Septembre, Sabre, Sueur et Satisfaction. · L’équipage s’affère sur les passes : ... La terre y très fertile et elle donne racine aux vignes du célèbre vin « Cha de Caldeiras

EDIC Sabre

Présentation

Type : Engin de débarquement d'infanterie et de charsNuméro de coque : L 9051Lancement : le 02 mars 1987Mise en service : le 13 juin 1987

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samedi, 2 octobre 2010

Septembre, Sabre, Sueur et Satisfaction.

Par EDIC Sabre le samedi, 2 octobre 2010, 19:19 - Activités

Dans la marine, le mois de septembre est traditionnellement dévolu au réentraînement. Le Sabre n’a pas dérogé à cette règle.

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lundi, 5 juillet 2010

BONS BAISERS DE « CABO VERDE » OU RECIT DU DEPLOIEMENT D’UNBATIMENT A FOND PLAT DANS UN ARCHIPEL ESCARPE - juin 2010

Par EDIC Sabre le lundi, 5 juillet 2010, 17:17 - Activités

Au large du continent Ouest africain, un archipel d’îles semble défier vents et océan. Ce bout de terre a pendant longtemps étéle théâtre des attaques du célèbre Jacques Cassard, corsaire français au service du roi Louis XIV. Aujourd’hui, ces terres,peuplées par environ 450 000 habitants, cachent un trésor préservé souvent peu ou mal connu et qui fait bien vite oublier letumulte des grandes villes africaines : bienvenue au Cap-Vert !

EDIC Sabre - Journaux de bord : Marine nationale http://jdb.marine.defense.gouv.fr/index.php/batiment/sbr

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L’équipage s’affère sur les passes : nous sommes le 2 juin au Sud de l’île de Maio et l’EDIC « Sabre » s’apprête à mettre àl’eau deux zodiacs pour effectuer une reconnaissance de plage en vue d’y conduire deux jours plus tard un exerciceinterarmées franco-cap verdien d’envergure à dominante amphibie. Les plongeurs constituant la Section Navale de Plageagevérifient la praticabilité du site pendant qu’une délégation étudie à terre le mode opératoire des troupes qui débarqueront.

Le thème de l’exercice est l’extraction de narco-trafiquants appréhendés par un groupe d’unités spéciales ainsi que larécupération de ressortissants détenus par les contrevenants. Un détachement de fusiliers marins, de marsouins du 23èmeBataillon d’Infanterie de Marine ainsi que de commandos cap-verdiens ont participé à l’exercice. L’EDIC « Sabre » a mis enœuvre les troupes depuis la mer après avoir projeté les forces spéciales en amont. Un patrouilleur de la marine cap-verdienneassurait la protection du dispositif vis-à-vis d’une menace maritime. Au bilan, sous le regard d’autorités dont le ministre de ladéfense du Cap-Vert et l’ambassadrice de France, plus de 200 personnes ont participé à la manœuvre, qui, malgré une merbien plus formée que lors des reconnaissances, a pu être réalisée de manière fluide : les militaires cap-verdiens et français ontainsi fait preuve de professionnalisme et d’efficacité dans un exercice pourtant rendu difficile par les conditionsmétéorologiques défavorables avec notamment une houle de plusieurs mètres.


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L’exercice terminé, le « Sabre » rejoint Praia, capitale du Cap-Vert située sur l’île de « Santiago ». Les deux jours passés danscette ville permettent à l’équipage de découvrir une région d’Afrique qui pourtant ne ressemble en rien avec cellesrencontrées jusqu’ici. Praia est fortement imprégnée d’une ambiance sud-américaine : les promenades se font au rythme desmusiciens omniprésents dans les rues.

L’EDIC « Sabre » se rend ensuite au large de l’île de « Fogo » pour y mouiller. Sur une distance de quelques nautiques, lesfonds passent brusquement de quelques milliers de mètres à quelques dizaines de mètres : l’ancre peut être mise à l’eau et lesquelques heures passées au mouillage permettent à l’équipage de rallier la terre. Devant eux se dresse un majestueux volcan.Culminant à 2 829 m, le volcan offre un paysage désertique somptueux et une vue imprenable sur tout l’horizon. La dernièreéruption remonte à 1995. La terre y très fertile et elle donne racine aux vignes du célèbre vin « Cha de Caldeiras ».

L’heure est venue pour l’EDIC de reprendre sa navigation vers une nouvelle île pour y rallier Mindelo : il s’agit de l’île de« Sao Vicente » située au Nord-Ouest de l’archipel. La baie de Mindelo a des allures de Rio de Janeiro : le dépaysement esttotal. Les majestueuses montagnes se dressent dans l’immensité de l’océan semblant défier les lois de la nature. Les quatrejours passés à Mindelo auront permis à l’équipage du « Sabre » de découvrir Mindelo et son animation nocturne soutenue aurythme des guitares et des chanteurs. Un coquetèle est organisé à bord de l’EDIC, ce qui a été l’occasion de recevoir denombreux expatriés mais aussi beaucoup de cap-verdiens ainsi que des musiciens dont le batteur de la célèbre chanteuseCésaria Evora, figure emblématique de Mindelo et du Cap-Vert. Le succès de la soirée était donc assuré et les derniers invitéssont restés jusque tard dans la nuit.


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Après plus de deux semaines de déploiement, l’EDIC prend finalement un cap vers Dakar, son port base. Néanmoins, lesouvenir laissé par ces jours de navigation dans une zone où le vent, la mer et les montagnes sont rois, restera impérissablesdans les esprits des marins du « Sabre ». Plusieurs semaines après, il est d’ailleurs fréquent d’entendre de temps à autres àbord l’exclamation : « CABO VERDE ! ».

ESCALE EXPRESS A CONAKRY - mai 2010

Par EDIC Sabre le lundi, 5 juillet 2010, 16:27

Dans le sillage du « Sabre », déjà, Conakry et sa presqu’île disparaissent derrière l’archipel des îles du Los. 48h plus tôt,l’EDIC « Sabre » quitte Dakar avec à son bord deux Land-Rover, des dizaines de palettes et deux camions de type GBCchargés de tentes. La mission est à vocation logistique. Il s’agit de débarquer du matériel au profit des troupes françaisesdéployées afin de soutenir la Guinée dans l’organisation des élections présidentielles à venir. Située dans la zone de transitionentre l’Afrique sahélienne et l’Afrique humide, la République de Guinée couvre une surface équivalente à la moitié de laFrance. Conakry, la capitale, est un véritable poumon économique pour le pays de part notamment l’importance de son portautonome au sein de l’économie guinéenne.


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Le 21 mai en début de matinée, à peine le traditionnel « terminé barre et machines » prononcé, l’équipage s’active dans lacuve, préparant le déchargement du matériel embarqué à Dakar.

Les opérations de déchargement s’achèvent en fin d’après-midi : les camions de transport font leurs dernières rotations et lesautorités quittent le bord. Parmi elles, le CF Toure, chef d’état-major de la marine guinéenne et ancien camarade de promotiondu commandant lors de la campagne 2004 – 2005 du GEAOM ; il était alors enseigne de vaisseau comme tous les autresofficiers élèves.

Le poste de manœuvre général diffusé et les dispositions d’appareillage prises, l’EDIC « Sabre » quitte les terres guinéenneset franchit les passes du port de Conakry, quelques neuf heures après son accostage. Conscient de l’importance que revêt lamission accomplie suite aux évènements survenus en Guinée il y a quelques mois, l’équipage reprend ses postes de quartaprès les nombreuses heures de manutention passées sous le soleil pesant de Conakry.

aucun rétrolien une annexe

vendredi, 7 mai 2010

ENTRAINEMENT MUTUEL D'OPPORTUNITE - avril 2010

Par EDIC Sabre le vendredi, 7 mai 2010, 15:19 - Activités

Trois bâtiments croisant au large de l’Afrique de l’Ouest se sont retrouvés pour conduire un entraînement mutuel à quelques100 nautiques des côtes guinéennes. Ainsi, le Patrouilleur de Haute Mer « Lieutenant de vaisseau Le Hénaff » en début demission Corymbe, le Bâtiment Hydrographique « Laplace » en campagne hydrographique ainsi que l’Engin de Débarquementd’Infanterie et de Chars « Sabre » de retour d’une mission au Sierra Leone ont pu conduire dans la matinée du 10 avrilquelques manœuvres d’entraînement mutuel : transfert de courrier, exercices d’évolutions tactiques et exercices de


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quelques manœuvres d’entraînement mutuel : transfert de courrier, exercices d’évolutions tactiques et exercices detransmissions par projecteurs « scott » et signaux à bras.

Un entraînement d’opportunité qui a été bénéfique pour tous les acteurs et qui a permis durant quelques heures aux équipagesde partager une passion commune : celle de la mer !

ESCALE DU « SABRE » EN SIERRA LEONE - avril 2010

Par EDIC Sabre le vendredi, 7 mai 2010, 13:56 - Rayonnement

Parti deux jours plus tôt de Dakar, l’EDIC « Sabre » embouque la rivière du Sierra Leone le 7 avril en début de matinée. Sursa droite se dresse une ville majestueuse constituée d’une multitude d’habitations construites à flanc de montagnes. Laverdure est abondante et le paysage défilant sous les yeux attentifs de l’équipage, surpris par tant de végétation et de relief, estflamboyant. Il est en effet bien différent de ce qui a pu être observé dans les zones courantes de navigation de l’EDIC entre lescôtes mauritaniennes et le sud du Sénégal.

Pas de doute cependant : le « Sabre » est bien à quelques yards de Freetown.Cette ville de plus de 600 000 habitants est la capitale du Sierra Leone,ancienne colonie anglaise et indépendante depuis 1961. Quelques minutesaprès avoir embarqué un pilote depuis une pirogue d’une stabilité plutôtdouteuse, le « Sabre » est accosté. L’accueil réservé par les autorités localessur le quai est chaleureux.

De nombreuses activités ont pu être conduites conjointement avec les autoritéslocales durant deux jours. Outre les visites de l’état-major, de la marineléonaise et les déjeuners organisés à bord avec les représentants locaux, lepoint d’orgue de l’escale a été la cérémonie de cession d’environ 65 000 eurosde matériel militaire divers (casques, effets vestimentaires, etc.). Plus de 40

représentants de l’armée léonaise ont participé à la cérémonie dans la cuve de l’EDIC. Le LCL Eric Moncomble, attaché dedéfense a représenté le commandant des Forces Françaises du Cap-Vert, le général de brigade Olivier Paulus, empêché. Il aremis officiellement les articles au Chef d’Etat-Major Général des Armées léonaises, le général Nelson Williams qui aexprimé des remerciements appuyés au nom du ministère de la défense léonais. Cette cérémonie, largement médiatisée auniveau local a permis aux différentes autorités d’effectuer des discours qui ont souligné les amitiés réciproques des deux pays.


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Le lendemain, la cuve de l’EDIC a permis, à l’occasion d’un cocktail organisé à bord, de rassembler à nouveau plusieursautorités dont des ambassadeurs et des représentants léonais, sans oublier les quelques expatriés français habitant en SierraLeone, heureux de passer quelques heures sur un bâtiment de la marine nationale.

Le 9 avril dans la matinée, la dernière aussière est larguée : le « Sabre » s’éloigne à faible allure pour rejoindre Dakar avecune impression du devoir accompli après deux jours intenses mais au combien passionnants.

EXERCICE AMPHIBIE FRANCO-GAMBIEN - mars 2010

Par EDIC Sabre le vendredi, 7 mai 2010, 09:32 - Activités

Le commandant des Forces Françaises du Cap-Vert s’est rendu à Banjul en Gambie le mercredi 10 mars 2010 afin d’assisterau premier exercice interarmées à dominante amphibie franco-gambien.

Ce rendez-vous à caractère opérationnel est une réussite pleinement partagée par les parties françaises et gambiennes. Fortsde leur expérience dans le domaine amphibie, les FFCV ont accueilli deux officiers supérieurs gambiens afin de préparer cettemanœuvre avant de déployer à Banjul l’EDIC « Sabre » à bord duquel une section du 23ème BIMa avait pris place. Le jourde l’exercice, en présence des autorités civiles et militaires françaises ainsi que des plus hautes autorités militairesgambiennes, le débarquement des forces a été conduit avec succès sous la surveillance du « Breguet Atlantique II » des FFCVprêt à fournir son appui, après avoir, au préalable, reconnu le site et s’être assuré de l’absence de forces ennemies.


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Cet exercice met en exergue la capacité des FFCV à planifier et organiser un exercice interarmées fluide et dynamique, quiplus est, dans un environnement nouveau et avec des forces armées gambiennes peu rompues à ce type de mission. Le réelintérêt et la forte implication de la partie gambienne a permis à cet exercice de se dérouler de manière remarquable. A l’issue,les autorités militaires gambiennes ont émis le souhait que cet exercice ne soit qu’un prélude à une coopération bilatérale plussoutenue dans le domaine maritime. En complément de cette mission, l'ambassade de France au Sénégal et en Gambie ontprofité de ce déplacement pour procéder à une remise d'effets et d'équipements acheminés par l’EDIC « Sabre » depuis Dakardans le cadre d’une cession officielle de matériel décidée par le ministère de la défense.

jeudi, 6 mai 2010

LE « SABRE » A LA RECONQUETE DU « SINE SALOUM » - janvier et février2010Par EDIC Sabre le jeudi, 6 mai 2010, 17:43 - Activités

Dans le cadre d’une mission de reconnaissance, l’Engin de Débarquement d’Infanterie et de Chars « Sabre » des ForcesFrançaises du Cap-Vert (FFCV) s’est déployé à deux reprises en janvier et en février 2010 dans le « Sine Saloum ». Cettereconnaissance a permis de mettre à jour plusieurs sites de plageage le long de ce grand fleuve du Sénégal et de s’entraîner àla navigation fluviale.

De plus, de nombreux raids en zodiac ont été menés afin de conduire une étude approfondie sur le combat fluvial, enrichissantainsi la connaissance de cet espace peu pratiqué. A cette occasion, la coopération avec nos camarades des Forces ArméesSénégalaises a pu être une fois encore mise à l’honneur grâce à la présence à bord d’un officier, chef de quart de la marinesénégalaise.


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De « Djifère » à « Latmingué » en passant par « Foundiougne » et « Kaolack », l’EDIC « Sabre » s’est ainsi frayé un cheminau milieu des lagunes et des îlots envahis par la mangrove. Si la navigation y était risquée, le paysage en valait la peine. A 150km au sud de Dakar, la région du « Sine Saloum » a offert à l’équipage un spectacle fabuleux de calme et de quiétude.

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DEBUT D’ANNEE INTERARMEES POUR LE « SABRE » ET LE 23EME BIMA -janvier 2010

Par EDIC Sabre le jeudi, 6 mai 2010, 17:21 - Activités

L’activité de l’Engin de Débarquement d’ Infanterie et de Chars « Sabre » a débuté en ce début d’année 2010 par un exercicede coopération avec le 23ème BIMa. Au programme, séance de tirs sur cibles remorquées et installation de matériel dans lacuve afin de configurer l’EDIC en version « transit de longue durée avec un dispositif terrestre embarqué ».

Ainsi, le jeudi 7 janvier 2010, la Section d’Eclairage et d’Investigation (SEI) du 23ème BIMa a pu former les membres del’équipage du « Sabre » au tir avec de l’armement inhabituel pour les unités de la marine nationale : fusils de précision,mitrailleuse légères, etc.

Cela a également été l’occasion de mener une séance conjointe d’entraînement aux tirs FAMAS et HK.


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Par ailleurs, le « camp de fortune » installé par la SEI a permis de valider un dispositif pouvant accueillir pour une longuedurée des troupes, leur assurant ainsi une liberté d’action dans la sous-région.

EXERCICE FRANCO-SENEGALAIS DEGGO 29 : UNE AMITIE ANCESTRALE- décembre 2009


DEGGO 29 réunit les Forces Armées du Sénégal (FAS) et les Forces Françaises du Cap-Vert (FFCV). En wolof, une deslangues parlées au Sénégal, « deggo » signifie amitié. Or, d’amitié, il a été fortement question lors de cette manœuvre que lesdeux nations organisent annuellement et dont chacune a la responsabilité à tour de rôle.

Ainsi, du 4 au 11 décembre, 1 300 militaires des deux armées se sont déployés en zone civile entre Mbour et Kaloak (150 kmau sud de Dakar). Le scénario prévoyait une action de force contre des éléments insurgés susceptibles de mettre en péril lastabilité d’une région fictive. Les objectifs ont été fixés conjointement par le chef d’état-major général des arméessénégalaises et par le général commandant les FFCV afin d'éprouver et d'optimiser l'aptitude des unités françaises etsénégalaises à s'engager ensemble sur une situation de crise. Cet exercice majeur annuel interarmées illustre et affirme lavolonté d’entretenir une amitié séculaire entre les deux armées, une « fraternité d’armes », expression souvent présente dansla bouche des participants.

Sur le plan tactique, des manoeuvres indispensables à la conduite d’une opération de rétablissement de la paix ont étéconduites conjointement par les militaires des deux nations. Dans une première phase, l’exercice a consisté en une mise enplace des forces terrestres à partir de deux EDIC, le « Karabane » (marine sénégalaise) et le « Sabre ». De plus, deux chalandsde transport de matériel ont participé à l’opération en mer. Pour la première fois, l’ensemble de l’opération amphibie étaitdirigée par un officier sénégalais depuis un patrouilleur en mer qui avait le contrôle tactique des unités navales sénégalaises etfrançaises.

PASSAGES A NOUAKCHOTT - octobre 2009


Entre le 18 et le 20 octobre 2009, l’EDIC « Sabre » a transité jusqu'à Nouakchott en Mauritanie pour y débarquer 15véhicules de type Land-Rover.


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L’accueil par les autorités locales fut chaleureux et les boscos du bord ont travaillé de concert avec des manutentionnairesmauritaniens afin de débarquer les Land-Rover par une grue spécialement affrétée pour l’occasion.

Trois heures plus tard, la mission est accomplie : les 15 véhicules militaires en camouflage sable ont fière allure sur le quai.En parallèle, le « Sabre » a débarqué à Nouakchott des militaires de l’armée de terre et de l’air appartenant aux ForcesFrançaises du Cap-Vert. Ce personnel conduira pendant une quinzaine de jours des instructions tant dans le domaineopérationnel que technique au profit de leurs homologues mauritaniens.

Les marins du « Sabre » sont repartis de Nouakchott fiers d’avoir accompli leur mission et dans l’espoir de pouvoir approcherun jour les majestueuses dunes visibles sur tout l’horizon d’un peu plus près.


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