350 m3/h • Dimension grille : 600 x 400

! Centrale double flux cage A

• Air neuf " Débit : 3 900 m3/h " Dimension grille : 1 000 x 600

• Rejet d’air vicié " Débit : 3 900 m3/h

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" Dimension grille : 1 000 x 600

! Centrale double flux cage A

• Air neuf " Débit : 5 350 m3/h " Dimension grille : 1 000 x 1 000

• Rejet d’air vicié " Débit : 5 350 m3/h " Dimension grille : 1 000 x 1 000

! Centrale double flux Buanderie

• Air neuf " Débit : 1 500 m3/h " Dimension grille : 600 x 400

• Rejet d’air vicié " Débit : 1 500 m3/h " Dimension grille : 600 x 400

! Centrale double flux Salle de réunion

• Air neuf " Débit : 350 m3/h " Dimension grille : 300 x 200

• Rejet d’air vicié " Débit : 350 m3/h " Dimension grille : 300 x 200

3.31)3.31)3.31)3.31) PROTECTION INCENDIEPROTECTION INCENDIEPROTECTION INCENDIEPROTECTION INCENDIE

3.31.1) Clapet coupe-feu

Il est prévu des clapets au passage des parois coupe-feu de la construction et aux parois de séparation de zone conformément à l’article J10. Ces clapets ont le même degré de résistance au feu que les parois traversées, ils seront de concept adapté aux matériaux de la paroi traversée avec un P.V. conforme à leurs poses et sont à raccordements à manchettes pour les gaines verticales et raccordements à brides pour les gaines horizontales. Les clapets sont choisis en fonction d’une perte de charge minimale (15 Pa maxi). Ils comprennent outre le clapet coupe-feu télécommandé, un système de déclenchement à émission de courant, moteur de réarmement 24 V et contact de position début et fin de course et un système de réarmement à distance. Ils sont conformes à la norme NFS 61937.

3.31.2) Habillage coupe-feu

Les réseaux de ventilation traversant des locaux comportant des parois coupe-feu sont traités coupe-feu de même degré que les parois du local. Ce traitement est réalisé par un flocage ou une gaine ayant un Procès Verbal. Le procédé utilisé doit avoir l’approbation du bureau de contrôle avant mise en œuvre.

3.32)3.32)3.32)3.32) UNITÉSUNITÉSUNITÉSUNITÉS INTÉRIEURESINTÉRIEURESINTÉRIEURESINTÉRIEURES

3.32.1) Généralités

Il est mis en œuvre, en appoint du plancher rafraîchissant, des cassettes plafonnières encastrables à soufflage multi voies et multi-débit, pour fonctionnement en recyclage d’air sur eau glacée pour la salle à manger, la salle d’activités collectives, la salle de réunion et les lieux de vie.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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3.32.2) Cassettes

Les cassettes seront composées comme suit : ! Une carrosserie en tôle d’acier galvanisé. ! Un panneau décoratif en tôle laqué blanc. ! Un ventilateur à entraînement direct à 5 vitesses. ! Une isolation thermique et phonique. ! Un contrôle de température par thermostat à microprocesseur. ! Un dispositif de sécurité par fusible thermique pour le moteur du ventilateur. ! Une pompe de relevage pour les condensats. ! Un filtre lavable en résine monté sur grille amovible à la reprise. ! Une batterie d’échange en aluminium gaufré et tube cuivre. Elles seront équipées de raccords démontables à joint conique, conformes à la norme NF E 29-538 et d’une purge d’air, vidange partielle et bac de récupération des condensats. Les bacs de condensats en polystyrène injecté seront équipés d’une pompe de relevage et d’un flotteur de sécurité. Les moteurs électriques seront du type fermé, pour courant monophasé 50 Hz, équipés de paliers autolubrifiants ne nécessitant aucun entretien et munis d’un ipsotherme. Elles seront à multivitesses, et permettront la fourniture de froid. Les cassettes seront équipées d’une grille de reprise avec déflecteur à 3 positions, avec possibilité de fermer 1 ou 2 déflecteurs de soufflage. Les terminaux seront de marque GEA modèle GEKO, ou techniquement équivalent. Les cassettes seront réparties comme suit : ! Salle à manger :

# type : Simple 1 # soufflage : 4 voies # dimensions : 660 x 660 x 273 # puissance acoustique : 35 ; 43 ou 52 dB A # puissance froid : 2 400 ; 3 300 ou 4 200 W # température de fluide froid : 7 / 12°C # débit d’air : 330 ; 480 ou 660 m3/h # quantité : 3

! Activité collective :

# type : Simple 1 # soufflage : 4 voies # dimensions : 660 x 660 x 273 # puissance acoustique : 35 ; 43 ou 52 dB A # puissance froid : 2 400 ; 3 300 ou 4 200 W # température de fluide froid : 7 / 12°C # débit d’air : 330 ; 480 ou 660 m3/h # quantité : 1

! Lieu de vie (chaque : 8) :

# type : Simple 1 # soufflage : 4 voies # dimensions : 660 x 660 x 273 # puissance acoustique : 35 ; 43 ou 52 dB A # puissance froid : 2 400 ; 3 300 ou 4 200 W # température de fluide froid : 7 / 12°C # débit d’air : 330 ; 480 ou 660 m3/h # quantité : 2

! Salle de réunion :

# type : Simple 1 # soufflage : 4 voies # dimensions : 660 x 660 x 273 # puissance acoustique : 35 ; 43 ou 52 dB A

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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# puissance froid : 2 400 ; 3 300 ou 4 200 W # température de fluide froid : 7 / 12°C # débit d’air : 330 ; 480 ou 660 m3/h # quantité : 1

3.32.3) Support

Il est prévu à la charge du présent lot toutes sujétions de support des cassettes pour fixation dans les faux-plafond.

3.32.4) Raccordement électrique

L’ensemble des raccordements électriques est prévu depuis l’armoire de ventilation à la charge du présent lot. Les liaisons des commandes MA/AT sont à la charge du présent lot. Toutes les canalisations sont encastrées dans les pièces nobles. Interrupteur de proximité sur les appareils. Reprise des informations sur la GTC marche/arrêt, de la température de soufflage, température ambiante, défaut et états des moteurs et états des filtres.

3.33)3.33)3.33)3.33) FILTREFILTREFILTREFILTRE Il est prévu un filtre de marque CGR type 391 sur le retour général et sur le retour du circuit secondaire de plancher chauffant. Chaque filtre est monté en bipasse avec un jeu de vanne pour nettoyage ou injection de produit. Il est composé d’un corps en fonte muni d’une entrée et d’une sortie à bride, d’un panier EN ACIER INOXYDABLE perforé, support d’une toile à filtration. Le diamètre des mailles est de 150 microns. L’accès au filtre se fait par un couvercle boulonné en fonte.

3.34)3.34)3.34)3.34) POT A BOUE POT A BOUE POT A BOUE POT A BOUE ---- DEGAZEURDEGAZEURDEGAZEURDEGAZEUR Il sera mis en place un pot à boues en acier noir à souder, peint, placé sur le retour général et sur le retour de circuit secondaire de plancher chauffant. Chacun sera muni d’un orifice en partie haute pour la mise en place d’un purgeur d'air à flotteur et d’un orifice en partie basse pour la mise en place d’une vanne de chasse raccordée aux EU. Il sera de marque CGR type 437N. Il sera fourni et mis en œuvre un séparateur d’air placé sur le départ général et sur le départ du circuit secondaire de plancher chauffant afin de supprimer toute présence d’air dans l’installation du chauffage. Chaque séparateur sera constitué d’un corps vertical en acier peint, orienté vers le haut sur lequel est montée une chambre d’air. Il sera également équipé d’un robinet de purge et d’un bouchon de vidange. Il sera de marque CGR type 564N Calorifuge posé sur les deux appareils.

3.35)3.35)3.35)3.35) COMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIES L’alimentation des différents circuits de chauffage et de rafraîchissement est équipée d’un compteur de calories, comprenant : ! 1 compteur à ultrasons avec sonde intégrée, avec raccordement MBus pour lecture directe

des consommations depuis la gestion centralisée de la régulation solaire permettant de comptabiliser le chaud et le froid.

! 1 sonde départ haute résolution avec doigt de gant. ! 1 sonde retour haute résolution avec doigt de gant. ! 1 intégrateur intégré. Pose suivant recommandations du constructeur, avec vannes d’isolement, filtre et toutes sujétions.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Les débits de ces compteurs seront les suivants : ! Circuit primaire P.A.C. : 32,0 m3/h. ! Circuit basse température chaud depuis P.A.C. : 32,0 m3/h. ! Circuit froid cassette : 15,9 m3/h. ! Circuit primaire froid plancher : 32,0 m3/h. ! Circuit primaire température constante ECS : 9,9 m3/h. ! Circuit température constante CTA : 6,6 m3/h. ! Circuit radiateurs : 5,5 m3/h. ! Circuit primaire chaud plancher : 60,6 m3/h. ! Circuit charge solaire : 30,0 m3/h.

3.36)3.36)3.36)3.36) ARMOIRE ET RACCORDEMARMOIRE ET RACCORDEMARMOIRE ET RACCORDEMARMOIRE ET RACCORDEMENTS ÉLECTRIQUESENTS ÉLECTRIQUESENTS ÉLECTRIQUESENTS ÉLECTRIQUES Il est prévu les raccordements électriques ainsi que la fourniture des appareillages de commande, de protection et de contrôle des moteurs et des régulations nécessaires à toute son installation, compris asservissements. Nota : Les alimentations électriques des différents équipements de chauffage et de ventilation

passant dans des locaux nobles, sont encastrées dans les parois, aucun câble ne doit être apparent.

Les puissances électriques nécessaires au chauffage et à la ventilation ont comme origine les points suivants : ! Le coffret de coupure éclairage force à l’extérieur de la chaufferie. ! L’alimentation de la P.A.C. dans le local technique en toiture terrasse ! Le câble laissé en attente dans le local technique en toiture terrasse pour l’armoire ventilation. ! Le câble laissé en attente dans le local technique en toiture terrasse pour l’extracteur

désenfumage cuisine en CR1. ! Les clapets coupe feu. ! Les câbles laissés en attente pour chaque V.M.C. en CR1. Le câblage des commandes depuis ces points est à la charge du présent lot. Les installations électriques sont réalisées conformément à la norme C 15-100, au décret n° 62-1454 du 4 avril 1991 concernant la protection des travailleurs. Le courant disponible est du triphasé 380 V + neutre + terre avec régime de neutre TT. Depuis ces points, le titulaire du présent lot doit la réalisation de toutes ses installations électriques, compris asservissement et toutes sujétions. Toutes les centrales de traitements d’air, les extracteurs et les extracteurs spécifiques sont alimentés depuis l’armoire électrique ventilation à la charge du présent lot, placée dans le local technique sur la toiture-terrasse et alimentée depuis le câble laissé en attente par l’électricien. Il est fourni les armoires de commande et installer sous sa garantie totale les canalisations électriques reliant les armoires aux différents moteurs, depuis ce câble à ces points de livraison. Il fournit l’installation complète, en bon ordre de marche et conforme aux règlements et décrets en vigueur à la date de l’adjudication. Sur la face avant des armoires, des voyants de marche disjonction contrôleront l’état de fonctionnement des appareils. Un interrupteur tétrapolaire avec discontacteur pour coupure à distance, permet la mise hors tension de l’ensemble de l’armoire. Sa commande est ramenée à l’extérieur de chaque armoire. Il est prévu 2 boîtiers coup-de-poing pour arrêt d'urgence de toutes les ventilations soufflage et extraction en cas d'incendie. Ces boîtiers sont placés près des sorties principales. Au-dessus de ces boîtiers, il est mis une plaque indélébile écrite en blanc sur fond rouge, avec le texte suivant "ARRET D'URGENCE VENTILATION".

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Un voyant indique la mise sous tension de l’armoire. La protection contre les surintensités est assurée par un disjoncteur omnipolaire installé en amont de toute l’installation et en aval de l’interrupteur général. Chaque moteur possède l’équipement suivant : ! 1 disjoncteur avec relais thermique à haut pouvoir de coupure. ! 1 commutateur marche/arrêt encastré sur la porte. ! 1 voyant vert indiquant la marche. ! 1 voyant rouge indiquant la disjonction. ! 1 jeu de bornes de calibre approprié. ! Chaque armoire de régulation sera protégée par un disjoncteur bipolaire. La disjonction d’un discontacteur est signalée par un signal acoustique et optique. Un commutateur permet l’arrêt du signal acoustique tout en conservant le signal optique. Le défaut disparu, le klaxon oblige la remise en l’état initial du commutateur. Il est également prévu un rappel d’alarme sur le tableau d’alarme pour chaque armoire et un contact sec pour report d'information. Toutes les mesures seront prises pour éviter le démarrage simultané des moteurs. Ceux-ci doivent démarrer en cascade, après une coupure de courant. Les moteurs d’une puissance supérieure à 6 kW doivent avoir un démarrage étoile-triangle. L’entrepreneur a à sa charge tous les relais temporisés nécessaires aux démarrages des moteurs. L’intensité de démarrage des moteurs électriques ne devra pas dépasser les valeurs suivantes : ! Puissance inférieure à 7 kW : 5 IN ! Puissance entre 7 et 15 kW : 3 IN ! Puissance supérieure à 15 kW : 2.5 IN. Les contacteurs et relais doivent satisfaire à deux millions de manœuvres. Les armoires électriques sont métalliques et étanches aux poussières et projection d’eau. Les schémas électriques sont fixés dans les armoires, protégés par une enveloppe plastique. Les canalisations de raccordement aux appareils sont conformes aux normes en vigueur, en particulier la norme C 15-100. Il est prévu les frais de contrôle de la conformité de ses installations par un organisme agréé, et la fourniture du certificat de conformité électrique par CONSUEL. Tous les asservissements suivants seront prévus : ! Pompes. ! Vannes motorisées. ! Asservissement entre les centrales de traitement d’air. ! Le ventilo-convecteur et son extracteur. La commande des ventilations et des régulations des différents locaux doit pouvoir se faire depuis les locaux intéressés. Toutes les commandes de ventilation de la salle à manger, de la laverie et de la cuisine sont ramenées dans le bureau du chef. Réalisation des alimentations en toiture de ces équipements, compris crosse et reprise d’étanchéité.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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3.37)3.37)3.37)3.37) RÉCUPÉRATIONRÉCUPÉRATIONRÉCUPÉRATIONRÉCUPÉRATION DES CONDENSATSDES CONDENSATSDES CONDENSATSDES CONDENSATS Il est prévu la réalisation d’un bac récupérateur de condensats qui est placé sous la P.A.C. Ce bac est réalisé en tôle d’acier inoxydable et possède une ouverture circulaire en partie base pour l’évacuation des condensats. Les condensats sont canalisés vers une attente d’EU pour être évacués.

3.38)3.38)3.38)3.38) RÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGE Le réglage et l’étalonnage des installations de chauffage sont réalisés, les débits des fluides et les températures départ et retour de chaque circuit seront vérifiés.

3.39)3.39)3.39)3.39) APPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLEEEE L’alimentation et le retour des différents circuits sont munis de thermomètres à liquide sous gaine de laiton. Les manomètres sont montés sur un bipasse en tube fer noir de diamètre 15-21 équipés de 2 vannes quart de tour pour prise de pression en amont et aval de chaque pompe. Il est prévu la mise en place d’un manomètre sur chaque circuit.

3.40)3.40)3.40)3.40) NOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATION ET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIEN Il sera fourni : ! Le schéma de la chaufferie sous forme de tableaux plastifiés. ! Les notices d’utilisation et d’entretien des différents matériels, ainsi que les schémas

électriques. L’ensemble est présenté dans des feuillets en plastique transparent, reliés dans un classeur à 4 crochets, de dimension suffisante (format A4). Des étiquettes de repérage des différents circuits, aussi bien en chaufferie que dans le reste du bâtiment, sont mises en œuvre. Des bandes de couleur autour du calorifuge ou des tuyauteries sont posées. Une formation pour le personnel chargé de l’exploitation est réalisée. Sont également fournis les plans et schémas de l’installation telle que réalisée (plans de récolement), ainsi que les essais COPREC avec les comptes-rendus des essais.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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ARTICLE 4 ARTICLE 4 ARTICLE 4 ARTICLE 4 ---- SPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNIQUES DES IQUES DES IQUES DES IQUES DES MATÉRIELSMATÉRIELSMATÉRIELSMATÉRIELS DE V.M.C.DE V.M.C.DE V.M.C.DE V.M.C.

4.1)4.1)4.1)4.1) ENTRÉESENTRÉESENTRÉESENTRÉES D’AIRD’AIRD’AIRD’AIR Elles sont fournies par le présent lot et posées par le lot menuiseries extérieures. Le débit d’air entrant est prévu par des entrées d’air neuf placées dans les châssis aluminium. Les entrées d’air ont un débit unitaire de 45 m3/h quelle que soit la pression du vent. Elles sont de type auto-réglable pour mise en place sur les ouvrants, compris capots acoustiques.

4.2)4.2)4.2)4.2) BOUCHES D’EXTRACTIONBOUCHES D’EXTRACTIONBOUCHES D’EXTRACTIONBOUCHES D’EXTRACTION Elles sont de marque ALDES type BAP COLOR ou techniquement équivalent, auto-réglables, à réglage fixe à la mise en service pour les débits constants. Elles sont raccordées aux conduits verticaux par des conduits rigides et souples métalliques. Dans le cas où des parcours horizontaux sont nécessaires pour les raccorder aux conduits verticaux, le Titulaire doit prévoir des trappes de ramonage. Les conduits sont, dans ce cas, rigides. Ces trappes, ainsi que les bouches d’extraction, sont d’un démontage et d’un remontage faciles pour les opérations d’entretien et de nettoyage. Le Titulaire doit indiquer au lot cloisons intérieures les réservations à prévoir dans les gaines techniques. Les débits d’extraction sont conformes au poste 2.3.3 et aux arrêtés du 24 mars 1982 et du 28 octobre 1983.

4.3)4.3)4.3)4.3) CONDUITS D’EXTRACTIOCONDUITS D’EXTRACTIOCONDUITS D’EXTRACTIOCONDUITS D’EXTRACTIONNNN Les conduits d’extraction sont conformes à la norme XP P 50-410 pour les réseaux en acier galvanisé, l’implantation des gaines doit permettre les opérations normales d’entretien de ce réseau. Les conduits sont du type circulaire agrafé en spirale et réalisés en acier galvanisé. Les conduits sont fixés à l’aide de colliers et de feuillards. Toutes les pièces de raccordement sont livrées d’usine. Les conduits peuvent s’emboîter facilement grâce à leur chanfrein de guidage, chaque emboitement doit être réalisé à l’aide d’un joint à lèvres pour garantir l’étanchéité du raccord. Les bouches d’extraction sont raccordées aux colonnes verticales par l’intermédiaire d’un conduit métallique diam. 125 mm, M0, flexible si la longueur est inférieure à 1 m et par un collecteur d’étage. Dans tous les cas, les gaines et dévoiements sont en gaine rigide. Les piquages sur une même colonne sont réalisés avec une différence d’altitude minimale de 1,00 m et ne sont en aucun cas à la même hauteur afin de limiter les communications acoustiques entre les pièces, les liaisons entre les bouches et les gaines sont réalisées en gaines souples. Lorsque les conduits de liaison comportent des dévoiements, il est utilisé des coudes et conduits rigides, avec présence d’une ou plusieurs trappes de visite si la longueur est supérieure à 2 m. Les colonnes verticales sont situées dans des gaines techniques rendues de degré coupe-feu suivant la famille du bâtiment. La section des colonnes verticales est constante sur toute la hauteur. Au sommet de chaque colonne, il est mis en œuvre un té souche insonorisé, type "CPT" acoustique ou techniquement équivalent. Un registre de réglage est mis en place dans toute partie accessible. Pour les traversées de dalles, la liaison béton/conduit est assurée par un joint de traversée, permettant d’amortir les vibrations dans les structures et les émissions d’ondes sonores. Au pied de chaque colonne, il est prévu un tampon de ramonage amovible, une trappe de visite (500 mm x 500 mm au minimum), ainsi qu’une vidange pour récupération des condensats.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Le mode de fixation du réseau horizontal tient compte des contraintes techniques des divers matériaux porteurs. Ils sont déterminés pour des vitesses inférieures à 4 m/s et une perte de pression sur toute la hauteur inférieure à 45 Pa. Les gaines de VMC, placées en combles, sont calorifugées avec un matelas de laine de verre de 5 cm d’épaisseur, avec pare-vapeur et fixation par collier RILSAN. Les tés souches et les registres de réglage sont laissés en dehors du calorifuge.

4.4)4.4)4.4)4.4) VENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRACTIONCTIONCTIONCTION

4.4.1) Généralités

Les groupes d’extraction sont conformes à la norme XP P 50-410, en particulier, les débits sont réglables manuellement. Les groupes d’extraction ont un classement au feu en catégorie 4 de 400 °C, ½ heure et sont constitués de : ! Un moto-ventilateur avec roues à aubes accrochantes et moteur asynchrone "non glissant"

caractérisé par une courbe débit pression plate. Il sera fixé dans le caisson avec des plots antivibratoires.

! Un caisson en tôle galvanisée de forte épaisseur, avec panneau latéral (ou supérieur) facilement manœuvrable pour visite du groupe moto ventilateur.

! Une courroie de transmission de rechange. ! Un pressostat tout ou rien à membrane monté d’origine pour le report du signal à action

d’alarme. ! Un coffret électrique avec interrupteur et protection électrique du moteur par disjoncteur

thermique. Les caissons sont posés sur une dalle antivibratoire prévue au Titulaire et conformément au DTU 68.2. L’accès aux éléments tournants est conforme à la directive machine de la norme CE. Les liaisons entre les caissons ventilateurs et les réseaux se font par manchettes souples d’aspiration, MO. Les dimensions et vitesses sont définies afin d’obtenir, à la fois un fonctionnement très silencieux (ne pas dépasser 900 tr/mn), et un débit stable. La puissance électrique de chaque groupe doit être inférieure de 10 % minimum à la référence. La sécurité incendie est conforme au système retenu, à savoir : ! VMC solution 1 avec ventilateurs 400 °C- ½ h - catégorie 4 suivant les indications de l’article 60

de l’arrêté du 31.01.1986 modifié le 18.08.1986.

4.4.2) Caractéristiques des extracteurs

Zone cage AZone cage AZone cage AZone cage A :::: ! Débit d’air : 3 360 m3/h ! Pression statique : 300 Pa Zone centreZone centreZone centreZone centre :::: ! Débit d’air : 720 m3/h ! Pression statique : 280 Pa Zone cage BZone cage BZone cage BZone cage B :::: ! Débit d’air : 2 715 m3/h ! Pression statique : 287 Pa

4.5)4.5)4.5)4.5) SOCLESOCLESOCLESOCLE Le Titulaire doit la fourniture et la pose de socles pour la protection contre la transmission des vibrations dans le plancher pour tous les équipements en local technique terrasse.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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Ces socles sont de type du commerce, réalisés par un matelas de laine minérale enveloppé d’une tôle d’acier galvanisé complètement étanche. Ils sont intercalés entre les groupes et la terrasse et auront une surface égale à celle des centrales ou groupe d’extraction.

4.6)4.6)4.6)4.6) REJET D’AIRREJET D’AIRREJET D’AIRREJET D’AIR Les rejets des groupes de V.M.C. se font sur la façade des locaux techniques en toiture terrasse. Pour ces prestations, le Titulaire doit la réalisation de tous les percements et de la pose des grilles et de leurs cadres de scellement ou de fixation. Elles seront de marque ALDES de type aG 638 ou techniquement équivalent, grille pare pluie en acier galvanisé avec ailette fixe, grillage anti-volatil à maille de 12 x 12, cadre de fixation ou de scellement et toutes sujétions. Ces grilles auront les caractéristiques suivantes : ! Rejet d’air vicié du caisson VMC – cage A

• Débit : 3 360 m3/h • Dimension grille : 800 x 800

! Rejet d’air vicié du caisson VMC – centre

• Débit : 720 m3/h • Dimension grille : 400 x 400

! Rejet d’air vicié du caisson VMC – cage B

• Débit : 2 715 m3/h • Dimension grille : 800 x 600

4.7)4.7)4.7)4.7) INSONORISATIONINSONORISATIONINSONORISATIONINSONORISATION Les liaisons entre les caissons ventilateurs et les réseaux se font par manchettes souples d'aspiration, M0 et par la pose de pièges à sons circulaires passifs de marque ALDES type PAS ou techniquement équivalent. Il est mis en place un anneau acoustique et une plaque phonique de marque ALDES type KIT DIAPHONIQUE ou techniquement équivalent, sur chaque bouche.

4.8)4.8)4.8)4.8) RÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGE Le réglage et l’étalonnage des installations de VMC sont réalisés par le présent lot, les débits des bouches sont vérifiés par le réglage du couple débit/pression pour une atténuation optimale du bruit aux bouches.

4.9)4.9)4.9)4.9) TRAVAUX D’ELECTRICITTRAVAUX D’ELECTRICITTRAVAUX D’ELECTRICITTRAVAUX D’ELECTRICITEEEE Le Titulaire doit prévoir les organes de sectionnement, de commande et de protection, y compris un dispositif d’alarmes lumineuses se déclenchant à l’arrêt de la rotation des ventilateurs et une alarme sonore discrète, placés dans une armoire métallique étanche avec visualisation du voyant dans le local accueil et une étiquette sérigraphiée précisant le défaut VMC, ainsi qu’un renvoi d’alarme sur la G.T.C.. L’ensemble de l’installation électrique est conforme aux normes en vigueur (D.T.U. - U.T.E.) et aux critères de sécurité (tenue au feu des câbles, arrêté du 31.01.1986, modifié le 18.08.1986). Le Titulaire doit calculer les puissances nécessaires à son installation et les communiquer au lot électricité. Tous les travaux sont conformes à la norme NF C 15-100. Le Titulaire doit le certificat de conformité de ses installations. Raccordement depuis les attentes amenées par l’électricien en combles.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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ARTICLE 5 ARTICLE 5 ARTICLE 5 ARTICLE 5 ---- SPÉCIFICATIONSSPÉCIFICATIONSSPÉCIFICATIONSSPÉCIFICATIONS TECHNIQUES DES TECHNIQUES DES TECHNIQUES DES TECHNIQUES DES MATÉRIELSMATÉRIELSMATÉRIELSMATÉRIELS D’E.C.S. SOLAIRED’E.C.S. SOLAIRED’E.C.S. SOLAIRED’E.C.S. SOLAIRE

5.1)5.1)5.1)5.1) CAPTEURSCAPTEURSCAPTEURSCAPTEURS Le Titulaire doit la fourniture et la pose de capteurs solaires de type « sous vide », d’une surface unitaire brute d’environ 3,17 m² pour un ensemble de 101,44 ml² composé de 32 capteurs. Ils sont constitués d’un boitier de raccordement isolé par une mousse en résine mélamine, un tube retour en cuivre, un tube collecteur et répartiteur coaxial en cuivre, un tube échangeur de chaleur coaxial, un absorbeur et un tube de verre sous vide. Ils doivent bénéficier d’un avis technique du CSTB. Les capteurs sont constitués d'un absorbeur avec revêtement en sol- titane (oxyde-nitrite de titane), garantissant une absorption élevée du rayonnement solaire et de faibles émissions de rayonnements calorifiques. Les capteurs en toiture sont réunis en batterie de 2 capteurs. Cet assemblage est constitué de raccords de liaison à joints toriques. D’autre part, un ensemble de raccordement à raccords filetés permet la liaison de la rangée de capteurs aux conduites du circuit solaire. Une attention particulière doit être apportée à la purge d’air des capteurs. La sonde capteurs est montée à l’aide d’un ensemble doigt de gant dans le départ du circuit solaire. Les capteurs répondront aux caractéristiques unitaires suivantes : ! Surface brute collecteur : 4,32 m² ! Surface de l’absorbeur : 3,17 m² ! Dimensions : 2127 x 2031 x 143 ! Rendement optique : 79,1 % ! Coefficient de perte du premier ordre K1 (W/m2K) : 1,14 ! Coefficient de perte du premier ordre K2 (W/m2K) : 0,007 ! Capacité calorifique : 9,4 kJ/m².K ! Poids : 76 kg ! Capacité liquide (fluide caloporteur) : 6,2 l ! Pression de service admissible : 6 bars ! Température d’arrêt maxi. : 295 °C ! Raccordement : 22 mm. Ils sont de marque VIESSMANN modèle VITOSOL 200-T-SD2. L’ensemble de l’installation est conforme au DTU 65.12 relatif aux installations de capteurs solaires, plans à circulation de liquide pour le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire. Le Titulaire est adhérent à la charte QUALISOL. Ils devront avoir une garantie fabriIls devront avoir une garantie fabriIls devront avoir une garantie fabriIls devront avoir une garantie fabricant de 10 ans minimum.cant de 10 ans minimum.cant de 10 ans minimum.cant de 10 ans minimum.

5.2)5.2)5.2)5.2) SUPPORTS CAPTEURSSUPPORTS CAPTEURSSUPPORTS CAPTEURSSUPPORTS CAPTEURS Le Titulaire doit la fourniture, la pose et le raccordement de ces capteurs sur la toiture terrasse, compris toutes sujétions pour une inclinaison conforme aux recommandations du fabricant. Les panneaux sont fixés sur des supports eux-mêmes fixés à une structure porteur fixée à la dalle terrasse.

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5.3)5.3)5.3)5.3) ÉCHANGEURSÉCHANGEURSÉCHANGEURSÉCHANGEURS

5.3.1) Échangeurs à plaques sur le primaire solaire

Il sera prévu la mise en œuvre d’un échangeur à plaques en acier inoxydable 316, qui sera placé entre la distribution de fluide solaire primaire glycolé et secondaire. L’échangeur sera placé dans la chaufferie et aura les caractéristiques suivantes : ! Type : Échangeur pour capteurs solaires ! Puissance : 120 kW ! Température d’entrée primaire : 80 °C ! Température de sortie primaire : 73 °C ! Débit primaire : 4,5 m3/h ! Fluide primaire : eau glycolée 30 % ! Pertes de charge maxi : 5,0 m CE ! Température entrée secondaire : 10 °C ! Température de sortie secondaire : 60 °C ! Débit secondaire : 4,5 m3/h ! Fluide secondaire : eau ! Pertes de charge maxi : 5,0 m CE ! Pression d’étude maxi : 10 kg / 25 m² ! Pression de service : 10 bars.

5.3.2) Échangeur à plaques sur le secondaire E.C.S.

Il sera prévu la mise en œuvre d’un échangeur à plaques en acier inoxydable 316, qui sera placé entre la distribution de fluide solaire secondaire et l’alimentation en eau froide de la production d’eau chaude sanitaire. L’échangeur sera placé dans la chaufferie et aura les caractéristiques suivantes : ! Type : Échangeur pour production E.C.S. ! Puissance : 120 kW ! Température d’entrée primaire : 60 °C ! Température de sortie primaire : 55 °C ! Débit primaire : 4,5 m3/h ! Fluide primaire : eau ! Pertes de charge maxi : 5,0 m CE ! Température entrée secondaire : 10 °C ! Température de sortie secondaire : 55 °C ! Débit secondaire : 4,5 m3/h ! Fluide secondaire : eau ! Pertes de charge maxi : 5,0 m CE ! Pression d’étude maxi : 10 kg / 25 m² ! Pression de service : 4 bars.

5.4)5.4)5.4)5.4) COLLECTE DU GLYCOLCOLLECTE DU GLYCOLCOLLECTE DU GLYCOLCOLLECTE DU GLYCOL

5.4.1) Glycol

Le remplissage du circuit primaire de fluide solaire est effectué avec l’adjonction d’un complexe antigel et anticorrosion garantissant une protection des capteurs par une température de – 21 °C à 215 °C, il sera de marque VIESSMANN type TYFOCOR LS. Ce complexe doit être homogène et compatible avec la marque des capteurs.

5.4.2) Bac de récupération

Le Titulaire doit la fourniture et la pose de deux bacs de récupération de l’eau glycolée évacuée par les soupapes de sécurité des deux réseaux primaires des sondes.

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L’eau glycolée crachée par ces soupapes est canalisée par un entonnoir et un réseau en tôle laquée jusqu’aux bacs prévus à cet effet. Les deux bacs sont en tôle laquée d’une capacité de 20 % supérieure à la capacité du réseau des sondes horizontales, soit deux cuves de 300 litres.

5.4.3) Pompe de réinjection

Chacune des cuves de récupération des eaux glycolées est équipée d’une sonde trois capteurs de liquide raccordée à la G.T.C. et d’une pompe de réinjection de l’eau glycolée récupérée dans les cuves. Ces pompes sont de type immergé, pour eaux corrosives, elles sont commandables depuis un commutateur manuel à proximité des cuves. Leur débit est de 1 m3/h par pompe avec une hauteur manométrique de 3 mCE. Il est également prévu à la charge du Titulaire, les tubes de liaisons entre les pompes de réinjection et le réseau de remplissage sondes.

5.4.4) Ballon de stockage solaire

Il est prévu la mise en œuvre de six ballons de stockage secondaire solaire permettant la création d’un tampon de 6 000 litres. Ils sont de type vertical, en tôle d’acier avec revêtement extérieur antirouille, revêtement intérieur, protégé de la corrosion par un émaillage et une anode en magnésium, résistants à une température de 140 °C. Sa pression de service maximale côté eau sanitaire sera de 7 bars. Les ballons sont calorifugés par de la mousse de polyuréthane souple (sans CFC) sur toutes les faces de l’appareil, avec une constante de refroidissement de 0,08 Wh/l.j°C. Les ballons ont les caractéristiques suivantes : ! Capacité du réservoir : 1 000 l ! Dimensions avec isolation : 1 100 x 2 060 ! Poids réservoir vide avec isolation : 280 kg ! Quantité : 6. Ils sont placés dans la chaufferie.

5.5)5.5)5.5)5.5) CANALISATIONSCANALISATIONSCANALISATIONSCANALISATIONS

5.5.1) Tube

La distribution primaire pour l’alimentation des capteurs solaires, et secondaire entre l’échangeur primaire, le stockage, sont réalisées en tube acier noir tarif 1 jusqu’aux diamètres 50/60 inclus et tarif 10 pour les diamètres supérieurs. La tuyauterie est assemblée par soudure, posée sur supports démontables et colliers. Toutes les traversées de cloisons et dalles sont munies de fourreaux pour permettre la dilatation des tuyauteries. Les fourreaux doivent protéger les tuyauteries des corrosions dues au mâchefer, ciment magnésien, eaux de lavage et autres pour éviter la propagation du bruit de part et d’autre de la paroi. Des lyres de dilatation sont prévues tous les 30 mètres maxi. Le cheminement de la tuyauterie s’effectue en terrasse sur des consoles supports fixées à l’ossature primaire des capteurs ou sur des consoles fixées à la structure dans la chaufferie. Les points hauts sont réalisés de telle sorte que la purge d’air s’effectue sur les capteurs solaires. Dans le cas contraire, il est fait usage de bouteilles de dégazage avec purgeur automatique à flotteur isolé par robinet d’arrêt et purge manuelle ramenée à 1,50 m du sol.

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L’ensemble des tuyauteries doit pouvoir être facilement vidangé au moyen de robinet à boisseau avec bouchon d’étanchéité. Pour la traversée de toiture-terrasse, le Titulaire doit la réalisation d’un chevêtre, d’un relevé avec chapeau pare-pluie et d’une reprise d’étanchéité. Toutes les précautions sont prises afin d’éviter la transmission des bruits et des vibrations en particulier les fourreaux et tous les supports ou colliers seront munis de matériaux antivibratoires. Le Titulaire doit la fourniture et la pose de deux couches de peinture antirouille, de couleurs différentes, sur l’ensemble de ces canalisations avant la pose du calorifuge. Pour ce faire, il doit un dégraissage des surfaces à peindre, un brossage soigné des canalisations et la pose d’un produit d’accrochage.

5.5.2) Fourreaux

Toutes les traversées de murs, planchers, cloisons se font par l’intermédiaire de fourreaux en élastomère pour les traversées des dalles ; dans les gaines, il est fait usage de fourreaux acoustiques genre GAINOJAC. Ils sont coupés de façon à : ! Araser le nu des parois pour les traversées horizontales. ! Araser en sous-face au niveau du plafond. ! Dépasser de 3 cm le niveau du sol fini pour les passages en dalles. Les diamètres des fourreaux sont ajustés aux diamètres des tuyauteries.

5.5.3) Supports

Les supports des canalisations sont réalisés par fer type U à hauteur réglable par suspentes scellées ou boulonnées. Le nombre et l'espacement des supports seront conformes aux normes. Les supports et suspentes sont fixés par colliers cadmiés à contrepartie démontable à pattes de fixation et rosaces d'écartement avec interposition de bague en élastomère. Fixation par tamponnage à vis. Le nombre de colliers mis en œuvre est conforme à la règlementation.

5.5.4) Calorifuge des canalisations

Les canalisations comprenant le primaire et secondaire solaire ont une enveloppe calorifuge comme suit : ! Les diamètres extérieurs de tubes, inférieurs à 60 mm auront une épaisseur de calorifuge de

30 mm. ! Les diamètres supérieurs ou égaux à 60 mm auront une épaisseur de calorifuge de 50 mm. Il est constitué de laine minérale de conductivité 0,042 W/k.m sous forme de coquilles avec protection par coquilles finition en acier inoxydable ou en aluminium insensible aux intempéries et installé de façon étanche, en terrasse ou finition P.V.C. dans la chaufferie. Tous les supports et raccords sont maintenus en dehors du calorifuge. Avant pose du calorifuge, la tuyauterie est peinte d’une couche de peinture antirouille, après brossage du tube. Toutes les parties des tuyauteries, y compris les flexibles d’alimentation des capteurs, les connexions entre capteurs et toutes canalisations en extérieur, sont calorifugées, comme décrit ci-dessus.

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5.6)5.6)5.6)5.6) EXPANSION EXPANSION EXPANSION EXPANSION ---- SÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉSÉCURITÉ L’expansion des réseaux primaires et secondaires de fluide solaire est assurée par des vases d’expansion, du type fermé sous pression d’azote, compris un ballon de refroidissement avant les vases d’expansion.. L’eau et le gaz doivent être séparés par une membrane, à haute résistance mécanique. Les vases d’expansion et les ballons tampon sont installés dans la chaufferie, suivant les indications du constructeur. Chaque circuit est muni d’une soupape de sécurité, tarée à 10 bars au primaire et 4 bars au secondaire, conforme à la norme NF 52-801, type PRESCOR. Les soupapes sont raccordées aux conduites de départ par un tube d’une longueur de 1,00 m minimum. Un manomètre avec robinet d’isolement est prévu pour permettant le contrôle de la pression. Un pressostat de marque SAUTER, réglé à 0,3 bars, arrêtera le fonctionnement des pompes en cas de baisse anormale de la pression, faisant craindre un manque d’eau. Le vase d’expansion devra être calculé avec une réserve minimale de 5 % sur les données du constructeur. ! Vase circuit primaire : 425 litres – 10 bars ! Vase circuit secondaire : 600 litres – 0,5 bars. ! Ballon de refroidissement circuit primaire : 500 litres – 10 bars ! Ballon de refroidissement circuit secondaire : 800 litres – 0,5 bars.

5.7)5.7)5.7)5.7) ROBINETTERIESROBINETTERIESROBINETTERIESROBINETTERIES Les différentes dérivations des circuits solaires primaire et secondaire ainsi que les appareils, pompes, panneaux, etc. peuvent être isolés au moyen de vannes à papillon, PN 10, pour les diamètres supérieurs à 50 mm, modèle à boisseau sphérique pour les diamètres inférieurs ou égaux à 50 mm compris contre-brides, joints et boulons pour les diamètres supérieurs. Chaque panneau solaire est équipé d’une vanne de réglage PN 10, modèle à soupape à joint fileté pour les diamètres inférieurs à 33 et à brides pour les diamètres supérieurs. Il est prévu sur chaque circuit une vanne de réglage permettant de régler la plage de fonctionnement en fonction des données débits/températures propres à chaque circuit. Chaque pompe, filtre, dégazeur, échangeur, ballons et en général tous appareils pouvant être déposés, sont montés entre des vannes d’isolement. L’installation peut être vidangée dans sa totalité par des robinets de vidange à tournant avec clé de manœuvre. Lorsqu’un point haut est inévitable, il doit être réalisé une purge par un robinet d’isolement et une purge d’air manuelle, ramenée à 1,50 m du sol, comprenant un robinet de purge. NotaNotaNotaNota : Le réseau primaire glycolé doit être vidangeable uniquement par la chaufferie et via un

bac de stockage, le glycol ne doit en aucun cas être évacué à l’égout. Les clapets de non-retour sont du type à battant, avec joint d’étanchéité, à faible perte de charge ou à clapets profilés avec ressort inoxydable de compensation. Toute la robinetterie doit être conforme aux normes NF. Le remplissage d’eau froide des installations solaires primaire et secondaire est réalisé à partir de la canalisation d’eau froide en chaufferie.

5.8)5.8)5.8)5.8) APPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLAPPAREILS DE CONTRÔLEEEE L’alimentation et le retour des différents circuits sont munis de thermomètres à liquide sous gaine de laiton. Des manomètres montés sur un bipasse en tube fer noir de diamètre 15-21, équipent de 2 vannes quart de tour pour prise de pression en amont et aval de chaque pompe. Il est prévu la mise en place d’un manomètre sur chaque circuit.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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5.9)5.9)5.9)5.9) COMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIESCOMPTEUR DE CALORIES L’alimentation de six ballons de stockage pour le concept de charge décharge de l’énergie solaire est équipée d’un compteur de calories, comprenant : ! 1 compteur à ultrasons avec sonde intégrée, avec raccordement MBus pour lecture directe

des consommations depuis la gestion centralisée de la régulation solaire. ! 1 sonde haute résolution avec doigt de gant. ! 1 intégrateur intégré. La pose est réalisée suivant recommandations du constructeur, avec vannes d’isolement, filtre et toutes sujétions.

5.10)5.10)5.10)5.10) REMPLISSAGE DU CIRCUREMPLISSAGE DU CIRCUREMPLISSAGE DU CIRCUREMPLISSAGE DU CIRCUIT PRIMAIRE ET SECONIT PRIMAIRE ET SECONIT PRIMAIRE ET SECONIT PRIMAIRE ET SECONDAIREDAIREDAIREDAIRE Le remplissage d’eau froide des installations solaires primaire et secondaire est réalisé à partir de l’attente laissée par le plombier dans la chaufferie. Ils comprennent (chacun : 2) : ! 1 canalisation en cuivre, diam. 33. ! 2 vannes de barrage à boisseau sphérique. ! 1 filtre efficacité 50 microns. ! 1 dis-connecteur à zone de pression réduite contrôlable de marque SOCLA diam. 33. ! 1 compteur d’eau à calculateur électronique auto-alimenté avec liaison filaire MBus de

marque SAPPEL type SCAMPY ou techniquement équivalent. ! 1 manomètre de contrôle de la pression avec robinet d’isolement. ! 2 vannes avec étiquette et deux vases doseurs de marque PERMO ou techniquement

équivalent type PERMOSAS 30, pour introduction de glycol sur le primaire et d’autres produits anticorrosion sur le secondaire, raccordées sur le primaire pour le remplissage général des installations.

5.11)5.11)5.11)5.11) ESSAIS D’ÉTANCHÉITÉESSAIS D’ÉTANCHÉITÉESSAIS D’ÉTANCHÉITÉESSAIS D’ÉTANCHÉITÉ Les essais d’étanchéité du circuit primaire (circuit capteurs) sont réalisés hors période de gel à la pression d’eau de ville. Le circuit est rempli le matin, maintenu en pression, la journée, et obligatoirement vidangé le soir. Ce circuit est rincé abondamment avant remplissage en antigel. Les essais du circuit sanitaire, du ballon et du circuit secondaire, sont effectués à la pression d’eau de ville. Ces circuits sont rincés abondamment et désinfectés et à nouveau rincés avant la mise en service de l’installation. Avant remplissage, il est réalisé un rinçage soigné et une vidange complète du circuit. Le fluide caloporteur est de type « prêt à l’emploi » assurant une protection à – 25 °C, avec additifs anticorrosion et ayant reçu un avis favorable du Conseil Supérieur de l’Hygiène Publique de France pour une utilisation en simple échange thermique, à l’exclusion d’eau de ville additionnée d’antigel. Il est à base de monopropylène-glycol (dosage 40 %). Le remplissage s’effectue au moyen de la pompe de remplissage à une pression correspondante à la hauteur statique de l’installation majorée de 1,5 bars. Après dégazage complet du circuit (normalement 3 à 4 jours après remplissage), les robinets d’isolement des purgeurs d’air automatiques du circuit primaire doivent être fermés et la pression résiduelle dans les capteurs devra être de 1 bar. S’assurer qu’une partie du volume du ou des vases d’expansion est bien occupée par le fluide (vessie décollée).

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5.12)5.12)5.12)5.12) NOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATIONNOTICE D’UTILISATION ET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIENET D’ENTRETIEN L’entrepreneur doit : ! Le schéma des installations sous forme de tableaux plastifiés. ! La fourniture des notices d’utilisation et d’entretien des différents matériels, ainsi que les

schémas électriques. ! Les étiquettes de repérage des différents circuits, aussi bien en local technique que dans le

reste du bâtiment. ! Les bandes de couleur autour du calorifuge ou des tuyauteries. ! L’information du personnel chargé de l’exploitation. ! Les plans et schémas de l’installation telle que réalisée (plans de récolement). ! Les essais COPREC avec les comptes-rendus des essais. L’ensemble est présenté dans des feuillets en plastique transparent, relié dans un classeur à 4 crochets, de dimension suffisante (format A4).

5.13)5.13)5.13)5.13) RÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGERÉGLAGE Le réglage des vannes s’effectue suivant la méthode REGIS, au moyen d’un appareil à microprocesseur de type CBI II équipé d’une disquette permettant de mémoriser les résultats du réglage. Les prescriptions fournies par le fabricant doivent être parfaitement respectées. Dans le cas d’une première réalisation, l’entreprise doit obligatoirement se faire assister par le fabricant. Chaque vanne de réglage sera identifiée par une étiquette sur laquelle figurent les informations suivantes : ! Le type de la vanne. ! Le diamètre de la vanne. ! La référence de la vanne. ! La position de réglage de la vanne. ! La perte de charge de la vanne. ! Le débit désiré. ! Le débit mesuré. ! Le nom du technicien qui a réalisé l’opération. ! La date du réglage. En fin de réglage, l’entreprise remet au maître d’œuvre la disquette informatique.

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ARTICLE 6 ARTICLE 6 ARTICLE 6 ARTICLE 6 ---- SPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNSPECIFICATIONS TECHNIQUES DES MATERIELS IQUES DES MATERIELS IQUES DES MATERIELS IQUES DES MATERIELS DE DE DE DE DESENFUMAGEDESENFUMAGEDESENFUMAGEDESENFUMAGE

6.1)6.1)6.1)6.1) GAINES DE DÉSENFUMAGGAINES DE DÉSENFUMAGGAINES DE DÉSENFUMAGGAINES DE DÉSENFUMAGEEEE

6.1.1) Généralités

Le désenfumage est de type amenée d’air naturel et extraction mécanique. Les gaines de désenfumage dans les circulations sont réalisées par le plâtrier, elles seront du type : ! PROMAT PROMATECT L500 ou techniquement équivalent, pour reconstituer la résistance au

feu d’une heure et sont constituées de plaque de 50 mm d’épaisseur, assemblage suivant P.V. et manchette de 50 mm entre les grilles et l’ouverture dans la gaine.

Des essais à la cartouche fumigène sont réalisés de manière à vérifier l’étanchéité des conduits. Les gaines bénéficient des PV pour les gaines elles-mêmes et les raccordements avec les gaines en tôle en combles ainsi que les rejets. Les gaines de prise d’air neuf en combles sont à la charge du présent lot compris chevêtres, costières, relevé d’étanchéité et toutes sujétions.

6.1.2) Gaines et dévoiement

Les réseaux d’extraction entre les gaine de désenfumage et les groupe d’extraction et entre les groupe d’extraction et les rejets en combles sont réalisés en tôle d’acier galvanisé, conformes à la norme NFA 36.221. L'épaisseur des conduits est choisie de manière à éviter toutes les vibrations ou phénomène de résonance. Elle ne peut être inférieure à : ! Pour les pressions inférieures à 50 mmCE :

• jusqu’à 500 mm de côté : 8/10 mm • de 500 à 1000 : 10/10 mm • de 1000 à 1500 : 12/10 mm • au-dessus de 1500 : 15/10 mm.

L’assemblage des conduits et l’étanchéité doivent permettre d’assurer la rigidité de l’ensemble et de limiter le débit de fuite à 1 % du débit normal. Des essais à la cartouche fumigène sont faits de manière à vérifier l’étanchéité des conduits. Les coudes doivent avoir un rayon au moins égal au diamètre de la gaine, sinon procédé donnant les mêmes pertes de charges (aubes directrices). Les conduits sont assemblés par coulisses et épingles avec bandes d’étanchéité si nécessaire. Le titulaire doit le façonnage et la pose de gaines d'extraction d'air vicié et de prise d’air frais en tôle d’acier galvanisé, depuis les gaines du plâtrier jusqu'aux sorties de toiture, façade et groupes d’extraction, compris rejets, ainsi que tous dévoiements. Elles sont de sections rectangulaires et auront les dimensions indiquées sur les plans d’exécution, tout en respectant le rapport de 1/2.

6.1.3) Habillage coupe-feu

Les réseaux en combles doivent être rendus coupe-feu à l’identique des gaines plâtre soit coupe-feu 1 heure. Pour ce faire, le Titulaire a à sa charge la mise en place d’une protection coupe-feu réalisée par des plaques en STUCAL ou un flocage. La protection qui est utilisée doit avoir un P.V. de pose conforme à sa mise en œuvre.

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6.2)6.2)6.2)6.2) BOUCHES D'BOUCHES D'BOUCHES D'BOUCHES D'AMENÉESAMENÉESAMENÉESAMENÉES D'AIR ET D'EXTRACTIOD'AIR ET D'EXTRACTIOD'AIR ET D'EXTRACTIOD'AIR ET D'EXTRACTIONNNN

6.2.1) Généralités

Les bouches sont à la charge du Titulaire. Les bouches d'amenées d'air et d’extraction sont réalisées par des volets de désenfumage à portillon, un ou deux vantaux coupe-feu 1 heure sur gaine ayant la certification CE. ! Les sections sont déterminées en fonction du nombre d'unités de passage à raison de 10 dm²

par UP. Les volets sont munis d'une grille de protection en acier thermolaqué de teinte RAL au choix de l'architecte et d'un cadre de fixation sur la maçonnerie. Toutes les bouches sont munies d'une bobine électromagnétique à émission assurant le déclenchement par mise sous tension du mécanisme et d'une commande manuelle ramenée à proximité des portes de circulation. Les bobines à émission seront alimentées en 48 volts courant continu. Les bouches d'amenées d'air sont installées avec le bord supérieur à une hauteur maximale inférieure ou égale à 1 m du sol. La partie inférieure des bouches d'extraction doit être à une hauteur supérieure ou égale à 1,80 m du sol ou dans le 3ème tiers supérieur. Le câblage électrique des bobines électromagnétiques équipant les clapets d'air est laissé en attente au droit de chaque volet et raccordé par le Titulaire. Il doit se mettre en rapport avec le Titulaire du lot détection incendie. Chaque grille doit être facilement démontable et montée sur charnièChaque grille doit être facilement démontable et montée sur charnièChaque grille doit être facilement démontable et montée sur charnièChaque grille doit être facilement démontable et montée sur charnières.res.res.res.

6.2.2) Bouches d'amenée d'air sur gaines

Les bouches d’amenée d’air neuf placées sur les gaines sont à un ou deux vantaux, de coupe-feu 1 heure ou techniquement équivalent. Ces volets sont constitués d’un manchon en matériau réfractaire avec cadre en cornière sur façade avant et de deux vantaux en matériau réfractaire pivotant sur un jeu de charnières. Ils doivent assurer une parfaite étanchéité à l’air froid provenant des gaines de part sa conception. Chaque volet de désenfumage est équipé d’une grille d'habillage en aluminium anodisé nature, d’un carré pompiers, d’un cadre de scellement, d’une bobine à émission 48 Vcc, de contact de position, ainsi que des moteurs de réarmement et leur câblage. NotaNotaNotaNota : Ces grilles devront être conformes à la norme NFS 61.937, conforme au marquage CE selon

la norme EN 12101-8 et posséder un procès-verbal de résistance au feu. Elles seront décomposées comme suit : ! Zone de désenfumage ZF 1.0 au rez de chaussée :

• Gaine AN n° 4 de 800 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°2-1.0 " Section libre : 40 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 600 x 950 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 3.1 au R+1 :

• Gaine AN n° 3 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°3-3.1 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

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! Zone de désenfumage ZF 3.1 au R+1 :

• Gaine AN n° 4 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°3’-3.1 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 4.1 au R+1 :

• Gaine AN n° 6 de 1 100 x 600 int. : " Numéro grille : AN n2’-4.1 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 950 x 850 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 5.1 au R+1 :

• Gaine AN n° 7 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1-5.1 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 5.1 au R+1 :

• Gaine AN n° 8 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1’-5.1 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 6.2 au R+2 :

• Gaine AN n° 3 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AN n°3-6.2 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 6.2 au R+2 :

• Gaine AN n° 4 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AN n°3’-6.2 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 8.2 au R+2 :

• Gaine AN n° 7 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1-8.2 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 8.2 au R+2 :

• Gaine AN n° 8 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1’-8.2 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 9.3 au R+3 :

• Gaine AN n° 3 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AN n°3-9.3 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

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! Zone de désenfumage ZF 9.3 au R+3 :

• Gaine AN n° 4 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AN n°3’-9.3 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 11.3 au R+3 :

• Gaine AN n° 7 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1-11.3 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 11.3 au R+3 :

• Gaine AN n° 8 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1’-11.3 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 12.4 au R+4 :

• Gaine AN n° 3 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AN n°3-12.4 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 12.4 au R+4 :

• Gaine AN n° 4 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AN n°3’-12.4 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 14.4 au R+4 :

• Gaine AN n° 7 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1-14.4 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 14.4 au R+4 :

• Gaine AN n° 8 de 1 000 x 500 int. : " Numéro grille : AN n°1’-14.4 " Section libre : 45 dm² " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 700 x 900 " Quantité : 1

6.2.3) Grille de prise d’air en façade

L’air neuf pour le désenfumage de la circulation de la zone de désenfumage ZF 4.1 au R + 1 est prise en façade du niveau inférieur. Pour limiter les arrivées d’air parasite lors du non fonctionnement du désenfumage, le Titulaire doit la fourniture et la pose de volet de surpression en façade. Le volet de surpression est de marque ALDES type ATO 75 ou techniquement et qualitativement équivalent. ! Zone de désenfumage ZF 2.0 au rez de chaussée :

• Gaine AE n° 6 de 300 x 600 int. :

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• Gaine AN n° 8 de 1 000 x 500 int. :

" Numéro grille : AN n°2-4.1 " Section libre : 60 dm² " Modèle : ATO 75 " Dimension volet : 1 000 x 500 " Quantité : 1

6.2.4) Bouches d’extraction sur gaines

Les grilles d’extraction placées sur les gaines sont de marque ALDES type VANTONE coupe-feu 1 heure, à un ou deux vantaux ou techniquement équivalent. Ces volets sont constitués d’un manchon en matériau réfractaire avec cadre en cornière sur façade avant et de deux vantaux en matériau réfractaire, pivotant sur un jeu de charnières. Ils doivent assurer une parfaite étanchéité à l’air froid provenant des gaines de part sa conception. Chaque volet de désenfumage est équipé d’une grille d'habillage type GFAP en aluminium anodisée nature, d’un carré pompier, d’un cadre de scellement, d’une bobine à émission 48 Vcc, de contact de position, ainsi que des moteurs de réarmement et leur câblage. NotaNotaNotaNota : Ces grilles devront être conformes à la norme NFS 61.937, conforme au marquage CE selon

la norme EN 12101-8 et posséder un procès-verbal de résistance au feu. ! Zone de désenfumage ZF 1.0 au rez de chaussée :

• Gaine AE n° 2 de 700 x 350 int. : " Numéro grille : AE n°1-1.0 " Débit : 7 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 550 x 700 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 3.1 au R+1 :

• Gaine AE n° 1 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2-3.1 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 3.1 au R+1 :

• Gaine AE n° 2 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-3.1 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 4.1 au R+1 :

• Gaine AE n° 5 de 600 x 600 int. : " Numéro grille : AE n°1-4.1 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 400 x 700 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 4.1 au R+1 :

• Gaine AE n° 5’ de 600 x 300 int. : " Numéro grille : AE n°3-4.1 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 450 x 650 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 5.1 au R+1 :

• Gaine AE n° 9 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2-5.1 " Débit : 16 200 m3/h

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" Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 5.1 au R+1 :

• Gaine AE n° 10 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-5.1 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 6.2 au R+2 :

• Gaine AE n° 1 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2-6.2 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 6.2 au R+2 :

• Gaine AE n° 2 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-6.2 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 7.2 au R+2 :

• Gaine AE n° 5 de 600 x 600 int. : " Numéro grille : AE n°1-7.2 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 400 x 700 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 7.2 au R+2 :

• Gaine AE n° 6 de 600 x 300 int. : " Numéro grille : AE n°3-7.2 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 450 x 650 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 8.2 au R+1 :

• Gaine AE n° 9 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2-8.2 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 8.2 au R+1 :

• Gaine AE n° 10 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-8.2 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 9.3 au R+3 :

• Gaine AE n° 1 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2-9.3 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 9.3 au R+3 :

• Gaine AE n° 2 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-9.3

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 81818181

" Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 10.3 au R+3 :

• Gaine AE n° 5 de 600 x 600 int. : " Numéro grille : AE n°1-10.3 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 400 x 700 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 10.3 au R+3 :

• Gaine AE n° 6 de 600 x 300 int. : " Numéro grille : AE n°3-10.3 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 450 x 650 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 11.3 au R+1 :

• Gaine AE n° 9 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2-11.3 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 11.3 au R+1 :

• Gaine AE n° 10 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-11.3 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 12.4 au R+4 :

• Gaine AE n° 1 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2-12.4 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 12.4 au R+4 :

• Gaine AE n° 2 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-12.4 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 13.3 au R+4 :

• Gaine AE n° 5 de 600 x 600 int. : " Numéro grille : AE n°1-13.4 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 400 x 700 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 13.4 au R+4 :

• Gaine AE n° 6 de 600 x 300 int. : " Numéro grille : AE n°3-13.4 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 450 x 650 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 14.4 au R+4 :

• Gaine AE n° 9 de 1 100 x 450 int. :

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CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 82828282

" Numéro grille : AE n°2-14.4 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 14.4 au R+1 :

• Gaine AE n° 10 de 1 100 x 450 int. : " Numéro grille : AE n°2’-14.4 " Débit : 16 200 m3/h " Modèle : OPTONE CF 2V - 1H30 de 850 x 750 " Quantité : 1

6.2.5) Bouches d’extraction en plafond

Les bouches d’extraction en plafond sont réalisé par des clapets de dalle de marque ALDES type ISONE montées dans les dalles avec le mécanisme de réarmement en sous face des dalles hautes hors de la gaine de dévoiement. Ces clapets ont un coupe-feu de 2h et comprennent outre le clapet coupe-feu télécommandé, un système de déclenchement à émission de courant, moteur de réarmement 48 V et contact de position début et fin de course et un système de réarmement à distance. NotaNotaNotaNota : Ces grilles devront être conformes à la norme NFS 61.937, conforme au marquage CE selon

la norme EN 12101-8 et posséder un procès-verbal de résistance au feu. L’ouverture du clapet ne devra pas se faire en obturant la veine d’air.

! Zone de désenfumage ZF 2.0 au rez de chaussée :

• Gaine AE n° 5 de 600 x 600 int. : " Numéro grille : AE n°1-2.0 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : ISONE 2H de 550 x 550 " Quantité : 1

! Zone de désenfumage ZF 2.0 au rez de chaussée :

• Gaine AE n° 6 de 300 x 600 int. : " Numéro grille : AE n°3-2.0 " Débit : 5 400 m3/h " Modèle : ISONE 2H de 550 x 550 " Quantité : 1

6.3)6.3)6.3)6.3) VENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRAVENTILATEURS D’EXTRACTIONCTIONCTIONCTION Les ventilateurs d'extraction sont de type caisson de désenfumage de marque ALDES type CYCLONE F400, ou techniquement équivalent, ayant une résistance au feu de 400 °C durant deux heures. Cette exigence doit pouvoir être justifiée par la présentation d'un procès-verbal d'essais délivré par un laboratoire agréé pour effectuer les essais de résistance au feu. La liaison entre le ventilateur et le conduit et entre le ventilateur et le rejet doit être en matériau incombustible et coupe-feu de degré 1 heure. Chaque ventilateur de désenfumage est commandé par un coffret de relayage de marque ALDES type AXONE micro II ou techniquement équivalent, conforme à la norme NFS 61-937. Ce coffret sera à la charge du présent lot. Il est également prévu un contrôleur de débit à palette ou pressostat différentiel, suivant le cas par moteur. Les groupes d’extraction sont équipés d’interrupteurs marche-arrêt, placés sur les caissons.

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CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 83838383

Chaque coffret doit obligatoirement intégrer les accessoires annexes suivants, (à la charge du présent lot, y compris l’ensemble des liaisons) : ! Un contrôleur permanent d’isolement, installé à proximité du moteur. ! Une commande arrêt pompier 949, installée à proximité du moteur. ! Un interrupteur de proximité, installé à côté du moteur. ! Une commande de réarmement à clé, installée dans la zone de mise en sécurité. ! Une télécommande de mise à l’arrêt du ventilateur, installée dans la zone de mise sécurité. ! Une commande manuelle de mise en route du ventilateur, installée dans la zone de mise en

sécurité à proximité de l’entrée des pompiers. ! Gaine AE n° 1 de 1 100 x 450 int. :

• Débit utile : 16 200 m3/h • Débit tourelle : 19 440 m3/h • Puissance électrique : 11 kW • Courbe de fonctionnement : A • Modèle : CYCLONE 500 • Pression disponible : 300

! Gaine AE n° 2 de 1 100 x 450 int. :

• Débit utile : 7 200 / 16 200 m3/h • Débit tourelle : 8 640 / 19 440 m3/h • Puissance électrique : 11 kW • Courbe de fonctionnement : A • Modèle : CYCLONE 500 • Pression disponible : 300

! Gaine AE n° 5 de 600 x 600 int. :

• Débit utile : 5 400 m3/h • Débit tourelle : 6 480 m3/h • Puissance électrique : 3 kW • Courbe de fonctionnement : A • Modèle : CYCLONE 280 • Pression disponible : 200

! Gaine AE n° 5’ de 600 x 300 int. :

• Débit utile : 5 400 m3/h • Débit tourelle : 6 480 m3/h • Puissance électrique : 4 kW • Courbe de fonctionnement : A • Modèle : CYCLONE 280 • Pression disponible : 280

! Gaine AE n° 9 de 1 100 x 450 int. :

• Débit utile : 16 200 m3/h • Débit tourelle : 19 440 m3/h • Puissance électrique : 11 kW • Courbe de fonctionnement : A • Modèle : CYCLONE 500 • Pression disponible : 300

! Gaine AE n° 10 de 1 100 x 450 int. :

• Débit utile : 16 200 m3/h • Débit tourelle : 19 440 m3/h • Puissance électrique : 11 kW • Courbe de fonctionnement : A • Modèle : CYCLONE 500 • Pression disponible : 300

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 84848484

6.4)6.4)6.4)6.4) LIAISONS ELECTRIQUESLIAISONS ELECTRIQUESLIAISONS ELECTRIQUESLIAISONS ELECTRIQUES Raccordement des grilles depuis les attentes amenées par le lot électricité en CR1 pour les asservissements et U 1000 R02 V pour les réarmements.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

CCTPCCTPCCTPCCTP BET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLIBET SOGECLI PagePagePagePage : : : : 85858585

ARTICLE 7 ARTICLE 7 ARTICLE 7 ARTICLE 7 ---- SPÉCIFICATSPÉCIFICATSPÉCIFICATSPÉCIFICATIONS TECHNIQUES DES IONS TECHNIQUES DES IONS TECHNIQUES DES IONS TECHNIQUES DES MATERIELS DIVERSMATERIELS DIVERSMATERIELS DIVERSMATERIELS DIVERS

7.1)7.1)7.1)7.1) CONTRAT DE MAINTENANCONTRAT DE MAINTENANCONTRAT DE MAINTENANCONTRAT DE MAINTENANCECECECE Le Titulaire doit le chiffrage d’un contrat de maintenance qui prend effet dès la fin de la période de parfait achèvement pour une période de 1 an, à l’exception du désenfumage. Pour la première année, cette prestations est a intégrer dans son offre au titre de l’année de parfaite achèvement. Le contrat de maintenance se base sur 2 visites annuelles minimum, une intervention sous H24 dans un délai de 4 heures pour la maintenance préventive des matériels : ! 1 visite en début d’année ! 1 visite en milieu d’année. Chaque intervention est réalisée comme suit : ! Contrôle des températures suivantes :

• Température de départ et de retour des différents circuits. • Température ambiante dans 10 pièces de référence. • Température de soufflage des différentes centrales.

! Contrôle chimique de l’eau de remplissage et des circuits chauffage et glycolé. • Vérification du PH et du TH de l’eau froide aux points de remplissage • Vérification de l’eau des réseaux de chauffage (présence de boue) • Vérification des propriétés du glycol

! Contrôle du bon fonctionnement de la régulation. ! Contrôle du bon fonctionnement de la production d’eau chaude solaire. ! Relevé des compteurs thermiques RRRRapport annuel d’exploitationapport annuel d’exploitationapport annuel d’exploitationapport annuel d’exploitation Transmet avant le 31 mars le rapport annuel d’exploitation de l’année écoulé. Ce rapport, transmis en trois (3) exemplaires, comporte les résultats des relevés et analyse décrit ci-dessus.

7.2)7.2)7.2)7.2) PLANS D’EXÉCUTIONPLANS D’EXÉCUTIONPLANS D’EXÉCUTIONPLANS D’EXÉCUTION Le Titulaire a à sa charge la réalisation des l’ensemble des plans d’exécution comprennent : ! Les tracés ! Les détails ! Les synthèses avec les autres corps d’état ! Les planchant de réservation ! Les dimensionnements des installations ! Les notes de calculs des dimensionnements L’ensemble de ces documents doit être fourni au bureau d’étude un mois après l’attribution des marchés pour visa et validation.

7.3)7.3)7.3)7.3) AUTOCONTRÔLEAUTOCONTRÔLEAUTOCONTRÔLEAUTOCONTRÔLE Le titulaire du présent lot réalisera un autocontrôle de l’ensemble de l’installation, validant la conformité et le bon fonctionnement des ouvrages. Pour ce faire, il devra l’établissement d’un rapport mentionnant la traçabilité des différents points vérifiés.

7.4)7.4)7.4)7.4) TRI, TRANSPORT ET FRTRI, TRANSPORT ET FRTRI, TRANSPORT ET FRTRI, TRANSPORT ET FRAIS DE DÉCHARGEAIS DE DÉCHARGEAIS DE DÉCHARGEAIS DE DÉCHARGE Chaque entreprise est responsable de l’évacuation de ses déchets, aussi aucune benne collective ne sera installée. Les déchets devront être triés suivant leur nature (classe 1, classe 2, classe 3), conformément à la loi du 13 juillet 1992 applicable au 1er juillet 2002. Les déchets seront évacués (le bon sera communiqué à la Maîtrise d’œuvre) vers des décharges agréées aux frais exclusifs de chaque entrepreneur ; il ne sera toléré aucun stockage de déchets sur le chantier.

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SCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLESCI RUE DE LILLE LOT N°15LOT N°15LOT N°15LOT N°15 Construction d’un E.H.P.A.D. à MONT SAINT MARTIN C.V.C. 17/01/2014 Indice : A

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7.5)7.5)7.5)7.5) PERCEMENTS ET REBOUCPERCEMENTS ET REBOUCPERCEMENTS ET REBOUCPERCEMENTS ET REBOUCHEMENTSHEMENTSHEMENTSHEMENTS L'entrepreneur titulaire du présent lot devra la réalisation sur place à l'aide d'une carotteuse de tous les percements nécessaires à la bonne réalisation de son ouvrage. Toutefois, ces trous pourront être réalisés par le gros-œuvre, dans les éléments de construction neufs, à condition qu’ils soient donnés en temps et en heure au bureau d'études béton pour qu'il puisse les intégrer dans ses plans. Tous les rebouchements incombant à l'entreprise du présent lot seront réalisés dans le même matériau que les supports et soigneusement finis. Un matériau résiliant sera placé entre les tubes et les parois. Un joint à la pompe en silicone incolore sera posé entre le vide du fourreau et les tubes.