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^ BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
SÉLECTION DES DÉPOTSDE DÉCHETS INDUSTRIELS DANGEREUX
IMPLANTÉS DANS DES SITESHYDROGÉOLOGIQUEMENT DÉFAVORABLES
Département environnement
81 SGN 145 ENV
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
SÉLECTION DES DEPOTS
DE DÉCHETS INDUSTRIELS DANGEREUX
IMPLANTÉS DANS DES SITES
HYDROGÉOLOGIQUEMENT DÉFAVORABLES
par
J. MILA
"rnF^uij
Département environnement
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.8O01
81 SGN 145 ENV Février 1981
Réalisation ' Dâpartementdes Arts Graphiques
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
SÉLECTION DES DEPOTS
DE DÉCHETS INDUSTRIELS DANGEREUX
IMPLANTÉS DANS DES SITES
HYDROGÉOLOGIQUEMENT DÉFAVORABLES
par
J. MILA
"rnF^uij
Département environnement
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.8O01
81 SGN 145 ENV Février 1981
Réalisation ' Dâpartementdes Arts Graphiques
SELECTION VES VEPOTS VE VECHETS WVUSTRIELS
VANGEREUX IMPLANTES VANS VES SITES
HVVROGEO LOGIQUEMENT VE¥A[/ORABLES
pan Jane MILA
S] SGN ]46 ENV Févnten. 19 SI
RESUME
En 19.73, l'A.N.R.E.D. avait confié au B.R.G.M. un inventaire
national des dépôts de déchets industriels potentiellement dangereux pour
la qualité des nappes d'eau souterraines : "Points Noirs".
A l'aide de ces inventaires régionaux et d'une actualisation
réalisée courant 1979 avec la collaboration des Services Géologiques Régionaux
du B.R.G.M., 19 dépôts comportant des déchets toxiques et reposant sur un
sol vulnérable ont été sélectionnés. Ces sites présentant un haut risque
potentiel vis à vis des eaux souterraines devraient faire l'objet d'une
meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais surtout d'un
constat géochimique de la qualité du sol environnant et, le cas échéant,
de la nappe sous-jacente.
Une approche bibliographique des méthodes géophysiques utilisables
pour la caractérisation des pollutions par décharges dans les nappes est
également proposée.
Ce travail a été réalisé dans le cadre des travaux propres 1980
du département ENVIRONNEMENT.
SELECTION VES VEPOTS VE VECHETS WVUSTRIELS
VANGEREUX IMPLANTES VANS VES SITES
HVVROGEO LOGIQUEMENT VE¥A[/ORABLES
pan Jane MILA
S] SGN ]46 ENV Févnten. 19 SI
RESUME
En 19.73, l'A.N.R.E.D. avait confié au B.R.G.M. un inventaire
national des dépôts de déchets industriels potentiellement dangereux pour
la qualité des nappes d'eau souterraines : "Points Noirs".
A l'aide de ces inventaires régionaux et d'une actualisation
réalisée courant 1979 avec la collaboration des Services Géologiques Régionaux
du B.R.G.M., 19 dépôts comportant des déchets toxiques et reposant sur un
sol vulnérable ont été sélectionnés. Ces sites présentant un haut risque
potentiel vis à vis des eaux souterraines devraient faire l'objet d'une
meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais surtout d'un
constat géochimique de la qualité du sol environnant et, le cas échéant,
de la nappe sous-jacente.
Une approche bibliographique des méthodes géophysiques utilisables
pour la caractérisation des pollutions par décharges dans les nappes est
également proposée.
Ce travail a été réalisé dans le cadre des travaux propres 1980
du département ENVIRONNEMENT.
5 O MAIRE
JHHiCfOUCnOH
VESCRIVTIOK VIS, FICHES :
Fiche, n" 1 - Cmmiint de IWUo/u (59) F-cc/ie fî*" 2 - ComeiULYiz de hiViy-ScuyttlnoA ióO] F^c/ie n* 3 - Comma^ie dt VtZtmbnmf [60] Vlakz n" 4 ' Commune, dz NoJÙit-Vame.-de.-GKa.ve.nckon . . ,F^c/ie Yi° B ' ComnuYiz de N2^lt& [SO] FXc/ie n" ó - Commíine de Spay-A^ytage. (72 ] FXc/ie n* ? - Commune de M£W.o¿£eó-¿eó-B^Líiu.ttó (72) ...F-tcíie n^ S ' Commune, de Champagne. {72) F^cAe n" 9 - Commune de St GK.é.QOÀAz (35) Fiche, n" 70 - Commune de la &lu*^ j^-cê/te (i5) Fiche, n^ n ' Commune, de. VoKLUheMn (67 ) Facile n" 12 - Commune de. la Wantztnau [67] Facile n" 13 - Commune de Wlntzcnheln {6è) Fiche n° 14 - Commune de. VumeJi-yiovitayKaZ [47] ........F^cfie n^ 15 ' Canmune de, Gn.autheX (SI) Facile n" 16 ' Commune d*Ï66ol/ie (63) Tlche. n" 77 - Commune, de. VcwJbi en VeXJ-n [69] Viche n^ H ' Commune, de, St VaZJUeA ¿uA HhÔne. [26] ...FXciie n" 7 9 - Commune de. Vaàle ( 25 )
mVEHS TECHmOUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LAPOLLirrjOhi a] ÎlepéAoge. du dtpÔt 61 Aí¿¿e en hj-idencz de, la pollution dan teM Áot6 ....c) CoyiÙLote de ta potùjutlon dam> tej> eaux 6oute/ifLalne¿d] Jde.ntl£lcatlon deJ> mü>6lon& gazeu^eÁ
CONCLUSION
1
U
12
17252$3642444649555760646S7B
èO
ê4S793
9597
100101103
104
5 O MAIRE
JHHiCfOUCnOH
VESCRIVTIOK VIS, FICHES :
Fiche, n" 1 - Cmmiint de IWUo/u (59) F-cc/ie fî*" 2 - ComeiULYiz de hiViy-ScuyttlnoA ióO] F^c/ie n* 3 - Comma^ie dt VtZtmbnmf [60] Vlakz n" 4 ' Commune, dz NoJÙit-Vame.-de.-GKa.ve.nckon . . ,F^c/ie Yi° B ' ComnuYiz de N2^lt& [SO] FXc/ie n" ó - Commíine de Spay-A^ytage. (72 ] FXc/ie n* ? - Commune de M£W.o¿£eó-¿eó-B^Líiu.ttó (72) ...F-tcíie n^ S ' Commune, de Champagne. {72) F^cAe n" 9 - Commune de St GK.é.QOÀAz (35) Fiche, n" 70 - Commune de la &lu*^ j^-cê/te (i5) Fiche, n^ n ' Commune, de. VoKLUheMn (67 ) Facile n" 12 - Commune de. la Wantztnau [67] Facile n" 13 - Commune de Wlntzcnheln {6è) Fiche n° 14 - Commune de. VumeJi-yiovitayKaZ [47] ........F^cfie n^ 15 ' Canmune de, Gn.autheX (SI) Facile n" 16 ' Commune d*Ï66ol/ie (63) Tlche. n" 77 - Commune, de. VcwJbi en VeXJ-n [69] Viche n^ H ' Commune, de, St VaZJUeA ¿uA HhÔne. [26] ...FXciie n" 7 9 - Commune de. Vaàle ( 25 )
mVEHS TECHmOUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LAPOLLirrjOhi a] ÎlepéAoge. du dtpÔt 61 Aí¿¿e en hj-idencz de, la pollution dan teM Áot6 ....c) CoyiÙLote de ta potùjutlon dam> tej> eaux 6oute/ifLalne¿d] Jde.ntl£lcatlon deJ> mü>6lon& gazeu^eÁ
CONCLUSION
1
U
12
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èO
ê4S793
9597
100101103
104
- 1 -
ÍNTROVUCTION
Ces dernières années, à travers le monde, de nombreux dépôts de
produits chimiques toxiques, enfouis depuis 10 à 3D ans, ont été découverts
dans des circonstances parfois dramatiques.
Des lotissements avaient en effet été construits sur des dépôts cachés.
Les produits toxiques, contenus dans ces dépôts ont attaqué progressive¬
ment les canalisations, polluant ainsi les eaux de consommation. Des odeurs
nauséabondes sont apparues ainsi que des signes cliniques (vertiges, maux de
tête, nausées...] chez les habitants.
Aux Etats-Unis, sur le site fâcheusement célèbre de Love Canal, au
mois d'Août 1978, 238 familles durent être évacuées [Réf. 1].
Pourtant dès 1977 les habitants de Niagara Fall se plaignaient
d'odeurs désagréables se propageant dans leur sous-sol.
Le 2 Août 1978, "New- York State Health Comissionner" ordonnait la
fermeture de l'école et recommande l'évacuation des femmes enceintes et des
enfants de moins de 2 ans.
Le 7 Août l'évacuation des familles fut décidée.
Le 10 Août la destruction de certaines maisons était proposée.
Le lotissement avait été construit en 1953, sur un ancien canal qui
avait servi de 1920 à 1950 de décharge municipale recevant également des déchets
chimiques.
- 1 -
ÍNTROVUCTION
Ces dernières années, à travers le monde, de nombreux dépôts de
produits chimiques toxiques, enfouis depuis 10 à 3D ans, ont été découverts
dans des circonstances parfois dramatiques.
Des lotissements avaient en effet été construits sur des dépôts cachés.
Les produits toxiques, contenus dans ces dépôts ont attaqué progressive¬
ment les canalisations, polluant ainsi les eaux de consommation. Des odeurs
nauséabondes sont apparues ainsi que des signes cliniques (vertiges, maux de
tête, nausées...] chez les habitants.
Aux Etats-Unis, sur le site fâcheusement célèbre de Love Canal, au
mois d'Août 1978, 238 familles durent être évacuées [Réf. 1].
Pourtant dès 1977 les habitants de Niagara Fall se plaignaient
d'odeurs désagréables se propageant dans leur sous-sol.
Le 2 Août 1978, "New- York State Health Comissionner" ordonnait la
fermeture de l'école et recommande l'évacuation des femmes enceintes et des
enfants de moins de 2 ans.
Le 7 Août l'évacuation des familles fut décidée.
Le 10 Août la destruction de certaines maisons était proposée.
Le lotissement avait été construit en 1953, sur un ancien canal qui
avait servi de 1920 à 1950 de décharge municipale recevant également des déchets
chimiques.
- 2 -
Le laboratoire de l'Agence de la protection de l'environnement
des Etats-Unis a identifié plus de 100 produits chimiques dont 11 sont connus
comme cancérigènes (Benzène, dioxine. Toluene. Chlorobenzène. . . ) .
Le canal était creusé dans des argiles peu perméables.
Dans un premier temps, les autorités ont abaissé le niveau de la
nappe afin d'éviter toute contamination des eaux souterraines, et ont empêché
l'infiltration des eaux pluviales vers le canal.
Par la suite, ils installèrent un réseau de drainage pour collecter
le lessivât toxique.
Le coût de cette opération est estimé à 50 millions de NF.
En Hollande à Lekkerkeck, ce sont 268 familles qui abandonnèrent
leurs maisons bâties sur d'anciens canaux remplis de Toluène, Xylene, hydrocar¬
bures aromatiques et de solvants (réf. 2],
A LekkerkerK, pour des raisons sociales et financières, il fut décidé
de décontaminer le site, sans détruire les maisons. Les mesures appliquées au
nombre de B furent :
1] Destruction dans un périmètre déterminé, de toute la végétation,
ainsi que tout le matériel d'alimentation en eau ou en électricité
(canalisations, cables...] qui se trouvaient dans le sous-sol
contaminé.
23 Confinement du sol contaminé à l'aide de pal planches pour éviter
l'extension de la pollution durant le nettoyage du site.
3] Maintien d'un niveau piézomètrique bas, afin d'éviter l'extension
de la pollution vers la nappe par le lessivage des sols contaminés.
4] Incinération des sols contaminés, ainsi que l'épuration des eaux
pompées dans la zone polluée.
Les eaux épurées étant rejetées dans la rivière Lek, alors que les
boues d'épuration sont également brûlées.
- 2 -
Le laboratoire de l'Agence de la protection de l'environnement
des Etats-Unis a identifié plus de 100 produits chimiques dont 11 sont connus
comme cancérigènes (Benzène, dioxine. Toluene. Chlorobenzène. . . ) .
Le canal était creusé dans des argiles peu perméables.
Dans un premier temps, les autorités ont abaissé le niveau de la
nappe afin d'éviter toute contamination des eaux souterraines, et ont empêché
l'infiltration des eaux pluviales vers le canal.
Par la suite, ils installèrent un réseau de drainage pour collecter
le lessivât toxique.
Le coût de cette opération est estimé à 50 millions de NF.
En Hollande à Lekkerkeck, ce sont 268 familles qui abandonnèrent
leurs maisons bâties sur d'anciens canaux remplis de Toluène, Xylene, hydrocar¬
bures aromatiques et de solvants (réf. 2],
A LekkerkerK, pour des raisons sociales et financières, il fut décidé
de décontaminer le site, sans détruire les maisons. Les mesures appliquées au
nombre de B furent :
1] Destruction dans un périmètre déterminé, de toute la végétation,
ainsi que tout le matériel d'alimentation en eau ou en électricité
(canalisations, cables...] qui se trouvaient dans le sous-sol
contaminé.
23 Confinement du sol contaminé à l'aide de pal planches pour éviter
l'extension de la pollution durant le nettoyage du site.
3] Maintien d'un niveau piézomètrique bas, afin d'éviter l'extension
de la pollution vers la nappe par le lessivage des sols contaminés.
4] Incinération des sols contaminés, ainsi que l'épuration des eaux
pompées dans la zone polluée.
Les eaux épurées étant rejetées dans la rivière Lek, alors que les
boues d'épuration sont également brûlées.
- 3 -
5) Enlèvement des sols et des déchets sous les maisons, grâce à un
matériel de forage. Cette opération fut d'ailleurs la plus délicate.
B] Remplissage des canaux par du sable, puis mise en place d'une couche
de terre et rétablissement du niveau piézomètrique normal.
Au total, 2000 fûts et 75.000 T de déchets et sols pollués furent
évacues.
Les autorités locales pensent qu'avant Février 1981, les familles
pourront retrouver leur logement.
Le coût de cette opération est estimé à plus de 140 millions de
Guilders (290 millions de F.F.).
En Novembre 1980, les Etat-Unis organisèrent à PARIS un séminaire
d'experts sur les décharges "Point-Noir" de déchets dangereux, dans le cadre
de l'OCDE (organisation de coopération et de développement économique]. Trois
thèmes de réflexion et de discussion ont été proposés aux experts.
- Localisation et identification des sites critiques.
- Evaluation de l'Impact des décharges sur l'environnement et la santé.
- Remèdes et méthodes de décontamination.
Le compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement.
Dès 1978, la France s'occupait déjà des problèmes posés par les points
noirs.
A la demande de l'ANRED (Agence nationale de récupération et d'élimina¬
tion des déchets], les services géologiques régionaux (SGR] du Bureau de
recherchas géologiques et minières, a partir d'informations disponibles (études
déjà réalisées par les SGR ou d'autres organismes, enquêtes officielles, données
acquis.es au titre du code minier, cartes géologiques et hydrogéologiques,
photographies aériennes récentes et sans mesures nouvelles sur le terrain, ont
rassemblé et synthétisé toutes leurs documentations sur : "les zones d'accumulation
de déchets portant ou susceptibles de porter atteinte à l'environnement" .
- 3 -
5) Enlèvement des sols et des déchets sous les maisons, grâce à un
matériel de forage. Cette opération fut d'ailleurs la plus délicate.
B] Remplissage des canaux par du sable, puis mise en place d'une couche
de terre et rétablissement du niveau piézomètrique normal.
Au total, 2000 fûts et 75.000 T de déchets et sols pollués furent
évacues.
Les autorités locales pensent qu'avant Février 1981, les familles
pourront retrouver leur logement.
Le coût de cette opération est estimé à plus de 140 millions de
Guilders (290 millions de F.F.).
En Novembre 1980, les Etat-Unis organisèrent à PARIS un séminaire
d'experts sur les décharges "Point-Noir" de déchets dangereux, dans le cadre
de l'OCDE (organisation de coopération et de développement économique]. Trois
thèmes de réflexion et de discussion ont été proposés aux experts.
- Localisation et identification des sites critiques.
- Evaluation de l'Impact des décharges sur l'environnement et la santé.
- Remèdes et méthodes de décontamination.
Le compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement.
Dès 1978, la France s'occupait déjà des problèmes posés par les points
noirs.
A la demande de l'ANRED (Agence nationale de récupération et d'élimina¬
tion des déchets], les services géologiques régionaux (SGR] du Bureau de
recherchas géologiques et minières, a partir d'informations disponibles (études
déjà réalisées par les SGR ou d'autres organismes, enquêtes officielles, données
acquis.es au titre du code minier, cartes géologiques et hydrogéologiques,
photographies aériennes récentes et sans mesures nouvelles sur le terrain, ont
rassemblé et synthétisé toutes leurs documentations sur : "les zones d'accumulation
de déchets portant ou susceptibles de porter atteinte à l'environnement" .
- A -
Toute forme de pollution (esthétique, atmosphérique, des eaux de
surface ou souterraines] a été considérée comme une atteinte à l'environnement.
A la suite de l'enquête, certains exploitants ont été amenés à
résorber ou aménager leur site afin de maîtriser le flux des polluants.
Toutefois la majorité des sites pollués n'a subi depuis leur recense¬
ment aucune modification.
Avec l'aide des correspondants "Environnement" des SGR et de certains
ingénieurs chargé des établissements classés aux directions interdépartementales
de l'industrie, il a été possible d'actualiser l'inventaire 1976 afin de
sélectionner les dépôts de déchets industriels toxiques non résorbés et présentant
un réel danger pour l'environnement.
Pour faciliter la sélection des dépôts les plus dangereux^ les 400
sites Inventoriés ont été classés dans un tableau en fonction de la nature
des déchets et de la géologie et de 1 ' hydrogéologique locales (cf. Tab. 1],
- A -
Toute forme de pollution (esthétique, atmosphérique, des eaux de
surface ou souterraines] a été considérée comme une atteinte à l'environnement.
A la suite de l'enquête, certains exploitants ont été amenés à
résorber ou aménager leur site afin de maîtriser le flux des polluants.
Toutefois la majorité des sites pollués n'a subi depuis leur recense¬
ment aucune modification.
Avec l'aide des correspondants "Environnement" des SGR et de certains
ingénieurs chargé des établissements classés aux directions interdépartementales
de l'industrie, il a été possible d'actualiser l'inventaire 1976 afin de
sélectionner les dépôts de déchets industriels toxiques non résorbés et présentant
un réel danger pour l'environnement.
Pour faciliter la sélection des dépôts les plus dangereux^ les 400
sites Inventoriés ont été classés dans un tableau en fonction de la nature
des déchets et de la géologie et de 1 ' hydrogéologique locales (cf. Tab. 1],
- 5 -
catégorie desdéchets
schémalithologique dusite 1
Argile d'épaisseursupérieure à 5 m
1
Roches cristallo-phyliennes à microfissuration
Argiles d'épaisseur inférieure à5 m, avec un aqui-fère sous-jacentd'importance lo-cale 3
Alluvions sablo-graveleuses contenant une nappesous-fluviale reposant sur uneformation imperméable ^
Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à
circulation intergranulaire j-
Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à
circulation Karstique
Formation perméable à circulationkarstique
A
Résidus industrielsinertes
Résidus urbains
11 :
14
1
12
16
20
1
/ / // / /
/ 3 // / y
/ ''' // // /
/ 11
11
(
(
1!
i
1
B
Déchets industrielsnon inertes
3 6
p 10
) 7 ;
1 7 :
A
17 !
/ /
1
/
/
1
/6 ' / 1
/
C
Produits toxiquesHydrocarbure
! 1
»
6
//
/
/ 2
''
/ //
// /
/ /
/ /Tab. 1 : Répartition des 400 points noirs recensés en Juillet 1978, en fonction
des caractéristiques géologiques du site et de la nature des déchets.
11 nombre de décharges entrant dans la catégorie.
Zone de répartition des 178 décharges recensées dans la régionNord-Pas de Calais.
- 5 -
catégorie desdéchets
schémalithologique dusite 1
Argile d'épaisseursupérieure à 5 m
1
Roches cristallo-phyliennes à microfissuration
Argiles d'épaisseur inférieure à5 m, avec un aqui-fère sous-jacentd'importance lo-cale 3
Alluvions sablo-graveleuses contenant une nappesous-fluviale reposant sur uneformation imperméable ^
Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à
circulation intergranulaire j-
Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à
circulation Karstique
Formation perméable à circulationkarstique
A
Résidus industrielsinertes
Résidus urbains
11 :
14
1
12
16
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/ / // / /
/ 3 // / y
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B
Déchets industrielsnon inertes
3 6
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) 7 ;
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A
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C
Produits toxiquesHydrocarbure
! 1
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6
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/ 2
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// /
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/ /Tab. 1 : Répartition des 400 points noirs recensés en Juillet 1978, en fonction
des caractéristiques géologiques du site et de la nature des déchets.
11 nombre de décharges entrant dans la catégorie.
Zone de répartition des 178 décharges recensées dans la régionNord-Pas de Calais.
- 6 -
Vis à vis des écoulements verticaux des effluents pollués par leur
passage a travers les déchets, les différents faciès lithologiques du tableau
1 (numérotés de 1 à 7] jouent un rôle plus ou moins important de rétention et
d'épuration entre les 2 extrêmes, à savoir : le faciès n° 1 qui se comporte
comme une barrière étanche quasiment imperméable ("Boîte noire"] et le faciès
n° 7 qui laisse passer les effluents sans filtration ("passoire"].
Réglementairement, l'instruction technique du 22 Janvier 1980
(Journal Officiel du 21 Février 1980] pour la mise en décharge des déchets
industriels, définit trois types de sites autorisés essentiellement en
fonction des propriétés de perméabilité de la couche géologique située
immédiatement sous le fond de la décharge.
Il s'agit :
Classe I : site imperméable assumant un confinement convenable des
déchets et des lessivats, pouvant en particulier accueillir
certains déchets spéciaux.
Classe II : site semi perméable assurant une migration lente du
lessivât à travers une zone non saturée d'épaisseur
suffisante et pouvant principalement recevoir les déchets
industriels assimilables aux ordures ménagères.
Classe III : site perméable permettant une migration rapide du lessivât
et ne pouvant recevoir que des déchets inertes
Ces trois types de site sont représentés par le tableau 2.
- 6 -
Vis à vis des écoulements verticaux des effluents pollués par leur
passage a travers les déchets, les différents faciès lithologiques du tableau
1 (numérotés de 1 à 7] jouent un rôle plus ou moins important de rétention et
d'épuration entre les 2 extrêmes, à savoir : le faciès n° 1 qui se comporte
comme une barrière étanche quasiment imperméable ("Boîte noire"] et le faciès
n° 7 qui laisse passer les effluents sans filtration ("passoire"].
Réglementairement, l'instruction technique du 22 Janvier 1980
(Journal Officiel du 21 Février 1980] pour la mise en décharge des déchets
industriels, définit trois types de sites autorisés essentiellement en
fonction des propriétés de perméabilité de la couche géologique située
immédiatement sous le fond de la décharge.
Il s'agit :
Classe I : site imperméable assumant un confinement convenable des
déchets et des lessivats, pouvant en particulier accueillir
certains déchets spéciaux.
Classe II : site semi perméable assurant une migration lente du
lessivât à travers une zone non saturée d'épaisseur
suffisante et pouvant principalement recevoir les déchets
industriels assimilables aux ordures ménagères.
Classe III : site perméable permettant une migration rapide du lessivât
et ne pouvant recevoir que des déchets inertes
Ces trois types de site sont représentés par le tableau 2.
- 7 -
N° defaciès
..Déchets
1
2
3
4
5
6
7
\
CLASSE IDépôts
CLASSE II
CLASSE II ou II [ \ par la législation.
CLASSE III
strictement interdits
\
Tab. 2 : Classification des décharges en fonction des caractéristiques
géologiques du site et de la nature des déchets.
En 1978, certaines décharges bien que légalement autorisées ont été
recensées comme Point Noir, car elles présentaient des pollutions esthétiques
ou atmosphériques dues à une mauvaise exploitation.
Quant aux décharges présentes dans la zone hachurée, elles n'auraient
pas obtenu d'autorisation de la part des DU (décharges sauvages].
C'est parmi ces sites qu'ont été retenus, comme spécialement dangereux,
ceux qui présentaient à la fois :
- Du point de vue hydrogéologique : un aquifère vulnérable à moins de
30 m de profondeur à l'aplomb du site.
Du point de vue déchet : une toxicité élevée, ou une évolution et un
impact à moyen ou long terme sur la santé et l'environnement mal connus (EX :
Amiante] .
19 sites ont ainsi été retenus, ils -figurent dans le tableau n° 3.
Chaque site a fait l'objet d'une recherche bibliographique, puis a
été décrit dans une fiche technique se présentant comme suit :
- 7 -
N° defaciès
..Déchets
1
2
3
4
5
6
7
\
CLASSE IDépôts
CLASSE II
CLASSE II ou II [ \ par la législation.
CLASSE III
strictement interdits
\
Tab. 2 : Classification des décharges en fonction des caractéristiques
géologiques du site et de la nature des déchets.
En 1978, certaines décharges bien que légalement autorisées ont été
recensées comme Point Noir, car elles présentaient des pollutions esthétiques
ou atmosphériques dues à une mauvaise exploitation.
Quant aux décharges présentes dans la zone hachurée, elles n'auraient
pas obtenu d'autorisation de la part des DU (décharges sauvages].
C'est parmi ces sites qu'ont été retenus, comme spécialement dangereux,
ceux qui présentaient à la fois :
- Du point de vue hydrogéologique : un aquifère vulnérable à moins de
30 m de profondeur à l'aplomb du site.
Du point de vue déchet : une toxicité élevée, ou une évolution et un
impact à moyen ou long terme sur la santé et l'environnement mal connus (EX :
Amiante] .
19 sites ont ainsi été retenus, ils -figurent dans le tableau n° 3.
Chaque site a fait l'objet d'une recherche bibliographique, puis a
été décrit dans une fiche technique se présentant comme suit :
- 8 -
Région
Département
Lieu-dit
Coordonnées LAMBERT
Contact
Commune
Voie d'accès
Nom du correspondantEnvironnement
N° fiche
De se ription du site
Ancienne nature du site
Distance à l'habitation la plus proche
Distance au cours d'eau le plus proche
Présence d'eau au fond de la décharge : OUI - NON
Existe-t-il un captage AEP à proximité : OUI - NON
Si oui, possède-t-il un périmètre de protection : OUI -
Distance captage - décharge
Superficie du site Volume du site
NON
Déchets
Nature des déchets
Provenance des déchets
Production annuelle Volume déjà stocké
Conditions d'exploitation
Décharge sauvage : OUI - NON
Exploitant
Date de saturation
Type de décharge
Récupération des lessivats
Remise en état des sols utilisés
Situation géologique et hydrogéologique
Cadre géologique
Terrain dans lequel se fait la décharge
Existence d'une nappe aquifère
Sens d'écoulement
Profondeur de la nappe
- 8 -
Région
Département
Lieu-dit
Coordonnées LAMBERT
Contact
Commune
Voie d'accès
Nom du correspondantEnvironnement
N° fiche
De se ription du site
Ancienne nature du site
Distance à l'habitation la plus proche
Distance au cours d'eau le plus proche
Présence d'eau au fond de la décharge : OUI - NON
Existe-t-il un captage AEP à proximité : OUI - NON
Si oui, possède-t-il un périmètre de protection : OUI -
Distance captage - décharge
Superficie du site Volume du site
NON
Déchets
Nature des déchets
Provenance des déchets
Production annuelle Volume déjà stocké
Conditions d'exploitation
Décharge sauvage : OUI - NON
Exploitant
Date de saturation
Type de décharge
Récupération des lessivats
Remise en état des sols utilisés
Situation géologique et hydrogéologique
Cadre géologique
Terrain dans lequel se fait la décharge
Existence d'une nappe aquifère
Sens d'écoulement
Profondeur de la nappe
- 9 -
Niveau de fluctuation
Epaisseur de l'aquifère
Type d' aquifère
Substratum
Position de la nappe par rapport à la décharge
Vulnérabilité de la nappe
Pollution
Une pollution a-t-elle été constatée ?
Réseau de surveillance déjà installé
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre
Montant des travaux
Bibliographie
- 9 -
Niveau de fluctuation
Epaisseur de l'aquifère
Type d' aquifère
Substratum
Position de la nappe par rapport à la décharge
Vulnérabilité de la nappe
Pollution
Une pollution a-t-elle été constatée ?
Réseau de surveillance déjà installé
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre
Montant des travaux
Bibliographie
- 10 -
Département
Pas de Calais
Oise
Oise
Seine Maritime
Somme
Sarthe
Sarthe
Sarthe
Vendée
Bas-Rhin
Bas-Rhin
Haut-Rhin
Lot et Garonne
Tarn
Pu y de Dôme
Rhône
Drôme
Doubs
Ille et Vilaine
Commune
Liliers
Nery-Saintives
Villembray
Notre Dame Gravenchon
Nesles
Spay-Arnage
Marolles les Braults
Champagne
La Bruffière
Dorlisheim
Wantzenau
Wlntzenheim
Fumel Montayral
Grauhlet
Issoire
Vaulx en Vélin
St Vallier sur Rhône
Dasle
Saint Grégoire
N° fiche
1
2
3
4
5
6
7
8
10
11
12
13
14
15
16
17
18
1 9
9
Page
Tableau 3 : Liste des décharges "Point Noir" 1980
- 10 -
Département
Pas de Calais
Oise
Oise
Seine Maritime
Somme
Sarthe
Sarthe
Sarthe
Vendée
Bas-Rhin
Bas-Rhin
Haut-Rhin
Lot et Garonne
Tarn
Pu y de Dôme
Rhône
Drôme
Doubs
Ille et Vilaine
Commune
Liliers
Nery-Saintives
Villembray
Notre Dame Gravenchon
Nesles
Spay-Arnage
Marolles les Braults
Champagne
La Bruffière
Dorlisheim
Wantzenau
Wlntzenheim
Fumel Montayral
Grauhlet
Issoire
Vaulx en Vélin
St Vallier sur Rhône
Dasle
Saint Grégoire
N° fiche
1
2
3
4
5
6
7
8
10
11
12
13
14
15
16
17
18
1 9
9
Page
Tableau 3 : Liste des décharges "Point Noir" 1980
-11-
VESCRTPTJON VES FICHES
-11-
VESCRTPTJON VES FICHES
- 112 -
REGÍON NORV - PAS-VE-CALAIS
Vé^anteme-nt ; PAS-VE-CALAIS
L-iea-dct -. HmnlonvÁJLte
Coordonnée LAMBERT
N° 1
ÇQnÎaçX : CAULIER (P.) SGR/NPA
Commune : LILLIERS {VOUAI)
Vole d' accH ; V.è9
X
yz 85
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Carrière de craie fond à 65 NGF
Distance de l'habitation la plus proche : 250 m
Distance du cours d'eau le plus proche : ~: 300 m
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage AEP : OUI i AEP D'Hurionville 1
I AEP de Lilliers 2
' AEP de la sucrerie de Lilliers 3
Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI
Distance captage-décharge : ( 1 à 400 m
] 2 à 2 500 m
(3 à 3 600 M
Superficie : ^^ 1,6 ha
directement en aval
Volume total : ~ 240.000 m^
DECHETS
Nature des déchets : scories et poussières de filtre
*ELEMENTS ANALYSES
Teneur dans lescendres et mâchefers - mg/kg
Teneur dans lespoussières defiltre - mg/kg
cd
11
832
Cu
1 572
1 215
Ni
20
13,5
Zn
917
63 940
Mu
236
383
Pb
46
350
Cr
-
0,5
Ag
-
3,2
F
-
385
Provenance des déchets Usine d'incinération de déchets industriels recevant :
boues, pâtes, résines, résidus de peinture, boues dedécapage, boues de solvants, goudrons sulfuriques. terresde filtration (distillât de nitryl], eaux résiduairesdiverses.
Production annuelle : 60 t Volume déjà stocké :
* potentiellement solubilisables(test en laboratoire]
- 112 -
REGÍON NORV - PAS-VE-CALAIS
Vé^anteme-nt ; PAS-VE-CALAIS
L-iea-dct -. HmnlonvÁJLte
Coordonnée LAMBERT
N° 1
ÇQnÎaçX : CAULIER (P.) SGR/NPA
Commune : LILLIERS {VOUAI)
Vole d' accH ; V.è9
X
yz 85
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Carrière de craie fond à 65 NGF
Distance de l'habitation la plus proche : 250 m
Distance du cours d'eau le plus proche : ~: 300 m
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage AEP : OUI i AEP D'Hurionville 1
I AEP de Lilliers 2
' AEP de la sucrerie de Lilliers 3
Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI
Distance captage-décharge : ( 1 à 400 m
] 2 à 2 500 m
(3 à 3 600 M
Superficie : ^^ 1,6 ha
directement en aval
Volume total : ~ 240.000 m^
DECHETS
Nature des déchets : scories et poussières de filtre
*ELEMENTS ANALYSES
Teneur dans lescendres et mâchefers - mg/kg
Teneur dans lespoussières defiltre - mg/kg
cd
11
832
Cu
1 572
1 215
Ni
20
13,5
Zn
917
63 940
Mu
236
383
Pb
46
350
Cr
-
0,5
Ag
-
3,2
F
-
385
Provenance des déchets Usine d'incinération de déchets industriels recevant :
boues, pâtes, résines, résidus de peinture, boues dedécapage, boues de solvants, goudrons sulfuriques. terresde filtration (distillât de nitryl], eaux résiduairesdiverses.
Production annuelle : 60 t Volume déjà stocké :
* potentiellement solubilisables(test en laboratoire]
- 13 -
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant : Société PEC et pourtant décharge considérée comme sauvage
Date de saturation estimée : ?
Type de décharge : Contrôlée
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Certainement après l'exploitation
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDRO GEOLOGIQUE
Cadre géologique : Bombement de 1' ARTOIS, affecté de nombreuses failles
Terrain dans lequel se fait la décharge : Au départ à même le sol (1 m de limonsur craie], puis actuellement sur 30 cm
d'argile compacté
Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la craie
Sens d'écoulement : SW -> NE (localement]
Profondeur de la nappe : Altitude 40 m NGF (profondeur de 20-25 m]
Battement de l'aquifère : 8 m
Epaisseur de l'aquifère : :¿ 50 m
Type d' aquifère : Magasin très fissuré
Substratum : ?
Position de la nappe par rapport à la décharge : zone non saturée à circulationplus ou moins karstique de 25 m
d ' épaisseur
Vulnérabilité de l'eau : La faille de Ruitz (NW/SE] qui sépare les terrains crayeuxrecouverts d'un important dépôt sablo-argileux au Nord,des terrains crayeux fissurés en affleurement sous moinsd'1 m de limon au Sud, passe à 5 m au NW de la décharge.Vulnérabilité des eaux due à la fissuration.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? NON
Réseau de surveillance déjà installé : Un piézo à l'aval même, plus les 3 foragesAEP à l'aval également situés respective¬ment à 400, 2 500 et 3 600 m
- 13 -
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant : Société PEC et pourtant décharge considérée comme sauvage
Date de saturation estimée : ?
Type de décharge : Contrôlée
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Certainement après l'exploitation
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDRO GEOLOGIQUE
Cadre géologique : Bombement de 1' ARTOIS, affecté de nombreuses failles
Terrain dans lequel se fait la décharge : Au départ à même le sol (1 m de limonsur craie], puis actuellement sur 30 cm
d'argile compacté
Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la craie
Sens d'écoulement : SW -> NE (localement]
Profondeur de la nappe : Altitude 40 m NGF (profondeur de 20-25 m]
Battement de l'aquifère : 8 m
Epaisseur de l'aquifère : :¿ 50 m
Type d' aquifère : Magasin très fissuré
Substratum : ?
Position de la nappe par rapport à la décharge : zone non saturée à circulationplus ou moins karstique de 25 m
d ' épaisseur
Vulnérabilité de l'eau : La faille de Ruitz (NW/SE] qui sépare les terrains crayeuxrecouverts d'un important dépôt sablo-argileux au Nord,des terrains crayeux fissurés en affleurement sous moinsd'1 m de limon au Sud, passe à 5 m au NW de la décharge.Vulnérabilité des eaux due à la fissuration.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? NON
Réseau de surveillance déjà installé : Un piézo à l'aval même, plus les 3 foragesAEP à l'aval également situés respective¬ment à 400, 2 500 et 3 600 m
- 14 -
Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :
En plus de la décharge considérée comme sauvage, l'usine de la Société indus¬trielle de Lilliers implantée à 300 m en amont de la décharge, sur une fine couchede limons recouvrant la craie pose également des problèmes. Cette usine traite lesrebuts industriels liquides stockés dans les tonneaux gerbes sur une aire d'atten¬te et dans des cuves ne présentant aucun dispositif de sécurité tel que la doubleétanchéité. Durant les périodes de transvasement, des pertes de liquide dans lesol se produisent. Ces produits ne peuvent que s'infiltrer dans la craie et re¬joindre la nappe après un parcours vertical dans la craie sèche de l'ordre de 40 m.
L'implantation d'un piézo à l'aval de chaque source de pollution permettraitde connaître l'évolution de la qualité de l'aquifère et de protéger les captagesexistants.
Il faudrait également aménager l'usine : imperméabilisation des aires de sto¬ckage, collectage des eaux de nettoyage et pluviales vers un bassin étanche envue d'un retraitement...
Pour la carrière remplie, il serait possible de disposer un écran superficiel(avec cheminées pour l'évacuation des gaz^:qui emoecherait l^s infiltrations à tra¬vers les déchets.
Pour la carrière en cours de remplissage, un procédé du même genre est appli¬qué (imperméabilisation par 20-30 cm d'argile compactée.
Montant de l'étude de la zone non saturée = 90 000 F, soit :
Sondages, analyses = 50 000 F
Prestation B.R.G.M. = 40 000 F
BIBLIOGRAPHIE
CREMILLE (L.] - Note 76 NPA 55
Arrondissement minéralogique du Nord - Pas-de-CalaisDécharge sauvage d'HurionvilleUsine de la Société industrielle de Lilliers (Pas-de-Calais]
ANNEXES
Carte de répartition des principaux utilisateurs de la nappe de la craie.
Coupe géologique schématique.
- 14 -
Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :
En plus de la décharge considérée comme sauvage, l'usine de la Société indus¬trielle de Lilliers implantée à 300 m en amont de la décharge, sur une fine couchede limons recouvrant la craie pose également des problèmes. Cette usine traite lesrebuts industriels liquides stockés dans les tonneaux gerbes sur une aire d'atten¬te et dans des cuves ne présentant aucun dispositif de sécurité tel que la doubleétanchéité. Durant les périodes de transvasement, des pertes de liquide dans lesol se produisent. Ces produits ne peuvent que s'infiltrer dans la craie et re¬joindre la nappe après un parcours vertical dans la craie sèche de l'ordre de 40 m.
L'implantation d'un piézo à l'aval de chaque source de pollution permettraitde connaître l'évolution de la qualité de l'aquifère et de protéger les captagesexistants.
Il faudrait également aménager l'usine : imperméabilisation des aires de sto¬ckage, collectage des eaux de nettoyage et pluviales vers un bassin étanche envue d'un retraitement...
Pour la carrière remplie, il serait possible de disposer un écran superficiel(avec cheminées pour l'évacuation des gaz^:qui emoecherait l^s infiltrations à tra¬vers les déchets.
Pour la carrière en cours de remplissage, un procédé du même genre est appli¬qué (imperméabilisation par 20-30 cm d'argile compactée.
Montant de l'étude de la zone non saturée = 90 000 F, soit :
Sondages, analyses = 50 000 F
Prestation B.R.G.M. = 40 000 F
BIBLIOGRAPHIE
CREMILLE (L.] - Note 76 NPA 55
Arrondissement minéralogique du Nord - Pas-de-CalaisDécharge sauvage d'HurionvilleUsine de la Société industrielle de Lilliers (Pas-de-Calais]
ANNEXES
Carte de répartition des principaux utilisateurs de la nappe de la craie.
Coupe géologique schématique.
Conjomrrarbn en eenix
»oulerroînes ( en rr̂ /jourj _
+60Courbes iscpiézométriquel
de lo nappe de lo croie _
157
Numéro d* I ouvrage dont
lo nomenclature du B R G . M .
Failirs -
REPARTION DES PRINCIPAUX
UTILISATEURS DE LA
NAPPE DE LA CRAIE
• \ Y . ; - : . - T i - : - n > *
ECHELLE:V50000
COUPE GÉOLOGIQUE SCHEMATIQUE
.s_w. _N.E_
-A'JMERVAL-
0.
D
-FERFAY
I01
ou>
...c
uCL'
Zm
1(A
Iin
Sc
ua:2Ím'x>01o
u.1
S«MC
Oa'zai
3;
oo
5m
RiirrniiRF
Ruitz.
0
J?
b.
¿2j\l
1
«. c
N.RA
{fi
Forogt151.
^
?'
LILLERS-
oci
<;ua'zcdX
t.o
go
LEGENDE
ECHELLES T T^i^T^ ' Alluvions, Ouatcrnoira t\ Tertiaire _
0 rSO'" 1500'"LONGUCiJRS . ' I - i.i =t;
HA'jTcüRS.120^
¿J '3..Í.
3000"^ rfTTI y r
Croie du Si'nonien et du Turonien supérieur.
hj^Qfn [-~ - Morr.cs »t croies du Turomen moyon,infBrÍB«T
et du Cenomonien .
+ 4- 4. S'.'i'foc» pRZométnque de ¡0 nappe de
lo croie _
1^ a Ci ô"51 Tourtio_
//^/l^ Poliozolqu*
COUPE GÉOLOGIQUE SCHEMATIQUE
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LEGENDE
ECHELLES T T^i^T^ ' Alluvions, Ouatcrnoira t\ Tertiaire _
0 rSO'" 1500'"LONGUCiJRS . ' I - i.i =t;
HA'jTcüRS.120^
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3000"^ rfTTI y r
Croie du Si'nonien et du Turonien supérieur.
hj^Qfn [-~ - Morr.cs »t croies du Turomen moyon,infBrÍB«T
et du Cenomonien .
+ 4- 4. S'.'i'foc» pRZométnque de ¡0 nappe de
lo croie _
1^ a Ci ô"51 Tourtio_
//^/l^ Poliozolqu*
- 17 - U" 2
REGION/ PICARDIE
Vé^anXement : OISE
Lieu- dit : Hamtau de VauceUie
Coondonnée LAMBERT X 354,5y 1??,7z 105
Contact : CAUVRON {SGR]
Commune : NERV-SAINTINES
goudnonné à tnaven^ un banccjoJLcjoJjie de l à 4 m de hauteun
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Carrière exploitée avant la dernière guerre pour sespierres de taille - abandonnée depuis près de 25 ans
Distance de l'habitation la plus proche
Distance du cours d'eau le plus proche
Présence d'eau au fond de la décharge
Existe-t-il un captage AEP : NON
Possëde-t-il un périmètre de protection
Distance captage-décharge :
Superficie : B ha
/
/
NON
Volume total : 460 000 m^
DECHETS
Nature des déchets : Liquides chimiques en fûts - solvants, soufre enfoui,emballage, ... stockés dans un hangar
Provenance des déchets : Sté RODANET, propriétaire du hangar
Production annuelle : ? Volume déjà stocké : ?
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : Sté RODANET
Date de saturation estimée : /
Type de décharge : Stockage en hangar
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : /
- 17 - U" 2
REGION/ PICARDIE
Vé^anXement : OISE
Lieu- dit : Hamtau de VauceUie
Coondonnée LAMBERT X 354,5y 1??,7z 105
Contact : CAUVRON {SGR]
Commune : NERV-SAINTINES
goudnonné à tnaven^ un banccjoJLcjoJjie de l à 4 m de hauteun
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Carrière exploitée avant la dernière guerre pour sespierres de taille - abandonnée depuis près de 25 ans
Distance de l'habitation la plus proche
Distance du cours d'eau le plus proche
Présence d'eau au fond de la décharge
Existe-t-il un captage AEP : NON
Possëde-t-il un périmètre de protection
Distance captage-décharge :
Superficie : B ha
/
/
NON
Volume total : 460 000 m^
DECHETS
Nature des déchets : Liquides chimiques en fûts - solvants, soufre enfoui,emballage, ... stockés dans un hangar
Provenance des déchets : Sté RODANET, propriétaire du hangar
Production annuelle : ? Volume déjà stocké : ?
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : Sté RODANET
Date de saturation estimée : /
Type de décharge : Stockage en hangar
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : /
- 18 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Formations calcaires du Lutétien. La coupe du front de taillefaite au moment de l'exploitation donne :
- 3,5 m de caillasses (marnes et caillases du Lutétien supérieur]- 1,5 m de calcaires tendres !j calcaires à milioles, moyen- 4,5 m de roches demi-dures ] et supérieur- 5 m de roche dure attribuée au banc de St Leu
En-dessous non visibles de la carrière se succèdent :
- 1,5 m de calcaires à numulites (pierre à Liard]- 6 m de calcaires sableaux à endurcissement- 0,5 à 2 m de sables grossiers- argile de Laon dont l'existence n'est pas prouvée- 30 à 60 m de sables du Cuisien- argiles à lignite (Yprésien inférieur ou Sparnacien]
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les calcaires à numulites
Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de 1 'Eocene contenue dans les sablesdu Cuisien
Sens de l'écoulement :
Profondeur de la nappe : 45 m sous la carrière
Battement de l'aquifère : ?
Epaisseur de l'aquifère : a¿ 25 m
Type d'aquifëre : Libre. Gradient hydraulique de 2,5 %. Une des sources decette nappe en fond de vallée présente un débit moyen de3 1/s.
Substratum : Argile à lignite de 1' Yprésien inférieur ou du Sparnacien
Position de la nappe par rapport à la décharge : Une zone non saturée de 45 m
d'épaisseur sépare les déchetsde la nappe phréatique
Vulnérabilité de l'eau : Faible du fait de la grande épaisseur de la zone nonsaturée, qui provoque un effet tampon aux infiltrationssuperficielles, sans s'y opposer totalement. La présencede fissuration donc de circulation karstique contrariece rôle.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Cette carrière est toujours dans les pré¬occupations de la préfecture et de la D.I.I.
Entre août 72 et novembre 73, les mesures suivantes ont été relevées :
température 11° Ma+ g^ K* 5,8 à 6,5 mg/1P^ ^ '"^ " 7.3 Cl- 9 à 11 mg/1Résistivité 1 600 - 1 800 ohm/cm/cm SDü" 14 à 43 mg/1Ca** 72 - 103 mg/1 HCD," 240 à 349 mg/1Mg*-' 9 - 29 mg/1
- 18 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Formations calcaires du Lutétien. La coupe du front de taillefaite au moment de l'exploitation donne :
- 3,5 m de caillasses (marnes et caillases du Lutétien supérieur]- 1,5 m de calcaires tendres !j calcaires à milioles, moyen- 4,5 m de roches demi-dures ] et supérieur- 5 m de roche dure attribuée au banc de St Leu
En-dessous non visibles de la carrière se succèdent :
- 1,5 m de calcaires à numulites (pierre à Liard]- 6 m de calcaires sableaux à endurcissement- 0,5 à 2 m de sables grossiers- argile de Laon dont l'existence n'est pas prouvée- 30 à 60 m de sables du Cuisien- argiles à lignite (Yprésien inférieur ou Sparnacien]
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les calcaires à numulites
Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de 1 'Eocene contenue dans les sablesdu Cuisien
Sens de l'écoulement :
Profondeur de la nappe : 45 m sous la carrière
Battement de l'aquifère : ?
Epaisseur de l'aquifère : a¿ 25 m
Type d'aquifëre : Libre. Gradient hydraulique de 2,5 %. Une des sources decette nappe en fond de vallée présente un débit moyen de3 1/s.
Substratum : Argile à lignite de 1' Yprésien inférieur ou du Sparnacien
Position de la nappe par rapport à la décharge : Une zone non saturée de 45 m
d'épaisseur sépare les déchetsde la nappe phréatique
Vulnérabilité de l'eau : Faible du fait de la grande épaisseur de la zone nonsaturée, qui provoque un effet tampon aux infiltrationssuperficielles, sans s'y opposer totalement. La présencede fissuration donc de circulation karstique contrariece rôle.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Cette carrière est toujours dans les pré¬occupations de la préfecture et de la D.I.I.
Entre août 72 et novembre 73, les mesures suivantes ont été relevées :
température 11° Ma+ g^ K* 5,8 à 6,5 mg/1P^ ^ '"^ " 7.3 Cl- 9 à 11 mg/1Résistivité 1 600 - 1 800 ohm/cm/cm SDü" 14 à 43 mg/1Ca** 72 - 103 mg/1 HCD," 240 à 349 mg/1Mg*-' 9 - 29 mg/1
- 19 -
Ces mesures constituent une référence pour les nouvelles qui serontfaites en 1981
Réseau de surveillance déjà installé : NON
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La prospection de la pollution potentielle crée par la carrière se feraen 3 phases :
Phase 1 Analyse de l'eau de la Fontaine Maboule pour mettre en évidence uneéventuelle relation entre son alimentation et la carrière de Vaucelle(Tritium pour dater l'eau, quelques éléments en infratrace]
Phase 2 Implantation d'un piézomètre à la nappe des sables non loin du site dela carrière et en direction de la source avec prise d'échantillon d'eau,analyse complète sur 1 an
Phase 3 Implantation d'un second piézomètre entre la carrière et le hameau avecprise d'échantillon et analyse complète, et prélèvements sur un puitsou source encore utilisé dans le hameau
Montant des travaux : Le coût de la prospection peut être estimé à 100 000 F
BIBLIOGRAPHIE
CAUDRON (M.] - Note à l'attention de M. DUMONT s/c de l'Ingénieur des Mines chargéde la Région Picardie.Objet : Carrière de Vaucelle à Saintines (Oise]
CAOUS-COMON - 78 SGN 453 PNDRecensement des zones d'accumulation des déchets portant atteinte à l'envi¬ronnement
ANNEXES
- Alimentation en eau potable et principaux points d'eau autour de Nery
- Carte des isohypses du toit de la craie
- Carte des isopaches du Cuisien
- Tableau des principaux ouvrages d'eau ayant atteint la nappe de la craie etdébits spécifiques et prélèvements.
- 19 -
Ces mesures constituent une référence pour les nouvelles qui serontfaites en 1981
Réseau de surveillance déjà installé : NON
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La prospection de la pollution potentielle crée par la carrière se feraen 3 phases :
Phase 1 Analyse de l'eau de la Fontaine Maboule pour mettre en évidence uneéventuelle relation entre son alimentation et la carrière de Vaucelle(Tritium pour dater l'eau, quelques éléments en infratrace]
Phase 2 Implantation d'un piézomètre à la nappe des sables non loin du site dela carrière et en direction de la source avec prise d'échantillon d'eau,analyse complète sur 1 an
Phase 3 Implantation d'un second piézomètre entre la carrière et le hameau avecprise d'échantillon et analyse complète, et prélèvements sur un puitsou source encore utilisé dans le hameau
Montant des travaux : Le coût de la prospection peut être estimé à 100 000 F
BIBLIOGRAPHIE
CAUDRON (M.] - Note à l'attention de M. DUMONT s/c de l'Ingénieur des Mines chargéde la Région Picardie.Objet : Carrière de Vaucelle à Saintines (Oise]
CAOUS-COMON - 78 SGN 453 PNDRecensement des zones d'accumulation des déchets portant atteinte à l'envi¬ronnement
ANNEXES
- Alimentation en eau potable et principaux points d'eau autour de Nery
- Carte des isohypses du toit de la craie
- Carte des isopaches du Cuisien
- Tableau des principaux ouvrages d'eau ayant atteint la nappe de la craie etdébits spécifiques et prélèvements.
i ALIMENTATION EN EAU P0TA3LE• ET PRINCIPAUX POINTS D'EAU
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ISOHYPSES DU TOIT DE LA CRAIE
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L E G E N D E
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Contact OriSirn . Lu'
Echelle: 1/ 100000
Tableau S - Principaux ouvrages d*eau ayant atteint la nappe de la craie
! Conunune i
¡PONT SAINTEÎMAXENCE
!LES AGEUX
¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE
¡VERBERIE
¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE
ORROUY
ÎBETHISY¡SAINT PIERRE
BETHISY¡SAINT PIERRE
Désignation
Zone IndusC.
! S.N.C.F.
. FéculerlePort-Salutn» 1
Rue St Nlco-! las
! Féculerle! Port-Salut
; Ancien connn.
! Château o'Morinlère
AEP communale
Indice i
128.1.26.
! 128.1.5
128.3.4
128.3.39
! 128.3.84
: 128. A. 9
128.4.11
! 128.4.12
Coordonnées
X
617.60
. 614.30
628.02
628.70
628.03
! 637.95
633.95
634.20
Y
178.30
178.92
178.96
178.71
.
179.14
! 176.91
177.96
177.60
Z
+ 30
+ 31
+ 32
+ 39
+ 31
+ 57
+ 75
+ 45
Prof .'^(m) ~
90
! 40t
80
73
66
126
101
107
Altlt.toit
-29,6
: + 1,7
-16,7
-11,8
-15,5
! -29,6
- 5,1
-37,8
Epalss.trav.(ra)
30,4
10,2
31,3
22,4
19,5
39,4
21,0
24,0
Altlt. ¡Usage' eau :
>1
¡(+28, 2): néant
t m
! +29,5, néant
+31,7
+30,7
! I
¡néantI
(+30,2)
+47,2
(+56,7)
+39,0
.néant
¡néant
néant
C
' Etat ¡ Implanté¡ actuel: dans
¡access .
¡disparu
access .
disparu
disparu
Inacc.
access.
access .,
¡Alluvlo.¡Oise sur¡e3
¡Alluv.¡Oise sur¡e3
Alluv..Oise sure2
Alluv.Oise sure3
Alluv.Oise sure2
e4
e4
Alluv. :
Automne :
sur e3 :
Observations ¡
Communicat. !
entre Séno- ¡
nlen et Tha-¡nétlen !
Coupe tebh- ¡
nique Impré-'else ¡
Altlt. eau ¡
"trop forte !
pour craie ¡
Tableau S - Principaux ouvrages d*eau ayant atteint la nappe de la craie
! Conunune i
¡PONT SAINTEÎMAXENCE
!LES AGEUX
¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE
¡VERBERIE
¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE
ORROUY
ÎBETHISY¡SAINT PIERRE
BETHISY¡SAINT PIERRE
Désignation
Zone IndusC.
! S.N.C.F.
. FéculerlePort-Salutn» 1
Rue St Nlco-! las
! Féculerle! Port-Salut
; Ancien connn.
! Château o'Morinlère
AEP communale
Indice i
128.1.26.
! 128.1.5
128.3.4
128.3.39
! 128.3.84
: 128. A. 9
128.4.11
! 128.4.12
Coordonnées
X
617.60
. 614.30
628.02
628.70
628.03
! 637.95
633.95
634.20
Y
178.30
178.92
178.96
178.71
.
179.14
! 176.91
177.96
177.60
Z
+ 30
+ 31
+ 32
+ 39
+ 31
+ 57
+ 75
+ 45
Prof .'^(m) ~
90
! 40t
80
73
66
126
101
107
Altlt.toit
-29,6
: + 1,7
-16,7
-11,8
-15,5
! -29,6
- 5,1
-37,8
Epalss.trav.(ra)
30,4
10,2
31,3
22,4
19,5
39,4
21,0
24,0
Altlt. ¡Usage' eau :
>1
¡(+28, 2): néant
t m
! +29,5, néant
+31,7
+30,7
! I
¡néantI
(+30,2)
+47,2
(+56,7)
+39,0
.néant
¡néant
néant
C
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¡access .
¡disparu
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disparu
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Inacc.
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¡Alluvlo.¡Oise sur¡e3
¡Alluv.¡Oise sur¡e3
Alluv..Oise sure2
Alluv.Oise sure3
Alluv.Oise sure2
e4
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Alluv. :
Automne :
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Observations ¡
Communicat. !
entre Séno- ¡
nlen et Tha-¡nétlen !
Coupe tebh- ¡
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Altlt. eau ¡
"trop forte !
pour craie ¡
- Çéblcs spécifiques et prélèvements-
¡ Commune
! PONT SAINTE! MAXENCE
¡ LONGUEIL i
! SAINTE MARIE
! ORROUY
¡ BETHISY! SAINT PIERRE
¡ BETHISY! SAINT PIERRE
Désignation
Zone Indust.
FéculerlePort-Salutn» 1
Ancien coram.
! Château o'¡ Morinlère
, AEP communale
Indice
128.1.26
128.3.4
128.4.9
: 128.4.11
. 128.4.12
Q m3/h
3.6
126,0240,0
- 5,0
6,8
26,0
A m
59,1
35,014,7
97,3'
4,6
7,2
Q/A m3/h/ra
0,06
3,6016,30
0,05
1,47
3,61
Stabilisation
> approximative
?
?
¡ ?
?
approx. (llh)
Prélèvements ra3/J
néant
1760 (pdt 185 J)
néant
néant
240
Observations
j
Av . ac .kç; ac . 4 t .
T1
to
- Çéblcs spécifiques et prélèvements-
¡ Commune
! PONT SAINTE! MAXENCE
¡ LONGUEIL i
! SAINTE MARIE
! ORROUY
¡ BETHISY! SAINT PIERRE
¡ BETHISY! SAINT PIERRE
Désignation
Zone Indust.
FéculerlePort-Salutn» 1
Ancien coram.
! Château o'¡ Morinlère
, AEP communale
Indice
128.1.26
128.3.4
128.4.9
: 128.4.11
. 128.4.12
Q m3/h
3.6
126,0240,0
- 5,0
6,8
26,0
A m
59,1
35,014,7
97,3'
4,6
7,2
Q/A m3/h/ra
0,06
3,6016,30
0,05
1,47
3,61
Stabilisation
> approximative
?
?
¡ ?
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approx. (llh)
Prélèvements ra3/J
néant
1760 (pdt 185 J)
néant
néant
240
Observations
j
Av . ac .kç; ac . 4 t .
T1
to
- 25 - N" 3
REGION P7CARPIE
Vé^antement ; OISE
Lieu- dit ;
Coordonnée LAMBERT
Contact : M. CAUVRON {SGR]
Commune : VILLEUBRAV
Vole d'accu :
X
yX
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne carrière dans les formations gréseuses
Distance de l'habitation la plus proche : /
Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage AEP : NON, existence de puits privés servant à l'alimenta¬tion des bêtes. Source de la Chapelle-aux-Pots
Possède-t-il un périmètre de protection : NDN
Distance captage-décharge : La source de la Chapelle-aux-Pots se trouve à 4,5 km
au SE
Superficie : 3 ha Volume total : 300 000 m^
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères - poussières d'amiante - filtre au beryl¬lium - déchets liquides : bains d'huile, hydrocarbures,acides. . .
Provenance des déchets : Divers - inconnue
Production annuelle : / Volume déjà stocké : /
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant : Inconnu
Date de saturation estimée : Fermée
Type de décharge : Sauvage
Récupération des lessivats : Pas directement, mais existence de B fossés créésartificiellement et progressivement remplis par leseaux de surface ayant ruisselé sur les déchets
Remise en état des sols utilisés : Recouverts de terrains argileux
- 25 - N" 3
REGION P7CARPIE
Vé^antement ; OISE
Lieu- dit ;
Coordonnée LAMBERT
Contact : M. CAUVRON {SGR]
Commune : VILLEUBRAV
Vole d'accu :
X
yX
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne carrière dans les formations gréseuses
Distance de l'habitation la plus proche : /
Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage AEP : NON, existence de puits privés servant à l'alimenta¬tion des bêtes. Source de la Chapelle-aux-Pots
Possède-t-il un périmètre de protection : NDN
Distance captage-décharge : La source de la Chapelle-aux-Pots se trouve à 4,5 km
au SE
Superficie : 3 ha Volume total : 300 000 m^
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères - poussières d'amiante - filtre au beryl¬lium - déchets liquides : bains d'huile, hydrocarbures,acides. . .
Provenance des déchets : Divers - inconnue
Production annuelle : / Volume déjà stocké : /
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant : Inconnu
Date de saturation estimée : Fermée
Type de décharge : Sauvage
Récupération des lessivats : Pas directement, mais existence de B fossés créésartificiellement et progressivement remplis par leseaux de surface ayant ruisselé sur les déchets
Remise en état des sols utilisés : Recouverts de terrains argileux
- 26 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Flanc sud du dôme anticlinal du Pays de Bray, dans la régionoù affleurent les terrains les plus anciens j ceux du Juras¬sique supérieur
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les assises du Portlandien
- sables et grès à triglonies- argiles sableuses plus ou moins compacts- argiles alluviales mêlées de débris
calcaires- calcaire du Portlandien
Existence d'une nappe aquifère : OUI, aquifère dans les horizons calcaires duPortlandien
Sens de l'écoulement : Vers le SW (comme le pendage affectant les assises duPortlandien]
Profondeur de la nappe : 5 à 10 m
Battement de l'aquifère : 5 m
Epaisseur de l'aquifère : ?
Type d' aquifère : Semi captif avec un gradient hydraulique élevé : 5 %
Substratum : Calcaires à intercalations marneuses et argileuses du Kimméridgien
Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge, zone nonsaturée de près de 10 m d'épaisseur
Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible, car la percolation dans le sous-soldes eaux pluviales est d'autant moins facile que la topo¬graphie du lieu favorise le ruissellement et ne permet pasà l'eau de stagner sauf dans les B fossés
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Pour l'instant non, mais les fossés ontdébordé et les eaux se sont dirigées vers une zone ou affleurent lesterrains gréseux du Portlandien supérieur, par lesquels des infiltrationsrisquent de se produire.
De plus, en période pluvieuse, le ruissellement entraîne les eaux venuesde la décharge vers une dépression occupée par une prairie avant de gagnerle ruisseau d' Hodenc-en-Bray
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La pollution est beaucoup plus inquiétante vis-à-vis des eaux superfi¬cielles que vis-à-vis des eaux souterraines.
- 26 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Flanc sud du dôme anticlinal du Pays de Bray, dans la régionoù affleurent les terrains les plus anciens j ceux du Juras¬sique supérieur
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les assises du Portlandien
- sables et grès à triglonies- argiles sableuses plus ou moins compacts- argiles alluviales mêlées de débris
calcaires- calcaire du Portlandien
Existence d'une nappe aquifère : OUI, aquifère dans les horizons calcaires duPortlandien
Sens de l'écoulement : Vers le SW (comme le pendage affectant les assises duPortlandien]
Profondeur de la nappe : 5 à 10 m
Battement de l'aquifère : 5 m
Epaisseur de l'aquifère : ?
Type d' aquifère : Semi captif avec un gradient hydraulique élevé : 5 %
Substratum : Calcaires à intercalations marneuses et argileuses du Kimméridgien
Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge, zone nonsaturée de près de 10 m d'épaisseur
Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible, car la percolation dans le sous-soldes eaux pluviales est d'autant moins facile que la topo¬graphie du lieu favorise le ruissellement et ne permet pasà l'eau de stagner sauf dans les B fossés
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Pour l'instant non, mais les fossés ontdébordé et les eaux se sont dirigées vers une zone ou affleurent lesterrains gréseux du Portlandien supérieur, par lesquels des infiltrationsrisquent de se produire.
De plus, en période pluvieuse, le ruissellement entraîne les eaux venuesde la décharge vers une dépression occupée par une prairie avant de gagnerle ruisseau d' Hodenc-en-Bray
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La pollution est beaucoup plus inquiétante vis-à-vis des eaux superfi¬cielles que vis-à-vis des eaux souterraines.
- 27 -
Il faut donc s'opposer à la sortie des eaux de ruissellement de lacarrière :
- ériger une digue de 3 m de haut entre la prairie EST et le front detaille OUEST à la hauteur du virage du chemin d'accès, à l'intérieurde la carrière ;
- vidanger les B fossés de l'eau accumulée et évacuer celle-ci vers unestation d'épuration ;
- combler les excavations avec de l'argile extraite en dehors de lacarrière
Mais il faut avant tout faire une étude hydrogéologique précise du site.
- Pose de piézomètre- Etablissement de la piézométrie- Analyses
Montant : Le coût de l'étude hydrogéologique s'élève aux environs de 30 000 F (HT]
BIBLIOGRAPHIE
CAOUS-COMON - B.R.G.M, 76 SGN 453 PND
Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinteà l'environnement
CAUDRON (L.] - Note à M. DUCOS a/c de M. l'ingénieur des Mines chargé de laRégion PicardieObjet : décharge de déchets industriels de Villesmbray (Oise]
- 27 -
Il faut donc s'opposer à la sortie des eaux de ruissellement de lacarrière :
- ériger une digue de 3 m de haut entre la prairie EST et le front detaille OUEST à la hauteur du virage du chemin d'accès, à l'intérieurde la carrière ;
- vidanger les B fossés de l'eau accumulée et évacuer celle-ci vers unestation d'épuration ;
- combler les excavations avec de l'argile extraite en dehors de lacarrière
Mais il faut avant tout faire une étude hydrogéologique précise du site.
- Pose de piézomètre- Etablissement de la piézométrie- Analyses
Montant : Le coût de l'étude hydrogéologique s'élève aux environs de 30 000 F (HT]
BIBLIOGRAPHIE
CAOUS-COMON - B.R.G.M, 76 SGN 453 PND
Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinteà l'environnement
CAUDRON (L.] - Note à M. DUCOS a/c de M. l'ingénieur des Mines chargé de laRégion PicardieObjet : décharge de déchets industriels de Villesmbray (Oise]
- 28 - N° 4
region; haute normanvie
Vé^oAtemenU : EURE - SEINE-UARITIHE
Lieu- dit : "Hauti> BlneX^"
Coordonnée LAMBERT X 474,50y 201,35z 7S à 100
ÇÇ!^Ç^ lABOURGUIGNE
Commune : Notne-Vame-de-Gnavenchon
Vole d'acce¿ ;
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : "Vallée sèche" site naturel
Distance de l'habitation la plus proche : Pas d'habitation
Distance du cours d'eau le plus proche : Pas de cours d'eau
Présence d'eau au fond de la décharge : /
Existe-t-il un captage AEP : NDN
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage-décharge : /
Superficie : ? Volume total : ?
DECHETS
Nature des déchets : Résidus de pétrole et de graisses d'usine malaxées avec dela terre ont été déposés entre 19BB et 1969.
Depuis : résidus de balayage d'usine, déblais de béton, dé¬chets d'incinérateur
Dépôts sauvages : dépôts métalliques, boues, résidus de fossesde vidange hydrocarbures
Provenance des déchets : Société Emery et divers
Production annuelle : 4 000 t Volume déjà stocké : 15 000 m^
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI et NON - Les clôtures ont été défoncées permettant ainsiles dépôts sauvages
Exploitant : Société Emery
Date de saturation estimée : 1995
Type de décharge : Théoriquement "contrôlée"
- 28 - N° 4
region; haute normanvie
Vé^oAtemenU : EURE - SEINE-UARITIHE
Lieu- dit : "Hauti> BlneX^"
Coordonnée LAMBERT X 474,50y 201,35z 7S à 100
ÇÇ!^Ç^ lABOURGUIGNE
Commune : Notne-Vame-de-Gnavenchon
Vole d'acce¿ ;
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : "Vallée sèche" site naturel
Distance de l'habitation la plus proche : Pas d'habitation
Distance du cours d'eau le plus proche : Pas de cours d'eau
Présence d'eau au fond de la décharge : /
Existe-t-il un captage AEP : NDN
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage-décharge : /
Superficie : ? Volume total : ?
DECHETS
Nature des déchets : Résidus de pétrole et de graisses d'usine malaxées avec dela terre ont été déposés entre 19BB et 1969.
Depuis : résidus de balayage d'usine, déblais de béton, dé¬chets d'incinérateur
Dépôts sauvages : dépôts métalliques, boues, résidus de fossesde vidange hydrocarbures
Provenance des déchets : Société Emery et divers
Production annuelle : 4 000 t Volume déjà stocké : 15 000 m^
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI et NON - Les clôtures ont été défoncées permettant ainsiles dépôts sauvages
Exploitant : Société Emery
Date de saturation estimée : 1995
Type de décharge : Théoriquement "contrôlée"
- 29 -
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Pas pour l'instant
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Flanc d'une vallée sèche appelée le fond des "Hauts Binets"
Terrain dans lequel se fait la décharge : Craie du Sénonien. De plus un accidentparcourt le fond de la vallée et met encontact la craie du Cénomanien et celledu Sénonien
Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la Craie
Sens d'écoulement : NE vers le SW
Profondeur de la nappe : 28 m
Battement de l'aquifère : c:¿. 1 m
Epaisseur de l'aquifère : ai 100 à 270 m
Type d' aquifère : libre
Substratum : Argile de Gault (mur théorique]
Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée au droit du siteépaisse de 28 m
Vulnérabilité de l'eau : La présence de la fracture au fond de la vallée rendl'aquifère particulièrement vulnérable à la pollution
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? NDN, mais on peut noter :
- front de décharge relativement instable- des traces d'incendies- une faune (rat] importante
Réseau de surveillance déjà installé : NDN
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Afin de contrôler la qualité de la nappe phréatique :
- Réalisation d'un piézomètre (nuisomètre] de contrôle de 35 m de pro¬fondeur pénétrant dans la nappe,
- Prélèvements et analyses d'échantillons de terrain lors du creusementen vue d'analyses de sols,
- Prélèvements et analyses d'échantillons d'eau de la nappe à différentesépoques de l'année
Montant des travaux : 20 000 F
- 29 -
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Pas pour l'instant
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Flanc d'une vallée sèche appelée le fond des "Hauts Binets"
Terrain dans lequel se fait la décharge : Craie du Sénonien. De plus un accidentparcourt le fond de la vallée et met encontact la craie du Cénomanien et celledu Sénonien
Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la Craie
Sens d'écoulement : NE vers le SW
Profondeur de la nappe : 28 m
Battement de l'aquifère : c:¿. 1 m
Epaisseur de l'aquifère : ai 100 à 270 m
Type d' aquifère : libre
Substratum : Argile de Gault (mur théorique]
Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée au droit du siteépaisse de 28 m
Vulnérabilité de l'eau : La présence de la fracture au fond de la vallée rendl'aquifère particulièrement vulnérable à la pollution
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? NDN, mais on peut noter :
- front de décharge relativement instable- des traces d'incendies- une faune (rat] importante
Réseau de surveillance déjà installé : NDN
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Afin de contrôler la qualité de la nappe phréatique :
- Réalisation d'un piézomètre (nuisomètre] de contrôle de 35 m de pro¬fondeur pénétrant dans la nappe,
- Prélèvements et analyses d'échantillons de terrain lors du creusementen vue d'analyses de sols,
- Prélèvements et analyses d'échantillons d'eau de la nappe à différentesépoques de l'année
Montant des travaux : 20 000 F
- 30 -
ANNEXES
- Situation du site - Piézométrie locale
- Lithologie du site
- Carte des principaux ouvrages de captage
- Tableau des valeurs statistiques des différents ions
- Carte des isohypses du toit du Gault.
- 30 -
ANNEXES
- Situation du site - Piézométrie locale
- Lithologie du site
- Carte des principaux ouvrages de captage
- Tableau des valeurs statistiques des différents ions
- Carte des isohypses du toit du Gault.
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ECHELLE-W25 00Ô
DEPARTEMENT 76- 32 -
COMMUNE NOTRE-DAME DE GRAVEi,'CHC1nJ
DESIGNATION : YILLEQUIER 5 Indice de classement
Cote du sol (2) = + 56j80
75 !7| 5
COUPE PROFOND. COTES LITHOLOGIE STî?ATi&PAP^"f.
-. * ^
« #
16 i-tceArgile à silex Arg. à sile.x
Grè.s calcaire à intercalât ions marneuses CENOMANin.N'
¿e,s t-fl,3
61, 0 ^¿,2 Argile noirâtre GAULT
102,5 -¿S, 7
Sables argileux \LD1EN inf.
Marnes à intercalations de marno-cal cairet de calcaire gréseux ;<I.XfM£:RIDGIE.\|
1^9, 0 92,2
160^5 103,7 Sables à intercalations de calcaire mar-
175,0 118,2
ueuxI
Calcaire sublithographique à lits demarne
LUSITANIEN'
Marnes brunes conchoïdes avec interca¬lations de marne-calcaires
220, 0 -163,2
Echelle : i MSCO
DEPARTEMENT 76- 32 -
COMMUNE NOTRE-DAME DE GRAVEi,'CHC1nJ
DESIGNATION : YILLEQUIER 5 Indice de classement
Cote du sol (2) = + 56j80
75 !7| 5
COUPE PROFOND. COTES LITHOLOGIE STî?ATi&PAP^"f.
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16 i-tceArgile à silex Arg. à sile.x
Grè.s calcaire à intercalât ions marneuses CENOMANin.N'
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61, 0 ^¿,2 Argile noirâtre GAULT
102,5 -¿S, 7
Sables argileux \LD1EN inf.
Marnes à intercalations de marno-cal cairet de calcaire gréseux ;<I.XfM£:RIDGIE.\|
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160^5 103,7 Sables à intercalations de calcaire mar-
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Calcaire sublithographique à lits demarne
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Marnes brunes conchoïdes avec interca¬lations de marne-calcaires
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BOLBEC-SITUATION DES PRINCIPAUX OUVRAGESDE CAPTAGE ET LIMITE DES RESEAUX A E P
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L E G E N D E
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AE Pdf Syndical
InduMr-rl
Agricole
Particulier
Sourcecaptée
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Indice de t'ouvrage dans le huiliè'me
Limite de syndicat
Numérotation du syndicat dans le teile
Limit» de c o m m u n e
C o m m u n e autonom* _
-Commune autonom* renforcée
Limite de syndicat n* correspondant pas
à une limite de c o m m u n e
Echelle i/lOO 000
IO3
- VALEURS STATISTIQUES DES DIFFERENTS IONS
Résistivité à 18»
pH
DU total
Ca^^
Mg^-^
Wa^--^
K^
CO H~
Cl"
so^-
1
Nombre
d'échaai-
tillons
Zk
36
38
26
28
22
17
31
39
36
27
Médiane
2 110
712
27
mg/1
95,8
5,3
10,5
2,0
295
23
1012
15
meq/l
'^,75
o,hoo,hk
0,^5
0,05
k,8h
0,6ii
0,220,25
0,2it
Intervalle interquartile
1 960 à 2 OÎIO - 2 300
7,1 - 7,35
.25,5 - 36
',35 - 5,30
0,31 - 0,90
0,39 - 0,77
0,0'* - 0 , 06
k,k2 - 5,78
0,53 - 1,07
0,16 - 0,66
0,11 - 0,29
minimum
1 010
6,8
22,5
3,68
t
0,22
0,02
3,61
0,10
0,08
0,02 1
maximum
2 l\k5
7,6
'»9,7
8,0
'»,52
13,90
0,21
8,90
7,60
2,18
0,90
- VALEURS STATISTIQUES DES DIFFERENTS IONS
Résistivité à 18»
pH
DU total
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Intervalle interquartile
1 960 à 2 OÎIO - 2 300
7,1 - 7,35
.25,5 - 36
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0,31 - 0,90
0,39 - 0,77
0,0'* - 0 , 06
k,k2 - 5,78
0,53 - 1,07
0,16 - 0,66
0,11 - 0,29
minimum
1 010
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ISOHYPSES DU TOITDU GAULT
L E G E N D E
1 f 80 OüO WETOT
Ftill*
E c h e Ile t M 0 0 000
REGION FICARPTE
Pégdl^em§Kií ; SOMME
Llev-idlt : Bol& de Rouy
Coondonnée LAMBERT X
y
- 36 -
Contact : CAUVRON (M.
Commune : NESLES
Vole d'accéi : V.34
N" 5
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Carrières de Limon et de sables tertiaires
Distance de l'habitation la plus proche : 500 m
Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m
Présence d'eau au fond de la décharge : OUI
Existe-t-il un captage APE : OUI nombreux puits privés
Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI NON
Distance captage - décharge : 750 m position latérale par rapport aux
décharges.
Superficie : 6,4 ha Volume total : 120.000 m^
DECHETS
Nature des déchets :
1°] Décharge communale reçoit déchets urbains et ménagers, déchets privés,notamment des produits liquides qui baignent la base des déchets.
2°) Décharge ORSAN contient un liquide pâteux noirâtre, mélange de sulfate desoude, a ammonium, de phosphate de chaux et de charbon actif usé.
Provenance des déchets : 1°) Communes environnantes1°} Société ORSAN : société de produits organiques du
Sauterre à Nés le.
Production annuelle Dépôt abandonnédepuis 1976
Volvime déjà stocké
REGION FICARPTE
Pégdl^em§Kií ; SOMME
Llev-idlt : Bol& de Rouy
Coondonnée LAMBERT X
y
- 36 -
Contact : CAUVRON (M.
Commune : NESLES
Vole d'accéi : V.34
N" 5
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Carrières de Limon et de sables tertiaires
Distance de l'habitation la plus proche : 500 m
Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m
Présence d'eau au fond de la décharge : OUI
Existe-t-il un captage APE : OUI nombreux puits privés
Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI NON
Distance captage - décharge : 750 m position latérale par rapport aux
décharges.
Superficie : 6,4 ha Volume total : 120.000 m^
DECHETS
Nature des déchets :
1°] Décharge communale reçoit déchets urbains et ménagers, déchets privés,notamment des produits liquides qui baignent la base des déchets.
2°) Décharge ORSAN contient un liquide pâteux noirâtre, mélange de sulfate desoude, a ammonium, de phosphate de chaux et de charbon actif usé.
Provenance des déchets : 1°) Communes environnantes1°} Société ORSAN : société de produits organiques du
Sauterre à Nés le.
Production annuelle Dépôt abandonnédepuis 1976
Volvime déjà stocké
- 37 -
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : ORSAN - SIVOM
Date de saturation estimée : fermée depuis 1376
Type de décharge : La décharge communale semble très mal gérée, la déchargeORSAN est clôturée.
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation en cours
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions et éboulis du IV sur la Craie (aquifère régional)
Terrain dans lequel se fait la décharge : Un remblai limoneux. plus ou moinscompacté sépare les déchets de la craie, les parois sont également recouvertesde Limons silleux en place ou éboulés.
Existence d'une nappe aquifère : OUI Dans la craie sous-jacente.
Sens d'écoulement : vers le marais et la vallée de l'Ingou W -» E
Profondeur de la nappe : 0 à 10 m
Battement de l'aquifère : 5 m
Epaisseur de l'aquifère : ?
Type d' aquifère : T = 0,05 m^/sGradient hydraulique 3°/ooDébit de la nappe 0,015 m3/s par 100 m de frontde nappe.
Substratum : ?
Position de la nappe par rapport à la décharge : Le fond semble toujours en eaumais on ne connait ni la pluviométrie , ni les déversements, ni les remontées de lanappe phréatique. En période de hautes eaux, on est sur du lessivage de labase des déchets par la nappe elle-même très vulnérable aux pollutions de surface.
Vulnérabilité de l'eau :
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ?
La société ORSAN a chargé le B.R.G.M., au début 1980, de procéder à la recherched'eau souterraine en bordure de la vallée de l'Ingon, sur la commune de Rouy leGrand. Le puits une fois fait, il s'est avéré que la qualité chimique de l'eauétait très médiocre, après 46 h de pompage :
- couleur verdâtre persistante- flinéralisation anormalement élevée en éléments azotés, en chlorure,
en sodium, en potassium et magnésium.
- 37 -
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : ORSAN - SIVOM
Date de saturation estimée : fermée depuis 1376
Type de décharge : La décharge communale semble très mal gérée, la déchargeORSAN est clôturée.
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation en cours
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions et éboulis du IV sur la Craie (aquifère régional)
Terrain dans lequel se fait la décharge : Un remblai limoneux. plus ou moinscompacté sépare les déchets de la craie, les parois sont également recouvertesde Limons silleux en place ou éboulés.
Existence d'une nappe aquifère : OUI Dans la craie sous-jacente.
Sens d'écoulement : vers le marais et la vallée de l'Ingou W -» E
Profondeur de la nappe : 0 à 10 m
Battement de l'aquifère : 5 m
Epaisseur de l'aquifère : ?
Type d' aquifère : T = 0,05 m^/sGradient hydraulique 3°/ooDébit de la nappe 0,015 m3/s par 100 m de frontde nappe.
Substratum : ?
Position de la nappe par rapport à la décharge : Le fond semble toujours en eaumais on ne connait ni la pluviométrie , ni les déversements, ni les remontées de lanappe phréatique. En période de hautes eaux, on est sur du lessivage de labase des déchets par la nappe elle-même très vulnérable aux pollutions de surface.
Vulnérabilité de l'eau :
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ?
La société ORSAN a chargé le B.R.G.M., au début 1980, de procéder à la recherched'eau souterraine en bordure de la vallée de l'Ingon, sur la commune de Rouy leGrand. Le puits une fois fait, il s'est avéré que la qualité chimique de l'eauétait très médiocre, après 46 h de pompage :
- couleur verdâtre persistante- flinéralisation anormalement élevée en éléments azotés, en chlorure,
en sodium, en potassium et magnésium.
- 38 -
o
Le pompage de 96 h à 226 m /h a provoqué un rayon d'influence fictif de 250à 300 m. Le forage pour cette raison fut abandonné. Ensuite la société ORSAN
a demandé au B.R.G.M. de rechercher les origines de cette pollution et d'expliquerle processus hydrodynamique.
Sur les 5 sites potentiellement polluants (1 - Marais-Canal, 2 - Décharge communale-décharge ORSAN, 3 - Bassin d'infiltration des eaux pluviales, 4 - Entrepôtd'engrais, 5 - Usine ORSAN} c'est le site n° 2 qui fut retenu comme causeprincipale de la pollution de la nappe ; les eaux de la nappe sont antérieuresà 1950, car elles contiennent peu de tritium.
Il y a analogie entre les éléments chimiques trouvés dans l'eau de la nappeet celle de la décharge communale avec les produits déversés par ORSAN avectoutefois une différence au niveau des phosphates et sulfates. Les phosphatesétant peu solubles et les sulfates se trouvant peut être à l'état de sulfuredans la décharge.
Ce serait en période de hautes eaux, lorsque la nappe imbibe la base des déchets,que la pollution a lieu, par dilution chimique d'une partie des produits solublesqui cheminent alors selon le sens d'écoulement.
PROGRAMME ET NATURE DES TRAVAUX A ENTREPRENDRE OU A POURSUIVRE
Il faut s'assurer de la liaison souterraine. Pour cela, il est nécessairede réaliser des piézomètres intermédiaires, complétés d'une expérience detraçage et d'analyses complémentaires sur l'eau de la nappe sous la décharge,dans le forage et entre ces deux points.
Montant des travaux : Coût approximatif 70.000 à 80.000 F.
BIBLIOGRAPHIE
CAOUS - COMON Rapport BRGM 78 SGN 453 PND
pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.
CAUDRON [M.} Note PIC 80/186Société ORSAN à Nesle CSomme]
Note techniqueRecherche des causes d'une pollution décelée dans la nappede la craie à Rouy le Grand [Somme].
ANNEXES
- Situation générale du site
- Tableau des captages avoisinant
- Carte des prélèvements souterrains
- 38 -
o
Le pompage de 96 h à 226 m /h a provoqué un rayon d'influence fictif de 250à 300 m. Le forage pour cette raison fut abandonné. Ensuite la société ORSAN
a demandé au B.R.G.M. de rechercher les origines de cette pollution et d'expliquerle processus hydrodynamique.
Sur les 5 sites potentiellement polluants (1 - Marais-Canal, 2 - Décharge communale-décharge ORSAN, 3 - Bassin d'infiltration des eaux pluviales, 4 - Entrepôtd'engrais, 5 - Usine ORSAN} c'est le site n° 2 qui fut retenu comme causeprincipale de la pollution de la nappe ; les eaux de la nappe sont antérieuresà 1950, car elles contiennent peu de tritium.
Il y a analogie entre les éléments chimiques trouvés dans l'eau de la nappeet celle de la décharge communale avec les produits déversés par ORSAN avectoutefois une différence au niveau des phosphates et sulfates. Les phosphatesétant peu solubles et les sulfates se trouvant peut être à l'état de sulfuredans la décharge.
Ce serait en période de hautes eaux, lorsque la nappe imbibe la base des déchets,que la pollution a lieu, par dilution chimique d'une partie des produits solublesqui cheminent alors selon le sens d'écoulement.
PROGRAMME ET NATURE DES TRAVAUX A ENTREPRENDRE OU A POURSUIVRE
Il faut s'assurer de la liaison souterraine. Pour cela, il est nécessairede réaliser des piézomètres intermédiaires, complétés d'une expérience detraçage et d'analyses complémentaires sur l'eau de la nappe sous la décharge,dans le forage et entre ces deux points.
Montant des travaux : Coût approximatif 70.000 à 80.000 F.
BIBLIOGRAPHIE
CAOUS - COMON Rapport BRGM 78 SGN 453 PND
pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.
CAUDRON [M.} Note PIC 80/186Société ORSAN à Nesle CSomme]
Note techniqueRecherche des causes d'une pollution décelée dans la nappede la craie à Rouy le Grand [Somme].
ANNEXES
- Situation générale du site
- Tableau des captages avoisinant
- Carte des prélèvements souterrains
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BASSINS D'INFILTRATIONDES EAUX PLUVIALES
RECONNAISSANCEENTREPOTSD'ENGRAIS
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CARACTERISTIQUES TECHNIQUES ET HYDROGEOLOGIQUE S DES CAPTAGES DU DEPARTEMENT DE LA SOMMe
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ORGANISATION DES RÉSEAUX D'ADDUCTION D'EAU POTABLE
- 42 -
REGION PAVS VE LOIRE
Ve^oKtement : SanXke
Lieu- dit : Le¿ Etang¿
Coondonnée LAMBERT
contact : LIIIASSET SGR/PL
Commune. : SPAV-ARNAGE
Vole d'accè.i> ; N.23
N° 6
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DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Anciennes gravières abandonnées
Distance de l'habitation la plus proche : 250 m
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge :
Existe-t-il un captage A. E.P. : NON
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - Décharge :
BOO m de la Sarthe
OUI
Superficie : Répartition anarchique dansde nombreuses gravièresabandonnées .
DECHETS
Volume total : très important
Nature des déchets Huiles de vidangeBoues diversesVidanges d 'excrétaOrdures ménagères
Provenance des déchets : Zone industrielle du MansCommunes environnantes
Production annuelle : Incontrôlable Volume déjà stocké : difficilementestimable.
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant : Seule la décharge communale est autorisée [à tort semble-t-il ? ])
pour stocker des déchets industriels divers. Mais des dépôtsclandestins semblent continuer à se faire un peu partout.
Date de saturation estimée :
Type de décharge : totalement incontrôlée
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Tous les secteurs sont à réaménagerentièrement.
- 42 -
REGION PAVS VE LOIRE
Ve^oKtement : SanXke
Lieu- dit : Le¿ Etang¿
Coondonnée LAMBERT
contact : LIIIASSET SGR/PL
Commune. : SPAV-ARNAGE
Vole d'accè.i> ; N.23
N° 6
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DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Anciennes gravières abandonnées
Distance de l'habitation la plus proche : 250 m
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge :
Existe-t-il un captage A. E.P. : NON
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - Décharge :
BOO m de la Sarthe
OUI
Superficie : Répartition anarchique dansde nombreuses gravièresabandonnées .
DECHETS
Volume total : très important
Nature des déchets Huiles de vidangeBoues diversesVidanges d 'excrétaOrdures ménagères
Provenance des déchets : Zone industrielle du MansCommunes environnantes
Production annuelle : Incontrôlable Volume déjà stocké : difficilementestimable.
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant : Seule la décharge communale est autorisée [à tort semble-t-il ? ])
pour stocker des déchets industriels divers. Mais des dépôtsclandestins semblent continuer à se faire un peu partout.
Date de saturation estimée :
Type de décharge : totalement incontrôlée
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Tous les secteurs sont à réaménagerentièrement.
- 43 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions de la Sarthe
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et Graviers
Existence d'une nappe aquifère : OUI
Sens d'écoulement : Drainée par la Sarthe
Profondeur de la nappe : très faible
Battement de l'aquifère : /
Epaisseur de l'aquifère : /
Type d'aquifère : Libres - Alluvions très perméables
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : subaff leurante
Vulnérabilité de l'eau : très vulnérable aux pollutions de surface
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Tous les dépôts industriels devraientêtre interdits dans ces alluvions très perméables de la Sarthe. Quant aux dépôtsd'ordures ménagères, ils n'ont pas lieu d'être puisqu'il existe au Mans uneusine d'incinération. Aucune pollution n'a toutefois été décelée.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun réseau de surveillance n'a étéinstallé auprès de ces différentes gravières abandonnées. Toutefois, on notel'existence de 2 puits à Arnage mis en oeuvre par l'usine RENAULT et ayantpour coordonnées 439 , 326 profondeur de B m.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : Réalisationd'au moins 5 piézomètres de 10 m dans les alluvions et disposés en avalhydraulique.Analyses des sols sous-jacents aux déchets.Dans le cas où les sols sont fortement pollués, analyse des eaux de la nappe.
Montant des travaux : Aux environs de 50.000 F.
BIBLIOGRAPHIE :
LIMASSET BP 78/35Recensement des zones de dépôts portant atteinte à l'environnement.
- 43 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions de la Sarthe
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et Graviers
Existence d'une nappe aquifère : OUI
Sens d'écoulement : Drainée par la Sarthe
Profondeur de la nappe : très faible
Battement de l'aquifère : /
Epaisseur de l'aquifère : /
Type d'aquifère : Libres - Alluvions très perméables
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : subaff leurante
Vulnérabilité de l'eau : très vulnérable aux pollutions de surface
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Tous les dépôts industriels devraientêtre interdits dans ces alluvions très perméables de la Sarthe. Quant aux dépôtsd'ordures ménagères, ils n'ont pas lieu d'être puisqu'il existe au Mans uneusine d'incinération. Aucune pollution n'a toutefois été décelée.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun réseau de surveillance n'a étéinstallé auprès de ces différentes gravières abandonnées. Toutefois, on notel'existence de 2 puits à Arnage mis en oeuvre par l'usine RENAULT et ayantpour coordonnées 439 , 326 profondeur de B m.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : Réalisationd'au moins 5 piézomètres de 10 m dans les alluvions et disposés en avalhydraulique.Analyses des sols sous-jacents aux déchets.Dans le cas où les sols sont fortement pollués, analyse des eaux de la nappe.
Montant des travaux : Aux environs de 50.000 F.
BIBLIOGRAPHIE :
LIMASSET BP 78/35Recensement des zones de dépôts portant atteinte à l'environnement.
- ^^ - N° 7
REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PLVEMARQUE VII /Nantes
Vé^artement : Santhe C2'!?!!'¿^?r ' Manoltti ¿e^ Bnautti
Lleu_dlt ; ^2-i^-4[^Ç^é. '
Coordonnées LAMBERT xy
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : B fossés creusés dans le sol
Distance de l'habitation la plus proche : un peu à l'écart de la route à côtéde l'usine.
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage AEP : OUI dans le bourg de Marolles
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - Décharge :
Superficie : Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Boues, contenant des sels de métaux lourds toxiquestels que les sels de chrome.
Provenance des déchets : Usine de la Société SAREL
Production annuelle : ^ Volume déjà stocké :
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : Société SAREL
Date de saturation estimée :
Type de décharge : Déversement dans des fossés non protégés par des films étanches.
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés :
- ^^ - N° 7
REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PLVEMARQUE VII /Nantes
Vé^artement : Santhe C2'!?!!'¿^?r ' Manoltti ¿e^ Bnautti
Lleu_dlt ; ^2-i^-4[^Ç^é. '
Coordonnées LAMBERT xy
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : B fossés creusés dans le sol
Distance de l'habitation la plus proche : un peu à l'écart de la route à côtéde l'usine.
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage AEP : OUI dans le bourg de Marolles
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - Décharge :
Superficie : Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Boues, contenant des sels de métaux lourds toxiquestels que les sels de chrome.
Provenance des déchets : Usine de la Société SAREL
Production annuelle : ^ Volume déjà stocké :
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : Société SAREL
Date de saturation estimée :
Type de décharge : Déversement dans des fossés non protégés par des films étanches.
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés :
45 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Oxfordien : Marnes a briques et calcaire tendre
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur des "Marnes à Pernes" et descalcaires tendres exploités prèsde Marolles.
Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance
Sens d ' écoulement
Profondeur de la nappe
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère
Substratum
de faible profondeur
Position de la nappe par rapport à la décharge :
Vulnérabilité de l'eau : Importante
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? OUI, pollution concomittante des puitspar des sels de chrome.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun.Existence à Marolles les Braults de 2 puits mis en place par le Génie Rural duMans et ayant pour coordonnées :
450,45 - 63,65 profondeur 185 m
450 - 63 " 185 m
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La non étanchéîté des fosses, la perméabilité localement possible du sous-solla toxicité des boues : ces 3 éléments font que ce stockage doit être revu enpriorité, et qu'une connaissance de l'état actuel de la pollution est nécessaire.Pour cela, il faudra :
. l'implantation de 2 piézomètres minimum de 30 de profondeur
. analyses des sols ainsi que des eaux souterraines.
Montant des travaux : non estimé
BILBIOGRAPHIE
M. LIMASSET Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementpour l'ANRED Juillet 1978BP 78/35
45 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Oxfordien : Marnes a briques et calcaire tendre
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur des "Marnes à Pernes" et descalcaires tendres exploités prèsde Marolles.
Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance
Sens d ' écoulement
Profondeur de la nappe
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère
Substratum
de faible profondeur
Position de la nappe par rapport à la décharge :
Vulnérabilité de l'eau : Importante
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? OUI, pollution concomittante des puitspar des sels de chrome.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun.Existence à Marolles les Braults de 2 puits mis en place par le Génie Rural duMans et ayant pour coordonnées :
450,45 - 63,65 profondeur 185 m
450 - 63 " 185 m
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La non étanchéîté des fosses, la perméabilité localement possible du sous-solla toxicité des boues : ces 3 éléments font que ce stockage doit être revu enpriorité, et qu'une connaissance de l'état actuel de la pollution est nécessaire.Pour cela, il faudra :
. l'implantation de 2 piézomètres minimum de 30 de profondeur
. analyses des sols ainsi que des eaux souterraines.
Montant des travaux : non estimé
BILBIOGRAPHIE
M. LIMASSET Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementpour l'ANRED Juillet 1978BP 78/35
- 46 - N° 8
REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PL
VEMARQUE VII /NantesVepartment ; Sarthe Cormune. ; champagne
\Á^Z'^ à 500 m du cimetière ^°î:^.4'.?rÇ:^lé ' RN.23
Coordonnée LAMBERT x
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DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Petite excavation dans les alluvions de l'huisne.
Distance de l'habitation la plus proche : 500 m du village
Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m de l'huisne
Présence d'eau au fond de la décharge : OUI
Existe-t-il un captage A. E.P. : OUI
Possède-t-il un périmètre de protection : OUI
Distance captage - décharge : la rivière l'Huisne alimente en eau les 300.000 H.de la région du Mans [Station de l'Epau AEP à 8 km]
Superficie : Petit dépôt 1/4 ha Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères
Produits de vidangeMare d'hydrocarbures
Provenance des déchets : Divers
Production annuelle : Volume déjà stocké
CONDITION D ' EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant :
Date de saturation estimée : La fin de l'exploitation a eu lieu théoriquementau mois de juillet 1980.
Type de décharge : totalement incontrôlée
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Aurait dû déjà être faite.
- 46 - N° 8
REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PL
VEMARQUE VII /NantesVepartment ; Sarthe Cormune. ; champagne
\Á^Z'^ à 500 m du cimetière ^°î:^.4'.?rÇ:^lé ' RN.23
Coordonnée LAMBERT x
yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Petite excavation dans les alluvions de l'huisne.
Distance de l'habitation la plus proche : 500 m du village
Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m de l'huisne
Présence d'eau au fond de la décharge : OUI
Existe-t-il un captage A. E.P. : OUI
Possède-t-il un périmètre de protection : OUI
Distance captage - décharge : la rivière l'Huisne alimente en eau les 300.000 H.de la région du Mans [Station de l'Epau AEP à 8 km]
Superficie : Petit dépôt 1/4 ha Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères
Produits de vidangeMare d'hydrocarbures
Provenance des déchets : Divers
Production annuelle : Volume déjà stocké
CONDITION D ' EXPLOITATION
Décharge sauvage : OUI
Exploitant :
Date de saturation estimée : La fin de l'exploitation a eu lieu théoriquementau mois de juillet 1980.
Type de décharge : totalement incontrôlée
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : Aurait dû déjà être faite.
- 47 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions modernes
Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers - sables
Existence d'une nappe aquifère : OUI
Sens d ' écoulement
Profondeur de la nappe
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère
Substratum
Drainée par l'Huisne
Nulle
?
Libre, très perméable.
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? La qualité de l'eau de l'Huisne s'estconsidérablement dégradée depuis ces dernières années. La baignade estmaintenant interdite à Champagne car elle provoque des maladies de peau.
La pollution de la rivière n'est pas créée uniquement par cette décharge, toutle long de l'Huisne, dans d'anciennes carrières se trouvent des dépôtsd'origine diverse tout aussi dangereux, car totalement sauvages. Il existeégalement des stockage importants d'hydrocarbures CSHELL - ESSGK Le lessivagedes déchets par les eaux pluviales pollue-t-il la nappe ?
Y-a-t-il des pertes au niveau des stockages d'hydrocarbures ?
Réseau de surveillance déjà ip.<ít:allé : L'inexistence d'un réseau de surveillancene permet pas de répondre à ces questions.Il existe pourtant un puits à Champagne [LES AUVRIS) mis en place par l'associationpour la sauvegarde de l'Enfance dont les coordonnées sont : 450/25 - 336,65profondeur 10,10 m.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Le programme d'étude envisagé s'articule en 3 phases :
Phase 1 Reconnaissance de l'état actuelRéalisation de quelques sondages équipés en piézomètresAnalyses des terrains puis des eaux prélevéesPompage d'essai.
Phase 2 En cas de pollution : réalisation de piézomètres complémentairesPompage
Phase 3 Elaboration d'un plan de protection de l'Huisnecontre la pollution constatéeEn cas d'accident.
Montant des travaux : Non évalué
- 47 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions modernes
Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers - sables
Existence d'une nappe aquifère : OUI
Sens d ' écoulement
Profondeur de la nappe
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère
Substratum
Drainée par l'Huisne
Nulle
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Libre, très perméable.
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? La qualité de l'eau de l'Huisne s'estconsidérablement dégradée depuis ces dernières années. La baignade estmaintenant interdite à Champagne car elle provoque des maladies de peau.
La pollution de la rivière n'est pas créée uniquement par cette décharge, toutle long de l'Huisne, dans d'anciennes carrières se trouvent des dépôtsd'origine diverse tout aussi dangereux, car totalement sauvages. Il existeégalement des stockage importants d'hydrocarbures CSHELL - ESSGK Le lessivagedes déchets par les eaux pluviales pollue-t-il la nappe ?
Y-a-t-il des pertes au niveau des stockages d'hydrocarbures ?
Réseau de surveillance déjà ip.<ít:allé : L'inexistence d'un réseau de surveillancene permet pas de répondre à ces questions.Il existe pourtant un puits à Champagne [LES AUVRIS) mis en place par l'associationpour la sauvegarde de l'Enfance dont les coordonnées sont : 450/25 - 336,65profondeur 10,10 m.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Le programme d'étude envisagé s'articule en 3 phases :
Phase 1 Reconnaissance de l'état actuelRéalisation de quelques sondages équipés en piézomètresAnalyses des terrains puis des eaux prélevéesPompage d'essai.
Phase 2 En cas de pollution : réalisation de piézomètres complémentairesPompage
Phase 3 Elaboration d'un plan de protection de l'Huisnecontre la pollution constatéeEn cas d'accident.
Montant des travaux : Non évalué
- 48 -
BIBLIOGRAPHIE
M. LIMASSET Recensement de zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementPour l'ANRED Juillet 1976BP 78/35
- 48 -
BIBLIOGRAPHIE
M. LIMASSET Recensement de zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementPour l'ANRED Juillet 1976BP 78/35
- 49 -REGIOM BRETAGNE Contact : M. BOLLELI SGR/BRE
M. BAULAIM VII /Rennes'0é2anXme.Yít : lile et. ViLalne Ç?"?!!^!}?- ' St Grégoire
Lleu-ldlt : La Rablnandlere 1^2^§_^!^9lé ' V. 91
Coordonnée LAMBERT x
yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne carrière
Distance de l'habitation la plus proche : 50 m [Etablissement pour enfants]
Distance du cours d'eau le plus proche : 1000 m
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage A.E.P. : qui - Station de pompage du Syndicat Intercommunalde Rennes/Nord.
Possède-t-il un périmètre de protection : OUI
Distance captage - décharge : 1 km au Sud de la décharge
Superficie : = 1,2 ha Volume total : =100 000 m'^
DECHETS
Nature des déchets : Qoubb 83 % H20 j 10 % Amiante j 10 % sels saturés[l'analyse des eaux résiduaires de l'usine a donné des traces de CR B]Aucune poussière d'amiante pure ou d'amiante ciment, n'est déposée dans
, la décharge. Elles sont stockées depuis 1978 à l'usine de Rennes pour êtreréutilisées lorsque le projet de recirculation de ces poussières sera mis en place.Provenance des déchets :
Déchets de fabrication de fibrt)- ciment de l'usine d'Eternit.
Production annuelle : 15000 m'^ déchets solideá^ol"^ déjà stocké : 20.000 m^
15000 m^ boues1 50 m gravats
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : ETERNIT
Date de saturation estimée : 1962
Type de décharge : Déversement puis couverture par de la terre en période sèchepour éviter la dissémination des micro fibres d'Asbeste.
Récupération des lessivats : |^g|\|
Remise en état des sols utilisés : Prévue par une couverture de terre.
- 49 -REGIOM BRETAGNE Contact : M. BOLLELI SGR/BRE
M. BAULAIM VII /Rennes'0é2anXme.Yít : lile et. ViLalne Ç?"?!!^!}?- ' St Grégoire
Lleu-ldlt : La Rablnandlere 1^2^§_^!^9lé ' V. 91
Coordonnée LAMBERT x
yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne carrière
Distance de l'habitation la plus proche : 50 m [Etablissement pour enfants]
Distance du cours d'eau le plus proche : 1000 m
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage A.E.P. : qui - Station de pompage du Syndicat Intercommunalde Rennes/Nord.
Possède-t-il un périmètre de protection : OUI
Distance captage - décharge : 1 km au Sud de la décharge
Superficie : = 1,2 ha Volume total : =100 000 m'^
DECHETS
Nature des déchets : Qoubb 83 % H20 j 10 % Amiante j 10 % sels saturés[l'analyse des eaux résiduaires de l'usine a donné des traces de CR B]Aucune poussière d'amiante pure ou d'amiante ciment, n'est déposée dans
, la décharge. Elles sont stockées depuis 1978 à l'usine de Rennes pour êtreréutilisées lorsque le projet de recirculation de ces poussières sera mis en place.Provenance des déchets :
Déchets de fabrication de fibrt)- ciment de l'usine d'Eternit.
Production annuelle : 15000 m'^ déchets solideá^ol"^ déjà stocké : 20.000 m^
15000 m^ boues1 50 m gravats
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON
Exploitant : ETERNIT
Date de saturation estimée : 1962
Type de décharge : Déversement puis couverture par de la terre en période sèchepour éviter la dissémination des micro fibres d'Asbeste.
Récupération des lessivats : |^g|\|
Remise en état des sols utilisés : Prévue par une couverture de terre.
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SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Carrière exploitant une butte témoin d'une ancienne terrassealluvionnaire de l'Ill. constituée par 4-B m sables graviers très argileux
0-1 m graviers grossiers
puis schistes brioveriens.
Terrain dans lequel se fait la décharge : Dans les schistes brioveriens compactsmais plus ou moins altérés.
Existence d'une nappe aquifère : Pas de nappe au droit du siteExistence d'une nappe dans le bassin IIIde St Grégoire, exploitée par le syndicatintercommunale de Rennes-Nord.
Sens d'écoulement :
Prof ondeur 'de la nappe : de 7 à 10 m sous 2 à B m de limons et 4 à 5 m
de faluns non saturés
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère
de 0 à 7 m
- 30 m
Libre T = 5. 10~^ m^/sS = 1 % coef. d'emmagasinnement
Substratum : Schistes brioveriens
Position de la nappe par rapport à la décharge : Latérale à près de 1000 m dela décharge.
Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible. Pollution possible de deux types
1°] pollution directe : le sous-dol de la décharge [alluvions et schistesbrioveriens] est suffisamment argileux pour arrêter et filtrer les micro-fibres d'asbeste, phénomène qui peut s'amplifier par colmatage.Toutefois, une circulation privélégiée a pu se créer à la faveur d'unesurpression dans une fissure des schistes, mettant ainsi en relation leseaux issues de la décharge et la nappe.
2°] pollution indirecte : en période sèche, le vent peut faire voler les parti¬cules d'asbeste.
Ces particules peuvent se déposer sur une zone du bassin III où la couverturelimoneuse n'existe pas ; celle-ci ne pourrait assurer son rôle protecteur de filtre
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? En 1978, la population s'est inquiétéede la présence de cette décharge et surtout de son contenant, la relationamiante-cancer ayant été faite par le corps médical.La Préfecture d'Ille et Vilaine a alors demandé au B.R.G.M. une étude concernantles caractéristiques hydrogéologiques des différents terrains en présence permet¬tant d'avancer que les risques de pollution directe des eaux souterraines exploi¬tées dans le bassin III de St Grégoire par les déchets déversés dans la carrièrede la Rabinardière, sont pratiquement nuls. Ainsi le contexte géologique dusite a été décrit précisément [cf. Etude de M. BOLLELI].
Une zone de suintement existe à 150 m du dépôt au niveau du contact galets/schistesBrioveriens.
- 50 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Carrière exploitant une butte témoin d'une ancienne terrassealluvionnaire de l'Ill. constituée par 4-B m sables graviers très argileux
0-1 m graviers grossiers
puis schistes brioveriens.
Terrain dans lequel se fait la décharge : Dans les schistes brioveriens compactsmais plus ou moins altérés.
Existence d'une nappe aquifère : Pas de nappe au droit du siteExistence d'une nappe dans le bassin IIIde St Grégoire, exploitée par le syndicatintercommunale de Rennes-Nord.
Sens d'écoulement :
Prof ondeur 'de la nappe : de 7 à 10 m sous 2 à B m de limons et 4 à 5 m
de faluns non saturés
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère
de 0 à 7 m
- 30 m
Libre T = 5. 10~^ m^/sS = 1 % coef. d'emmagasinnement
Substratum : Schistes brioveriens
Position de la nappe par rapport à la décharge : Latérale à près de 1000 m dela décharge.
Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible. Pollution possible de deux types
1°] pollution directe : le sous-dol de la décharge [alluvions et schistesbrioveriens] est suffisamment argileux pour arrêter et filtrer les micro-fibres d'asbeste, phénomène qui peut s'amplifier par colmatage.Toutefois, une circulation privélégiée a pu se créer à la faveur d'unesurpression dans une fissure des schistes, mettant ainsi en relation leseaux issues de la décharge et la nappe.
2°] pollution indirecte : en période sèche, le vent peut faire voler les parti¬cules d'asbeste.
Ces particules peuvent se déposer sur une zone du bassin III où la couverturelimoneuse n'existe pas ; celle-ci ne pourrait assurer son rôle protecteur de filtre
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? En 1978, la population s'est inquiétéede la présence de cette décharge et surtout de son contenant, la relationamiante-cancer ayant été faite par le corps médical.La Préfecture d'Ille et Vilaine a alors demandé au B.R.G.M. une étude concernantles caractéristiques hydrogéologiques des différents terrains en présence permet¬tant d'avancer que les risques de pollution directe des eaux souterraines exploi¬tées dans le bassin III de St Grégoire par les déchets déversés dans la carrièrede la Rabinardière, sont pratiquement nuls. Ainsi le contexte géologique dusite a été décrit précisément [cf. Etude de M. BOLLELI].
Une zone de suintement existe à 150 m du dépôt au niveau du contact galets/schistesBrioveriens.
- 51
Cinq prélèvements d'eau ont été effectués le 18 juillet 1978 dans la carrière :
on notait alors que les teneurs en métaux lourds lorsque celles-ci sontdécelables sont toujours très faibles et qu'une pollution chimique paraitexclue.De même les analyses de poussières d'amiante dans l'air ont révélé des teneursinférieures au seuil permis par la législation en vigueur.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun. Il existe toutefois un puitsà St Grégoire datant de 1958 et profond de 28 m.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
1°] Contrôle du colmatage du fond de la carrière et de la non migration defibres d'asbeste dans les eaux souterraines issus de la décharge.Pour cela : prélèvement d'eau tous les 3 mois dans une tranchée creuséedans la zone de suintements et analyses par un laboratoire spécialisédes microfibres.
- Etude d'orientation pour définir la méthode d'analyse le mieux adaptée parmicroscope électronique à transmission (MET] ou à balayage MEB... 15.000 F
- Mise au point de la méthode par essais sur 4 échantillons [2 pré¬levés en tranchée et 2 du captage de la ville] 10.000 F
La société ETERNIT pourrait se charger des travaux [puits ou tranchée] destinésà effectuer des prélèvements entre la décharge et le captage.Il faudrait également répondre aux questions suivantes :
2°] Existe-t-il réellement une relation hydraulique entre la "Mare" de ladécharge et la zone de suintements ?
3°] Quelle est l'évolution des sels métalliques [Cr, Pb, Zn, Cd, Cu, Mn ...]
Pour Monsieur BAULAIN [DU] la réponse à la question n° 2 est négative, et ilne croit pas à une évolution notable des sels dissouts.
BIBLIOGRAPHIE
BOLLELI [E.] Etude des risques de pollution dus à la décharge desRabinardières en St Grégoire (Ille et Vilaine]
BOLLELI [E.] A.N.R.E.D.Inventaire des zones de stockage présentant un caractèreparticulièrement nuisible.
ANNEXES
- Carte géologique du secteur des Rabinardières
- Profil schématique du Bassin de St Grégoire - SW-NE et N-S
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Cinq prélèvements d'eau ont été effectués le 18 juillet 1978 dans la carrière :
on notait alors que les teneurs en métaux lourds lorsque celles-ci sontdécelables sont toujours très faibles et qu'une pollution chimique paraitexclue.De même les analyses de poussières d'amiante dans l'air ont révélé des teneursinférieures au seuil permis par la législation en vigueur.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun. Il existe toutefois un puitsà St Grégoire datant de 1958 et profond de 28 m.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
1°] Contrôle du colmatage du fond de la carrière et de la non migration defibres d'asbeste dans les eaux souterraines issus de la décharge.Pour cela : prélèvement d'eau tous les 3 mois dans une tranchée creuséedans la zone de suintements et analyses par un laboratoire spécialisédes microfibres.
- Etude d'orientation pour définir la méthode d'analyse le mieux adaptée parmicroscope électronique à transmission (MET] ou à balayage MEB... 15.000 F
- Mise au point de la méthode par essais sur 4 échantillons [2 pré¬levés en tranchée et 2 du captage de la ville] 10.000 F
La société ETERNIT pourrait se charger des travaux [puits ou tranchée] destinésà effectuer des prélèvements entre la décharge et le captage.Il faudrait également répondre aux questions suivantes :
2°] Existe-t-il réellement une relation hydraulique entre la "Mare" de ladécharge et la zone de suintements ?
3°] Quelle est l'évolution des sels métalliques [Cr, Pb, Zn, Cd, Cu, Mn ...]
Pour Monsieur BAULAIN [DU] la réponse à la question n° 2 est négative, et ilne croit pas à une évolution notable des sels dissouts.
BIBLIOGRAPHIE
BOLLELI [E.] Etude des risques de pollution dus à la décharge desRabinardières en St Grégoire (Ille et Vilaine]
BOLLELI [E.] A.N.R.E.D.Inventaire des zones de stockage présentant un caractèreparticulièrement nuisible.
ANNEXES
- Carte géologique du secteur des Rabinardières
- Profil schématique du Bassin de St Grégoire - SW-NE et N-S
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LI37 DI; D-79 1.776
F/g. ? CARTE GEOLOGIQUE DU SECTEUR DES 'PABfNARDtERES' (Sile.ef.vitat'ne)
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REGION PAYS VE LOIRE- 55 - N° 10
Vé2anjtme.nt : Ve.ndée C?'!?uf^!}^ Lc¡. Bru{¡{,lére
Lleu-idlt : ^2^§_Çfl^9Çlé 3 Rue St Elol
Coordonnée LAMBERT xyz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site ; Bassin à fond et levées de terre dans l'enceintemême de l'usine.
Distance de l'habitation la plus proche : en pleine ville
Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m ! Moselle
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage A.E.P. : NDN
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - décharge :
Superficie : Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Huiles de coupe ou de trempe usagées.
Provenance des déchets : Usine produisant les différentes pièces mécaniques(couronnes de démarreur en particulier]Société DEFONTAINES
Production annuelle : Volume déjà stocké :
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : |\|oi\i
Exploitant : Société DEFONTAINES
Date de saturation estimée : Ce mode de dépôt n'a plus cours.
Type de décharge : Déversement dans des bassins
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : OUI, le bassin a été remblayé.
REGION PAYS VE LOIRE- 55 - N° 10
Vé2anjtme.nt : Ve.ndée C?'!?uf^!}^ Lc¡. Bru{¡{,lére
Lleu-idlt : ^2^§_Çfl^9Çlé 3 Rue St Elol
Coordonnée LAMBERT xyz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site ; Bassin à fond et levées de terre dans l'enceintemême de l'usine.
Distance de l'habitation la plus proche : en pleine ville
Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m ! Moselle
Présence d'eau au fond de la décharge : NON
Existe-t-il un captage A.E.P. : NDN
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - décharge :
Superficie : Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Huiles de coupe ou de trempe usagées.
Provenance des déchets : Usine produisant les différentes pièces mécaniques(couronnes de démarreur en particulier]Société DEFONTAINES
Production annuelle : Volume déjà stocké :
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : |\|oi\i
Exploitant : Société DEFONTAINES
Date de saturation estimée : Ce mode de dépôt n'a plus cours.
Type de décharge : Déversement dans des bassins
Récupération des lessivats : NON
Remise en état des sols utilisés : OUI, le bassin a été remblayé.
- 56 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique :
Terrain dans lequel se fait la décharge : Arènes granitiques en liaisonavec le ruisseau.
Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance en liaison avecla Mozelle
Drainée par la MozelleSens d'écoulement
Profondeur de la nappe
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère :
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? La pollution du ruisseau la Mozelle,par infiltration des effluents hydrocarbures a été prouvée.Actuellement ces huiles sont stockées dans des citernes à fuel des¬affectées et confiées pour traitement à l'entreprise S.K.F. [Fontenoy-le-Comte Vendée] .
Toutefois, la résorption du dépôt existant, ne s'est pas faite dans debonnes conditions, puisque le bassin a apparemment été remblayé sansqu'on ait pris la précaution de retirer intégralement les huiles présentes.
Réseau de surveillance déjà installé : Inexistant
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : L'industrieldevra procéder à un curage complet de sa fosse. Etude possible de la migrationdes effluents d'hydrocarbures dans des arènes granitiques.
Montant des travaux : non estimé
BIBLIOGRAPHIE
n. LinASSET B.P. 78/35A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.
- 56 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique :
Terrain dans lequel se fait la décharge : Arènes granitiques en liaisonavec le ruisseau.
Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance en liaison avecla Mozelle
Drainée par la MozelleSens d'écoulement
Profondeur de la nappe
Battement de l'aquifère
Epaisseur de l'aquifère
Type d'aquifère :
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? La pollution du ruisseau la Mozelle,par infiltration des effluents hydrocarbures a été prouvée.Actuellement ces huiles sont stockées dans des citernes à fuel des¬affectées et confiées pour traitement à l'entreprise S.K.F. [Fontenoy-le-Comte Vendée] .
Toutefois, la résorption du dépôt existant, ne s'est pas faite dans debonnes conditions, puisque le bassin a apparemment été remblayé sansqu'on ait pris la précaution de retirer intégralement les huiles présentes.
Réseau de surveillance déjà installé : Inexistant
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : L'industrieldevra procéder à un curage complet de sa fosse. Etude possible de la migrationdes effluents d'hydrocarbures dans des arènes granitiques.
Montant des travaux : non estimé
BIBLIOGRAPHIE
n. LinASSET B.P. 78/35A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.
N° 11- 57 -
REGIOM ALSACE Contact : GRANVAROWSKI
Pépa^çmeiii ; Bas -Rhin C^íü^ííe VoríÁsheÁjn
Lleixidlt : MoZsheÁm ^.í'LiAl^'r^ ' RN.392
Coordonnée LAMBERT xyz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : G ravi ère -sablière
Distance de l'habitation la plus proche : 180 m
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge : QUI dans la gravière encore exploitéeen aval.
Existe-t-il un captage A.E.P. : NON
Possède-t-il un périmètre de protection : NON
Distance captage - décharge :
Superficie : 3,B ha Volume total : 35D.OOD m^
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets industriels et commerciauxassimilables aux résidus urbains, boues de station d'épuration de brasserie,déchets industriels divers [cendres volantes ...]
Provenance des déchets : Communes des environs [37.000 habitants]
Brasserie Kronenbourg [boues et déchets de verre], casernes, industries dela vallée de la Bruche.
Production annuelle : 11.000 t résidus urbainS^olume déjà stocké : 250.000 m^10.000 t déchets industriels divers16.000 t boues stations d'épuration
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON. Mais dans la gravière voisine s'est créée une déchargesauvage importante.
Exploitant : Entreprise privée Société MULTI SERVICES depuis 1963
Date de saturation estimée : 1980
Type de décharge : Compactée contrôlée - Déversement permanent 6 jours/semaine
Récupération des lessivats : OUI dans un point bas spécialement aménagé maispas assez regroupé : stagnation formant un étana oestilentiel et permettant desdes infiltrations vers l'aval.
N° 11- 57 -
REGIOM ALSACE Contact : GRANVAROWSKI
Pépa^çmeiii ; Bas -Rhin C^íü^ííe VoríÁsheÁjn
Lleixidlt : MoZsheÁm ^.í'LiAl^'r^ ' RN.392
Coordonnée LAMBERT xyz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : G ravi ère -sablière
Distance de l'habitation la plus proche : 180 m
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge : QUI dans la gravière encore exploitéeen aval.
Existe-t-il un captage A.E.P. : NON
Possède-t-il un périmètre de protection : NON
Distance captage - décharge :
Superficie : 3,B ha Volume total : 35D.OOD m^
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets industriels et commerciauxassimilables aux résidus urbains, boues de station d'épuration de brasserie,déchets industriels divers [cendres volantes ...]
Provenance des déchets : Communes des environs [37.000 habitants]
Brasserie Kronenbourg [boues et déchets de verre], casernes, industries dela vallée de la Bruche.
Production annuelle : 11.000 t résidus urbainS^olume déjà stocké : 250.000 m^10.000 t déchets industriels divers16.000 t boues stations d'épuration
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : NON. Mais dans la gravière voisine s'est créée une déchargesauvage importante.
Exploitant : Entreprise privée Société MULTI SERVICES depuis 1963
Date de saturation estimée : 1980
Type de décharge : Compactée contrôlée - Déversement permanent 6 jours/semaine
Récupération des lessivats : OUI dans un point bas spécialement aménagé maispas assez regroupé : stagnation formant un étana oestilentiel et permettant desdes infiltrations vers l'aval.
- 58 -
Remise en état des sols utilisés : Prévue quand le site sera rempli.
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Vallée fossile de la Bruche
Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions anciennes quaternaires
Existence d'une nappe aquifère : OUI
Sens d'écoulement : NW - SE
Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m
Battement de l'aquifère : 2 m
Epaisseur de l'aquifère : 20 m
Type d'aquifère : Libre
Substratum : Marnes du Keuper vraisemblablement.
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante
Vulnérabilité de l'eau : Nappe très vulnérable aux pollutions de surfaceà l'emplacement de la décharge.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ?
Dès 1974, des analyses mensuelles des eaux souterraines montrent unepollution importante. La minéralisation de la nappe en aval est 6 foissupérieure à celle de la nappe en amont. En 1978, les eaux sont particulièrementenrichies; K [xlO] Ma [x50] carbonates [XB] Li (x170] St [x10]. La sourcede cette pollution semble être les anciennes boues riches en divers élémentstoxiques contenues dans les agents de floculation.De plus l'exploitant accepte trop souvent des déchets non autorisés [cendresvolantes, huiles de vidanges, fûts ayant contenu des produits toxiques ...]La pollution ne semble pas dépasser 2700 m en aval-
Réseau de surveillance déjà installé :
1974 : 2 piézomètres à l'aval immédiat1 piézomètre à 80 m en amont servant de référence
1976 : 1 piézomètre supplémentaire installé dans la vallée de la Bruche.
- 58 -
Remise en état des sols utilisés : Prévue quand le site sera rempli.
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Vallée fossile de la Bruche
Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions anciennes quaternaires
Existence d'une nappe aquifère : OUI
Sens d'écoulement : NW - SE
Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m
Battement de l'aquifère : 2 m
Epaisseur de l'aquifère : 20 m
Type d'aquifère : Libre
Substratum : Marnes du Keuper vraisemblablement.
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante
Vulnérabilité de l'eau : Nappe très vulnérable aux pollutions de surfaceà l'emplacement de la décharge.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ?
Dès 1974, des analyses mensuelles des eaux souterraines montrent unepollution importante. La minéralisation de la nappe en aval est 6 foissupérieure à celle de la nappe en amont. En 1978, les eaux sont particulièrementenrichies; K [xlO] Ma [x50] carbonates [XB] Li (x170] St [x10]. La sourcede cette pollution semble être les anciennes boues riches en divers élémentstoxiques contenues dans les agents de floculation.De plus l'exploitant accepte trop souvent des déchets non autorisés [cendresvolantes, huiles de vidanges, fûts ayant contenu des produits toxiques ...]La pollution ne semble pas dépasser 2700 m en aval-
Réseau de surveillance déjà installé :
1974 : 2 piézomètres à l'aval immédiat1 piézomètre à 80 m en amont servant de référence
1976 : 1 piézomètre supplémentaire installé dans la vallée de la Bruche.
- 59 -
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
L'extension de la décharge n'est envisageable par le Conseil départementald'hygiène que dans le cas d'un aménagement préalable du terrain.- Remblaiement et mise en place de drains- Etanchéïfication par films plastiques du fond de la décharge.
Seule la partie inférieure de 1 'Aquifère de bonne qualité chimique, peut encoreêtre exploitée pour l'alimentation des communes et des usines locales[Kronenbourg] .
Il faudrait également évaluer plus précisément l'extension de la pollution.
Montant des Travaux : pas de devis.
BIBLIOGRAPHIE
B.R.G.M. Note 7B/SGAL du 29.12.75Note concernant la pollution à l'aval de la déchargede Dorlisheim.
REUSSNER [Ch.]
REÜSSNER [Ch.]
DAESSLE [M.]
GRANDAROWSKI [G.]
GRANDAROWSKI [G.]
Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement en Alsace 20.7.78
77 SGN 684 ALSNote concernant la pollution à l'aval de la déchargeDorlisheim 3/2/77
79 SGN 323 ALSSté MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde Dorlisheim.
79 SGN 702 ALSBrasserie KronenbourgExtension de l'unité K2 à ObernaiEtude d'impact du projet sur la nappe alluviale 19/11/79
80 SGN 487 ALSBrasserie KronenbourgContrôle de la qualité chimique de l'eau et piézomètredu secteur alluvial d 'Obernai en 1979 4/7/80
B.R.G.M. 80 SGN 221 ALSSoc. MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde la décharge de Dorlisheim.
N.B. Il existe de nombreux rapports SGAL sur l'évolution de la piézométrieet la qualité des eaux.Réseau de surveillance important pour toute la région.Contrôle sérieux grâce à un cofinancement AFEiRM et sociétés privéestype KRONENBOURG et MULTI SERVICE.
- 59 -
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
L'extension de la décharge n'est envisageable par le Conseil départementald'hygiène que dans le cas d'un aménagement préalable du terrain.- Remblaiement et mise en place de drains- Etanchéïfication par films plastiques du fond de la décharge.
Seule la partie inférieure de 1 'Aquifère de bonne qualité chimique, peut encoreêtre exploitée pour l'alimentation des communes et des usines locales[Kronenbourg] .
Il faudrait également évaluer plus précisément l'extension de la pollution.
Montant des Travaux : pas de devis.
BIBLIOGRAPHIE
B.R.G.M. Note 7B/SGAL du 29.12.75Note concernant la pollution à l'aval de la déchargede Dorlisheim.
REUSSNER [Ch.]
REÜSSNER [Ch.]
DAESSLE [M.]
GRANDAROWSKI [G.]
GRANDAROWSKI [G.]
Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement en Alsace 20.7.78
77 SGN 684 ALSNote concernant la pollution à l'aval de la déchargeDorlisheim 3/2/77
79 SGN 323 ALSSté MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde Dorlisheim.
79 SGN 702 ALSBrasserie KronenbourgExtension de l'unité K2 à ObernaiEtude d'impact du projet sur la nappe alluviale 19/11/79
80 SGN 487 ALSBrasserie KronenbourgContrôle de la qualité chimique de l'eau et piézomètredu secteur alluvial d 'Obernai en 1979 4/7/80
B.R.G.M. 80 SGN 221 ALSSoc. MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde la décharge de Dorlisheim.
N.B. Il existe de nombreux rapports SGAL sur l'évolution de la piézométrieet la qualité des eaux.Réseau de surveillance important pour toute la région.Contrôle sérieux grâce à un cofinancement AFEiRM et sociétés privéestype KRONENBOURG et MULTI SERVICE.
- 60 - ^,o ^2REGION ALSACE
QontQrit : GRAMPAROWS/CI
¡z-L^fiZ^ ' Brumath S:f2i-§_^!^^9lé CV 223Vlgue des hautes eaux
Coordonnée LAMBERT x ^^ '^^'^yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancien Marécage (Bras mort du Rhin]
Distance de l'habitation la plus proche : 1 km
Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m
Présence d'eau au fond de la décharge : oui
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui
Possêde-t-il un périmètre de protection : non
Distance captage - décharge : 2 km au Nord
Superficie : 1 , 5 ha Volvane total : 40.000 m^
DECHETS
Nature des déchets : oé^hets résultant de la fabrication du Latex et ratés defabrication, se présentant sous forme de boues pelletables.
Provenance des déchets : usine Polysar fabriquant de caoutchouc synthétique à
partir de monomères . Les eaux usées sont traitées à la station d'épurationet les boues pressées.
Production annuelle : 4000 j Volume déjà stocké : 20.OOO m3
jusqu'en Juillet 1977
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : pQp
Exploitant : Société Polysar
Date de saturation estimée : Fermée depuis Juillet 1977
Type de décharge : Compactée
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés : oui par de la terre végétale
- 60 - ^,o ^2REGION ALSACE
QontQrit : GRAMPAROWS/CI
¡z-L^fiZ^ ' Brumath S:f2i-§_^!^^9lé CV 223Vlgue des hautes eaux
Coordonnée LAMBERT x ^^ '^^'^yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancien Marécage (Bras mort du Rhin]
Distance de l'habitation la plus proche : 1 km
Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m
Présence d'eau au fond de la décharge : oui
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui
Possêde-t-il un périmètre de protection : non
Distance captage - décharge : 2 km au Nord
Superficie : 1 , 5 ha Volvane total : 40.000 m^
DECHETS
Nature des déchets : oé^hets résultant de la fabrication du Latex et ratés defabrication, se présentant sous forme de boues pelletables.
Provenance des déchets : usine Polysar fabriquant de caoutchouc synthétique à
partir de monomères . Les eaux usées sont traitées à la station d'épurationet les boues pressées.
Production annuelle : 4000 j Volume déjà stocké : 20.OOO m3
jusqu'en Juillet 1977
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : pQp
Exploitant : Société Polysar
Date de saturation estimée : Fermée depuis Juillet 1977
Type de décharge : Compactée
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés : oui par de la terre végétale
- 61 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Plaine alluviale Rhénane
Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions sablo-graveleuses quaternaires
Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale Rhénane
Sens d'écoulement : Localement NORD
Profondeur de la nappe : 0 à 1 m
Battement de l'aquifère : 40 cm
Epaisseur de l'aquifère : 60 m
Type d'aquifère : Libre
Substratum : Marnes de l'Oligocène
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante
Vulnérabilité de l'eau : nappe très vulnérable aux pollutions de surface
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Oui à l'aval pour les eaux souterraines,ainsi que certains bras d'eau alimentés par la nappe phréatique.- Augmentation de la DCO pour les eaux souterraines.- Présence d'écumes, et de produits style Latex en surface, attribuables à
des produits tensio-actifs.- Odeur chimique de certaines résurgences de la nappe.
En 1977, on note la pollutiondu puits de Mr Neth à Brumath, situé à l'aval dela décharge d'ordure ménagère : (15 à 27,5 mg/1 de Nitrates ; apparition denitrates d'Ammonium, pollution microbienne, teneur élevée de Zn, Fe etautres métaux] .
Réseau de surveillance déjà installé
En 1973 : 2 piézo installés à l'aval, puis changement de direction de l'écoule¬ment à la suite de travaux d'aménagement hydraulique.
En 1975 : 6 piézo implantés entre la décharge et le captage AEP de la communedistant d'un peu plus de 2 km au Nord.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
L'Endiguement du Rhin en amont de la chute de Gambsheim provoque un gonflementpermanent de la nappe dans le coude du Rhin au niveau de la Wantzenau. De cefait les différentes pollutions de surface, se dirigent plus à l'intérieur dela nappe, où se situent les captages AEP.
En 1977, des tests des différents aménagements sur modèle hydrodynamiqueétaient envisagés. Ces aménagements étaient de 2 sortes :
- 61 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Plaine alluviale Rhénane
Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions sablo-graveleuses quaternaires
Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale Rhénane
Sens d'écoulement : Localement NORD
Profondeur de la nappe : 0 à 1 m
Battement de l'aquifère : 40 cm
Epaisseur de l'aquifère : 60 m
Type d'aquifère : Libre
Substratum : Marnes de l'Oligocène
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante
Vulnérabilité de l'eau : nappe très vulnérable aux pollutions de surface
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Oui à l'aval pour les eaux souterraines,ainsi que certains bras d'eau alimentés par la nappe phréatique.- Augmentation de la DCO pour les eaux souterraines.- Présence d'écumes, et de produits style Latex en surface, attribuables à
des produits tensio-actifs.- Odeur chimique de certaines résurgences de la nappe.
En 1977, on note la pollutiondu puits de Mr Neth à Brumath, situé à l'aval dela décharge d'ordure ménagère : (15 à 27,5 mg/1 de Nitrates ; apparition denitrates d'Ammonium, pollution microbienne, teneur élevée de Zn, Fe etautres métaux] .
Réseau de surveillance déjà installé
En 1973 : 2 piézo installés à l'aval, puis changement de direction de l'écoule¬ment à la suite de travaux d'aménagement hydraulique.
En 1975 : 6 piézo implantés entre la décharge et le captage AEP de la communedistant d'un peu plus de 2 km au Nord.
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
L'Endiguement du Rhin en amont de la chute de Gambsheim provoque un gonflementpermanent de la nappe dans le coude du Rhin au niveau de la Wantzenau. De cefait les différentes pollutions de surface, se dirigent plus à l'intérieur dela nappe, où se situent les captages AEP.
En 1977, des tests des différents aménagements sur modèle hydrodynamiqueétaient envisagés. Ces aménagements étaient de 2 sortes :
- 62 -
1°] Recalibrage du contre canal de drainage situé en pied de digue du Rhin,de façon à abaisser la piézométrie de la nappe et à empêcher les eauxde la nappe en bordure rhénane de se propager à l'intérieur de la plaine.
2°] Creusement d'un nouveau canal de drainage en pied de l'ancienne diguedes hautes eaux en aval des décharges et rejoignant un ancien brasvers l'Ile.
MONTANT
Le devis de cette étude s'élevait en 1977 à 80.000 F ; soit :
- complément de données (relevés piézo, nivellement de plans d'eau...] 10.000 F
- Tracés précis du maillage, mise en forme des données nécessairesau fonctionnement du modèle 20.000 F
- Etalonnage du modèle, avec reconstitution de l'état actuel del'aquifère 20.000 F
- Exploitation du modèle, simulation de 4 cas de figure (4 x 7500] 30.000 F
COMMENTAIRES
A la suite d'une convention entre la préfecture du Bas-Rhin et le SGAL, desanalyses complètes (routine + éléments traces] des eaux de la nappe ont étéfaites entre Août et Décembre 1980 en 5 points d'échantillonnage de l'eau.Cette étude s'élève à 25.700 F [TTC]Un rapport devrait paraître au début de l'Année 1981.
BIBLIOGRAPHIE
- REUSSNER [ch.] - BRGM
Rapport 77 SGN 667 ALSEtude des pollutions de la nappe phréatique et des cours d'eau dans laforêt Rhénane au niveau de la Wantzenau.Résumés des travaux réalisés, et résultats acquis de Juillet 1976 à
Septembre 1977.
- REUSSNER (ch.] - BRGM
Pour l'ANREDRecensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinte à l'environ¬nement en Alsace. 20.07.78.
- MUNCK [F.]
Assainissement de la nappe en bordure Rhénane au niveau de la Wantzenau. Testdes différents aménagements sur modèle hydrodynamique.Devis - Programme. 20.07.78. - cf annexe 1.
- RISSLER [J,]
Convention entre le SGAL et le département du Bas-Rhin sur le contrôle de laqualité des eaux de la nappe pPiréatique dans la forêt rhénane au niveau dela Wantzenau en 1980.
- 62 -
1°] Recalibrage du contre canal de drainage situé en pied de digue du Rhin,de façon à abaisser la piézométrie de la nappe et à empêcher les eauxde la nappe en bordure rhénane de se propager à l'intérieur de la plaine.
2°] Creusement d'un nouveau canal de drainage en pied de l'ancienne diguedes hautes eaux en aval des décharges et rejoignant un ancien brasvers l'Ile.
MONTANT
Le devis de cette étude s'élevait en 1977 à 80.000 F ; soit :
- complément de données (relevés piézo, nivellement de plans d'eau...] 10.000 F
- Tracés précis du maillage, mise en forme des données nécessairesau fonctionnement du modèle 20.000 F
- Etalonnage du modèle, avec reconstitution de l'état actuel del'aquifère 20.000 F
- Exploitation du modèle, simulation de 4 cas de figure (4 x 7500] 30.000 F
COMMENTAIRES
A la suite d'une convention entre la préfecture du Bas-Rhin et le SGAL, desanalyses complètes (routine + éléments traces] des eaux de la nappe ont étéfaites entre Août et Décembre 1980 en 5 points d'échantillonnage de l'eau.Cette étude s'élève à 25.700 F [TTC]Un rapport devrait paraître au début de l'Année 1981.
BIBLIOGRAPHIE
- REUSSNER [ch.] - BRGM
Rapport 77 SGN 667 ALSEtude des pollutions de la nappe phréatique et des cours d'eau dans laforêt Rhénane au niveau de la Wantzenau.Résumés des travaux réalisés, et résultats acquis de Juillet 1976 à
Septembre 1977.
- REUSSNER (ch.] - BRGM
Pour l'ANREDRecensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinte à l'environ¬nement en Alsace. 20.07.78.
- MUNCK [F.]
Assainissement de la nappe en bordure Rhénane au niveau de la Wantzenau. Testdes différents aménagements sur modèle hydrodynamique.Devis - Programme. 20.07.78. - cf annexe 1.
- RISSLER [J,]
Convention entre le SGAL et le département du Bas-Rhin sur le contrôle de laqualité des eaux de la nappe pPiréatique dans la forêt rhénane au niveau dela Wantzenau en 1980.
/ • \ ; /- s
N i e a e i.r o h r m aií"
Secteur de La WantzenauTest sur modele hydrodynamique
aménagements hydrauliques pourassainir la nappe.
Plan de situation1/25.000
- 64 - . ^° ^3
REGION ALSACE Ç:2>}Î^Çr^ GRANVAROWSKI
Vepartment : Haat-Rhln Ç?^!f!î§ Wlntzenkeln{Ouest de Coùnar]
lA'ëi.Z.^ Ritzenthaten. 1^2^§_^!*99lé
Coordonnée LAMBERT x
yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne gravière de 10 m de profondeur.
Distance de l'habitation la plus proche : 309 f^
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge : Décharge recouverte de terre
Existe-t-il un captage A.E.P. : pQp
Possède-t-il un périmètre de protection : ^q^
Distance captage - décharge :
Superficie : 1 ha Volume total : 100. qoo ^,3
DECHETS
Nature des déchets : 75 % HCH oC , 15 % HCH^ , 0.7 % HCH ^0,1 % HCH cT, 9.10 % autres produits
Provenance des déchets : Déchets de fabrication du Lindale [Pesticides]
Production annuelle : Volume déjà stocké : 700 T
déposées avant 1970
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage :
Exploitant : Certainement l'Usine fabriquant le Luidane
Date de saturation estimée : Fermée
Type de décharge : Déversement sans contrôle
Récupération des lessivats : Mon
Remise en état des sols utilisés : Recouvert de terre
- 64 - . ^° ^3
REGION ALSACE Ç:2>}Î^Çr^ GRANVAROWSKI
Vepartment : Haat-Rhln Ç?^!f!î§ Wlntzenkeln{Ouest de Coùnar]
lA'ëi.Z.^ Ritzenthaten. 1^2^§_^!*99lé
Coordonnée LAMBERT x
yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne gravière de 10 m de profondeur.
Distance de l'habitation la plus proche : 309 f^
Distance du cours d'eau le plus proche :
Présence d'eau au fond de la décharge : Décharge recouverte de terre
Existe-t-il un captage A.E.P. : pQp
Possède-t-il un périmètre de protection : ^q^
Distance captage - décharge :
Superficie : 1 ha Volume total : 100. qoo ^,3
DECHETS
Nature des déchets : 75 % HCH oC , 15 % HCH^ , 0.7 % HCH ^0,1 % HCH cT, 9.10 % autres produits
Provenance des déchets : Déchets de fabrication du Lindale [Pesticides]
Production annuelle : Volume déjà stocké : 700 T
déposées avant 1970
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage :
Exploitant : Certainement l'Usine fabriquant le Luidane
Date de saturation estimée : Fermée
Type de décharge : Déversement sans contrôle
Récupération des lessivats : Mon
Remise en état des sols utilisés : Recouvert de terre
- 65 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Cône alluvial ancien de la Fecht
Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions hétérogènes. Gros galets etsables parfois argileux, à éléments d'origine vosgienne Granite et Gneiss.
Existance d'une nappe aquifère : Oui
Sens d'écoulement : N.E.
Profondeur de la nappe : 15m / côté du sol
Battement de l'aquifère : 4 m
Epaisseur de l'aquifère : non connue
Type d'aquifère : Libre
Substratum : indéterminé
Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée sous la déchargevariant entre 1 à 5 m d'épaisseur.
Vulnérabilité de l'eau : Nappe vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ?
En 1970 : par suite de la dispersion par le vent des déchets, les récoltes descultures aux alentours étaient devenues inutilisables et dangereuses à laconsommation humaine et animale.
En 1972 : on relève les teneurs suivantes : 0,1 g/1 HCH o< et 0,2 g/1 HCH^(année sèche] teneur plus faible à 300 m à l'aval.Les teneurs dans la matière en suspension recueillies par pompage sont plus
importantes 1,93 ppm d'HCHoC à l'aval; 0,5 ppm d'HCHo¿ à 300 m en aval.
"Ce qui prouve qu'il y a bien eu migration des pesticides dans Iss eaux souterraineshors du dépôt". En période pluvieuse on peut s'attendre à un dépassement duseuil critique des teneurs dans l'eau.
Réseau de Surveillance déjà installé.
En septembre 1972 installation : 1 piézo (19 m] à l'aval immédiat de la Gravière1 piézo (19 m] à 300 m à l'aval en direction N.E.
Le 26.10.1972 et le 23.11.1972 : Analyses des pesticides dans l'eau confiées àl'IRCHA.
- 65 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Cône alluvial ancien de la Fecht
Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions hétérogènes. Gros galets etsables parfois argileux, à éléments d'origine vosgienne Granite et Gneiss.
Existance d'une nappe aquifère : Oui
Sens d'écoulement : N.E.
Profondeur de la nappe : 15m / côté du sol
Battement de l'aquifère : 4 m
Epaisseur de l'aquifère : non connue
Type d'aquifère : Libre
Substratum : indéterminé
Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée sous la déchargevariant entre 1 à 5 m d'épaisseur.
Vulnérabilité de l'eau : Nappe vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ?
En 1970 : par suite de la dispersion par le vent des déchets, les récoltes descultures aux alentours étaient devenues inutilisables et dangereuses à laconsommation humaine et animale.
En 1972 : on relève les teneurs suivantes : 0,1 g/1 HCH o< et 0,2 g/1 HCH^(année sèche] teneur plus faible à 300 m à l'aval.Les teneurs dans la matière en suspension recueillies par pompage sont plus
importantes 1,93 ppm d'HCHoC à l'aval; 0,5 ppm d'HCHo¿ à 300 m en aval.
"Ce qui prouve qu'il y a bien eu migration des pesticides dans Iss eaux souterraineshors du dépôt". En période pluvieuse on peut s'attendre à un dépassement duseuil critique des teneurs dans l'eau.
Réseau de Surveillance déjà installé.
En septembre 1972 installation : 1 piézo (19 m] à l'aval immédiat de la Gravière1 piézo (19 m] à 300 m à l'aval en direction N.E.
Le 26.10.1972 et le 23.11.1972 : Analyses des pesticides dans l'eau confiées àl'IRCHA.
- 66 -
Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :
En 1979, la ville de Colmar se propose de remplacer le piézo à l'aval etd'y faire de nouvelles analyses afin d'évaluer la pollution y compris celleprovenant des gravières amont transformées en décharge d'O.M sans précautionsparticulières et s'il y a lieu d'éliminer ou de limiter la propagation de lapollution.
Montant des travaux : ' Non estimé
BIBLIOGRAPHIE
Extrait du rapport du 10.7.1973 SGALRecherche des éléments traces et des micropolluants.cf annexe 1 .
- 66 -
Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :
En 1979, la ville de Colmar se propose de remplacer le piézo à l'aval etd'y faire de nouvelles analyses afin d'évaluer la pollution y compris celleprovenant des gravières amont transformées en décharge d'O.M sans précautionsparticulières et s'il y a lieu d'éliminer ou de limiter la propagation de lapollution.
Montant des travaux : ' Non estimé
BIBLIOGRAPHIE
Extrait du rapport du 10.7.1973 SGALRecherche des éléments traces et des micropolluants.cf annexe 1 .
RECHERCHE DES MICROPOLLUANTS
DëpSt d'HCH
Gravier« Ritzenthaierà
WINTZENUEIM
Piêzomètres de controle
Echelle J/2Ö.000ON
REGION AQUITAINE " ^^ " Ço_ntaçt : CHAMAVOU N° 14
Vepartment ; lot zt Garonne 9?^!f!î§ FUMEL- MOWTAi^RAL
Lleu-dlt : Cadama& lf2^§_^I^Ç-9lé V 431
Coordonnée LAMBERT x 492,75y 244,50z 75 NGE
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne carrière de calcaires exploitée autrefois pourla fabrication des ciments. Cette carrière initialement en eau, a étéprogressivement comblée par les dépôts industriels.Distance de l'habitation la plus proche : 200 m
Distance du cours d'eau le plus proche : 150 m du Lot (rive gauche]
Présence d'eau au fond de la décharge : oui
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui
Possède-t-il un périmètre de protection : oui
Distance captage - décharge : à 1 km [Société de pompage de Montayral]
Superficie : 12 ha Volvnne total :
DECHETS
Nature des déchets : Crasses de hauts fourneaux (de désulfuration obtenues aprèsréduction de soufre de la fonte par adjonction de chaux Ca (0H]2].Boues de décantation (eau de lavage des gaz de hauts fourneaux par voie humide.contenant des teneurs de cyanures voisines de 0,2 à 0,3 mg/1].Déchets siliceux de fonderie (sables siliceux]. Boues de déchromation [1m3/an].Provenance des déchets : [nf analvses]Usine de FUMEL anaiysesj
Production annuelle : 8800 T/crasses Volume déjà stocké : 14 OOO T
1500 T/boues2500 T/Matériaux de démolition
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : non
Exploitant : Usine Pont à MoussonMise en service en 1965
Date de saturation estimée :
Type de décharge : Compactée. Les déchets sont transportés par camion depuisl'usine, déchargés puis compactés.Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation. On note la présencequasi-constante de bois sur le dépôt qui constitue un camouflage préservantl'environnement.
REGION AQUITAINE " ^^ " Ço_ntaçt : CHAMAVOU N° 14
Vepartment ; lot zt Garonne 9?^!f!î§ FUMEL- MOWTAi^RAL
Lleu-dlt : Cadama& lf2^§_^I^Ç-9lé V 431
Coordonnée LAMBERT x 492,75y 244,50z 75 NGE
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne carrière de calcaires exploitée autrefois pourla fabrication des ciments. Cette carrière initialement en eau, a étéprogressivement comblée par les dépôts industriels.Distance de l'habitation la plus proche : 200 m
Distance du cours d'eau le plus proche : 150 m du Lot (rive gauche]
Présence d'eau au fond de la décharge : oui
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui
Possède-t-il un périmètre de protection : oui
Distance captage - décharge : à 1 km [Société de pompage de Montayral]
Superficie : 12 ha Volvnne total :
DECHETS
Nature des déchets : Crasses de hauts fourneaux (de désulfuration obtenues aprèsréduction de soufre de la fonte par adjonction de chaux Ca (0H]2].Boues de décantation (eau de lavage des gaz de hauts fourneaux par voie humide.contenant des teneurs de cyanures voisines de 0,2 à 0,3 mg/1].Déchets siliceux de fonderie (sables siliceux]. Boues de déchromation [1m3/an].Provenance des déchets : [nf analvses]Usine de FUMEL anaiysesj
Production annuelle : 8800 T/crasses Volume déjà stocké : 14 OOO T
1500 T/boues2500 T/Matériaux de démolition
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : non
Exploitant : Usine Pont à MoussonMise en service en 1965
Date de saturation estimée :
Type de décharge : Compactée. Les déchets sont transportés par camion depuisl'usine, déchargés puis compactés.Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation. On note la présencequasi-constante de bois sur le dépôt qui constitue un camouflage préservantl'environnement.
- 69 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Formations calcaires du Jurassique, surmontées par desalluvions récentes, meubles, non cimentées.
Terrain dans lequel se fait la décharge : Calcaire argileux blanchâtre ou gris-bleualternant avec quelque lits marneux : il s'agit du Kimméridgien épais d'environ50 m.
Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale essentiellement
Sens d'écoulement : SSW NNE nappe drainée par le Lot
Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m suivant l'époque
Battement de 1 ' aquifère : 2 m
Epaisseur de l'aquifère : assimilable à l'épaisseur des alluvions.
Type d'aquifère : Libre, bonnes caractéristiques hydrodynamiques
Substratum : les calcaires Kimméridgien constituent également un aquifèregénéral, mais de caractéristiques hydrodynamiques très médiocres.
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante.
Vulnérabilité de l'eau : Etant donné la faible granulométrie moyenne des déchets,leur degré de compaction est très élevé. Par suite le dépôt avec un coefficientde perméabilité faible devient un obstacle artificiel à l'écoulement naturelde la nappe vers le Lot.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? A la demande de la Société Pont à Mousson, leBRGM a effectué en 1977 une enquête géologique et hydrogéologique relative au sitede Cadamas Montayral.Des analyses ont été faites sur des échantillons d'eau prélevés en pied de talusde déchets à 0,5 m de profondeur. Il s'agit donc d'eau appartenant à la nappealluviale.Les analyses font ressortir : un PH très alcalin (supérieur à 12]
un résidu sec supérieur à 1 g/1la présence de sulfures 252 mg/1la présence de phénols 1,40 mg/1
Par contre aucune trace de cyanure n'a été repérée, cela est peut être dû à la fortealcalinité de l'eau (136 mg/1 d'ions OH"].Ces polluants aboutissent à plus ou moins long terme dans le Lot.
Réseau de Surveillance installé : Aucun piézomètre permettant des analysesrégulières de la nappe n'est installé, surtout en aval du dépôt entre le siteet le Lot.Il existe en amont du dépôt différents puits (Malpasset et Capdelbos, stationde pompage de Montayral] qui donnent des indications hydrodynamiques et hydro-chimiques de la nappe alluviale.
- 69 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Formations calcaires du Jurassique, surmontées par desalluvions récentes, meubles, non cimentées.
Terrain dans lequel se fait la décharge : Calcaire argileux blanchâtre ou gris-bleualternant avec quelque lits marneux : il s'agit du Kimméridgien épais d'environ50 m.
Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale essentiellement
Sens d'écoulement : SSW NNE nappe drainée par le Lot
Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m suivant l'époque
Battement de 1 ' aquifère : 2 m
Epaisseur de l'aquifère : assimilable à l'épaisseur des alluvions.
Type d'aquifère : Libre, bonnes caractéristiques hydrodynamiques
Substratum : les calcaires Kimméridgien constituent également un aquifèregénéral, mais de caractéristiques hydrodynamiques très médiocres.
Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante.
Vulnérabilité de l'eau : Etant donné la faible granulométrie moyenne des déchets,leur degré de compaction est très élevé. Par suite le dépôt avec un coefficientde perméabilité faible devient un obstacle artificiel à l'écoulement naturelde la nappe vers le Lot.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? A la demande de la Société Pont à Mousson, leBRGM a effectué en 1977 une enquête géologique et hydrogéologique relative au sitede Cadamas Montayral.Des analyses ont été faites sur des échantillons d'eau prélevés en pied de talusde déchets à 0,5 m de profondeur. Il s'agit donc d'eau appartenant à la nappealluviale.Les analyses font ressortir : un PH très alcalin (supérieur à 12]
un résidu sec supérieur à 1 g/1la présence de sulfures 252 mg/1la présence de phénols 1,40 mg/1
Par contre aucune trace de cyanure n'a été repérée, cela est peut être dû à la fortealcalinité de l'eau (136 mg/1 d'ions OH"].Ces polluants aboutissent à plus ou moins long terme dans le Lot.
Réseau de Surveillance installé : Aucun piézomètre permettant des analysesrégulières de la nappe n'est installé, surtout en aval du dépôt entre le siteet le Lot.Il existe en amont du dépôt différents puits (Malpasset et Capdelbos, stationde pompage de Montayral] qui donnent des indications hydrodynamiques et hydro-chimiques de la nappe alluviale.
- 70 -
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Faire procéder à plusieurs analyses chimiques complémentaires de typeindustriel sur des échantillons d'eau en période d'étiage, au niveau del'exutoire de la source, et pour différentes sections du lot situées de part etd'autre de la décharge. Ces analyses devraient rechercher les éléments rencontrésdans l'eau de la décharge à des teneurs trop fortes afin d'évaluer l'augmentationéventuelle de ces teneurs pour les différentes sections considérées.
Il faudrait également déterminer les conditions de PH, engendrant unedéstabilisation des cyanures, qui théoriquement devraient être oxydés en totalitélors de la mise en décharge.
Montant des travaux : 30.000 F
BIBLIOGRAPHIE
- RUHARD (J.P.] Etude géologie et Hydrogéologique du site de la décharge industriellede l'usine Pont à Mousson de Fumel sur le territoire de la communede Montayral au lieu dit de Cadamas (47]Note BRGM 77 AQI 89
- TRUPIN (G.] ANRED 76 SGN 457 AQI Recensement des zones d'accumulation de déchetsportant atteintes à l'environnement.
ANNEXES
- Situation de la décharge de Cadamas
- Analyse des produits mis en décharge
- Schémas de la décharge
- Analyse chimique de la nappe libre de l'ancienne carrière de Cadmas
- 70 -
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Faire procéder à plusieurs analyses chimiques complémentaires de typeindustriel sur des échantillons d'eau en période d'étiage, au niveau del'exutoire de la source, et pour différentes sections du lot situées de part etd'autre de la décharge. Ces analyses devraient rechercher les éléments rencontrésdans l'eau de la décharge à des teneurs trop fortes afin d'évaluer l'augmentationéventuelle de ces teneurs pour les différentes sections considérées.
Il faudrait également déterminer les conditions de PH, engendrant unedéstabilisation des cyanures, qui théoriquement devraient être oxydés en totalitélors de la mise en décharge.
Montant des travaux : 30.000 F
BIBLIOGRAPHIE
- RUHARD (J.P.] Etude géologie et Hydrogéologique du site de la décharge industriellede l'usine Pont à Mousson de Fumel sur le territoire de la communede Montayral au lieu dit de Cadamas (47]Note BRGM 77 AQI 89
- TRUPIN (G.] ANRED 76 SGN 457 AQI Recensement des zones d'accumulation de déchetsportant atteintes à l'environnement.
ANNEXES
- Situation de la décharge de Cadamas
- Analyse des produits mis en décharge
- Schémas de la décharge
- Analyse chimique de la nappe libre de l'ancienne carrière de Cadmas
- 71 -
SITUATION DE LA DECHARGE DE CADAMAS
(Extrait de la feuille FUÎEL 7-8 à 1/25 OOO
C3RGM 77 AQl
\.Vi'WUÏÏ""™:!-Vv / -
: \5 : /,
72 -
RESULTATS V ANALYSE VE VEUX ECHAkTJLLONS VES PRÛÛUITS EN VECHARGE A CAWiVÎAS
E¿éniínt¿
dilinlques
; C
: S102
; Â.£203
FcO
; WftO
: CaÛ
; M50
s
' Crja¿¿is de diiul'Uticution[poids en %']
' Edi. 1 30/03
0,13U,50
0,60
10,60
0,10
65,50
traces
4,00
_ _ _ _ J
Ech. 2 14/04
! 0,2325,50
0,80
S, 10
0,15
62,60
traces
2,40
'. Boues de.
décantaiion
' {poids zn -6)
! 3i>,00
: 10,00
'. ",50! 15,00
! 0,20
2,20
: C,AO
0,50
QuantÁX.éi trampo^Xees de déckcti en 1976
- Crawles des Hauts Fourneaux y ccmprli cnasécs de début/^ufjmtion
- Boues de décanto..un {¿avage des gaz de Hauuti- Tounmaux)
- hiattrloRx de démoZlilon - tenAe ".
?oldi> -total
S SOO t
1 429 t
1 646 t
12 t75 t
72 -
RESULTATS V ANALYSE VE VEUX ECHAkTJLLONS VES PRÛÛUITS EN VECHARGE A CAWiVÎAS
E¿éniínt¿
dilinlques
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: S102
; Â.£203
FcO
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' Crja¿¿is de diiul'Uticution[poids en %']
' Edi. 1 30/03
0,13U,50
0,60
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_ _ _ _ J
Ech. 2 14/04
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2,40
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QuantÁX.éi trampo^Xees de déckcti en 1976
- Crawles des Hauts Fourneaux y ccmprli cnasécs de début/^ufjmtion
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V
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>5oy,« ,ZJ?.ie pp^-^'^ f^;;.^
(d'trecHoNi deL éxou.l'AMejv't' etc
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CRO'OÍ.IIS SCHEMATIOUE VE LA VECHARGE VE CAVAMAS [47]
150 m environHala on
X 1 - 2 Points de prélèvements d'eau
pour anaíijóe chimique'Ordures ménagères
Acce¿ à. ¿a décharge
Prairie
frôTXO2
o
CRO'OÍ.IIS SCHEMATIOUE VE LA VECHARGE VE CAVAMAS [47]
150 m environHala on
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Acce¿ à. ¿a décharge
Prairie
frôTXO2
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Vflli DE BORDEA,UX
Institut municipal dc recherches sur l'alimentationhumaine et animale
LABORATOIREMUNICIPAL
Açréé pat \* Utniilèr* d* l'AfficwhuflSirvic* d* l* («prcttivn d*» Irtudtl
àçrém par ! liinittèr* dt itnvifamMfnMit
Lab«ril*itt é* pttmiiiM c*t4g«ritgrtfi p<i ! M)fiitlèr« dt U %»nH
17.3.77
FR/Aii/J 4.O5Ô
ANALYSE COMPLETE D'EAU
TYPE INDUSTRIEL
GTr: PONJ A /.OUooONUsine de Funel 4750C FUKEL
ORIGINE DE L'EAU : 5au de la na-^-je libre de l'ancienne carri'^'re de Cada'-^as,prélevée en pied de talus des dpcliets re jetés en remblai, par la" ote i-ont àMous.s on de rurael, au oomt n" . coté aval dans le sens "3 'écouie-nent -^x Tm de1 ff'berge ex" è. - 0,50 m de prorondeur le T5 Avril 1 ;77 à 12 li ;?ar i:uable'jrR£.jJGuC V¿Z Ingénieur Laboratoire i-Hinâ:c-ÎT>fti
EXAMEN PHYSIQUE
sur eau brute- Température de l'eau - Température de l'air ,
- Turbidité en gouttes de masticeo_de^c¿s_süLce . . .
- Couleur en degrés oiandatds . .
- Odeur - Saveur- Matières en suspension
- Aspect et nature
- Extrait secfv>9>110° C - Résidii-atT^uge
fleres combustibles et volatiles .
£o»voir colmatant - pH électrométrique - Résistivité (ohms/cni2/cm) à 20°C
EXAMEN CHIMIQUE
sur eau telle quelle- Gaz carbonique libre en C02 - Oxygène dissous en O - Hydrogène sulfuré en H2S - Chlore libre en Cl"
sur eau telle quelle, sur eau filtréeMatières en sulution (minér.ilisation- Extrait scr à ,105-1 10° C.^ - Résidu au rouge à 500" C - Matières combustibles ct volatiles .
Déterminationsur place
liJ°714»
légère-^ientde sulfui
12,16
rag au litre
néantnéant
Jaunees
Déterminationau laboratoire
60
lérrer dépôt
mg au litre
267
mg au litre
1.450io5C
100
2. 016A. 123.77RUE DU PROFESSEUR VÉZES
'l'JOOù BORDEAUXTÉL.- i'9 17 71 -y'j 17 72 veuillez adresser toute la correspondance au directeur
Vflli DE BORDEA,UX
Institut municipal dc recherches sur l'alimentationhumaine et animale
LABORATOIREMUNICIPAL
Açréé pat \* Utniilèr* d* l'AfficwhuflSirvic* d* l* («prcttivn d*» Irtudtl
àçrém par ! liinittèr* dt itnvifamMfnMit
Lab«ril*itt é* pttmiiiM c*t4g«ritgrtfi p<i ! M)fiitlèr« dt U %»nH
17.3.77
FR/Aii/J 4.O5Ô
ANALYSE COMPLETE D'EAU
TYPE INDUSTRIEL
GTr: PONJ A /.OUooONUsine de Funel 4750C FUKEL
ORIGINE DE L'EAU : 5au de la na-^-je libre de l'ancienne carri'^'re de Cada'-^as,prélevée en pied de talus des dpcliets re jetés en remblai, par la" ote i-ont àMous.s on de rurael, au oomt n" . coté aval dans le sens "3 'écouie-nent -^x Tm de1 ff'berge ex" è. - 0,50 m de prorondeur le T5 Avril 1 ;77 à 12 li ;?ar i:uable'jrR£.jJGuC V¿Z Ingénieur Laboratoire i-Hinâ:c-ÎT>fti
EXAMEN PHYSIQUE
sur eau brute- Température de l'eau - Température de l'air ,
- Turbidité en gouttes de masticeo_de^c¿s_süLce . . .
- Couleur en degrés oiandatds . .
- Odeur - Saveur- Matières en suspension
- Aspect et nature
- Extrait secfv>9>110° C - Résidii-atT^uge
fleres combustibles et volatiles .
£o»voir colmatant - pH électrométrique - Résistivité (ohms/cni2/cm) à 20°C
EXAMEN CHIMIQUE
sur eau telle quelle- Gaz carbonique libre en C02 - Oxygène dissous en O - Hydrogène sulfuré en H2S - Chlore libre en Cl"
sur eau telle quelle, sur eau filtréeMatières en sulution (minér.ilisation- Extrait scr à ,105-1 10° C.^ - Résidu au rouge à 500" C - Matières combustibles ct volatiles .
Déterminationsur place
liJ°714»
légère-^ientde sulfui
12,16
rag au litre
néantnéant
Jaunees
Déterminationau laboratoire
60
lérrer dépôt
mg au litre
267
mg au litre
1.450io5C
100
2. 016A. 123.77RUE DU PROFESSEUR VÉZES
'l'JOOù BORDEAUXTÉL.- i'9 17 71 -y'j 17 72 veuillez adresser toute la correspondance au directeur
- 76 -
A) Titres divers :
- Degré hydrotimétrique total (TH) - Degré hydrotimétrique permanent - Degré hydrotimétrique temporaire - Degré hydrotimétrique calcique - Degré hydrotimétrique magnésien - Titre alcalimétrique en OH (TAOH) ....- Titre alcalimétrique simple (TA) - Titre alcalimétrique complet (TAC) ....
B) Indices chimiques de pollution
- Matières organiques en O, milieu alcalin- Ammoniaque en NH3 - Nitrites en N02 - Nitrates en N - Phosphates en P205
C) Balance Anions-Cations
Anions- Alcalinité vraie en OH-- Carbonates en C03- Bicarbonates en C03H-- Sulfates .en S04--- Chlorures en Cl-- Nitrites en N02-- Nitrates en N03-- Phosphates en P04--
Total - Silice en .3i03_~ - *SuTf lires 'èii 'S'""
"^fcTiiLCations- Calcium en Ca++- Magnésium en Mg+ +- Sodium . . . '. en Na +- Potassium en K+- Ammonium en NH4+- Fer en Fe++- Manganèse en Mn++
Total
Total
D) Etude de l'agressivité
C02 libre (déterminatioruXur place) C02 équilibrant (calc^/à ° ) . .
C02 agressif .
pH élcctromcttitjue (détermination sur place)pH d'équili]>i^ (calculé à ° ) .
Indice dt/saturation . . . .
Déterminationsur place
m g au litre
mg au litre
136 Xnéantnéant
15630,10,03
néantnéont
252,00
624,70
238,000,20
322,0035,006,83
^0,10néant602,13
mg au litre
Notationsparticulières
59,6
59,500,10
69,0098,00
iné au litre
8,000néantnéant3,2920,850
néantnéant
''^;27?15,75029,109
11,9000,020
14,0000,8950,380
néant27,195
Déterminationau laboratoire
mg au litre9'+
6,459,03
néantnéant
- 76 -
A) Titres divers :
- Degré hydrotimétrique total (TH) - Degré hydrotimétrique permanent - Degré hydrotimétrique temporaire - Degré hydrotimétrique calcique - Degré hydrotimétrique magnésien - Titre alcalimétrique en OH (TAOH) ....- Titre alcalimétrique simple (TA) - Titre alcalimétrique complet (TAC) ....
B) Indices chimiques de pollution
- Matières organiques en O, milieu alcalin- Ammoniaque en NH3 - Nitrites en N02 - Nitrates en N - Phosphates en P205
C) Balance Anions-Cations
Anions- Alcalinité vraie en OH-- Carbonates en C03- Bicarbonates en C03H-- Sulfates .en S04--- Chlorures en Cl-- Nitrites en N02-- Nitrates en N03-- Phosphates en P04--
Total - Silice en .3i03_~ - *SuTf lires 'èii 'S'""
"^fcTiiLCations- Calcium en Ca++- Magnésium en Mg+ +- Sodium . . . '. en Na +- Potassium en K+- Ammonium en NH4+- Fer en Fe++- Manganèse en Mn++
Total
Total
D) Etude de l'agressivité
C02 libre (déterminatioruXur place) C02 équilibrant (calc^/à ° ) . .
C02 agressif .
pH élcctromcttitjue (détermination sur place)pH d'équili]>i^ (calculé à ° ) .
Indice dt/saturation . . . .
Déterminationsur place
m g au litre
mg au litre
136 Xnéantnéant
15630,10,03
néantnéont
252,00
624,70
238,000,20
322,0035,006,83
^0,10néant602,13
mg au litre
Notationsparticulières
59,6
59,500,10
69,0098,00
iné au litre
8,000néantnéant3,2920,850
néantnéant
''^;27?15,75029,109
11,9000,020
14,0000,8950,380
néant27,195
Déterminationau laboratoire
mg au litre9'+
6,459,03
néantnéant
Essai au marbre
- pH électroméirique
- Alcalinité à la phénolphtaléine en C03- Alcalinité au méthylorangc . , . en CQ?Ca
"" '. ¿ 0,001 TTIfr/T
- 77 -
/^vant marbre
mg au litre
Après marbre
mg au litre
Cuivre en CuT-=F-Zinc en ¿n
Phénols0,003 mp;/l
CyanuresD.G.O.
néant-5-78-^42 D. 3.0/5
Conclusions
Bordeaux, le 17» 5» 77
Le D ¡recteur.
Essai au marbre
- pH électroméirique
- Alcalinité à la phénolphtaléine en C03- Alcalinité au méthylorangc . , . en CQ?Ca
"" '. ¿ 0,001 TTIfr/T
- 77 -
/^vant marbre
mg au litre
Après marbre
mg au litre
Cuivre en CuT-=F-Zinc en ¿n
Phénols0,003 mp;/l
CyanuresD.G.O.
néant-5-78-^42 D. 3.0/5
Conclusions
Bordeaux, le 17» 5» 77
Le D ¡recteur.
78 -Contact : Roche SGR/HPY N° 15
Ççmrnne : Graulhet
Vole, d'accei
REGION MIVI -PYRENNEES
Vépartemznt ; TARW
Lleu-dlt :
Coordonnée LAMBERT xyz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : /^¿^^ ^^ stockage
Distance de l'habitation la plus proche : ^
Distance du cours d'eau le plus proche : /*
Présence d'eau au fond de la décharge : non
Existe-t-il un captage A.E.P. : non
Possêde-t-il un périmètre de protection : non
Distance captage - décharge :
Superficie : Volume total 120.000 m3
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets de mégisserie (ces derniersdéchets^sont constitués essentiellement par des chutes et débris de peauxprétannées ou tannées, il s'agît donc de matières organiques peu f ermentesciblesavec une charge minérale importante due aux produits de prétannage et auxcolorants. Ces produits sont particulièrement riches en chromes. Monstres. Emballage
Provenance des déchets : Boues d' effluents de tannerie (120 m^/j).- Communes environnantes- Les différentes mégisseries.
Production annuelle : 700O m^ déchets de Volume déjà stocké : iqq.qqo ^^3
peaux
40 000 m3 bouesCONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : non
Exploitant : SIVOM
Date de saturation estimée : théoriquement 1979
Type de décharge : contrôlée
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés : suivant la législation.
78 -Contact : Roche SGR/HPY N° 15
Ççmrnne : Graulhet
Vole, d'accei
REGION MIVI -PYRENNEES
Vépartemznt ; TARW
Lleu-dlt :
Coordonnée LAMBERT xyz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : /^¿^^ ^^ stockage
Distance de l'habitation la plus proche : ^
Distance du cours d'eau le plus proche : /*
Présence d'eau au fond de la décharge : non
Existe-t-il un captage A.E.P. : non
Possêde-t-il un périmètre de protection : non
Distance captage - décharge :
Superficie : Volume total 120.000 m3
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets de mégisserie (ces derniersdéchets^sont constitués essentiellement par des chutes et débris de peauxprétannées ou tannées, il s'agît donc de matières organiques peu f ermentesciblesavec une charge minérale importante due aux produits de prétannage et auxcolorants. Ces produits sont particulièrement riches en chromes. Monstres. Emballage
Provenance des déchets : Boues d' effluents de tannerie (120 m^/j).- Communes environnantes- Les différentes mégisseries.
Production annuelle : 700O m^ déchets de Volume déjà stocké : iqq.qqo ^^3
peaux
40 000 m3 bouesCONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : non
Exploitant : SIVOM
Date de saturation estimée : théoriquement 1979
Type de décharge : contrôlée
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés : suivant la législation.
- 79 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Terrain dans lequel se fait la décharge : Molasses marneuses avec lambeaux deterrasses anciennes : Formation lenticulaire.
Existence d'une nappe aquifère : l'existence de niveaux détritiques grossiersd'âge éocène supérieur, vers la base des formations molassiques permet de croireen la possibilité d'existence d'une nappe à ce niveau.
Sens de l'écoulement : Les débits obtenus dans les formations molassiquessont de l'ordre de 0 à 3 m3/h. Les eaux obtenues ont une dureté en généralsupérieure à 45.
Epaisseur de l'aquifère : Les seules nappes exploitables sont celles contenuesdans les alluvions de la Garonne ou de l'Hers.
Vulnérabilité de l'eau : Les terrains ont une faible perméabilité, aussi seule lapollution des eaux de surface est inquiétante du fait de la toxicité du dépôt.De plus le lessivage du dépôt par les eaux de pluie, peut entraîner la pollutionvers des alluvions récentes contenant une nappe même d'importance locale.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Aucune pollution n'a été constatée ponctuel¬lement.
Réseau de surveillance déjà installé : aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Difficile à déterminer sans une étude préliminaire. 100.000 F coût envisagé.
- 79 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Terrain dans lequel se fait la décharge : Molasses marneuses avec lambeaux deterrasses anciennes : Formation lenticulaire.
Existence d'une nappe aquifère : l'existence de niveaux détritiques grossiersd'âge éocène supérieur, vers la base des formations molassiques permet de croireen la possibilité d'existence d'une nappe à ce niveau.
Sens de l'écoulement : Les débits obtenus dans les formations molassiquessont de l'ordre de 0 à 3 m3/h. Les eaux obtenues ont une dureté en généralsupérieure à 45.
Epaisseur de l'aquifère : Les seules nappes exploitables sont celles contenuesdans les alluvions de la Garonne ou de l'Hers.
Vulnérabilité de l'eau : Les terrains ont une faible perméabilité, aussi seule lapollution des eaux de surface est inquiétante du fait de la toxicité du dépôt.De plus le lessivage du dépôt par les eaux de pluie, peut entraîner la pollutionvers des alluvions récentes contenant une nappe même d'importance locale.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Aucune pollution n'a été constatée ponctuel¬lement.
Réseau de surveillance déjà installé : aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Difficile à déterminer sans une étude préliminaire. 100.000 F coût envisagé.
" ^° " N° 16REGION AUVERGNE Contact : BOIS
ÇIP?^?"!!^!}? PixLj-de-Vôme Ç?^ff!î^ Ii>i>olre
Ll^z4^ "Oécharge en vole d'abandon ^?í§_^!^99lé Vepuls I¿¿olre prendre la¿iXaée au S.O de l'usine V 9 &ur 600 m pals un chemin de teAre
y = 62,30z = 370 m
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne Gravière
Distance de l'habitation la plus proche : 320 rn
Distance du cours d'eau le plus proche : jqq ^^ (Allier)
Présence d'eau au fond de la décharge : non
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui
Possède-t-il un périmètre de protection : oui
Distance captage - décharge : ^^25 km château d'eau800 m station de pompage.
Superficie : 1 . 7 ha Volimie total 90.000 m3
DECHETS
Nature des déchets : Résidus de Fonderie(al202 48 % -, Nacl 34 % ; KCl 13 % ) j blocs de sels - gravats - ferrailles.
Provenance des déchets : Fonderie CEGEDUR, et divers.
Production annuelle : 4400 m^/an Volume déjà stocké : 20.000 m3
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : non
Exploitant : Domaine privé de l'usine CEGEDUR PECHINEY
Date de saturation estimée :
Type de décharge ; Déversement
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés :
" ^° " N° 16REGION AUVERGNE Contact : BOIS
ÇIP?^?"!!^!}? PixLj-de-Vôme Ç?^ff!î^ Ii>i>olre
Ll^z4^ "Oécharge en vole d'abandon ^?í§_^!^99lé Vepuls I¿¿olre prendre la¿iXaée au S.O de l'usine V 9 &ur 600 m pals un chemin de teAre
y = 62,30z = 370 m
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne Gravière
Distance de l'habitation la plus proche : 320 rn
Distance du cours d'eau le plus proche : jqq ^^ (Allier)
Présence d'eau au fond de la décharge : non
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui
Possède-t-il un périmètre de protection : oui
Distance captage - décharge : ^^25 km château d'eau800 m station de pompage.
Superficie : 1 . 7 ha Volimie total 90.000 m3
DECHETS
Nature des déchets : Résidus de Fonderie(al202 48 % -, Nacl 34 % ; KCl 13 % ) j blocs de sels - gravats - ferrailles.
Provenance des déchets : Fonderie CEGEDUR, et divers.
Production annuelle : 4400 m^/an Volume déjà stocké : 20.000 m3
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : non
Exploitant : Domaine privé de l'usine CEGEDUR PECHINEY
Date de saturation estimée :
Type de décharge ; Déversement
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés :
- 81 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions de l'Allier
Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers comportant quelques horizonssableux à stratification entrecroisée.
Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluvial de l'Allier
Sens d'écoulement : Drainé par l'allier
Profondeur de la nappe : Moins de 10 m par rapport à la côte du sol.
Battement de l'aquifère :
Epaisseur de l'aquifère :
Type d'aquifère : Libre
Substratum : Inconnu
Position de la nappe par rapport à la décharge :
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Non
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Voir DEVIS
Montant des travaux :
ANNEXES
- Position du site
- Devis de l'étude
- 81 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions de l'Allier
Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers comportant quelques horizonssableux à stratification entrecroisée.
Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluvial de l'Allier
Sens d'écoulement : Drainé par l'allier
Profondeur de la nappe : Moins de 10 m par rapport à la côte du sol.
Battement de l'aquifère :
Epaisseur de l'aquifère :
Type d'aquifère : Libre
Substratum : Inconnu
Position de la nappe par rapport à la décharge :
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Non
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
Voir DEVIS
Montant des travaux :
ANNEXES
- Position du site
- Devis de l'étude
- 82 -
FICHE ISSOIRE
POSITION DU SITE A 1/25 OOO
(feuille ISSOIRE 5-6)
, % & * ,.»MNav.s 5^
• • ' . ' o l * ' * ' , ~ • ; * • •
^ le Chauffour
VjichoAQQ. do. bloca dz
- 83 -
V E V I S
OBJET : "points noirs" - sélection des sites - propositions d'études complémen¬taires - v/note SGN/iaJV du 17.9.1980
Le choix ci-dessous, effectué parmi les 9 fiches ANREDtransmises le 7 mai 1980 concerne :
1/ - la fiche ISSOIKE (résidus de fonderie CEGEDUR) soulevantdes problèmes de sauvegarde d' aquifères souterrains (même en cas d'abandon) àrésoudre par neutralisation.
A signaler une station de pompage â 800 m sur l'autre rive del'Allier et des travaux de déviation en cours, selon un tracé passant entre lesite et l'Allier,
L'approche chiffrée suivante est proposée (étude hydrogéologique)
- Etude du site
1 jour d" ingénieur dlétude x 1760 P 1 .760 F
- Reconnaissance par sondages tarière de lalithologie et de l'existence d' aquifèresvulnérables :
2 jours sondeuse x 3200 F 6.400 F2 joiirs d'ingénieur d'études x 1760 F 3.520 FPose de 3 piézomètres : forfait 2.500 F
- Prélèvements d'eau (piézomètres et station depompage) et analyses d'éléments majeurs (4échantillons) et traces (2 échantillons) :Forfait 7 .000 F
- Traçage fluorescéine (+ charbon activé +examen â la lampe de Wood) :1 jour d'ingénieur d'étude (avec déplacement)., 4.000 F
- Synthèse, rédaction rapport, propositions :
3 jours d'ingénieur confirmé x 2215 F 6.645 F3 jours d'ingénieur d'études x 1760 F 5,280 F
Total E.T 37,105 F
- 83 -
V E V I S
OBJET : "points noirs" - sélection des sites - propositions d'études complémen¬taires - v/note SGN/iaJV du 17.9.1980
Le choix ci-dessous, effectué parmi les 9 fiches ANREDtransmises le 7 mai 1980 concerne :
1/ - la fiche ISSOIKE (résidus de fonderie CEGEDUR) soulevantdes problèmes de sauvegarde d' aquifères souterrains (même en cas d'abandon) àrésoudre par neutralisation.
A signaler une station de pompage â 800 m sur l'autre rive del'Allier et des travaux de déviation en cours, selon un tracé passant entre lesite et l'Allier,
L'approche chiffrée suivante est proposée (étude hydrogéologique)
- Etude du site
1 jour d" ingénieur dlétude x 1760 P 1 .760 F
- Reconnaissance par sondages tarière de lalithologie et de l'existence d' aquifèresvulnérables :
2 jours sondeuse x 3200 F 6.400 F2 joiirs d'ingénieur d'études x 1760 F 3.520 FPose de 3 piézomètres : forfait 2.500 F
- Prélèvements d'eau (piézomètres et station depompage) et analyses d'éléments majeurs (4échantillons) et traces (2 échantillons) :Forfait 7 .000 F
- Traçage fluorescéine (+ charbon activé +examen â la lampe de Wood) :1 jour d'ingénieur d'étude (avec déplacement)., 4.000 F
- Synthèse, rédaction rapport, propositions :
3 jours d'ingénieur confirmé x 2215 F 6.645 F3 jours d'ingénieur d'études x 1760 F 5,280 F
Total E.T 37,105 F
- 84 - N° 17
REGION RHONE- ALPES C?ífí^9Í PUTTALAZ {VGR/RHA]
Vépartme.nt : Rhône Ç?!"!^^'}?: ' ^<^^x en Velln
U^z4^ ' "Ile de Mlrlbel-nonage. l^o^^_^!^99lé Bas¿>e plaine du Rhônee.n amont de Lyon, délimitée par les
Coordonnée LAMBERT x deux brxinches canaluées du Rhdne ley canul de M<nA.bel et le canal de Jouage..
z
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Anciennes barrières ou ballastières
Distance de l'habitation la plus proche : 250 m
Distance du cours d'eau le plus proche : 700 m du canal Jonage
Présence d'eau au fond de la décharge :
Existe-t-il un captage A.E.P, : oui - champ de captage 4 km en aval.
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - décharge :
Superficie : Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Détritus, rebuts emballages, pneus, ferrailles et surtoutune centaine de récipients en matière plastique (contenance unitaire 10-12 1)remplis d'une substance chimique indéfinissable (colle, peinture desséchée ...).
Provenance des déchets : clandestine
Production annuelle : Volume déjà stocké
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge saxivage : oui
Exploitant :
Date de saturation estimée :
Type de décharge : sauvage
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés :de rombreuses autres ballastieies ont été égaltransformées en décharge, mais la plupart de ces gravières ont été remblayées eles depotoires tendent à disparaître.
ementet
- 84 - N° 17
REGION RHONE- ALPES C?ífí^9Í PUTTALAZ {VGR/RHA]
Vépartme.nt : Rhône Ç?!"!^^'}?: ' ^<^^x en Velln
U^z4^ ' "Ile de Mlrlbel-nonage. l^o^^_^!^99lé Bas¿>e plaine du Rhônee.n amont de Lyon, délimitée par les
Coordonnée LAMBERT x deux brxinches canaluées du Rhdne ley canul de M<nA.bel et le canal de Jouage..
z
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Anciennes barrières ou ballastières
Distance de l'habitation la plus proche : 250 m
Distance du cours d'eau le plus proche : 700 m du canal Jonage
Présence d'eau au fond de la décharge :
Existe-t-il un captage A.E.P, : oui - champ de captage 4 km en aval.
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - décharge :
Superficie : Volume total :
DECHETS
Nature des déchets : Détritus, rebuts emballages, pneus, ferrailles et surtoutune centaine de récipients en matière plastique (contenance unitaire 10-12 1)remplis d'une substance chimique indéfinissable (colle, peinture desséchée ...).
Provenance des déchets : clandestine
Production annuelle : Volume déjà stocké
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge saxivage : oui
Exploitant :
Date de saturation estimée :
Type de décharge : sauvage
Récupération des lessivats : non
Remise en état des sols utilisés :de rombreuses autres ballastieies ont été égaltransformées en décharge, mais la plupart de ces gravières ont été remblayées eles depotoires tendent à disparaître.
ementet
- 85 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : alluvions modernes du Rhône
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et graviers
Existence d'une nappe aquifère : ces alluvions abritent une nappe d'eau souterraine.
Sens d'écoulement : Est Ouest
Profondeur de la nappe : 5 à 7 m sous la surface du sol
Battement de l'aquifère :
Epaisseur de l'aquifère :
T3T)e de l'aquifère : Nappe libre
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe sous-jacente aux dépôts
Vulnérabilité de l'eau : Cette nappe est fortement sollicitée par des pompageset notamment par les batteries de puits des champs de captage alimentant eneau potable l'agglomération lyonnaise. Sa sauvegarde doit être entreprise leplus rapidement possible.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Non
Toutefois, on peut considérer connaissant le sens d'écoulement de la nappe,que le flux des polluants issu du lessivage des déchets par les eaux de pluies,se dirige vers le champ de captage localisé en aval hydraulique (champ captantde crépieux et de Charpy). C'est une raison suffisante pour préconiser larésorption de ce rejet de substance chimique dont l'éventuel degré de toxicitén'est pas déterminé.
Réseau de surveillance déjà installé : Nul
Prograimne et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : la surveillanceproposée par M. PUTALLAZ est la suivante :
- Implantation de trois piézomètres en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage pour analyses tous les deux mois durant 1 an.Les éléments analysés seront les suivants :
pH conductivité (voir fiche St Vallier sur Rhône).
Montant des travaux : cf. annexes. Fiche n° 18.
ANNEXE
- Situation de la décharge
- 85 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : alluvions modernes du Rhône
Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et graviers
Existence d'une nappe aquifère : ces alluvions abritent une nappe d'eau souterraine.
Sens d'écoulement : Est Ouest
Profondeur de la nappe : 5 à 7 m sous la surface du sol
Battement de l'aquifère :
Epaisseur de l'aquifère :
T3T)e de l'aquifère : Nappe libre
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe sous-jacente aux dépôts
Vulnérabilité de l'eau : Cette nappe est fortement sollicitée par des pompageset notamment par les batteries de puits des champs de captage alimentant eneau potable l'agglomération lyonnaise. Sa sauvegarde doit être entreprise leplus rapidement possible.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Non
Toutefois, on peut considérer connaissant le sens d'écoulement de la nappe,que le flux des polluants issu du lessivage des déchets par les eaux de pluies,se dirige vers le champ de captage localisé en aval hydraulique (champ captantde crépieux et de Charpy). C'est une raison suffisante pour préconiser larésorption de ce rejet de substance chimique dont l'éventuel degré de toxicitén'est pas déterminé.
Réseau de surveillance déjà installé : Nul
Prograimne et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : la surveillanceproposée par M. PUTALLAZ est la suivante :
- Implantation de trois piézomètres en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage pour analyses tous les deux mois durant 1 an.Les éléments analysés seront les suivants :
pH conductivité (voir fiche St Vallier sur Rhône).
Montant des travaux : cf. annexes. Fiche n° 18.
ANNEXE
- Situation de la décharge
¿ « * î . " T ï i r . f T v . ?.\7:-', t" til
- 87 -N" IB
REGION RHONE ALPES Contact : PUTTLLAZ {SGR/RHA]
Vé^qrXment : VROME Ç?»!??^!}^ Saint VaUler &ur Rhône
iiîféZ^ ' ie-ntre Semlére et Tournon] Ï2-i?:.4l'i9:^li Entre le Rhône et. laNationale 7
Coordonnée LAMBERT x
yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne gravière
Distance de l'habitation la plus proche : ^
Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m du Rhône
Présence d'eau au fond de la décharge : Non
Existe-t-il un captage A.E.P. :
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - décharge :
Superficie : 9 600 m2 Volvmie total : 28. SOO m3
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères. Déchets industriels. Vieux fûts métalliques.
Provenance des déchets : Inconnue, car décharge sauvage.
Production annuelle : 3,BT/j ' Volume déjà stocké : en Juillet 1978 les2/3 du volume étaient encore disponibles.
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : oui. n'a jamais été autorisée par le service des mines. Ni clôture.ni gardien.
Exploitant :
Date de saturation estimée :
Type de décharge : Totalement incontrôlée
Récupération des lessivats : Non
Remise en état des sols utilisés :
- 87 -N" IB
REGION RHONE ALPES Contact : PUTTLLAZ {SGR/RHA]
Vé^qrXment : VROME Ç?»!??^!}^ Saint VaUler &ur Rhône
iiîféZ^ ' ie-ntre Semlére et Tournon] Ï2-i?:.4l'i9:^li Entre le Rhône et. laNationale 7
Coordonnée LAMBERT x
yz
DESCRIPTION DU SITE
Ancienne nature du site : Ancienne gravière
Distance de l'habitation la plus proche : ^
Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m du Rhône
Présence d'eau au fond de la décharge : Non
Existe-t-il un captage A.E.P. :
Possède-t-il un périmètre de protection :
Distance captage - décharge :
Superficie : 9 600 m2 Volvmie total : 28. SOO m3
DECHETS
Nature des déchets : Ordures ménagères. Déchets industriels. Vieux fûts métalliques.
Provenance des déchets : Inconnue, car décharge sauvage.
Production annuelle : 3,BT/j ' Volume déjà stocké : en Juillet 1978 les2/3 du volume étaient encore disponibles.
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge sauvage : oui. n'a jamais été autorisée par le service des mines. Ni clôture.ni gardien.
Exploitant :
Date de saturation estimée :
Type de décharge : Totalement incontrôlée
Récupération des lessivats : Non
Remise en état des sols utilisés :
- 88 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions modernes du Rhône en partie remaniées par l'aménagementCNR de St Vallier
Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers et sables
Existence d'une nappe aquifère : Oui, nappe en relation avec le Rhône
Sens d'écoulement : Nappe drainée par le Rhône.
Profondeur de la nappe : Peu profonde entre 0 et 5 m
Battement de l'aquifère :
Epaisseur de l'aquifère :
TTPe d'aquifère : Perméable, nappe libre
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe subaffleurante en périodede hautes eaux.
Vulnérabilité de l'eau : l'incidence de la décharge sur la qualité des eaux dela nappe est indéniable.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Outre une pollution esthétique indéniable,et une pollution atmosphérique lorsque les déchets se consument, il est certain quele Rhône draîne tous les polluants issus de la décharge par lessivage soit de labase des déchets par les eaux de la nappe, soit de la totalité des déchets parles eaux de pluies.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La surveillance proposée par M. PUTALLAZ est la suivante :
- Implantation de trois piézo en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage, pour analyses tous les deux mois durant un an.
Les éléments analysés seront les suivants :
pH, conductivité, résidu sec à 110° C, oxygène cédé par KMn04 à chaud, TH, TAC,TA, DCO, bilan ionique, toxiques et indésirables, Pb, F, AS, Cr^*, CN, Fe totalMn, Zn, composés phénoliques, ABS, Ag, hydrocarbures par infrarouge.
Montant des travaux : cf. annexes.
ANNEXES
- Situation de la décharge
- Schéma lithologique régional
- Devis de l'étude
- 88 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Alluvions modernes du Rhône en partie remaniées par l'aménagementCNR de St Vallier
Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers et sables
Existence d'une nappe aquifère : Oui, nappe en relation avec le Rhône
Sens d'écoulement : Nappe drainée par le Rhône.
Profondeur de la nappe : Peu profonde entre 0 et 5 m
Battement de l'aquifère :
Epaisseur de l'aquifère :
TTPe d'aquifère : Perméable, nappe libre
Substratum :
Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe subaffleurante en périodede hautes eaux.
Vulnérabilité de l'eau : l'incidence de la décharge sur la qualité des eaux dela nappe est indéniable.
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Outre une pollution esthétique indéniable,et une pollution atmosphérique lorsque les déchets se consument, il est certain quele Rhône draîne tous les polluants issus de la décharge par lessivage soit de labase des déchets par les eaux de la nappe, soit de la totalité des déchets parles eaux de pluies.
Réseau de surveillance déjà installé : Aucun
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
La surveillance proposée par M. PUTALLAZ est la suivante :
- Implantation de trois piézo en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage, pour analyses tous les deux mois durant un an.
Les éléments analysés seront les suivants :
pH, conductivité, résidu sec à 110° C, oxygène cédé par KMn04 à chaud, TH, TAC,TA, DCO, bilan ionique, toxiques et indésirables, Pb, F, AS, Cr^*, CN, Fe totalMn, Zn, composés phénoliques, ABS, Ag, hydrocarbures par infrarouge.
Montant des travaux : cf. annexes.
ANNEXES
- Situation de la décharge
- Schéma lithologique régional
- Devis de l'étude
- 89 -
FEUILLE X X X - 3 5y • rr\
•r*ï i; At«tri/i^v
„ST-VALLÍER • ' ^ " f egDSI
- • 3
? . - -i / ¿ -^r•\-> ;
Ni. V
984-5DS6R65Á 10
- 90 -
SCHEMA LITHOLOGIOUE/ / 50000
PI.11
528Í
529 530I
531I
532 533"~I
53«
-150
-149
-148
-1*7
=^
-14*
-145
-144
-143
-142
-141
150-
149-
I4«-
\-_;J---3^- \ Limon argileux V -i""< \ . Li. J» l'u^ .'! c\i Sur ioble de I 'Hers (
\ (Alluvions
Alluvions récentes
de la Garonne\ en deux poUers
A et B
Limon \ recentes) / .¿
147-
m-
145-
144-
143-
I4Î-
14)-
OU'VOnilLAOC KIlOMlTRlQul LAnatAT III XONC SUD
530 53152SL_
529- I
532 533 I
534
984-5DS6R65Á 10
- 90 -
SCHEMA LITHOLOGIOUE/ / 50000
PI.11
528Í
529 530I
531I
532 533"~I
53«
-150
-149
-148
-1*7
=^
-14*
-145
-144
-143
-142
-141
150-
149-
I4«-
\-_;J---3^- \ Limon argileux V -i""< \ . Li. J» l'u^ .'! c\i Sur ioble de I 'Hers (
\ (Alluvions
Alluvions récentes
de la Garonne\ en deux poUers
A et B
Limon \ recentes) / .¿
147-
m-
145-
144-
143-
I4Î-
14)-
OU'VOnilLAOC KIlOMlTRlQul LAnatAT III XONC SUD
530 53152SL_
529- I
532 533 I
534
- 91 -
ANNEXE
REALISATION DE 3 PIEZOMETRES
Profondeur = 12 inètresEquipement acier 0 31 x 42Crépine sur 5 m à la base .
Préparation, amenée et repli du matériel 5000 x 1 = 5000 F
Installation du matériel par piézomètre 200 F 200 x 3 = 600 F
Déplacement d'un piézomètre à l'autre 200 F 200 x 2 = 400 F
Fonçage :
0 à 10 m le ml 110 F 1 1,0 x 30 = 3300 F
10àl5m le ml 125 F 125x6 = 750 F
Plus value pour terrain difficile le ml 108 F. 1 08 x 3 = 324 F
Nettoyage des piézomètres à l'air liftle piézomètres 250 F 250 x 3 = 750 F
Aménagement des têtes par piézomètre 110 F.... 110 x 3 = 330 F
Fournitures de l'équipement :
- pointes forgées et crépinées Pièce 195F 195 x 3 =
- tubes crépines ou non le ml 1 09 F 109 x 36 =
- manchon de raccordement Pièce 14F .... 14x40=
- bouchon de fermeture Pièce 7F 7x3 =
TOTAL GENERAL HORS TAXES 1 6544 F
585
3924
560
21
F
F
F
F
- 91 -
ANNEXE
REALISATION DE 3 PIEZOMETRES
Profondeur = 12 inètresEquipement acier 0 31 x 42Crépine sur 5 m à la base .
Préparation, amenée et repli du matériel 5000 x 1 = 5000 F
Installation du matériel par piézomètre 200 F 200 x 3 = 600 F
Déplacement d'un piézomètre à l'autre 200 F 200 x 2 = 400 F
Fonçage :
0 à 10 m le ml 110 F 1 1,0 x 30 = 3300 F
10àl5m le ml 125 F 125x6 = 750 F
Plus value pour terrain difficile le ml 108 F. 1 08 x 3 = 324 F
Nettoyage des piézomètres à l'air liftle piézomètres 250 F 250 x 3 = 750 F
Aménagement des têtes par piézomètre 110 F.... 110 x 3 = 330 F
Fournitures de l'équipement :
- pointes forgées et crépinées Pièce 195F 195 x 3 =
- tubes crépines ou non le ml 1 09 F 109 x 36 =
- manchon de raccordement Pièce 14F .... 14x40=
- bouchon de fermeture Pièce 7F 7x3 =
TOTAL GENERAL HORS TAXES 1 6544 F
585
3924
560
21
F
F
F
F
- 92
K desPrix DESIGNATION DES TRAVAUX unité Prix
unitaireI Quantités¡estimées
TOTAL(HT)
Visite des lieux, conceptior. de l'étudedu programme .
Réalisation de trois piézomètres, pro¬fondeur 12 mètres, 0 = 31 x 42 crépinessur 5 mètres à la base (1).
Prélèvements d'échantillons, soit 6 cam¬pagnes durant 1 an, avec pompages préli¬minaires, et remise des échantillons enlaboratoire.
Analyses chimiques
Interprétation des résultats et rédactiond'un rapport
Edition du rapport
Forfait
"M"
Forfait
"U""M"
Forfait
2215 F
1360 F
870 F
2215 F1360 F
18
4
3
2215 F
16544 F
8160 F
15660 F
8860 F
4080 F
1000 F
TOTAL GENERAL HORS TAXES 5651 9 F
(1) - Voir détail des prix en annexe.
- 92
K desPrix DESIGNATION DES TRAVAUX unité Prix
unitaireI Quantités¡estimées
TOTAL(HT)
Visite des lieux, conceptior. de l'étudedu programme .
Réalisation de trois piézomètres, pro¬fondeur 12 mètres, 0 = 31 x 42 crépinessur 5 mètres à la base (1).
Prélèvements d'échantillons, soit 6 cam¬pagnes durant 1 an, avec pompages préli¬minaires, et remise des échantillons enlaboratoire.
Analyses chimiques
Interprétation des résultats et rédactiond'un rapport
Edition du rapport
Forfait
"M"
Forfait
"U""M"
Forfait
2215 F
1360 F
870 F
2215 F1360 F
18
4
3
2215 F
16544 F
8160 F
15660 F
8860 F
4080 F
1000 F
TOTAL GENERAL HORS TAXES 5651 9 F
(1) - Voir détail des prix en annexe.
- 93 -
REGION FRANCHE COMTE
"Oéi^anXmmt ; VOUBS
yLîfiz4^ ' anclennz gare, de Vasle
QQnÎOrÇt : CORNET {SGR/FRC)
Conmune : Vasle
Voit d'accl¿ : CV 121 e.
N° 19
Coordonnée LAMBERT
DESCRIPTION DU SITE
X = 943,45y- = 2S6,55z = 395 [E.P.V.)
Ancienne nature du site : ancienne gare de Dasle, située à l'écart des agglomérationsentre Dasle et Beaucourt.
Distance de l'habitation la plus proche : boO m
Distance du cours d'eau le plus proche : 1 300 m (en amont du cours d'eau]
Présence d'eau au fond de la décharge : non
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui a proximité de la décharge
Possêde-t-il un périmètre de protection : Non
Distance captage - décharge : 1 Km
Position .captage : AvalSuperficie :
1] 150 X 30 = 4 500 m2
2) 50 X 120 = 6 000 m^
Volume total :
1) 20.000 m3
2) 12.000 m^
DECHETS
Nature des déchets : i] Déchets industriels au S.E. de la voie ferrée : sables defonderie, plastiques, papiers, cartons, fûts métalliques, bidons, bouteilles,localement ordures ménagères ; les sables de fonderie servent de matrice (peuvent
. contenir des doubs détoxîquées de station d'épurationà et de terre de couverture.2) Décharge d'ordures ménagères au N.W., recouverte progressive¬
ment de terre.Provenance des déchets :
1] Déchets industriels :
2) Ordures ménagères :
Production annuelle :
1]2) 5 tonnes/jour environ
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge saiivage
UNELEC fonderie, matériel électrique à BEAUCOURT C90)Communes de DASLES (25) et BEAUCOURT (90]
Volume déjà stocké :1] 20.000 m^2} 12.000 m3
1 ] Oui ? - Non2] Non
Exploitant : 1 ] UNELEC ?
21 Commune de DASLE
Date de saturation estimée : 1] 19852] 1990
Type de décharge : 1 ] non contrôlée2] contrôlée
Récupération des lessivats : Non
Date de mise en service 1121 1977 ?
Remise en état des sols utilisés Non
- 93 -
REGION FRANCHE COMTE
"Oéi^anXmmt ; VOUBS
yLîfiz4^ ' anclennz gare, de Vasle
QQnÎOrÇt : CORNET {SGR/FRC)
Conmune : Vasle
Voit d'accl¿ : CV 121 e.
N° 19
Coordonnée LAMBERT
DESCRIPTION DU SITE
X = 943,45y- = 2S6,55z = 395 [E.P.V.)
Ancienne nature du site : ancienne gare de Dasle, située à l'écart des agglomérationsentre Dasle et Beaucourt.
Distance de l'habitation la plus proche : boO m
Distance du cours d'eau le plus proche : 1 300 m (en amont du cours d'eau]
Présence d'eau au fond de la décharge : non
Existe-t-il un captage A.E.P. : oui a proximité de la décharge
Possêde-t-il un périmètre de protection : Non
Distance captage - décharge : 1 Km
Position .captage : AvalSuperficie :
1] 150 X 30 = 4 500 m2
2) 50 X 120 = 6 000 m^
Volume total :
1) 20.000 m3
2) 12.000 m^
DECHETS
Nature des déchets : i] Déchets industriels au S.E. de la voie ferrée : sables defonderie, plastiques, papiers, cartons, fûts métalliques, bidons, bouteilles,localement ordures ménagères ; les sables de fonderie servent de matrice (peuvent
. contenir des doubs détoxîquées de station d'épurationà et de terre de couverture.2) Décharge d'ordures ménagères au N.W., recouverte progressive¬
ment de terre.Provenance des déchets :
1] Déchets industriels :
2) Ordures ménagères :
Production annuelle :
1]2) 5 tonnes/jour environ
CONDITION D'EXPLOITATION
Décharge saiivage
UNELEC fonderie, matériel électrique à BEAUCOURT C90)Communes de DASLES (25) et BEAUCOURT (90]
Volume déjà stocké :1] 20.000 m^2} 12.000 m3
1 ] Oui ? - Non2] Non
Exploitant : 1 ] UNELEC ?
21 Commune de DASLE
Date de saturation estimée : 1] 19852] 1990
Type de décharge : 1 ] non contrôlée2] contrôlée
Récupération des lessivats : Non
Date de mise en service 1121 1977 ?
Remise en état des sols utilisés Non
- 94 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Plateau calcaire, calcaires fissurés plus ou moin Karstifiésdu Kimméridgien.
Terrain dans lequel se fait la décharge : Terrains calcaires.
Existence d'une nappe aquifère : Oui
Sens d'écoulement : vers le N.E. ou vers le Sud (à préciser par coloration)
Profondeur de la nappe : Quelques mètres - probablement
Battement de l'aquifère : Plusieurs mètres probablement
Epaisseur de l'aquifère : 10 m environ
Type d'aquifère : Fissuré, plus ou moins Karstifié
Substratum : Calcaires marneux
Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable à la pollution
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Non
Réseau de surveillance déjà installé : Non
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
1) Expérience de coloration avec surveillance source AEP de DASLE.2) Couronne de quatre sondages carottés de 20 m de profondeur équipés en
piézomètres 0 100 mm.
3) Inventaire des captages voisins.4) Contrôle trimestriel de qualité chimique sur les piézomètres, le captage
AEP de DASLE et d'autres captages le cas échéant, et comportant desanalyses de type II + éléments en traces toxiques et indésirables(Pb, Cd, Cr^*, Cu, Fe, Mn. Hg, ABS, hydrocarbures par infra-rouge) et DCO.
Montant des travaux :
1) 15.000 F
2) 50.000 F
3) 5.000 F
4) 40.000 F (pour une année)
110.000 F au total
- 94 -
SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE
Cadre géologique : Plateau calcaire, calcaires fissurés plus ou moin Karstifiésdu Kimméridgien.
Terrain dans lequel se fait la décharge : Terrains calcaires.
Existence d'une nappe aquifère : Oui
Sens d'écoulement : vers le N.E. ou vers le Sud (à préciser par coloration)
Profondeur de la nappe : Quelques mètres - probablement
Battement de l'aquifère : Plusieurs mètres probablement
Epaisseur de l'aquifère : 10 m environ
Type d'aquifère : Fissuré, plus ou moins Karstifié
Substratum : Calcaires marneux
Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge
Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable à la pollution
POLLUTION
Une pollution a-t-elle été constatée ? Non
Réseau de surveillance déjà installé : Non
Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :
1) Expérience de coloration avec surveillance source AEP de DASLE.2) Couronne de quatre sondages carottés de 20 m de profondeur équipés en
piézomètres 0 100 mm.
3) Inventaire des captages voisins.4) Contrôle trimestriel de qualité chimique sur les piézomètres, le captage
AEP de DASLE et d'autres captages le cas échéant, et comportant desanalyses de type II + éléments en traces toxiques et indésirables(Pb, Cd, Cr^*, Cu, Fe, Mn. Hg, ABS, hydrocarbures par infra-rouge) et DCO.
Montant des travaux :
1) 15.000 F
2) 50.000 F
3) 5.000 F
4) 40.000 F (pour une année)
110.000 F au total
- 95 -
MOYENS TECHNIQUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LA POLLUTION
Lorsque le site est localisé, les nuisances se manifestent sous
deus aspects :
- perturbations physiques et chimiques
- perturbations esthétiques
Il est évident que les perturbations physico-chimiques doivent être
éliminées définitivement et rapidement.
Il existe une hiérarchie même dans cette urgence suivant le degré
de toxicité ou de gêne pour le voisinage.
Parmi les déchets, doivent être traitées par ordre de priorité :
- les matières toxiques (produits chimiques - huiles)
- les matières f ermentescibles ou putrescibles
Avant d'entamer quelqu 'action contre les décharges contenant de tels
déchets, 11 faudra recueillir les Informations concernant :
- le substratum de la déchargef (pétrologie -(proportion d'argiles,)
lithologie -(succession de couches de terrains de perméabilité
différente)- hydrogéologie)).- les déchets (composition, toxicologie, évolution dans le temps).
Si ces informations sont relativement bien connues pour les déchets
homogènes, il n'en est rien pour les dépôts hétérogènes.
Sur certains sites recensés, la composition des déchets est mal connue,
et doit donc être précisée.
Ex : Le site de Notre Dame de Gravenchon contient des résidus de pétrole mais
également des boues de composition inconnue.
Ex : Le site de Saint Vallier sur Rhône contient à la fois des ordures ménagères,
des déchets industriels, des fûts vides ou pleins d'une substance pâteuse
non déterminée.
- 95 -
MOYENS TECHNIQUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LA POLLUTION
Lorsque le site est localisé, les nuisances se manifestent sous
deus aspects :
- perturbations physiques et chimiques
- perturbations esthétiques
Il est évident que les perturbations physico-chimiques doivent être
éliminées définitivement et rapidement.
Il existe une hiérarchie même dans cette urgence suivant le degré
de toxicité ou de gêne pour le voisinage.
Parmi les déchets, doivent être traitées par ordre de priorité :
- les matières toxiques (produits chimiques - huiles)
- les matières f ermentescibles ou putrescibles
Avant d'entamer quelqu 'action contre les décharges contenant de tels
déchets, 11 faudra recueillir les Informations concernant :
- le substratum de la déchargef (pétrologie -(proportion d'argiles,)
lithologie -(succession de couches de terrains de perméabilité
différente)- hydrogéologie)).- les déchets (composition, toxicologie, évolution dans le temps).
Si ces informations sont relativement bien connues pour les déchets
homogènes, il n'en est rien pour les dépôts hétérogènes.
Sur certains sites recensés, la composition des déchets est mal connue,
et doit donc être précisée.
Ex : Le site de Notre Dame de Gravenchon contient des résidus de pétrole mais
également des boues de composition inconnue.
Ex : Le site de Saint Vallier sur Rhône contient à la fois des ordures ménagères,
des déchets industriels, des fûts vides ou pleins d'une substance pâteuse
non déterminée.
96
La composition et la toxicité des déchets déterminent les conditions
de travail (manutention) ainsi que les mesures de sécurité qu'il faudra
prendre lors des opérations décidées.
Deux cas de "Point Noir" se présentent :
1er cas : La pollution des eaux de surface ou souterraines est
observée, et l'origine de cette contamination (décharge) est
connue ; il faut alors rechercher l'extension de la pollution dans
les eaux souterraines.
La marche à suivre est la suivante :
- Recensement des puits et sources existants à proximité de la
décharge ou des puits déjà contaminés. Analyse des eaux recueillies.
- Reconnaissance de la piézométrie locale.
- Utilisation de méthodes géophysiques (Ex : prospection électrique)
pour cerner la pollution dans les eaux souterraines.
- Implantation judicieuse de piézomètres en fonction des résultats
précédents afin de contrôler l'évolution de la contamination.
2ème cas : Un dépôt de matières toxiques est découvert, mais aucune
pollution dans les eaux souterraines n'a été encore détectée. Il
faut alors :
S'assurer de la composition des déchets (surtout pour les décharges
sauvages), et effectuer des tests de lixiviation sur des échantil¬
lons représentatifs afin de connaître la teneur des lessivats en
éléments toxiques, ainsi que des tests de toxicité (Daphnie).
96
La composition et la toxicité des déchets déterminent les conditions
de travail (manutention) ainsi que les mesures de sécurité qu'il faudra
prendre lors des opérations décidées.
Deux cas de "Point Noir" se présentent :
1er cas : La pollution des eaux de surface ou souterraines est
observée, et l'origine de cette contamination (décharge) est
connue ; il faut alors rechercher l'extension de la pollution dans
les eaux souterraines.
La marche à suivre est la suivante :
- Recensement des puits et sources existants à proximité de la
décharge ou des puits déjà contaminés. Analyse des eaux recueillies.
- Reconnaissance de la piézométrie locale.
- Utilisation de méthodes géophysiques (Ex : prospection électrique)
pour cerner la pollution dans les eaux souterraines.
- Implantation judicieuse de piézomètres en fonction des résultats
précédents afin de contrôler l'évolution de la contamination.
2ème cas : Un dépôt de matières toxiques est découvert, mais aucune
pollution dans les eaux souterraines n'a été encore détectée. Il
faut alors :
S'assurer de la composition des déchets (surtout pour les décharges
sauvages), et effectuer des tests de lixiviation sur des échantil¬
lons représentatifs afin de connaître la teneur des lessivats en
éléments toxiques, ainsi que des tests de toxicité (Daphnie).
- 97 -
Rechercher la pollution dans le sous-sol de la décharge, et
établissement du profil de teneur en contaminants en fonction
de la profondeur.
Si le résultat est négatif : envisager une étude d'aménagement
de la décharge pour empêcher
l'infiltration des lessivats.
Si le résultat est positif : rechercher alors si le flux contaminant
a atteint la nappe et pour cela suivre
la même démarche que pour le cas n° 1.
Certains "outils" sont actuellement adaptés parfaitement à ces
investigations (sondage, pompage, analyses des sols et des eaux), d'autres
méthodes utilisées généralement en géophysique sont e>;pérlmentées depuis peu
pour résoudre certains de ces problèmes.
Ainsi comme nous le verrons plus loin, le repérage du dépôt peut
se faire par :
- la prospection gravimétrique
- l'induction électromagnétique
- la détection par onde radar
alors que la prospection électrique et la polarisation induite permettent
d'établir l'extension de la pollution dans la nappe d'eau souterraine, sous
certaines conditions.
A l'heure actuelle, 11 est difficile d'utiliser ces nouvelles
techniques pour l'étude des points noirs sélectionnés. Leur adaptation aux
problèmes des décharges reste à mettre au point.
A) Repérage du dépôt :
En dehors de l'enquête menée auprès de l'exploitant, des habitants
vivant aux alentours de la décharge, et après examen des archives de la commune
concernée, il devrait être possible afin de déterminer le volume exact de la
décharge enfouie ou non et sans avoir recours aux sondages, d'utiliser certaines
méthodes géophysiques couramment employées pour la prospection minière ou
pétrolière, par exemple :
- 97 -
Rechercher la pollution dans le sous-sol de la décharge, et
établissement du profil de teneur en contaminants en fonction
de la profondeur.
Si le résultat est négatif : envisager une étude d'aménagement
de la décharge pour empêcher
l'infiltration des lessivats.
Si le résultat est positif : rechercher alors si le flux contaminant
a atteint la nappe et pour cela suivre
la même démarche que pour le cas n° 1.
Certains "outils" sont actuellement adaptés parfaitement à ces
investigations (sondage, pompage, analyses des sols et des eaux), d'autres
méthodes utilisées généralement en géophysique sont e>;pérlmentées depuis peu
pour résoudre certains de ces problèmes.
Ainsi comme nous le verrons plus loin, le repérage du dépôt peut
se faire par :
- la prospection gravimétrique
- l'induction électromagnétique
- la détection par onde radar
alors que la prospection électrique et la polarisation induite permettent
d'établir l'extension de la pollution dans la nappe d'eau souterraine, sous
certaines conditions.
A l'heure actuelle, 11 est difficile d'utiliser ces nouvelles
techniques pour l'étude des points noirs sélectionnés. Leur adaptation aux
problèmes des décharges reste à mettre au point.
A) Repérage du dépôt :
En dehors de l'enquête menée auprès de l'exploitant, des habitants
vivant aux alentours de la décharge, et après examen des archives de la commune
concernée, il devrait être possible afin de déterminer le volume exact de la
décharge enfouie ou non et sans avoir recours aux sondages, d'utiliser certaines
méthodes géophysiques couramment employées pour la prospection minière ou
pétrolière, par exemple :
- 98 -
- La Pros£ection_gravimétrÍ2ue
Les mesures gravimétriques corrigées donnent des anomalies dues
à l'hétérogénéité de la densité des roches.
L'appareillage utilisé permet une mesure de 9 chiffres
significatifs (ex : g = 980,687543 Gais ; 1 gai = 10"^ USD.
Toutefois la microgramlnétrle n'est pas d'une utilisation
facile. Elle demande beaucoup de précautions lors des mesures.
L'influence luni-solaire. de l'altitude, de la latitude,
les irrégularités du relief sont autant de paramètres entrant en jeu lors des
corrections nécessaires à l'établissement de la carte d' isanomales.
~ îSau£Ê.i°S_ËlÊ££E2ïïâSSËËi3u£
Lorsque les déchets enfouis sont riches en métaux ou sont
conditionnés dans des fûts métalliques, il est possible de localiser ces "métaux"
par induction électromagnétique (cf. détecteur de mines).
La détection de ces métaux dépend du bruit de fond, elle
sera d'autant plus facile que la roche encaissante est pauvre en métaux.
Pratiquement la localisation de ces déchets spéciaux peut se faire, si ceux-ci
sont au maximum à une profondeur de 1,5 m (réf. 3).
- Détection £ar ondes_Radar
Le principe est basé sur la propagation durant un temps
très court (10"^ nsec) d'impulsiorti électromagnétiques de très haute fréquence
(ondffi ultra-courtes) dans le sol.
Ces ondes réfléchies sur les différentes couches du sous-sol
sont reçues par une antenne. L'amplitude du signal reçu est fonction du
coefficient de réflextion des corps rencontrés, celui-ci étant beaucoup plus
élevé pour un corps métallique.
L'absorption des ondes HF est importante dans le sol par
conséquent la profondeur d'investigation est faible (5m). Cette méthode d'assez
bonne focalisation est toutefois utilisée parallèlement à l'induction électro¬
magnétique (réf. 3 et 4 ) .
- 98 -
- La Pros£ection_gravimétrÍ2ue
Les mesures gravimétriques corrigées donnent des anomalies dues
à l'hétérogénéité de la densité des roches.
L'appareillage utilisé permet une mesure de 9 chiffres
significatifs (ex : g = 980,687543 Gais ; 1 gai = 10"^ USD.
Toutefois la microgramlnétrle n'est pas d'une utilisation
facile. Elle demande beaucoup de précautions lors des mesures.
L'influence luni-solaire. de l'altitude, de la latitude,
les irrégularités du relief sont autant de paramètres entrant en jeu lors des
corrections nécessaires à l'établissement de la carte d' isanomales.
~ îSau£Ê.i°S_ËlÊ££E2ïïâSSËËi3u£
Lorsque les déchets enfouis sont riches en métaux ou sont
conditionnés dans des fûts métalliques, il est possible de localiser ces "métaux"
par induction électromagnétique (cf. détecteur de mines).
La détection de ces métaux dépend du bruit de fond, elle
sera d'autant plus facile que la roche encaissante est pauvre en métaux.
Pratiquement la localisation de ces déchets spéciaux peut se faire, si ceux-ci
sont au maximum à une profondeur de 1,5 m (réf. 3).
- Détection £ar ondes_Radar
Le principe est basé sur la propagation durant un temps
très court (10"^ nsec) d'impulsiorti électromagnétiques de très haute fréquence
(ondffi ultra-courtes) dans le sol.
Ces ondes réfléchies sur les différentes couches du sous-sol
sont reçues par une antenne. L'amplitude du signal reçu est fonction du
coefficient de réflextion des corps rencontrés, celui-ci étant beaucoup plus
élevé pour un corps métallique.
L'absorption des ondes HF est importante dans le sol par
conséquent la profondeur d'investigation est faible (5m). Cette méthode d'assez
bonne focalisation est toutefois utilisée parallèlement à l'induction électro¬
magnétique (réf. 3 et 4 ) .
ERRATUM
p. 98 - Induction électromagnétique : lire 15 m et non 1,5m
ERRATUM
p. 98 - Induction électromagnétique : lire 15 m et non 1,5m
- 99 -
Lorsque le dépôt est déterminé, sa composition et sa toxicité
doivent être précisées dans certains cas (décharge sauvage). Il est nécessaire
de procéder a l'échantillonnage des déchets afin de faire des tests de lixivia¬
tion.
Cela pose le problème de l'échantillonnage, il est indispen¬
sable d'obtenir un échantillon représentatif de tout le dépôt afin que l'analyse
physico-chimique des déchets soit fiable. Les décharges "Point Noir" recensées
à ce jour correspondent toutes à des dépôts mixtes de composition plus ou moins
connue. L'échantillonnage dépend alors de nombreux paramètres en particulier :
1°) Consistance du déchet (solide, liquide, pâteux, visqueux),
2°) Nombre de phases constitutives du déchet (phases solides,
multiples, phases gazeuses, liquides),
3°) Hétérogénéité physique ou chimique de chaque phase consécutive
du déchet,
4°) Conditionnement du déchet (fûts, citernes, terrils, bacs, bennes),
5°) Evolution rapide du déchet (risque de polymérisation),
6°) Conditions opératoires (température, sécurité, milieu ambiant, âge
du déchet) ,
7°) Quantités d'échantillons nécessaires pour les analyses envisagées
et par conséquent représentativité de l'échantillon par rapport
à la masse du déchet,
8°) Lieu du prélèvement.
Il faut noter également que la récupération des éléments volatils est
toujours délicate.
Quant à la toxicité des déchets, deux aspects doivent être définis :
- Toxicité à effet Immédiat : une serie de tests simples
et rapides doit être mise au point, afin d'être utilisés
sur le terrain.
- Toxicité à effets chroniques, persistants, concérigènes
ou mutagènes.
- 99 -
Lorsque le dépôt est déterminé, sa composition et sa toxicité
doivent être précisées dans certains cas (décharge sauvage). Il est nécessaire
de procéder a l'échantillonnage des déchets afin de faire des tests de lixivia¬
tion.
Cela pose le problème de l'échantillonnage, il est indispen¬
sable d'obtenir un échantillon représentatif de tout le dépôt afin que l'analyse
physico-chimique des déchets soit fiable. Les décharges "Point Noir" recensées
à ce jour correspondent toutes à des dépôts mixtes de composition plus ou moins
connue. L'échantillonnage dépend alors de nombreux paramètres en particulier :
1°) Consistance du déchet (solide, liquide, pâteux, visqueux),
2°) Nombre de phases constitutives du déchet (phases solides,
multiples, phases gazeuses, liquides),
3°) Hétérogénéité physique ou chimique de chaque phase consécutive
du déchet,
4°) Conditionnement du déchet (fûts, citernes, terrils, bacs, bennes),
5°) Evolution rapide du déchet (risque de polymérisation),
6°) Conditions opératoires (température, sécurité, milieu ambiant, âge
du déchet) ,
7°) Quantités d'échantillons nécessaires pour les analyses envisagées
et par conséquent représentativité de l'échantillon par rapport
à la masse du déchet,
8°) Lieu du prélèvement.
Il faut noter également que la récupération des éléments volatils est
toujours délicate.
Quant à la toxicité des déchets, deux aspects doivent être définis :
- Toxicité à effet Immédiat : une serie de tests simples
et rapides doit être mise au point, afin d'être utilisés
sur le terrain.
- Toxicité à effets chroniques, persistants, concérigènes
ou mutagènes.
- 100 -
L'évaluation des dangers dus aux composés chimiques est relativement
mal connue. Ces information sont disponibles pour environ 5 à 8000 composés,
alors que près de 70. 000 composés sont en vente sur le marché. Ces effets sont
encore moins connus lorsque les composés sont mélangés.
Des tests de lixiviation effectués en laboratoire sur des échantillons
représentatifs des déchets, permettront une approche qualitative des lessivats
issus de la décharge et migrant dans le sous-sol.
Ex : L'institut de recherche hydrologique (IRH) pratique des tests de lixiviation
sur des échantillons de déchets prélevés. Les cellules ou lysimètres utilisés
contiennent de 190 à 360 Kg de déchets.
Les solutions lixiviantes utilisées sont :
- eau déminéralisée,
- solution simulant une eau de pluie polluée (25 mg H_ SO^, 10 mg HCl.
3 mg HN03/litre),
- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation aérobie
de matières organiques,
- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation anaérobie
de matières organiques.
Le rapport massique est de 10 g de matières sèches par litre de solution.
La durée de contact est de 10 jours sous agitation intermittente.
Les analyses sont effectuées sur l'eau séparée par filtration au terme
de la mise en contact, (réf. 5).
B) Mli>e en évidence de. la pollution dans les ¿ois
Si le site n'est pas encore la cause d'une pollution manifeste ou
importante, mais présente toutefois des risques potentiels (déchets hautement
toxiques, substratum perméable) de pollution des eaux de surface ou souterraines,
il devra être aménagé afin de limiter les risques de contamination.
S'il s'agit d'un dépôt récent, le flux polluant potentiellement
existant, n'a pas encore atteint la nappe.
- 100 -
L'évaluation des dangers dus aux composés chimiques est relativement
mal connue. Ces information sont disponibles pour environ 5 à 8000 composés,
alors que près de 70. 000 composés sont en vente sur le marché. Ces effets sont
encore moins connus lorsque les composés sont mélangés.
Des tests de lixiviation effectués en laboratoire sur des échantillons
représentatifs des déchets, permettront une approche qualitative des lessivats
issus de la décharge et migrant dans le sous-sol.
Ex : L'institut de recherche hydrologique (IRH) pratique des tests de lixiviation
sur des échantillons de déchets prélevés. Les cellules ou lysimètres utilisés
contiennent de 190 à 360 Kg de déchets.
Les solutions lixiviantes utilisées sont :
- eau déminéralisée,
- solution simulant une eau de pluie polluée (25 mg H_ SO^, 10 mg HCl.
3 mg HN03/litre),
- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation aérobie
de matières organiques,
- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation anaérobie
de matières organiques.
Le rapport massique est de 10 g de matières sèches par litre de solution.
La durée de contact est de 10 jours sous agitation intermittente.
Les analyses sont effectuées sur l'eau séparée par filtration au terme
de la mise en contact, (réf. 5).
B) Mli>e en évidence de. la pollution dans les ¿ois
Si le site n'est pas encore la cause d'une pollution manifeste ou
importante, mais présente toutefois des risques potentiels (déchets hautement
toxiques, substratum perméable) de pollution des eaux de surface ou souterraines,
il devra être aménagé afin de limiter les risques de contamination.
S'il s'agit d'un dépôt récent, le flux polluant potentiellement
existant, n'a pas encore atteint la nappe.
- 101 -
Afin de s'assurer de son existence, et avant d'entamer toute action
sur le dépôt, une étude géochimique du substratum de la décharge est nécessaire.
Le prélèvement d'échantillons sous plusieurs mètres de déchets
comporte certains risques.
Des poches de gaz ou de lessivats concentrés libérés lors du sondage
peuvent provoquer soit des explosions ou bien se répandre sur le sol et
aggraver sensiblement la pollution de celui-ci.
C) Contrôle de la pollution dans les eaux iouteAnalnes
L'analyse des eaux pompées dans les puits ou piézomètres existants
permet une première approche du problème. Certaines méthodes géophysiques
permettent de localiser plus ou moins bien le flux contaminant, et par la
suite l'implantation de puits de contrôle et de surveillance est d'autant
plus facilitée.
~ La_EE2££i£EÍ°íl_Ei£££EÍ3iee (réf. 6)
Autre méthode géophysique employée pour la recherche
minière et de l'eau, permet de localiser le panache de polluants dans la
nappe d'eau souterraine. Cette méthode permet la mesure des résistivités
apparentes des différentes formations.
Sachant que la résistivité d'une formation aquifère est
fonction de la résistivité de l'eau, elle-même fonction de sa minéralisation,
sachant que l'eau contaminée est caractérisée par une minéralisation importante,
la pollution minérale peut donc être localisée par une prospection électrique
de surface, des sondages électriques et des profils de résistivité. Cette
méthode a déjà été utilisée avec succès en Alsace, pour localiser la contamination
par les chlorures, d'une nappe phréatique en milieu alluvionnaire à partir des
terrils de sel.
Elle a permis également la localisation dans la vallée vosgienne
d'une pollution par les sulfates, de la nappe à partir d'un terril de sulfates
de fer et de calcium.
- 101 -
Afin de s'assurer de son existence, et avant d'entamer toute action
sur le dépôt, une étude géochimique du substratum de la décharge est nécessaire.
Le prélèvement d'échantillons sous plusieurs mètres de déchets
comporte certains risques.
Des poches de gaz ou de lessivats concentrés libérés lors du sondage
peuvent provoquer soit des explosions ou bien se répandre sur le sol et
aggraver sensiblement la pollution de celui-ci.
C) Contrôle de la pollution dans les eaux iouteAnalnes
L'analyse des eaux pompées dans les puits ou piézomètres existants
permet une première approche du problème. Certaines méthodes géophysiques
permettent de localiser plus ou moins bien le flux contaminant, et par la
suite l'implantation de puits de contrôle et de surveillance est d'autant
plus facilitée.
~ La_EE2££i£EÍ°íl_Ei£££EÍ3iee (réf. 6)
Autre méthode géophysique employée pour la recherche
minière et de l'eau, permet de localiser le panache de polluants dans la
nappe d'eau souterraine. Cette méthode permet la mesure des résistivités
apparentes des différentes formations.
Sachant que la résistivité d'une formation aquifère est
fonction de la résistivité de l'eau, elle-même fonction de sa minéralisation,
sachant que l'eau contaminée est caractérisée par une minéralisation importante,
la pollution minérale peut donc être localisée par une prospection électrique
de surface, des sondages électriques et des profils de résistivité. Cette
méthode a déjà été utilisée avec succès en Alsace, pour localiser la contamination
par les chlorures, d'une nappe phréatique en milieu alluvionnaire à partir des
terrils de sel.
Elle a permis également la localisation dans la vallée vosgienne
d'une pollution par les sulfates, de la nappe à partir d'un terril de sulfates
de fer et de calcium.
- 102 -
Dans ces deux cas, les conditions d'application étalent
favorables, c'est-à-dire une Importante minéralisation des eaux, conjuguée
à un milieu alluvial homogène.
Plus récemment cette méthode a été utilisée pour évaluer
l'étendue du panache de pollution dans une nappe crée par un dépôt sauvage
de goudrons acides à Noyelles sur Bellone, ainsi que par une décharge d'ordures
ménagères à Fretin (Nord-Pas-de-Calais), (réf. 7).
C'est une méthode rapide nécessitant peu de moyens logisti¬
ques, elle est donc d'un coût relativement faible.
Le matériel autre que les cables est léger (le rhometer,
compteur de résistivité de marque anglaise ne pèse que 3 kg), facile à manipuler
(affichage numérique avec sélection automatique permettant des mesures comprises
entre 0,1 et 8.000/1 m avec une précision de 0,3 %) et d'alimentation simple
(piles rechargeables au nickel - Cadmium).
Toutefois cette méthode présente un inconvénient, lorsque
les conditions géologiques se compliquent, il est parfois difficile de relier
les résistivités apparentes des courbes obtenues, aux résistivités réelles du
terrain.
~ Polarisation induite
Peu couramment employée pour l'étude des nappes d'eau
souterraines, la mesure de la polarisation induite montre qu'il existe un
rapport entre cette valeur, et la teneur en argiles des grès à ciment argileux,
donc sa perméabilité.
Des études effectuées dernièrement en laboratoire par F. A.
Collar et D.H. Griffiths (1976 Royaume Uni) ont montré la relation existante
entre la polarisation induite et la conductibilité de l'eau intersticielle,
elle-même dépendante de sa minéralisation.
Cette technique a été employée récemment au Royaume Uni pour
repérer l'eau polluée s'écoulant par d'importantes fissures quasi-verticales
dans les grès de Sherwood (Finch IW, Griffiths DH 1976). Il s'agissait d'une
pollution par du chlorure de sodium à partir d'anciens terrils houilliers (réf. 6)
En aucun cas ces méthodes ne peuvent donner la composition
de la pollution, toutefois, elles permettent une meilleure implantation des
puits de contrôle et de surveillance du flux polluant.
- 102 -
Dans ces deux cas, les conditions d'application étalent
favorables, c'est-à-dire une Importante minéralisation des eaux, conjuguée
à un milieu alluvial homogène.
Plus récemment cette méthode a été utilisée pour évaluer
l'étendue du panache de pollution dans une nappe crée par un dépôt sauvage
de goudrons acides à Noyelles sur Bellone, ainsi que par une décharge d'ordures
ménagères à Fretin (Nord-Pas-de-Calais), (réf. 7).
C'est une méthode rapide nécessitant peu de moyens logisti¬
ques, elle est donc d'un coût relativement faible.
Le matériel autre que les cables est léger (le rhometer,
compteur de résistivité de marque anglaise ne pèse que 3 kg), facile à manipuler
(affichage numérique avec sélection automatique permettant des mesures comprises
entre 0,1 et 8.000/1 m avec une précision de 0,3 %) et d'alimentation simple
(piles rechargeables au nickel - Cadmium).
Toutefois cette méthode présente un inconvénient, lorsque
les conditions géologiques se compliquent, il est parfois difficile de relier
les résistivités apparentes des courbes obtenues, aux résistivités réelles du
terrain.
~ Polarisation induite
Peu couramment employée pour l'étude des nappes d'eau
souterraines, la mesure de la polarisation induite montre qu'il existe un
rapport entre cette valeur, et la teneur en argiles des grès à ciment argileux,
donc sa perméabilité.
Des études effectuées dernièrement en laboratoire par F. A.
Collar et D.H. Griffiths (1976 Royaume Uni) ont montré la relation existante
entre la polarisation induite et la conductibilité de l'eau intersticielle,
elle-même dépendante de sa minéralisation.
Cette technique a été employée récemment au Royaume Uni pour
repérer l'eau polluée s'écoulant par d'importantes fissures quasi-verticales
dans les grès de Sherwood (Finch IW, Griffiths DH 1976). Il s'agissait d'une
pollution par du chlorure de sodium à partir d'anciens terrils houilliers (réf. 6)
En aucun cas ces méthodes ne peuvent donner la composition
de la pollution, toutefois, elles permettent une meilleure implantation des
puits de contrôle et de surveillance du flux polluant.
- 103 -
V] Identl^jlcatlon des émis&lons gazeuses
Notre sens olfactif nous avertit très rapidement de la présence de gaz
malodorants sur le site de la décharge. Ils sont la preuve de l'évolution des
déchets.
Un contrôle de la qualité de l'atmosphère doit être effectué, ou une
analyse des gaz dans la décharge.
- 103 -
V] Identl^jlcatlon des émis&lons gazeuses
Notre sens olfactif nous avertit très rapidement de la présence de gaz
malodorants sur le site de la décharge. Ils sont la preuve de l'évolution des
déchets.
Un contrôle de la qualité de l'atmosphère doit être effectué, ou une
analyse des gaz dans la décharge.
- 104 -
CONCLUSION
L'objectif de cette étude était de dégager un inventaire sélectif
non exhaustif des dépôts de déchets toxiques les plus dangereux, couvrant
une grande partie de la France.
Dix-neuf sites ont été choisis en fonction de la toxicité des
déchets et de la vulnérabilité de la nappe, parmi ceux sélectionnés par le
B.R.G.M. à la demande de l'A.N.R.E.D. en juillet 1978. Seul le site n° 1
Hurionville-Llllers (Pas de Calais) est nouveau par rapport à ce rencensement.
La région parisienne et le centre n'ayant fait l'objet d'aucun
recensement en 1978, nous n'avons pas recherché les "Points noirs" existants
à l'heure actuelle.
Chaque site ayant des caractéristiques particulières, 11 semble
difficile de proposer une unique procédure d'étude pour l'ensemble des
"Points noirs", toutefois, lorsque cela a été possible une amorce de programme
d'étude a été envisagée à la suite de chaque fiche ainsi que l'estimation
du coût de cette étude.
Parmi ces sites, certains sont un risque permanent pour l'environnement.
Ils sont la cause principale d'une pollution mise en évidence des eaux
souterraines, de surface ou bien des deux à la fois.
Une étude plus approfondie de ces décharges et de leur contamination
est indispensable. Un réseau de surveillance doit être mis en place, afin de
connaître l'extension du panache de pollution, sa vitesse de progression et
son évolution qualitative dans le temps et dans l'espace.
- 104 -
CONCLUSION
L'objectif de cette étude était de dégager un inventaire sélectif
non exhaustif des dépôts de déchets toxiques les plus dangereux, couvrant
une grande partie de la France.
Dix-neuf sites ont été choisis en fonction de la toxicité des
déchets et de la vulnérabilité de la nappe, parmi ceux sélectionnés par le
B.R.G.M. à la demande de l'A.N.R.E.D. en juillet 1978. Seul le site n° 1
Hurionville-Llllers (Pas de Calais) est nouveau par rapport à ce rencensement.
La région parisienne et le centre n'ayant fait l'objet d'aucun
recensement en 1978, nous n'avons pas recherché les "Points noirs" existants
à l'heure actuelle.
Chaque site ayant des caractéristiques particulières, 11 semble
difficile de proposer une unique procédure d'étude pour l'ensemble des
"Points noirs", toutefois, lorsque cela a été possible une amorce de programme
d'étude a été envisagée à la suite de chaque fiche ainsi que l'estimation
du coût de cette étude.
Parmi ces sites, certains sont un risque permanent pour l'environnement.
Ils sont la cause principale d'une pollution mise en évidence des eaux
souterraines, de surface ou bien des deux à la fois.
Une étude plus approfondie de ces décharges et de leur contamination
est indispensable. Un réseau de surveillance doit être mis en place, afin de
connaître l'extension du panache de pollution, sa vitesse de progression et
son évolution qualitative dans le temps et dans l'espace.
- 105 -
D'autres sites sont sélectionnés car ils représentent un haut
risque potentiel vis à vis des eaux souterraines. Ils doivent alors faire
l'objet d'une meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais
surtout d'un constat géochimique de la qualité du sol environnant et le cas
échéant de la nappe sous-jacente.
Dans tous les cas, une action rapide devrait être entreprise
afin de limiter ou d'éliminer tout impact sur l'environnement.
- 105 -
D'autres sites sont sélectionnés car ils représentent un haut
risque potentiel vis à vis des eaux souterraines. Ils doivent alors faire
l'objet d'une meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais
surtout d'un constat géochimique de la qualité du sol environnant et le cas
échéant de la nappe sous-jacente.
Dans tous les cas, une action rapide devrait être entreprise
afin de limiter ou d'éliminer tout impact sur l'environnement.
BÍBLÍOGHAPHÍE
Réf. 1 : "Drain system is installed to collect leachate frome love
Canal bathtub".
Solid Wastes management February 1980.
Réf. 2 : Contribution de Mr STRYBIS [Hollande) : "Pollution à LeKKerKerk"
au séminaire des experts sur les décharges de déchets dangereux
à l'OCDE Novembre 1980.
Réf. 3 : HAROLD J. YOFFE - NANCY L. CICHDWTCZ - PAUL J. STDLLER
"Remote sensing for investigatin Buried Drums and Subsurface
Contamination at Coventry, Rhode Island" in Case Histories.
Réf. 4 : PARRY [D.E) - PIPPER [H.l "Application de la télédétection en
hydrogéologie" Bulletin BRGM section III n° 3 1979. pp 257 à 267.
Réf. 5 : Institut de recherches hydrologiques. IRH. Mars 1980 RH BO-40
"Poursuite de l'étude du devenir de l'eau et de son interaction
avec les- déchets dans une décharge admettant des déchets
industriels homogènes [Boues d'épuration d'effluents industriels)
Réf. 6 : FINCK [J.Wl - BARKER [R.D.) - GRIFFITHS [D.H.) "Applications
récentes des méthodes basées sur la résistivité électrique
et la polarisation induite à la résolution des problèmes.
hydrogéologiquBs" Bulletin BRGM section III n"* 3 1979 p 281 à
291.
Réf. 7 : BARRES [M.) - CAULIER (P.) - VALENTIN [J.) - VAN DEN HOECK (A.)
"Mise en évidence de Panaches de pollution des eaux souterraines
à l'aval des décharges urbaines ou industrielles par prospection
électrique" Rapport d'avancement BRGM.
BÍBLÍOGHAPHÍE
Réf. 1 : "Drain system is installed to collect leachate frome love
Canal bathtub".
Solid Wastes management February 1980.
Réf. 2 : Contribution de Mr STRYBIS [Hollande) : "Pollution à LeKKerKerk"
au séminaire des experts sur les décharges de déchets dangereux
à l'OCDE Novembre 1980.
Réf. 3 : HAROLD J. YOFFE - NANCY L. CICHDWTCZ - PAUL J. STDLLER
"Remote sensing for investigatin Buried Drums and Subsurface
Contamination at Coventry, Rhode Island" in Case Histories.
Réf. 4 : PARRY [D.E) - PIPPER [H.l "Application de la télédétection en
hydrogéologie" Bulletin BRGM section III n° 3 1979. pp 257 à 267.
Réf. 5 : Institut de recherches hydrologiques. IRH. Mars 1980 RH BO-40
"Poursuite de l'étude du devenir de l'eau et de son interaction
avec les- déchets dans une décharge admettant des déchets
industriels homogènes [Boues d'épuration d'effluents industriels)
Réf. 6 : FINCK [J.Wl - BARKER [R.D.) - GRIFFITHS [D.H.) "Applications
récentes des méthodes basées sur la résistivité électrique
et la polarisation induite à la résolution des problèmes.
hydrogéologiquBs" Bulletin BRGM section III n"* 3 1979 p 281 à
291.
Réf. 7 : BARRES [M.) - CAULIER (P.) - VALENTIN [J.) - VAN DEN HOECK (A.)
"Mise en évidence de Panaches de pollution des eaux souterraines
à l'aval des décharges urbaines ou industrielles par prospection
électrique" Rapport d'avancement BRGM.
THORUTHDU [J. S.) Proceding 19B0 National Conference on Control
of Hazardous Material Spills "Underground movement of Gasoline
on Ground water and enhauced recovery by surfactants.
Contribution de J. BROMLEY [R.U.) au séminaire des décharges de
déchets toxiques de l'OCDE. Novembre 19B0
MAES [M.] Les résidus industriels Tome 1 et 2.
Ingénieurs patriciens [techniques et documentation entreprise
moderne d'édition).
BARRES [M.) - RAMPON [G.] Utilisation des sites sélectionnés pour
le dépôt de déchets industriels. "Devenir des résidus industrielsnon valorisés "[Colloque CAST-INSA Lyon 1978).
Contribution de THOMAS 0 DAHL [USA) "A Hazardous waste disposal
problème is a systematic approach for imposign order onto Chaos"
au séminaire des experts sur les décharges de déchets toxiques
à l'OCDE Novembre 1980.
THORUTHDU [J. S.) Proceding 19B0 National Conference on Control
of Hazardous Material Spills "Underground movement of Gasoline
on Ground water and enhauced recovery by surfactants.
Contribution de J. BROMLEY [R.U.) au séminaire des décharges de
déchets toxiques de l'OCDE. Novembre 19B0
MAES [M.] Les résidus industriels Tome 1 et 2.
Ingénieurs patriciens [techniques et documentation entreprise
moderne d'édition).
BARRES [M.) - RAMPON [G.] Utilisation des sites sélectionnés pour
le dépôt de déchets industriels. "Devenir des résidus industrielsnon valorisés "[Colloque CAST-INSA Lyon 1978).
Contribution de THOMAS 0 DAHL [USA) "A Hazardous waste disposal
problème is a systematic approach for imposign order onto Chaos"
au séminaire des experts sur les décharges de déchets toxiques
à l'OCDE Novembre 1980.