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^ BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL SÉLECTION DES DÉPOTS DE DÉCHETS INDUSTRIELS DANGEREUX IMPLANTÉS DANS DES SITES HYDROGÉOLOGIQUEMENT DÉFAVORABLES Département environnement 81 SGN 145 ENV

SÉLECTION DES DÉPOTS DE DÉCHETS …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-145-ENV.pdf · compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement. Dès 1978, la France s'occupait

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^ BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

SÉLECTION DES DÉPOTSDE DÉCHETS INDUSTRIELS DANGEREUX

IMPLANTÉS DANS DES SITESHYDROGÉOLOGIQUEMENT DÉFAVORABLES

Département environnement

81 SGN 145 ENV

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BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01

SÉLECTION DES DEPOTS

DE DÉCHETS INDUSTRIELS DANGEREUX

IMPLANTÉS DANS DES SITES

HYDROGÉOLOGIQUEMENT DÉFAVORABLES

par

J. MILA

"rnF^uij

Département environnement

B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.8O01

81 SGN 145 ENV Février 1981

Réalisation ' Dâpartementdes Arts Graphiques

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01

SÉLECTION DES DEPOTS

DE DÉCHETS INDUSTRIELS DANGEREUX

IMPLANTÉS DANS DES SITES

HYDROGÉOLOGIQUEMENT DÉFAVORABLES

par

J. MILA

"rnF^uij

Département environnement

B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.8O01

81 SGN 145 ENV Février 1981

Réalisation ' Dâpartementdes Arts Graphiques

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SELECTION VES VEPOTS VE VECHETS WVUSTRIELS

VANGEREUX IMPLANTES VANS VES SITES

HVVROGEO LOGIQUEMENT VE¥A[/ORABLES

pan Jane MILA

S] SGN ]46 ENV Févnten. 19 SI

RESUME

En 19.73, l'A.N.R.E.D. avait confié au B.R.G.M. un inventaire

national des dépôts de déchets industriels potentiellement dangereux pour

la qualité des nappes d'eau souterraines : "Points Noirs".

A l'aide de ces inventaires régionaux et d'une actualisation

réalisée courant 1979 avec la collaboration des Services Géologiques Régionaux

du B.R.G.M., 19 dépôts comportant des déchets toxiques et reposant sur un

sol vulnérable ont été sélectionnés. Ces sites présentant un haut risque

potentiel vis à vis des eaux souterraines devraient faire l'objet d'une

meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais surtout d'un

constat géochimique de la qualité du sol environnant et, le cas échéant,

de la nappe sous-jacente.

Une approche bibliographique des méthodes géophysiques utilisables

pour la caractérisation des pollutions par décharges dans les nappes est

également proposée.

Ce travail a été réalisé dans le cadre des travaux propres 1980

du département ENVIRONNEMENT.

SELECTION VES VEPOTS VE VECHETS WVUSTRIELS

VANGEREUX IMPLANTES VANS VES SITES

HVVROGEO LOGIQUEMENT VE¥A[/ORABLES

pan Jane MILA

S] SGN ]46 ENV Févnten. 19 SI

RESUME

En 19.73, l'A.N.R.E.D. avait confié au B.R.G.M. un inventaire

national des dépôts de déchets industriels potentiellement dangereux pour

la qualité des nappes d'eau souterraines : "Points Noirs".

A l'aide de ces inventaires régionaux et d'une actualisation

réalisée courant 1979 avec la collaboration des Services Géologiques Régionaux

du B.R.G.M., 19 dépôts comportant des déchets toxiques et reposant sur un

sol vulnérable ont été sélectionnés. Ces sites présentant un haut risque

potentiel vis à vis des eaux souterraines devraient faire l'objet d'une

meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais surtout d'un

constat géochimique de la qualité du sol environnant et, le cas échéant,

de la nappe sous-jacente.

Une approche bibliographique des méthodes géophysiques utilisables

pour la caractérisation des pollutions par décharges dans les nappes est

également proposée.

Ce travail a été réalisé dans le cadre des travaux propres 1980

du département ENVIRONNEMENT.

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5 O MAIRE

JHHiCfOUCnOH

VESCRIVTIOK VIS, FICHES :

Fiche, n" 1 - Cmmiint de IWUo/u (59) F-cc/ie fî*" 2 - ComeiULYiz de hiViy-ScuyttlnoA ióO] F^c/ie n* 3 - Comma^ie dt VtZtmbnmf [60] Vlakz n" 4 ' Commune, dz NoJÙit-Vame.-de.-GKa.ve.nckon . . ,F^c/ie Yi° B ' ComnuYiz de N2^lt& [SO] FXc/ie n" ó - Commíine de Spay-A^ytage. (72 ] FXc/ie n* ? - Commune de M£W.o¿£eó-¿eó-B^Líiu.ttó (72) ...F-tcíie n^ S ' Commune, de Champagne. {72) F^cAe n" 9 - Commune de St GK.é.QOÀAz (35) Fiche, n" 70 - Commune de la &lu*^ j^-cê/te (i5) Fiche, n^ n ' Commune, de. VoKLUheMn (67 ) Facile n" 12 - Commune de. la Wantztnau [67] Facile n" 13 - Commune de Wlntzcnheln {6è) Fiche n° 14 - Commune de. VumeJi-yiovitayKaZ [47] ........F^cfie n^ 15 ' Canmune de, Gn.autheX (SI) Facile n" 16 ' Commune d*Ï66ol/ie (63) Tlche. n" 77 - Commune, de. VcwJbi en VeXJ-n [69] Viche n^ H ' Commune, de, St VaZJUeA ¿uA HhÔne. [26] ...FXciie n" 7 9 - Commune de. Vaàle ( 25 )

mVEHS TECHmOUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LAPOLLirrjOhi a] ÎlepéAoge. du dtpÔt 61 Aí¿¿e en hj-idencz de, la pollution dan teM Áot6 ....c) CoyiÙLote de ta potùjutlon dam> tej> eaux 6oute/ifLalne¿d] Jde.ntl£lcatlon deJ> mü>6lon& gazeu^eÁ

CONCLUSION

1

U

12

17252$3642444649555760646S7B

èO

ê4S793

9597

100101103

104

5 O MAIRE

JHHiCfOUCnOH

VESCRIVTIOK VIS, FICHES :

Fiche, n" 1 - Cmmiint de IWUo/u (59) F-cc/ie fî*" 2 - ComeiULYiz de hiViy-ScuyttlnoA ióO] F^c/ie n* 3 - Comma^ie dt VtZtmbnmf [60] Vlakz n" 4 ' Commune, dz NoJÙit-Vame.-de.-GKa.ve.nckon . . ,F^c/ie Yi° B ' ComnuYiz de N2^lt& [SO] FXc/ie n" ó - Commíine de Spay-A^ytage. (72 ] FXc/ie n* ? - Commune de M£W.o¿£eó-¿eó-B^Líiu.ttó (72) ...F-tcíie n^ S ' Commune, de Champagne. {72) F^cAe n" 9 - Commune de St GK.é.QOÀAz (35) Fiche, n" 70 - Commune de la &lu*^ j^-cê/te (i5) Fiche, n^ n ' Commune, de. VoKLUheMn (67 ) Facile n" 12 - Commune de. la Wantztnau [67] Facile n" 13 - Commune de Wlntzcnheln {6è) Fiche n° 14 - Commune de. VumeJi-yiovitayKaZ [47] ........F^cfie n^ 15 ' Canmune de, Gn.autheX (SI) Facile n" 16 ' Commune d*Ï66ol/ie (63) Tlche. n" 77 - Commune, de. VcwJbi en VeXJ-n [69] Viche n^ H ' Commune, de, St VaZJUeA ¿uA HhÔne. [26] ...FXciie n" 7 9 - Commune de. Vaàle ( 25 )

mVEHS TECHmOUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LAPOLLirrjOhi a] ÎlepéAoge. du dtpÔt 61 Aí¿¿e en hj-idencz de, la pollution dan teM Áot6 ....c) CoyiÙLote de ta potùjutlon dam> tej> eaux 6oute/ifLalne¿d] Jde.ntl£lcatlon deJ> mü>6lon& gazeu^eÁ

CONCLUSION

1

U

12

17252$3642444649555760646S7B

èO

ê4S793

9597

100101103

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- 1 -

ÍNTROVUCTION

Ces dernières années, à travers le monde, de nombreux dépôts de

produits chimiques toxiques, enfouis depuis 10 à 3D ans, ont été découverts

dans des circonstances parfois dramatiques.

Des lotissements avaient en effet été construits sur des dépôts cachés.

Les produits toxiques, contenus dans ces dépôts ont attaqué progressive¬

ment les canalisations, polluant ainsi les eaux de consommation. Des odeurs

nauséabondes sont apparues ainsi que des signes cliniques (vertiges, maux de

tête, nausées...] chez les habitants.

Aux Etats-Unis, sur le site fâcheusement célèbre de Love Canal, au

mois d'Août 1978, 238 familles durent être évacuées [Réf. 1].

Pourtant dès 1977 les habitants de Niagara Fall se plaignaient

d'odeurs désagréables se propageant dans leur sous-sol.

Le 2 Août 1978, "New- York State Health Comissionner" ordonnait la

fermeture de l'école et recommande l'évacuation des femmes enceintes et des

enfants de moins de 2 ans.

Le 7 Août l'évacuation des familles fut décidée.

Le 10 Août la destruction de certaines maisons était proposée.

Le lotissement avait été construit en 1953, sur un ancien canal qui

avait servi de 1920 à 1950 de décharge municipale recevant également des déchets

chimiques.

- 1 -

ÍNTROVUCTION

Ces dernières années, à travers le monde, de nombreux dépôts de

produits chimiques toxiques, enfouis depuis 10 à 3D ans, ont été découverts

dans des circonstances parfois dramatiques.

Des lotissements avaient en effet été construits sur des dépôts cachés.

Les produits toxiques, contenus dans ces dépôts ont attaqué progressive¬

ment les canalisations, polluant ainsi les eaux de consommation. Des odeurs

nauséabondes sont apparues ainsi que des signes cliniques (vertiges, maux de

tête, nausées...] chez les habitants.

Aux Etats-Unis, sur le site fâcheusement célèbre de Love Canal, au

mois d'Août 1978, 238 familles durent être évacuées [Réf. 1].

Pourtant dès 1977 les habitants de Niagara Fall se plaignaient

d'odeurs désagréables se propageant dans leur sous-sol.

Le 2 Août 1978, "New- York State Health Comissionner" ordonnait la

fermeture de l'école et recommande l'évacuation des femmes enceintes et des

enfants de moins de 2 ans.

Le 7 Août l'évacuation des familles fut décidée.

Le 10 Août la destruction de certaines maisons était proposée.

Le lotissement avait été construit en 1953, sur un ancien canal qui

avait servi de 1920 à 1950 de décharge municipale recevant également des déchets

chimiques.

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- 2 -

Le laboratoire de l'Agence de la protection de l'environnement

des Etats-Unis a identifié plus de 100 produits chimiques dont 11 sont connus

comme cancérigènes (Benzène, dioxine. Toluene. Chlorobenzène. . . ) .

Le canal était creusé dans des argiles peu perméables.

Dans un premier temps, les autorités ont abaissé le niveau de la

nappe afin d'éviter toute contamination des eaux souterraines, et ont empêché

l'infiltration des eaux pluviales vers le canal.

Par la suite, ils installèrent un réseau de drainage pour collecter

le lessivât toxique.

Le coût de cette opération est estimé à 50 millions de NF.

En Hollande à Lekkerkeck, ce sont 268 familles qui abandonnèrent

leurs maisons bâties sur d'anciens canaux remplis de Toluène, Xylene, hydrocar¬

bures aromatiques et de solvants (réf. 2],

A LekkerkerK, pour des raisons sociales et financières, il fut décidé

de décontaminer le site, sans détruire les maisons. Les mesures appliquées au

nombre de B furent :

1] Destruction dans un périmètre déterminé, de toute la végétation,

ainsi que tout le matériel d'alimentation en eau ou en électricité

(canalisations, cables...] qui se trouvaient dans le sous-sol

contaminé.

23 Confinement du sol contaminé à l'aide de pal planches pour éviter

l'extension de la pollution durant le nettoyage du site.

3] Maintien d'un niveau piézomètrique bas, afin d'éviter l'extension

de la pollution vers la nappe par le lessivage des sols contaminés.

4] Incinération des sols contaminés, ainsi que l'épuration des eaux

pompées dans la zone polluée.

Les eaux épurées étant rejetées dans la rivière Lek, alors que les

boues d'épuration sont également brûlées.

- 2 -

Le laboratoire de l'Agence de la protection de l'environnement

des Etats-Unis a identifié plus de 100 produits chimiques dont 11 sont connus

comme cancérigènes (Benzène, dioxine. Toluene. Chlorobenzène. . . ) .

Le canal était creusé dans des argiles peu perméables.

Dans un premier temps, les autorités ont abaissé le niveau de la

nappe afin d'éviter toute contamination des eaux souterraines, et ont empêché

l'infiltration des eaux pluviales vers le canal.

Par la suite, ils installèrent un réseau de drainage pour collecter

le lessivât toxique.

Le coût de cette opération est estimé à 50 millions de NF.

En Hollande à Lekkerkeck, ce sont 268 familles qui abandonnèrent

leurs maisons bâties sur d'anciens canaux remplis de Toluène, Xylene, hydrocar¬

bures aromatiques et de solvants (réf. 2],

A LekkerkerK, pour des raisons sociales et financières, il fut décidé

de décontaminer le site, sans détruire les maisons. Les mesures appliquées au

nombre de B furent :

1] Destruction dans un périmètre déterminé, de toute la végétation,

ainsi que tout le matériel d'alimentation en eau ou en électricité

(canalisations, cables...] qui se trouvaient dans le sous-sol

contaminé.

23 Confinement du sol contaminé à l'aide de pal planches pour éviter

l'extension de la pollution durant le nettoyage du site.

3] Maintien d'un niveau piézomètrique bas, afin d'éviter l'extension

de la pollution vers la nappe par le lessivage des sols contaminés.

4] Incinération des sols contaminés, ainsi que l'épuration des eaux

pompées dans la zone polluée.

Les eaux épurées étant rejetées dans la rivière Lek, alors que les

boues d'épuration sont également brûlées.

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- 3 -

5) Enlèvement des sols et des déchets sous les maisons, grâce à un

matériel de forage. Cette opération fut d'ailleurs la plus délicate.

B] Remplissage des canaux par du sable, puis mise en place d'une couche

de terre et rétablissement du niveau piézomètrique normal.

Au total, 2000 fûts et 75.000 T de déchets et sols pollués furent

évacues.

Les autorités locales pensent qu'avant Février 1981, les familles

pourront retrouver leur logement.

Le coût de cette opération est estimé à plus de 140 millions de

Guilders (290 millions de F.F.).

En Novembre 1980, les Etat-Unis organisèrent à PARIS un séminaire

d'experts sur les décharges "Point-Noir" de déchets dangereux, dans le cadre

de l'OCDE (organisation de coopération et de développement économique]. Trois

thèmes de réflexion et de discussion ont été proposés aux experts.

- Localisation et identification des sites critiques.

- Evaluation de l'Impact des décharges sur l'environnement et la santé.

- Remèdes et méthodes de décontamination.

Le compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement.

Dès 1978, la France s'occupait déjà des problèmes posés par les points

noirs.

A la demande de l'ANRED (Agence nationale de récupération et d'élimina¬

tion des déchets], les services géologiques régionaux (SGR] du Bureau de

recherchas géologiques et minières, a partir d'informations disponibles (études

déjà réalisées par les SGR ou d'autres organismes, enquêtes officielles, données

acquis.es au titre du code minier, cartes géologiques et hydrogéologiques,

photographies aériennes récentes et sans mesures nouvelles sur le terrain, ont

rassemblé et synthétisé toutes leurs documentations sur : "les zones d'accumulation

de déchets portant ou susceptibles de porter atteinte à l'environnement" .

- 3 -

5) Enlèvement des sols et des déchets sous les maisons, grâce à un

matériel de forage. Cette opération fut d'ailleurs la plus délicate.

B] Remplissage des canaux par du sable, puis mise en place d'une couche

de terre et rétablissement du niveau piézomètrique normal.

Au total, 2000 fûts et 75.000 T de déchets et sols pollués furent

évacues.

Les autorités locales pensent qu'avant Février 1981, les familles

pourront retrouver leur logement.

Le coût de cette opération est estimé à plus de 140 millions de

Guilders (290 millions de F.F.).

En Novembre 1980, les Etat-Unis organisèrent à PARIS un séminaire

d'experts sur les décharges "Point-Noir" de déchets dangereux, dans le cadre

de l'OCDE (organisation de coopération et de développement économique]. Trois

thèmes de réflexion et de discussion ont été proposés aux experts.

- Localisation et identification des sites critiques.

- Evaluation de l'Impact des décharges sur l'environnement et la santé.

- Remèdes et méthodes de décontamination.

Le compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement.

Dès 1978, la France s'occupait déjà des problèmes posés par les points

noirs.

A la demande de l'ANRED (Agence nationale de récupération et d'élimina¬

tion des déchets], les services géologiques régionaux (SGR] du Bureau de

recherchas géologiques et minières, a partir d'informations disponibles (études

déjà réalisées par les SGR ou d'autres organismes, enquêtes officielles, données

acquis.es au titre du code minier, cartes géologiques et hydrogéologiques,

photographies aériennes récentes et sans mesures nouvelles sur le terrain, ont

rassemblé et synthétisé toutes leurs documentations sur : "les zones d'accumulation

de déchets portant ou susceptibles de porter atteinte à l'environnement" .

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- A -

Toute forme de pollution (esthétique, atmosphérique, des eaux de

surface ou souterraines] a été considérée comme une atteinte à l'environnement.

A la suite de l'enquête, certains exploitants ont été amenés à

résorber ou aménager leur site afin de maîtriser le flux des polluants.

Toutefois la majorité des sites pollués n'a subi depuis leur recense¬

ment aucune modification.

Avec l'aide des correspondants "Environnement" des SGR et de certains

ingénieurs chargé des établissements classés aux directions interdépartementales

de l'industrie, il a été possible d'actualiser l'inventaire 1976 afin de

sélectionner les dépôts de déchets industriels toxiques non résorbés et présentant

un réel danger pour l'environnement.

Pour faciliter la sélection des dépôts les plus dangereux^ les 400

sites Inventoriés ont été classés dans un tableau en fonction de la nature

des déchets et de la géologie et de 1 ' hydrogéologique locales (cf. Tab. 1],

- A -

Toute forme de pollution (esthétique, atmosphérique, des eaux de

surface ou souterraines] a été considérée comme une atteinte à l'environnement.

A la suite de l'enquête, certains exploitants ont été amenés à

résorber ou aménager leur site afin de maîtriser le flux des polluants.

Toutefois la majorité des sites pollués n'a subi depuis leur recense¬

ment aucune modification.

Avec l'aide des correspondants "Environnement" des SGR et de certains

ingénieurs chargé des établissements classés aux directions interdépartementales

de l'industrie, il a été possible d'actualiser l'inventaire 1976 afin de

sélectionner les dépôts de déchets industriels toxiques non résorbés et présentant

un réel danger pour l'environnement.

Pour faciliter la sélection des dépôts les plus dangereux^ les 400

sites Inventoriés ont été classés dans un tableau en fonction de la nature

des déchets et de la géologie et de 1 ' hydrogéologique locales (cf. Tab. 1],

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- 5 -

catégorie desdéchets

schémalithologique dusite 1

Argile d'épaisseursupérieure à 5 m

1

Roches cristallo-phyliennes à microfissuration

Argiles d'épaisseur inférieure à5 m, avec un aqui-fère sous-jacentd'importance lo-cale 3

Alluvions sablo-graveleuses contenant une nappesous-fluviale reposant sur uneformation imperméable ^

Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à

circulation intergranulaire j-

Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à

circulation Karstique

Formation perméable à circulationkarstique

A

Résidus industrielsinertes

Résidus urbains

11 :

14

1

12

16

20

1

/ / // / /

/ 3 // / y

/ ''' // // /

/ 11

11

(

(

1!

i

1

B

Déchets industrielsnon inertes

3 6

p 10

) 7 ;

1 7 :

A

17 !

/ /

1

/

/

1

/6 ' / 1

/

C

Produits toxiquesHydrocarbure

! 1

»

6

//

/

/ 2

''

/ //

// /

/ /

/ /Tab. 1 : Répartition des 400 points noirs recensés en Juillet 1978, en fonction

des caractéristiques géologiques du site et de la nature des déchets.

11 nombre de décharges entrant dans la catégorie.

Zone de répartition des 178 décharges recensées dans la régionNord-Pas de Calais.

- 5 -

catégorie desdéchets

schémalithologique dusite 1

Argile d'épaisseursupérieure à 5 m

1

Roches cristallo-phyliennes à microfissuration

Argiles d'épaisseur inférieure à5 m, avec un aqui-fère sous-jacentd'importance lo-cale 3

Alluvions sablo-graveleuses contenant une nappesous-fluviale reposant sur uneformation imperméable ^

Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à

circulation intergranulaire j-

Alluvions sablo-graveleuses contenant ou non unenappe perchée reposant sur une formation perméable à

circulation Karstique

Formation perméable à circulationkarstique

A

Résidus industrielsinertes

Résidus urbains

11 :

14

1

12

16

20

1

/ / // / /

/ 3 // / y

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/ 11

11

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1

B

Déchets industrielsnon inertes

3 6

p 10

) 7 ;

1 7 :

A

17 !

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1

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/

C

Produits toxiquesHydrocarbure

! 1

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6

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/ 2

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// /

/ /

/ /Tab. 1 : Répartition des 400 points noirs recensés en Juillet 1978, en fonction

des caractéristiques géologiques du site et de la nature des déchets.

11 nombre de décharges entrant dans la catégorie.

Zone de répartition des 178 décharges recensées dans la régionNord-Pas de Calais.

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- 6 -

Vis à vis des écoulements verticaux des effluents pollués par leur

passage a travers les déchets, les différents faciès lithologiques du tableau

1 (numérotés de 1 à 7] jouent un rôle plus ou moins important de rétention et

d'épuration entre les 2 extrêmes, à savoir : le faciès n° 1 qui se comporte

comme une barrière étanche quasiment imperméable ("Boîte noire"] et le faciès

n° 7 qui laisse passer les effluents sans filtration ("passoire"].

Réglementairement, l'instruction technique du 22 Janvier 1980

(Journal Officiel du 21 Février 1980] pour la mise en décharge des déchets

industriels, définit trois types de sites autorisés essentiellement en

fonction des propriétés de perméabilité de la couche géologique située

immédiatement sous le fond de la décharge.

Il s'agit :

Classe I : site imperméable assumant un confinement convenable des

déchets et des lessivats, pouvant en particulier accueillir

certains déchets spéciaux.

Classe II : site semi perméable assurant une migration lente du

lessivât à travers une zone non saturée d'épaisseur

suffisante et pouvant principalement recevoir les déchets

industriels assimilables aux ordures ménagères.

Classe III : site perméable permettant une migration rapide du lessivât

et ne pouvant recevoir que des déchets inertes

Ces trois types de site sont représentés par le tableau 2.

- 6 -

Vis à vis des écoulements verticaux des effluents pollués par leur

passage a travers les déchets, les différents faciès lithologiques du tableau

1 (numérotés de 1 à 7] jouent un rôle plus ou moins important de rétention et

d'épuration entre les 2 extrêmes, à savoir : le faciès n° 1 qui se comporte

comme une barrière étanche quasiment imperméable ("Boîte noire"] et le faciès

n° 7 qui laisse passer les effluents sans filtration ("passoire"].

Réglementairement, l'instruction technique du 22 Janvier 1980

(Journal Officiel du 21 Février 1980] pour la mise en décharge des déchets

industriels, définit trois types de sites autorisés essentiellement en

fonction des propriétés de perméabilité de la couche géologique située

immédiatement sous le fond de la décharge.

Il s'agit :

Classe I : site imperméable assumant un confinement convenable des

déchets et des lessivats, pouvant en particulier accueillir

certains déchets spéciaux.

Classe II : site semi perméable assurant une migration lente du

lessivât à travers une zone non saturée d'épaisseur

suffisante et pouvant principalement recevoir les déchets

industriels assimilables aux ordures ménagères.

Classe III : site perméable permettant une migration rapide du lessivât

et ne pouvant recevoir que des déchets inertes

Ces trois types de site sont représentés par le tableau 2.

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- 7 -

N° defaciès

..Déchets

1

2

3

4

5

6

7

\

CLASSE IDépôts

CLASSE II

CLASSE II ou II [ \ par la législation.

CLASSE III

strictement interdits

\

Tab. 2 : Classification des décharges en fonction des caractéristiques

géologiques du site et de la nature des déchets.

En 1978, certaines décharges bien que légalement autorisées ont été

recensées comme Point Noir, car elles présentaient des pollutions esthétiques

ou atmosphériques dues à une mauvaise exploitation.

Quant aux décharges présentes dans la zone hachurée, elles n'auraient

pas obtenu d'autorisation de la part des DU (décharges sauvages].

C'est parmi ces sites qu'ont été retenus, comme spécialement dangereux,

ceux qui présentaient à la fois :

- Du point de vue hydrogéologique : un aquifère vulnérable à moins de

30 m de profondeur à l'aplomb du site.

Du point de vue déchet : une toxicité élevée, ou une évolution et un

impact à moyen ou long terme sur la santé et l'environnement mal connus (EX :

Amiante] .

19 sites ont ainsi été retenus, ils -figurent dans le tableau n° 3.

Chaque site a fait l'objet d'une recherche bibliographique, puis a

été décrit dans une fiche technique se présentant comme suit :

- 7 -

N° defaciès

..Déchets

1

2

3

4

5

6

7

\

CLASSE IDépôts

CLASSE II

CLASSE II ou II [ \ par la législation.

CLASSE III

strictement interdits

\

Tab. 2 : Classification des décharges en fonction des caractéristiques

géologiques du site et de la nature des déchets.

En 1978, certaines décharges bien que légalement autorisées ont été

recensées comme Point Noir, car elles présentaient des pollutions esthétiques

ou atmosphériques dues à une mauvaise exploitation.

Quant aux décharges présentes dans la zone hachurée, elles n'auraient

pas obtenu d'autorisation de la part des DU (décharges sauvages].

C'est parmi ces sites qu'ont été retenus, comme spécialement dangereux,

ceux qui présentaient à la fois :

- Du point de vue hydrogéologique : un aquifère vulnérable à moins de

30 m de profondeur à l'aplomb du site.

Du point de vue déchet : une toxicité élevée, ou une évolution et un

impact à moyen ou long terme sur la santé et l'environnement mal connus (EX :

Amiante] .

19 sites ont ainsi été retenus, ils -figurent dans le tableau n° 3.

Chaque site a fait l'objet d'une recherche bibliographique, puis a

été décrit dans une fiche technique se présentant comme suit :

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- 8 -

Région

Département

Lieu-dit

Coordonnées LAMBERT

Contact

Commune

Voie d'accès

Nom du correspondantEnvironnement

N° fiche

De se ription du site

Ancienne nature du site

Distance à l'habitation la plus proche

Distance au cours d'eau le plus proche

Présence d'eau au fond de la décharge : OUI - NON

Existe-t-il un captage AEP à proximité : OUI - NON

Si oui, possède-t-il un périmètre de protection : OUI -

Distance captage - décharge

Superficie du site Volume du site

NON

Déchets

Nature des déchets

Provenance des déchets

Production annuelle Volume déjà stocké

Conditions d'exploitation

Décharge sauvage : OUI - NON

Exploitant

Date de saturation

Type de décharge

Récupération des lessivats

Remise en état des sols utilisés

Situation géologique et hydrogéologique

Cadre géologique

Terrain dans lequel se fait la décharge

Existence d'une nappe aquifère

Sens d'écoulement

Profondeur de la nappe

- 8 -

Région

Département

Lieu-dit

Coordonnées LAMBERT

Contact

Commune

Voie d'accès

Nom du correspondantEnvironnement

N° fiche

De se ription du site

Ancienne nature du site

Distance à l'habitation la plus proche

Distance au cours d'eau le plus proche

Présence d'eau au fond de la décharge : OUI - NON

Existe-t-il un captage AEP à proximité : OUI - NON

Si oui, possède-t-il un périmètre de protection : OUI -

Distance captage - décharge

Superficie du site Volume du site

NON

Déchets

Nature des déchets

Provenance des déchets

Production annuelle Volume déjà stocké

Conditions d'exploitation

Décharge sauvage : OUI - NON

Exploitant

Date de saturation

Type de décharge

Récupération des lessivats

Remise en état des sols utilisés

Situation géologique et hydrogéologique

Cadre géologique

Terrain dans lequel se fait la décharge

Existence d'une nappe aquifère

Sens d'écoulement

Profondeur de la nappe

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- 9 -

Niveau de fluctuation

Epaisseur de l'aquifère

Type d' aquifère

Substratum

Position de la nappe par rapport à la décharge

Vulnérabilité de la nappe

Pollution

Une pollution a-t-elle été constatée ?

Réseau de surveillance déjà installé

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre

Montant des travaux

Bibliographie

- 9 -

Niveau de fluctuation

Epaisseur de l'aquifère

Type d' aquifère

Substratum

Position de la nappe par rapport à la décharge

Vulnérabilité de la nappe

Pollution

Une pollution a-t-elle été constatée ?

Réseau de surveillance déjà installé

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre

Montant des travaux

Bibliographie

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- 10 -

Département

Pas de Calais

Oise

Oise

Seine Maritime

Somme

Sarthe

Sarthe

Sarthe

Vendée

Bas-Rhin

Bas-Rhin

Haut-Rhin

Lot et Garonne

Tarn

Pu y de Dôme

Rhône

Drôme

Doubs

Ille et Vilaine

Commune

Liliers

Nery-Saintives

Villembray

Notre Dame Gravenchon

Nesles

Spay-Arnage

Marolles les Braults

Champagne

La Bruffière

Dorlisheim

Wantzenau

Wlntzenheim

Fumel Montayral

Grauhlet

Issoire

Vaulx en Vélin

St Vallier sur Rhône

Dasle

Saint Grégoire

N° fiche

1

2

3

4

5

6

7

8

10

11

12

13

14

15

16

17

18

1 9

9

Page

Tableau 3 : Liste des décharges "Point Noir" 1980

- 10 -

Département

Pas de Calais

Oise

Oise

Seine Maritime

Somme

Sarthe

Sarthe

Sarthe

Vendée

Bas-Rhin

Bas-Rhin

Haut-Rhin

Lot et Garonne

Tarn

Pu y de Dôme

Rhône

Drôme

Doubs

Ille et Vilaine

Commune

Liliers

Nery-Saintives

Villembray

Notre Dame Gravenchon

Nesles

Spay-Arnage

Marolles les Braults

Champagne

La Bruffière

Dorlisheim

Wantzenau

Wlntzenheim

Fumel Montayral

Grauhlet

Issoire

Vaulx en Vélin

St Vallier sur Rhône

Dasle

Saint Grégoire

N° fiche

1

2

3

4

5

6

7

8

10

11

12

13

14

15

16

17

18

1 9

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Page

Tableau 3 : Liste des décharges "Point Noir" 1980

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-11-

VESCRTPTJON VES FICHES

-11-

VESCRTPTJON VES FICHES

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- 112 -

REGÍON NORV - PAS-VE-CALAIS

Vé^anteme-nt ; PAS-VE-CALAIS

L-iea-dct -. HmnlonvÁJLte

Coordonnée LAMBERT

N° 1

ÇQnÎaçX : CAULIER (P.) SGR/NPA

Commune : LILLIERS {VOUAI)

Vole d' accH ; V.è9

X

yz 85

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Carrière de craie fond à 65 NGF

Distance de l'habitation la plus proche : 250 m

Distance du cours d'eau le plus proche : ~: 300 m

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage AEP : OUI i AEP D'Hurionville 1

I AEP de Lilliers 2

' AEP de la sucrerie de Lilliers 3

Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI

Distance captage-décharge : ( 1 à 400 m

] 2 à 2 500 m

(3 à 3 600 M

Superficie : ^^ 1,6 ha

directement en aval

Volume total : ~ 240.000 m^

DECHETS

Nature des déchets : scories et poussières de filtre

*ELEMENTS ANALYSES

Teneur dans lescendres et mâchefers - mg/kg

Teneur dans lespoussières defiltre - mg/kg

cd

11

832

Cu

1 572

1 215

Ni

20

13,5

Zn

917

63 940

Mu

236

383

Pb

46

350

Cr

-

0,5

Ag

-

3,2

F

-

385

Provenance des déchets Usine d'incinération de déchets industriels recevant :

boues, pâtes, résines, résidus de peinture, boues dedécapage, boues de solvants, goudrons sulfuriques. terresde filtration (distillât de nitryl], eaux résiduairesdiverses.

Production annuelle : 60 t Volume déjà stocké :

* potentiellement solubilisables(test en laboratoire]

- 112 -

REGÍON NORV - PAS-VE-CALAIS

Vé^anteme-nt ; PAS-VE-CALAIS

L-iea-dct -. HmnlonvÁJLte

Coordonnée LAMBERT

N° 1

ÇQnÎaçX : CAULIER (P.) SGR/NPA

Commune : LILLIERS {VOUAI)

Vole d' accH ; V.è9

X

yz 85

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Carrière de craie fond à 65 NGF

Distance de l'habitation la plus proche : 250 m

Distance du cours d'eau le plus proche : ~: 300 m

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage AEP : OUI i AEP D'Hurionville 1

I AEP de Lilliers 2

' AEP de la sucrerie de Lilliers 3

Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI

Distance captage-décharge : ( 1 à 400 m

] 2 à 2 500 m

(3 à 3 600 M

Superficie : ^^ 1,6 ha

directement en aval

Volume total : ~ 240.000 m^

DECHETS

Nature des déchets : scories et poussières de filtre

*ELEMENTS ANALYSES

Teneur dans lescendres et mâchefers - mg/kg

Teneur dans lespoussières defiltre - mg/kg

cd

11

832

Cu

1 572

1 215

Ni

20

13,5

Zn

917

63 940

Mu

236

383

Pb

46

350

Cr

-

0,5

Ag

-

3,2

F

-

385

Provenance des déchets Usine d'incinération de déchets industriels recevant :

boues, pâtes, résines, résidus de peinture, boues dedécapage, boues de solvants, goudrons sulfuriques. terresde filtration (distillât de nitryl], eaux résiduairesdiverses.

Production annuelle : 60 t Volume déjà stocké :

* potentiellement solubilisables(test en laboratoire]

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- 13 -

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant : Société PEC et pourtant décharge considérée comme sauvage

Date de saturation estimée : ?

Type de décharge : Contrôlée

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Certainement après l'exploitation

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDRO GEOLOGIQUE

Cadre géologique : Bombement de 1' ARTOIS, affecté de nombreuses failles

Terrain dans lequel se fait la décharge : Au départ à même le sol (1 m de limonsur craie], puis actuellement sur 30 cm

d'argile compacté

Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la craie

Sens d'écoulement : SW -> NE (localement]

Profondeur de la nappe : Altitude 40 m NGF (profondeur de 20-25 m]

Battement de l'aquifère : 8 m

Epaisseur de l'aquifère : :¿ 50 m

Type d' aquifère : Magasin très fissuré

Substratum : ?

Position de la nappe par rapport à la décharge : zone non saturée à circulationplus ou moins karstique de 25 m

d ' épaisseur

Vulnérabilité de l'eau : La faille de Ruitz (NW/SE] qui sépare les terrains crayeuxrecouverts d'un important dépôt sablo-argileux au Nord,des terrains crayeux fissurés en affleurement sous moinsd'1 m de limon au Sud, passe à 5 m au NW de la décharge.Vulnérabilité des eaux due à la fissuration.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? NON

Réseau de surveillance déjà installé : Un piézo à l'aval même, plus les 3 foragesAEP à l'aval également situés respective¬ment à 400, 2 500 et 3 600 m

- 13 -

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant : Société PEC et pourtant décharge considérée comme sauvage

Date de saturation estimée : ?

Type de décharge : Contrôlée

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Certainement après l'exploitation

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDRO GEOLOGIQUE

Cadre géologique : Bombement de 1' ARTOIS, affecté de nombreuses failles

Terrain dans lequel se fait la décharge : Au départ à même le sol (1 m de limonsur craie], puis actuellement sur 30 cm

d'argile compacté

Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la craie

Sens d'écoulement : SW -> NE (localement]

Profondeur de la nappe : Altitude 40 m NGF (profondeur de 20-25 m]

Battement de l'aquifère : 8 m

Epaisseur de l'aquifère : :¿ 50 m

Type d' aquifère : Magasin très fissuré

Substratum : ?

Position de la nappe par rapport à la décharge : zone non saturée à circulationplus ou moins karstique de 25 m

d ' épaisseur

Vulnérabilité de l'eau : La faille de Ruitz (NW/SE] qui sépare les terrains crayeuxrecouverts d'un important dépôt sablo-argileux au Nord,des terrains crayeux fissurés en affleurement sous moinsd'1 m de limon au Sud, passe à 5 m au NW de la décharge.Vulnérabilité des eaux due à la fissuration.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? NON

Réseau de surveillance déjà installé : Un piézo à l'aval même, plus les 3 foragesAEP à l'aval également situés respective¬ment à 400, 2 500 et 3 600 m

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- 14 -

Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :

En plus de la décharge considérée comme sauvage, l'usine de la Société indus¬trielle de Lilliers implantée à 300 m en amont de la décharge, sur une fine couchede limons recouvrant la craie pose également des problèmes. Cette usine traite lesrebuts industriels liquides stockés dans les tonneaux gerbes sur une aire d'atten¬te et dans des cuves ne présentant aucun dispositif de sécurité tel que la doubleétanchéité. Durant les périodes de transvasement, des pertes de liquide dans lesol se produisent. Ces produits ne peuvent que s'infiltrer dans la craie et re¬joindre la nappe après un parcours vertical dans la craie sèche de l'ordre de 40 m.

L'implantation d'un piézo à l'aval de chaque source de pollution permettraitde connaître l'évolution de la qualité de l'aquifère et de protéger les captagesexistants.

Il faudrait également aménager l'usine : imperméabilisation des aires de sto¬ckage, collectage des eaux de nettoyage et pluviales vers un bassin étanche envue d'un retraitement...

Pour la carrière remplie, il serait possible de disposer un écran superficiel(avec cheminées pour l'évacuation des gaz^:qui emoecherait l^s infiltrations à tra¬vers les déchets.

Pour la carrière en cours de remplissage, un procédé du même genre est appli¬qué (imperméabilisation par 20-30 cm d'argile compactée.

Montant de l'étude de la zone non saturée = 90 000 F, soit :

Sondages, analyses = 50 000 F

Prestation B.R.G.M. = 40 000 F

BIBLIOGRAPHIE

CREMILLE (L.] - Note 76 NPA 55

Arrondissement minéralogique du Nord - Pas-de-CalaisDécharge sauvage d'HurionvilleUsine de la Société industrielle de Lilliers (Pas-de-Calais]

ANNEXES

Carte de répartition des principaux utilisateurs de la nappe de la craie.

Coupe géologique schématique.

- 14 -

Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :

En plus de la décharge considérée comme sauvage, l'usine de la Société indus¬trielle de Lilliers implantée à 300 m en amont de la décharge, sur une fine couchede limons recouvrant la craie pose également des problèmes. Cette usine traite lesrebuts industriels liquides stockés dans les tonneaux gerbes sur une aire d'atten¬te et dans des cuves ne présentant aucun dispositif de sécurité tel que la doubleétanchéité. Durant les périodes de transvasement, des pertes de liquide dans lesol se produisent. Ces produits ne peuvent que s'infiltrer dans la craie et re¬joindre la nappe après un parcours vertical dans la craie sèche de l'ordre de 40 m.

L'implantation d'un piézo à l'aval de chaque source de pollution permettraitde connaître l'évolution de la qualité de l'aquifère et de protéger les captagesexistants.

Il faudrait également aménager l'usine : imperméabilisation des aires de sto¬ckage, collectage des eaux de nettoyage et pluviales vers un bassin étanche envue d'un retraitement...

Pour la carrière remplie, il serait possible de disposer un écran superficiel(avec cheminées pour l'évacuation des gaz^:qui emoecherait l^s infiltrations à tra¬vers les déchets.

Pour la carrière en cours de remplissage, un procédé du même genre est appli¬qué (imperméabilisation par 20-30 cm d'argile compactée.

Montant de l'étude de la zone non saturée = 90 000 F, soit :

Sondages, analyses = 50 000 F

Prestation B.R.G.M. = 40 000 F

BIBLIOGRAPHIE

CREMILLE (L.] - Note 76 NPA 55

Arrondissement minéralogique du Nord - Pas-de-CalaisDécharge sauvage d'HurionvilleUsine de la Société industrielle de Lilliers (Pas-de-Calais]

ANNEXES

Carte de répartition des principaux utilisateurs de la nappe de la craie.

Coupe géologique schématique.

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Conjomrrarbn en eenix

»oulerroînes ( en rr̂ /jourj _

+60Courbes iscpiézométriquel

de lo nappe de lo croie _

157

Numéro d* I ouvrage dont

lo nomenclature du B R G . M .

Failirs -

REPARTION DES PRINCIPAUX

UTILISATEURS DE LA

NAPPE DE LA CRAIE

• \ Y . ; - : . - T i - : - n > *

ECHELLE:V50000

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COUPE GÉOLOGIQUE SCHEMATIQUE

.s_w. _N.E_

-A'JMERVAL-

0.

D

-FERFAY

I01

ou>

...c

uCL'

Zm

1(A

Iin

Sc

ua:2Ím'x>01o

u.1

S«MC

Oa'zai

3;

oo

5m

RiirrniiRF

Ruitz.

0

J?

b.

¿2j\l

1

«. c

N.RA

{fi

Forogt151.

^

?'

LILLERS-

oci

<;ua'zcdX

t.o

go

LEGENDE

ECHELLES T T^i^T^ ' Alluvions, Ouatcrnoira t\ Tertiaire _

0 rSO'" 1500'"LONGUCiJRS . ' I - i.i =t;

HA'jTcüRS.120^

¿J '3..Í.

3000"^ rfTTI y r

Croie du Si'nonien et du Turonien supérieur.

hj^Qfn [-~ - Morr.cs »t croies du Turomen moyon,infBrÍB«T

et du Cenomonien .

+ 4- 4. S'.'i'foc» pRZométnque de ¡0 nappe de

lo croie _

1^ a Ci ô"51 Tourtio_

//^/l^ Poliozolqu*

COUPE GÉOLOGIQUE SCHEMATIQUE

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LEGENDE

ECHELLES T T^i^T^ ' Alluvions, Ouatcrnoira t\ Tertiaire _

0 rSO'" 1500'"LONGUCiJRS . ' I - i.i =t;

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Croie du Si'nonien et du Turonien supérieur.

hj^Qfn [-~ - Morr.cs »t croies du Turomen moyon,infBrÍB«T

et du Cenomonien .

+ 4- 4. S'.'i'foc» pRZométnque de ¡0 nappe de

lo croie _

1^ a Ci ô"51 Tourtio_

//^/l^ Poliozolqu*

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- 17 - U" 2

REGION/ PICARDIE

Vé^anXement : OISE

Lieu- dit : Hamtau de VauceUie

Coondonnée LAMBERT X 354,5y 1??,7z 105

Contact : CAUVRON {SGR]

Commune : NERV-SAINTINES

goudnonné à tnaven^ un banccjoJLcjoJjie de l à 4 m de hauteun

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Carrière exploitée avant la dernière guerre pour sespierres de taille - abandonnée depuis près de 25 ans

Distance de l'habitation la plus proche

Distance du cours d'eau le plus proche

Présence d'eau au fond de la décharge

Existe-t-il un captage AEP : NON

Possëde-t-il un périmètre de protection

Distance captage-décharge :

Superficie : B ha

/

/

NON

Volume total : 460 000 m^

DECHETS

Nature des déchets : Liquides chimiques en fûts - solvants, soufre enfoui,emballage, ... stockés dans un hangar

Provenance des déchets : Sté RODANET, propriétaire du hangar

Production annuelle : ? Volume déjà stocké : ?

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : Sté RODANET

Date de saturation estimée : /

Type de décharge : Stockage en hangar

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : /

- 17 - U" 2

REGION/ PICARDIE

Vé^anXement : OISE

Lieu- dit : Hamtau de VauceUie

Coondonnée LAMBERT X 354,5y 1??,7z 105

Contact : CAUVRON {SGR]

Commune : NERV-SAINTINES

goudnonné à tnaven^ un banccjoJLcjoJjie de l à 4 m de hauteun

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Carrière exploitée avant la dernière guerre pour sespierres de taille - abandonnée depuis près de 25 ans

Distance de l'habitation la plus proche

Distance du cours d'eau le plus proche

Présence d'eau au fond de la décharge

Existe-t-il un captage AEP : NON

Possëde-t-il un périmètre de protection

Distance captage-décharge :

Superficie : B ha

/

/

NON

Volume total : 460 000 m^

DECHETS

Nature des déchets : Liquides chimiques en fûts - solvants, soufre enfoui,emballage, ... stockés dans un hangar

Provenance des déchets : Sté RODANET, propriétaire du hangar

Production annuelle : ? Volume déjà stocké : ?

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : Sté RODANET

Date de saturation estimée : /

Type de décharge : Stockage en hangar

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : /

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- 18 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Formations calcaires du Lutétien. La coupe du front de taillefaite au moment de l'exploitation donne :

- 3,5 m de caillasses (marnes et caillases du Lutétien supérieur]- 1,5 m de calcaires tendres !j calcaires à milioles, moyen- 4,5 m de roches demi-dures ] et supérieur- 5 m de roche dure attribuée au banc de St Leu

En-dessous non visibles de la carrière se succèdent :

- 1,5 m de calcaires à numulites (pierre à Liard]- 6 m de calcaires sableaux à endurcissement- 0,5 à 2 m de sables grossiers- argile de Laon dont l'existence n'est pas prouvée- 30 à 60 m de sables du Cuisien- argiles à lignite (Yprésien inférieur ou Sparnacien]

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les calcaires à numulites

Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de 1 'Eocene contenue dans les sablesdu Cuisien

Sens de l'écoulement :

Profondeur de la nappe : 45 m sous la carrière

Battement de l'aquifère : ?

Epaisseur de l'aquifère : a¿ 25 m

Type d'aquifëre : Libre. Gradient hydraulique de 2,5 %. Une des sources decette nappe en fond de vallée présente un débit moyen de3 1/s.

Substratum : Argile à lignite de 1' Yprésien inférieur ou du Sparnacien

Position de la nappe par rapport à la décharge : Une zone non saturée de 45 m

d'épaisseur sépare les déchetsde la nappe phréatique

Vulnérabilité de l'eau : Faible du fait de la grande épaisseur de la zone nonsaturée, qui provoque un effet tampon aux infiltrationssuperficielles, sans s'y opposer totalement. La présencede fissuration donc de circulation karstique contrariece rôle.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Cette carrière est toujours dans les pré¬occupations de la préfecture et de la D.I.I.

Entre août 72 et novembre 73, les mesures suivantes ont été relevées :

température 11° Ma+ g^ K* 5,8 à 6,5 mg/1P^ ^ '"^ " 7.3 Cl- 9 à 11 mg/1Résistivité 1 600 - 1 800 ohm/cm/cm SDü" 14 à 43 mg/1Ca** 72 - 103 mg/1 HCD," 240 à 349 mg/1Mg*-' 9 - 29 mg/1

- 18 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Formations calcaires du Lutétien. La coupe du front de taillefaite au moment de l'exploitation donne :

- 3,5 m de caillasses (marnes et caillases du Lutétien supérieur]- 1,5 m de calcaires tendres !j calcaires à milioles, moyen- 4,5 m de roches demi-dures ] et supérieur- 5 m de roche dure attribuée au banc de St Leu

En-dessous non visibles de la carrière se succèdent :

- 1,5 m de calcaires à numulites (pierre à Liard]- 6 m de calcaires sableaux à endurcissement- 0,5 à 2 m de sables grossiers- argile de Laon dont l'existence n'est pas prouvée- 30 à 60 m de sables du Cuisien- argiles à lignite (Yprésien inférieur ou Sparnacien]

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les calcaires à numulites

Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de 1 'Eocene contenue dans les sablesdu Cuisien

Sens de l'écoulement :

Profondeur de la nappe : 45 m sous la carrière

Battement de l'aquifère : ?

Epaisseur de l'aquifère : a¿ 25 m

Type d'aquifëre : Libre. Gradient hydraulique de 2,5 %. Une des sources decette nappe en fond de vallée présente un débit moyen de3 1/s.

Substratum : Argile à lignite de 1' Yprésien inférieur ou du Sparnacien

Position de la nappe par rapport à la décharge : Une zone non saturée de 45 m

d'épaisseur sépare les déchetsde la nappe phréatique

Vulnérabilité de l'eau : Faible du fait de la grande épaisseur de la zone nonsaturée, qui provoque un effet tampon aux infiltrationssuperficielles, sans s'y opposer totalement. La présencede fissuration donc de circulation karstique contrariece rôle.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Cette carrière est toujours dans les pré¬occupations de la préfecture et de la D.I.I.

Entre août 72 et novembre 73, les mesures suivantes ont été relevées :

température 11° Ma+ g^ K* 5,8 à 6,5 mg/1P^ ^ '"^ " 7.3 Cl- 9 à 11 mg/1Résistivité 1 600 - 1 800 ohm/cm/cm SDü" 14 à 43 mg/1Ca** 72 - 103 mg/1 HCD," 240 à 349 mg/1Mg*-' 9 - 29 mg/1

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- 19 -

Ces mesures constituent une référence pour les nouvelles qui serontfaites en 1981

Réseau de surveillance déjà installé : NON

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La prospection de la pollution potentielle crée par la carrière se feraen 3 phases :

Phase 1 Analyse de l'eau de la Fontaine Maboule pour mettre en évidence uneéventuelle relation entre son alimentation et la carrière de Vaucelle(Tritium pour dater l'eau, quelques éléments en infratrace]

Phase 2 Implantation d'un piézomètre à la nappe des sables non loin du site dela carrière et en direction de la source avec prise d'échantillon d'eau,analyse complète sur 1 an

Phase 3 Implantation d'un second piézomètre entre la carrière et le hameau avecprise d'échantillon et analyse complète, et prélèvements sur un puitsou source encore utilisé dans le hameau

Montant des travaux : Le coût de la prospection peut être estimé à 100 000 F

BIBLIOGRAPHIE

CAUDRON (M.] - Note à l'attention de M. DUMONT s/c de l'Ingénieur des Mines chargéde la Région Picardie.Objet : Carrière de Vaucelle à Saintines (Oise]

CAOUS-COMON - 78 SGN 453 PNDRecensement des zones d'accumulation des déchets portant atteinte à l'envi¬ronnement

ANNEXES

- Alimentation en eau potable et principaux points d'eau autour de Nery

- Carte des isohypses du toit de la craie

- Carte des isopaches du Cuisien

- Tableau des principaux ouvrages d'eau ayant atteint la nappe de la craie etdébits spécifiques et prélèvements.

- 19 -

Ces mesures constituent une référence pour les nouvelles qui serontfaites en 1981

Réseau de surveillance déjà installé : NON

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La prospection de la pollution potentielle crée par la carrière se feraen 3 phases :

Phase 1 Analyse de l'eau de la Fontaine Maboule pour mettre en évidence uneéventuelle relation entre son alimentation et la carrière de Vaucelle(Tritium pour dater l'eau, quelques éléments en infratrace]

Phase 2 Implantation d'un piézomètre à la nappe des sables non loin du site dela carrière et en direction de la source avec prise d'échantillon d'eau,analyse complète sur 1 an

Phase 3 Implantation d'un second piézomètre entre la carrière et le hameau avecprise d'échantillon et analyse complète, et prélèvements sur un puitsou source encore utilisé dans le hameau

Montant des travaux : Le coût de la prospection peut être estimé à 100 000 F

BIBLIOGRAPHIE

CAUDRON (M.] - Note à l'attention de M. DUMONT s/c de l'Ingénieur des Mines chargéde la Région Picardie.Objet : Carrière de Vaucelle à Saintines (Oise]

CAOUS-COMON - 78 SGN 453 PNDRecensement des zones d'accumulation des déchets portant atteinte à l'envi¬ronnement

ANNEXES

- Alimentation en eau potable et principaux points d'eau autour de Nery

- Carte des isohypses du toit de la craie

- Carte des isopaches du Cuisien

- Tableau des principaux ouvrages d'eau ayant atteint la nappe de la craie etdébits spécifiques et prélèvements.

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i ALIMENTATION EN EAU P0TA3LE• ET PRINCIPAUX POINTS D'EAU

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L E G E N D E

A . E . P commurutc

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• • — » - 3 ^ Syndicat •llmïnlt par wn« commun* »

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HE NORMANDIE MAI 70

' Echelle : 1/100 000

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ISOHYPSES DU TOIT DE LA CRAIE

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L E G E N D E

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¡SOPACHES DU CUISIEN

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L E G F N D E

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Contact OriSirn . Lu'

Echelle: 1/ 100000

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Tableau S - Principaux ouvrages d*eau ayant atteint la nappe de la craie

! Conunune i

¡PONT SAINTEÎMAXENCE

!LES AGEUX

¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE

¡VERBERIE

¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE

ORROUY

ÎBETHISY¡SAINT PIERRE

BETHISY¡SAINT PIERRE

Désignation

Zone IndusC.

! S.N.C.F.

. FéculerlePort-Salutn» 1

Rue St Nlco-! las

! Féculerle! Port-Salut

; Ancien connn.

! Château o'Morinlère

AEP communale

Indice i

128.1.26.

! 128.1.5

128.3.4

128.3.39

! 128.3.84

: 128. A. 9

128.4.11

! 128.4.12

Coordonnées

X

617.60

. 614.30

628.02

628.70

628.03

! 637.95

633.95

634.20

Y

178.30

178.92

178.96

178.71

.

179.14

! 176.91

177.96

177.60

Z

+ 30

+ 31

+ 32

+ 39

+ 31

+ 57

+ 75

+ 45

Prof .'^(m) ~

90

! 40t

80

73

66

126

101

107

Altlt.toit

-29,6

: + 1,7

-16,7

-11,8

-15,5

! -29,6

- 5,1

-37,8

Epalss.trav.(ra)

30,4

10,2

31,3

22,4

19,5

39,4

21,0

24,0

Altlt. ¡Usage' eau :

>1

¡(+28, 2): néant

t m

! +29,5, néant

+31,7

+30,7

! I

¡néantI

(+30,2)

+47,2

(+56,7)

+39,0

.néant

¡néant

néant

C

' Etat ¡ Implanté¡ actuel: dans

¡access .

¡disparu

access .

disparu

disparu

Inacc.

access.

access .,

¡Alluvlo.¡Oise sur¡e3

¡Alluv.¡Oise sur¡e3

Alluv..Oise sure2

Alluv.Oise sure3

Alluv.Oise sure2

e4

e4

Alluv. :

Automne :

sur e3 :

Observations ¡

Communicat. !

entre Séno- ¡

nlen et Tha-¡nétlen !

Coupe tebh- ¡

nique Impré-'else ¡

Altlt. eau ¡

"trop forte !

pour craie ¡

Tableau S - Principaux ouvrages d*eau ayant atteint la nappe de la craie

! Conunune i

¡PONT SAINTEÎMAXENCE

!LES AGEUX

¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE

¡VERBERIE

¡LONGUE IL¡SAINTE MARIE

ORROUY

ÎBETHISY¡SAINT PIERRE

BETHISY¡SAINT PIERRE

Désignation

Zone IndusC.

! S.N.C.F.

. FéculerlePort-Salutn» 1

Rue St Nlco-! las

! Féculerle! Port-Salut

; Ancien connn.

! Château o'Morinlère

AEP communale

Indice i

128.1.26.

! 128.1.5

128.3.4

128.3.39

! 128.3.84

: 128. A. 9

128.4.11

! 128.4.12

Coordonnées

X

617.60

. 614.30

628.02

628.70

628.03

! 637.95

633.95

634.20

Y

178.30

178.92

178.96

178.71

.

179.14

! 176.91

177.96

177.60

Z

+ 30

+ 31

+ 32

+ 39

+ 31

+ 57

+ 75

+ 45

Prof .'^(m) ~

90

! 40t

80

73

66

126

101

107

Altlt.toit

-29,6

: + 1,7

-16,7

-11,8

-15,5

! -29,6

- 5,1

-37,8

Epalss.trav.(ra)

30,4

10,2

31,3

22,4

19,5

39,4

21,0

24,0

Altlt. ¡Usage' eau :

>1

¡(+28, 2): néant

t m

! +29,5, néant

+31,7

+30,7

! I

¡néantI

(+30,2)

+47,2

(+56,7)

+39,0

.néant

¡néant

néant

C

' Etat ¡ Implanté¡ actuel: dans

¡access .

¡disparu

access .

disparu

disparu

Inacc.

access.

access .,

¡Alluvlo.¡Oise sur¡e3

¡Alluv.¡Oise sur¡e3

Alluv..Oise sure2

Alluv.Oise sure3

Alluv.Oise sure2

e4

e4

Alluv. :

Automne :

sur e3 :

Observations ¡

Communicat. !

entre Séno- ¡

nlen et Tha-¡nétlen !

Coupe tebh- ¡

nique Impré-'else ¡

Altlt. eau ¡

"trop forte !

pour craie ¡

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- Çéblcs spécifiques et prélèvements-

¡ Commune

! PONT SAINTE! MAXENCE

¡ LONGUEIL i

! SAINTE MARIE

! ORROUY

¡ BETHISY! SAINT PIERRE

¡ BETHISY! SAINT PIERRE

Désignation

Zone Indust.

FéculerlePort-Salutn» 1

Ancien coram.

! Château o'¡ Morinlère

, AEP communale

Indice

128.1.26

128.3.4

128.4.9

: 128.4.11

. 128.4.12

Q m3/h

3.6

126,0240,0

- 5,0

6,8

26,0

A m

59,1

35,014,7

97,3'

4,6

7,2

Q/A m3/h/ra

0,06

3,6016,30

0,05

1,47

3,61

Stabilisation

> approximative

?

?

¡ ?

?

approx. (llh)

Prélèvements ra3/J

néant

1760 (pdt 185 J)

néant

néant

240

Observations

j

Av . ac .kç; ac . 4 t .

T1

to

- Çéblcs spécifiques et prélèvements-

¡ Commune

! PONT SAINTE! MAXENCE

¡ LONGUEIL i

! SAINTE MARIE

! ORROUY

¡ BETHISY! SAINT PIERRE

¡ BETHISY! SAINT PIERRE

Désignation

Zone Indust.

FéculerlePort-Salutn» 1

Ancien coram.

! Château o'¡ Morinlère

, AEP communale

Indice

128.1.26

128.3.4

128.4.9

: 128.4.11

. 128.4.12

Q m3/h

3.6

126,0240,0

- 5,0

6,8

26,0

A m

59,1

35,014,7

97,3'

4,6

7,2

Q/A m3/h/ra

0,06

3,6016,30

0,05

1,47

3,61

Stabilisation

> approximative

?

?

¡ ?

?

approx. (llh)

Prélèvements ra3/J

néant

1760 (pdt 185 J)

néant

néant

240

Observations

j

Av . ac .kç; ac . 4 t .

T1

to

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- 25 - N" 3

REGION P7CARPIE

Vé^antement ; OISE

Lieu- dit ;

Coordonnée LAMBERT

Contact : M. CAUVRON {SGR]

Commune : VILLEUBRAV

Vole d'accu :

X

yX

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne carrière dans les formations gréseuses

Distance de l'habitation la plus proche : /

Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage AEP : NON, existence de puits privés servant à l'alimenta¬tion des bêtes. Source de la Chapelle-aux-Pots

Possède-t-il un périmètre de protection : NDN

Distance captage-décharge : La source de la Chapelle-aux-Pots se trouve à 4,5 km

au SE

Superficie : 3 ha Volume total : 300 000 m^

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères - poussières d'amiante - filtre au beryl¬lium - déchets liquides : bains d'huile, hydrocarbures,acides. . .

Provenance des déchets : Divers - inconnue

Production annuelle : / Volume déjà stocké : /

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant : Inconnu

Date de saturation estimée : Fermée

Type de décharge : Sauvage

Récupération des lessivats : Pas directement, mais existence de B fossés créésartificiellement et progressivement remplis par leseaux de surface ayant ruisselé sur les déchets

Remise en état des sols utilisés : Recouverts de terrains argileux

- 25 - N" 3

REGION P7CARPIE

Vé^antement ; OISE

Lieu- dit ;

Coordonnée LAMBERT

Contact : M. CAUVRON {SGR]

Commune : VILLEUBRAV

Vole d'accu :

X

yX

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne carrière dans les formations gréseuses

Distance de l'habitation la plus proche : /

Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage AEP : NON, existence de puits privés servant à l'alimenta¬tion des bêtes. Source de la Chapelle-aux-Pots

Possède-t-il un périmètre de protection : NDN

Distance captage-décharge : La source de la Chapelle-aux-Pots se trouve à 4,5 km

au SE

Superficie : 3 ha Volume total : 300 000 m^

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères - poussières d'amiante - filtre au beryl¬lium - déchets liquides : bains d'huile, hydrocarbures,acides. . .

Provenance des déchets : Divers - inconnue

Production annuelle : / Volume déjà stocké : /

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant : Inconnu

Date de saturation estimée : Fermée

Type de décharge : Sauvage

Récupération des lessivats : Pas directement, mais existence de B fossés créésartificiellement et progressivement remplis par leseaux de surface ayant ruisselé sur les déchets

Remise en état des sols utilisés : Recouverts de terrains argileux

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- 26 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Flanc sud du dôme anticlinal du Pays de Bray, dans la régionoù affleurent les terrains les plus anciens j ceux du Juras¬sique supérieur

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les assises du Portlandien

- sables et grès à triglonies- argiles sableuses plus ou moins compacts- argiles alluviales mêlées de débris

calcaires- calcaire du Portlandien

Existence d'une nappe aquifère : OUI, aquifère dans les horizons calcaires duPortlandien

Sens de l'écoulement : Vers le SW (comme le pendage affectant les assises duPortlandien]

Profondeur de la nappe : 5 à 10 m

Battement de l'aquifère : 5 m

Epaisseur de l'aquifère : ?

Type d' aquifère : Semi captif avec un gradient hydraulique élevé : 5 %

Substratum : Calcaires à intercalations marneuses et argileuses du Kimméridgien

Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge, zone nonsaturée de près de 10 m d'épaisseur

Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible, car la percolation dans le sous-soldes eaux pluviales est d'autant moins facile que la topo¬graphie du lieu favorise le ruissellement et ne permet pasà l'eau de stagner sauf dans les B fossés

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Pour l'instant non, mais les fossés ontdébordé et les eaux se sont dirigées vers une zone ou affleurent lesterrains gréseux du Portlandien supérieur, par lesquels des infiltrationsrisquent de se produire.

De plus, en période pluvieuse, le ruissellement entraîne les eaux venuesde la décharge vers une dépression occupée par une prairie avant de gagnerle ruisseau d' Hodenc-en-Bray

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La pollution est beaucoup plus inquiétante vis-à-vis des eaux superfi¬cielles que vis-à-vis des eaux souterraines.

- 26 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Flanc sud du dôme anticlinal du Pays de Bray, dans la régionoù affleurent les terrains les plus anciens j ceux du Juras¬sique supérieur

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur les assises du Portlandien

- sables et grès à triglonies- argiles sableuses plus ou moins compacts- argiles alluviales mêlées de débris

calcaires- calcaire du Portlandien

Existence d'une nappe aquifère : OUI, aquifère dans les horizons calcaires duPortlandien

Sens de l'écoulement : Vers le SW (comme le pendage affectant les assises duPortlandien]

Profondeur de la nappe : 5 à 10 m

Battement de l'aquifère : 5 m

Epaisseur de l'aquifère : ?

Type d' aquifère : Semi captif avec un gradient hydraulique élevé : 5 %

Substratum : Calcaires à intercalations marneuses et argileuses du Kimméridgien

Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge, zone nonsaturée de près de 10 m d'épaisseur

Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible, car la percolation dans le sous-soldes eaux pluviales est d'autant moins facile que la topo¬graphie du lieu favorise le ruissellement et ne permet pasà l'eau de stagner sauf dans les B fossés

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Pour l'instant non, mais les fossés ontdébordé et les eaux se sont dirigées vers une zone ou affleurent lesterrains gréseux du Portlandien supérieur, par lesquels des infiltrationsrisquent de se produire.

De plus, en période pluvieuse, le ruissellement entraîne les eaux venuesde la décharge vers une dépression occupée par une prairie avant de gagnerle ruisseau d' Hodenc-en-Bray

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La pollution est beaucoup plus inquiétante vis-à-vis des eaux superfi¬cielles que vis-à-vis des eaux souterraines.

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- 27 -

Il faut donc s'opposer à la sortie des eaux de ruissellement de lacarrière :

- ériger une digue de 3 m de haut entre la prairie EST et le front detaille OUEST à la hauteur du virage du chemin d'accès, à l'intérieurde la carrière ;

- vidanger les B fossés de l'eau accumulée et évacuer celle-ci vers unestation d'épuration ;

- combler les excavations avec de l'argile extraite en dehors de lacarrière

Mais il faut avant tout faire une étude hydrogéologique précise du site.

- Pose de piézomètre- Etablissement de la piézométrie- Analyses

Montant : Le coût de l'étude hydrogéologique s'élève aux environs de 30 000 F (HT]

BIBLIOGRAPHIE

CAOUS-COMON - B.R.G.M, 76 SGN 453 PND

Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinteà l'environnement

CAUDRON (L.] - Note à M. DUCOS a/c de M. l'ingénieur des Mines chargé de laRégion PicardieObjet : décharge de déchets industriels de Villesmbray (Oise]

- 27 -

Il faut donc s'opposer à la sortie des eaux de ruissellement de lacarrière :

- ériger une digue de 3 m de haut entre la prairie EST et le front detaille OUEST à la hauteur du virage du chemin d'accès, à l'intérieurde la carrière ;

- vidanger les B fossés de l'eau accumulée et évacuer celle-ci vers unestation d'épuration ;

- combler les excavations avec de l'argile extraite en dehors de lacarrière

Mais il faut avant tout faire une étude hydrogéologique précise du site.

- Pose de piézomètre- Etablissement de la piézométrie- Analyses

Montant : Le coût de l'étude hydrogéologique s'élève aux environs de 30 000 F (HT]

BIBLIOGRAPHIE

CAOUS-COMON - B.R.G.M, 76 SGN 453 PND

Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinteà l'environnement

CAUDRON (L.] - Note à M. DUCOS a/c de M. l'ingénieur des Mines chargé de laRégion PicardieObjet : décharge de déchets industriels de Villesmbray (Oise]

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- 28 - N° 4

region; haute normanvie

Vé^oAtemenU : EURE - SEINE-UARITIHE

Lieu- dit : "Hauti> BlneX^"

Coordonnée LAMBERT X 474,50y 201,35z 7S à 100

ÇÇ!^Ç^ lABOURGUIGNE

Commune : Notne-Vame-de-Gnavenchon

Vole d'acce¿ ;

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : "Vallée sèche" site naturel

Distance de l'habitation la plus proche : Pas d'habitation

Distance du cours d'eau le plus proche : Pas de cours d'eau

Présence d'eau au fond de la décharge : /

Existe-t-il un captage AEP : NDN

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage-décharge : /

Superficie : ? Volume total : ?

DECHETS

Nature des déchets : Résidus de pétrole et de graisses d'usine malaxées avec dela terre ont été déposés entre 19BB et 1969.

Depuis : résidus de balayage d'usine, déblais de béton, dé¬chets d'incinérateur

Dépôts sauvages : dépôts métalliques, boues, résidus de fossesde vidange hydrocarbures

Provenance des déchets : Société Emery et divers

Production annuelle : 4 000 t Volume déjà stocké : 15 000 m^

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI et NON - Les clôtures ont été défoncées permettant ainsiles dépôts sauvages

Exploitant : Société Emery

Date de saturation estimée : 1995

Type de décharge : Théoriquement "contrôlée"

- 28 - N° 4

region; haute normanvie

Vé^oAtemenU : EURE - SEINE-UARITIHE

Lieu- dit : "Hauti> BlneX^"

Coordonnée LAMBERT X 474,50y 201,35z 7S à 100

ÇÇ!^Ç^ lABOURGUIGNE

Commune : Notne-Vame-de-Gnavenchon

Vole d'acce¿ ;

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : "Vallée sèche" site naturel

Distance de l'habitation la plus proche : Pas d'habitation

Distance du cours d'eau le plus proche : Pas de cours d'eau

Présence d'eau au fond de la décharge : /

Existe-t-il un captage AEP : NDN

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage-décharge : /

Superficie : ? Volume total : ?

DECHETS

Nature des déchets : Résidus de pétrole et de graisses d'usine malaxées avec dela terre ont été déposés entre 19BB et 1969.

Depuis : résidus de balayage d'usine, déblais de béton, dé¬chets d'incinérateur

Dépôts sauvages : dépôts métalliques, boues, résidus de fossesde vidange hydrocarbures

Provenance des déchets : Société Emery et divers

Production annuelle : 4 000 t Volume déjà stocké : 15 000 m^

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI et NON - Les clôtures ont été défoncées permettant ainsiles dépôts sauvages

Exploitant : Société Emery

Date de saturation estimée : 1995

Type de décharge : Théoriquement "contrôlée"

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- 29 -

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Pas pour l'instant

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Flanc d'une vallée sèche appelée le fond des "Hauts Binets"

Terrain dans lequel se fait la décharge : Craie du Sénonien. De plus un accidentparcourt le fond de la vallée et met encontact la craie du Cénomanien et celledu Sénonien

Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la Craie

Sens d'écoulement : NE vers le SW

Profondeur de la nappe : 28 m

Battement de l'aquifère : c:¿. 1 m

Epaisseur de l'aquifère : ai 100 à 270 m

Type d' aquifère : libre

Substratum : Argile de Gault (mur théorique]

Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée au droit du siteépaisse de 28 m

Vulnérabilité de l'eau : La présence de la fracture au fond de la vallée rendl'aquifère particulièrement vulnérable à la pollution

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? NDN, mais on peut noter :

- front de décharge relativement instable- des traces d'incendies- une faune (rat] importante

Réseau de surveillance déjà installé : NDN

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Afin de contrôler la qualité de la nappe phréatique :

- Réalisation d'un piézomètre (nuisomètre] de contrôle de 35 m de pro¬fondeur pénétrant dans la nappe,

- Prélèvements et analyses d'échantillons de terrain lors du creusementen vue d'analyses de sols,

- Prélèvements et analyses d'échantillons d'eau de la nappe à différentesépoques de l'année

Montant des travaux : 20 000 F

- 29 -

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Pas pour l'instant

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Flanc d'une vallée sèche appelée le fond des "Hauts Binets"

Terrain dans lequel se fait la décharge : Craie du Sénonien. De plus un accidentparcourt le fond de la vallée et met encontact la craie du Cénomanien et celledu Sénonien

Existence d'une nappe aquifère : OUI, nappe de la Craie

Sens d'écoulement : NE vers le SW

Profondeur de la nappe : 28 m

Battement de l'aquifère : c:¿. 1 m

Epaisseur de l'aquifère : ai 100 à 270 m

Type d' aquifère : libre

Substratum : Argile de Gault (mur théorique]

Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée au droit du siteépaisse de 28 m

Vulnérabilité de l'eau : La présence de la fracture au fond de la vallée rendl'aquifère particulièrement vulnérable à la pollution

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? NDN, mais on peut noter :

- front de décharge relativement instable- des traces d'incendies- une faune (rat] importante

Réseau de surveillance déjà installé : NDN

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Afin de contrôler la qualité de la nappe phréatique :

- Réalisation d'un piézomètre (nuisomètre] de contrôle de 35 m de pro¬fondeur pénétrant dans la nappe,

- Prélèvements et analyses d'échantillons de terrain lors du creusementen vue d'analyses de sols,

- Prélèvements et analyses d'échantillons d'eau de la nappe à différentesépoques de l'année

Montant des travaux : 20 000 F

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- 30 -

ANNEXES

- Situation du site - Piézométrie locale

- Lithologie du site

- Carte des principaux ouvrages de captage

- Tableau des valeurs statistiques des différents ions

- Carte des isohypses du toit du Gault.

- 30 -

ANNEXES

- Situation du site - Piézométrie locale

- Lithologie du site

- Carte des principaux ouvrages de captage

- Tableau des valeurs statistiques des différents ions

- Carte des isohypses du toit du Gault.

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DEPARTEMENT 76- 32 -

COMMUNE NOTRE-DAME DE GRAVEi,'CHC1nJ

DESIGNATION : YILLEQUIER 5 Indice de classement

Cote du sol (2) = + 56j80

75 !7| 5

COUPE PROFOND. COTES LITHOLOGIE STî?ATi&PAP^"f.

-. * ^

« #

16 i-tceArgile à silex Arg. à sile.x

Grè.s calcaire à intercalât ions marneuses CENOMANin.N'

¿e,s t-fl,3

61, 0 ^¿,2 Argile noirâtre GAULT

102,5 -¿S, 7

Sables argileux \LD1EN inf.

Marnes à intercalations de marno-cal cairet de calcaire gréseux ;<I.XfM£:RIDGIE.\|

1^9, 0 92,2

160^5 103,7 Sables à intercalations de calcaire mar-

175,0 118,2

ueuxI

Calcaire sublithographique à lits demarne

LUSITANIEN'

Marnes brunes conchoïdes avec interca¬lations de marne-calcaires

220, 0 -163,2

Echelle : i MSCO

DEPARTEMENT 76- 32 -

COMMUNE NOTRE-DAME DE GRAVEi,'CHC1nJ

DESIGNATION : YILLEQUIER 5 Indice de classement

Cote du sol (2) = + 56j80

75 !7| 5

COUPE PROFOND. COTES LITHOLOGIE STî?ATi&PAP^"f.

-. * ^

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16 i-tceArgile à silex Arg. à sile.x

Grè.s calcaire à intercalât ions marneuses CENOMANin.N'

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61, 0 ^¿,2 Argile noirâtre GAULT

102,5 -¿S, 7

Sables argileux \LD1EN inf.

Marnes à intercalations de marno-cal cairet de calcaire gréseux ;<I.XfM£:RIDGIE.\|

1^9, 0 92,2

160^5 103,7 Sables à intercalations de calcaire mar-

175,0 118,2

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Calcaire sublithographique à lits demarne

LUSITANIEN'

Marnes brunes conchoïdes avec interca¬lations de marne-calcaires

220, 0 -163,2

Echelle : i MSCO

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BOLBEC-SITUATION DES PRINCIPAUX OUVRAGESDE CAPTAGE ET LIMITE DES RESEAUX A E P

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Indice de t'ouvrage dans le huiliè'me

Limite de syndicat

Numérotation du syndicat dans le teile

Limit» de c o m m u n e

C o m m u n e autonom* _

-Commune autonom* renforcée

Limite de syndicat n* correspondant pas

à une limite de c o m m u n e

Echelle i/lOO 000

IO3

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- VALEURS STATISTIQUES DES DIFFERENTS IONS

Résistivité à 18»

pH

DU total

Ca^^

Mg^-^

Wa^--^

K^

CO H~

Cl"

so^-

1

Nombre

d'échaai-

tillons

Zk

36

38

26

28

22

17

31

39

36

27

Médiane

2 110

712

27

mg/1

95,8

5,3

10,5

2,0

295

23

1012

15

meq/l

'^,75

o,hoo,hk

0,^5

0,05

k,8h

0,6ii

0,220,25

0,2it

Intervalle interquartile

1 960 à 2 OÎIO - 2 300

7,1 - 7,35

.25,5 - 36

',35 - 5,30

0,31 - 0,90

0,39 - 0,77

0,0'* - 0 , 06

k,k2 - 5,78

0,53 - 1,07

0,16 - 0,66

0,11 - 0,29

minimum

1 010

6,8

22,5

3,68

t

0,22

0,02

3,61

0,10

0,08

0,02 1

maximum

2 l\k5

7,6

'»9,7

8,0

'»,52

13,90

0,21

8,90

7,60

2,18

0,90

- VALEURS STATISTIQUES DES DIFFERENTS IONS

Résistivité à 18»

pH

DU total

Ca^^

Mg^-^

Wa^--^

K^

CO H~

Cl"

so^-

1

Nombre

d'échaai-

tillons

Zk

36

38

26

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17

31

39

36

27

Médiane

2 110

712

27

mg/1

95,8

5,3

10,5

2,0

295

23

1012

15

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0,05

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0,6ii

0,220,25

0,2it

Intervalle interquartile

1 960 à 2 OÎIO - 2 300

7,1 - 7,35

.25,5 - 36

',35 - 5,30

0,31 - 0,90

0,39 - 0,77

0,0'* - 0 , 06

k,k2 - 5,78

0,53 - 1,07

0,16 - 0,66

0,11 - 0,29

minimum

1 010

6,8

22,5

3,68

t

0,22

0,02

3,61

0,10

0,08

0,02 1

maximum

2 l\k5

7,6

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'»,52

13,90

0,21

8,90

7,60

2,18

0,90

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ISOHYPSES DU TOITDU GAULT

L E G E N D E

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REGION FICARPTE

Pégdl^em§Kií ; SOMME

Llev-idlt : Bol& de Rouy

Coondonnée LAMBERT X

y

- 36 -

Contact : CAUVRON (M.

Commune : NESLES

Vole d'accéi : V.34

N" 5

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Carrières de Limon et de sables tertiaires

Distance de l'habitation la plus proche : 500 m

Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m

Présence d'eau au fond de la décharge : OUI

Existe-t-il un captage APE : OUI nombreux puits privés

Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI NON

Distance captage - décharge : 750 m position latérale par rapport aux

décharges.

Superficie : 6,4 ha Volume total : 120.000 m^

DECHETS

Nature des déchets :

1°] Décharge communale reçoit déchets urbains et ménagers, déchets privés,notamment des produits liquides qui baignent la base des déchets.

2°) Décharge ORSAN contient un liquide pâteux noirâtre, mélange de sulfate desoude, a ammonium, de phosphate de chaux et de charbon actif usé.

Provenance des déchets : 1°) Communes environnantes1°} Société ORSAN : société de produits organiques du

Sauterre à Nés le.

Production annuelle Dépôt abandonnédepuis 1976

Volvime déjà stocké

REGION FICARPTE

Pégdl^em§Kií ; SOMME

Llev-idlt : Bol& de Rouy

Coondonnée LAMBERT X

y

- 36 -

Contact : CAUVRON (M.

Commune : NESLES

Vole d'accéi : V.34

N" 5

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Carrières de Limon et de sables tertiaires

Distance de l'habitation la plus proche : 500 m

Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m

Présence d'eau au fond de la décharge : OUI

Existe-t-il un captage APE : OUI nombreux puits privés

Possëde-t-il un périmètre de protection : OUI NON

Distance captage - décharge : 750 m position latérale par rapport aux

décharges.

Superficie : 6,4 ha Volume total : 120.000 m^

DECHETS

Nature des déchets :

1°] Décharge communale reçoit déchets urbains et ménagers, déchets privés,notamment des produits liquides qui baignent la base des déchets.

2°) Décharge ORSAN contient un liquide pâteux noirâtre, mélange de sulfate desoude, a ammonium, de phosphate de chaux et de charbon actif usé.

Provenance des déchets : 1°) Communes environnantes1°} Société ORSAN : société de produits organiques du

Sauterre à Nés le.

Production annuelle Dépôt abandonnédepuis 1976

Volvime déjà stocké

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- 37 -

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : ORSAN - SIVOM

Date de saturation estimée : fermée depuis 1376

Type de décharge : La décharge communale semble très mal gérée, la déchargeORSAN est clôturée.

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation en cours

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions et éboulis du IV sur la Craie (aquifère régional)

Terrain dans lequel se fait la décharge : Un remblai limoneux. plus ou moinscompacté sépare les déchets de la craie, les parois sont également recouvertesde Limons silleux en place ou éboulés.

Existence d'une nappe aquifère : OUI Dans la craie sous-jacente.

Sens d'écoulement : vers le marais et la vallée de l'Ingou W -» E

Profondeur de la nappe : 0 à 10 m

Battement de l'aquifère : 5 m

Epaisseur de l'aquifère : ?

Type d' aquifère : T = 0,05 m^/sGradient hydraulique 3°/ooDébit de la nappe 0,015 m3/s par 100 m de frontde nappe.

Substratum : ?

Position de la nappe par rapport à la décharge : Le fond semble toujours en eaumais on ne connait ni la pluviométrie , ni les déversements, ni les remontées de lanappe phréatique. En période de hautes eaux, on est sur du lessivage de labase des déchets par la nappe elle-même très vulnérable aux pollutions de surface.

Vulnérabilité de l'eau :

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ?

La société ORSAN a chargé le B.R.G.M., au début 1980, de procéder à la recherched'eau souterraine en bordure de la vallée de l'Ingon, sur la commune de Rouy leGrand. Le puits une fois fait, il s'est avéré que la qualité chimique de l'eauétait très médiocre, après 46 h de pompage :

- couleur verdâtre persistante- flinéralisation anormalement élevée en éléments azotés, en chlorure,

en sodium, en potassium et magnésium.

- 37 -

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : ORSAN - SIVOM

Date de saturation estimée : fermée depuis 1376

Type de décharge : La décharge communale semble très mal gérée, la déchargeORSAN est clôturée.

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation en cours

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions et éboulis du IV sur la Craie (aquifère régional)

Terrain dans lequel se fait la décharge : Un remblai limoneux. plus ou moinscompacté sépare les déchets de la craie, les parois sont également recouvertesde Limons silleux en place ou éboulés.

Existence d'une nappe aquifère : OUI Dans la craie sous-jacente.

Sens d'écoulement : vers le marais et la vallée de l'Ingou W -» E

Profondeur de la nappe : 0 à 10 m

Battement de l'aquifère : 5 m

Epaisseur de l'aquifère : ?

Type d' aquifère : T = 0,05 m^/sGradient hydraulique 3°/ooDébit de la nappe 0,015 m3/s par 100 m de frontde nappe.

Substratum : ?

Position de la nappe par rapport à la décharge : Le fond semble toujours en eaumais on ne connait ni la pluviométrie , ni les déversements, ni les remontées de lanappe phréatique. En période de hautes eaux, on est sur du lessivage de labase des déchets par la nappe elle-même très vulnérable aux pollutions de surface.

Vulnérabilité de l'eau :

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ?

La société ORSAN a chargé le B.R.G.M., au début 1980, de procéder à la recherched'eau souterraine en bordure de la vallée de l'Ingon, sur la commune de Rouy leGrand. Le puits une fois fait, il s'est avéré que la qualité chimique de l'eauétait très médiocre, après 46 h de pompage :

- couleur verdâtre persistante- flinéralisation anormalement élevée en éléments azotés, en chlorure,

en sodium, en potassium et magnésium.

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- 38 -

o

Le pompage de 96 h à 226 m /h a provoqué un rayon d'influence fictif de 250à 300 m. Le forage pour cette raison fut abandonné. Ensuite la société ORSAN

a demandé au B.R.G.M. de rechercher les origines de cette pollution et d'expliquerle processus hydrodynamique.

Sur les 5 sites potentiellement polluants (1 - Marais-Canal, 2 - Décharge communale-décharge ORSAN, 3 - Bassin d'infiltration des eaux pluviales, 4 - Entrepôtd'engrais, 5 - Usine ORSAN} c'est le site n° 2 qui fut retenu comme causeprincipale de la pollution de la nappe ; les eaux de la nappe sont antérieuresà 1950, car elles contiennent peu de tritium.

Il y a analogie entre les éléments chimiques trouvés dans l'eau de la nappeet celle de la décharge communale avec les produits déversés par ORSAN avectoutefois une différence au niveau des phosphates et sulfates. Les phosphatesétant peu solubles et les sulfates se trouvant peut être à l'état de sulfuredans la décharge.

Ce serait en période de hautes eaux, lorsque la nappe imbibe la base des déchets,que la pollution a lieu, par dilution chimique d'une partie des produits solublesqui cheminent alors selon le sens d'écoulement.

PROGRAMME ET NATURE DES TRAVAUX A ENTREPRENDRE OU A POURSUIVRE

Il faut s'assurer de la liaison souterraine. Pour cela, il est nécessairede réaliser des piézomètres intermédiaires, complétés d'une expérience detraçage et d'analyses complémentaires sur l'eau de la nappe sous la décharge,dans le forage et entre ces deux points.

Montant des travaux : Coût approximatif 70.000 à 80.000 F.

BIBLIOGRAPHIE

CAOUS - COMON Rapport BRGM 78 SGN 453 PND

pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.

CAUDRON [M.} Note PIC 80/186Société ORSAN à Nesle CSomme]

Note techniqueRecherche des causes d'une pollution décelée dans la nappede la craie à Rouy le Grand [Somme].

ANNEXES

- Situation générale du site

- Tableau des captages avoisinant

- Carte des prélèvements souterrains

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Le pompage de 96 h à 226 m /h a provoqué un rayon d'influence fictif de 250à 300 m. Le forage pour cette raison fut abandonné. Ensuite la société ORSAN

a demandé au B.R.G.M. de rechercher les origines de cette pollution et d'expliquerle processus hydrodynamique.

Sur les 5 sites potentiellement polluants (1 - Marais-Canal, 2 - Décharge communale-décharge ORSAN, 3 - Bassin d'infiltration des eaux pluviales, 4 - Entrepôtd'engrais, 5 - Usine ORSAN} c'est le site n° 2 qui fut retenu comme causeprincipale de la pollution de la nappe ; les eaux de la nappe sont antérieuresà 1950, car elles contiennent peu de tritium.

Il y a analogie entre les éléments chimiques trouvés dans l'eau de la nappeet celle de la décharge communale avec les produits déversés par ORSAN avectoutefois une différence au niveau des phosphates et sulfates. Les phosphatesétant peu solubles et les sulfates se trouvant peut être à l'état de sulfuredans la décharge.

Ce serait en période de hautes eaux, lorsque la nappe imbibe la base des déchets,que la pollution a lieu, par dilution chimique d'une partie des produits solublesqui cheminent alors selon le sens d'écoulement.

PROGRAMME ET NATURE DES TRAVAUX A ENTREPRENDRE OU A POURSUIVRE

Il faut s'assurer de la liaison souterraine. Pour cela, il est nécessairede réaliser des piézomètres intermédiaires, complétés d'une expérience detraçage et d'analyses complémentaires sur l'eau de la nappe sous la décharge,dans le forage et entre ces deux points.

Montant des travaux : Coût approximatif 70.000 à 80.000 F.

BIBLIOGRAPHIE

CAOUS - COMON Rapport BRGM 78 SGN 453 PND

pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.

CAUDRON [M.} Note PIC 80/186Société ORSAN à Nesle CSomme]

Note techniqueRecherche des causes d'une pollution décelée dans la nappede la craie à Rouy le Grand [Somme].

ANNEXES

- Situation générale du site

- Tableau des captages avoisinant

- Carte des prélèvements souterrains

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CARACTERISTIQUES TECHNIQUES ET HYDROGEOLOGIQUE S DES CAPTAGES DU DEPARTEMENT DE LA SOMMe

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ORGANISATION DES RÉSEAUX D'ADDUCTION D'EAU POTABLE

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- 42 -

REGION PAVS VE LOIRE

Ve^oKtement : SanXke

Lieu- dit : Le¿ Etang¿

Coondonnée LAMBERT

contact : LIIIASSET SGR/PL

Commune. : SPAV-ARNAGE

Vole d'accè.i> ; N.23

N° 6

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DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Anciennes gravières abandonnées

Distance de l'habitation la plus proche : 250 m

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge :

Existe-t-il un captage A. E.P. : NON

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - Décharge :

BOO m de la Sarthe

OUI

Superficie : Répartition anarchique dansde nombreuses gravièresabandonnées .

DECHETS

Volume total : très important

Nature des déchets Huiles de vidangeBoues diversesVidanges d 'excrétaOrdures ménagères

Provenance des déchets : Zone industrielle du MansCommunes environnantes

Production annuelle : Incontrôlable Volume déjà stocké : difficilementestimable.

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant : Seule la décharge communale est autorisée [à tort semble-t-il ? ])

pour stocker des déchets industriels divers. Mais des dépôtsclandestins semblent continuer à se faire un peu partout.

Date de saturation estimée :

Type de décharge : totalement incontrôlée

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Tous les secteurs sont à réaménagerentièrement.

- 42 -

REGION PAVS VE LOIRE

Ve^oKtement : SanXke

Lieu- dit : Le¿ Etang¿

Coondonnée LAMBERT

contact : LIIIASSET SGR/PL

Commune. : SPAV-ARNAGE

Vole d'accè.i> ; N.23

N° 6

X

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Anciennes gravières abandonnées

Distance de l'habitation la plus proche : 250 m

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge :

Existe-t-il un captage A. E.P. : NON

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - Décharge :

BOO m de la Sarthe

OUI

Superficie : Répartition anarchique dansde nombreuses gravièresabandonnées .

DECHETS

Volume total : très important

Nature des déchets Huiles de vidangeBoues diversesVidanges d 'excrétaOrdures ménagères

Provenance des déchets : Zone industrielle du MansCommunes environnantes

Production annuelle : Incontrôlable Volume déjà stocké : difficilementestimable.

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant : Seule la décharge communale est autorisée [à tort semble-t-il ? ])

pour stocker des déchets industriels divers. Mais des dépôtsclandestins semblent continuer à se faire un peu partout.

Date de saturation estimée :

Type de décharge : totalement incontrôlée

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Tous les secteurs sont à réaménagerentièrement.

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- 43 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions de la Sarthe

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et Graviers

Existence d'une nappe aquifère : OUI

Sens d'écoulement : Drainée par la Sarthe

Profondeur de la nappe : très faible

Battement de l'aquifère : /

Epaisseur de l'aquifère : /

Type d'aquifère : Libres - Alluvions très perméables

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : subaff leurante

Vulnérabilité de l'eau : très vulnérable aux pollutions de surface

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Tous les dépôts industriels devraientêtre interdits dans ces alluvions très perméables de la Sarthe. Quant aux dépôtsd'ordures ménagères, ils n'ont pas lieu d'être puisqu'il existe au Mans uneusine d'incinération. Aucune pollution n'a toutefois été décelée.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun réseau de surveillance n'a étéinstallé auprès de ces différentes gravières abandonnées. Toutefois, on notel'existence de 2 puits à Arnage mis en oeuvre par l'usine RENAULT et ayantpour coordonnées 439 , 326 profondeur de B m.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : Réalisationd'au moins 5 piézomètres de 10 m dans les alluvions et disposés en avalhydraulique.Analyses des sols sous-jacents aux déchets.Dans le cas où les sols sont fortement pollués, analyse des eaux de la nappe.

Montant des travaux : Aux environs de 50.000 F.

BIBLIOGRAPHIE :

LIMASSET BP 78/35Recensement des zones de dépôts portant atteinte à l'environnement.

- 43 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions de la Sarthe

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et Graviers

Existence d'une nappe aquifère : OUI

Sens d'écoulement : Drainée par la Sarthe

Profondeur de la nappe : très faible

Battement de l'aquifère : /

Epaisseur de l'aquifère : /

Type d'aquifère : Libres - Alluvions très perméables

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : subaff leurante

Vulnérabilité de l'eau : très vulnérable aux pollutions de surface

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Tous les dépôts industriels devraientêtre interdits dans ces alluvions très perméables de la Sarthe. Quant aux dépôtsd'ordures ménagères, ils n'ont pas lieu d'être puisqu'il existe au Mans uneusine d'incinération. Aucune pollution n'a toutefois été décelée.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun réseau de surveillance n'a étéinstallé auprès de ces différentes gravières abandonnées. Toutefois, on notel'existence de 2 puits à Arnage mis en oeuvre par l'usine RENAULT et ayantpour coordonnées 439 , 326 profondeur de B m.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : Réalisationd'au moins 5 piézomètres de 10 m dans les alluvions et disposés en avalhydraulique.Analyses des sols sous-jacents aux déchets.Dans le cas où les sols sont fortement pollués, analyse des eaux de la nappe.

Montant des travaux : Aux environs de 50.000 F.

BIBLIOGRAPHIE :

LIMASSET BP 78/35Recensement des zones de dépôts portant atteinte à l'environnement.

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- ^^ - N° 7

REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PLVEMARQUE VII /Nantes

Vé^artement : Santhe C2'!?!!'¿^?r ' Manoltti ¿e^ Bnautti

Lleu_dlt ; ^2-i^-4[^Ç^é. '

Coordonnées LAMBERT xy

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : B fossés creusés dans le sol

Distance de l'habitation la plus proche : un peu à l'écart de la route à côtéde l'usine.

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage AEP : OUI dans le bourg de Marolles

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - Décharge :

Superficie : Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Boues, contenant des sels de métaux lourds toxiquestels que les sels de chrome.

Provenance des déchets : Usine de la Société SAREL

Production annuelle : ^ Volume déjà stocké :

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : Société SAREL

Date de saturation estimée :

Type de décharge : Déversement dans des fossés non protégés par des films étanches.

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés :

- ^^ - N° 7

REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PLVEMARQUE VII /Nantes

Vé^artement : Santhe C2'!?!!'¿^?r ' Manoltti ¿e^ Bnautti

Lleu_dlt ; ^2-i^-4[^Ç^é. '

Coordonnées LAMBERT xy

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : B fossés creusés dans le sol

Distance de l'habitation la plus proche : un peu à l'écart de la route à côtéde l'usine.

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage AEP : OUI dans le bourg de Marolles

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - Décharge :

Superficie : Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Boues, contenant des sels de métaux lourds toxiquestels que les sels de chrome.

Provenance des déchets : Usine de la Société SAREL

Production annuelle : ^ Volume déjà stocké :

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : Société SAREL

Date de saturation estimée :

Type de décharge : Déversement dans des fossés non protégés par des films étanches.

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés :

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45 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Oxfordien : Marnes a briques et calcaire tendre

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur des "Marnes à Pernes" et descalcaires tendres exploités prèsde Marolles.

Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance

Sens d ' écoulement

Profondeur de la nappe

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère

Substratum

de faible profondeur

Position de la nappe par rapport à la décharge :

Vulnérabilité de l'eau : Importante

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? OUI, pollution concomittante des puitspar des sels de chrome.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun.Existence à Marolles les Braults de 2 puits mis en place par le Génie Rural duMans et ayant pour coordonnées :

450,45 - 63,65 profondeur 185 m

450 - 63 " 185 m

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La non étanchéîté des fosses, la perméabilité localement possible du sous-solla toxicité des boues : ces 3 éléments font que ce stockage doit être revu enpriorité, et qu'une connaissance de l'état actuel de la pollution est nécessaire.Pour cela, il faudra :

. l'implantation de 2 piézomètres minimum de 30 de profondeur

. analyses des sols ainsi que des eaux souterraines.

Montant des travaux : non estimé

BILBIOGRAPHIE

M. LIMASSET Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementpour l'ANRED Juillet 1978BP 78/35

45 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Oxfordien : Marnes a briques et calcaire tendre

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sur des "Marnes à Pernes" et descalcaires tendres exploités prèsde Marolles.

Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance

Sens d ' écoulement

Profondeur de la nappe

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère

Substratum

de faible profondeur

Position de la nappe par rapport à la décharge :

Vulnérabilité de l'eau : Importante

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? OUI, pollution concomittante des puitspar des sels de chrome.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun.Existence à Marolles les Braults de 2 puits mis en place par le Génie Rural duMans et ayant pour coordonnées :

450,45 - 63,65 profondeur 185 m

450 - 63 " 185 m

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La non étanchéîté des fosses, la perméabilité localement possible du sous-solla toxicité des boues : ces 3 éléments font que ce stockage doit être revu enpriorité, et qu'une connaissance de l'état actuel de la pollution est nécessaire.Pour cela, il faudra :

. l'implantation de 2 piézomètres minimum de 30 de profondeur

. analyses des sols ainsi que des eaux souterraines.

Montant des travaux : non estimé

BILBIOGRAPHIE

M. LIMASSET Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementpour l'ANRED Juillet 1978BP 78/35

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- 46 - N° 8

REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PL

VEMARQUE VII /NantesVepartment ; Sarthe Cormune. ; champagne

\Á^Z'^ à 500 m du cimetière ^°î:^.4'.?rÇ:^lé ' RN.23

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Petite excavation dans les alluvions de l'huisne.

Distance de l'habitation la plus proche : 500 m du village

Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m de l'huisne

Présence d'eau au fond de la décharge : OUI

Existe-t-il un captage A. E.P. : OUI

Possède-t-il un périmètre de protection : OUI

Distance captage - décharge : la rivière l'Huisne alimente en eau les 300.000 H.de la région du Mans [Station de l'Epau AEP à 8 km]

Superficie : Petit dépôt 1/4 ha Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères

Produits de vidangeMare d'hydrocarbures

Provenance des déchets : Divers

Production annuelle : Volume déjà stocké

CONDITION D ' EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant :

Date de saturation estimée : La fin de l'exploitation a eu lieu théoriquementau mois de juillet 1980.

Type de décharge : totalement incontrôlée

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Aurait dû déjà être faite.

- 46 - N° 8

REGION PAYS VE LOIRE Contact : MM. LIMASSET SGR/PL

VEMARQUE VII /NantesVepartment ; Sarthe Cormune. ; champagne

\Á^Z'^ à 500 m du cimetière ^°î:^.4'.?rÇ:^lé ' RN.23

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Petite excavation dans les alluvions de l'huisne.

Distance de l'habitation la plus proche : 500 m du village

Distance du cours d'eau le plus proche : 500 m de l'huisne

Présence d'eau au fond de la décharge : OUI

Existe-t-il un captage A. E.P. : OUI

Possède-t-il un périmètre de protection : OUI

Distance captage - décharge : la rivière l'Huisne alimente en eau les 300.000 H.de la région du Mans [Station de l'Epau AEP à 8 km]

Superficie : Petit dépôt 1/4 ha Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères

Produits de vidangeMare d'hydrocarbures

Provenance des déchets : Divers

Production annuelle : Volume déjà stocké

CONDITION D ' EXPLOITATION

Décharge sauvage : OUI

Exploitant :

Date de saturation estimée : La fin de l'exploitation a eu lieu théoriquementau mois de juillet 1980.

Type de décharge : totalement incontrôlée

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : Aurait dû déjà être faite.

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- 47 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions modernes

Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers - sables

Existence d'une nappe aquifère : OUI

Sens d ' écoulement

Profondeur de la nappe

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère

Substratum

Drainée par l'Huisne

Nulle

?

Libre, très perméable.

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? La qualité de l'eau de l'Huisne s'estconsidérablement dégradée depuis ces dernières années. La baignade estmaintenant interdite à Champagne car elle provoque des maladies de peau.

La pollution de la rivière n'est pas créée uniquement par cette décharge, toutle long de l'Huisne, dans d'anciennes carrières se trouvent des dépôtsd'origine diverse tout aussi dangereux, car totalement sauvages. Il existeégalement des stockage importants d'hydrocarbures CSHELL - ESSGK Le lessivagedes déchets par les eaux pluviales pollue-t-il la nappe ?

Y-a-t-il des pertes au niveau des stockages d'hydrocarbures ?

Réseau de surveillance déjà ip.<ít:allé : L'inexistence d'un réseau de surveillancene permet pas de répondre à ces questions.Il existe pourtant un puits à Champagne [LES AUVRIS) mis en place par l'associationpour la sauvegarde de l'Enfance dont les coordonnées sont : 450/25 - 336,65profondeur 10,10 m.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Le programme d'étude envisagé s'articule en 3 phases :

Phase 1 Reconnaissance de l'état actuelRéalisation de quelques sondages équipés en piézomètresAnalyses des terrains puis des eaux prélevéesPompage d'essai.

Phase 2 En cas de pollution : réalisation de piézomètres complémentairesPompage

Phase 3 Elaboration d'un plan de protection de l'Huisnecontre la pollution constatéeEn cas d'accident.

Montant des travaux : Non évalué

- 47 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions modernes

Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers - sables

Existence d'une nappe aquifère : OUI

Sens d ' écoulement

Profondeur de la nappe

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère

Substratum

Drainée par l'Huisne

Nulle

?

Libre, très perméable.

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? La qualité de l'eau de l'Huisne s'estconsidérablement dégradée depuis ces dernières années. La baignade estmaintenant interdite à Champagne car elle provoque des maladies de peau.

La pollution de la rivière n'est pas créée uniquement par cette décharge, toutle long de l'Huisne, dans d'anciennes carrières se trouvent des dépôtsd'origine diverse tout aussi dangereux, car totalement sauvages. Il existeégalement des stockage importants d'hydrocarbures CSHELL - ESSGK Le lessivagedes déchets par les eaux pluviales pollue-t-il la nappe ?

Y-a-t-il des pertes au niveau des stockages d'hydrocarbures ?

Réseau de surveillance déjà ip.<ít:allé : L'inexistence d'un réseau de surveillancene permet pas de répondre à ces questions.Il existe pourtant un puits à Champagne [LES AUVRIS) mis en place par l'associationpour la sauvegarde de l'Enfance dont les coordonnées sont : 450/25 - 336,65profondeur 10,10 m.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Le programme d'étude envisagé s'articule en 3 phases :

Phase 1 Reconnaissance de l'état actuelRéalisation de quelques sondages équipés en piézomètresAnalyses des terrains puis des eaux prélevéesPompage d'essai.

Phase 2 En cas de pollution : réalisation de piézomètres complémentairesPompage

Phase 3 Elaboration d'un plan de protection de l'Huisnecontre la pollution constatéeEn cas d'accident.

Montant des travaux : Non évalué

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- 48 -

BIBLIOGRAPHIE

M. LIMASSET Recensement de zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementPour l'ANRED Juillet 1976BP 78/35

- 48 -

BIBLIOGRAPHIE

M. LIMASSET Recensement de zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnementPour l'ANRED Juillet 1976BP 78/35

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- 49 -REGIOM BRETAGNE Contact : M. BOLLELI SGR/BRE

M. BAULAIM VII /Rennes'0é2anXme.Yít : lile et. ViLalne Ç?"?!!^!}?- ' St Grégoire

Lleu-ldlt : La Rablnandlere 1^2^§_^!^9lé ' V. 91

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne carrière

Distance de l'habitation la plus proche : 50 m [Etablissement pour enfants]

Distance du cours d'eau le plus proche : 1000 m

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage A.E.P. : qui - Station de pompage du Syndicat Intercommunalde Rennes/Nord.

Possède-t-il un périmètre de protection : OUI

Distance captage - décharge : 1 km au Sud de la décharge

Superficie : = 1,2 ha Volume total : =100 000 m'^

DECHETS

Nature des déchets : Qoubb 83 % H20 j 10 % Amiante j 10 % sels saturés[l'analyse des eaux résiduaires de l'usine a donné des traces de CR B]Aucune poussière d'amiante pure ou d'amiante ciment, n'est déposée dans

, la décharge. Elles sont stockées depuis 1978 à l'usine de Rennes pour êtreréutilisées lorsque le projet de recirculation de ces poussières sera mis en place.Provenance des déchets :

Déchets de fabrication de fibrt)- ciment de l'usine d'Eternit.

Production annuelle : 15000 m'^ déchets solideá^ol"^ déjà stocké : 20.000 m^

15000 m^ boues1 50 m gravats

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : ETERNIT

Date de saturation estimée : 1962

Type de décharge : Déversement puis couverture par de la terre en période sèchepour éviter la dissémination des micro fibres d'Asbeste.

Récupération des lessivats : |^g|\|

Remise en état des sols utilisés : Prévue par une couverture de terre.

- 49 -REGIOM BRETAGNE Contact : M. BOLLELI SGR/BRE

M. BAULAIM VII /Rennes'0é2anXme.Yít : lile et. ViLalne Ç?"?!!^!}?- ' St Grégoire

Lleu-ldlt : La Rablnandlere 1^2^§_^!^9lé ' V. 91

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne carrière

Distance de l'habitation la plus proche : 50 m [Etablissement pour enfants]

Distance du cours d'eau le plus proche : 1000 m

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage A.E.P. : qui - Station de pompage du Syndicat Intercommunalde Rennes/Nord.

Possède-t-il un périmètre de protection : OUI

Distance captage - décharge : 1 km au Sud de la décharge

Superficie : = 1,2 ha Volume total : =100 000 m'^

DECHETS

Nature des déchets : Qoubb 83 % H20 j 10 % Amiante j 10 % sels saturés[l'analyse des eaux résiduaires de l'usine a donné des traces de CR B]Aucune poussière d'amiante pure ou d'amiante ciment, n'est déposée dans

, la décharge. Elles sont stockées depuis 1978 à l'usine de Rennes pour êtreréutilisées lorsque le projet de recirculation de ces poussières sera mis en place.Provenance des déchets :

Déchets de fabrication de fibrt)- ciment de l'usine d'Eternit.

Production annuelle : 15000 m'^ déchets solideá^ol"^ déjà stocké : 20.000 m^

15000 m^ boues1 50 m gravats

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON

Exploitant : ETERNIT

Date de saturation estimée : 1962

Type de décharge : Déversement puis couverture par de la terre en période sèchepour éviter la dissémination des micro fibres d'Asbeste.

Récupération des lessivats : |^g|\|

Remise en état des sols utilisés : Prévue par une couverture de terre.

Page 54: SÉLECTION DES DÉPOTS DE DÉCHETS …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-145-ENV.pdf · compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement. Dès 1978, la France s'occupait

- 50 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Carrière exploitant une butte témoin d'une ancienne terrassealluvionnaire de l'Ill. constituée par 4-B m sables graviers très argileux

0-1 m graviers grossiers

puis schistes brioveriens.

Terrain dans lequel se fait la décharge : Dans les schistes brioveriens compactsmais plus ou moins altérés.

Existence d'une nappe aquifère : Pas de nappe au droit du siteExistence d'une nappe dans le bassin IIIde St Grégoire, exploitée par le syndicatintercommunale de Rennes-Nord.

Sens d'écoulement :

Prof ondeur 'de la nappe : de 7 à 10 m sous 2 à B m de limons et 4 à 5 m

de faluns non saturés

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère

de 0 à 7 m

- 30 m

Libre T = 5. 10~^ m^/sS = 1 % coef. d'emmagasinnement

Substratum : Schistes brioveriens

Position de la nappe par rapport à la décharge : Latérale à près de 1000 m dela décharge.

Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible. Pollution possible de deux types

1°] pollution directe : le sous-dol de la décharge [alluvions et schistesbrioveriens] est suffisamment argileux pour arrêter et filtrer les micro-fibres d'asbeste, phénomène qui peut s'amplifier par colmatage.Toutefois, une circulation privélégiée a pu se créer à la faveur d'unesurpression dans une fissure des schistes, mettant ainsi en relation leseaux issues de la décharge et la nappe.

2°] pollution indirecte : en période sèche, le vent peut faire voler les parti¬cules d'asbeste.

Ces particules peuvent se déposer sur une zone du bassin III où la couverturelimoneuse n'existe pas ; celle-ci ne pourrait assurer son rôle protecteur de filtre

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? En 1978, la population s'est inquiétéede la présence de cette décharge et surtout de son contenant, la relationamiante-cancer ayant été faite par le corps médical.La Préfecture d'Ille et Vilaine a alors demandé au B.R.G.M. une étude concernantles caractéristiques hydrogéologiques des différents terrains en présence permet¬tant d'avancer que les risques de pollution directe des eaux souterraines exploi¬tées dans le bassin III de St Grégoire par les déchets déversés dans la carrièrede la Rabinardière, sont pratiquement nuls. Ainsi le contexte géologique dusite a été décrit précisément [cf. Etude de M. BOLLELI].

Une zone de suintement existe à 150 m du dépôt au niveau du contact galets/schistesBrioveriens.

- 50 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Carrière exploitant une butte témoin d'une ancienne terrassealluvionnaire de l'Ill. constituée par 4-B m sables graviers très argileux

0-1 m graviers grossiers

puis schistes brioveriens.

Terrain dans lequel se fait la décharge : Dans les schistes brioveriens compactsmais plus ou moins altérés.

Existence d'une nappe aquifère : Pas de nappe au droit du siteExistence d'une nappe dans le bassin IIIde St Grégoire, exploitée par le syndicatintercommunale de Rennes-Nord.

Sens d'écoulement :

Prof ondeur 'de la nappe : de 7 à 10 m sous 2 à B m de limons et 4 à 5 m

de faluns non saturés

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère

de 0 à 7 m

- 30 m

Libre T = 5. 10~^ m^/sS = 1 % coef. d'emmagasinnement

Substratum : Schistes brioveriens

Position de la nappe par rapport à la décharge : Latérale à près de 1000 m dela décharge.

Vulnérabilité de l'eau : Relativement faible. Pollution possible de deux types

1°] pollution directe : le sous-dol de la décharge [alluvions et schistesbrioveriens] est suffisamment argileux pour arrêter et filtrer les micro-fibres d'asbeste, phénomène qui peut s'amplifier par colmatage.Toutefois, une circulation privélégiée a pu se créer à la faveur d'unesurpression dans une fissure des schistes, mettant ainsi en relation leseaux issues de la décharge et la nappe.

2°] pollution indirecte : en période sèche, le vent peut faire voler les parti¬cules d'asbeste.

Ces particules peuvent se déposer sur une zone du bassin III où la couverturelimoneuse n'existe pas ; celle-ci ne pourrait assurer son rôle protecteur de filtre

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? En 1978, la population s'est inquiétéede la présence de cette décharge et surtout de son contenant, la relationamiante-cancer ayant été faite par le corps médical.La Préfecture d'Ille et Vilaine a alors demandé au B.R.G.M. une étude concernantles caractéristiques hydrogéologiques des différents terrains en présence permet¬tant d'avancer que les risques de pollution directe des eaux souterraines exploi¬tées dans le bassin III de St Grégoire par les déchets déversés dans la carrièrede la Rabinardière, sont pratiquement nuls. Ainsi le contexte géologique dusite a été décrit précisément [cf. Etude de M. BOLLELI].

Une zone de suintement existe à 150 m du dépôt au niveau du contact galets/schistesBrioveriens.

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Cinq prélèvements d'eau ont été effectués le 18 juillet 1978 dans la carrière :

on notait alors que les teneurs en métaux lourds lorsque celles-ci sontdécelables sont toujours très faibles et qu'une pollution chimique paraitexclue.De même les analyses de poussières d'amiante dans l'air ont révélé des teneursinférieures au seuil permis par la législation en vigueur.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun. Il existe toutefois un puitsà St Grégoire datant de 1958 et profond de 28 m.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

1°] Contrôle du colmatage du fond de la carrière et de la non migration defibres d'asbeste dans les eaux souterraines issus de la décharge.Pour cela : prélèvement d'eau tous les 3 mois dans une tranchée creuséedans la zone de suintements et analyses par un laboratoire spécialisédes microfibres.

- Etude d'orientation pour définir la méthode d'analyse le mieux adaptée parmicroscope électronique à transmission (MET] ou à balayage MEB... 15.000 F

- Mise au point de la méthode par essais sur 4 échantillons [2 pré¬levés en tranchée et 2 du captage de la ville] 10.000 F

La société ETERNIT pourrait se charger des travaux [puits ou tranchée] destinésà effectuer des prélèvements entre la décharge et le captage.Il faudrait également répondre aux questions suivantes :

2°] Existe-t-il réellement une relation hydraulique entre la "Mare" de ladécharge et la zone de suintements ?

3°] Quelle est l'évolution des sels métalliques [Cr, Pb, Zn, Cd, Cu, Mn ...]

Pour Monsieur BAULAIN [DU] la réponse à la question n° 2 est négative, et ilne croit pas à une évolution notable des sels dissouts.

BIBLIOGRAPHIE

BOLLELI [E.] Etude des risques de pollution dus à la décharge desRabinardières en St Grégoire (Ille et Vilaine]

BOLLELI [E.] A.N.R.E.D.Inventaire des zones de stockage présentant un caractèreparticulièrement nuisible.

ANNEXES

- Carte géologique du secteur des Rabinardières

- Profil schématique du Bassin de St Grégoire - SW-NE et N-S

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Cinq prélèvements d'eau ont été effectués le 18 juillet 1978 dans la carrière :

on notait alors que les teneurs en métaux lourds lorsque celles-ci sontdécelables sont toujours très faibles et qu'une pollution chimique paraitexclue.De même les analyses de poussières d'amiante dans l'air ont révélé des teneursinférieures au seuil permis par la législation en vigueur.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun. Il existe toutefois un puitsà St Grégoire datant de 1958 et profond de 28 m.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

1°] Contrôle du colmatage du fond de la carrière et de la non migration defibres d'asbeste dans les eaux souterraines issus de la décharge.Pour cela : prélèvement d'eau tous les 3 mois dans une tranchée creuséedans la zone de suintements et analyses par un laboratoire spécialisédes microfibres.

- Etude d'orientation pour définir la méthode d'analyse le mieux adaptée parmicroscope électronique à transmission (MET] ou à balayage MEB... 15.000 F

- Mise au point de la méthode par essais sur 4 échantillons [2 pré¬levés en tranchée et 2 du captage de la ville] 10.000 F

La société ETERNIT pourrait se charger des travaux [puits ou tranchée] destinésà effectuer des prélèvements entre la décharge et le captage.Il faudrait également répondre aux questions suivantes :

2°] Existe-t-il réellement une relation hydraulique entre la "Mare" de ladécharge et la zone de suintements ?

3°] Quelle est l'évolution des sels métalliques [Cr, Pb, Zn, Cd, Cu, Mn ...]

Pour Monsieur BAULAIN [DU] la réponse à la question n° 2 est négative, et ilne croit pas à une évolution notable des sels dissouts.

BIBLIOGRAPHIE

BOLLELI [E.] Etude des risques de pollution dus à la décharge desRabinardières en St Grégoire (Ille et Vilaine]

BOLLELI [E.] A.N.R.E.D.Inventaire des zones de stockage présentant un caractèreparticulièrement nuisible.

ANNEXES

- Carte géologique du secteur des Rabinardières

- Profil schématique du Bassin de St Grégoire - SW-NE et N-S

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REGION PAYS VE LOIRE- 55 - N° 10

Vé2anjtme.nt : Ve.ndée C?'!?uf^!}^ Lc¡. Bru{¡{,lére

Lleu-idlt : ^2^§_Çfl^9Çlé 3 Rue St Elol

Coordonnée LAMBERT xyz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site ; Bassin à fond et levées de terre dans l'enceintemême de l'usine.

Distance de l'habitation la plus proche : en pleine ville

Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m ! Moselle

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage A.E.P. : NDN

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - décharge :

Superficie : Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Huiles de coupe ou de trempe usagées.

Provenance des déchets : Usine produisant les différentes pièces mécaniques(couronnes de démarreur en particulier]Société DEFONTAINES

Production annuelle : Volume déjà stocké :

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : |\|oi\i

Exploitant : Société DEFONTAINES

Date de saturation estimée : Ce mode de dépôt n'a plus cours.

Type de décharge : Déversement dans des bassins

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : OUI, le bassin a été remblayé.

REGION PAYS VE LOIRE- 55 - N° 10

Vé2anjtme.nt : Ve.ndée C?'!?uf^!}^ Lc¡. Bru{¡{,lére

Lleu-idlt : ^2^§_Çfl^9Çlé 3 Rue St Elol

Coordonnée LAMBERT xyz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site ; Bassin à fond et levées de terre dans l'enceintemême de l'usine.

Distance de l'habitation la plus proche : en pleine ville

Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m ! Moselle

Présence d'eau au fond de la décharge : NON

Existe-t-il un captage A.E.P. : NDN

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - décharge :

Superficie : Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Huiles de coupe ou de trempe usagées.

Provenance des déchets : Usine produisant les différentes pièces mécaniques(couronnes de démarreur en particulier]Société DEFONTAINES

Production annuelle : Volume déjà stocké :

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : |\|oi\i

Exploitant : Société DEFONTAINES

Date de saturation estimée : Ce mode de dépôt n'a plus cours.

Type de décharge : Déversement dans des bassins

Récupération des lessivats : NON

Remise en état des sols utilisés : OUI, le bassin a été remblayé.

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SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique :

Terrain dans lequel se fait la décharge : Arènes granitiques en liaisonavec le ruisseau.

Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance en liaison avecla Mozelle

Drainée par la MozelleSens d'écoulement

Profondeur de la nappe

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère :

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? La pollution du ruisseau la Mozelle,par infiltration des effluents hydrocarbures a été prouvée.Actuellement ces huiles sont stockées dans des citernes à fuel des¬affectées et confiées pour traitement à l'entreprise S.K.F. [Fontenoy-le-Comte Vendée] .

Toutefois, la résorption du dépôt existant, ne s'est pas faite dans debonnes conditions, puisque le bassin a apparemment été remblayé sansqu'on ait pris la précaution de retirer intégralement les huiles présentes.

Réseau de surveillance déjà installé : Inexistant

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : L'industrieldevra procéder à un curage complet de sa fosse. Etude possible de la migrationdes effluents d'hydrocarbures dans des arènes granitiques.

Montant des travaux : non estimé

BIBLIOGRAPHIE

n. LinASSET B.P. 78/35A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.

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SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique :

Terrain dans lequel se fait la décharge : Arènes granitiques en liaisonavec le ruisseau.

Existence d'une nappe aquifère : OUI, de faible importance en liaison avecla Mozelle

Drainée par la MozelleSens d'écoulement

Profondeur de la nappe

Battement de l'aquifère

Epaisseur de l'aquifère

Type d'aquifère :

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? La pollution du ruisseau la Mozelle,par infiltration des effluents hydrocarbures a été prouvée.Actuellement ces huiles sont stockées dans des citernes à fuel des¬affectées et confiées pour traitement à l'entreprise S.K.F. [Fontenoy-le-Comte Vendée] .

Toutefois, la résorption du dépôt existant, ne s'est pas faite dans debonnes conditions, puisque le bassin a apparemment été remblayé sansqu'on ait pris la précaution de retirer intégralement les huiles présentes.

Réseau de surveillance déjà installé : Inexistant

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : L'industrieldevra procéder à un curage complet de sa fosse. Etude possible de la migrationdes effluents d'hydrocarbures dans des arènes granitiques.

Montant des travaux : non estimé

BIBLIOGRAPHIE

n. LinASSET B.P. 78/35A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement.

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N° 11- 57 -

REGIOM ALSACE Contact : GRANVAROWSKI

Pépa^çmeiii ; Bas -Rhin C^íü^ííe VoríÁsheÁjn

Lleixidlt : MoZsheÁm ^.í'LiAl^'r^ ' RN.392

Coordonnée LAMBERT xyz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : G ravi ère -sablière

Distance de l'habitation la plus proche : 180 m

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge : QUI dans la gravière encore exploitéeen aval.

Existe-t-il un captage A.E.P. : NON

Possède-t-il un périmètre de protection : NON

Distance captage - décharge :

Superficie : 3,B ha Volume total : 35D.OOD m^

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets industriels et commerciauxassimilables aux résidus urbains, boues de station d'épuration de brasserie,déchets industriels divers [cendres volantes ...]

Provenance des déchets : Communes des environs [37.000 habitants]

Brasserie Kronenbourg [boues et déchets de verre], casernes, industries dela vallée de la Bruche.

Production annuelle : 11.000 t résidus urbainS^olume déjà stocké : 250.000 m^10.000 t déchets industriels divers16.000 t boues stations d'épuration

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON. Mais dans la gravière voisine s'est créée une déchargesauvage importante.

Exploitant : Entreprise privée Société MULTI SERVICES depuis 1963

Date de saturation estimée : 1980

Type de décharge : Compactée contrôlée - Déversement permanent 6 jours/semaine

Récupération des lessivats : OUI dans un point bas spécialement aménagé maispas assez regroupé : stagnation formant un étana oestilentiel et permettant desdes infiltrations vers l'aval.

N° 11- 57 -

REGIOM ALSACE Contact : GRANVAROWSKI

Pépa^çmeiii ; Bas -Rhin C^íü^ííe VoríÁsheÁjn

Lleixidlt : MoZsheÁm ^.í'LiAl^'r^ ' RN.392

Coordonnée LAMBERT xyz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : G ravi ère -sablière

Distance de l'habitation la plus proche : 180 m

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge : QUI dans la gravière encore exploitéeen aval.

Existe-t-il un captage A.E.P. : NON

Possède-t-il un périmètre de protection : NON

Distance captage - décharge :

Superficie : 3,B ha Volume total : 35D.OOD m^

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets industriels et commerciauxassimilables aux résidus urbains, boues de station d'épuration de brasserie,déchets industriels divers [cendres volantes ...]

Provenance des déchets : Communes des environs [37.000 habitants]

Brasserie Kronenbourg [boues et déchets de verre], casernes, industries dela vallée de la Bruche.

Production annuelle : 11.000 t résidus urbainS^olume déjà stocké : 250.000 m^10.000 t déchets industriels divers16.000 t boues stations d'épuration

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : NON. Mais dans la gravière voisine s'est créée une déchargesauvage importante.

Exploitant : Entreprise privée Société MULTI SERVICES depuis 1963

Date de saturation estimée : 1980

Type de décharge : Compactée contrôlée - Déversement permanent 6 jours/semaine

Récupération des lessivats : OUI dans un point bas spécialement aménagé maispas assez regroupé : stagnation formant un étana oestilentiel et permettant desdes infiltrations vers l'aval.

Page 62: SÉLECTION DES DÉPOTS DE DÉCHETS …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-145-ENV.pdf · compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement. Dès 1978, la France s'occupait

- 58 -

Remise en état des sols utilisés : Prévue quand le site sera rempli.

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Vallée fossile de la Bruche

Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions anciennes quaternaires

Existence d'une nappe aquifère : OUI

Sens d'écoulement : NW - SE

Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m

Battement de l'aquifère : 2 m

Epaisseur de l'aquifère : 20 m

Type d'aquifère : Libre

Substratum : Marnes du Keuper vraisemblablement.

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante

Vulnérabilité de l'eau : Nappe très vulnérable aux pollutions de surfaceà l'emplacement de la décharge.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ?

Dès 1974, des analyses mensuelles des eaux souterraines montrent unepollution importante. La minéralisation de la nappe en aval est 6 foissupérieure à celle de la nappe en amont. En 1978, les eaux sont particulièrementenrichies; K [xlO] Ma [x50] carbonates [XB] Li (x170] St [x10]. La sourcede cette pollution semble être les anciennes boues riches en divers élémentstoxiques contenues dans les agents de floculation.De plus l'exploitant accepte trop souvent des déchets non autorisés [cendresvolantes, huiles de vidanges, fûts ayant contenu des produits toxiques ...]La pollution ne semble pas dépasser 2700 m en aval-

Réseau de surveillance déjà installé :

1974 : 2 piézomètres à l'aval immédiat1 piézomètre à 80 m en amont servant de référence

1976 : 1 piézomètre supplémentaire installé dans la vallée de la Bruche.

- 58 -

Remise en état des sols utilisés : Prévue quand le site sera rempli.

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Vallée fossile de la Bruche

Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions anciennes quaternaires

Existence d'une nappe aquifère : OUI

Sens d'écoulement : NW - SE

Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m

Battement de l'aquifère : 2 m

Epaisseur de l'aquifère : 20 m

Type d'aquifère : Libre

Substratum : Marnes du Keuper vraisemblablement.

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaff leurante

Vulnérabilité de l'eau : Nappe très vulnérable aux pollutions de surfaceà l'emplacement de la décharge.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ?

Dès 1974, des analyses mensuelles des eaux souterraines montrent unepollution importante. La minéralisation de la nappe en aval est 6 foissupérieure à celle de la nappe en amont. En 1978, les eaux sont particulièrementenrichies; K [xlO] Ma [x50] carbonates [XB] Li (x170] St [x10]. La sourcede cette pollution semble être les anciennes boues riches en divers élémentstoxiques contenues dans les agents de floculation.De plus l'exploitant accepte trop souvent des déchets non autorisés [cendresvolantes, huiles de vidanges, fûts ayant contenu des produits toxiques ...]La pollution ne semble pas dépasser 2700 m en aval-

Réseau de surveillance déjà installé :

1974 : 2 piézomètres à l'aval immédiat1 piézomètre à 80 m en amont servant de référence

1976 : 1 piézomètre supplémentaire installé dans la vallée de la Bruche.

Page 63: SÉLECTION DES DÉPOTS DE DÉCHETS …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-145-ENV.pdf · compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement. Dès 1978, la France s'occupait

- 59 -

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

L'extension de la décharge n'est envisageable par le Conseil départementald'hygiène que dans le cas d'un aménagement préalable du terrain.- Remblaiement et mise en place de drains- Etanchéïfication par films plastiques du fond de la décharge.

Seule la partie inférieure de 1 'Aquifère de bonne qualité chimique, peut encoreêtre exploitée pour l'alimentation des communes et des usines locales[Kronenbourg] .

Il faudrait également évaluer plus précisément l'extension de la pollution.

Montant des Travaux : pas de devis.

BIBLIOGRAPHIE

B.R.G.M. Note 7B/SGAL du 29.12.75Note concernant la pollution à l'aval de la déchargede Dorlisheim.

REUSSNER [Ch.]

REÜSSNER [Ch.]

DAESSLE [M.]

GRANDAROWSKI [G.]

GRANDAROWSKI [G.]

Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement en Alsace 20.7.78

77 SGN 684 ALSNote concernant la pollution à l'aval de la déchargeDorlisheim 3/2/77

79 SGN 323 ALSSté MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde Dorlisheim.

79 SGN 702 ALSBrasserie KronenbourgExtension de l'unité K2 à ObernaiEtude d'impact du projet sur la nappe alluviale 19/11/79

80 SGN 487 ALSBrasserie KronenbourgContrôle de la qualité chimique de l'eau et piézomètredu secteur alluvial d 'Obernai en 1979 4/7/80

B.R.G.M. 80 SGN 221 ALSSoc. MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde la décharge de Dorlisheim.

N.B. Il existe de nombreux rapports SGAL sur l'évolution de la piézométrieet la qualité des eaux.Réseau de surveillance important pour toute la région.Contrôle sérieux grâce à un cofinancement AFEiRM et sociétés privéestype KRONENBOURG et MULTI SERVICE.

- 59 -

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

L'extension de la décharge n'est envisageable par le Conseil départementald'hygiène que dans le cas d'un aménagement préalable du terrain.- Remblaiement et mise en place de drains- Etanchéïfication par films plastiques du fond de la décharge.

Seule la partie inférieure de 1 'Aquifère de bonne qualité chimique, peut encoreêtre exploitée pour l'alimentation des communes et des usines locales[Kronenbourg] .

Il faudrait également évaluer plus précisément l'extension de la pollution.

Montant des Travaux : pas de devis.

BIBLIOGRAPHIE

B.R.G.M. Note 7B/SGAL du 29.12.75Note concernant la pollution à l'aval de la déchargede Dorlisheim.

REUSSNER [Ch.]

REÜSSNER [Ch.]

DAESSLE [M.]

GRANDAROWSKI [G.]

GRANDAROWSKI [G.]

Pour l'A.N.R.E.D.Recensement des zones d'accumulation de déchets portantatteinte à l'environnement en Alsace 20.7.78

77 SGN 684 ALSNote concernant la pollution à l'aval de la déchargeDorlisheim 3/2/77

79 SGN 323 ALSSté MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde Dorlisheim.

79 SGN 702 ALSBrasserie KronenbourgExtension de l'unité K2 à ObernaiEtude d'impact du projet sur la nappe alluviale 19/11/79

80 SGN 487 ALSBrasserie KronenbourgContrôle de la qualité chimique de l'eau et piézomètredu secteur alluvial d 'Obernai en 1979 4/7/80

B.R.G.M. 80 SGN 221 ALSSoc. MULTI SERVICE - Brasserie KronenbourgContrôle de la qualité des eaux de la nappe à l'avalde la décharge de Dorlisheim.

N.B. Il existe de nombreux rapports SGAL sur l'évolution de la piézométrieet la qualité des eaux.Réseau de surveillance important pour toute la région.Contrôle sérieux grâce à un cofinancement AFEiRM et sociétés privéestype KRONENBOURG et MULTI SERVICE.

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- 60 - ^,o ^2REGION ALSACE

QontQrit : GRAMPAROWS/CI

¡z-L^fiZ^ ' Brumath S:f2i-§_^!^^9lé CV 223Vlgue des hautes eaux

Coordonnée LAMBERT x ^^ '^^'^yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancien Marécage (Bras mort du Rhin]

Distance de l'habitation la plus proche : 1 km

Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m

Présence d'eau au fond de la décharge : oui

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui

Possêde-t-il un périmètre de protection : non

Distance captage - décharge : 2 km au Nord

Superficie : 1 , 5 ha Volvane total : 40.000 m^

DECHETS

Nature des déchets : oé^hets résultant de la fabrication du Latex et ratés defabrication, se présentant sous forme de boues pelletables.

Provenance des déchets : usine Polysar fabriquant de caoutchouc synthétique à

partir de monomères . Les eaux usées sont traitées à la station d'épurationet les boues pressées.

Production annuelle : 4000 j Volume déjà stocké : 20.OOO m3

jusqu'en Juillet 1977

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : pQp

Exploitant : Société Polysar

Date de saturation estimée : Fermée depuis Juillet 1977

Type de décharge : Compactée

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés : oui par de la terre végétale

- 60 - ^,o ^2REGION ALSACE

QontQrit : GRAMPAROWS/CI

¡z-L^fiZ^ ' Brumath S:f2i-§_^!^^9lé CV 223Vlgue des hautes eaux

Coordonnée LAMBERT x ^^ '^^'^yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancien Marécage (Bras mort du Rhin]

Distance de l'habitation la plus proche : 1 km

Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m

Présence d'eau au fond de la décharge : oui

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui

Possêde-t-il un périmètre de protection : non

Distance captage - décharge : 2 km au Nord

Superficie : 1 , 5 ha Volvane total : 40.000 m^

DECHETS

Nature des déchets : oé^hets résultant de la fabrication du Latex et ratés defabrication, se présentant sous forme de boues pelletables.

Provenance des déchets : usine Polysar fabriquant de caoutchouc synthétique à

partir de monomères . Les eaux usées sont traitées à la station d'épurationet les boues pressées.

Production annuelle : 4000 j Volume déjà stocké : 20.OOO m3

jusqu'en Juillet 1977

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : pQp

Exploitant : Société Polysar

Date de saturation estimée : Fermée depuis Juillet 1977

Type de décharge : Compactée

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés : oui par de la terre végétale

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- 61 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Plaine alluviale Rhénane

Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions sablo-graveleuses quaternaires

Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale Rhénane

Sens d'écoulement : Localement NORD

Profondeur de la nappe : 0 à 1 m

Battement de l'aquifère : 40 cm

Epaisseur de l'aquifère : 60 m

Type d'aquifère : Libre

Substratum : Marnes de l'Oligocène

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante

Vulnérabilité de l'eau : nappe très vulnérable aux pollutions de surface

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Oui à l'aval pour les eaux souterraines,ainsi que certains bras d'eau alimentés par la nappe phréatique.- Augmentation de la DCO pour les eaux souterraines.- Présence d'écumes, et de produits style Latex en surface, attribuables à

des produits tensio-actifs.- Odeur chimique de certaines résurgences de la nappe.

En 1977, on note la pollutiondu puits de Mr Neth à Brumath, situé à l'aval dela décharge d'ordure ménagère : (15 à 27,5 mg/1 de Nitrates ; apparition denitrates d'Ammonium, pollution microbienne, teneur élevée de Zn, Fe etautres métaux] .

Réseau de surveillance déjà installé

En 1973 : 2 piézo installés à l'aval, puis changement de direction de l'écoule¬ment à la suite de travaux d'aménagement hydraulique.

En 1975 : 6 piézo implantés entre la décharge et le captage AEP de la communedistant d'un peu plus de 2 km au Nord.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

L'Endiguement du Rhin en amont de la chute de Gambsheim provoque un gonflementpermanent de la nappe dans le coude du Rhin au niveau de la Wantzenau. De cefait les différentes pollutions de surface, se dirigent plus à l'intérieur dela nappe, où se situent les captages AEP.

En 1977, des tests des différents aménagements sur modèle hydrodynamiqueétaient envisagés. Ces aménagements étaient de 2 sortes :

- 61 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Plaine alluviale Rhénane

Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions sablo-graveleuses quaternaires

Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale Rhénane

Sens d'écoulement : Localement NORD

Profondeur de la nappe : 0 à 1 m

Battement de l'aquifère : 40 cm

Epaisseur de l'aquifère : 60 m

Type d'aquifère : Libre

Substratum : Marnes de l'Oligocène

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante

Vulnérabilité de l'eau : nappe très vulnérable aux pollutions de surface

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Oui à l'aval pour les eaux souterraines,ainsi que certains bras d'eau alimentés par la nappe phréatique.- Augmentation de la DCO pour les eaux souterraines.- Présence d'écumes, et de produits style Latex en surface, attribuables à

des produits tensio-actifs.- Odeur chimique de certaines résurgences de la nappe.

En 1977, on note la pollutiondu puits de Mr Neth à Brumath, situé à l'aval dela décharge d'ordure ménagère : (15 à 27,5 mg/1 de Nitrates ; apparition denitrates d'Ammonium, pollution microbienne, teneur élevée de Zn, Fe etautres métaux] .

Réseau de surveillance déjà installé

En 1973 : 2 piézo installés à l'aval, puis changement de direction de l'écoule¬ment à la suite de travaux d'aménagement hydraulique.

En 1975 : 6 piézo implantés entre la décharge et le captage AEP de la communedistant d'un peu plus de 2 km au Nord.

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

L'Endiguement du Rhin en amont de la chute de Gambsheim provoque un gonflementpermanent de la nappe dans le coude du Rhin au niveau de la Wantzenau. De cefait les différentes pollutions de surface, se dirigent plus à l'intérieur dela nappe, où se situent les captages AEP.

En 1977, des tests des différents aménagements sur modèle hydrodynamiqueétaient envisagés. Ces aménagements étaient de 2 sortes :

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- 62 -

1°] Recalibrage du contre canal de drainage situé en pied de digue du Rhin,de façon à abaisser la piézométrie de la nappe et à empêcher les eauxde la nappe en bordure rhénane de se propager à l'intérieur de la plaine.

2°] Creusement d'un nouveau canal de drainage en pied de l'ancienne diguedes hautes eaux en aval des décharges et rejoignant un ancien brasvers l'Ile.

MONTANT

Le devis de cette étude s'élevait en 1977 à 80.000 F ; soit :

- complément de données (relevés piézo, nivellement de plans d'eau...] 10.000 F

- Tracés précis du maillage, mise en forme des données nécessairesau fonctionnement du modèle 20.000 F

- Etalonnage du modèle, avec reconstitution de l'état actuel del'aquifère 20.000 F

- Exploitation du modèle, simulation de 4 cas de figure (4 x 7500] 30.000 F

COMMENTAIRES

A la suite d'une convention entre la préfecture du Bas-Rhin et le SGAL, desanalyses complètes (routine + éléments traces] des eaux de la nappe ont étéfaites entre Août et Décembre 1980 en 5 points d'échantillonnage de l'eau.Cette étude s'élève à 25.700 F [TTC]Un rapport devrait paraître au début de l'Année 1981.

BIBLIOGRAPHIE

- REUSSNER [ch.] - BRGM

Rapport 77 SGN 667 ALSEtude des pollutions de la nappe phréatique et des cours d'eau dans laforêt Rhénane au niveau de la Wantzenau.Résumés des travaux réalisés, et résultats acquis de Juillet 1976 à

Septembre 1977.

- REUSSNER (ch.] - BRGM

Pour l'ANREDRecensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinte à l'environ¬nement en Alsace. 20.07.78.

- MUNCK [F.]

Assainissement de la nappe en bordure Rhénane au niveau de la Wantzenau. Testdes différents aménagements sur modèle hydrodynamique.Devis - Programme. 20.07.78. - cf annexe 1.

- RISSLER [J,]

Convention entre le SGAL et le département du Bas-Rhin sur le contrôle de laqualité des eaux de la nappe pPiréatique dans la forêt rhénane au niveau dela Wantzenau en 1980.

- 62 -

1°] Recalibrage du contre canal de drainage situé en pied de digue du Rhin,de façon à abaisser la piézométrie de la nappe et à empêcher les eauxde la nappe en bordure rhénane de se propager à l'intérieur de la plaine.

2°] Creusement d'un nouveau canal de drainage en pied de l'ancienne diguedes hautes eaux en aval des décharges et rejoignant un ancien brasvers l'Ile.

MONTANT

Le devis de cette étude s'élevait en 1977 à 80.000 F ; soit :

- complément de données (relevés piézo, nivellement de plans d'eau...] 10.000 F

- Tracés précis du maillage, mise en forme des données nécessairesau fonctionnement du modèle 20.000 F

- Etalonnage du modèle, avec reconstitution de l'état actuel del'aquifère 20.000 F

- Exploitation du modèle, simulation de 4 cas de figure (4 x 7500] 30.000 F

COMMENTAIRES

A la suite d'une convention entre la préfecture du Bas-Rhin et le SGAL, desanalyses complètes (routine + éléments traces] des eaux de la nappe ont étéfaites entre Août et Décembre 1980 en 5 points d'échantillonnage de l'eau.Cette étude s'élève à 25.700 F [TTC]Un rapport devrait paraître au début de l'Année 1981.

BIBLIOGRAPHIE

- REUSSNER [ch.] - BRGM

Rapport 77 SGN 667 ALSEtude des pollutions de la nappe phréatique et des cours d'eau dans laforêt Rhénane au niveau de la Wantzenau.Résumés des travaux réalisés, et résultats acquis de Juillet 1976 à

Septembre 1977.

- REUSSNER (ch.] - BRGM

Pour l'ANREDRecensement des zones d'accumulation de déchets portant atteinte à l'environ¬nement en Alsace. 20.07.78.

- MUNCK [F.]

Assainissement de la nappe en bordure Rhénane au niveau de la Wantzenau. Testdes différents aménagements sur modèle hydrodynamique.Devis - Programme. 20.07.78. - cf annexe 1.

- RISSLER [J,]

Convention entre le SGAL et le département du Bas-Rhin sur le contrôle de laqualité des eaux de la nappe pPiréatique dans la forêt rhénane au niveau dela Wantzenau en 1980.

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/ • \ ; /- s

N i e a e i.r o h r m aií"

Secteur de La WantzenauTest sur modele hydrodynamique

aménagements hydrauliques pourassainir la nappe.

Plan de situation1/25.000

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- 64 - . ^° ^3

REGION ALSACE Ç:2>}Î^Çr^ GRANVAROWSKI

Vepartment : Haat-Rhln Ç?^!f!î§ Wlntzenkeln{Ouest de Coùnar]

lA'ëi.Z.^ Ritzenthaten. 1^2^§_^!*99lé

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne gravière de 10 m de profondeur.

Distance de l'habitation la plus proche : 309 f^

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge : Décharge recouverte de terre

Existe-t-il un captage A.E.P. : pQp

Possède-t-il un périmètre de protection : ^q^

Distance captage - décharge :

Superficie : 1 ha Volume total : 100. qoo ^,3

DECHETS

Nature des déchets : 75 % HCH oC , 15 % HCH^ , 0.7 % HCH ^0,1 % HCH cT, 9.10 % autres produits

Provenance des déchets : Déchets de fabrication du Lindale [Pesticides]

Production annuelle : Volume déjà stocké : 700 T

déposées avant 1970

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage :

Exploitant : Certainement l'Usine fabriquant le Luidane

Date de saturation estimée : Fermée

Type de décharge : Déversement sans contrôle

Récupération des lessivats : Mon

Remise en état des sols utilisés : Recouvert de terre

- 64 - . ^° ^3

REGION ALSACE Ç:2>}Î^Çr^ GRANVAROWSKI

Vepartment : Haat-Rhln Ç?^!f!î§ Wlntzenkeln{Ouest de Coùnar]

lA'ëi.Z.^ Ritzenthaten. 1^2^§_^!*99lé

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne gravière de 10 m de profondeur.

Distance de l'habitation la plus proche : 309 f^

Distance du cours d'eau le plus proche :

Présence d'eau au fond de la décharge : Décharge recouverte de terre

Existe-t-il un captage A.E.P. : pQp

Possède-t-il un périmètre de protection : ^q^

Distance captage - décharge :

Superficie : 1 ha Volume total : 100. qoo ^,3

DECHETS

Nature des déchets : 75 % HCH oC , 15 % HCH^ , 0.7 % HCH ^0,1 % HCH cT, 9.10 % autres produits

Provenance des déchets : Déchets de fabrication du Lindale [Pesticides]

Production annuelle : Volume déjà stocké : 700 T

déposées avant 1970

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage :

Exploitant : Certainement l'Usine fabriquant le Luidane

Date de saturation estimée : Fermée

Type de décharge : Déversement sans contrôle

Récupération des lessivats : Mon

Remise en état des sols utilisés : Recouvert de terre

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- 65 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Cône alluvial ancien de la Fecht

Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions hétérogènes. Gros galets etsables parfois argileux, à éléments d'origine vosgienne Granite et Gneiss.

Existance d'une nappe aquifère : Oui

Sens d'écoulement : N.E.

Profondeur de la nappe : 15m / côté du sol

Battement de l'aquifère : 4 m

Epaisseur de l'aquifère : non connue

Type d'aquifère : Libre

Substratum : indéterminé

Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée sous la déchargevariant entre 1 à 5 m d'épaisseur.

Vulnérabilité de l'eau : Nappe vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ?

En 1970 : par suite de la dispersion par le vent des déchets, les récoltes descultures aux alentours étaient devenues inutilisables et dangereuses à laconsommation humaine et animale.

En 1972 : on relève les teneurs suivantes : 0,1 g/1 HCH o< et 0,2 g/1 HCH^(année sèche] teneur plus faible à 300 m à l'aval.Les teneurs dans la matière en suspension recueillies par pompage sont plus

importantes 1,93 ppm d'HCHoC à l'aval; 0,5 ppm d'HCHo¿ à 300 m en aval.

"Ce qui prouve qu'il y a bien eu migration des pesticides dans Iss eaux souterraineshors du dépôt". En période pluvieuse on peut s'attendre à un dépassement duseuil critique des teneurs dans l'eau.

Réseau de Surveillance déjà installé.

En septembre 1972 installation : 1 piézo (19 m] à l'aval immédiat de la Gravière1 piézo (19 m] à 300 m à l'aval en direction N.E.

Le 26.10.1972 et le 23.11.1972 : Analyses des pesticides dans l'eau confiées àl'IRCHA.

- 65 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Cône alluvial ancien de la Fecht

Terrain dans lequel se fait la décharge : Alluvions hétérogènes. Gros galets etsables parfois argileux, à éléments d'origine vosgienne Granite et Gneiss.

Existance d'une nappe aquifère : Oui

Sens d'écoulement : N.E.

Profondeur de la nappe : 15m / côté du sol

Battement de l'aquifère : 4 m

Epaisseur de l'aquifère : non connue

Type d'aquifère : Libre

Substratum : indéterminé

Position de la nappe par rapport à la décharge : Zone non saturée sous la déchargevariant entre 1 à 5 m d'épaisseur.

Vulnérabilité de l'eau : Nappe vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ?

En 1970 : par suite de la dispersion par le vent des déchets, les récoltes descultures aux alentours étaient devenues inutilisables et dangereuses à laconsommation humaine et animale.

En 1972 : on relève les teneurs suivantes : 0,1 g/1 HCH o< et 0,2 g/1 HCH^(année sèche] teneur plus faible à 300 m à l'aval.Les teneurs dans la matière en suspension recueillies par pompage sont plus

importantes 1,93 ppm d'HCHoC à l'aval; 0,5 ppm d'HCHo¿ à 300 m en aval.

"Ce qui prouve qu'il y a bien eu migration des pesticides dans Iss eaux souterraineshors du dépôt". En période pluvieuse on peut s'attendre à un dépassement duseuil critique des teneurs dans l'eau.

Réseau de Surveillance déjà installé.

En septembre 1972 installation : 1 piézo (19 m] à l'aval immédiat de la Gravière1 piézo (19 m] à 300 m à l'aval en direction N.E.

Le 26.10.1972 et le 23.11.1972 : Analyses des pesticides dans l'eau confiées àl'IRCHA.

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- 66 -

Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :

En 1979, la ville de Colmar se propose de remplacer le piézo à l'aval etd'y faire de nouvelles analyses afin d'évaluer la pollution y compris celleprovenant des gravières amont transformées en décharge d'O.M sans précautionsparticulières et s'il y a lieu d'éliminer ou de limiter la propagation de lapollution.

Montant des travaux : ' Non estimé

BIBLIOGRAPHIE

Extrait du rapport du 10.7.1973 SGALRecherche des éléments traces et des micropolluants.cf annexe 1 .

- 66 -

Programme et nature des travaux a entreprendre ou à poursuivre :

En 1979, la ville de Colmar se propose de remplacer le piézo à l'aval etd'y faire de nouvelles analyses afin d'évaluer la pollution y compris celleprovenant des gravières amont transformées en décharge d'O.M sans précautionsparticulières et s'il y a lieu d'éliminer ou de limiter la propagation de lapollution.

Montant des travaux : ' Non estimé

BIBLIOGRAPHIE

Extrait du rapport du 10.7.1973 SGALRecherche des éléments traces et des micropolluants.cf annexe 1 .

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RECHERCHE DES MICROPOLLUANTS

DëpSt d'HCH

Gravier« Ritzenthaierà

WINTZENUEIM

Piêzomètres de controle

Echelle J/2Ö.000ON

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REGION AQUITAINE " ^^ " Ço_ntaçt : CHAMAVOU N° 14

Vepartment ; lot zt Garonne 9?^!f!î§ FUMEL- MOWTAi^RAL

Lleu-dlt : Cadama& lf2^§_^I^Ç-9lé V 431

Coordonnée LAMBERT x 492,75y 244,50z 75 NGE

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne carrière de calcaires exploitée autrefois pourla fabrication des ciments. Cette carrière initialement en eau, a étéprogressivement comblée par les dépôts industriels.Distance de l'habitation la plus proche : 200 m

Distance du cours d'eau le plus proche : 150 m du Lot (rive gauche]

Présence d'eau au fond de la décharge : oui

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui

Possède-t-il un périmètre de protection : oui

Distance captage - décharge : à 1 km [Société de pompage de Montayral]

Superficie : 12 ha Volvnne total :

DECHETS

Nature des déchets : Crasses de hauts fourneaux (de désulfuration obtenues aprèsréduction de soufre de la fonte par adjonction de chaux Ca (0H]2].Boues de décantation (eau de lavage des gaz de hauts fourneaux par voie humide.contenant des teneurs de cyanures voisines de 0,2 à 0,3 mg/1].Déchets siliceux de fonderie (sables siliceux]. Boues de déchromation [1m3/an].Provenance des déchets : [nf analvses]Usine de FUMEL anaiysesj

Production annuelle : 8800 T/crasses Volume déjà stocké : 14 OOO T

1500 T/boues2500 T/Matériaux de démolition

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : non

Exploitant : Usine Pont à MoussonMise en service en 1965

Date de saturation estimée :

Type de décharge : Compactée. Les déchets sont transportés par camion depuisl'usine, déchargés puis compactés.Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation. On note la présencequasi-constante de bois sur le dépôt qui constitue un camouflage préservantl'environnement.

REGION AQUITAINE " ^^ " Ço_ntaçt : CHAMAVOU N° 14

Vepartment ; lot zt Garonne 9?^!f!î§ FUMEL- MOWTAi^RAL

Lleu-dlt : Cadama& lf2^§_^I^Ç-9lé V 431

Coordonnée LAMBERT x 492,75y 244,50z 75 NGE

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne carrière de calcaires exploitée autrefois pourla fabrication des ciments. Cette carrière initialement en eau, a étéprogressivement comblée par les dépôts industriels.Distance de l'habitation la plus proche : 200 m

Distance du cours d'eau le plus proche : 150 m du Lot (rive gauche]

Présence d'eau au fond de la décharge : oui

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui

Possède-t-il un périmètre de protection : oui

Distance captage - décharge : à 1 km [Société de pompage de Montayral]

Superficie : 12 ha Volvnne total :

DECHETS

Nature des déchets : Crasses de hauts fourneaux (de désulfuration obtenues aprèsréduction de soufre de la fonte par adjonction de chaux Ca (0H]2].Boues de décantation (eau de lavage des gaz de hauts fourneaux par voie humide.contenant des teneurs de cyanures voisines de 0,2 à 0,3 mg/1].Déchets siliceux de fonderie (sables siliceux]. Boues de déchromation [1m3/an].Provenance des déchets : [nf analvses]Usine de FUMEL anaiysesj

Production annuelle : 8800 T/crasses Volume déjà stocké : 14 OOO T

1500 T/boues2500 T/Matériaux de démolition

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : non

Exploitant : Usine Pont à MoussonMise en service en 1965

Date de saturation estimée :

Type de décharge : Compactée. Les déchets sont transportés par camion depuisl'usine, déchargés puis compactés.Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés : Suivant la législation. On note la présencequasi-constante de bois sur le dépôt qui constitue un camouflage préservantl'environnement.

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- 69 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Formations calcaires du Jurassique, surmontées par desalluvions récentes, meubles, non cimentées.

Terrain dans lequel se fait la décharge : Calcaire argileux blanchâtre ou gris-bleualternant avec quelque lits marneux : il s'agit du Kimméridgien épais d'environ50 m.

Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale essentiellement

Sens d'écoulement : SSW NNE nappe drainée par le Lot

Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m suivant l'époque

Battement de 1 ' aquifère : 2 m

Epaisseur de l'aquifère : assimilable à l'épaisseur des alluvions.

Type d'aquifère : Libre, bonnes caractéristiques hydrodynamiques

Substratum : les calcaires Kimméridgien constituent également un aquifèregénéral, mais de caractéristiques hydrodynamiques très médiocres.

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante.

Vulnérabilité de l'eau : Etant donné la faible granulométrie moyenne des déchets,leur degré de compaction est très élevé. Par suite le dépôt avec un coefficientde perméabilité faible devient un obstacle artificiel à l'écoulement naturelde la nappe vers le Lot.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? A la demande de la Société Pont à Mousson, leBRGM a effectué en 1977 une enquête géologique et hydrogéologique relative au sitede Cadamas Montayral.Des analyses ont été faites sur des échantillons d'eau prélevés en pied de talusde déchets à 0,5 m de profondeur. Il s'agit donc d'eau appartenant à la nappealluviale.Les analyses font ressortir : un PH très alcalin (supérieur à 12]

un résidu sec supérieur à 1 g/1la présence de sulfures 252 mg/1la présence de phénols 1,40 mg/1

Par contre aucune trace de cyanure n'a été repérée, cela est peut être dû à la fortealcalinité de l'eau (136 mg/1 d'ions OH"].Ces polluants aboutissent à plus ou moins long terme dans le Lot.

Réseau de Surveillance installé : Aucun piézomètre permettant des analysesrégulières de la nappe n'est installé, surtout en aval du dépôt entre le siteet le Lot.Il existe en amont du dépôt différents puits (Malpasset et Capdelbos, stationde pompage de Montayral] qui donnent des indications hydrodynamiques et hydro-chimiques de la nappe alluviale.

- 69 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Formations calcaires du Jurassique, surmontées par desalluvions récentes, meubles, non cimentées.

Terrain dans lequel se fait la décharge : Calcaire argileux blanchâtre ou gris-bleualternant avec quelque lits marneux : il s'agit du Kimméridgien épais d'environ50 m.

Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluviale essentiellement

Sens d'écoulement : SSW NNE nappe drainée par le Lot

Profondeur de la nappe : de 0 à 2 m suivant l'époque

Battement de 1 ' aquifère : 2 m

Epaisseur de l'aquifère : assimilable à l'épaisseur des alluvions.

Type d'aquifère : Libre, bonnes caractéristiques hydrodynamiques

Substratum : les calcaires Kimméridgien constituent également un aquifèregénéral, mais de caractéristiques hydrodynamiques très médiocres.

Position de la nappe par rapport à la décharge : Subaffleurante.

Vulnérabilité de l'eau : Etant donné la faible granulométrie moyenne des déchets,leur degré de compaction est très élevé. Par suite le dépôt avec un coefficientde perméabilité faible devient un obstacle artificiel à l'écoulement naturelde la nappe vers le Lot.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? A la demande de la Société Pont à Mousson, leBRGM a effectué en 1977 une enquête géologique et hydrogéologique relative au sitede Cadamas Montayral.Des analyses ont été faites sur des échantillons d'eau prélevés en pied de talusde déchets à 0,5 m de profondeur. Il s'agit donc d'eau appartenant à la nappealluviale.Les analyses font ressortir : un PH très alcalin (supérieur à 12]

un résidu sec supérieur à 1 g/1la présence de sulfures 252 mg/1la présence de phénols 1,40 mg/1

Par contre aucune trace de cyanure n'a été repérée, cela est peut être dû à la fortealcalinité de l'eau (136 mg/1 d'ions OH"].Ces polluants aboutissent à plus ou moins long terme dans le Lot.

Réseau de Surveillance installé : Aucun piézomètre permettant des analysesrégulières de la nappe n'est installé, surtout en aval du dépôt entre le siteet le Lot.Il existe en amont du dépôt différents puits (Malpasset et Capdelbos, stationde pompage de Montayral] qui donnent des indications hydrodynamiques et hydro-chimiques de la nappe alluviale.

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- 70 -

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Faire procéder à plusieurs analyses chimiques complémentaires de typeindustriel sur des échantillons d'eau en période d'étiage, au niveau del'exutoire de la source, et pour différentes sections du lot situées de part etd'autre de la décharge. Ces analyses devraient rechercher les éléments rencontrésdans l'eau de la décharge à des teneurs trop fortes afin d'évaluer l'augmentationéventuelle de ces teneurs pour les différentes sections considérées.

Il faudrait également déterminer les conditions de PH, engendrant unedéstabilisation des cyanures, qui théoriquement devraient être oxydés en totalitélors de la mise en décharge.

Montant des travaux : 30.000 F

BIBLIOGRAPHIE

- RUHARD (J.P.] Etude géologie et Hydrogéologique du site de la décharge industriellede l'usine Pont à Mousson de Fumel sur le territoire de la communede Montayral au lieu dit de Cadamas (47]Note BRGM 77 AQI 89

- TRUPIN (G.] ANRED 76 SGN 457 AQI Recensement des zones d'accumulation de déchetsportant atteintes à l'environnement.

ANNEXES

- Situation de la décharge de Cadamas

- Analyse des produits mis en décharge

- Schémas de la décharge

- Analyse chimique de la nappe libre de l'ancienne carrière de Cadmas

- 70 -

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Faire procéder à plusieurs analyses chimiques complémentaires de typeindustriel sur des échantillons d'eau en période d'étiage, au niveau del'exutoire de la source, et pour différentes sections du lot situées de part etd'autre de la décharge. Ces analyses devraient rechercher les éléments rencontrésdans l'eau de la décharge à des teneurs trop fortes afin d'évaluer l'augmentationéventuelle de ces teneurs pour les différentes sections considérées.

Il faudrait également déterminer les conditions de PH, engendrant unedéstabilisation des cyanures, qui théoriquement devraient être oxydés en totalitélors de la mise en décharge.

Montant des travaux : 30.000 F

BIBLIOGRAPHIE

- RUHARD (J.P.] Etude géologie et Hydrogéologique du site de la décharge industriellede l'usine Pont à Mousson de Fumel sur le territoire de la communede Montayral au lieu dit de Cadamas (47]Note BRGM 77 AQI 89

- TRUPIN (G.] ANRED 76 SGN 457 AQI Recensement des zones d'accumulation de déchetsportant atteintes à l'environnement.

ANNEXES

- Situation de la décharge de Cadamas

- Analyse des produits mis en décharge

- Schémas de la décharge

- Analyse chimique de la nappe libre de l'ancienne carrière de Cadmas

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- 71 -

SITUATION DE LA DECHARGE DE CADAMAS

(Extrait de la feuille FUÎEL 7-8 à 1/25 OOO

C3RGM 77 AQl

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72 -

RESULTATS V ANALYSE VE VEUX ECHAkTJLLONS VES PRÛÛUITS EN VECHARGE A CAWiVÎAS

E¿éniínt¿

dilinlques

; C

: S102

; Â.£203

FcO

; WftO

: CaÛ

; M50

s

' Crja¿¿is de diiul'Uticution[poids en %']

' Edi. 1 30/03

0,13U,50

0,60

10,60

0,10

65,50

traces

4,00

_ _ _ _ J

Ech. 2 14/04

! 0,2325,50

0,80

S, 10

0,15

62,60

traces

2,40

'. Boues de.

décantaiion

' {poids zn -6)

! 3i>,00

: 10,00

'. ",50! 15,00

! 0,20

2,20

: C,AO

0,50

QuantÁX.éi trampo^Xees de déckcti en 1976

- Crawles des Hauts Fourneaux y ccmprli cnasécs de début/^ufjmtion

- Boues de décanto..un {¿avage des gaz de Hauuti- Tounmaux)

- hiattrloRx de démoZlilon - tenAe ".

?oldi> -total

S SOO t

1 429 t

1 646 t

12 t75 t

72 -

RESULTATS V ANALYSE VE VEUX ECHAkTJLLONS VES PRÛÛUITS EN VECHARGE A CAWiVÎAS

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0,50

QuantÁX.éi trampo^Xees de déckcti en 1976

- Crawles des Hauts Fourneaux y ccmprli cnasécs de début/^ufjmtion

- Boues de décanto..un {¿avage des gaz de Hauuti- Tounmaux)

- hiattrloRx de démoZlilon - tenAe ".

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S SOO t

1 429 t

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12 t75 t

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jul3 Eq:»'o hi ::^ ¿ : >ít""«l\<

V

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CRO'OÍ.IIS SCHEMATIOUE VE LA VECHARGE VE CAVAMAS [47]

150 m environHala on

X 1 - 2 Points de prélèvements d'eau

pour anaíijóe chimique'Ordures ménagères

Acce¿ à. ¿a décharge

Prairie

frôTXO2

o

CRO'OÍ.IIS SCHEMATIOUE VE LA VECHARGE VE CAVAMAS [47]

150 m environHala on

X 1 - 2 Points de prélèvements d'eau

pour anaíijóe chimique'Ordures ménagères

Acce¿ à. ¿a décharge

Prairie

frôTXO2

o

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Vflli DE BORDEA,UX

Institut municipal dc recherches sur l'alimentationhumaine et animale

LABORATOIREMUNICIPAL

Açréé pat \* Utniilèr* d* l'AfficwhuflSirvic* d* l* («prcttivn d*» Irtudtl

àçrém par ! liinittèr* dt itnvifamMfnMit

Lab«ril*itt é* pttmiiiM c*t4g«ritgrtfi p<i ! M)fiitlèr« dt U %»nH

17.3.77

FR/Aii/J 4.O5Ô

ANALYSE COMPLETE D'EAU

TYPE INDUSTRIEL

GTr: PONJ A /.OUooONUsine de Funel 4750C FUKEL

ORIGINE DE L'EAU : 5au de la na-^-je libre de l'ancienne carri'^'re de Cada'-^as,prélevée en pied de talus des dpcliets re jetés en remblai, par la" ote i-ont àMous.s on de rurael, au oomt n" . coté aval dans le sens "3 'écouie-nent -^x Tm de1 ff'berge ex" è. - 0,50 m de prorondeur le T5 Avril 1 ;77 à 12 li ;?ar i:uable'jrR£.jJGuC V¿Z Ingénieur Laboratoire i-Hinâ:c-ÎT>fti

EXAMEN PHYSIQUE

sur eau brute- Température de l'eau - Température de l'air ,

- Turbidité en gouttes de masticeo_de^c¿s_süLce . . .

- Couleur en degrés oiandatds . .

- Odeur - Saveur- Matières en suspension

- Aspect et nature

- Extrait secfv>9>110° C - Résidii-atT^uge

fleres combustibles et volatiles .

£o»voir colmatant - pH électrométrique - Résistivité (ohms/cni2/cm) à 20°C

EXAMEN CHIMIQUE

sur eau telle quelle- Gaz carbonique libre en C02 - Oxygène dissous en O - Hydrogène sulfuré en H2S - Chlore libre en Cl"

sur eau telle quelle, sur eau filtréeMatières en sulution (minér.ilisation- Extrait scr à ,105-1 10° C.^ - Résidu au rouge à 500" C - Matières combustibles ct volatiles .

Déterminationsur place

liJ°714»

légère-^ientde sulfui

12,16

rag au litre

néantnéant

Jaunees

Déterminationau laboratoire

60

lérrer dépôt

mg au litre

267

mg au litre

1.450io5C

100

2. 016A. 123.77RUE DU PROFESSEUR VÉZES

'l'JOOù BORDEAUXTÉL.- i'9 17 71 -y'j 17 72 veuillez adresser toute la correspondance au directeur

Vflli DE BORDEA,UX

Institut municipal dc recherches sur l'alimentationhumaine et animale

LABORATOIREMUNICIPAL

Açréé pat \* Utniilèr* d* l'AfficwhuflSirvic* d* l* («prcttivn d*» Irtudtl

àçrém par ! liinittèr* dt itnvifamMfnMit

Lab«ril*itt é* pttmiiiM c*t4g«ritgrtfi p<i ! M)fiitlèr« dt U %»nH

17.3.77

FR/Aii/J 4.O5Ô

ANALYSE COMPLETE D'EAU

TYPE INDUSTRIEL

GTr: PONJ A /.OUooONUsine de Funel 4750C FUKEL

ORIGINE DE L'EAU : 5au de la na-^-je libre de l'ancienne carri'^'re de Cada'-^as,prélevée en pied de talus des dpcliets re jetés en remblai, par la" ote i-ont àMous.s on de rurael, au oomt n" . coté aval dans le sens "3 'écouie-nent -^x Tm de1 ff'berge ex" è. - 0,50 m de prorondeur le T5 Avril 1 ;77 à 12 li ;?ar i:uable'jrR£.jJGuC V¿Z Ingénieur Laboratoire i-Hinâ:c-ÎT>fti

EXAMEN PHYSIQUE

sur eau brute- Température de l'eau - Température de l'air ,

- Turbidité en gouttes de masticeo_de^c¿s_süLce . . .

- Couleur en degrés oiandatds . .

- Odeur - Saveur- Matières en suspension

- Aspect et nature

- Extrait secfv>9>110° C - Résidii-atT^uge

fleres combustibles et volatiles .

£o»voir colmatant - pH électrométrique - Résistivité (ohms/cni2/cm) à 20°C

EXAMEN CHIMIQUE

sur eau telle quelle- Gaz carbonique libre en C02 - Oxygène dissous en O - Hydrogène sulfuré en H2S - Chlore libre en Cl"

sur eau telle quelle, sur eau filtréeMatières en sulution (minér.ilisation- Extrait scr à ,105-1 10° C.^ - Résidu au rouge à 500" C - Matières combustibles ct volatiles .

Déterminationsur place

liJ°714»

légère-^ientde sulfui

12,16

rag au litre

néantnéant

Jaunees

Déterminationau laboratoire

60

lérrer dépôt

mg au litre

267

mg au litre

1.450io5C

100

2. 016A. 123.77RUE DU PROFESSEUR VÉZES

'l'JOOù BORDEAUXTÉL.- i'9 17 71 -y'j 17 72 veuillez adresser toute la correspondance au directeur

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- 76 -

A) Titres divers :

- Degré hydrotimétrique total (TH) - Degré hydrotimétrique permanent - Degré hydrotimétrique temporaire - Degré hydrotimétrique calcique - Degré hydrotimétrique magnésien - Titre alcalimétrique en OH (TAOH) ....- Titre alcalimétrique simple (TA) - Titre alcalimétrique complet (TAC) ....

B) Indices chimiques de pollution

- Matières organiques en O, milieu alcalin- Ammoniaque en NH3 - Nitrites en N02 - Nitrates en N - Phosphates en P205

C) Balance Anions-Cations

Anions- Alcalinité vraie en OH-- Carbonates en C03- Bicarbonates en C03H-- Sulfates .en S04--- Chlorures en Cl-- Nitrites en N02-- Nitrates en N03-- Phosphates en P04--

Total - Silice en .3i03_~ - *SuTf lires 'èii 'S'""

"^fcTiiLCations- Calcium en Ca++- Magnésium en Mg+ +- Sodium . . . '. en Na +- Potassium en K+- Ammonium en NH4+- Fer en Fe++- Manganèse en Mn++

Total

Total

D) Etude de l'agressivité

C02 libre (déterminatioruXur place) C02 équilibrant (calc^/à ° ) . .

C02 agressif .

pH élcctromcttitjue (détermination sur place)pH d'équili]>i^ (calculé à ° ) .

Indice dt/saturation . . . .

Déterminationsur place

m g au litre

mg au litre

136 Xnéantnéant

15630,10,03

néantnéont

252,00

624,70

238,000,20

322,0035,006,83

^0,10néant602,13

mg au litre

Notationsparticulières

59,6

59,500,10

69,0098,00

iné au litre

8,000néantnéant3,2920,850

néantnéant

''^;27?15,75029,109

11,9000,020

14,0000,8950,380

néant27,195

Déterminationau laboratoire

mg au litre9'+

6,459,03

néantnéant

- 76 -

A) Titres divers :

- Degré hydrotimétrique total (TH) - Degré hydrotimétrique permanent - Degré hydrotimétrique temporaire - Degré hydrotimétrique calcique - Degré hydrotimétrique magnésien - Titre alcalimétrique en OH (TAOH) ....- Titre alcalimétrique simple (TA) - Titre alcalimétrique complet (TAC) ....

B) Indices chimiques de pollution

- Matières organiques en O, milieu alcalin- Ammoniaque en NH3 - Nitrites en N02 - Nitrates en N - Phosphates en P205

C) Balance Anions-Cations

Anions- Alcalinité vraie en OH-- Carbonates en C03- Bicarbonates en C03H-- Sulfates .en S04--- Chlorures en Cl-- Nitrites en N02-- Nitrates en N03-- Phosphates en P04--

Total - Silice en .3i03_~ - *SuTf lires 'èii 'S'""

"^fcTiiLCations- Calcium en Ca++- Magnésium en Mg+ +- Sodium . . . '. en Na +- Potassium en K+- Ammonium en NH4+- Fer en Fe++- Manganèse en Mn++

Total

Total

D) Etude de l'agressivité

C02 libre (déterminatioruXur place) C02 équilibrant (calc^/à ° ) . .

C02 agressif .

pH élcctromcttitjue (détermination sur place)pH d'équili]>i^ (calculé à ° ) .

Indice dt/saturation . . . .

Déterminationsur place

m g au litre

mg au litre

136 Xnéantnéant

15630,10,03

néantnéont

252,00

624,70

238,000,20

322,0035,006,83

^0,10néant602,13

mg au litre

Notationsparticulières

59,6

59,500,10

69,0098,00

iné au litre

8,000néantnéant3,2920,850

néantnéant

''^;27?15,75029,109

11,9000,020

14,0000,8950,380

néant27,195

Déterminationau laboratoire

mg au litre9'+

6,459,03

néantnéant

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Essai au marbre

- pH électroméirique

- Alcalinité à la phénolphtaléine en C03- Alcalinité au méthylorangc . , . en CQ?Ca

"" '. ¿ 0,001 TTIfr/T

- 77 -

/^vant marbre

mg au litre

Après marbre

mg au litre

Cuivre en CuT-=F-Zinc en ¿n

Phénols0,003 mp;/l

CyanuresD.G.O.

néant-5-78-^42 D. 3.0/5

Conclusions

Bordeaux, le 17» 5» 77

Le D ¡recteur.

Essai au marbre

- pH électroméirique

- Alcalinité à la phénolphtaléine en C03- Alcalinité au méthylorangc . , . en CQ?Ca

"" '. ¿ 0,001 TTIfr/T

- 77 -

/^vant marbre

mg au litre

Après marbre

mg au litre

Cuivre en CuT-=F-Zinc en ¿n

Phénols0,003 mp;/l

CyanuresD.G.O.

néant-5-78-^42 D. 3.0/5

Conclusions

Bordeaux, le 17» 5» 77

Le D ¡recteur.

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78 -Contact : Roche SGR/HPY N° 15

Ççmrnne : Graulhet

Vole, d'accei

REGION MIVI -PYRENNEES

Vépartemznt ; TARW

Lleu-dlt :

Coordonnée LAMBERT xyz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : /^¿^^ ^^ stockage

Distance de l'habitation la plus proche : ^

Distance du cours d'eau le plus proche : /*

Présence d'eau au fond de la décharge : non

Existe-t-il un captage A.E.P. : non

Possêde-t-il un périmètre de protection : non

Distance captage - décharge :

Superficie : Volume total 120.000 m3

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets de mégisserie (ces derniersdéchets^sont constitués essentiellement par des chutes et débris de peauxprétannées ou tannées, il s'agît donc de matières organiques peu f ermentesciblesavec une charge minérale importante due aux produits de prétannage et auxcolorants. Ces produits sont particulièrement riches en chromes. Monstres. Emballage

Provenance des déchets : Boues d' effluents de tannerie (120 m^/j).- Communes environnantes- Les différentes mégisseries.

Production annuelle : 700O m^ déchets de Volume déjà stocké : iqq.qqo ^^3

peaux

40 000 m3 bouesCONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : non

Exploitant : SIVOM

Date de saturation estimée : théoriquement 1979

Type de décharge : contrôlée

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés : suivant la législation.

78 -Contact : Roche SGR/HPY N° 15

Ççmrnne : Graulhet

Vole, d'accei

REGION MIVI -PYRENNEES

Vépartemznt ; TARW

Lleu-dlt :

Coordonnée LAMBERT xyz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : /^¿^^ ^^ stockage

Distance de l'habitation la plus proche : ^

Distance du cours d'eau le plus proche : /*

Présence d'eau au fond de la décharge : non

Existe-t-il un captage A.E.P. : non

Possêde-t-il un périmètre de protection : non

Distance captage - décharge :

Superficie : Volume total 120.000 m3

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères, déchets de mégisserie (ces derniersdéchets^sont constitués essentiellement par des chutes et débris de peauxprétannées ou tannées, il s'agît donc de matières organiques peu f ermentesciblesavec une charge minérale importante due aux produits de prétannage et auxcolorants. Ces produits sont particulièrement riches en chromes. Monstres. Emballage

Provenance des déchets : Boues d' effluents de tannerie (120 m^/j).- Communes environnantes- Les différentes mégisseries.

Production annuelle : 700O m^ déchets de Volume déjà stocké : iqq.qqo ^^3

peaux

40 000 m3 bouesCONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : non

Exploitant : SIVOM

Date de saturation estimée : théoriquement 1979

Type de décharge : contrôlée

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés : suivant la législation.

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- 79 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Terrain dans lequel se fait la décharge : Molasses marneuses avec lambeaux deterrasses anciennes : Formation lenticulaire.

Existence d'une nappe aquifère : l'existence de niveaux détritiques grossiersd'âge éocène supérieur, vers la base des formations molassiques permet de croireen la possibilité d'existence d'une nappe à ce niveau.

Sens de l'écoulement : Les débits obtenus dans les formations molassiquessont de l'ordre de 0 à 3 m3/h. Les eaux obtenues ont une dureté en généralsupérieure à 45.

Epaisseur de l'aquifère : Les seules nappes exploitables sont celles contenuesdans les alluvions de la Garonne ou de l'Hers.

Vulnérabilité de l'eau : Les terrains ont une faible perméabilité, aussi seule lapollution des eaux de surface est inquiétante du fait de la toxicité du dépôt.De plus le lessivage du dépôt par les eaux de pluie, peut entraîner la pollutionvers des alluvions récentes contenant une nappe même d'importance locale.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Aucune pollution n'a été constatée ponctuel¬lement.

Réseau de surveillance déjà installé : aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Difficile à déterminer sans une étude préliminaire. 100.000 F coût envisagé.

- 79 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Terrain dans lequel se fait la décharge : Molasses marneuses avec lambeaux deterrasses anciennes : Formation lenticulaire.

Existence d'une nappe aquifère : l'existence de niveaux détritiques grossiersd'âge éocène supérieur, vers la base des formations molassiques permet de croireen la possibilité d'existence d'une nappe à ce niveau.

Sens de l'écoulement : Les débits obtenus dans les formations molassiquessont de l'ordre de 0 à 3 m3/h. Les eaux obtenues ont une dureté en généralsupérieure à 45.

Epaisseur de l'aquifère : Les seules nappes exploitables sont celles contenuesdans les alluvions de la Garonne ou de l'Hers.

Vulnérabilité de l'eau : Les terrains ont une faible perméabilité, aussi seule lapollution des eaux de surface est inquiétante du fait de la toxicité du dépôt.De plus le lessivage du dépôt par les eaux de pluie, peut entraîner la pollutionvers des alluvions récentes contenant une nappe même d'importance locale.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Aucune pollution n'a été constatée ponctuel¬lement.

Réseau de surveillance déjà installé : aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Difficile à déterminer sans une étude préliminaire. 100.000 F coût envisagé.

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" ^° " N° 16REGION AUVERGNE Contact : BOIS

ÇIP?^?"!!^!}? PixLj-de-Vôme Ç?^ff!î^ Ii>i>olre

Ll^z4^ "Oécharge en vole d'abandon ^?í§_^!^99lé Vepuls I¿¿olre prendre la¿iXaée au S.O de l'usine V 9 &ur 600 m pals un chemin de teAre

y = 62,30z = 370 m

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne Gravière

Distance de l'habitation la plus proche : 320 rn

Distance du cours d'eau le plus proche : jqq ^^ (Allier)

Présence d'eau au fond de la décharge : non

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui

Possède-t-il un périmètre de protection : oui

Distance captage - décharge : ^^25 km château d'eau800 m station de pompage.

Superficie : 1 . 7 ha Volimie total 90.000 m3

DECHETS

Nature des déchets : Résidus de Fonderie(al202 48 % -, Nacl 34 % ; KCl 13 % ) j blocs de sels - gravats - ferrailles.

Provenance des déchets : Fonderie CEGEDUR, et divers.

Production annuelle : 4400 m^/an Volume déjà stocké : 20.000 m3

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : non

Exploitant : Domaine privé de l'usine CEGEDUR PECHINEY

Date de saturation estimée :

Type de décharge ; Déversement

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés :

" ^° " N° 16REGION AUVERGNE Contact : BOIS

ÇIP?^?"!!^!}? PixLj-de-Vôme Ç?^ff!î^ Ii>i>olre

Ll^z4^ "Oécharge en vole d'abandon ^?í§_^!^99lé Vepuls I¿¿olre prendre la¿iXaée au S.O de l'usine V 9 &ur 600 m pals un chemin de teAre

y = 62,30z = 370 m

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne Gravière

Distance de l'habitation la plus proche : 320 rn

Distance du cours d'eau le plus proche : jqq ^^ (Allier)

Présence d'eau au fond de la décharge : non

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui

Possède-t-il un périmètre de protection : oui

Distance captage - décharge : ^^25 km château d'eau800 m station de pompage.

Superficie : 1 . 7 ha Volimie total 90.000 m3

DECHETS

Nature des déchets : Résidus de Fonderie(al202 48 % -, Nacl 34 % ; KCl 13 % ) j blocs de sels - gravats - ferrailles.

Provenance des déchets : Fonderie CEGEDUR, et divers.

Production annuelle : 4400 m^/an Volume déjà stocké : 20.000 m3

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : non

Exploitant : Domaine privé de l'usine CEGEDUR PECHINEY

Date de saturation estimée :

Type de décharge ; Déversement

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés :

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- 81 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions de l'Allier

Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers comportant quelques horizonssableux à stratification entrecroisée.

Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluvial de l'Allier

Sens d'écoulement : Drainé par l'allier

Profondeur de la nappe : Moins de 10 m par rapport à la côte du sol.

Battement de l'aquifère :

Epaisseur de l'aquifère :

Type d'aquifère : Libre

Substratum : Inconnu

Position de la nappe par rapport à la décharge :

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Non

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Voir DEVIS

Montant des travaux :

ANNEXES

- Position du site

- Devis de l'étude

- 81 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions de l'Allier

Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers comportant quelques horizonssableux à stratification entrecroisée.

Existance d'une nappe aquifère : Oui, nappe alluvial de l'Allier

Sens d'écoulement : Drainé par l'allier

Profondeur de la nappe : Moins de 10 m par rapport à la côte du sol.

Battement de l'aquifère :

Epaisseur de l'aquifère :

Type d'aquifère : Libre

Substratum : Inconnu

Position de la nappe par rapport à la décharge :

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable aux pollutions de surface.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Non

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

Voir DEVIS

Montant des travaux :

ANNEXES

- Position du site

- Devis de l'étude

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- 82 -

FICHE ISSOIRE

POSITION DU SITE A 1/25 OOO

(feuille ISSOIRE 5-6)

, % & * ,.»MNav.s 5^

• • ' . ' o l * ' * ' , ~ • ; * • •

^ le Chauffour

VjichoAQQ. do. bloca dz

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- 83 -

V E V I S

OBJET : "points noirs" - sélection des sites - propositions d'études complémen¬taires - v/note SGN/iaJV du 17.9.1980

Le choix ci-dessous, effectué parmi les 9 fiches ANREDtransmises le 7 mai 1980 concerne :

1/ - la fiche ISSOIKE (résidus de fonderie CEGEDUR) soulevantdes problèmes de sauvegarde d' aquifères souterrains (même en cas d'abandon) àrésoudre par neutralisation.

A signaler une station de pompage â 800 m sur l'autre rive del'Allier et des travaux de déviation en cours, selon un tracé passant entre lesite et l'Allier,

L'approche chiffrée suivante est proposée (étude hydrogéologique)

- Etude du site

1 jour d" ingénieur dlétude x 1760 P 1 .760 F

- Reconnaissance par sondages tarière de lalithologie et de l'existence d' aquifèresvulnérables :

2 jours sondeuse x 3200 F 6.400 F2 joiirs d'ingénieur d'études x 1760 F 3.520 FPose de 3 piézomètres : forfait 2.500 F

- Prélèvements d'eau (piézomètres et station depompage) et analyses d'éléments majeurs (4échantillons) et traces (2 échantillons) :Forfait 7 .000 F

- Traçage fluorescéine (+ charbon activé +examen â la lampe de Wood) :1 jour d'ingénieur d'étude (avec déplacement)., 4.000 F

- Synthèse, rédaction rapport, propositions :

3 jours d'ingénieur confirmé x 2215 F 6.645 F3 jours d'ingénieur d'études x 1760 F 5,280 F

Total E.T 37,105 F

- 83 -

V E V I S

OBJET : "points noirs" - sélection des sites - propositions d'études complémen¬taires - v/note SGN/iaJV du 17.9.1980

Le choix ci-dessous, effectué parmi les 9 fiches ANREDtransmises le 7 mai 1980 concerne :

1/ - la fiche ISSOIKE (résidus de fonderie CEGEDUR) soulevantdes problèmes de sauvegarde d' aquifères souterrains (même en cas d'abandon) àrésoudre par neutralisation.

A signaler une station de pompage â 800 m sur l'autre rive del'Allier et des travaux de déviation en cours, selon un tracé passant entre lesite et l'Allier,

L'approche chiffrée suivante est proposée (étude hydrogéologique)

- Etude du site

1 jour d" ingénieur dlétude x 1760 P 1 .760 F

- Reconnaissance par sondages tarière de lalithologie et de l'existence d' aquifèresvulnérables :

2 jours sondeuse x 3200 F 6.400 F2 joiirs d'ingénieur d'études x 1760 F 3.520 FPose de 3 piézomètres : forfait 2.500 F

- Prélèvements d'eau (piézomètres et station depompage) et analyses d'éléments majeurs (4échantillons) et traces (2 échantillons) :Forfait 7 .000 F

- Traçage fluorescéine (+ charbon activé +examen â la lampe de Wood) :1 jour d'ingénieur d'étude (avec déplacement)., 4.000 F

- Synthèse, rédaction rapport, propositions :

3 jours d'ingénieur confirmé x 2215 F 6.645 F3 jours d'ingénieur d'études x 1760 F 5,280 F

Total E.T 37,105 F

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- 84 - N° 17

REGION RHONE- ALPES C?ífí^9Í PUTTALAZ {VGR/RHA]

Vépartme.nt : Rhône Ç?!"!^^'}?: ' ^<^^x en Velln

U^z4^ ' "Ile de Mlrlbel-nonage. l^o^^_^!^99lé Bas¿>e plaine du Rhônee.n amont de Lyon, délimitée par les

Coordonnée LAMBERT x deux brxinches canaluées du Rhdne ley canul de M<nA.bel et le canal de Jouage..

z

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Anciennes barrières ou ballastières

Distance de l'habitation la plus proche : 250 m

Distance du cours d'eau le plus proche : 700 m du canal Jonage

Présence d'eau au fond de la décharge :

Existe-t-il un captage A.E.P, : oui - champ de captage 4 km en aval.

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - décharge :

Superficie : Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Détritus, rebuts emballages, pneus, ferrailles et surtoutune centaine de récipients en matière plastique (contenance unitaire 10-12 1)remplis d'une substance chimique indéfinissable (colle, peinture desséchée ...).

Provenance des déchets : clandestine

Production annuelle : Volume déjà stocké

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge saxivage : oui

Exploitant :

Date de saturation estimée :

Type de décharge : sauvage

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés :de rombreuses autres ballastieies ont été égaltransformées en décharge, mais la plupart de ces gravières ont été remblayées eles depotoires tendent à disparaître.

ementet

- 84 - N° 17

REGION RHONE- ALPES C?ífí^9Í PUTTALAZ {VGR/RHA]

Vépartme.nt : Rhône Ç?!"!^^'}?: ' ^<^^x en Velln

U^z4^ ' "Ile de Mlrlbel-nonage. l^o^^_^!^99lé Bas¿>e plaine du Rhônee.n amont de Lyon, délimitée par les

Coordonnée LAMBERT x deux brxinches canaluées du Rhdne ley canul de M<nA.bel et le canal de Jouage..

z

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Anciennes barrières ou ballastières

Distance de l'habitation la plus proche : 250 m

Distance du cours d'eau le plus proche : 700 m du canal Jonage

Présence d'eau au fond de la décharge :

Existe-t-il un captage A.E.P, : oui - champ de captage 4 km en aval.

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - décharge :

Superficie : Volume total :

DECHETS

Nature des déchets : Détritus, rebuts emballages, pneus, ferrailles et surtoutune centaine de récipients en matière plastique (contenance unitaire 10-12 1)remplis d'une substance chimique indéfinissable (colle, peinture desséchée ...).

Provenance des déchets : clandestine

Production annuelle : Volume déjà stocké

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge saxivage : oui

Exploitant :

Date de saturation estimée :

Type de décharge : sauvage

Récupération des lessivats : non

Remise en état des sols utilisés :de rombreuses autres ballastieies ont été égaltransformées en décharge, mais la plupart de ces gravières ont été remblayées eles depotoires tendent à disparaître.

ementet

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- 85 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : alluvions modernes du Rhône

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et graviers

Existence d'une nappe aquifère : ces alluvions abritent une nappe d'eau souterraine.

Sens d'écoulement : Est Ouest

Profondeur de la nappe : 5 à 7 m sous la surface du sol

Battement de l'aquifère :

Epaisseur de l'aquifère :

T3T)e de l'aquifère : Nappe libre

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe sous-jacente aux dépôts

Vulnérabilité de l'eau : Cette nappe est fortement sollicitée par des pompageset notamment par les batteries de puits des champs de captage alimentant eneau potable l'agglomération lyonnaise. Sa sauvegarde doit être entreprise leplus rapidement possible.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Non

Toutefois, on peut considérer connaissant le sens d'écoulement de la nappe,que le flux des polluants issu du lessivage des déchets par les eaux de pluies,se dirige vers le champ de captage localisé en aval hydraulique (champ captantde crépieux et de Charpy). C'est une raison suffisante pour préconiser larésorption de ce rejet de substance chimique dont l'éventuel degré de toxicitén'est pas déterminé.

Réseau de surveillance déjà installé : Nul

Prograimne et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : la surveillanceproposée par M. PUTALLAZ est la suivante :

- Implantation de trois piézomètres en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage pour analyses tous les deux mois durant 1 an.Les éléments analysés seront les suivants :

pH conductivité (voir fiche St Vallier sur Rhône).

Montant des travaux : cf. annexes. Fiche n° 18.

ANNEXE

- Situation de la décharge

- 85 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : alluvions modernes du Rhône

Terrain dans lequel se fait la décharge : Sables et graviers

Existence d'une nappe aquifère : ces alluvions abritent une nappe d'eau souterraine.

Sens d'écoulement : Est Ouest

Profondeur de la nappe : 5 à 7 m sous la surface du sol

Battement de l'aquifère :

Epaisseur de l'aquifère :

T3T)e de l'aquifère : Nappe libre

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe sous-jacente aux dépôts

Vulnérabilité de l'eau : Cette nappe est fortement sollicitée par des pompageset notamment par les batteries de puits des champs de captage alimentant eneau potable l'agglomération lyonnaise. Sa sauvegarde doit être entreprise leplus rapidement possible.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Non

Toutefois, on peut considérer connaissant le sens d'écoulement de la nappe,que le flux des polluants issu du lessivage des déchets par les eaux de pluies,se dirige vers le champ de captage localisé en aval hydraulique (champ captantde crépieux et de Charpy). C'est une raison suffisante pour préconiser larésorption de ce rejet de substance chimique dont l'éventuel degré de toxicitén'est pas déterminé.

Réseau de surveillance déjà installé : Nul

Prograimne et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre : la surveillanceproposée par M. PUTALLAZ est la suivante :

- Implantation de trois piézomètres en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage pour analyses tous les deux mois durant 1 an.Les éléments analysés seront les suivants :

pH conductivité (voir fiche St Vallier sur Rhône).

Montant des travaux : cf. annexes. Fiche n° 18.

ANNEXE

- Situation de la décharge

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¿ « * î . " T ï i r . f T v . ?.\7:-', t" til

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- 87 -N" IB

REGION RHONE ALPES Contact : PUTTLLAZ {SGR/RHA]

Vé^qrXment : VROME Ç?»!??^!}^ Saint VaUler &ur Rhône

iiîféZ^ ' ie-ntre Semlére et Tournon] Ï2-i?:.4l'i9:^li Entre le Rhône et. laNationale 7

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne gravière

Distance de l'habitation la plus proche : ^

Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m du Rhône

Présence d'eau au fond de la décharge : Non

Existe-t-il un captage A.E.P. :

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - décharge :

Superficie : 9 600 m2 Volvmie total : 28. SOO m3

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères. Déchets industriels. Vieux fûts métalliques.

Provenance des déchets : Inconnue, car décharge sauvage.

Production annuelle : 3,BT/j ' Volume déjà stocké : en Juillet 1978 les2/3 du volume étaient encore disponibles.

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : oui. n'a jamais été autorisée par le service des mines. Ni clôture.ni gardien.

Exploitant :

Date de saturation estimée :

Type de décharge : Totalement incontrôlée

Récupération des lessivats : Non

Remise en état des sols utilisés :

- 87 -N" IB

REGION RHONE ALPES Contact : PUTTLLAZ {SGR/RHA]

Vé^qrXment : VROME Ç?»!??^!}^ Saint VaUler &ur Rhône

iiîféZ^ ' ie-ntre Semlére et Tournon] Ï2-i?:.4l'i9:^li Entre le Rhône et. laNationale 7

Coordonnée LAMBERT x

yz

DESCRIPTION DU SITE

Ancienne nature du site : Ancienne gravière

Distance de l'habitation la plus proche : ^

Distance du cours d'eau le plus proche : 300 m du Rhône

Présence d'eau au fond de la décharge : Non

Existe-t-il un captage A.E.P. :

Possède-t-il un périmètre de protection :

Distance captage - décharge :

Superficie : 9 600 m2 Volvmie total : 28. SOO m3

DECHETS

Nature des déchets : Ordures ménagères. Déchets industriels. Vieux fûts métalliques.

Provenance des déchets : Inconnue, car décharge sauvage.

Production annuelle : 3,BT/j ' Volume déjà stocké : en Juillet 1978 les2/3 du volume étaient encore disponibles.

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge sauvage : oui. n'a jamais été autorisée par le service des mines. Ni clôture.ni gardien.

Exploitant :

Date de saturation estimée :

Type de décharge : Totalement incontrôlée

Récupération des lessivats : Non

Remise en état des sols utilisés :

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- 88 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions modernes du Rhône en partie remaniées par l'aménagementCNR de St Vallier

Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers et sables

Existence d'une nappe aquifère : Oui, nappe en relation avec le Rhône

Sens d'écoulement : Nappe drainée par le Rhône.

Profondeur de la nappe : Peu profonde entre 0 et 5 m

Battement de l'aquifère :

Epaisseur de l'aquifère :

TTPe d'aquifère : Perméable, nappe libre

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe subaffleurante en périodede hautes eaux.

Vulnérabilité de l'eau : l'incidence de la décharge sur la qualité des eaux dela nappe est indéniable.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Outre une pollution esthétique indéniable,et une pollution atmosphérique lorsque les déchets se consument, il est certain quele Rhône draîne tous les polluants issus de la décharge par lessivage soit de labase des déchets par les eaux de la nappe, soit de la totalité des déchets parles eaux de pluies.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La surveillance proposée par M. PUTALLAZ est la suivante :

- Implantation de trois piézo en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage, pour analyses tous les deux mois durant un an.

Les éléments analysés seront les suivants :

pH, conductivité, résidu sec à 110° C, oxygène cédé par KMn04 à chaud, TH, TAC,TA, DCO, bilan ionique, toxiques et indésirables, Pb, F, AS, Cr^*, CN, Fe totalMn, Zn, composés phénoliques, ABS, Ag, hydrocarbures par infrarouge.

Montant des travaux : cf. annexes.

ANNEXES

- Situation de la décharge

- Schéma lithologique régional

- Devis de l'étude

- 88 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Alluvions modernes du Rhône en partie remaniées par l'aménagementCNR de St Vallier

Terrain dans lequel se fait la décharge : Graviers et sables

Existence d'une nappe aquifère : Oui, nappe en relation avec le Rhône

Sens d'écoulement : Nappe drainée par le Rhône.

Profondeur de la nappe : Peu profonde entre 0 et 5 m

Battement de l'aquifère :

Epaisseur de l'aquifère :

TTPe d'aquifère : Perméable, nappe libre

Substratum :

Position de la nappe par rapport à la décharge : Nappe subaffleurante en périodede hautes eaux.

Vulnérabilité de l'eau : l'incidence de la décharge sur la qualité des eaux dela nappe est indéniable.

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Outre une pollution esthétique indéniable,et une pollution atmosphérique lorsque les déchets se consument, il est certain quele Rhône draîne tous les polluants issus de la décharge par lessivage soit de labase des déchets par les eaux de la nappe, soit de la totalité des déchets parles eaux de pluies.

Réseau de surveillance déjà installé : Aucun

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

La surveillance proposée par M. PUTALLAZ est la suivante :

- Implantation de trois piézo en aval hydraulique de la décharge.- Prélèvement d'eau par pompage, pour analyses tous les deux mois durant un an.

Les éléments analysés seront les suivants :

pH, conductivité, résidu sec à 110° C, oxygène cédé par KMn04 à chaud, TH, TAC,TA, DCO, bilan ionique, toxiques et indésirables, Pb, F, AS, Cr^*, CN, Fe totalMn, Zn, composés phénoliques, ABS, Ag, hydrocarbures par infrarouge.

Montant des travaux : cf. annexes.

ANNEXES

- Situation de la décharge

- Schéma lithologique régional

- Devis de l'étude

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- 89 -

FEUILLE X X X - 3 5y • rr\

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Ni. V

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984-5DS6R65Á 10

- 90 -

SCHEMA LITHOLOGIOUE/ / 50000

PI.11

528Í

529 530I

531I

532 533"~I

53«

-150

-149

-148

-1*7

=^

-14*

-145

-144

-143

-142

-141

150-

149-

I4«-

\-_;J---3^- \ Limon argileux V -i""< \ . Li. J» l'u^ .'! c\i Sur ioble de I 'Hers (

\ (Alluvions

Alluvions récentes

de la Garonne\ en deux poUers

A et B

Limon \ recentes) / .¿

147-

m-

145-

144-

143-

I4Î-

14)-

OU'VOnilLAOC KIlOMlTRlQul LAnatAT III XONC SUD

530 53152SL_

529- I

532 533 I

534

984-5DS6R65Á 10

- 90 -

SCHEMA LITHOLOGIOUE/ / 50000

PI.11

528Í

529 530I

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149-

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Alluvions récentes

de la Garonne\ en deux poUers

A et B

Limon \ recentes) / .¿

147-

m-

145-

144-

143-

I4Î-

14)-

OU'VOnilLAOC KIlOMlTRlQul LAnatAT III XONC SUD

530 53152SL_

529- I

532 533 I

534

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- 91 -

ANNEXE

REALISATION DE 3 PIEZOMETRES

Profondeur = 12 inètresEquipement acier 0 31 x 42Crépine sur 5 m à la base .

Préparation, amenée et repli du matériel 5000 x 1 = 5000 F

Installation du matériel par piézomètre 200 F 200 x 3 = 600 F

Déplacement d'un piézomètre à l'autre 200 F 200 x 2 = 400 F

Fonçage :

0 à 10 m le ml 110 F 1 1,0 x 30 = 3300 F

10àl5m le ml 125 F 125x6 = 750 F

Plus value pour terrain difficile le ml 108 F. 1 08 x 3 = 324 F

Nettoyage des piézomètres à l'air liftle piézomètres 250 F 250 x 3 = 750 F

Aménagement des têtes par piézomètre 110 F.... 110 x 3 = 330 F

Fournitures de l'équipement :

- pointes forgées et crépinées Pièce 195F 195 x 3 =

- tubes crépines ou non le ml 1 09 F 109 x 36 =

- manchon de raccordement Pièce 14F .... 14x40=

- bouchon de fermeture Pièce 7F 7x3 =

TOTAL GENERAL HORS TAXES 1 6544 F

585

3924

560

21

F

F

F

F

- 91 -

ANNEXE

REALISATION DE 3 PIEZOMETRES

Profondeur = 12 inètresEquipement acier 0 31 x 42Crépine sur 5 m à la base .

Préparation, amenée et repli du matériel 5000 x 1 = 5000 F

Installation du matériel par piézomètre 200 F 200 x 3 = 600 F

Déplacement d'un piézomètre à l'autre 200 F 200 x 2 = 400 F

Fonçage :

0 à 10 m le ml 110 F 1 1,0 x 30 = 3300 F

10àl5m le ml 125 F 125x6 = 750 F

Plus value pour terrain difficile le ml 108 F. 1 08 x 3 = 324 F

Nettoyage des piézomètres à l'air liftle piézomètres 250 F 250 x 3 = 750 F

Aménagement des têtes par piézomètre 110 F.... 110 x 3 = 330 F

Fournitures de l'équipement :

- pointes forgées et crépinées Pièce 195F 195 x 3 =

- tubes crépines ou non le ml 1 09 F 109 x 36 =

- manchon de raccordement Pièce 14F .... 14x40=

- bouchon de fermeture Pièce 7F 7x3 =

TOTAL GENERAL HORS TAXES 1 6544 F

585

3924

560

21

F

F

F

F

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- 92

K desPrix DESIGNATION DES TRAVAUX unité Prix

unitaireI Quantités¡estimées

TOTAL(HT)

Visite des lieux, conceptior. de l'étudedu programme .

Réalisation de trois piézomètres, pro¬fondeur 12 mètres, 0 = 31 x 42 crépinessur 5 mètres à la base (1).

Prélèvements d'échantillons, soit 6 cam¬pagnes durant 1 an, avec pompages préli¬minaires, et remise des échantillons enlaboratoire.

Analyses chimiques

Interprétation des résultats et rédactiond'un rapport

Edition du rapport

Forfait

"M"

Forfait

"U""M"

Forfait

2215 F

1360 F

870 F

2215 F1360 F

18

4

3

2215 F

16544 F

8160 F

15660 F

8860 F

4080 F

1000 F

TOTAL GENERAL HORS TAXES 5651 9 F

(1) - Voir détail des prix en annexe.

- 92

K desPrix DESIGNATION DES TRAVAUX unité Prix

unitaireI Quantités¡estimées

TOTAL(HT)

Visite des lieux, conceptior. de l'étudedu programme .

Réalisation de trois piézomètres, pro¬fondeur 12 mètres, 0 = 31 x 42 crépinessur 5 mètres à la base (1).

Prélèvements d'échantillons, soit 6 cam¬pagnes durant 1 an, avec pompages préli¬minaires, et remise des échantillons enlaboratoire.

Analyses chimiques

Interprétation des résultats et rédactiond'un rapport

Edition du rapport

Forfait

"M"

Forfait

"U""M"

Forfait

2215 F

1360 F

870 F

2215 F1360 F

18

4

3

2215 F

16544 F

8160 F

15660 F

8860 F

4080 F

1000 F

TOTAL GENERAL HORS TAXES 5651 9 F

(1) - Voir détail des prix en annexe.

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- 93 -

REGION FRANCHE COMTE

"Oéi^anXmmt ; VOUBS

yLîfiz4^ ' anclennz gare, de Vasle

QQnÎOrÇt : CORNET {SGR/FRC)

Conmune : Vasle

Voit d'accl¿ : CV 121 e.

N° 19

Coordonnée LAMBERT

DESCRIPTION DU SITE

X = 943,45y- = 2S6,55z = 395 [E.P.V.)

Ancienne nature du site : ancienne gare de Dasle, située à l'écart des agglomérationsentre Dasle et Beaucourt.

Distance de l'habitation la plus proche : boO m

Distance du cours d'eau le plus proche : 1 300 m (en amont du cours d'eau]

Présence d'eau au fond de la décharge : non

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui a proximité de la décharge

Possêde-t-il un périmètre de protection : Non

Distance captage - décharge : 1 Km

Position .captage : AvalSuperficie :

1] 150 X 30 = 4 500 m2

2) 50 X 120 = 6 000 m^

Volume total :

1) 20.000 m3

2) 12.000 m^

DECHETS

Nature des déchets : i] Déchets industriels au S.E. de la voie ferrée : sables defonderie, plastiques, papiers, cartons, fûts métalliques, bidons, bouteilles,localement ordures ménagères ; les sables de fonderie servent de matrice (peuvent

. contenir des doubs détoxîquées de station d'épurationà et de terre de couverture.2) Décharge d'ordures ménagères au N.W., recouverte progressive¬

ment de terre.Provenance des déchets :

1] Déchets industriels :

2) Ordures ménagères :

Production annuelle :

1]2) 5 tonnes/jour environ

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge saiivage

UNELEC fonderie, matériel électrique à BEAUCOURT C90)Communes de DASLES (25) et BEAUCOURT (90]

Volume déjà stocké :1] 20.000 m^2} 12.000 m3

1 ] Oui ? - Non2] Non

Exploitant : 1 ] UNELEC ?

21 Commune de DASLE

Date de saturation estimée : 1] 19852] 1990

Type de décharge : 1 ] non contrôlée2] contrôlée

Récupération des lessivats : Non

Date de mise en service 1121 1977 ?

Remise en état des sols utilisés Non

- 93 -

REGION FRANCHE COMTE

"Oéi^anXmmt ; VOUBS

yLîfiz4^ ' anclennz gare, de Vasle

QQnÎOrÇt : CORNET {SGR/FRC)

Conmune : Vasle

Voit d'accl¿ : CV 121 e.

N° 19

Coordonnée LAMBERT

DESCRIPTION DU SITE

X = 943,45y- = 2S6,55z = 395 [E.P.V.)

Ancienne nature du site : ancienne gare de Dasle, située à l'écart des agglomérationsentre Dasle et Beaucourt.

Distance de l'habitation la plus proche : boO m

Distance du cours d'eau le plus proche : 1 300 m (en amont du cours d'eau]

Présence d'eau au fond de la décharge : non

Existe-t-il un captage A.E.P. : oui a proximité de la décharge

Possêde-t-il un périmètre de protection : Non

Distance captage - décharge : 1 Km

Position .captage : AvalSuperficie :

1] 150 X 30 = 4 500 m2

2) 50 X 120 = 6 000 m^

Volume total :

1) 20.000 m3

2) 12.000 m^

DECHETS

Nature des déchets : i] Déchets industriels au S.E. de la voie ferrée : sables defonderie, plastiques, papiers, cartons, fûts métalliques, bidons, bouteilles,localement ordures ménagères ; les sables de fonderie servent de matrice (peuvent

. contenir des doubs détoxîquées de station d'épurationà et de terre de couverture.2) Décharge d'ordures ménagères au N.W., recouverte progressive¬

ment de terre.Provenance des déchets :

1] Déchets industriels :

2) Ordures ménagères :

Production annuelle :

1]2) 5 tonnes/jour environ

CONDITION D'EXPLOITATION

Décharge saiivage

UNELEC fonderie, matériel électrique à BEAUCOURT C90)Communes de DASLES (25) et BEAUCOURT (90]

Volume déjà stocké :1] 20.000 m^2} 12.000 m3

1 ] Oui ? - Non2] Non

Exploitant : 1 ] UNELEC ?

21 Commune de DASLE

Date de saturation estimée : 1] 19852] 1990

Type de décharge : 1 ] non contrôlée2] contrôlée

Récupération des lessivats : Non

Date de mise en service 1121 1977 ?

Remise en état des sols utilisés Non

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- 94 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Plateau calcaire, calcaires fissurés plus ou moin Karstifiésdu Kimméridgien.

Terrain dans lequel se fait la décharge : Terrains calcaires.

Existence d'une nappe aquifère : Oui

Sens d'écoulement : vers le N.E. ou vers le Sud (à préciser par coloration)

Profondeur de la nappe : Quelques mètres - probablement

Battement de l'aquifère : Plusieurs mètres probablement

Epaisseur de l'aquifère : 10 m environ

Type d'aquifère : Fissuré, plus ou moins Karstifié

Substratum : Calcaires marneux

Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable à la pollution

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Non

Réseau de surveillance déjà installé : Non

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

1) Expérience de coloration avec surveillance source AEP de DASLE.2) Couronne de quatre sondages carottés de 20 m de profondeur équipés en

piézomètres 0 100 mm.

3) Inventaire des captages voisins.4) Contrôle trimestriel de qualité chimique sur les piézomètres, le captage

AEP de DASLE et d'autres captages le cas échéant, et comportant desanalyses de type II + éléments en traces toxiques et indésirables(Pb, Cd, Cr^*, Cu, Fe, Mn. Hg, ABS, hydrocarbures par infra-rouge) et DCO.

Montant des travaux :

1) 15.000 F

2) 50.000 F

3) 5.000 F

4) 40.000 F (pour une année)

110.000 F au total

- 94 -

SITUATION GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

Cadre géologique : Plateau calcaire, calcaires fissurés plus ou moin Karstifiésdu Kimméridgien.

Terrain dans lequel se fait la décharge : Terrains calcaires.

Existence d'une nappe aquifère : Oui

Sens d'écoulement : vers le N.E. ou vers le Sud (à préciser par coloration)

Profondeur de la nappe : Quelques mètres - probablement

Battement de l'aquifère : Plusieurs mètres probablement

Epaisseur de l'aquifère : 10 m environ

Type d'aquifère : Fissuré, plus ou moins Karstifié

Substratum : Calcaires marneux

Position de la nappe par rapport à la décharge : Au droit de la décharge

Vulnérabilité de l'eau : Très vulnérable à la pollution

POLLUTION

Une pollution a-t-elle été constatée ? Non

Réseau de surveillance déjà installé : Non

Programme et nature des travaux à entreprendre ou à poursuivre :

1) Expérience de coloration avec surveillance source AEP de DASLE.2) Couronne de quatre sondages carottés de 20 m de profondeur équipés en

piézomètres 0 100 mm.

3) Inventaire des captages voisins.4) Contrôle trimestriel de qualité chimique sur les piézomètres, le captage

AEP de DASLE et d'autres captages le cas échéant, et comportant desanalyses de type II + éléments en traces toxiques et indésirables(Pb, Cd, Cr^*, Cu, Fe, Mn. Hg, ABS, hydrocarbures par infra-rouge) et DCO.

Montant des travaux :

1) 15.000 F

2) 50.000 F

3) 5.000 F

4) 40.000 F (pour une année)

110.000 F au total

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- 95 -

MOYENS TECHNIQUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LA POLLUTION

Lorsque le site est localisé, les nuisances se manifestent sous

deus aspects :

- perturbations physiques et chimiques

- perturbations esthétiques

Il est évident que les perturbations physico-chimiques doivent être

éliminées définitivement et rapidement.

Il existe une hiérarchie même dans cette urgence suivant le degré

de toxicité ou de gêne pour le voisinage.

Parmi les déchets, doivent être traitées par ordre de priorité :

- les matières toxiques (produits chimiques - huiles)

- les matières f ermentescibles ou putrescibles

Avant d'entamer quelqu 'action contre les décharges contenant de tels

déchets, 11 faudra recueillir les Informations concernant :

- le substratum de la déchargef (pétrologie -(proportion d'argiles,)

lithologie -(succession de couches de terrains de perméabilité

différente)- hydrogéologie)).- les déchets (composition, toxicologie, évolution dans le temps).

Si ces informations sont relativement bien connues pour les déchets

homogènes, il n'en est rien pour les dépôts hétérogènes.

Sur certains sites recensés, la composition des déchets est mal connue,

et doit donc être précisée.

Ex : Le site de Notre Dame de Gravenchon contient des résidus de pétrole mais

également des boues de composition inconnue.

Ex : Le site de Saint Vallier sur Rhône contient à la fois des ordures ménagères,

des déchets industriels, des fûts vides ou pleins d'une substance pâteuse

non déterminée.

- 95 -

MOYENS TECHNIQUES VE LOCALISATION VU VEPOT ET VE LA POLLUTION

Lorsque le site est localisé, les nuisances se manifestent sous

deus aspects :

- perturbations physiques et chimiques

- perturbations esthétiques

Il est évident que les perturbations physico-chimiques doivent être

éliminées définitivement et rapidement.

Il existe une hiérarchie même dans cette urgence suivant le degré

de toxicité ou de gêne pour le voisinage.

Parmi les déchets, doivent être traitées par ordre de priorité :

- les matières toxiques (produits chimiques - huiles)

- les matières f ermentescibles ou putrescibles

Avant d'entamer quelqu 'action contre les décharges contenant de tels

déchets, 11 faudra recueillir les Informations concernant :

- le substratum de la déchargef (pétrologie -(proportion d'argiles,)

lithologie -(succession de couches de terrains de perméabilité

différente)- hydrogéologie)).- les déchets (composition, toxicologie, évolution dans le temps).

Si ces informations sont relativement bien connues pour les déchets

homogènes, il n'en est rien pour les dépôts hétérogènes.

Sur certains sites recensés, la composition des déchets est mal connue,

et doit donc être précisée.

Ex : Le site de Notre Dame de Gravenchon contient des résidus de pétrole mais

également des boues de composition inconnue.

Ex : Le site de Saint Vallier sur Rhône contient à la fois des ordures ménagères,

des déchets industriels, des fûts vides ou pleins d'une substance pâteuse

non déterminée.

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96

La composition et la toxicité des déchets déterminent les conditions

de travail (manutention) ainsi que les mesures de sécurité qu'il faudra

prendre lors des opérations décidées.

Deux cas de "Point Noir" se présentent :

1er cas : La pollution des eaux de surface ou souterraines est

observée, et l'origine de cette contamination (décharge) est

connue ; il faut alors rechercher l'extension de la pollution dans

les eaux souterraines.

La marche à suivre est la suivante :

- Recensement des puits et sources existants à proximité de la

décharge ou des puits déjà contaminés. Analyse des eaux recueillies.

- Reconnaissance de la piézométrie locale.

- Utilisation de méthodes géophysiques (Ex : prospection électrique)

pour cerner la pollution dans les eaux souterraines.

- Implantation judicieuse de piézomètres en fonction des résultats

précédents afin de contrôler l'évolution de la contamination.

2ème cas : Un dépôt de matières toxiques est découvert, mais aucune

pollution dans les eaux souterraines n'a été encore détectée. Il

faut alors :

S'assurer de la composition des déchets (surtout pour les décharges

sauvages), et effectuer des tests de lixiviation sur des échantil¬

lons représentatifs afin de connaître la teneur des lessivats en

éléments toxiques, ainsi que des tests de toxicité (Daphnie).

96

La composition et la toxicité des déchets déterminent les conditions

de travail (manutention) ainsi que les mesures de sécurité qu'il faudra

prendre lors des opérations décidées.

Deux cas de "Point Noir" se présentent :

1er cas : La pollution des eaux de surface ou souterraines est

observée, et l'origine de cette contamination (décharge) est

connue ; il faut alors rechercher l'extension de la pollution dans

les eaux souterraines.

La marche à suivre est la suivante :

- Recensement des puits et sources existants à proximité de la

décharge ou des puits déjà contaminés. Analyse des eaux recueillies.

- Reconnaissance de la piézométrie locale.

- Utilisation de méthodes géophysiques (Ex : prospection électrique)

pour cerner la pollution dans les eaux souterraines.

- Implantation judicieuse de piézomètres en fonction des résultats

précédents afin de contrôler l'évolution de la contamination.

2ème cas : Un dépôt de matières toxiques est découvert, mais aucune

pollution dans les eaux souterraines n'a été encore détectée. Il

faut alors :

S'assurer de la composition des déchets (surtout pour les décharges

sauvages), et effectuer des tests de lixiviation sur des échantil¬

lons représentatifs afin de connaître la teneur des lessivats en

éléments toxiques, ainsi que des tests de toxicité (Daphnie).

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- 97 -

Rechercher la pollution dans le sous-sol de la décharge, et

établissement du profil de teneur en contaminants en fonction

de la profondeur.

Si le résultat est négatif : envisager une étude d'aménagement

de la décharge pour empêcher

l'infiltration des lessivats.

Si le résultat est positif : rechercher alors si le flux contaminant

a atteint la nappe et pour cela suivre

la même démarche que pour le cas n° 1.

Certains "outils" sont actuellement adaptés parfaitement à ces

investigations (sondage, pompage, analyses des sols et des eaux), d'autres

méthodes utilisées généralement en géophysique sont e>;pérlmentées depuis peu

pour résoudre certains de ces problèmes.

Ainsi comme nous le verrons plus loin, le repérage du dépôt peut

se faire par :

- la prospection gravimétrique

- l'induction électromagnétique

- la détection par onde radar

alors que la prospection électrique et la polarisation induite permettent

d'établir l'extension de la pollution dans la nappe d'eau souterraine, sous

certaines conditions.

A l'heure actuelle, 11 est difficile d'utiliser ces nouvelles

techniques pour l'étude des points noirs sélectionnés. Leur adaptation aux

problèmes des décharges reste à mettre au point.

A) Repérage du dépôt :

En dehors de l'enquête menée auprès de l'exploitant, des habitants

vivant aux alentours de la décharge, et après examen des archives de la commune

concernée, il devrait être possible afin de déterminer le volume exact de la

décharge enfouie ou non et sans avoir recours aux sondages, d'utiliser certaines

méthodes géophysiques couramment employées pour la prospection minière ou

pétrolière, par exemple :

- 97 -

Rechercher la pollution dans le sous-sol de la décharge, et

établissement du profil de teneur en contaminants en fonction

de la profondeur.

Si le résultat est négatif : envisager une étude d'aménagement

de la décharge pour empêcher

l'infiltration des lessivats.

Si le résultat est positif : rechercher alors si le flux contaminant

a atteint la nappe et pour cela suivre

la même démarche que pour le cas n° 1.

Certains "outils" sont actuellement adaptés parfaitement à ces

investigations (sondage, pompage, analyses des sols et des eaux), d'autres

méthodes utilisées généralement en géophysique sont e>;pérlmentées depuis peu

pour résoudre certains de ces problèmes.

Ainsi comme nous le verrons plus loin, le repérage du dépôt peut

se faire par :

- la prospection gravimétrique

- l'induction électromagnétique

- la détection par onde radar

alors que la prospection électrique et la polarisation induite permettent

d'établir l'extension de la pollution dans la nappe d'eau souterraine, sous

certaines conditions.

A l'heure actuelle, 11 est difficile d'utiliser ces nouvelles

techniques pour l'étude des points noirs sélectionnés. Leur adaptation aux

problèmes des décharges reste à mettre au point.

A) Repérage du dépôt :

En dehors de l'enquête menée auprès de l'exploitant, des habitants

vivant aux alentours de la décharge, et après examen des archives de la commune

concernée, il devrait être possible afin de déterminer le volume exact de la

décharge enfouie ou non et sans avoir recours aux sondages, d'utiliser certaines

méthodes géophysiques couramment employées pour la prospection minière ou

pétrolière, par exemple :

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- 98 -

- La Pros£ection_gravimétrÍ2ue

Les mesures gravimétriques corrigées donnent des anomalies dues

à l'hétérogénéité de la densité des roches.

L'appareillage utilisé permet une mesure de 9 chiffres

significatifs (ex : g = 980,687543 Gais ; 1 gai = 10"^ USD.

Toutefois la microgramlnétrle n'est pas d'une utilisation

facile. Elle demande beaucoup de précautions lors des mesures.

L'influence luni-solaire. de l'altitude, de la latitude,

les irrégularités du relief sont autant de paramètres entrant en jeu lors des

corrections nécessaires à l'établissement de la carte d' isanomales.

~ îSau£Ê.i°S_ËlÊ££E2ïïâSSËËi3u£

Lorsque les déchets enfouis sont riches en métaux ou sont

conditionnés dans des fûts métalliques, il est possible de localiser ces "métaux"

par induction électromagnétique (cf. détecteur de mines).

La détection de ces métaux dépend du bruit de fond, elle

sera d'autant plus facile que la roche encaissante est pauvre en métaux.

Pratiquement la localisation de ces déchets spéciaux peut se faire, si ceux-ci

sont au maximum à une profondeur de 1,5 m (réf. 3).

- Détection £ar ondes_Radar

Le principe est basé sur la propagation durant un temps

très court (10"^ nsec) d'impulsiorti électromagnétiques de très haute fréquence

(ondffi ultra-courtes) dans le sol.

Ces ondes réfléchies sur les différentes couches du sous-sol

sont reçues par une antenne. L'amplitude du signal reçu est fonction du

coefficient de réflextion des corps rencontrés, celui-ci étant beaucoup plus

élevé pour un corps métallique.

L'absorption des ondes HF est importante dans le sol par

conséquent la profondeur d'investigation est faible (5m). Cette méthode d'assez

bonne focalisation est toutefois utilisée parallèlement à l'induction électro¬

magnétique (réf. 3 et 4 ) .

- 98 -

- La Pros£ection_gravimétrÍ2ue

Les mesures gravimétriques corrigées donnent des anomalies dues

à l'hétérogénéité de la densité des roches.

L'appareillage utilisé permet une mesure de 9 chiffres

significatifs (ex : g = 980,687543 Gais ; 1 gai = 10"^ USD.

Toutefois la microgramlnétrle n'est pas d'une utilisation

facile. Elle demande beaucoup de précautions lors des mesures.

L'influence luni-solaire. de l'altitude, de la latitude,

les irrégularités du relief sont autant de paramètres entrant en jeu lors des

corrections nécessaires à l'établissement de la carte d' isanomales.

~ îSau£Ê.i°S_ËlÊ££E2ïïâSSËËi3u£

Lorsque les déchets enfouis sont riches en métaux ou sont

conditionnés dans des fûts métalliques, il est possible de localiser ces "métaux"

par induction électromagnétique (cf. détecteur de mines).

La détection de ces métaux dépend du bruit de fond, elle

sera d'autant plus facile que la roche encaissante est pauvre en métaux.

Pratiquement la localisation de ces déchets spéciaux peut se faire, si ceux-ci

sont au maximum à une profondeur de 1,5 m (réf. 3).

- Détection £ar ondes_Radar

Le principe est basé sur la propagation durant un temps

très court (10"^ nsec) d'impulsiorti électromagnétiques de très haute fréquence

(ondffi ultra-courtes) dans le sol.

Ces ondes réfléchies sur les différentes couches du sous-sol

sont reçues par une antenne. L'amplitude du signal reçu est fonction du

coefficient de réflextion des corps rencontrés, celui-ci étant beaucoup plus

élevé pour un corps métallique.

L'absorption des ondes HF est importante dans le sol par

conséquent la profondeur d'investigation est faible (5m). Cette méthode d'assez

bonne focalisation est toutefois utilisée parallèlement à l'induction électro¬

magnétique (réf. 3 et 4 ) .

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ERRATUM

p. 98 - Induction électromagnétique : lire 15 m et non 1,5m

ERRATUM

p. 98 - Induction électromagnétique : lire 15 m et non 1,5m

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- 99 -

Lorsque le dépôt est déterminé, sa composition et sa toxicité

doivent être précisées dans certains cas (décharge sauvage). Il est nécessaire

de procéder a l'échantillonnage des déchets afin de faire des tests de lixivia¬

tion.

Cela pose le problème de l'échantillonnage, il est indispen¬

sable d'obtenir un échantillon représentatif de tout le dépôt afin que l'analyse

physico-chimique des déchets soit fiable. Les décharges "Point Noir" recensées

à ce jour correspondent toutes à des dépôts mixtes de composition plus ou moins

connue. L'échantillonnage dépend alors de nombreux paramètres en particulier :

1°) Consistance du déchet (solide, liquide, pâteux, visqueux),

2°) Nombre de phases constitutives du déchet (phases solides,

multiples, phases gazeuses, liquides),

3°) Hétérogénéité physique ou chimique de chaque phase consécutive

du déchet,

4°) Conditionnement du déchet (fûts, citernes, terrils, bacs, bennes),

5°) Evolution rapide du déchet (risque de polymérisation),

6°) Conditions opératoires (température, sécurité, milieu ambiant, âge

du déchet) ,

7°) Quantités d'échantillons nécessaires pour les analyses envisagées

et par conséquent représentativité de l'échantillon par rapport

à la masse du déchet,

8°) Lieu du prélèvement.

Il faut noter également que la récupération des éléments volatils est

toujours délicate.

Quant à la toxicité des déchets, deux aspects doivent être définis :

- Toxicité à effet Immédiat : une serie de tests simples

et rapides doit être mise au point, afin d'être utilisés

sur le terrain.

- Toxicité à effets chroniques, persistants, concérigènes

ou mutagènes.

- 99 -

Lorsque le dépôt est déterminé, sa composition et sa toxicité

doivent être précisées dans certains cas (décharge sauvage). Il est nécessaire

de procéder a l'échantillonnage des déchets afin de faire des tests de lixivia¬

tion.

Cela pose le problème de l'échantillonnage, il est indispen¬

sable d'obtenir un échantillon représentatif de tout le dépôt afin que l'analyse

physico-chimique des déchets soit fiable. Les décharges "Point Noir" recensées

à ce jour correspondent toutes à des dépôts mixtes de composition plus ou moins

connue. L'échantillonnage dépend alors de nombreux paramètres en particulier :

1°) Consistance du déchet (solide, liquide, pâteux, visqueux),

2°) Nombre de phases constitutives du déchet (phases solides,

multiples, phases gazeuses, liquides),

3°) Hétérogénéité physique ou chimique de chaque phase consécutive

du déchet,

4°) Conditionnement du déchet (fûts, citernes, terrils, bacs, bennes),

5°) Evolution rapide du déchet (risque de polymérisation),

6°) Conditions opératoires (température, sécurité, milieu ambiant, âge

du déchet) ,

7°) Quantités d'échantillons nécessaires pour les analyses envisagées

et par conséquent représentativité de l'échantillon par rapport

à la masse du déchet,

8°) Lieu du prélèvement.

Il faut noter également que la récupération des éléments volatils est

toujours délicate.

Quant à la toxicité des déchets, deux aspects doivent être définis :

- Toxicité à effet Immédiat : une serie de tests simples

et rapides doit être mise au point, afin d'être utilisés

sur le terrain.

- Toxicité à effets chroniques, persistants, concérigènes

ou mutagènes.

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- 100 -

L'évaluation des dangers dus aux composés chimiques est relativement

mal connue. Ces information sont disponibles pour environ 5 à 8000 composés,

alors que près de 70. 000 composés sont en vente sur le marché. Ces effets sont

encore moins connus lorsque les composés sont mélangés.

Des tests de lixiviation effectués en laboratoire sur des échantillons

représentatifs des déchets, permettront une approche qualitative des lessivats

issus de la décharge et migrant dans le sous-sol.

Ex : L'institut de recherche hydrologique (IRH) pratique des tests de lixiviation

sur des échantillons de déchets prélevés. Les cellules ou lysimètres utilisés

contiennent de 190 à 360 Kg de déchets.

Les solutions lixiviantes utilisées sont :

- eau déminéralisée,

- solution simulant une eau de pluie polluée (25 mg H_ SO^, 10 mg HCl.

3 mg HN03/litre),

- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation aérobie

de matières organiques,

- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation anaérobie

de matières organiques.

Le rapport massique est de 10 g de matières sèches par litre de solution.

La durée de contact est de 10 jours sous agitation intermittente.

Les analyses sont effectuées sur l'eau séparée par filtration au terme

de la mise en contact, (réf. 5).

B) Mli>e en évidence de. la pollution dans les ¿ois

Si le site n'est pas encore la cause d'une pollution manifeste ou

importante, mais présente toutefois des risques potentiels (déchets hautement

toxiques, substratum perméable) de pollution des eaux de surface ou souterraines,

il devra être aménagé afin de limiter les risques de contamination.

S'il s'agit d'un dépôt récent, le flux polluant potentiellement

existant, n'a pas encore atteint la nappe.

- 100 -

L'évaluation des dangers dus aux composés chimiques est relativement

mal connue. Ces information sont disponibles pour environ 5 à 8000 composés,

alors que près de 70. 000 composés sont en vente sur le marché. Ces effets sont

encore moins connus lorsque les composés sont mélangés.

Des tests de lixiviation effectués en laboratoire sur des échantillons

représentatifs des déchets, permettront une approche qualitative des lessivats

issus de la décharge et migrant dans le sous-sol.

Ex : L'institut de recherche hydrologique (IRH) pratique des tests de lixiviation

sur des échantillons de déchets prélevés. Les cellules ou lysimètres utilisés

contiennent de 190 à 360 Kg de déchets.

Les solutions lixiviantes utilisées sont :

- eau déminéralisée,

- solution simulant une eau de pluie polluée (25 mg H_ SO^, 10 mg HCl.

3 mg HN03/litre),

- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation aérobie

de matières organiques,

- solution simulant une eau chargée en produit de dégradation anaérobie

de matières organiques.

Le rapport massique est de 10 g de matières sèches par litre de solution.

La durée de contact est de 10 jours sous agitation intermittente.

Les analyses sont effectuées sur l'eau séparée par filtration au terme

de la mise en contact, (réf. 5).

B) Mli>e en évidence de. la pollution dans les ¿ois

Si le site n'est pas encore la cause d'une pollution manifeste ou

importante, mais présente toutefois des risques potentiels (déchets hautement

toxiques, substratum perméable) de pollution des eaux de surface ou souterraines,

il devra être aménagé afin de limiter les risques de contamination.

S'il s'agit d'un dépôt récent, le flux polluant potentiellement

existant, n'a pas encore atteint la nappe.

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- 101 -

Afin de s'assurer de son existence, et avant d'entamer toute action

sur le dépôt, une étude géochimique du substratum de la décharge est nécessaire.

Le prélèvement d'échantillons sous plusieurs mètres de déchets

comporte certains risques.

Des poches de gaz ou de lessivats concentrés libérés lors du sondage

peuvent provoquer soit des explosions ou bien se répandre sur le sol et

aggraver sensiblement la pollution de celui-ci.

C) Contrôle de la pollution dans les eaux iouteAnalnes

L'analyse des eaux pompées dans les puits ou piézomètres existants

permet une première approche du problème. Certaines méthodes géophysiques

permettent de localiser plus ou moins bien le flux contaminant, et par la

suite l'implantation de puits de contrôle et de surveillance est d'autant

plus facilitée.

~ La_EE2££i£EÍ°íl_Ei£££EÍ3iee (réf. 6)

Autre méthode géophysique employée pour la recherche

minière et de l'eau, permet de localiser le panache de polluants dans la

nappe d'eau souterraine. Cette méthode permet la mesure des résistivités

apparentes des différentes formations.

Sachant que la résistivité d'une formation aquifère est

fonction de la résistivité de l'eau, elle-même fonction de sa minéralisation,

sachant que l'eau contaminée est caractérisée par une minéralisation importante,

la pollution minérale peut donc être localisée par une prospection électrique

de surface, des sondages électriques et des profils de résistivité. Cette

méthode a déjà été utilisée avec succès en Alsace, pour localiser la contamination

par les chlorures, d'une nappe phréatique en milieu alluvionnaire à partir des

terrils de sel.

Elle a permis également la localisation dans la vallée vosgienne

d'une pollution par les sulfates, de la nappe à partir d'un terril de sulfates

de fer et de calcium.

- 101 -

Afin de s'assurer de son existence, et avant d'entamer toute action

sur le dépôt, une étude géochimique du substratum de la décharge est nécessaire.

Le prélèvement d'échantillons sous plusieurs mètres de déchets

comporte certains risques.

Des poches de gaz ou de lessivats concentrés libérés lors du sondage

peuvent provoquer soit des explosions ou bien se répandre sur le sol et

aggraver sensiblement la pollution de celui-ci.

C) Contrôle de la pollution dans les eaux iouteAnalnes

L'analyse des eaux pompées dans les puits ou piézomètres existants

permet une première approche du problème. Certaines méthodes géophysiques

permettent de localiser plus ou moins bien le flux contaminant, et par la

suite l'implantation de puits de contrôle et de surveillance est d'autant

plus facilitée.

~ La_EE2££i£EÍ°íl_Ei£££EÍ3iee (réf. 6)

Autre méthode géophysique employée pour la recherche

minière et de l'eau, permet de localiser le panache de polluants dans la

nappe d'eau souterraine. Cette méthode permet la mesure des résistivités

apparentes des différentes formations.

Sachant que la résistivité d'une formation aquifère est

fonction de la résistivité de l'eau, elle-même fonction de sa minéralisation,

sachant que l'eau contaminée est caractérisée par une minéralisation importante,

la pollution minérale peut donc être localisée par une prospection électrique

de surface, des sondages électriques et des profils de résistivité. Cette

méthode a déjà été utilisée avec succès en Alsace, pour localiser la contamination

par les chlorures, d'une nappe phréatique en milieu alluvionnaire à partir des

terrils de sel.

Elle a permis également la localisation dans la vallée vosgienne

d'une pollution par les sulfates, de la nappe à partir d'un terril de sulfates

de fer et de calcium.

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- 102 -

Dans ces deux cas, les conditions d'application étalent

favorables, c'est-à-dire une Importante minéralisation des eaux, conjuguée

à un milieu alluvial homogène.

Plus récemment cette méthode a été utilisée pour évaluer

l'étendue du panache de pollution dans une nappe crée par un dépôt sauvage

de goudrons acides à Noyelles sur Bellone, ainsi que par une décharge d'ordures

ménagères à Fretin (Nord-Pas-de-Calais), (réf. 7).

C'est une méthode rapide nécessitant peu de moyens logisti¬

ques, elle est donc d'un coût relativement faible.

Le matériel autre que les cables est léger (le rhometer,

compteur de résistivité de marque anglaise ne pèse que 3 kg), facile à manipuler

(affichage numérique avec sélection automatique permettant des mesures comprises

entre 0,1 et 8.000/1 m avec une précision de 0,3 %) et d'alimentation simple

(piles rechargeables au nickel - Cadmium).

Toutefois cette méthode présente un inconvénient, lorsque

les conditions géologiques se compliquent, il est parfois difficile de relier

les résistivités apparentes des courbes obtenues, aux résistivités réelles du

terrain.

~ Polarisation induite

Peu couramment employée pour l'étude des nappes d'eau

souterraines, la mesure de la polarisation induite montre qu'il existe un

rapport entre cette valeur, et la teneur en argiles des grès à ciment argileux,

donc sa perméabilité.

Des études effectuées dernièrement en laboratoire par F. A.

Collar et D.H. Griffiths (1976 Royaume Uni) ont montré la relation existante

entre la polarisation induite et la conductibilité de l'eau intersticielle,

elle-même dépendante de sa minéralisation.

Cette technique a été employée récemment au Royaume Uni pour

repérer l'eau polluée s'écoulant par d'importantes fissures quasi-verticales

dans les grès de Sherwood (Finch IW, Griffiths DH 1976). Il s'agissait d'une

pollution par du chlorure de sodium à partir d'anciens terrils houilliers (réf. 6)

En aucun cas ces méthodes ne peuvent donner la composition

de la pollution, toutefois, elles permettent une meilleure implantation des

puits de contrôle et de surveillance du flux polluant.

- 102 -

Dans ces deux cas, les conditions d'application étalent

favorables, c'est-à-dire une Importante minéralisation des eaux, conjuguée

à un milieu alluvial homogène.

Plus récemment cette méthode a été utilisée pour évaluer

l'étendue du panache de pollution dans une nappe crée par un dépôt sauvage

de goudrons acides à Noyelles sur Bellone, ainsi que par une décharge d'ordures

ménagères à Fretin (Nord-Pas-de-Calais), (réf. 7).

C'est une méthode rapide nécessitant peu de moyens logisti¬

ques, elle est donc d'un coût relativement faible.

Le matériel autre que les cables est léger (le rhometer,

compteur de résistivité de marque anglaise ne pèse que 3 kg), facile à manipuler

(affichage numérique avec sélection automatique permettant des mesures comprises

entre 0,1 et 8.000/1 m avec une précision de 0,3 %) et d'alimentation simple

(piles rechargeables au nickel - Cadmium).

Toutefois cette méthode présente un inconvénient, lorsque

les conditions géologiques se compliquent, il est parfois difficile de relier

les résistivités apparentes des courbes obtenues, aux résistivités réelles du

terrain.

~ Polarisation induite

Peu couramment employée pour l'étude des nappes d'eau

souterraines, la mesure de la polarisation induite montre qu'il existe un

rapport entre cette valeur, et la teneur en argiles des grès à ciment argileux,

donc sa perméabilité.

Des études effectuées dernièrement en laboratoire par F. A.

Collar et D.H. Griffiths (1976 Royaume Uni) ont montré la relation existante

entre la polarisation induite et la conductibilité de l'eau intersticielle,

elle-même dépendante de sa minéralisation.

Cette technique a été employée récemment au Royaume Uni pour

repérer l'eau polluée s'écoulant par d'importantes fissures quasi-verticales

dans les grès de Sherwood (Finch IW, Griffiths DH 1976). Il s'agissait d'une

pollution par du chlorure de sodium à partir d'anciens terrils houilliers (réf. 6)

En aucun cas ces méthodes ne peuvent donner la composition

de la pollution, toutefois, elles permettent une meilleure implantation des

puits de contrôle et de surveillance du flux polluant.

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- 103 -

V] Identl^jlcatlon des émis&lons gazeuses

Notre sens olfactif nous avertit très rapidement de la présence de gaz

malodorants sur le site de la décharge. Ils sont la preuve de l'évolution des

déchets.

Un contrôle de la qualité de l'atmosphère doit être effectué, ou une

analyse des gaz dans la décharge.

- 103 -

V] Identl^jlcatlon des émis&lons gazeuses

Notre sens olfactif nous avertit très rapidement de la présence de gaz

malodorants sur le site de la décharge. Ils sont la preuve de l'évolution des

déchets.

Un contrôle de la qualité de l'atmosphère doit être effectué, ou une

analyse des gaz dans la décharge.

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- 104 -

CONCLUSION

L'objectif de cette étude était de dégager un inventaire sélectif

non exhaustif des dépôts de déchets toxiques les plus dangereux, couvrant

une grande partie de la France.

Dix-neuf sites ont été choisis en fonction de la toxicité des

déchets et de la vulnérabilité de la nappe, parmi ceux sélectionnés par le

B.R.G.M. à la demande de l'A.N.R.E.D. en juillet 1978. Seul le site n° 1

Hurionville-Llllers (Pas de Calais) est nouveau par rapport à ce rencensement.

La région parisienne et le centre n'ayant fait l'objet d'aucun

recensement en 1978, nous n'avons pas recherché les "Points noirs" existants

à l'heure actuelle.

Chaque site ayant des caractéristiques particulières, 11 semble

difficile de proposer une unique procédure d'étude pour l'ensemble des

"Points noirs", toutefois, lorsque cela a été possible une amorce de programme

d'étude a été envisagée à la suite de chaque fiche ainsi que l'estimation

du coût de cette étude.

Parmi ces sites, certains sont un risque permanent pour l'environnement.

Ils sont la cause principale d'une pollution mise en évidence des eaux

souterraines, de surface ou bien des deux à la fois.

Une étude plus approfondie de ces décharges et de leur contamination

est indispensable. Un réseau de surveillance doit être mis en place, afin de

connaître l'extension du panache de pollution, sa vitesse de progression et

son évolution qualitative dans le temps et dans l'espace.

- 104 -

CONCLUSION

L'objectif de cette étude était de dégager un inventaire sélectif

non exhaustif des dépôts de déchets toxiques les plus dangereux, couvrant

une grande partie de la France.

Dix-neuf sites ont été choisis en fonction de la toxicité des

déchets et de la vulnérabilité de la nappe, parmi ceux sélectionnés par le

B.R.G.M. à la demande de l'A.N.R.E.D. en juillet 1978. Seul le site n° 1

Hurionville-Llllers (Pas de Calais) est nouveau par rapport à ce rencensement.

La région parisienne et le centre n'ayant fait l'objet d'aucun

recensement en 1978, nous n'avons pas recherché les "Points noirs" existants

à l'heure actuelle.

Chaque site ayant des caractéristiques particulières, 11 semble

difficile de proposer une unique procédure d'étude pour l'ensemble des

"Points noirs", toutefois, lorsque cela a été possible une amorce de programme

d'étude a été envisagée à la suite de chaque fiche ainsi que l'estimation

du coût de cette étude.

Parmi ces sites, certains sont un risque permanent pour l'environnement.

Ils sont la cause principale d'une pollution mise en évidence des eaux

souterraines, de surface ou bien des deux à la fois.

Une étude plus approfondie de ces décharges et de leur contamination

est indispensable. Un réseau de surveillance doit être mis en place, afin de

connaître l'extension du panache de pollution, sa vitesse de progression et

son évolution qualitative dans le temps et dans l'espace.

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- 105 -

D'autres sites sont sélectionnés car ils représentent un haut

risque potentiel vis à vis des eaux souterraines. Ils doivent alors faire

l'objet d'une meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais

surtout d'un constat géochimique de la qualité du sol environnant et le cas

échéant de la nappe sous-jacente.

Dans tous les cas, une action rapide devrait être entreprise

afin de limiter ou d'éliminer tout impact sur l'environnement.

- 105 -

D'autres sites sont sélectionnés car ils représentent un haut

risque potentiel vis à vis des eaux souterraines. Ils doivent alors faire

l'objet d'une meilleure caractérisation des déchets et des effluents, mais

surtout d'un constat géochimique de la qualité du sol environnant et le cas

échéant de la nappe sous-jacente.

Dans tous les cas, une action rapide devrait être entreprise

afin de limiter ou d'éliminer tout impact sur l'environnement.

Page 111: SÉLECTION DES DÉPOTS DE DÉCHETS …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-145-ENV.pdf · compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement. Dès 1978, la France s'occupait

BÍBLÍOGHAPHÍE

Réf. 1 : "Drain system is installed to collect leachate frome love

Canal bathtub".

Solid Wastes management February 1980.

Réf. 2 : Contribution de Mr STRYBIS [Hollande) : "Pollution à LeKKerKerk"

au séminaire des experts sur les décharges de déchets dangereux

à l'OCDE Novembre 1980.

Réf. 3 : HAROLD J. YOFFE - NANCY L. CICHDWTCZ - PAUL J. STDLLER

"Remote sensing for investigatin Buried Drums and Subsurface

Contamination at Coventry, Rhode Island" in Case Histories.

Réf. 4 : PARRY [D.E) - PIPPER [H.l "Application de la télédétection en

hydrogéologie" Bulletin BRGM section III n° 3 1979. pp 257 à 267.

Réf. 5 : Institut de recherches hydrologiques. IRH. Mars 1980 RH BO-40

"Poursuite de l'étude du devenir de l'eau et de son interaction

avec les- déchets dans une décharge admettant des déchets

industriels homogènes [Boues d'épuration d'effluents industriels)

Réf. 6 : FINCK [J.Wl - BARKER [R.D.) - GRIFFITHS [D.H.) "Applications

récentes des méthodes basées sur la résistivité électrique

et la polarisation induite à la résolution des problèmes.

hydrogéologiquBs" Bulletin BRGM section III n"* 3 1979 p 281 à

291.

Réf. 7 : BARRES [M.) - CAULIER (P.) - VALENTIN [J.) - VAN DEN HOECK (A.)

"Mise en évidence de Panaches de pollution des eaux souterraines

à l'aval des décharges urbaines ou industrielles par prospection

électrique" Rapport d'avancement BRGM.

BÍBLÍOGHAPHÍE

Réf. 1 : "Drain system is installed to collect leachate frome love

Canal bathtub".

Solid Wastes management February 1980.

Réf. 2 : Contribution de Mr STRYBIS [Hollande) : "Pollution à LeKKerKerk"

au séminaire des experts sur les décharges de déchets dangereux

à l'OCDE Novembre 1980.

Réf. 3 : HAROLD J. YOFFE - NANCY L. CICHDWTCZ - PAUL J. STDLLER

"Remote sensing for investigatin Buried Drums and Subsurface

Contamination at Coventry, Rhode Island" in Case Histories.

Réf. 4 : PARRY [D.E) - PIPPER [H.l "Application de la télédétection en

hydrogéologie" Bulletin BRGM section III n° 3 1979. pp 257 à 267.

Réf. 5 : Institut de recherches hydrologiques. IRH. Mars 1980 RH BO-40

"Poursuite de l'étude du devenir de l'eau et de son interaction

avec les- déchets dans une décharge admettant des déchets

industriels homogènes [Boues d'épuration d'effluents industriels)

Réf. 6 : FINCK [J.Wl - BARKER [R.D.) - GRIFFITHS [D.H.) "Applications

récentes des méthodes basées sur la résistivité électrique

et la polarisation induite à la résolution des problèmes.

hydrogéologiquBs" Bulletin BRGM section III n"* 3 1979 p 281 à

291.

Réf. 7 : BARRES [M.) - CAULIER (P.) - VALENTIN [J.) - VAN DEN HOECK (A.)

"Mise en évidence de Panaches de pollution des eaux souterraines

à l'aval des décharges urbaines ou industrielles par prospection

électrique" Rapport d'avancement BRGM.

Page 112: SÉLECTION DES DÉPOTS DE DÉCHETS …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-145-ENV.pdf · compte-rendu général de ce séminaire doit paraître prochainement. Dès 1978, la France s'occupait

THORUTHDU [J. S.) Proceding 19B0 National Conference on Control

of Hazardous Material Spills "Underground movement of Gasoline

on Ground water and enhauced recovery by surfactants.

Contribution de J. BROMLEY [R.U.) au séminaire des décharges de

déchets toxiques de l'OCDE. Novembre 19B0

MAES [M.] Les résidus industriels Tome 1 et 2.

Ingénieurs patriciens [techniques et documentation entreprise

moderne d'édition).

BARRES [M.) - RAMPON [G.] Utilisation des sites sélectionnés pour

le dépôt de déchets industriels. "Devenir des résidus industrielsnon valorisés "[Colloque CAST-INSA Lyon 1978).

Contribution de THOMAS 0 DAHL [USA) "A Hazardous waste disposal

problème is a systematic approach for imposign order onto Chaos"

au séminaire des experts sur les décharges de déchets toxiques

à l'OCDE Novembre 1980.

THORUTHDU [J. S.) Proceding 19B0 National Conference on Control

of Hazardous Material Spills "Underground movement of Gasoline

on Ground water and enhauced recovery by surfactants.

Contribution de J. BROMLEY [R.U.) au séminaire des décharges de

déchets toxiques de l'OCDE. Novembre 19B0

MAES [M.] Les résidus industriels Tome 1 et 2.

Ingénieurs patriciens [techniques et documentation entreprise

moderne d'édition).

BARRES [M.) - RAMPON [G.] Utilisation des sites sélectionnés pour

le dépôt de déchets industriels. "Devenir des résidus industrielsnon valorisés "[Colloque CAST-INSA Lyon 1978).

Contribution de THOMAS 0 DAHL [USA) "A Hazardous waste disposal

problème is a systematic approach for imposign order onto Chaos"

au séminaire des experts sur les décharges de déchets toxiques

à l'OCDE Novembre 1980.