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Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques Guillaume Dugas-Phocion

Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

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Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques. Guillaume Dugas-Phocion. La sclérose en plaques. Maladie relativement mal comprise, que l ’on suppose auto-immune Altération de la gaine de myéline Plaques apparaissant à l ’IRM dans la matière blanche. - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à

la sclérose en plaques

Guillaume Dugas-Phocion

Page 2: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

La sclérose en plaques

• Maladie relativement mal comprise, que l ’on suppose auto-immune

• Altération de la gaine de myéline• Plaques apparaissant à l ’IRM dans la matière

blanche

Page 3: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

IRM et diagnostic

• Diagnostic essentiellement basé sur l  ’examen clinique :– Signes sensitifs : paresthésies ascendantes des

membres inférieurs, démarche talonnante, malhabilité d ’ une main

– Signes moteurs

– Signes visuels

– Signes cognitifs

Ces paresthésies sont décrites comme des fourmillements ou un engourdissement plus que comme des picotements, souvent plus tardifs dans l ’ évolution de la maladie

Ces paresthésies sont décrites comme des fourmillements ou un engourdissement plus que comme des picotements, souvent plus tardifs dans l ’ évolution de la maladie

Page 4: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

IRM et diagnostic

• Diagnostic essentiellement basé sur l  ’examen clinique :– Signes sensitifs

– Signes moteurs : faiblesse musculaire, fatigue ; spasticité

– Signes visuels

– Signes cognitifs

Page 5: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

IRM et diagnostic

• Diagnostic essentiellement basé sur l  ’examen clinique :– Signes sensitifs

– Signes moteurs

– Signes visuels : douleurs péri-orbitaire ou rétro-orbitaire, baisse de l ’acuité visuelle

– Signes cognitifs

Page 6: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

IRM et diagnostic

• Diagnostic essentiellement basé sur l ’examen clinique :– Signes sensitifs

– Signes moteurs

– Signes visuels

– Signes cognitifs : troubles de la mémoire, du raisonnement abstrait et de l ’attention

Page 7: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

IRM et diagnostic

• Diagnostic essentiellement basé sur l  ’examen clinique

• Rôle des examens complémentaires :– Ecarter d ’autres diagnostics possibles

– Contribuer au diagnostic de SEP

– Evaluer l ’efficacité des traitements

Le diagnostic reste un diagnostic d ’élimination plus qu ’un diagnostic positif. Les critères de Poser

définissent deux groupes de SEP (définie et probables) et deux sous-groupes (le premier, clinique, le second

recourant aux examens complémentaires

Le diagnostic reste un diagnostic d ’élimination plus qu ’un diagnostic positif. Les critères de Poser

définissent deux groupes de SEP (définie et probables) et deux sous-groupes (le premier, clinique, le second

recourant aux examens complémentaires

Page 8: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

IRM et diagnostic

• Diagnostic essentiellement basé sur l  ’examen clinique

• Rôle des examens complémentaires• Examens complémentaires :

– Analyse du liquide céphalo-rachidien (LCR)

– Potentiels évoqués

– IRM

Analyse du liquide céphalo-rachidien (LCR) : activité immunologique - lymphocytes T, globulines - non spécifique

Analyse du liquide céphalo-rachidien (LCR) : activité immunologique - lymphocytes T, globulines - non spécifique

Les potentiels évoqués sont des potentiels électriques recueillis après une brève stimulation

stéréotypée, appliquée de façon répétitive.

Utilisés pour confirmer l ’atteinte clinique en cas de symptômes inhabituels.

Les potentiels évoqués sont des potentiels électriques recueillis après une brève stimulation

stéréotypée, appliquée de façon répétitive.

Utilisés pour confirmer l ’atteinte clinique en cas de symptômes inhabituels.

Les lésions évocatrices de SEP sont confluentes, périventriculaires à contour irréguliers et/ou ovalaires perpendiculaires à l ’axe anté-postérieurs.

Signes non-spécifiques de la SEP

Les lésions évocatrices de SEP sont confluentes, périventriculaires à contour irréguliers et/ou ovalaires perpendiculaires à l ’axe anté-postérieurs.

Signes non-spécifiques de la SEP

L ’IRM, au même titre que les autres examens complémentaires, n ’apporte au diagnostic qu ’un

élément de dissémination spaciale, et temporel en cas de rehaussement du signal après injection de

Gadolinium

L ’évaluation de l ’IRM repose sur deux paramètres : la charge lésionnelle et l ’activité lésionnelle. Etudes en

cours sur la corrélation entre localisation et symptômes. (Charil et Zijdenbos)

L ’IRM, au même titre que les autres examens complémentaires, n ’apporte au diagnostic qu ’un

élément de dissémination spaciale, et temporel en cas de rehaussement du signal après injection de

Gadolinium

L ’évaluation de l ’IRM repose sur deux paramètres : la charge lésionnelle et l ’activité lésionnelle. Etudes en

cours sur la corrélation entre localisation et symptômes. (Charil et Zijdenbos)

Page 9: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Signature IRM des plaques

• Données : IRM T1, T2 FSE, T2 FLAIR, Densité de Protons

Prétraitement des données par un recalage rigide intra-patient sur l ’IRM T1 du même instant.

Le recalage est un recalage iconique robuste avec pyramide d ’images

Prétraitement des données par un recalage rigide intra-patient sur l ’IRM T1 du même instant.

Le recalage est un recalage iconique robuste avec pyramide d ’images

Page 10: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Signature IRM des plaques

• Données : IRM T1, T2 FSE, T2 FLAIR, Densité de Protons

• Caractéristiques générales :– Hypersignal en T2 et en DP : globalité des plaques

– Hyposignal en T1 : zones nécrotiques

– Hypersignal en T2 FLAIR : basse résolution

Page 11: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Signature IRM des plaques

• Données : IRM T1, T2 FSE, T2 FLAIR, Densité de Protons

• Caractéristiques générales• Forte variabilité des plaques - intensité ou

localisation

Cette variabilité IRM est le reflet de la variabilité réelle des plaques : périventriculaires, juxtacorticales, dans le cervelet, dans le corps calleux, dans le tronc cérébrales ; lésions actives, œdémateuses, nécrotiques, jeunes, etc.

Cette variabilité IRM est le reflet de la variabilité réelle des plaques : périventriculaires, juxtacorticales, dans le cervelet, dans le corps calleux, dans le tronc cérébrales ; lésions actives, œdémateuses, nécrotiques, jeunes, etc.

Page 12: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Objectif à long terme

• Obtention de chiffres directement exploitables– signification médicale réelle (charges lésionnelles)

– estimation de l ’erreur sur ces chiffres

• Validation par segmentation d ’experts• Corrélation avec les études sur les déficits

physiques et cognitifs

Page 13: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Difficultés

• Forte variabilité inter-expert pour la validation• Définition difficile d ’un modèle IRM de lésion• On ne connaît pas a priori le poids relatif des

lésions entre elles

Prétraitement : tout ce qui n ’est pas sain est potentiellement malade

Page 14: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Hypothèses de base

• Labélisation : matière blanche, matière grise, LCR.

• Segmentation basée sur l ’intensité• Modèle de bruit gaussien

Segmentation basée sur un algorithme d ’Expectation Maximisation.

Page 15: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

Page 16: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

Page 17: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

Page 18: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

Page 19: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

• Densité de probabilité gaussienne :

f(yj | lj, ) = Gl(yj - l)

• Indépendance spatiale des voxels• Modèle de mixture de gaussienne• Algorithme en 2 étapes

Page 20: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

• Densité de probabilité gaussienne• Indépendance spatiale des voxels• Modèle de mixture de gaussienne• Algorithme en 2 étapes

Page 21: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

• Densité de probabilité gaussienne• Indépendance spatiale des voxels• Modèle de mixture

f(Y | ) = f(yj | )

avec f(yj | ) = f(yj | lj=k, )·k

• Algorithme en 2 étapes

Page 22: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

• Densité de probabilité gaussienne• Indépendance spatiale des voxels• Modèle de mixture de gaussienne• Algorithme en 2 étapes :

– Expectation : labélisation des voxels

– Maximisation : estimation des paramètres par maximisation de la vraisemblance

Page 23: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

• Expectation : calcul des probabilités pour chaque voxel

f(lj | Y, (m-1)) = ___________________

• Maximisation : mise à jour des paramètres des classes

f(yj | lj, (m-1)) * lj

k f(yj | lj = k, (m-1)) * k

Probabilité a priori dans le cadre de la loi de Bayes : attention au fait que dans notre cas, la probabilité a priori dépend de la position du voxel (Atlas probabiliste)

Probabilité a priori dans le cadre de la loi de Bayes : attention au fait que dans notre cas, la probabilité a priori dépend de la position du voxel (Atlas probabiliste)

Page 24: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Expectation maximisation

• Expectation : calcul des probabilités pour chaque voxel• Maximisation : mise à jour des paramètres des

classes (M estimateurs)

k(m) = __________________________

k(m) = ___________________________________

j f(lj = k | Y, (m-1)) * yj (m-1)

j f(lj = k | Y, (m-1))

j f(lj = k | Y, (m-1)) * (yj (m-1) - k

(m)) * (yj (m-1) - k

(m)) ’

j f(lj = k | Y, (m-1))

Page 25: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

EM Simple : résultats

Page 26: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

EM Simple : résultats

Page 27: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

EM Simple : résultats

Page 28: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Application aux lésions de SEP

• Extraction des points aberrants comme pré-segmentation des lésions

• Seuillage sur le χ2 correspondant à chaque classe

• Algorithme à 3 étapes :– Expectation : labélisation des voxels

– Maximisation : estimation des paramètres sans les voxels labellisés comme point aberrant

– Extraction des points aberrants

Rajouter l ’équation du seuil des points abherrants

Rajouter le calcul du biais dans l ’EM

Toucher un mot des contraintes locales

Rajouter l ’équation du seuil des points abherrants

Rajouter le calcul du biais dans l ’EM

Toucher un mot des contraintes locales

Page 29: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Application aux lésions de SEP

Page 30: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Améliorations

• Objectif : débruiter la segmentation des lésions– Diminuer la variance des classes pures

– Conserver la sensibilité de la segmentation

Inclusion d ’un modèle de volume partiels

Page 31: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Modèle de volume partiel

• Un voxel est dit partiel quand il est composé de plusieurs tissus

1

2

Page 32: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Modèle de volume partiel

• Dans le cas de l ’IRM, le bruit est considéré comme gaussien

Page 33: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Modèle de volume partiel

• Dans le cas de l ’IRM, le bruit est considéré comme gaussien

• L’intensité est linéaire en la proportion de tissu dans les volumes partiels :

• Ip = I1 + (1 - )I2

Page 34: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Modèle de volume partiel• Dans le cas de l ’IRM, le bruit est considéré comme

gaussien• L’intensité est linéaire en la proportion de tissu dans

les volumes partiels :

• Ip = I1 + (1 - )I2

• Le résultat est calculable dans le cas gaussien, pour fixé : – I1 = G(1, 1)

– I2 = G(2, 2)Ip = G(1 + (1 - ) 2, 1 + (1 - ) 2)

Page 35: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Modèle de volume partiel : simulation

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Page 36: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Modèle de volume partiel partiel : simulation

12

Page 37: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Algorithme

• EM classique : deux étapes– Labélisation des voxels en fonction des paramètres

courants

– Estimations des paramètres en maximisant la vraisemblance

Page 38: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Algorithme

• EM avec classes partielles : trois étapes– Labélisation des voxels en fonction des paramètres

courants - classes pures et partielles

– Estimations des paramètres des classes pures en maximisant la vraisemblance

– Calcul des paramètres des classes en fonction des paramètres des classes pures

Page 39: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

• EM avec classes partielles : trois étapes

Page 40: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

• EM classique : deux étapes

Page 41: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

• EM avec classes partielles : trois étapes

Page 42: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

• EM classique : deux étapes

Page 43: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats : segmentation

Page 44: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Conclusion partielle

• Conclusion partielle : légère diminution de la variance des classes pures.

• Que se passe-t-il si on augmente le nombre de classes partielles ?

Page 45: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

• EM avec classes partielles : trois étapes

Page 46: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

• EM avec classes partielles : trois étapes

Page 47: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Conclusion partielle (bis)

• Conclusion partielle : comme prévu, la variance diminue progressivement

• Cette diminution est trop faible pour être suffisante

• Contraintes supplémentaires nécessaires– Contrainte locale (modification de la probabilité a-

priori) sans exploser le temps de calcul

– Contrainte sur la variance des classes pures ?

Page 48: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Atlas probabiliste pour les volumes partiels

• Champs de Markov trop coûteuse en temps de calcul• On applique une contrainte locale une seule fois :

– Premier EM sans volumes partiels

– Extractions des zones susceptibles de contenir des voxels partiels

– Mise à jour de l ’atlas

– Deuxième EM incluant les classes partielles

Rajouter une suite de schémas qui montre comment on fait effectivement le calcul

Rajouter une suite de schémas qui montre comment on fait effectivement le calcul

Page 49: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

EM sans volumes partiels

Page 50: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Génération d ’un masque pour chaque interface

Page 51: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

Page 52: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

Page 53: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

Page 54: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats

Page 55: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Conclusion

Page 56: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Annexes

Page 57: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Estimation des points aberrants

• Rajout d ’une classe uniformément distribuée• Maximisation de la vraisemblance :

j log( f(yj | ) + ) 0

On considère qu ’une petite fraction des données est dessinée comme une classe poubelle uniformément distribuée

On considère qu ’une petite fraction des données est dessinée comme une classe poubelle uniformément distribuée

Page 58: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Estimation des points aberrants

• Mise à jour des estimateurs (W Estimateurs) :

t(yj | (m-1)) = _____________f(yj | (m-1))

f(yj | (m-1)) +

Page 59: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Estimation des points aberrants

• Mise à jour des estimateurs (W Estimateurs) :

k(m) = _____________________________

k(m) = ____________________________________

• Estimation des points aberrants :

1 - j t(yj | (m-1)) f(lj = k | Y, (m-1))

j t(yj | (m-1)) f(lj = k | Y, (m-1)) * yj (m-1)

j t(yj | (m-1)) f(lj = k | Y, (m-1))

j t(yj | (m-1)) f(lj = k | Y, (m-1)) * (yj (m-1) - k

(m)) * (yj (m-1) - k

(m)) ’

j t(yj | (m-1)) f(lj = k | Y, (m-1))

Page 60: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Test du χ2

• Paramètres de la gaussienne : , • Ellipse d ’ équiprobabilité :

(y- )t (y- ) = χ2

• Seuillage sur la probabilité d ’appartenance à une classe = seuillage sur le χ2

Introduire la distance de mahalanobis comme la ‘taille’ d ’une ellipse. Dans notre cas, cela revient à faire un test sur la probabilité

Introduire la distance de mahalanobis comme la ‘taille’ d ’une ellipse. Dans notre cas, cela revient à faire un test sur la probabilité

Page 61: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats : segmentation (sans atlas)

Page 62: Segmentation d ’IRM cérébrales multi-séquences et application à la sclérose en plaques

Résultats : segmentation (avec atlas)