Shamrock Admissibles

de l’été des concours.

Le Sham c’est un magazine

mais aussi un blog

(lesham.blospot.com), ce

sont des news musicales,

des critiques de concerts,

d’artistes et d’album, de la

bonne humeur et des

coups de gueule à re-

vendre!

Nous te souhaitons bonne

chance pour tes oraux, et

bonne lecture!

L’équipe du Sham

Diane, Franck, Julien &

Vianney

Déjà… C’est le dernier

Shamrock de l’année sco-

laire. « Last but not

least »!!!

Les 2A ont été désintégrés,

(comprenez: ficelés, age-

nouillés, obligés de boire à

la santé de leurs fistons et

fistonnes,… prôpre!);

Les 1A endossent définiti-

vement leur rôle au sein de

leur pôle et dans l’asso, fins

prêts à relever le défi des

recrutements des futurs

1A. Et qui sait…. Ce sera

peut-être toi, cher lecteur,

perdu au milieu de ce ma-

rathon d’oraux intermi-

nable!

D é c o u v r e l ’ u n i v e r s

« Ad’Libian » dans ce der-

nier numéro du Sham, le

magazine d’Ad’Lib, l’asso

musicale de l’Edhec,

co-organisatrice avec VLV

du festival «Le Père Noël

est-il un rockeur?» (1

jouet= 1 place de concert=

1 enfant heureux), organi-

satrice de scènes ouvertes

et des « Foodzik » (Il n’y a

pas de dîner sans mu-

sique!). Prends une petite

pause musicale dans l’enfer

Shadmissibles

Le mot de Bruno du Sham

Nous aurions souhaité te

donner un avant-goût de

cette grande famille Edhec

en publiant un mot de

notre gourou à tous: His

name is Mayeur, Bruno

Mayeur.

Tu n’as pas pu le louper, le

monsieur propre en cos-

tume qui t’a présenté le

programme de l’école!

Mais comme l’a fort bien

dit l’intéressé lui-même: ce

magazine est avant tout fait

pour les admissibles, par

l’association Ad’Lib. Il te

faudra réussir tes oraux et

intégrer notre superbe

école pour apprécier l’hu-

mour de Bruno et consta-

ter son investissement dans

les projets assiocatifs des

Edhecs.

En voilà une motivation

supplémentaire, un argu-

ment de poids pour que tu

te donnes à fond durant

ton séjour parmi nous!

Des bisous des câlins,

Bruno Mayeur

Le Sham

Le Magazine D’Ad’Lib

Shamrock, juin-juillet

SHAMROCK

ADMISSIBLES Sommaire :

Nouveau style mu-

sical: the Klaxons

Invitation au Jazz:

I’m Kind of Blue

La Relève est prête:

Présentation des

pôles Ad’Lib

Dans ce numéro :

Klaxons, « Myths

of The Near Fu-

ture »

p2

Sea of Cowards p3-4

I’m Kind of Blue p4-6

Quelques news

musicales

p6-7

La relève Ad’Lib P8-11

Peu de groupes peuvent se

vanter d’être à l’origine de

la création d’un nouveau

terme pour désigner leur

musique. Pourtant, à la sor-

tie de « Myths of The Near

Future » en 2007, premier

album des Klaxons, un

journaliste du magazine

britannique NME ne trou-

vera pas d’autres moyens

pour définir le style de ces

londoniens, qu’il qualifiera

de « new rave ». Combi-

naison de rock, d’électro

et de sonorités démentes,

il est vrai que faire rentrer

les Klaxons dans une case

est particulièrement ar-

du…

Dès le début de l’album, le

ton est donné avec « Two

Receivers », qui s’ouvre

sur un son saturé, lourd et

orageux laissant penser à

l’auditeur que le morceau

va s’emballer et exploser.

Et pourtant, ce sont des

sonorités très claires,

même cristallines qui vont

prendre le relais et offrir

un contraste plaisant à

l’oreille. Puis une ambiance

électronique vient entou-

rer le morceau, avec la

voix caractéristique de Ja-

mie Reynolds et de ses

compères. Le second titre,

« Atlantis To Interzone »,

fait référence à la mythique

cité perdue Atlantis, ainsi

qu’à une nouvelle de Wil-

liam S. Burroughs parlant

d’une micro-nation imagi-

naire d’Afrique. Encore

plus que dans « Two Re-

ceivers », l’auditeur est pris

dans une avalanche de

sons, avec des sirènes de

détresse, une voix de fond

qui vient parfois hanter le

morceau tandis que la gui-

tare fait régulièrement son

apparition pour rythmer la

chanson et lui apporter un

semblant de normalité.

Après cette entrée en ma-

tière assez explosive et

originale, c’est le retour de

sonorités un peu plus lé-

gères avec le tube « Gol-

den Skans », son refrain

captivant et les voix des

membres du groupe se

combinant en un chœur

agréable, dans lequel on se

laisse rapidement embar-

quer. Poursuivons avec le

trop peu connu mais pour-

tant très entraînant « To-

tem on the Timeline », di-

rectement suivi par « As

Above So Below » et ses

guitares archi-saturées. «

Isle of Her » n’apporte pas

grand-chose à l’album, au

contraire de Gravity’s

Rainbow, qui renoue avec

des sonorités plus libérées

et se laisse écouter avec

plaisir. Après un morceau

plus calme « Forgotten

Works » vient le plus gros

tube de l’album, « Magick

», et son intro très réussie

qui amorce une suite terri-

blement entraînante. Et

effectivement, on n’est pas

déçu, les alternances su-

bites entre des parties ins-

trumentales rapides et des

passages plus posés et plus

axés sur les voix rythment

parfaitement le morceau et

lui donnent toute sa vi-

gueur.

Voici la fin de l’album avec

une reprise très prenante

de Grace, « It’s Not Over

Yet », suivi par un des plus

bizarres morceaux de cet

Klaxons: « Myths of The Near Future »

« Gravity’s

Rainbow renoue

avec des sonorités

plus libérées et se

laisse écouter

avec plaisir. »

Page 4

SHAMROCK ADMISSIBLES

album, « Four Horsemen

of 2012 ».

C’est donc un ensemble

aux sonorités assez expéri-

mentales et osées que les 4

membres du groupe nous

proposent, et sa qualité

indéniable sera entre

autres récompensée par le

Mercury Music Prize, qui

consacre le meilleur album

britannique ou irlandais de

l’année.

Après 3 ans sans album, un

nouvel opus est enfin sur le

point de voir le jour. Sa

date et son nom sont en-

core incertains, mais les

Klaxons ont d’ores et déjà

mis en ligne un premier

single intitulé « Flashover

». Le groupe semble

s’orienter vers des sonori-

tés plus rock avec davan-

tage d’importance accordé

à la guitare, ce qui n’est pas

surprenant quand on sait

que c’est Ross Robinson,

un producteur américain

de groupe de métal qui a

supervisé cet album. Pas

d’inquiétude cependant, le

style bien caractéristique

des Klaxons reste très pré-

sent, et ce premier mor-

ceau est vraiment bon, très

rythmé et ne lasse pas,

écoute après écoute. L’at-

tente sera longue…

Franck A.

L a

mode des projets récréatifs

ne vaut rien : Allez parler

de "side project" à Keith

Richards, il vous rira au

nez. Ce polygamisme musi-

c a l a r é u s s i

Je ne dirai jamais du mal de

Jack White, j'aime trop le

personnage pour ça. Mais

reste que depuis "white

blood cells" (qui date tout

de même de 2001: un bail

donc), Jack, dont on ne sait

plus trop bien si on peut

encore dire de lui qu'il est

le leader des White

Stripes, n'a plus sorti que

des albums moyens traver-

sés ça et là de grandes

chansons ("the denial

twist", "a martyr for my

love for you", "prickly

worn but sweetly thorn") .

Chez Jack , il a écrit

quelques trucs affolants

avec les Raconteurs:

"steady as she goes", certes

a moitié pompé sur un

Klaxons « Myths of The Near Future », suite

« Sea of Cowards »

Page 5

Shamrock , ju in - ju i l let 2010

Fin page suivante

Des réactio

ns? Des questio

ns?

Écrivez-nous!

le [email protected]

morceau de Terry Reid

(pour le coup, Jack est pas

fan de Led Zep pour rien,

eux qui ont également lar-

gement "emprunté" à Bert

Jansch ou , entre autres.

Pas que ce soit très grave

d'ailleurs )," broken boy

soldier", ou surtout le fara-

mineux "carolina drama".

Allison Mossart est une

admirable potiche, sexy ,

avec de jolies pommettes.

Mais c'est à peu près son

seul mérite, ses pom-

mettes .

Il se fait plaisir: comment

l u i e n v o u l o i r ?

En fait de stupre, on a

guère que de très polies

tourneries blues, hormis le

très réussi "will there be

enough water" http://

www.youtube.com/watch?

v=1tndP407luk , vraiment

sulfureux pour le coup.

Si vous voulez du sexe,

écoutez Betty Davis.

Echec dont l'explication va

de soi ; les chansons sont

composées collégialement.

Or Jack White n'a jamais

aussi bon que seul avec sa

soeur. D'ail leurs un

groupe, c'est rarement le .

A partir du moment où

Fogerty et Townshend

(pour n'en citer que deux)

ont laissés les autres parti-

ciper au processus d'écri-

ture, c'était foutu.

Vianney

jazz, 5 rue de la Huchette à

Paris. Sarah Morrow s’y

produisa it . Première

femme à intégrer l’or-

chestre de Ray Charles,

tromboniste de talent,

c’était son avant dernier

soir dans la capitale. J’étais

ravie de voir autant de

jeunes et moins jeunes

prendre leur pied à écou-

ter du jazz, une bouteille

de vin sur la table, et à dan-

ser sur les compositions de

l’artiste et sur leurs re-

prises jazzy. I Don’t Mean a

Thing, My Funny Valentine,

… j’étais aux anges!

D’habitude, les albums de

Il y a quelques semaines je

suis allée avec deux amis

d’Ad’Lib au Caveau de la

Huchette, lieu mythique du

jazz que l’on écoute sont

des œuvres d’artistes plus

que soixantenaires. On a

du mal à s'imaginer qu’il

existe encore des jeunes

artistes de jazz aujourd’hui,

puisqu’on en entend rare-

ment à la radio ou lors de

nos sorties étudiantes noc-

turnes. C’est sûr que si l’on

veut faire de la tune, il vaut

mieux faire un tube bien

commercial comme il faut.

Alors, forcément, le jazz

passe à la trappe. Eh bien,

c’est bien dommage, et je

trouve ça énervant, triste,

con, que l’on nous bassine

les oreilles avec des chan-

« Sea of Cowards » (suite)

I’m Kind of Blue

Page 6


sons purement alimentaires

de fashionistas que l’on ose

appeler artistes aux dépens

de musiques qui valent tel-

lement plus la peine d’être

écoutées ! Tout n’est pas à

jeter dans ce qu’on peut

entendre à la radio,

mais… pas lo in !

Décrottez un peu vos

oreilles, prêtez votre cer-

veau à une expérience

moins conventionnelle, et

laissez-vous aller sur

quelques derniers albums

de jazz. Certains artistes de

moins de 40 ans valent

v r a im e n t l a p e i n e

d ’ ê t r e é c o u t é .

Le trompettiste Alex Tas-

sel par exemple. Fin avril, il

sort un double CD, Heads

and Tails (2010). Alex Tas-

sel est de cette génération

ballottée entre le jazz

acoustique et le jazz fusion

et électrique, moins acces-

sible. L’acoustique, c’est le

jazz que l’on peut vous

faire écouter dans les

classes de musique du col-

lège, dont le plus grand

album est sans doute Kind

of Blue de Miles Davis ;

l’électrique se réfère au

jazz à la Herbie Hancock,

des années 70. Avec le

même groupe, Alex Tassel

nous offre donc une pre-

mière partie acoustique, et

une seconde électrique.

Attention, cependant, si

vous écoutez bien son der-

nier album, Alex Tassel

prend un malin plaisir à

brouiller les pistes : il fait

sauter les a priori sur le

jazz acoustique, que l’on dit

souvent plus profond ou

intellectuel et donc moins

entrainant que le jazz élec-

trique, mais il donne aussi

de la profondeur à ce jazz

électrique très dansant.

Parmi les nouveaux, je vais

vous donner un nom qui

risque de vous sur-

prendre : Hiromi. Oui, il

s’agit bien d'une Japo-

naise !!! Le Japon est deve-

nu une terre de prédilec-

tion pour les jazzmen en

quête de reconnaissance,

mais c’est aussi une terre

connue pour porter des

musiciens virtuoses. Ainsi

Hiromi, pianiste japonaise

de 30 ans, a commencé le

piano à 6 ans et intégré la «

Yamaha School of Music »

à 12 ans ! Elle en est déjà à

son 6e album de jazz, Place

to be (2009). Lors de ses

études dans la prestigieuse

école de musique Berklee

aux Etats-Unis, elle a eu la

chance de rencontrer le

pianiste de jazz Ahmad Ja-

mal, qui la prend sous son

aile et lui permet de faire la

connaissance d’autres poin-

tures du jazz. Ahmad Jamal

a connu les grands succès

commerciaux de Ella Fitz-

gerald, Louis Armstrong,

Nat King Cole, etc., et a

collaboré entre autre avec

Herbie Hancock. Hiromi

voit sa carrière dans le mi-

lieu du jazz décoller et elle

enregistre avec Chick Co-

rea,

Stanley Clarke (un des plus

grands bassistes du jazz,

selon moi), Lenny White.

En avril dernier elle a

même donné un concert à

l’Olympia, Paris, avec Ah-

mad Jamal en première

partie !

I’m Kind of Blue (suite)

Page 7


Suite et fin page suivante

Pour le plaisir, RDV sur le

blog pour une vidéo d'un

concert de Hiromi avec

Chick Corea, et les liens

de deux titres de jazz de

Hiromi pour illustrer toute

la diversité que le jazz mo-

derne peut avoir, tantôt

doux et nostalgique

comme Desert on the

Moon, tantôt swingant et

surprenant à l'instar de

Time Out .

Ensuite, pour les plus cu-

rieux, sachez qu’il existe

toute sorte de jazz : jazz

fusion, jazz électrique, afro-

jazz acoustique, acid jazz,

etc. Je vous encourage à

vous initier au jazz, genre

de musique auquel nous ne

sommes pas ou peu

formés. Les syncopes, les

impros, l’accentuation des

temps faibles, la recherche

d’un phrasé personnel

pour les chanteurs, l’abon-

dance d’emprunts de tons

que l’on peut y trouver, le

swing et son fameux « cha-

bada »,… Je m’arrête, je

m’emballe. Bref, tout cela

pour dire que je suis per-

suadée que vous prendrez

très vite beaucoup de plai-

sir à écouter du jazz!

Pour ceux qui voudraient

en écouter du vrai de vrai

e n l i v e à P a r i s ,

une seule adresse :

www.caveaudelahuchette.fr

5 rue de la Huchette,

Métro Saint Michel.

Et n’oubliez pas de deman-

der le tarif étudiant !

Diane

belge Girls in Hawaii et

frère du chanteur Antoine

Wielemans qui a trouvé la

mort le 30 mai dernier. Il

est décédé suite à un acci-

dent de voiture à l’âge

« mythique » de 27 ans

(Jimi Hendrix, Jim Morri-

son, Brian Jones, Janis Jo-

plin ou encore Kurt Co-

bain sont aussi morts à cet

âge).

Le groupe ne s’est pas ex-

primé sur le sujet, mais

cette terrible nouvelle

pourrait, en tout cas pen-

dant un temps, remettre

en cause la poursuite de

leur carrière. Quelques

morceaux à écouter :

« Found in the Ground »,

« Bees and Butterflies »

Les pertes du monde

de la musique

L’année 2010 a été une

triste année pour la mu-

sique, qui a perdu

quelques figures mar-

quantes de son histoire. En

mars, on déplorait les

morts d’Alex Chilton

(chanteur des Box Tops),

Mark Linkous (fondateur

de Sparklehorse) ou en-

core de Jean Ferrat.

Au mois de mai, après

James Dio, ancien membre

de plusieurs groupes de

heavy dont Black Sabbath,

et Paul Gray, bassiste de

Slipknot, c’est Denis Wie-

lemans, batteur du groupe

I’m Kind of Blue (fin)

Quelques news musicales

Page 8


Retrouvez nos

chroniques

sur le blog

www.lesham.blogspot.com

ou encore « Casper ».

Seulement quelques jours

après avoir bouclé cet article,

la série noire continue :

Stuart Cable, ancien batteur

de Stereophonics et Marvin

Isley, ancien bassiste des Isley

Brothers…

Tout le monde se souvient

de la dispute entre les

frères Gallagher en août

2009 à l’occasion du festi-

val Rock en Seine, qui avait

abouti à la fin du groupe

légendaire, alors qu’il s’ap-

prêtait à monter sur scène.

Pas loin d’un an après, où

e n e s t - o n ?

Une réconciliation entre

les deux frères ne semble

pas d’actualité, et Noel et

Liam vont poursuivre

l’aventure chacun de leur

côté. Alors que le premier

a prévu de faire un album

solo à partir de chansons

qu’il a en réserve, le se-

cond a rallié les autres

membres du groupe Oasis

pour le reformer sous un

autre nom : « Beady Eye ».

La « nouvelle » formation

devrait sortir un album

d’ici quelques mois.

Eurovision

Sans surprise, la France ne

s’est classé qu’en 12ème po-

sition en choisissant Jessy

Matador avec la chanson

« Allez Ola Olé ». Le chan-

teur a en revanche pu pro-

fiter de l’évènement pour

faire connaître son titre,

qui pointe maintenant dans

les meilleures ventes de

singles.

C’est à l’Allemagne que

revient la palme avec

« Satellite », interprété en

anglais par la chanteuse-

Lena Meyer, qui fait fureur

en Allemagne depuis

quelques semaines. Les

Allemands n’avaient plus

remporté la compétition

depuis 1982, avec Nicole

Hohloch.

Suite de l’affaire Oasis

Page 9


Pôle de démarchage

général de l’asso, chargé de

l’organisation du Foodzik.

Ce pôle crée il y a mainte-

nant 4 ans autour d’une

karmé étend cette année

ses responsabilités et de-

vient un pôle hybride Adlib

-Perno en devenant co-

responsable des roadies

pour le festival « Le Père

Noël est-il un rocker ? ».

Soirée posées (sur canap’

hérité de nos propres

padres), gin schweppes,

black-out et « table

dance » autant d’activités à

pratiquer sans modéra-

tion ;) Les Fly Spons te dé-

foncent !!!

Aurore & Camille

Les sombres coulisses de la

presse, de la radio et de la

télé n'ont plus de secrets

pour nous. Si on voit nos

évènements dans les jour-

naux, magazines, émissions

radio et télé, c'est parce

qu'on est au taquet pour

mobiliser tout ce petit

monde autour de nos pro-

La Kom', pôle roi par

essence. Ici on fait pas dans

la dentelle : on respecte la

consigne

et on fait

parler du

f e s t i v a l

( e n t r e s

autres...).

j e t s .

En bref, à la Kom', on

mène la danse médiatique,

et avec style.

La Kom unique, la Kom te

nique.

Laetitia & Thibaud

Les Fly Spons

La Kom

Page 10


La Relève!

Vous l’attendiez? La voici! Ad’Lib est fier de vous présenter

sa nouvelle génération!

Petit tour d’horizon des pôles et des visages de ceux qui

vous feront passer l’année en musique. Retenez –les biens,

qui sait s’ils ne deviendront pas vos futurs padres et madres?

Ad’Libement vôtre

Le nouveau Buro

Diane, Boris, James

Pôle indissociable de la

Kom, c'est un taf aussi bien

Perno qu'Ad'Lib. Le gros

rush se situe entre janvier

et Octobre (parait-il... Mais

ouais, c'est long) pour le

design de l'ensemble de la

campagne visuelle du festi-

val "Le Père Noël est-il un

Rocker?", mais aussi tout le

long de l'année pour la réa-

lisation des affiches des

soirées Ad'Lib. Et parce

qu'a la Kréa on rigole pas

( sauf de 9h du mat à 3h le

lendemain), il faut être ca-

pable de respecter des

deadlines (ouais, enfin... à

48h prés quoi...) et ne pas

avoir peur de passer 5h

d'affilée devant son pc (sauf

quand on sait s'y prendre à

La Kréa

Page 11


Pôle fondateur d’Ad’Lib, les

Ptits Conç organisent des

scènes ouvertes régulière-

ment et le Tremplin Perno.

Les Ptits Conç défoncent,

se défoncent, te défon-

cent !

PS : mènent une politique

d’immigration accueillante.

Notre playlist:

Bob Dylan, Don't think

twice it's alright

John Mayer, Gravity

Modeselektor, Hasir

Sarah, Boris, Fayçal,

Samy (AST2, nous quitte

l’an prochain, snif)

Les Ptits Conç

On Air mo de 2000 personnes

sur un campus perdu

dans le ch'nord ( et qui

aurait bien besoin d'un

peu de chaleur musicale),

ce pôle est fait pour

vous.

On Air propose égale-

ment ses services pour la

sonorisation de tous les

évènements EDHEC

On Air c'est quoi ?

On Air c'est avant tout

un pôle exclusivement

dédié au partage et à la

découverte de zik ! Si ce

que vous aimez, c'est

faire tourner vos décou-

vertes, en parler de par-

tout autour de vous, les

faire écouter à une pro-

l'avance, mais c'est pas une

qualité très répandue chez

Ad'Lib). L'absence de padre

l'année dernière avait forcé

l'intégration quasi charnelle

de la Kréa dans le pôle

Kom, et bien que ce ne soit

plus le cas cette année, ça

le sera encore! ( phrase

absconse s'il en est...)

Hugo

tout au

long de

l'année et

organise -

en collabo-

ration avec

les RG- des

soirées sur

le thème de la découverte de nouveaux horizons

musicaux encore trop peu connus par beaucoup."

Abdou & Roméo

La LOG c'est tout le tra-

vail en amont du festival

et en coulisse de ce der-

nier. On ne le voit pas

nécessairement, mais il est

indispensable à la réussite

de l'événement. Cela passe

entre autres de la location

des salles, la négociation

des grands contrats, la lo-

cation du matos musical, la

souscription à l'assurance,

à la SACEM, à l'organisa-

tion des gets in et des ba-

lances, en passant par la

prise en charge de la sécu-

rité, des secours, sans ou-

blier tous les détails indis-

pensables comme les bou-

teilles d'eau ou les ser-

viettes sur la scène. Egale-

ment, c'est un poste où la

place privilégiée au ca-

tering permet un contact

facile avec les artistes dont

ont doit prendre soin tout

pôle Zykos. Depuis le re-

crutement des musicos

(dans tout l’Edhec) jusqu'à

l'arrangement de reprises,

en passant par des jams et

de bons moments passés

ensemble, nous nous pré-

parons sans cesse en vue

des scènes ouvertes et sur-

tout de notre propre con-

cert de fin d'année, le

C'est bien beau, une asso

de gens qui aiment la mu-

sique... encore faut-il que

certains en jouent! Ceci

dit, pas facile de coordon-

ner des zykos dont les

goûts varient du métal à la

pop, de gérer les horaires

de répétition et l'assiduité

de chacun! Et c'est précisé-

ment là qu'intervient le

"Foodzik": on joue, on

mange, on boit, on partage

notre passion avec les

autres. Somme toute, hor-

mis la musique classique

gérée par le BDA, on in-

carne l'expression musicale

de l'Edhec.

Emma

La Log

Zikos

Les RG

Poste clef du Perno, vous

aurez l’occasion de faire la

programmation du festival

de A à Z: de la recherche

des artistes à leur accueil

sur le festival en passant

bien sûr par la négociation

et la signature des con-

trats! Un pôle au cœur du

projet du festival « Le Père

Noël est-il un rockeur? »,

très actif dans les décisions

de l’asso et le principal:

c’est bien votre program-

mation qui sera à l’affiche

du Perno!!!

Capucine & César

Page 12


au long de la semaine, ce

qui laisse beaucoup de très

bons souvenirs et de sou-

rires. C'est un travail rigou-

reux et minutieux à effec-

tuer, qui demande un in-

vestissement complet et un

enthousiasme sans faille. La

Logeuse à un contact privi-

légié avec tous les profes-

sionnels de la musique (les

régisseurs des salles, les

managers des artistes, les

loueurs du matos).

Aliette

Les voilà, les têtes des Sha-

meux! Le Shamrock c’est

LE magazine d’Ad’Lib, en

version papier, et aussi en

v e r s i o n b l o g

www.lesham.blogspot.com

avec des articles supplé-

mentaires et les liens

d’écoute.

Le Sham’ promeut et

couvre les événements

Ad’Lib, et on se fait un plai-

sir de vous faire découvrir

des artistes, des sorties de

disques et des concerts.

N’hésitez pas à laisser des

commentaires sur le

blog! Vous pouvez

aussi nous écrire et

nous envoyer vos

articles à cette

adresse:

[email protected].

La fine équipe plus

en détail: 1 soeu-

rette pour 4 frérots.

Diane: un brin métalleuse,

toujours motivée, surtout

pour sortir, définitivement

louve*.

Franck : Shameux le moins

*: protectrice, maternelle

Le Shamrock

Un mot sur l’équipe :

Avant Centre : James, Pre-

mier sur les contrats, son

flegme britannique et sa

détermination lui permet-

tent de conclure ses mul-

tiples occasions. Signe dis-

tinctif : Chante couram-

ment Portugais.

Meneur de Jeu : Amélie,

Plaque tournante (ahah) de

l’équipe, en tant que res-

ponsable du pole cette

belle italienne sait tempé-

rer ses frérots quand il le

faut. Signe distinctif : Ses

petits plats.

Défenseur : Clément, rude

sur l’homme, son coupé

décalé venus des iles est

une ode à l’amour. Sa ca-

pacité à rire de tout en fait

un compagnon de bide

incontournable. Signe dis-

tinctif : Se déshabille avant

de vomir.

Les Spp ou Spons Perno

ont pour vocation pre-

mière de démarcher l’ar-

gent et les prestations né-

cessaires au déroulement

du festival… Ils s’occupent

donc entre deux cuites des

partenaires privés (HSBC,

Dassault, la grande re-

c rée…) e t pub l i c s

(Fondations, Conseil régio-

nal, mairies…). La pre-

mière mission qui leur est

confiée est d’arpenter les

rues de Lille afin de démar-

cher les restaurateurs pour

qu’ils nourrissent gracieu-

sement nos artistes.

Page 13

Les SPP


déviant (pour l’instant),

frérot dévoué et incollable

aux blindtests Rock.

Julien : pilier, costaud et

soutien incontestable tant

moral (un pétardo?) que

physique (surtout pour un

Vianney ré-bou)!

Vianney : on le dit alcoo-

lo... pas faux, mais c’est

surtout un rire tonitruant

assorti d’une tendance à

se réveiller dans la rue .

Le Sham te câââlme!

Gardien : Nicolas, la

touche d'humour de

l'équipe. Ce jeune Titeuf

au rire distinctif n'hésite-

ra pas à te charrier jus-

qu'à en pleurer (de rire

ou de tristesse). Signe

distinctif : met des che-

mises en OB."

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Shamrock Admissibles