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La Direction générale du Groupe Fraternité Matin vous informe que la version numérique de votre quotidien d’informations générales FRATERNITE MATIN demeure la propriété exclusive de la SNPECI. A ce titre , - le FRAT MAT Numérique, ne peut être vendu - Le FRAT MAT numérique, ne peut être diffusé - Le FRAT MAT numérique ne peut être reproduit Le FRAT MAT numérique est un journal électronique à utilisation individuelle. Tout contrevenant aux présentes dispositions s’expose à la rigueur de la loi. Les présentes dispositions sont susceptibles d’être modifiées. La Direction Générale du Groupe AVERTISSEMENT !!!

Société 22 mai 2012 Mont (P.6-7)scns.e-monsite.com/medias/files/fratmat-15027-20150109.pdf · Vos opinions nous intéressent [email protected] Hommes et femmes de lettres,

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La Direction générale du Groupe Fraternité Matin vous informe que

la version numérique de votre quotidien d’informations générales

FRATERNITE MATIN demeure la propriété exclusive de la SNPECI.

A ce titre ,

- le FRAT MAT Numérique, ne peut être vendu

- Le FRAT MAT numérique, ne peut être diffusé

- Le FRAT MAT numérique ne peut être reproduit

Le FRAT MAT numérique est un journal électronique à utilisation

individuelle.

Tout contrevenant aux présentes dispositions s’expose à la rigueur

de la loi.

Les présentes dispositions sont susceptibles d’être modifiées.

La Direction Générale du Groupe

AVERTISSEMENT !!!

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“ Nous demandonsaux Ivoiriens de continuer

à nous soutenir ’’

Vendredi 9 janvier 2015 / N° 15 026 www.fratmat.info / FratMat Mobile #129# (Orange CI) Prix: 300 Fcfa • Cedeao : 450 Fcfa • France: 1,70 €PREMIER QUOTIDIEN IVOIRIEN D’INFORMATIONS GÉNÉRALES

(Premier ministre du Burkina Faso)Yacouba Isaac Zida

à notre envoyé spécial

130 produits pour booster l’industrie de transformation

PP. 9 et 10

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L’Ue va décaisser 39 milliards de FCfa par an

pendant 5 années

Appui à la bonnegouvernance

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Tarif extérieur commun de la CedeaoPH

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Yaya Touré, Ballon d’or africain pour la 4e foisPH

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Vos opinions nous intéressent

[email protected]

Hommes et femmes de lettres,responsables d’université, opérateurs économiques,

chercheurs, diplomates, leaders associatifs, leaders d’opinion

Chers lecteurs, exprimez - vous dans nos pages

Débats et Opinions sur les sujets de votre choix.

Faites - nous parvenir vos textes (4 500 ou 5 500 signes),

au siège de Fraternité Matin,par e-mail

à la nouvelle adresse suivante :

Optimiser votre potentiel « leadership »

2 Vendredi 9 janvier 2015Débats et opinions

LLeader ou Manager ? Laquestion agite souventle monde entrepreneu-rial. Certains managersse prennent, en effet,pour des leaders. Ilspensent avoir une vi-sion alors qu’ils ne fontque suivre la procédureétablie et connue de

tous. Ils se prennent pour vision-naires alors que tout le monde les voitcomme des exécutants sans imagina-tion. La différence fondamentaleentre un leader et un manager tient àl’origine de l’autorité que chacunexerce au sein d’une Organisation.Être un leader est une reconnais-sance, non un statut. Le leader tireson pouvoir des relations qu’il noueavec les autres membres du groupe,alors que le pouvoir du managertrouve son fonde-ment dans lastructuration hié-rarchique de l’or-ganisation. Onpeut donc êtremanager sans êtreleader. Commentrenforcer votrepotentiel « leader-ship » en tant quemanager ou ges-tionnaire ? Quelssont les élémentsprioritaires àprendre encompte pour dé-velopper votreleadership ? Quelsystème d’optimi-sation adopter pour passer de la per-formance à l’excellence ?

Une question d’impactDe bons musiciens ne suffisent paspour créer un orchestre. Le chef d’or-chestre est essentiel pour coordonnerles talents. C’est le rôle du leader quidoit relier les différentes parties dugroupe afin de produire un travail dequalité témoignant d’un effortd’équipe. Le leader est avant tout unserviteur-guide, un meneurd’hommes par excellence. Et sous cemanteau, le leader est condamné àproduire du résultat. Si votre leader-

ship ne produit pas du résultat, souf-frez qu’on vous dise que vous n’êtespas encore un leader. Ce n’est pas unequestion de statut. C’est une questiond’impact. Le leadership s’assimiledonc à l’art d’influencer et d’impacterdes vies. Il ne s’apprend pas dans uneécole. Il est en chacun de nous et c’està nous de le cultiver. Le leader est un pionnier qui re-cherche continuellement de nouvellesoccasions pour faire ce qui n’a jamaisété fait auparavant. Il n’est pas adeptedu statu quo. Il n’attend pas le vent del’émergence; mais il initie l’émer-gence. Ainsi, le leader provoque lechangement. Il est proactif et n’hésitepas à explorer de nouveaux terri-toires, même ceux qui paraissent dif-ficiles. En vérité, le bon leader abordechaque nouvelle tâche comme unenouvelle aventure dans un désert in-

connu. Lorsqu’il veut obtenir le meil-leur, il crée des occasions pour que lespersonnes qui sont avec lui se surpas-sent en explorant la nouvelle terre eten atteignant des buts difficiles. Lesperformances s’obtiennent avec deshommes. Le leader doit avoir uneconscience lucide de ses forces et faib-lesses. Avec humilité, il a intérêt àconstamment apprécier l’étendue deses limites et appliquer la règle de lacomplémentarité des compétences.Optimiser votre leadership, c’estconnaître vos hommes, comprendreleurs faiblesses et valoriser leursforces. C’est alors qu’ils s’investiront

pour obtenir des résultats dont ilsn’ont jamais rêvé.

Des erreurs à éviter Vous souvenez-vous la dernière foisoù vous avez appuyé sur le mauvaisbouton? Des erreurs, nous en com-mettons souvent. S’il est un domainedans lequel le management devraits’appliquer, c’est bien celui de nos er-reurs. La plupart des problèmes denos entreprises sont largement dusaux erreurs mal gérées. Optimiservotre potentiel « leadership », c’ests’approprier l’art de la gestion opti-male de vos erreurs. C’est apprendreà anticiper sur vos erreurs, à les éva-luer et surtout à les transformer en devéritables leviers de réussite. Recon-naissons-le avec Robin Sharma : «Toutes les erreurs ont été déjà com-mises, vous n’avez pas besoin de les

recommencer ».Plusieurs leaderssont surpris devoir que d’unesaison à l’autre,ils se retrouventavec les mêmescycles d’erreurs.Il est pourtantpossible de sortirde ce cercle vi-cieux en s’auto-déterminant. Ilfaudra vous auto-discipliner. Dans le processusd’optimisation devotre leadership,deux erreurs cou-rantes sont à évi-

ter. La première consiste à prendrevotre niveau actuel de leadershipcomme le couronnement. Certainsleaders sont tellement enthousias-més de leurs résultats et ils oublientque c’est maintenant que le plus dif-ficile commence. Tenez, un Chefd’Etat africain, juste après qu’on lui afait porter le manteau présidentiel, alaissé entendre: « Maintenant, vouspouvez m’appeler M. le Président ».Pour lui, c’était la consécration totalede son leadership. Mais le plus durvenait de commencer. L’investitureconsacre la prise de fonction du pré-sident ; elle ne garantit pas le succèsdu mandat. Il en est de même pourtout leader. On ne finit pas d’affinerson leadership. C’est une qualité, uneaptitude à développer constamment.Réussir à influencer son groupe estun cap. Briller, performer, se démar-quer, exceller, se développer et réali-ser des exploits planétaires sont biend’autres caps. La seconde erreur à éviter, c’est decroire qu’on ne dépend plus de per-sonne. C’est l’illusion dans laquelle seplongent certains leaders. Vous devezcertes assumer la responsabilité à100% de vos résultats. Mais il ne fau-drait pas perdre de vue que l’efficacitéde vos choix dépend de plusieurs fac-teurs. Par exemple, la performancede vos collaborateurs, même si vouspouvez les influencer. Apprendre à nepas échouer, c’est réussir à coup sûr.

[email protected]

PAR LE DR ALEXIS GEORGES KOUNOUHO (*)

2 000 FCfa

LE S

UJET D

U J

OU

R

DjéliQuel métier !

EEh oui, pauvres de nous ! À la traquedes journalistes ! Oh oui, un métier àsacerdoce ! Et puis quoi, un métier àrisques ! On crie à la liberté ! On re-vendique le droit à l’information ! On

veut défendre l’opinion publique ! Voilà !Nous sommes devenus les souffre-douleursd’une certaine opinion. Viol des libertés !Au crime ! À l’assassinat ! Au rapt ! Cela sedécline sur tous les continents. On en a vuen Afghanistan. Au Mali ! En Amérique latine ! En Asie ! Etvoilà, la France ! Ah, la chère France desdroits de l’homme ! Eh oui, quelle idée d’aller attaquer unemaison de presse ! Oh oui, on n’a pas l’im-munité des diplomates !On fait plus que représenter l’opinion inter-nationale. Par notre action pour la cause del’humanité! Ce que l’extrémisme peut tuer!

Ce que le terrorisme fait mal ! Ce que le fa-natisme peut conduire à l’aveuglement! Eh oui, la France se révolte en ce moment !Sale tête. Ébouriffée. Giflée. Meurtrie. Ehben, on ne croit pas à cette déraison so-ciale ! Eh bien oui, on a franchi la ligne denon franchissement ! Autant dire : fermezça !Eh oui, un journaliste, ça ne ferme pas sagueule! Parce qu’il est porteur d’un mes-sage d’humanité! Eh oui, il est là pour criti-quer tous les débordements de la société! Ilassure la veille sécuritaire de nosconsciences.À quoi a servi cette tuerie ? À renforcer lesmesures de sécurité ? À durcir le ton de lafermeté? À renforcer les préjugés raciaux?Oh oui, le Front national lèvera le drapeaurouge ! Attention à l’extrémisme à rebours!

Le leader est un pionnier qui recherchecontinuellement de nouvelles occasions pour faire ce qui n’a jamais été faitauparavant. Il n’est pas adepte du statu quo. Il n’attend pas le vent de l’émergence; mais il initie l’émergence. Ainsi, le leaderprovoque le changement.

(*) DOCTEUR EN SCIENCESÉCONOMIQUES ET DE GESTIONCONSULTANT – FORMATEUR EN

GESTION DE PROJETS ET MANAGEMENT DE LA QUALITÉ

En vente partout

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LL’apparition desnouvelles tech-nologies dont In-ternet ar é vo lu t i onnéd’une manière ir-réversible la viesur l’ensemble duglobe. L’informa-tion, les transac-

tions financières, l’emploi etmême la politique ont été réin-ventés par Internet. Toutefois,l’évolution ayant toujours en-traîné le crime, l’avènement desnouvelles technologies s’est faitconcomitamment avec celuid’une nouvelle sorte de crimi-nalité. On parle dès lors de cy-bercriminalité. Agissant via lecyberespace, appré-hender les auteurs desinfractions sur Internetrequiert une tout autremanière de concevoirles frontières natio-nales. Elles n’existentpas.Toutefois, l’on a as-sisté au cours de la der-nière décennie, à lamultiplication expo-nentielle des délitsclassiques via Internetà partir de l’Afrique del’Ouest (escroquerie,chantages, arnaques,faux et usage de faux…). Plusieurs Etats ontdonc décidé d’œuvreractivement pour frei-ner la cybercriminalitéen leur sein.

Des effortsconsidérablesconsentis auniveau de chaque État Vu l’ampleur de ce phénomèneen Côte d’Ivoire, l’Etat a entre-pris de lutter activement contrela cybercriminalité. Il a déployédes moyens énormes pour frei-ner le phénomène. En effet, laPlate-forme de lutte contre cefléau (Plcc) a été le socle de lalutte contre ce fléau depuis2011, date de sa création. Abat-tant un travail remarquable,plusieurs interpellations et ar-restations ont été effectuées

grâce à cette structure. Des rap-ports annuels mettent un pointd’honneur à souligner le travailaccompli chaque année. Lescampagnes de sensibilisation(spots télévisés ; séries télévi-sées; séminaires ; ateliers de ré-flexion…) sont de plus en voguedans la capitale économique etsur tout le territoire. Plusieurslois ont été adoptéescommecelle de 2013 relative à la cyber-criminalité, et aux transactionsfinancières. Les autres Etats nesont pas restés muets. Le Bénin,le Burkina Faso et le Sénégalont déployé d’énormes moyenspour lutter contre la cybercrimi-nalité. A l’instar de la Côted’Ivoire, le Sénégal a adopté des

lois1 pour lutter contre la cyber-criminalité. Le Bénin et le Bur-kina Faso ont bénéficié d’uneformation2 de leurs forces desécurité (gendarmes et poli-ciers) aux bons soins du réseauFrancopol soutenu par l’Oifdans le but de les initier auxtechniques de lutte contre lesinfractions en ligne. Cependant,ces efforts ont des impacts limi-tés.

L’urgence d’unepolitique de luttecommunautaireeffectiveConscient de l’urgence de la si-tuation, les Etats africains, pré-cisément ceux de la Cedeao,ont dégagé des textes visant àlutter contre la cybercrimina-lité. A titre d’illustration, nouspouvons citer la directive sur la« Lutte contre la cybercrimi-nalité dans l’espace de la Ce-deao » lors de la sessiond’Abuja du 17/18 août 2011.Cependant, force est de consta-ter la léthargie des stratégiesrégionales ou sous-régionalesde lutte contre la cybercrimina-lité. En effet, plusieurs col-

loques et séminaires ont étéorganisés au cours de cetteannée3 et les années anté-rieures et ont permis d’élaborerdes projets de conventions4.Cependant, une synergie desactions concernant la luttecontre la cybercriminalitélaisse encore à désirer. Le faitest que la Côte d’Ivoire de-meure parmi les Etats à risquesen ce qui concerne les transac-tions financières via internet.Avec, les priorités que l’Etat de

Côte d’Ivoire s’est donné (écolepour tous, couverture maladieuniverselle, eau potable et élec-tricité sur tout le territoire na-tional…) et l’immense travailabattu pour raffermir sociale-ment notre pays, l’Etat s’estdonné les moyens de luttersans relâche contre la cybercri-minalité. Cela est tout à fait àson crédit. Toutefois, la cyber-criminalité frappe en majeurepartie sur internet. Là où lesfrontières territoriales sont ca-duques. Ainsi, l’effectivité despolitiques de lutte communau-taire est plus que nécessaire. Ilest certain qu’elles nécessitentdes ressources considérables etdes moyens tant logistiques

que financières. Pour desEtats oùl’ordinateur estencore perçu comme unluxe et le taux d’analpha-bétisme reste à deux chif-fres, l’engouement estplus perceptible pourcontrer d’autres maux.Aussi, la répression de lacybercriminalité est-elledifficilement réalisable auvu de la rapidité avec la-quelle les infractions sontfaites et qui renddifficilela collecte des preuvesélectroniques. Internet apour corollaire l’anony-mat; ce qui ne facilite pasle travail des enquêteurs.Et quand bien même ledélinquant est identifié,l’appréhender s’il est horsdu territoire où l’infra-ction a été commise, re-quiert une collaborationétroite entre les diffé-

rents services d’enquête desEtats concernés. Tout ceci tantà montrer l’importance d’unepolitique commune ; car isolée,la Côte d’Ivoire, comme les au-tres Etats, ne peut efficacementendiguer ce fléau. Au-delà deslois, des actions concrètes sontprimordiales pour entérinertoutes les décisions prises sur leplan communautaire.

1Voir les lois sénégalaises2008-11 sur la cybercrimina-lité et 2008-12 sur la protec-tion des données personnelles2 Voirhttp://www.matds.gov.bf/index.php/component/content/article/38-categorietest/138-seminaire-de-formation-ap-pliquee-sur-la-cybercriminalite-de-francopol-au-profit-de-la-police-et-de-la-gendarme-rie - site officiel du ministèrede l’administration territo-riale et de la sécurité Burki-nabè. 3Voir Rapport d’activités dupremier semestre 2014 duPLCC : Jordanie (Amman), 9au 14 février 2014 - Ghana(Accra), 21 au 26 avril 2014 -Ouganda (Kampala), 27 et 28mai 2014 - Côte d’Ivoire(Abidjan), du 3 au 4 juin 2014

3Vendredi 9 janvier 2015 Débats et opinions

La Matinale

PAR MACAIRE DAGRY

Libertés de la pressemenacées

AAvec l’effroyable attentat de la rédaction du jour-nal français Charlie Hebdo, le mercredi 7 jan-vier 2015 à Paris, qui a fait une douzaine devictimes et de nombreux blessés, c’est l’ensem-ble des journalistes qu’on assassine. C’est éga-lement l’ensemble des libertés individuelles etcollectives qui se trouve menacé à travers cetacte de lâcheté et de barbarie. Cela crée un pro-fond malaise au sein de nos sociétés dites mo-dernes. Qu’on soit journaliste à Paris,

New-York, Pékin, Téhéran, Tripoli ou Abidjan, lorsque des ter-roristes au nom de la religion ou d’autres idéaux tuent sauva-gement des agents de presse dans l’exercice de leurs fonctions,nous devons tous nous dresser contre cet obscurantisme ram-pant qui se développe par la terreur.

Des psychopathes religieuxDepuis près de huit ans maintenant, les journalistes et la rédac-tion du journal Charlie Hebdo sont sous protection policièrepermanente. Leur tort, ils ont osé faire des caricatures du pro-phète Mahomet, dans une société fondamentalement laïque etdémocratique. Depuis lors, les intégristes musulmans ont dé-cidé de se venger sur le sol français en tuant sauvagement,comme lors des attentats meurtriers de 1995. Chaque année,des journalistes sont enlevés et même tués par ces fondamen-talistes musulmans partout, dans le monde, parce qu’ils repré-sentent les désirs de liberté de millions de femmes et d’hommesencore emmurés par la peur. Chaque jour dans le monde, desjournalistes bravent ces peurs et les menaces au nom de ces mil-lions de femmes et d’hommes, prisonniers des menaces de cesintégristes qui prennent plaisir à égorger des êtres humains de-vant les caméras de télévisions, au nom d’un Dieu assassin.Chaque jour, ce sont des journalistes, photographes, dessina-teurs, caricaturistes et autres agents de presse qui avec couragedéfient ces psychopathes religieux pour informer les popula-tions de la menace qu’ils représentent pour elles. Si les journa-listes sont autant pris pour cibles par ces islamistes assassins,c’est parce qu’ils symbolisent tout simplement la liberté d’ex-pression et de pensée que ces tueurs combattent par des assas-sinats odieux. Quel que soit le nombre de victimes, toujoursdans des conditions inhumaines, il y aura toujours quelque partdans le monde d’autres combattants de la liberté pour fairetriompher les libertés individuelles et collectives.

La responsabilité des musulmans modérés Dans ce combat contre l’obscurantisme religieux qui met enpéril l’équilibre des relations humaines dans nos sociétéslaïques et démocratiques, chacun d’entre nous doit assumer sapart de responsabilité. Face aux psychopathes religieux musul-mans, tous les musulmans modérés du monde ont désormaisune obligation morale et même religieuse de dénoncer avecforce ces pratiques barbares moyenâgeuses. Au lendemain decet attentat à Charlie Hebdo, une autre fusillade contre deuxpoliciers a eu lieu à Paris par ces lâches qui prennent toujoursla fuite. Si rien n’est fait par les « modérés » pour combattre cesintégristes, nos sociétés courent de véritables risques de stig-matisation généralisée et de rejet des uns envers les autres. Au-jourd’hui, il n’est plus possible de museler la presse etverrouiller l’information. Il n’est plus possible même par la mortd’empêcher la liberté d’expression et de pensée et de se propa-ger à travers tous les différents canaux de communication etd’information existants. Nous sommes depuis le 11 septembre2001, dans une guerre de civilisation qui menace tous nos ac-quis en matière de liberté, de laïcité et de démocratie. La reli-gion doit continuer à demeurer une affaire strictement privée.Dans nos sociétés laïques, chaque être humain né libre, et de cefait a la liberté de croire en ce qui bon lui semble, dans le respectdes règles qui régissent la société dans laquelle il vit. Au-jourd’hui, plus personne ne doit et ne peut exiger sous peine demort, que d’autres personnes aient les mêmes croyances et lesmêmes pratiques religieuses que lui. Nous sommes libres decroire ou de ne pas croire, sans que cela nous conduise à la mortde manière abjecte. Au nom de quel Dieu peut-on décider detuer sauvagement d’autres êtres humains qui refusent de voirconfisquer ce bien le plus précieux, qui est la liberté. Chaquefois qu’il aura des martyrs de la liberté, exécutés par des inté-gristes, il y aura des millions d’autres voix pour exprimer hautet fort que la liberté d’expression et de pensée acquise dans ladouleur et dans le sang survivra dans le temps et dans l’espaceet au diktat imposé par ces psychopathes religieux.

PAR GUY KÉKÉ SAKRÉ (*)

La cybercriminalité dans l’espace Cedeao

L’État a entrepris de lutter activement contre la cybercriminalité. Il a déployé des moyens énormes pour freiner lephénomène. En effet, la Plate - forme de luttecontre la cybercriminalité (Plcc) a été le soclede la lutte contre ce fléau depuis 2 011, date de sa création. Abattant un travailremarquable, plusieurs interpellations et arrestations ont été effectuées grâce à cette structure.

(*) JURISTE

L’oeil de... ZOHORÉ

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Sur la base du Tarifextérieur commun del’Union économique etmonétaire ouest -africaine (Uemoa), envigueur depuis janvier2000, il a été élaboré unTarif extérieur commun(Tec Cedeao) quis’applique, depuis le 1er

janvier 2015, aux 15Etats membres de laCommunautééconomique des Etats del’Afrique de l’Ouest(Cedeao). Quelleexplication et quelintérêt? Depuis la création de la Ce-deao en 1975, les Etats mem-bres ont décidé d’intégrerleurs économies. Du point devue purement économique, ils’agit d’éliminer toutes sortesde discriminations entre lesopérateurs économiques deleurs pays afin d’unifier leursespaces. Le processus d’inté-gration économique a plu-sieurs étapes. Le rêve, à lacréation de la Cedeao, était deparvenir au marché communqui se caractérise par la librecirculation des personnes etdes biens, et la mise en placed’un Tarif extérieur commun(Tec) à l’égard des pays tiers,c’est-à-dire non membres dela Cedeao. Ainsi, le processus a com-mencé par la mise en placed’un schéma de libéralisationdes échanges qui a permis dedévelopper les échanges intra-communautaires. Ensuite, lepassage à l’Union douanièrequi suppose la mise en placed’un Tec. Il faut préciser que ladécision d’adoption d’un teltarif pour les pays membresde la Cedeao, fondement desnégociations sur le Tec Ce-deao, a été prise le 12 janvier2006 à Niamey, lors de la 29e

session de la Conférence desChefs d’Etat et de gouverne-ment de cette Communauté.

Quel est le rapport entrele Tec Cedeao et l’Accordde partenariatéconomique régionalentre la Cedeao etl’Union européenne(Ape) ?En 2008, les négociations surle Tec Cedeao qui se dérou-laient parallèlement à celles

sur l’Accord de Partenariatéconomique régional entre lazone ouest africaine et l’Unioneuropéenne (Ape), piéti-naient. Il était prévu que cetAccord serait conclu entredeux blocs qui, sur le plan del’intégration économique, ontatteint au moins le niveau del’Union douanière, c’est-à-direoù il y existe des Tec. Cela apermis d’accélérer les négocia-tions sur le Tec Cedeao pourdoter la région de cet instru-ment. Aujourd’hui, les Etats sontengagés dans le processus designature de l’Ape. Et une foiscette étape franchie, ils passe-

ront à la phase de ratification. Un autre lien entre le Tec Ce-deao et l’Ape est aussi le faitque le calendrier de démantè-lement tarifaire prévu dans laphase transitoire pour la miseen œuvre de l’Ape a été éla-boré sur la base de la structuredu Tec Cedeao, par la défini-tion de groupes de produits etdes dates limites de leur libé-ralisation progressive.

Qu’est-ce que le TecCedeao ? Le Tec Cedeao est un droit dedouane structuré en cinq (5)bandes tarifaires (0%, 5%,10%, 20%, 35%), élaboré sur

la base du Tec de l’Uemoa qui,lui, comporte quatre bandestarifaires (0%, 5%, 10%, 20%)reparties en fonction du degréde transformation des pro-duits et de leur nature sociale.Cette progressivité a étéconvenue pour protéger les in-dustries de transformation etencourager la création des va-leurs ajoutées dans la région.

Pourquoi une 5e bandetarifaire pour passer duTec de l’Uemoa au TecCedeao ?Le Tec de l’Uemoa a été jugépas assez protecteur pour cer-tains secteurs stratégiques

pour le développement régio-nal. Il fallait donc mieux pro-téger certains produits,promouvoir le secteur privé,diversifier et renforcer le sys-tème productif régional. D’oùl’adoption d’une cinquièmebande au taux de 35%. Le Tec Cedeao se composed’une nomenclature tarifaireet statistique, c’est-à-dire uneliste de produits avec leur dé-signation et le code tarifaire(numéro de classement)conçu sur la base du systèmeharmonisé de désignation etde codification des marchan-dises de l’Organisation mon-diale des Douanes. Cettenomenclature est assortied’un ensemble de droits ettaxes à caractère soit tempo-raire, soit permanent.

Lesquels ?Concernant les droits à carac-tère temporaire, il y a lieu denoter la Taxe d’ajustement àl’importation (Tai) et la Taxecomplémentaire de protection(Tcp), qui sont des mesurescomplémentaires de protec-tion au Tec Cedeao. Les droits permanents sont lesdroits de douane, la redevancestatistique (sommes dues encompensation des servicesstatistiques rendus) qui est de1%, les prélèvements commu-nautaires (Prélèvement com-munautaire de solidarité del’Uemoa (Pcs) qui est de 1% etPrélèvement communautairede la Cedeao (Pcc) qui est de0,5%). Les négociations sonten cours pour la définitiond’un unique Prélèvementcommunautaire d’intégration(Pci), destiné à remplacer lePcs et le Pcc.

Voulez-vous préciser lescatégories, les bandestarifaires et les produitscorrespondants ?Comme je le disais, les bandessont réparties selon le degréde transformation et la naturesociale du produit. Par exem-ple, la catégorie à 0% contientles biens sociaux essentiels(médicaments, mousti-quaires, certaines céréalescomme le mil, le sorgho, lemaïs, etc.) ; la catégorie taxéeà 5% contient les biens de pre-mière nécessité, les matièrespremières de base, les biens

d’équipement et des intrantsspécifiques. Il s’agit des biensqui entrent dans la fabricationd’autres biens pour faciliter laproduction de produits finis.La bande taxée à 10%concerne les intrants et lesproduits intermédiaires. C’estune catégorie de produits unpeu plus élaborés que ceux dela 2ème bande. Ces produits nesont pas fabriqués en quantitésuffisante dans la zone Cedeaoet ne peuvent non plus y êtrefabriqués à court terme. La quatrième bande, taxée à20%, est composée de pro-duits finis. La 5ème bande taxéeà 35%, a trait aux produitsspécifiques pour le développe-ment économique régional.Ces produits sont dits sensi-bles en raison de leur carac-tère stratégique pour cedéveloppement. Pour les dis-tinguer, on se fonde sur descritères de vulnérabilité, d’in-tégration régionale, de promo-tion du secteur d’activité ousur le fort potentiel de leurproduction. Cette structura-tion des droits de douane cou-vre au total 5 899 lignestarifaires reparties commesuit : 85 pour la bande à 0%,2 146 pour la 2e bande, 1373pour la 3e bande, 2165 pour laquatrième bande et 130 lignespour la 5ème bande. Cependant,bien que ce soit une structura-tion similaire, les bandes duTec de l’Uemoa ne sont pas re-construites textuellementdans le Tec Cedeao. Cela veutdire que certains produitschangent de catégories tari-faires.

Que faut-il entendre parle changement decatégorie et à quellecondition ?Certains produits sont passésdans des catégories à taux su-périeurs et d’autres, dans descatégories à taux inférieurs etcela, à la suite des négocia-tions entre les parties. La Taiet la Tcp visent à atténuer l’im-pact de ces changements tari-faires. La Cedeao a laissé àchaque pays membre la lati-tude de lui proposer au maxi-mum 177 produits àsoumettre à ces mesures com-plémentaires de protection,afin d’aider les opérateurs éco-nomiques à supporter l’im-

Vendredi 9 janvier 2015À la une

Tec Cedeao

“ 130 produits passent dans la 5e bande taxée à 35% ’’Le directeur de la Coopération internationale et sous - régionale au ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des Pme, Touré Waoti Seydou, explique les enjeux du Tarif extérieur commun (Tec).

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pact négatifs de ces change-ments de catégorie.

Le Tec de l’Uemoa est-ilappelé à disparaître auprofit du Tec Cedeao ouvont-ils fonctionnerconcomitamment ? Le Tec de l’Uemoa ne dispa-raît pas systématiquement. Eneffet, les négociations sont encours sur l’application de laTai et la Tcp. Le règlementmême de la Cedeao qui insti-tue ces mesures rencontrequelques difficultés d’inter-prétation. Jusqu’à son appli-cation effective, les partiesdemandent un règlementd’exécution pour clarifier lamise en œuvre de ces me-sures. En attendant cette cla-rification, il est souhaité que laTaxe conjoncturelle d’impor-tation qui relève du Tec del’Uemoa continue de s’appli-quer à certains produits.

Àquoi doit-on s’attendreces jours-ci ?On doit s’attendre au change-ment de catégorie de certainsproduits. Au total, 612 lignestarifaires changent de catégo-rie dont 361 vont dans des ca-tégories à taux inférieurs et251 dans les catégories à tauxsupérieurs. Parmi ces 251lignes tarifaires, 130 passentdans la 5e bande taxée à 35%.Par ailleurs, il faut s’attendreau remplacement des mesurescomplémentaires de protec-tion de l’Uemoa (Taxe dégres-sive de protection (Tdp), quiest supposée avoir pris fin en2006 et la Taxe conjoncturelleà l’importation (Tci) par lesmesures complémentaires deprotection au Tec Cedeao.

Un délai est-il prévupour l’application de cesmesurescomplémentaires au TecCedeao ? Ces mesures complémentairesde protection qui visent à per-mettre aux opérateurs de sepréparer sont prévues pourcinq ans. La taxe d’ajustementà l’importation peut se fairesoit à la hausse, soit à la baisse.Si le taux du Tec Cedeao estsupérieur ou inférieur au tauxappliqué à ce jour par un paysmembre de la Cedeao, ce paysl’ensemble de ses opérateurséconomiques devront prendreles dispositions nécessairespour s’ajuster au bout des 5ans qui courent depuis le 1erjanvier 2015. Notre souhait est que ces ajus-tements se fassent de manièreprogressive de sorte à protégerles économies contre les effetsnégatifs des changements ta-rifaires brusques.

Que signifie le taux 0% ?Cela suppose que ces produitsimportés de l’extérieur de laCedeao rentrent dans la sous-région sans droits de douane.

Vous n’avez pas cité leriz qui est pourtant un

produit de grandeconsommation.Ces bandes ont été définies àla suite de négociations. Noussavons tous que le riz fait par-tie du panier de la ménagère etqu’il est un produit de grandeconsommation. Cela peuts’expliquer par l’existence dela politique communautaireagricole de la Cedeao qui veutqu’en même temps qu’on pro-tège un secteur, celui-ci doitêtre assez productif pour assu-rer l’autosuffisance alimen-taire. Il convient de souligner quedes droits de douane élevésont leurs avantages et leurs in-convénients. En effet, les pro-ducteurs locaux sont protégéspar ces droits puisque ceux-cifreinent les importations desproduits concernés. Dès lors,la demande intérieure de cesproduits reste à satisfaite parles producteurs locaux. Laproduction locale devrait alorspouvoir répondre à cette de-mande. A cet égard, si les ca-pacités productives locales nepeuvent pas approvisionner lemarché intérieur en quantitéet en qualité suffisantes, onpeut assister au renchérisse-ment des prix de ces produitssur ce marché, contribuantainsi à la cherté de la vie.

Un économiste estimeque l’application dutaux de 35% à certainsproduits sera bénéfiquepour la Côte d’Ivoire.Pourquoi ?L’objectif du Tec Cedeao, demanière globale, est de diver-sifier et renforcer le systèmeproductif régional. Il s’agit de

protéger certains secteursjugés stratégiques pour le dé-veloppement régional. Letaux de 35% appliqué à cer-tains produits va freiner lesimportations de ces produits.Pendant ce temps, les indus-tries régionales auront unmarché potentiel de plus de300 millions de consomma-teurs à couvrir. C’est doncpour encourager ces indus-tries à développer leurs stra-tégies, à produire davantageet améliorer leur compétiti-vité. Et cela présente un inté-rêt pour les producteursnationaux, régionaux. A terme, c’est-à-dire à la suited’une mise en œuvre réussiedu Tec Cedeao, c’est leconsommateur qui sera leplus grand bénéficiaire grâceà la baisse des prix et à l’élar-gissement de son choix qui ré-sulteront de la concurrenceentre les producteurs natio-naux. Mais, comme je le di-sais, pendant la phase detransition, les coûts sont par-tagés.

La liste des produits parcatégorie et celle àsoumettre à la Tai et laTcp par notre pays sont-elles disponibles pour legrand public ?Faisant suite de la réunion duComité national de gestion duTec de l’Uemoa du 17 décem-bre 2014, une liste de produitsproposés pour être soumis àla Tai et à la Tcp a été dresséeet notifiée à la Cedeao, maiselle n’est pas définitive. Elledevra être complétée. En effet,le règlement de la Cedeao quiinstitue ces mesures complé-

mentaires de protection (Taiet Tcp) dit clairement que surles 5 899 lignes tarifaires quecouvre le Tec Cedeao, chaquepays a le droit d’appliquer laTai et la Tcp sur 3%. Ce quicorrespondant à environ 177produits. Et la liste notifiée àla Cedeao ne comporte que 12produits dont 8 pour la Tai et4 pour la Tcp. Concernant le classement parcatégorie, on notera parexemple que le sucre brut decanne, les autres sucres decanne destinés aux industriesde raffinage, l’écru (tissu) dejute, les chaussures plastiquesétaient à 20%, mais ils bais-sent à 10% dans le Tec Ce-deao. En revanche, des produits ontvu leurs taux aller à la hausse(35%). C’est le cas de l’huilebrute, le pagne Wax, l’oignon,la pomme de terre, etc.

Avons-nous les moyensde faire face à lademande, notammentpour la pomme de terreet l’oignon produits auNiger par exemple ?Généralement, l’essentiel deces produits provient de l’ex-térieur de la Cedeao. Nousn’en produisons pas suffisam-ment et l’objectif est de déve-lopper les filières internesconcernées. C’est donc unmoyen d’encourager ces fi-lières à améliorer leurs capa-cités et compétitivité pourrépondre à la demande quinaîtra de la mise en œuvre duTec Cedeao. Pour l’instant, cesproduits resteront dans leursanciennes catégories pourpermettre aux 15 pays de la

Cedeao, d’ici cinq ans, de met-tre en place des stratégies dedéveloppement de ces filièresqui contribueront à résoudreaussi les problèmes de chô-mage.

Où sont classés lesproduits semi-finis etfinis du cacao ?Selon la structure du Tec Ce-deao, les intrants de premièrecatégorie sont taxés à 5% et lesintrants un peu plus élaborésà 10% ; les produits finis à20% et les produits sensiblesen raison de leur caractèrestratégique pour le dévelop-pement régional à 35%.

Les opérateurséconomiques, lescommerçants etindustriels sont-ilssuffisamment au fait deces nouvellesdispositions ? Je ne saurais dire si les activi-tés de sensibilisation menéesà ce jour sont suffisantes.Néanmoins, je puis affirmerqu’il y a eu de telles activités,notamment des ateliers à SanPedro, Abidjan, Bouaké. Cesactivités ont été conduites no-tamment par les ministèresen charge du Commerce etl’Intégration africaine. Mais jecrois qu’il en faut davantageau profit de tous les acteursparce que chacun apprécie leprocessus du Tec Cedeao enfonction de son activité. Les gens ont tendance à voirtout de suite ce qui est négatifdans la mise en œuvre du TecCedeao, mais à terme, commeje le soulignais, tout le mondeen tirera profit : consomma-teurs, commerçants, indus-triels. L’objectif final, c’est dedévelopper nos industries detransformation et de permet-tre à la population entière des’approvisionner à moindrecoût sur le marché en ayant lapossibilité de choix parmi desproduits de bonne qualité. Lagestion de la mise en œuvredu Tec Cedeao sur les cinq ansqui courent depuis le 1er jan-vier 2015 devrait être menéede sorte que chacun des ac-teurs ne sente pas trop l’im-pact de ces changementstarifaires.

Quelle peut être lapartition desconsommateurs et desopérateurséconomiques dans lamise en œuvre du TecCedeao ? J’invite les consommateurs etles opérateurs économiques às’approprier le Tarif extérieurcommun et à accompagner

les ministères en charge duCommerce et de l’Intégrationafricaine, voire l’ensemble duGouvernement de notre paysdans sa mise en œuvre. Ilssont invités à s’approprier enparticulier la réglementationsur le commerce, notammentla loi N° 2013-662 du 20 sept.2013 sur la concurrence ainsique les instruments de facili-tation des échanges. Entre au-tres, le Guichet unique ducommerce extérieur qui seraincessamment lancé pour fa-ciliter l’accomplissement desformalités pour l’import-ex-port ; le Réseau national d’in-formations commerciales(Rnic) et le Mécanismed’alerte des obstacles au com-merce (Maoc) qui comportentdes plateformes électroniquespour permettre aux opéra-teurs commerciaux de s’infor-mer et contribuer à la levéed’obstacles rencontrés dans lecadre de leurs activités. Tous ces mécanismes qui vi-sent à faciliter les échangescommerciaux devraient ap-puyer la mise en œuvre du TecCedeao qui nécessite la contri-bution de tous : les associa-tions de consommateurs,société civile, médias, opéra-teurs économiques, adminis-tration publique.

Existe-t-il un recourspour les opérateurséconomiques quiémettraient desréserves ? En ce qui concerne les entre-prises, elles doivent examinerminutieusement le Tec Ce-deao en rapport à la situationde leurs produits. Si d’aven-ture elles sont lésées par letaux prévu au Tec, elles peu-vent formuler des demandes,notamment de soumission deleurs produits à la Tai et laTcp.

Durant les 5 ans detransition, la Cedeaoprévoit-elle desprogrammes d’appuiaux entreprises ?En dehors du Tec, la Cedeaodispose d’autres programmesde développements. Parexemple, nous bénéficions deprogramme de renforcementde capacités en matière de né-gociations commerciales etdont la troisième phase serabientôt lancée. Dans le cadrespécifique du Tec Cedeao, cesont les mesures complémen-taires de protection qui sontprévues.

INTERVIEW RÉALISÉE PAR PAULIN N. ZOBO

Vendredi 9 janvier 2015 À la une 5

PHOT

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JJ eune Nanafouè de Ya-moussoukro, pour l’élec-tion présidentielle de2015, nous t’invitons àt’engager pleinement

pour l’appel du présidentHenri Konan Bédié. A fuir lespoliticiens de saison, sans pro-gramme de société, et à rejoin-dre dès à présent le train del’Emergence, pour une Côted’Ivoire développée et pros-père avec le Président Alas-sane Ouattara ». C’est ensubstance, l’appel que KouaméKouassi Clément, président dela jeunesse Nanafouè de Ya-moussoukro (Jeny) a lancé àses parents hier, au cours d’uneconférence de presse tenuedans les locaux de l’UniversitéAtlantique, au Plateau. Uneconférence dont le but étaitd’afficher clairement la posi-tion de cette structure de jeu-nesse qui regroupe les fils etfilles des 33 villages qui compo-sent le canton Nanafouè de Ya-

moussoukro, avant la cam-pagne présidentielle. La Jeny,dira son président, a décidé desoutenir l’appel de Daoukropour diverses raisons. « Lesjeunes, cadres et leaders d’opi-nion du canton Nanafouè sontreconnaissants au PrésidentAlassane Ouattara pour laconstruction de la Préfectured’Attiégouakro, le bitumage del’axe Yamoussoukro-Attié-gouakro, long de 14 km. Maisaussi pour le reprofilage despistes rurales, l’adduction eneau potable, la construction etla réhabilitation des écoles pri-maires, la lutte contre l’insécu-rité et l’érection trèsprochainement d’Attiégoua-kro en Commune», s’est-il jus-tifié. Selon lui, l’autorouteAbidjan-Yamoussoukro, lepont Henri Konan Bédié, lesponts de Jacqueville, Bouaflé,Béoumi, Bassawa sont égale-ment autant de réalisations quiattestent de la compétence et

de l’efficacité du chef de l’Etat.C’est pourquoi il a promis d’or-ganiser dans les prochainsjours des campagnes de sensi-bilisation et de mobilisationdans tous les villages Nanafouède Yamoussoukro afin d’ame-

ner leurs parents à s’aligner surl’appel de Daoukro. Plusieurscadres et présidents d’associa-tions Nanafouè ont pris part àcette conférence de presse.

CASIMIR DJEZOU

JJean-François Valette, lenouvel ambassadeur del’Union européenne, aété reçu, hier, en au-dience, par le Premier

ministre, Daniel Kablan Dun-can. A sa sortie, le diplomateeuropéen a dit être conscientde l’importance que la Côted’Ivoire attache à sa relationavec l’Union européenne. Etque « l’Ue est dans une nouvellephase des relations avec laCôte d’Ivoire ». Il a ajoutéque le chef du gouvernementivoirien est aussi conscient dufait que l’Union européenne achangé son organisation, cescinq dernières années, en deve-nant une institution avec unepolitique étrangère cohérenteet capable de faire la synthèsedes différents États membres,de les coordonner et d’avoir uneréponse cohérente aux besoinsdes pays avec lesquels elle coo-père. « Pour la Côte d’Ivoire,nous sommes particulièrementsatisfaits de savoir que l’actionde l’Union européenne a été dé-cisive, au moment où s’est dé-clenchée la crise post-électorale2010-2011, pour faire respecterla démocratie », insiste-t-il.Jean-François Valette indiquequ’après la crise post-électo-rale, l’action de l’Union a per-mis de relancer la machineadministrative et économiquede la Côte d’Ivoire qui en avaitgrand besoin. « Cela a été effi-

cace et les résultats sont aurendez-vous. Nous avons aussiévoqué les projets futurs quel’Ue a en Côte d’Ivoire. Nousallons continuer à dépenser en-viron 60 millions d’euros (en-viron 39 milliards de Fcfa) paran les cinq prochaines annéesdans le domaine de la gouver-nance », a-t-il poursuivi. Le diplomate européen a an-noncé que son institution estdisposée à agir dans le domainedu foncier rural. En vue de per-mettre aux personnes qui ont

des terres d’avoir des titres depropriété. « C’est un sujet surlequel nous allons retroussernos manches avec des moyensimportants. Et espérer quedans quatre ans, ce dossieraura beaucoup progressé,pour le plus grand bien desagriculteurs concernés et pourl’économie ivoirienne », dit-il. Jean-François Valette a égale-ment évoqué les prochains in-vestissements dans le secteurde l’électricité qui s’élèveront à140 millions d’euros (environ

91 milliards de Fcfa). « Le Pre-mier ministre m’a rappelé quec’est un secteur stratégiquepour la Côte d’Ivoire dans le-quel des investissements im-portants avec des partenairessont déjà prévus », note le di-plomate.Il a mis en relief la situation po-litique du pays qui s’est apaisée.Pour lui, les Ivoiriens doiventmaintenir cette volonté de vivreensemble pour un avenir com-mun. « Je crois que la pro-chaine élection le confirmera.

En tout cas, c’est notre souhaità tous. Mais ce qu’on voit d’oreset déjà, c’est le fait que cetteconfiance est nécessaire pourque ce climat apaisé s’étende,se développe », a-t-il souligné.Il a insisté pour dire que c’estcette confiance retrouvée quiattire les investisseurs. « L’économie ivoirienne abeaucoup perdu pendant lesdix dernières années par rap-port à son statut de 4e place

puissance économique enAfrique. Elle va le regagner sielle maintient cette croissancede 9 à 10% par an qu’elleconnaît aujourd’hui. Et si ellemaintient l’attractivité de sonterritoire pour les investis-seurs. Nous allons nous-mêmes nous attelés à ce projet,en parfait accord avec le gou-vernement », a-t-il conclu.

BROU PRESTHONE

Monsieur Charles Koffi Diby, ministre d’Etat, ministre des Af-faires étrangères convoque une importante réunion de travail :Date : Samedi 10 janvier 2015, à 10 heures,Lieu : Centre culturel Henri Konan Bédié de BouafléSont concernées les populations de la région de la Marahoué.Présence exigée des responsables des partis politiques, élus, ca-dres, chefs coutumiers, guides religieux, responsables de jeu-nesse et des femmes.

Ordre du jour : Inauguration du pont de la Marahoué, le 15janvier 2015, à Bouaflé et accueil de SEM. Alassane Ouattara,Président de la République.

LE MINISTRE D’ETATCHARLES KOFFI DIBY

CommuniquéMarahoué

Diplomatie

“ L’Ue est dans une nouvelle phasedes relations avec la Côte d’Ivoire ”Le nouvel ambassadeur de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, Jean-François Valette, a échangé avec le Premier ministre sur la vision de l’organisation pour le pays.

Présidentielle 2015

Yamoussoukro opte pour le Président Ouattara

Pdci - Rda

Les préparatifs du congrèsextraordinaire ont démarré

6 Vendredi 9 janvier 2015Politique

Jean-François Valette a été reçu par le Premier ministre. PHOTO : COULIBALY ABDOULAYE LL ’objectif de ce congrèsextraordinaire est de re-venir sur la résolutiondu congrès ordinaire(12e congrès) qui stipule

qu’aux élections de 2015, lecandidat du Parti démocra-tique de Côte d’Ivoire (Pdci)doit être un militant actif. Or,l’Appel de Daoukro exclut cela.C’est pour cela que nous allonsà ce congrès extraordinairepour prendre une autre résolu-tion qui va tenir compte del’Appel de Daoukro qui veutque ce soit le Président Alas-sane Ouattara le candidatunique du Rassemblement deshouphouétistes pour la démo-cratie et la paix.»Le ministre Etienne KobenanKouassi Adjoumani a tenu cespropos à l’issue de la réunion dela coordination du comité d’or-ganisation du congrès extraor-dinaire prévu le 28 février.Le porte-parole a fait le pointsur la réunion du jour. Il s’agitde donner des informationsconcernant le précongrès éclatéqui aura lieu le 21 février danstoutes les délégations départe-mentales, communales et géné-rales, suivi du congrèsextraordinaire, le 28 février.Ainsi, concernant le comitéd’organisation qui sera cha-peauté par le ministre MauriceKacou Guikahué, secrétaireexécutif du Pdci-Rda, il compte67 membres. Tous les vice-pré-sidents, les membres du secré-tariat exécutif, les déléguésdépartementaux, communauxet généraux et des élus choisispar grande zone feront partie dece comité.Quant à la coordination du co-mité d’organisation, son rôle estde veiller au bon déroulé destravaux préparatoires ducongrès extraordinaire.Le thème retenu pour cette ren-contre importante pour le Pdci-

Rda est : « De la candidaturedu Pdci-Rda à l’élection prési-dentielle de 2015 selon l’Appelde Daoukro.» Au dire du porte-parole, le thème renvoie au sa-crifice que le Pdci fait en portantson choix sur le Président Alas-sane Ouattara qui n’est pas unmilitant du parti et cela, dansl’optique d’une Côte d’Ivoireémergente. Le président Bédiélui-même a expliqué que sonappel prend en compte l’intérêtsupérieur de la Côte d’Ivoire quia besoin de paix pour son déve-loppement, mais aussi parceque le Chef de l’État a fait degrandes réalisations pour le dé-veloppement du pays. Aussi, es-time-t-il, il faut lui donner unsecond mandat pour acheverses grands chantiers.

THÉODORE SINZÉ

IInfo expressPROTESTATION. Ladirection nationale decampagne de LaurentGbagbo pour la prési-dence du Fpi protestecontre l’interpellationpar la police de son pré-sident, Assoa Adou.Dans une note dontnous avons reçu copiehier, le 1er vice-prési-dent, Alphonse Douaty,a pris à témoin la com-munauté nationale etinternationale. AssoaAdou, selon des sources,aurait été cité dans cer-taines attaques visant àdéstabiliser le pouvoir.Comme il est en vigueurdans les Etats de droit,cette interpellation sesitue dans la continuitéde l’enquête en cours.

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LLes agents du ministèred’Etat, ministère de l’Inté-rieur et de la Sécurité, ledistrict autonome d’Abi-djan, l’Union des villes et

communes de Côte d’Ivoire(Uvicoci), les inspecteurs géné-raux de la police, le corps préfec-toral et les différentes directionsdudit ministère ont présenté,hier, leurs vœux à Hamed Ba-kayoko.Le premier responsable de ce dé-partement ministériel a profitéde cette cérémonie qui s’est dé-roulée sur l’esplanade de son mi-nistère pour saluer et féliciterl’ensemble de ses collaborateurs,les policiers, le corps préfecto-ral… pour le travail accompli quia permis au pays de retrouver laquiétude. « Je vous exprimetoute ma gratitude pour le tra-vail accompli. Les résultats sontlà. Ils sont tangibles. Avec la sé-curité retrouvée, la cohésion so-ciale. Le Président de laRépublique, Alassane Ouattara,l’a reconnu lui-même avec desmots bien choisis. Il a indiquéque les indicateurs macro-éco-nomiques sont bons. Je tiensdonc à féliciter la police natio-nale et son directeur général

pour le travail réalisé», s’est fé-licité le ministre d’Etat.Hamed Bakayoko a aussi parlédes enjeux électoraux de 2015. Ilpense que cette année constitueun véritable tournant pour lepays. C’est pourquoi il demande

aux policiers de maintenir lecap. « Nous avons fait des pro-grès spectaculaires. Tout lemonde nous attend à un grandtournant. A savoir, l’électionprésidentielle d’octobre 2015.C’est à ce moment que l’on verra

si la Côte d’Ivoire a tourné défi-nitivement la page de la crise.Faisons tout pour que les élec-tions soient démocratiques,apaisées», affirme-t-il. Le ministre d’Etat, ministre del’Intérieur et de la Sécurité es-

time que le pays doit libérer sesénergies. D’où son invite à laCommission électorale indépen-dante à accomplir sa missionavec responsabilité.L’administrateur général de lapolice, Brédou M’Bia, a dit toute

la fierté de la police nationaled’avoir à sa tête Hamed Ba-kayoko qui lui a permis de dispo-ser de moyens pour faire face àses engagements. Ce qui a, dureste, permis de faire baisser l’in-dice de sécurité. Le directeur gé-néral de la police nationale aaussi salué la dotation des forcesde police d’un hélicoptère et lapromotion de certains officiersde la police. Il a promis au minis-tre d’Etat que la police nationaleprend l’engagement de poursui-vre ses efforts et de servir la na-tion. Brédou M’Bia a placé lanouvelle année sous lethème : « La police nationale, unservice de qualité». Le directeur général de l’admi-nistration territoriale, AmanyIpou Félicien, a relevé, à sontour, que le ministre d’Etat,Hamed Bakayoko est un hommede devoir. Il a fait remarquer queson engagement pour une admi-nistration territoriale moderne adonné des résultats perceptiblessur le terrain.Le ministre d’État a reçu des pré-sents de la part de certaines di-rections de son ministère.

BROU PRESTHONE

7Vendredi 9 janvier 2015 Politique

Élections

“ Faisons tout pour que la présidentielle de 2015 soit démocratique et apaisée ”Le ministre d’État, Hamed Bakayoko, a reçu les vœux des différentes directions de son ministère.

Hamed Bakayoko a appelé le corps préfectoral à continuer l’excellent travail qu’il abat au quotidien. PHOTO:SÉBASTIEN KOUASSI

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ZZokou Gbalé Kevin etZokou Séry Charles,deux frères, sont accu-sés d’avoir planifié l’as-sassinat du vieux

Coulibaly. Hier, les enfants dudéfunt, dans le cadre du pro-cès en assises des pro-Gbagbo, au Palais de lajustice, au Plateau, les ont for-mellement identifiés commeles meneurs du groupe de mi-liciens qui a lâchement assas-siné leur père. Le meurtre du vieux Couli-baly, dont la générosité allaitau-delà de leur quartier de laSicogi-William Ponty, selonCoulibaly Djakaridja, un deses fils, a eu lieu dans la nuitdu 18 avril 2011, une semaineaprès l’arrestation de LaurentGbagbo. «Nous étions enpleine prière quand des genssont venus bruyammentfrapper à la porte. Notregrande sœur, Coulibaly Ma-riam, sur ordre de papa, estallée aux nouvelles. C’est ainsiqu’ils lui ont intimé l’ordred’ouvrir la porte sous pré-texte que c’est la police », a-t-il déclaré. Puis d’ajouter quevu le ton menaçant et leur in-tention de fracasser la porte

en cas de refus, « ma sœurnous a demandés de fuir de lamaison. Elle s’est ensuite ca-chée sous le lit. Moi, je me suiscaché dans le plafond d’où jesuivais la scène. Les miliciensont fait irruption dans lamaison. Un des leurs, enca-

goulé, a tiré, à bout portantavec une kalachnikov sur levieux qui s’est affaissé sur lesol », a-t- il confié peiné.Il a indiqué que l’acte poséavait été diligenté par lesfrères Zokou, en particulierKevin qui avait menacé la fa-

mille Coulibaly de repré-sailles, si jamais son mentor,Laurent Gbagbo, tombait.« C’est lui qui a envoyé les mi-liciens tuer notre père. Il nousmenaçait de les conduire cheznous et de s’attaquer auxnordistes. Le soir de l’attaque,il était dans le couloir. Nosmaisons sont contiguës et ilpassait son clair de tempschez nous. Nous le considé-rions comme un frère », a re-gretté Coulibaly Djakaridja.Avant de préciser : « Peu detemps après la mort du vieux,Kevin dit Jo est venu cheznous. Regardant la dépouillede notre père, il a dit : ‘’ils (sesamis miliciens) ont exagéré.

Ce n’est pas ce qu’on leuravait dit ».Ce récit émouvant a été reprisen chœur par les autres fils dudéfunt, Coulibaly Zié Ibrahimet Coulibaly Issa. Les frères Zokou, devant lesquestions du président de lacour, Dembélé Taïrou et lesavocats du parquet, ont nié enbloc les faits qui leur sont re-prochés. Mais ils ont été

confondus par Diabaté Ibra-him, un jeune habitant duquartier qui a accusé « ses an-ciens camarades de jeu »d’avoir bel et bien comman-dité la mort du vieux Couli-baly.La troisième journée des au-diences, sur cette note triste, aété suspendue. Elles repren-nent le 12 janvier.

KANATÉ MAMADOU

Vendredi 9 janvier 20158 Politique

La troisième journée des audiences en assises a eu lieu, hier, au Palais de justice.

Procès des pro-GbagboDeux miliciens confondus par leurs victimes

LLe maire de la com-mune de Bangolo,Sah Évariste, asillonné, du 27 au 28décembre 2014, les 11

villages du canton Zeraba-hon, dans le département deBangolo. Devant les chefsdesdits villages réunis àKahen, dans la sous-préfec-ture de Zou, le député-mairede Bangolo a exhorté les po-pulations de sa circonscrip-tion à saisir la main tenduedu Président de la Répu-blique, Alassane Ouattara.«Le Président nous de-mande de nous inscriredans le processus de récon-ciliation pour, ensemble,bâtir et reconstruire le pays.Saisissons cette main ten-due pour développer notredépartement. Si nous ne lasaisissons pas, nous nepourrons pas rattraper leretard que notre départe-

ment a accusé. Regardonsun peu le travail d’Herculequ’il abat pour changer levisage du pays. Nous avonsété plus royalistes que le roi,raison pour laquelle nousavons payé le plus lourd tri-but aux crises passées’’, a-t-il souligné.Sah Évariste a appelé tousles cadres de Bangolo àl’union pour sortir le dépar-tement de l’ornière. « Il y a un temps pour la po-litique et un temps pour ledéveloppement. J’invite mesfrères à faire bloc autourdes élus, au lieu d’être déjàen campagne contre eux », adéclaré Sah Évariste. Il a, en outre, invité les ga-rants des us et coutumes àêtre des vecteurs de paix. Lemaire a, par ailleurs, expli-qué à ses mandants les loissur l’apatridie, sur la natio-nalité et celle sur le statut

des rois et chefs tradition-nels adoptée, récemment, auParlement. Il a rendu hom-mage au Président de la Ré-publique pour ses actions enfaveur de la paix et le retourde la sécurité dans le dépar-tement avant de remettreune enveloppe commecontribution à la réhabilita-tion des bâtiments devantabriter le logement et le bu-reau du futur administrateurde Kahen. Gbahou Flou Gilbert, aunom de la chefferie tradi-tionnelle, a répondu que lamain tendue du Chef del’État a été saisie depuislongtemps. ‘’Nous avons ac-cepté la main du Présidentpour la paix et le développe-ment’’, a déclaré le porte-pa-role des chefs.

SAINT-TRA BICORRESPONDANT RÉGIONAL.

Le procès de la crise post-électorale reprend lundi, au Palais de justice du Plateau.

Réconciliation nationaleLe maire Évariste Sah sensibilise

Réfugiés

Brou Amessan et JacquesKacou rentrés d’exil

BBrou Amessan Pierre,ancien Directeur gé-néral de la Radiodif-fusion télévisionivoirienne (Rti) et

Jacques Kacou, ancien prési-dent du Conseil d’adminis-tration de l’Ageroute ont misfin, hier, à leur exil au Ghana.Le premier cité, ex-directeurgénéral de la Radiodiffusion,télévision ivoirienne (Rti) etle second, fervent militantfrontiste à Treichville, ont été«convoyés» par AmaniN’Guessan, du Ghanajusqu’en Côte d’Ivoire. Ils ontété reçus par Agnès Monnet,secrétaire général du Frontpopulaire ivoirien (Fpi), ausiège de leur parti à Cocody-Attoban. Heureux de fouler lesol ivoirien et de retrouver lessiens, Jacques Kacou, dansson intervention, a remerciéla direction du Fpi chapeau-tée par Pascal Affi N’Guessan

pour avoir favorisé leur re-tour en Côte d’Ivoire.Brou Amessan a dit être venupour participer activement àla création d’une atmosphèrede bon vivre au sein du Fpidéchiré par une guéguerreentre les cadres. « L’heuren’est plus aux états d’âme.Mais aux états de service »,a-t-il dit.Agnès Monnet, porte-paroledu Fpi, s’est réjouie de l’arri-vée de ses camarades. Elle afélicité l’ancien ministre de laDéfense, Amani N’Guessan,pour la parfaite exécution dela mission que lui a assignéeAffi N’Guessan en ce quiconcerne le retour des réfu-giés pro-Gbagbo en Côted’Ivoire. Agnès Monnet a in-vité ses camarades à l’unionet à la fraternité pour un Fpifort et soudé.

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Page 10: Société 22 mai 2012 Mont (P.6-7)scns.e-monsite.com/medias/files/fratmat-15027-20150109.pdf · Vos opinions nous intéressent oumou.midosso@yahoo.fr Hommes et femmes de lettres,

M. le Premier ministre,quel est l’état de latransition, deux moisaprès la chute duPrésident Compaoré ?L’épilogue de la crise politiqueprofonde qui nous a plongésdans cette transition est sur-venu à l’issue des journées in-surrectionnelles des 30 et 31octobre 2014. Ce sont des mo-ments regrettables et doulou-reux, en ce sens que nonseulement notre pays n’en avaitpas besoin et, surtout, ce dé-nouement avec des consé-quences tragiques étaitévitable. Nous nous sommesainsi retrouvés au-devant del’histoire et des responsabilités. Depuis, nous nous efforçons dedonner le meilleur de nous-mêmes pour que la Transitionse déroule conformément à laCharte consensuelle que les ac-teurs se sont donnée. Il est troptôt pour esquisser un bilan, cardeux mois, comme vous le rap-pelez si justement, c’est assezcourt. Toutefois, au regard de nosambitions et de notre Chartequi est la feuille de route de laTransition, le chemin fait estappréciable. A ce jour, toutesles institutions prévues dans lecadre de la Charte pour unetransition consensuelle et apai-sée sont créées et, excepté laCommission de réconciliation,toutes sont fonctionnelles.Pour y parvenir, il nous a fallusauvegarder l’unité et la cohé-sion au sein des forces de dé-fense et de sécurité, organiserle transfert pacifique du pou-voir aux autorités civiles, rame-ner la paix sociale et rassurernos partenaires et la commu-nauté internationale. En ré-sumé, la Transition poursuitnormalement son chemin etnous sommes confiants en unefin heureuse de ce processus.

Quel est l’étatd’avancement despréparatifs de l’électionprésidentielle de 2015 ?Nous sommes en pleineconcertation avec tous les ac-teurs pour arrêter un projet dechronogramme dont la mise enœuvre réussie requiert l’adhé-sion de tous. D’ici la fin du moisde janvier, ce sera chose faite etnous nous consacrerons àl’exécution des différentestâches qui seront déterminéespour chacune des entités partieprenante.Le calendrier provisoire quenous avons prévoit la date du27 février comme le début duprocessus, avec le lancementde la révision du fichier électo-

ral. Le premier tour de la prési-dentielle est prévu le 11 octobre2015. Mais tout ceci reste sou-mis à l’approbation de l’ensem-ble de la classe politique.

Le Premier ministre est-ilen contact avec l’ancienPrésident ?Non. Je suis très absorbé parma tâche au quotidien. Réussirla transition est un devoir im-périeux. C’est ma préoccupa-tion aujourd’hui ; alors, je m’yconsacre totalement, nuit etjour.

Qu’en est-il despoursuites annoncéescontre lui ?Nous n’avons pas encore en-gagé de poursuites contre lePrésident Compaoré. Du reste,la presse a extrait une phrasedans l’entretien que j’ai accordéà la presse nationale le 27 no-vembre 2014 et l’a mise en ve-dette hors de son contexte. Ensubstance, j’ai indiqué au coursde cet entretien que si à la jus-tice, il y a une plainte déposéecontre lui, nous allons deman-der au Maroc de mettre le Pré-sident Compaoré à ladisposition de la justice du Bur-kina. Mais, il faut qu’il y ait unjuge qui s’en saisisse et que cen’était pas à nous de gérer cela.En notre qualité de pouvoirexécutif, nous ne pouvonsusurper la mission du pouvoirjudiciaire et demander sansmotif, l’extradition d’un citoyenburkinabè qui réside dans un

pays ami. Cependant, pour labonne exécution des procé-dures judiciaires, nous avons ledevoir de lui faciliter la tâche enprenant les actes réglemen-taires qui relèvent du pouvoirexécutif.

Avez-vous encore desrelations avec le généralDiendéré qui était votrepatron ?Nous nous voyons. C’est un of-ficier général qui a servi sonpays, qui a des choses à donner,et si nous avons besoin de lui,nous le consultons. Il n’y aaucun problème à ce sujet.

Comment se répartissentles rôles entre le Premierministre et le Présidentdu Faso ?Comme dans tout État républi-cain. Au regard des disposi-tions des titres III et IV denotre Constitution, les rôlessont très clairement définis.Le Président du Faso assumeles fonctions de Chef de l’État.Il est le Président de la Transi-tion et le Président du conseildes ministres. Il veille au res-pect de la Constitution, fixe lesgrandes orientations de la poli-tique de l’État. Il incarne l’uniténationale et est garant de l’In-dépendance nationale, de l’in-tégrité du territoire, de lapermanence et de la continuitéde l’État et du respect des ac-cords et traités signés par notrepays. Dans le contexte de laTransition, il assume en plus,

les charges de ministre des Af-faires étrangères et de la Coo-pération régionale. Le titre IV de la Constitutiondispose que le Premier minis-tre est le chef du gouverne-ment. A ce titre, il dirige etcoordonne l’action gouverne-mentale. Il est responsable dela politique de défense natio-nale définie par le Président duFaso. Il exerce le pouvoir règle-mentaire, assure l’exécutiondes lois notamment. Au regarddes obligations de la Charte dela Transition, je suis amené àassumer en plus, la responsa-bilité du ministère de la Dé-fense et des Ancienscombattants.Vous voyez qu’il n’y a pas deconfusion possible dans nos at-tributions respectives ; et donc,pas de collusion entre nous ;sinon, une intelligence de col-laboration ; car, vous le savezbien, le Président et moi nesommes pas des politiques,avec des agendas secrets ; maisplutôt des hommes de devoir,soucieux de réussir la missionqui est la nôtre, à savoir unetransition réussie dans l’intérêtdu Burkina Faso.

Quelles sont vos relationsavec les forces politiqueset la société civile burki-nabé?Nous avons le devoir, selon lestermes de la Charte de la Tran-sition, de conduire le processusde sortie de crise dans l’inclu-sion, la cohésion sociale, dans

un esprit de réconciliation na-tionale. Dans ce contexte, nousavons le devoir d’entretenir unclimat propice au dialogue po-litique et au dialogue social auplan national.Nous sommes donc à l’écoutede tous les acteurs de la Tran-sition et, à leur disposition pourla prise en compte de leurs sug-gestions pertinentes etconstructives pour une bonneconduite de notre Transition etpour favoriser la pleine atteintedes objectifs que se fixe notreprocessus.

On parle beaucoup del’influence des religions,particulièrement del’église évangélique sur lePremier ministre.Nos sociétés, heureusement,sont fortement ancrées dansdiverses croyances et lacroyance en Dieu. Ceci nousoffre une bonne soupape quicultive à tout instant, en toutecirconstance, l’apaisement descœurs, la paix, l’entente, la dis-cipline, le civisme, la concordeet l’entente, le vivre ensemble.Chacun de nous a sa croyance.Je n’échappe pas à cette réa-lité ; mais, je sais faire la partdes choses, quand il le faut et jevous assure qu’il en sera tou-jours ainsi. Nous ne cesserons, cependant,de solliciter toutes les autoritésreligieuses de notre pays à larescousse de la Transition.Leur accompagnement est unatout majeur pour le succès de

la Transition. Toutes nous ontassuré de leur disponibilité, deleur soutien et je profite de voscolonnes pour les en remercieret leur demander de continuerde prier Dieu afin que notrenation demeure dans la paix.

Et l’armée, a-t-elle del’influence sur vous ?Je suis militaire. Je suis minis-tre de la Défense nationale etdes Anciens combattants. L’ar-mée est présente en tant qu’ac-trice dans toutes lesinstitutions de la Transition etapporte sa contribution aurenforcement du processus. C’est vous dire que la personnede Zida n’est pas plus influen-cée que ne le sont toutes les ins-titutions ou personnalités de laTransition par l’armée. Le plusimportant, je crois, c’est quecette influence, s’il y en a, par-ticipe au succès de notre pro-cessus et ne constitue pas unhandicap dans sa marche.

La rue n’est-elle pas entrain de prendre lepouvoir en imposant leretrait de certainsministres ?Si vous remontez aux originesdu mouvement insurrectionnelde fin octobre 2014, et si vousintégrez les conditions qui ontamené le Président Compaoréà quitter le pouvoir, vous com-prendrez aisément le phéno-mène que nous vivons. Noussommes toujours dans cettedynamique qui a abouti au dé-nouement des 30 et 31 octobre2014.Il est possible que des acteurssouterrains utilisent certainsgroupes pour compliquer notretâche ; mais c’est dans la lo-gique des choses aussi et ilnous appartient de prendretoutes nos dispositions pourgarder le cap et conduire serei-nement notre Transition pourne pas décevoir les légitimes at-tentes des Burkinabè qui ontplacé leur confiance en nousainsi qu’aux autorités de laTransition. Nous travaillons àrestaurer la confiance ; aprèsquoi, l’autorité sera restauréepour l’intérêt général.

Vous avez limogé lesmaires, conseillersrégionaux et certainsdirecteurs généraux.Pour quelles raisons ?En ce qui concerne les direc-teurs généraux, ce sont des per-sonnes qui étaient fortementliées à l’ancien régime et qui ontpensé qu’elles pouvaient conti-nuer avec les mêmes méthodes,alors que le peuple avait ré-

Coopération

Le Premier ministre du Faso, Yacouba Isaac Zida, a accordé une interview au Dg de Fraternité Matin.Il évoque les relations avec la Côte d’Ivoire.

“ Nous demandons aux Ivoiriens de continuer à nous soutenir ’’

Le Dg de Fraternité , Venance Konan, a été reçu par le Premier ministre, Isaac Zida. (PHOTO : PRIMATURE BURKINA)

9Vendredi 9 janvier 2015 Interview

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clamé le changement. Si ces DGavaient été capables de change-ment, nous aurions continué demarcher avec eux. La preuve enest que des directeurs générauxà la tête de société tout aussiimportantes sont toujours enplace. Ceux qui sont partis ontmontré qu’ils ne pouvaient pasfaire l’affaire du régime actuel.Pour ce qui est des maires etdes conseils régionaux, nous lesavons dissous parce qu’il y avaitbeaucoup de problèmes. Denombreux maires étaientcontestés. Il y en a même quiavaient quitté leurs localités.

Nous avons estimé qu’il étaitmieux de dissoudre ces munici-palités et laisser au peuple lesoin de désigner de nouvellesautorités.

Le peuple a-t-il réclamé ledépart de ces maires etconseillers municipaux ?Nous avons crucomprendre que c’était lePrésident Compaoré qu’ilne voulait pas.Nous nous sommes sentis res-ponsables de la sécurité desBurkinabè. Et s’il y a une insti-tution ou un phénomène qui

menace la stabilité et la sécu-rité, nous devons prendre desmesures. Et vous voyez que de-puis que nous avons pris cesmesures, le calme est revenu. Ily a des administrateurs publicsqui ne sont pas politiques et quiassument ces fonctions. Tout lemonde est d’accord là-dessus. Ilest déjà arrivé à l’administra-tion de gérer directement lescollectivités. La loi a prévu cescas de figure et nous n’avonsfait qu’appliquer les disposi-tions de la loi. Ce n’est donc pasune première, ni une exception.Nous sommes en train de voir

comment organiser rapide-ment ces élections locales afinque les maires reprennent lamain.

Ce sera avant ou après laprésidentielle…Nous pensons que ce sera ladernière élection. Le plus ur-gent, ce sont l’élection prési-dentielle et les législatives.

Quel est l’état de lacoopération avec les paysvoisins, la Cedeao etsingulièrement la Côted’Ivoire ?

Vous m’offrez l’occasion de re-nouveler toute lareconnaissance de la Transi-tion et du Burkina, celle dupeuple burkinabè à tous nosvoisins, à toutes les organisa-tions sous-régionales, à l’Unionafricaine, à toutes les organisa-tions internationales, à tous lesamis et partenaires du BurkinaFaso pour leur compréhensionet leur accompagnement. De-puis les douloureux événe-ments que nous avons connus,ils nous ont témoigné leur inté-rêt, leur attachement, leur ami-tié, leur appui. Dès le départ,nous avons affirmé que nousrespecterons tous nos engage-ments internationaux, quenous nous inscrivons dans lacohabitation pacifique et le bonvoisinage avec tous les Étatsvoisins. Avec la République de Côted’Ivoire, le Burkina joue etcontinuera de jouer le rôle delocomotive de l’intégrationsous-régionale. La raison esttout à fait simple. Nous avonsdes relations qui puisent leurssources dans les racines d’unehistoire commune, d’un peuplecommun. Notre destin est lié etnous restons convaincus quenos relations se consoliderontdavantage dans les années àvenir.

La présence de l’ancienPrésident, BlaiseCompaoré, en Côte d’Ivoire est-elle gênante ?La présence du Président Com-paoré en Côte d’Ivoire n’estnullement gênante pour le Bur-kina. Elle ne peut pas être uncasus belli entre nos deux pays.Les États ont des intérêts quidépassent ceux des personnali-tés. Nous sommes plutôt atta-chés aux intérêts supérieurs denos peuples, de nos nations, denos États. Nous œuvreronstoujours à les préserver, à lespromouvoir et faire en sorteque nos actions communes dedéveloppement se renforcent. Je vous prendrai un seul exem-ple, le Traité d’amitié et de coo-pération entre nos pays qui aété signé par les PrésidentsGbagbo et Compaoré. Il aconnu son impulsion véritableavec le Président Ouattara.

Cette année, 2015, les deuxgouvernements vont se retrou-ver en terre ivoirienne pour lacinquième Conférence au Som-met entre les Présidents Alas-sane Ouattara et MichelKafando. C’est vous dire que lefait que le Président Compaoréséjourne dans votre pays neconstitue aucunement un obs-tacle à notre coopération exem-plaire.

Avez-vous un message à adresser au peupleivoirien et aux Burkinabèqui vivent en Côte d’Ivoire ?C’est un message de fraternitéet d’amitié. Le peuple ivoirienest pour nous une partie denous-mêmes. Nous leur disonsque ce que le Burkina Faso aconnu est un évènement qui vanous aider à grandir. C’est vraique cela a été douloureux,parce qu’il y a eu des pertes envie humaine, mais nous devonsregarder résolument vers l’ave-nir, pour que plus jamais ce quis’est passé n’arrive ; parce queles dirigeants doivent prendreen compte la volonté de leurspeuples. Nous voulons rassurer le peu-ple ivoirien sur le fait que nousici au Burkina Faso, nous sa-vons exactement où nous al-lons. Mais nous avons besoindes Ivoiriens, qu’ils puissentcontinuer de nous faireconfiance, de nous soutenir, denous aider. Que chaque fois sibesoin est, nous puissions nousasseoir et trouver une solution.Nous voulons que nos compa-triotes qui vivent en Côted’Ivoire se sentent chez eux. Ilest important pour nous quenos compatriotes là-bas ne sesentent à aucun moment in-quiétés. Nous demandons àleurs frères ivoiriens de les in-tégrer. Il est vrai que chaquepays a ses lois, et nous deman-dons à nos compatriotes de sesoumettre aux lois et règle-ments ivoiriens et d’être des ci-toyens exemplaires en termesde comportement. Nous appe-lons ces deux peuples à beau-coup de solidarité et de travailpour construire nos deux pays.

VENANCE KONANENVOYÉ SPÉCIAL AU BURKINA FASO

10 Vendredi 9 janvier 2015Interview

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LLes hépatites virales B et Csont en recrudescencedans notre pays. Leurprévalence nationale, es-timée respectivement à

12% et 3%, a franchi le seuil dutolérable. Leurs complicationsredoutables, car invalidantes etsouvent mortelles, exacerbentl’épineuse problématique de ladisponibilité permanente desressources humaines et des sur-coûts de soin pouvant occasion-ner des dérapages incontrôlésdes budgets de santé des entre-prises ». C’est par ces propos quele directeur général de la Cie,Dominique Kakou, a donné,hier, les raisons qui ont prévaluà l’engagement de l’entreprise decombattre les virus de l’hépatiteB et C (Vhb et Vhc).Le patron de la Compagnie ivoi-rienne d’électricité, qui s’expri-mait à la tribune de lancementde la vaste campagne interne delutte contre ces deux formes de

la maladie, au Centre des mé-tiers de l’électricité de Binger-ville, a indiqué que l’initiativevise à réduire l’impact desditespathologies sur l’activité et lerendement de l’entreprise.Les hépatites sont causes d’ab-sentéisme et d’invalidité profes-sionnelle. Elles augmentent lesdépenses de santé de l’entrepriseet du travailleur. D’où l’enjeu dela mise en œuvre de cette impor-tante mesure sociale qui, au direde Dominique Kakou, se décli-nera en quatre axes principaux.Notamment, l’information et lasensibilisation, le dépistage sys-tématique des 4000 employésde la Cie, la vaccination de tousles travailleurs sains et la priseen charge médicale de tous lesporteurs du virus de l’hépatite Bou C. Il s’agira surtout de décelerla maladie à un stade précoce etcurable pour éviter qu’elle de-vienne une cirrhose ou un cancerprimitif du foie.

Les séances de dépistage et devaccination vont se dérouler res-pectivement en 45 jours et 90jours, sur 76 sites répertoriés surl’ensemble du territoire natio-nal. Elles seront menées par lelaboratoire Roche et l’équipemédicale de la Cie.Pour Raymonde Goudou-Coffie,« 2 milliards de personnes dansle monde sont infectées par leVhb. 350 millions souffrentd’hépatite B chronique et 170millions sont porteuses chro-niques d’hépatite C ». Ces pa-thologies, au dire de laministre de la Santé et de laLutte contre le Sida, ont égale-ment une forte présence dansles entreprises. D’où son adhé-sion et son soutien à l’initiativede la compagnie d’électricité.« Le gouvernement appréciel’engagement et l’accompa-gnement de la Cie visant àmettre ses employés à l’abrides hépatites virales », a

conclu la représentante del’Etat.Le Pr. Cyrille Feray, hépato-logue, spécialiste des maladiesdu foie de l’hôpital Henri Mon-dor de Créteil (France), a, pour

sa part, insisté sur la nécessitéde combattre efficacement l’hé-patite sous toutes ses formes.Car elle est, de nos jours, un en-nemi public de l’humanité, untueur silencieux. L’expert fran-

çais, venu apporter sonconcours au projet d’envergurede la Cie, a encouragé les autori-tés locales à mener des actionsprécoces et préventives.

GERMAIN GABO

La Compagnie ivoirienne d’électricité a lancé, hier, une vaste campagne de lutte interne contre les formes B et C de l’hépatite en présence du Dr Raymonde Goudou - Coffie, ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida.

Santé en entrepriseLa Cie veut bouter les hépatites B et C hors de ses services

Vendredi 9 janvier 2015 Société 11

Raymonde Goudou - Coffie (3e à partir de droite) a posé avec les responsables de la Cie et les membresdu comité de pilotage de la campagne. (PHOTO : D. R)

LLes graves crises sanitairesmettent en évidence lagrande fragilité desfemmes. On l’a vu avec lapandémie du Vih-Sida.

Et l’épidémie à virus Ebola em-prunte cette tendance à la fémi-nisation. Au Libéria, parexemple, 75% des personnes in-fectées par le virus Ebola sontdes femmes, relève à ce proposla Représentante résidente del’Onu-femmes, Marie GorettiN’Duwayo. C’est pourquoi elle aexhorté les décideurs à s’assurerque les femmes se trouvent aucentre de toutes les initiatives enmatière de santé. C’était à l’ou-verture du séminaire de forma-tion qui s’est tenu, récemment,au Campc (université FélixHouphouët-Boigny). Cette for-mation organisée par le minis-tère de la Santé et de la Luttecontre le Sida, en collaborationavec Onu-femmes, a réuni desfemmes leaders dans divers sec-teurs d’activité autour du thème

« Genre et santé ». Le droit desfemmes à la santé a soulignéMarie Goretti N’Duwayo faitpartie des 12 thèmes qui ont étédébattus lors de la conférencesur les femmes de Beijing. Ellea rappelé les instruments inter-nationaux qui demandent auxEtats de prendre les dispositionspour permettre à la femme dejouir de son droit à la santé.Pendant ces deux jours de ré-flexion, il s’est agi de voir com-ment la femme s’implique dansle domaine de la santé et com-ment sa santé est prise encompte. La formation a été as-surée Malanhoua Kouassi Aimé,enseignant chercheur en droit.Après l’état des lieux sur lesconditions de santé de lafemme, les participantes ontplanché, entre autres modules,sur la problématique du genre etdu droit à la santé, afin de res-sortir les liens entre genre etsanté.« C’est une formation straté-

gique. Il y a des inégalités liéesaux traditions et croyances.Avec cette formation, lesfemmes pourront mieux choisiret mieux agir », a estimé le for-mateur.« La santé s’impose à tous. Lafemme doit vivre la santé etporter aussi la santé », a indi-qué la ministre de la Santé et dela Lutte contre le Sida, Dr Ray-monde Goudou-Coffie. Elle aencouragé les participantes àtirer profit de ce séminaire, afinque cette session ne soit pas uneformation de trop. Elle a insistépour que tous les résultatssoient mis en application. PourRaymonde Goudou-Coffie, si lesfemmes capitalisent les ensei-gnements, elles pourront rele-ver le niveau des débats sur lesquestions d’intérêt général. Etfaire ainsi la fierté de leur com-munauté.

SÉTHOU BANHORO

Genre et santéLes femmes leaders renforcent leurs capacités

EEn 2014, le Pepfar a mobi-lisé plus de 61 milliardsde Fcfa (122 millions dedollars Us) en Côted’Ivoire (…). Depuis

2004, on estime à environ 500milliards de Fcfa (Un milliard dedollars Us) les montants investispar notre structure dans la luttecontre le Sida dans ce pays ».C’est ce qu’a révélé, mercredi, àla presse, Heather Davis, coordi-natrice du Plan d’urgence duPrésident des États-Unis pour lalutte contre le Vih/Sida (Pepfar)en Côte d’Ivoire. C’était au coursd’une rencontre qui a eu pourcadre la salle de conférences del’ambassade des Usa à Cocody.La représentante américaine aindiqué que le Pepfar est une ini-tiative du gouvernement desEtats-Unis visant à soutenir les

pays partenaires dans le cadre dela riposte contre la pandémie. Pour ce plan en vigueur depuis2004, les Usa ont engagé plus de25 000 milliards de Fcfa (52 mil-liards de dollars Us) dans desprogrammes bilatéraux de luttecontre le Vih/Sida, la tubercu-lose et le paludisme dans lemonde.Heather Davis a également dé-voilé des chiffres de l’exercice del’année écoulée pour la Côted’Ivoire. En 2014, 1 594 001 per-sonnes dépistées ont reçu leursrésultats. 186 159 personnes vi-vant avec le Vih bénéficient desoins cliniques, tandis que129 993 sont sous traitement an-tirétroviraux. 16 131 femmes en-ceintes positives au Vihreçoivent la prophylaxie antiré-trovirale.

Par ailleurs, la Côte d’Ivoirecompte, à ce jour, 1440 sites dedépistage du Vih, 885 sites deprévention de la transmissionmère-enfant (Ptme) et 539 sitesde traitement antirétroviral.Deborah Birx, ambassadrice iti-nérante, coordinatrice mondialedu Pepfar, qui a pris part à larencontre via une téléconfé-rence, a souligné que le planaméricain, en 11 ans de collabo-ration avec les pays partenaires,a permis de tripler le nombre depersonnes ayant accès aux soinscontre le Sida. Elle a appelé à une sensibilisa-tion accrue des masses aux mé-faits de la pandémie qui,met-elle en garde, « n’a pas en-core été vaincue ».

G. GABO

Lutte contre le Vih / Sida en Côte d’IvoireLe Pepfar a mobilisé plus de 61 milliards de Fcfa en 2 014

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AAvec nos ressources pro-pres, nous envisageonsla création de 25 000emplois en 2015». Ledirecteur général du

Fonds national de la jeunesse(Fnj), Lancina Bamba, a ainsi

exposé les ambitions de sastructure pour la nouvelleannée, lors d’une rencontre, le24 décembre, au siège du Fnj, àla Riviera 3. Selon lui, ces em-plois vont coûter 4,200 mil-liards de Fcfa au fonds. «Mais

aujourd’hui, nous avons unecapacité opérationnelle decréer 100 000 à 200 000 em-plois par an», précise-t-il. Ilsalue ainsi «la capacité opéra-tionnelle» du Fnj qui, selon lui,«n’est plus à démontrer». Seu-

lement, estime-t-il, son niveaude création d’emplois dépenddes ressources dont il dispose.Le directeur général du Fnj ap-pelle alors à «une implicationforte des partenaires finan-ciers, au-delà de l’Etat».

Pour l’année qui vient de com-mencer, Lancina Bamba an-nonce qu’un point d’honneursera mis sur «les projets clefsen main» qui ont un fort po-tentiel de création d’emplois. Ilexplique que ce type de projetsa également l’avantage decontribuer au renforcement dela cohésion sociale, l’autre mis-sion du Fnj. La mise en œuvre de ces projetsse fera en partenariat avec lescollectivités décentralisées.Puisque les mairies et lesconseils régionaux connaissentmieux les potentialités locales.Quant aux bénéficiaires, ilssont associés à l’aspect théo-rique des projets ; ce qui leurpermet de bien s’en imprégneret de se les approprier. Tandisque la mise en œuvre leur in-combe uniquement. «Le Fnj nemettra pas d’argent liquide àla disposition des jeunes, maisdu matériel de productionqu’ils utiliseront», prévient-il.«Nous nous occupons de l’éla-boration du projet mais samise en œuvre est l’affaire ex-clusive des jeunes», souligne-t-il.

10 718 emplois créés en 2013 et 2014Les collectivités décentraliséesdevront accompagner lesjeunes à… solutionner les as-pects qui ne sont pas forcémentprévus dans le projet ou quisont de nature à alourdir lecoût du projet, indique LancinaBamba. Il pense que ces collec-tivitéssont doublement bénéfi-ciaires de tels projets. «Cesprojets résolvent la questiondu chômage et, par ricochet,celle de la sécurité à travers lacréation d’emplois et de ri-chesses pour les jeunes. Lacréation d’emplois booste for-cément l’activité économiqueau plan local. Les collectivitésont tout à gagner dans cettecollaboration avec le Fnj», es-time-t-il. Au cours d’une cérémonie-

bilan, le 29 décembre, dans unrestaurant à Cocody, LancinaBamba a loué les prouesses duFonds. «La pertinence duFonds est avérée et positionnele Fnj comme l’outil incontour-nable dans la lutte contre lechômage des jeunes par lacréation d’emplois pérennes, àtravers l’insertion socioprofes-sionnelle réussie des jeunes parla promotion de l’entrepreneu-riat», s’est-il félicité. Et d’expli-quer qu’en deux ans (2013 et2014), ce sont 103 projets quiont été financés ou sont encours de financement, pour unmontant global de 2,500 mil-liards de Fcfa. Il s’agit de 88projets individuels et 15 projetscollectifs clefs en main. Les projets individuels ont créé742 emplois directs et 950 em-plois induits. Tandis que lesprojets collectifs ont généré1 551 emplois directs et 7 275indirects. Soit un total de10 718 emplois créés en deuxans. Sur les 103 projets, fait remar-quer Lancina Bamba, 51 entre-prises sont effectivement etentièrement installées depuis2013. Aujourd’hui, 50 de cesentreprises (qui sont des start-up), sont en fonction. Alors queles statistiques internationalesveulent que plus de la moitiédes start-up disparaissent du-rant les deux premières annéesd’existence. Il a annoncé qu’en 2015, le Fnjambitionne de créer un projetcollectif clef en main danschaque département de Côted’Ivoire. «Le Fnj sera davan-tage présent dans le milieurural, avec des moyens de pro-duction modernes. Il s’agira defaire partir le développementdu monde rural vers le mondeurbain, de faire partir l’émer-gence des villages, des cam-pagnes, vers les villes»,projettele directeur général.

PASCAL SORO

Le directeur du Fonds national de la jeunesse, Lancina Bamba, lève le voile sur ses ambitions pour la nouvelle année.

Emploi jeunesLe Fnj veut créer 25 000 emplois en 2 015

Vendredi 9 janvier 2015Société12

Lancina Bamba, Dg du Fnj. (PHOTO D’ARCHIVES, PORO DAGNOGO)

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SSituer les opérateurs dusecteur sur les opportu-nités à saisir en partici-pant, aux côtes desofficiels, au 46e Salon in-

ternational du tourisme deBerlin (Itb 2015) en Allemagne,du 4 au 8 mars, est l’objectif dela réunion préparatoire quis’est déroulée, hier, dans unhôtel d’Abidjan.Autour du ministre du Tou-risme, Roger Kacou, se trou-vaient SEM. Léon AdomKacou, ambassadeur de Côted’Ivoire en Allemagne (et enHongrie, République Tchèque,Pologne et Roumanie) et Jean-Marie Somet, directeur généralde Côte d’Ivoire Tourisme, l’of-fice national en charge de lapromotion de la destinationCôte d’Ivoire et de l’accompa-gnement des opérateurs. Il res-

sort qu’avec les acquis de 2014,l’année en cours s’annonce trèsactive et qu’il faille les renfor-cer, notamment avec la nou-velle approche des missions depromotion du tourisme ivoi-rien à l’étranger. A l’instar des Salons de Paris etLyon (France), Madrid et Bar-

celone (Espagne), Casablanca(Maroc), Dubaï (EmiratsArabes Unis), entre autres sa-lons internationaux d’enver-gure, celui de Berlin est d’uneimportance capitale. D’autantplus que le marché allemandest l’un des plus grands émet-teurs mondiaux. Notamment

pour ce qui est du tourismeécologique, nonobstant les au-tres formes que sont le bal-néaire, d’aventure, religieux,culturel, d’affaires, sportif,scientifique et l’agrotourisme.L’Itb 2015, c’est un budget de 6milliards d’euros (environ3 900 milliards de FCfa),160 000 m2 de parc d’exposi-tion, plus de 120 000 visiteursde 180 pays, 10 000 exposants,7000 journalistes…

Des performances à améliorer…En effet, renforcer et accroîtredes statistiques affichant 3.6 duPib, 500 000 touristes, 3000emplois directs et 9000 indi-rects, 140 milliards de FCfad’investissements dans les ré-ceptifs hôteliers requiert unemise en synergie et/ou unemutualisation des actions dansune dynamique du partenariatpublic/privé. Comme l’expli-quera le ministre, soutenu parle Dg de Côte d’Ivoire Tou-risme. Qui a évoqué le sens dela mutualisation des actionsavec le Centre de promotion

des investissements en Côted’Ivoire (Cepici) et les Ports au-tonome d’Abidjan (Paa) et deSan Pedro (Pasp). Justement, avec ces deux der-nières institutions, selon SEM.Adom Kacou, un jumelage esten vue avec le Port de Ham-bourg, centre névralgique del’économie allemande, pre-mière puissance européenne.Mais aussi et surtout, point dedépart du tourisme de croisièredont les Allemands sont toutaussi friands.La diversification de l’offre tou-ristique, dans cette veine, re-quiert un minimumd’expertises spécifiques ainsique des outils adaptés. C’estpourquoi les opérateurs se féli-citent de l’approche participa-tive impulsée parl’administration touristiqueafin de permettre aux opéra-teurs de renforcer leurs capaci-tés.

… 2 bateaux et 2 buspour lancer la saison 2015En tout état de cause, les auto-

rités et opérateurs s’accordentà faire coïncider le tourisme axésur l’offensive internationale etl’amélioration de l’offre inté-rieure. Pour débuter la saison2015, en plus des mesures inci-tatives et de facilitation au pro-fit des tour-opérateurs,voyagistes, compagnies aé-riennes, loueurs de véhicules,hôteliers et restaurateurs,guides touristiques, profession-nels du divertissement…, Côted’Ivoire Tourisme a acquis,pour accompagner les opéra-teurs, deux bus climatisés etdeux bateaux de plaisance.Ces engins permettront auxopérateurs de décupler, selondes offres précises sous formede packages, leurs affaires. No-tamment avec les nouvelles in-frastructures dont le pont HKBqui pourrait, à coup sûr, êtreun produit d’appel en matièrede tourisme lagunaire. Sanscompter avec les possibilités del’intérieur du pays dont les ri-chesses ne demandent qu’àêtre promues.

RÉMI COULIBALY

Renforcer les acquis sur le marché allemandLe ministre Roger Kacou a présidé, le 8 janvier, une réunion préparatoire au 46eSalon international de Berlin, en présence de SEM. Léon Adom Kacou, ambassadeur ivoirien en Allemagne.

Tourisme

LLes premiers lauréats duconcours Start-Up, quia eu lieu en 2014, à l’oc-casion du 4e forum In-vestir en Côte d’Ivoire

(Ici), viennent de bénéficierd’un financement pour la réa-lisation de leurs projets.Hier, à Cocody les Deux-Pla-teaux, quatre d’entre eux, surles 10, ont reçu du Fonds ivoi-rien pour le développementdes entreprises nationales(Fiden), des chèques d’une va-leur de 75 millions de F cfa.Tous ont été sélectionnés sur labase de projets qui se « distin-guent de par leur qualité »,précise Jean-Louis Kouadio,secrétaire général administratifpar intérim du Fiden.Yao Kouadio (2e Prix du Pre-mier ministre), obtient un fi-nancement de 20 millions de F

cfa pour son projet Ecofind,basé à Grand-Bassam. Son ini-tiative tend à la transformationet la valorisation de la noix decoco en fibre et autres produitsdérivés. Koné Gninlnagnon (3ePrix de la Cgeci), avec KatioApka, Riz délice, de Katiola,bénéficie de 15 millions de Fcfa. Son projet vise à promou-voir la disponibilité et laconsommation de ce riz prove-nant du centre du pays. Pourlui, il s’agit d’encourager la jeu-nesse à s’investir dans la rizi-culture.Quant à Koné N’Vally (9e Prixdu Forum Ici) et Djibré Serge(6e du même Prix), ils partentavec 20 millions de F cfa, cha-cun. Leurs projets, basés res-pectivement à Katiola etAbidjan, sont axés sur la trans-formation des feuilles sèches

de quinquéliba (thé des sa-vanes) en produits finis et laconception d’un distributeurautomatique d’unités télépho-niques multi opérateurs afin degarantir la disponibilité d’uni-tés téléphoniques de façoncontinue. Ces financements vont servir àl’achat de biens d’équipement,de véhicules de collectes, demachine de production, etc.,selon Emmanuel Essis Esmel,directeur général du Centre depromotion des investissementsen Côte d’Ivoire (Cepici), initia-teur du concours. Cependant,comme l’explique Djéréké Pas-cal, président du comité de ges-tion du Fonds, ces montantssont soumis à un rembourse-ment afin de soutenir d’autresprojets. En décembre 2013, leFiden avait enregistré 332 pro-jets au départ pour ne retenirque 50 et plus tard 10, aprèsune autre sélection des plus ri-goureuses.Au dire du patron de cettestructure rattachée à la Prési-dence de la République, desdiscussions sont en cours pourfinaliser le financement deslauréats restants. Et jusqu’à lami-2015, ce sera chose faite.L’idée est d’encourager l’entre-preuriat en y apportant une as-sistance tant institutionnelleque financière dans un pays oùles Pme contribuent à environ20% du Pib et 23% des emploisstables.

ANOH KOUAO

Concours Start - Up 2 014Des lauréats décrochent unfinancement de 75 millions de F cfa

Remise de chèque au lauréat par Esmel Essis, Dg du Cepici. (PHOTO : D. R)

Roger Kacou, ministre du Tourisme . (PHOTO : D. R)

13Vendredi 9 janvier 2015 Économie

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AAprès six ans d’investis-sements massifs en fa-veur du développementde la culture de l’hévéa,le Fonds de développe-

ment de l’hévéa (Fdh) connaî-tra une forte baisse du volumede son appui à la filière en 2015.L’annonce a été faite le 8 jan-vier, par Albert Koffi Konan, se-crétaire exécutif du Fdh, aulancement de la campagne2015 du Fonds. Le Fdh est victime de la chutedu cours du caoutchouc naturelsur le marché mondial depuisdeux ans et «d’une fiscalité qui,avec le temps et malgré sa ré-vision, continue de constituerune contrainte pour la renta-bilité de la filière», a expliquéAlbert Koffi Konan. Ainsi, pour 2015, l’objectif deplantations à créer, grâce à sessubventions, est fixé à 8000 hacontre 20 à 30 mille hectarespar an de 2011 à 2014. Un chif-fre très loin des 30 000 ha l’anattendus pour réaliser les300 000 ha projetés à l’horizon2020. Concrètement, chaquebénéficiaire de la subventionFdh aura l’équivalent de seule-ment 6 hectares au maximum,

contre 20 hectares ancienne-ment pour les planteurs en pro-duction et 3 hectaresmaximum pour les nouveauxcandidats contre 10 hectares,les années antérieures. A celas’ajoute la réduction du mon-

tant global de la subvention parplant d’hévéa de 75 F Cfa. Malgré cette traversée difficile,le Fonds de développement del’hévéa encourage les produc-teurs à toujours s’intéresser àcette culture. «L’hévéa fait en-core rêver », s’est exclamé Al-bert Koffi Konan. Par ailleurs, le secrétaire exécu-tif du Fdh a exhorté les produc-

teurs à s’intéresser au Projetd’appui au secteur agricole(Psac), une initiative financéepar la Banque mondiale,l’Agence française de dévelop-pement à travers le Contrat dedésendettement développe-ment (C2d) et l’Etat de Côted’Ivoire. «Pour la filière hévéa,c’est un financement global de6,65 milliards de F cfa qui est

orienté vers l’appui aux plusdémunis, aux femmes et auxjeunes», a-t-il précisé. C’est unappui complémentaire à l’ac-tion menée par le Fdh en fa-veur du développement de lafilière en ciblant les plus vulné-rables.Lancé en 2009 par l’Associa-tion des professionnels ducaoutchouc naturel de Côte

d’Ivoire (Apromac), le Fdh a in-vesti près de 23 milliards de FCfa en six ans pour financer di-vers projets au profit de ses bé-néficiaires. Il estessentiellement alimenté pardes prélèvements opérés sur lesacteurs de la filière.

DAVID YA

LLe personnel de l’Autoriténationale de régulationdu secteur de l’électri-cité (Anaré) a présenté,le 6 janvier, ses vœux de

nouvel an au président duConseil d’administration, MeFofana Youssouf et au direc-teur général, Hippolyte Eba-gnitchié. La cérémonie qui s’estdéroulée dans ses locaux, dansl’immeuble EECI, a été l’occa-sion de faire le bilan et de déga-ger les perspectives. Dans le cadre du plan straté-gique 2013 – 2015, la direction

générale a posé plusieurs ac-tions notables. Notamment lamise sur pied de la revue pério-dique des activités de la struc-ture pour évaluer les projets, laréorganisation structurelle(promotion des collaborateurs)pour répondre aux défis futurset aux attentes des clients,l’avancement du personnel etle renforcement des mesuressociales pour le bien-être descollaborateurs. En ce quiconcerne les perspectives, il estprévu l’inauguration du secondPoint d’accueil du consomma-

teur d’électricité (Pacel), à Ya-moussoukro. Et dont le but estde se rapprocher davantage desconsommateurs de l’intérieurdu pays. Enfin, l’élaboration duprochain plan stratégique 2016– 2018. La porte-parole du personnel,Bertine Kouadio, a surtoutsalué la gestion axée sur les ré-sultats, l’outil de gestion inté-grée des services (Erp) et lapolitique sociale renforcéemettant ainsi les collaborateursau cœur du management par-ticipatif.

Le directeur général de l’Anaré,Hippolyte Ebagnitchié, a saluéles bons résultats obtenus et arecommandé à ses collabora-teurs de redoubler d’ardeur autravail dans la paix et la cohé-sion. Ce qui permettra deconsolider les acquis qui ferontde la structure un régulateur deréférence en matière d’énergieen Afrique.

P. N. ZOBO(SOURCE : SERCOM. ANARÉ)

Le Fonds de développement de l’hévéa (Fdh) a lancé sa campagne 2015, le 8 janvier, au siège de l’Apromac, aux II Plateaux Vallons.

Hévéaculture

Baisse drastique des subventions du Fdh aux producteurs

Régulation de l’électricité en 2 015L’Anaré entend être plus proche des consommateurs du pays profond

14 Vendredi 9 janvier 2015Économie

Albert Koffi Konan, secrétaireexécutif du Fdh. (PHOTO : FDH)

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EE n plus des actions dugouvernement, les filleset fils de Touba doivents’unir pour sortir la ré-gion de la léthargie dans

laquelle elle est plongée depuisquelques années». Tel est l’appellancé par Mamadou Sanogo,ministre de la Construction, duLogement de l’Assainissementet de l’Urbanisme, à l’endroit deses frères et sœurs de la régiondu Bafing. Ce, à la faveur du lan-cement officiel des activités de‘’Badégnan’’ (Fraternité), l’asso-ciation des femmes commer-çantes de cette région. C’était le 2

janvier, à la place de l’ancienmarché. Le ministre qui présidaitla cérémonie a donc saisi cetteopportunité pour sensibiliser lescadres et ressortissants de la ré-gion à la nécessité de s’intéresserau développement deTouba. « Nous exhortons tousnos frères et sœurs, ressortis-sants du Bafing, à venir au vil-lage. Taisons les querelles.Unissons-nous pour booster ledéveloppement de la région.Personne d’autre ne viendra lefaire à notre place », a-t-il rap-pelé à l’auditoire. Il a annoncé lacréation d’une association pour le

développement intégré du Ba-fing, cadre apolitique pour fédé-rer les compétences. Dévoilantun pan des activités de cette cel-lule, le ministre a confié, entreautres, qu’elle aidera à résorberun tant soit peu le taux de chô-mage. Cela, conformément à la

politique d’emploi du présidentAlassane Ouattara. Ensuite, il a invité les membresde Badégnan à rester soudées,afin de bénéficier du fonds d’aideaux femmes de la Première damede sorte à dynamiser leurs activi-tés. Avant cela, Mamadou Sa-

nogo leur a fait don d’une enve-loppe de 2,5 millions de Fcfa.Anzoumana Bamba Marino,chef d’entreprise, parrain de lamanifestation leur a offert lasomme de 3,5 millions de Fcfa.Au nom de “ Badégnan ’’, la pré-sidente Man Koungolo a exprimé

son infinie gratitude aux dona-teurs pour leur sollicitude et pro-mis d’en faire bon usage afind’assurer l’autonomie financièredes membres.

MOUHAMED FADIGACORRESPONDANT LOCAL

15Vendredi 9 janvier 2015 Régions

Le 2 janvier, le ministre a sensibilisé les cadres et ressortissants de la région.

Touba

Mamadou Sanogo prône l’union pour le développement

DaoukroDes enseignants formésà l’utilisation de Sankoré

San PedroLa mairie expérimente une techniquede revêtement des voies non bitumées

LL ’Antenne de la pédagogieet de formation continue(Apfc) de la région de l’If-fou a organisé, en débutde semaine, une forma-

tion à l’intention des enseignantsdu primaire et du secondaire àl’utilisation de l’outil Sankoré,projet français qui s’insère dansle domaine de l’enseignementnumérique en Côte d’Ivoire. Laformation comportait 3 mo-dules. À savoir : la présentationde Sankoré, la maîtrise de l’outilSankoré et l’élaboration desfiches pédagogiques. Selon le formateur KouadioToussaint de la Dpfc (Directionde la pédagogie et de la forma-tion continue), au niveau de laDrenet de l’Iffou, les participants

ont bien assimilé l’outil Sankoréet peuvent le transmettre à leurscollègues enseignants. KonanN’Guessan, le responsable del’Apfc de l’Iffou, a souligné que leplus important dans cette for-mation est la motivation des en-seignants. Il les a ainsi exhortésà prendre au sérieux ce projet,afin de faciliter la transmissiondes connaissances acquises auxélèves.Rappelons que le projet Sankoréest financé par la France à hau-teur de 4,8 milliards de F Cfa.Dans l’Iffou, ce sont 54.908élèves du primaire et 25.393élèves du secondaire qui pour-ront en bénéficier.

EDGAR YÉBOUÉCORRESPONDANT RÉGIONAL

PPendant que les travaux deréhabilitation de la voirieurbaine sur 7 kilomètreslancés par le gouverne-ment dans le cadre du

Prici battent leur plein, la mairiede San Pedro, avec le concours del’entreprise Ivoire Travaux, ex-périmente un revêtement desvoies non bitumées de la ville.C’est la voie menant au quartierKroumen à Séwéké, près del’église des Assemblés de Dieu,distante de 200 mètres, qui a étéchoisie pour cette phase expéri-mentale. Elle a eu lieu la semainedernière. Selon Azize Diabaté ducabinet conseil Corfina qui a ef-fectué le déplacement de SanPedro avec le directeur de la so-ciété espagnole RavenswoodConstruction, détentrice de latechnologie, Eduard Domingo,cela consiste, à partir d’un pro-duit à base biologique, de com-pacter la terre et lui maintenir sacouleur. Ce sont 20 litres de pro-duits mélangés à 12000 litresd’eau qui sont répandus sur le solet compactés par la suite à l’aided’un compacteur. « On peut

comparer cette application ausol ciment qu’on met avant demettre le bitume. Mais, il est plusrésistant que le sol ciment car,une fois l’application faite, il peutdurer au moins 5 ans et la com-mune n’aura plus à reprofiler lesvoies chaque année. Le coût derevient est moins cher, compa-rativement au bitume», soutien-nent les promoteurs. Ils affirmentque cette technique est très utili-sée en Amérique latine. En Côted’Ivoire, c’est la localité deBouaké qui a bénéficié, la pre-mière, de cette expérience quiprend en compte la spécificité dechaque route. Ouédraogo Ma-madou, directeur générald’Ivoire Travaux, indique, poursa part, que depuis trois ans, ilssont en contact avec les promo-teurs. « Les études ont été faiteset les avantages sont probants.Avec l’accord du maire ClémentNabo, nous les avons invités àvenir à San Pedro », dit-il.

MARTIAL DETCHICORRESPONDANT RÉGIONAL

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DDans son projet de déve-loppement, le gouverne-ment a promis d’offriraux jeunes des emplois etdes activités génératrices

de revenus. C’est dans ce cadreque le ministre d’Etat, ministrede l’Intérieur et de la Sécurité,Hamed Bakayoko, a remis, le 24décembre 2014, 3600 bons de

permis de conduire à la Sociétécivile active pour le développe-ment du Haut - Sassandra(Socad-Hs). C’était au coursd’une cérémonie à la salle de réu-

nion de la préfecture de région deDaloa. Ces bons seront répartisentre les jeunes des départe-ments de Daloa, Vavoua, Zou-kougbeu et Issia.

Dans son intervention, BrouKouamé, préfet de Daloa, repré-sentant le ministre, a apprécié àsa juste valeur ce don de hauteportée sociale. «Grâce à l’actiondu gouvernement, de nombreuxjeunes pourront se trouver unemploi de chauffeur et s’insérerdans le tissu social. L’octroi despermis permettra, j’en suis per-suadé, de réduire considérable-ment le taux d’accidents dans larégion», a-t-il relevé. A sa suite, Koné Lacina, secré-taire général de la Socad-Hs,porte-parole du président de la-dite association, Coulibaly Ami-dou, a d’emblée indiqué que cetteremise de bons est l’aboutisse-

ment des efforts de cette associa-tion en vue de trouver des oppor-tunités d’emploi pour tous lesjeunes de la région. « Je me ré-jouis de ce que le ministreHamed Bakayoko ait accordéune oreille attentive aux préoc-cupations de nos jeunes. C’estune bouffée d’oxygène pour cesnombreux sans - emplois »,se fé-licité Koné Lacina. La Socad-Hs ambitionne de réu-nir les populations du Haut-Sas-sandra dans toutes leursdiversités autour des idéaux depaix et de réconciliation.

EMMANUEL KOUADIOCORRESPONDANT RÉGIONAL

LLe choléra qui paraissaitêtre maîtrisé, continue dehanter toujours la popula-tion du village de Tablé-guikou dans la

sous-préfecture de Divo. En effet,selon le directeur du centre hos-pitalier régional de Divo (Chr)Kpan Sylvain, huit nouveaux casont été confirmés le 7 janvier.Parmi ceux-ci, 5 sont hospitalisésau centre de santé du village et 3au Chr de Divo. Pour l’instant,l’on ne déplore aucun décès,selon lui. Récemment, le préfet

de région, préfet du départementde Divo, a pris la décision de fer-mer tous les puits insalubres afinde mettre à l’abri la populationde Tabléguikou. Il faut signalerque cette maladie qui a été décla-rée le 22 décembre 2014 a fait 5morts sur 19 personnes contami-nées. En 2002, le choléra avaitfait 14 morts dans ce village oùtoutes les pompes hydrauliquessont en panne depuis des mois.

S. BAKAYOKOCORRESPONDANT RÉGIONAL

16 Vendredi 9 janvier 2015Régions

Le ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a apporté un importantappui, récemment, aux jeunes de la région du Haut - Sassandra.

Daloa

Hamed Bakayoko offre 3600 bons de permis de conduire

Divo8 nouveaux cas de choléradéclarés à Tabléguikou

Le risque ÉBOLA est réel. Restons vigilants. Pour plus d’informations, consultezwww.prevention-ebola.gouv.ciou composez le 143 ou 101

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17Vendredi 9 janvier 2015

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18 Vendredi 9 janvier 2015

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Vendredi 9 janvier 2015

PAGE 19/I

Les points d’accord entre les pays de la région

Par David Ya

COOKIES

S’exprimant lundi, à l’ouverture d’un séminaire sur « La transition numérique en Afrique de l’Ouest », le ministre Bruno Koné a indiqué que les pays de la

région se sont déjà accordés sur quelques points essentiels pour mener à bien ce projet. « D’ores et déjà, nous pouvons dire avec satisfaction que nos pays ont réussi à s’accorder sur quelques points essentiels, notamment sur les normes de diffusion et de compression applicables dans notre sous-région. De même, nos pays se sont, pour l’essentiel, accordés sur les calendriers de basculement pour réduire le plus possible les perturbations que pourraient subir nos populations vivant près des frontières », a déclaré Koné Bruno.Le ministre de la Poste et des Tic souligne que c’est ensemble que les pays de la région ont décidé d’engager ce projet et que c’est en commun qu’ils doivent le conduire et le réussir, dans l’intérêt de leurs populations respectives.Concernant la Côte d’Ivoire, le porte-parole du gouvernement note qu’il a bon espoir que dans quelques mois, les foyers seront en mesure d’accéder quasi-

gratuitement à un très large choix de programmes, de contenus, de services et de loisirs numériques. Toujours selon lui, le gouvernement ivoirien conduira, dans les prochains mois, deux importants chantiers; à savoir la migration vers la télévision numérique et le processus de libéralisation du secteur de l’audiovisuel.Le ministre de la Poste et des Tic a aussi parlé de quatre axes majeurs: la mise en place du contenant à travers une architecture de réseaux aux normes ; le développement des contenus et le plan de service de l’offre Tnt ; la création d’une société de diffusion ; et l’intéressement des consommateurs aux projets. « On n’a pas l’évidence d’être à 100% peut-être de couverture du territoire national, mais nous serons à un pourcentage très élevé», a –t-il assuré.La transformation du pays va connaître une accélération de ce côté-ci, si l’on s’en tient aux propos du ministre. Rendez-vous est donc pris avec la population pour une meilleure qualité de réception d’images télé et un enrichissement des programmes auxquels elle a accès gratuitement.

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FRATERNITÉ MATIN DU VENDREDI 9 JANVIER 2015PAGE 20/II

... avoir, au final, ce résultat

Une ardoise de relevés parasitaires pour lutter contre les insectes ravageurs des plants de coton

Les résultats d’une recherche ont été présentés lors du rapport d’évaluation finale du Programme minimum de recherche sur la campagne 2010-2013 en Côte d’Ivoire dans le cadre du Programme régional de protection intégré du cotonnier en Afrique (Pr-Pica), le 16 décembre

dernier, à N’Sa hôtel de Grand-Bassam.Selon les chercheurs qui ont conçu une ardoise de relevés parasitaires, celle-ci est subdivisée, de gauche à droite, en 5 grandes parties. La première indique, à un premier niveau, la méthode d’échantillonnage des 30 plants sur lesquels vont porter les observations. Elle montre, à son niveau inférieur, les images des 6 groupes de ravageurs à prendre en compte : il s’agit des jassides, des pucerons, des mouches blanches, des acariens, des chenilles phyllophages et carpophages.La deuxième partie de l’ardoise présente l’emplacement initial des bâtonnets avant d’effectuer les observations.Quant à la troisième partie, elle traduit la conduite proprement dite des relevés parasitaires. En effet, elle matérialise, à un premier niveau, les trous d’échantillonnage des 30 plants pris par groupes de 5 plants consécutifs ; et à un deuxième niveau, les comptages des plants attaqués ou des chenilles carpophages. Le dernier emplacement en couleur rouge montre le seuil d’intervention pour chaque groupe de ravageur. La quatrième partie précise le type de produit à utiliser lorsque le seuil est atteint. La nature du produit est spécifiée par une couleur qui sera matérialisée par des stickers sur les boîtes d’insecticide. En fonction de son spectre d’activité, un produit

peut avoir un ou plusieurs stickers. La dernière partie rappelle, au travers de la couleur verte ou rouge, l’opportunité de décider ou non d’une intervention sur seuil. L’équipe de chercheurs souligne qu’une bonne utilisation de l’ardoise passe par la maîtrise des différentes étapes. Ainsi, tout d’abord, il faut positionner un bâtonnet dans chacun des trous de la deuxième partie de l’ardoise. On procède ensuite à l’inspection du premier groupe de plants en déplaçant le bâtonnet du haut dans le premier trou à droite. Si pendant l’inspection plant par plant de ce premier groupe de plant, on rencontre des plants attaqués et/ou des chenilles carpophages, le bâtonnet, au regard du ravageur concerné, est alors déplacé sur le trou marquant le nombre de plants attaqués ou de chenilles carpophages rencontrés. L’autre étape consiste en l’inspection du deuxième groupe de plants en prenant soin de déplacer le bâtonnet du haut dans le deuxième trou représentant le deuxième groupe de plants. Lors de la seconde inspection, on déplace le bâtonnet, au regard du ravageur concerné, sur le trou représentant le cumul des nombres de plants attaqués ou de chenilles carpophages rencontrés. Le producteur doit répéter les mêmes opérations jusqu’à ce qu’il finisse d’examiner tous les plants. Le seuil est atteint pour le groupe de ravageur donné lorsque le bâtonnet atteint la case rouge. Il faut souligner que les observations doivent être effectuées impérativement sur les 30 plants, même si le seuil d’un groupe de ravageurs donné est atteint pendant l’inspection.

DOSSIER SCIENTIFIQUE

FAIRE L’ÉCHANTILLONNAGE DES PLANTS.Les observations s’effectuent, de façon hebdomadaire, directement sur 30 plants choisis au hasard par groupe de 5 plants consécutifs selon la méthode de la diagonale pour une parcelle de plus de 3 hectares. Les diagonales seront changées chaque semaine. On peut avoir les résultats suivants : le plant est attaqué par le Jasside Jacobiella fascialis. Dans ce cas, il est recommandé d’examiner 5 feuilles bien développées à la partie supérieure de la plante. Le plant est considéré attaqué si l’une de ces 5 feuilles porte des symptômes d’attaque. Il faut ensuite compter ces plants attaqués par les ravageurs. Un autre cas de figure peut se présenter au paysan : par exemple, le plant est attaqué par le puceron Aphis gossypii. Il faut alors examiner les 5 feuilles terminales. Le plant est considéré attaqué si l’une des 5 feuilles terminales porte des pucerons vivants. On doit compter les plants attaqués par ces nuisibles. Le troisième cas est celui où le plan est attaqué par la mouche blanche Bemisia tabaci. Les chercheurs préconisent d’examiner les 5 feuilles terminales bien développées par plant. Celui-ci est considéré attaqué si l’une de ces feuilles porte au moins une forme fixe. On doit également les compter. Pour les plants attaqués par l’acarien Polyphagotaronemus latus, il est recommandé d’examiner les 5 feuilles bien développées par plant. Le plant est considéré attaqué s’il est observé des symptomes d’attaques sur au moins l’une des feuilles. Un foyer d’acariose est déclaré si au moins un plant du groupe des 5 plants consécutifs est attaqué. On compte ensuite les foyers d’acariose.Enfin, concernant les plants attaqués par les chenilles carpophages, le producteur doit examiner les plants entiers. Cette plante est dite attaquée si elle présente au moins une feuille avec des dégâts caractéristiques dus aux chenilles et/ou avec des chenilles vivantes à l’intérieur. Il faut aussi compter les plants attaqués par les chenilles phyllophages.

DAVID YA

Recherche phytosanitaire Des chercheurs ivoiriens ont conçu une ardoise de relevés parasitaires pour mieux adapter la surveillance parasitaires au statut semi-analphabète de la plupart des producteurs de coton en Afrique de l’Ouest. Elle constitue un élément primordial pour l’application des traitements pour lutter contre les nuisibles des plantes.

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Comment permettre aux producteurs de maïs d’adapter la fertilisation à la qualité du sol afin de produire plus et réaliser des économies ?C’est à cette préoccupation que

répond la journée agricole organisée par le Programme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest (Ppaao/Waapp), en collaboration avec le Laboratoire de pédologie de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, à l’intentions des catégories d’acteurs de la filière maïs et qui portait sur la fertilisation raisonnée du maïs basée sur le niveau de l’azote organique minéralisable en Côte d’Ivoire. C’était les 10 et 11 décembre 2014 respectivement à Marabadiassa et Yamoussoukro. En effet, la pauvreté chimique des sols constitue l’une des contraintes majeures à l’augmentation de la productivité agricole. Pour apporter une solution idoine à cette problématique, le Ppaao/Waapp-Côte d’Ivoire a financé un projet de fertilisation raisonnée sur une vaste échelle géographique, portant sur les cultures de maïs, d’igname et de manioc. Ce projet est bâti sur l’hypothèse principale que la fertilisation minérale peut générer une plus-value conséquente pour le producteur si elle est décidée sur la base d’un diagnostic fiable de la fertilité du sol et si également elle vise à redresser les déséquilibres constatés dans le sol, à la mise en place des cultures. Il s’appuie sur l’utilisation d’une méthode d’analyse de l’azote organique minéralisable, dont la pertinence des mesures a été déjà validée en matière de diagnostic de la fertilité des sols en différentes situations cultivées, selon des études réalisées par Professeur Tié Bi Tra du Laboratoire de Pédologie de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.Le projet avait pour objectif, entre autres, d’améliorer la productivité des parcelles de maïs par l’emploi de semences améliorées et d’intrants minéraux à apporter sur la base du niveau de l’azote organique minéralisable, (N-NH4+), considéré comme le facteur principal de la fertilité des sols. De façon spécifique, il s’agit au travers ce projet (i) d’intensifier convenablement la culture de maïs, (ii) d’adapter la fertilisation à la qualité du sol, (iii) d’améliorer l’efficience de la fertilisation et (iv) de réduire les quantités des doses d’engrais en tenant compte de la qualité du sol.Pour ce faire, le projet a ciblé des régions où la fertilisation minérale est courante à savoir Ferkessédougou, Katiola et Marabadiassa. Il faut souligner que dans ces régions géographiquement éloignées les unes des autres, la fertilisation est réalisée, selon le dosage standard recommandée par la vulgarisation de 200 kg/ha de NPK et 100 kg/Ha d’urée.

Les producteurs formésLa méthodologie adoptée a consisté d’abord à initier les producteurs à l’opération de prélèvement des sols afin qu’ils soient capables de faire les prélèvements eux-mêmes. La formation a été réalisée sur le terrain. Chaque producteur formé a réalisé son échantillon

FRATERNITÉ MATIN DU VENDREDI 9 JANVIER 2015 PAGE 21/III

Fertilisation du sol ACTU TIC

Les atouts de la méthode d’analyse de l’azote organique minéralisable

Le projet vise à permettre aux producteurs de maïs d’adapter la fertilisation à la qualité du sol pour une meilleure productivité (Photo : PPAO)

Namongo Coulibaly expliquant aux élus locaux la pertinence de l’application à Cocody. (Photo : RC)

Innovation technologique

Interact, l’application qui va tout changer

Sécuriser, accélérer et simplifier la délivrance des actes des collectivités territoriales, telle est l’ambition de Interact Côte d’Ivoire.

C’est l’hôtel communal de Cocody qui a servi de cadre, le mardi 16 décembre, à la présentation officielle de Interact Côte d’Ivoire, une application permettant de gérer, de façon optimale, l’état civil des mairies et centres d’état civil sur l’ensemble du territoire ivoirien.Déjà opérationnelle dans la localité de Diawala, au nord du pays, qui fut la collectivité décentralisée pilote, l’application qui intègre, en outre, des solutions logicielles d’exploitation du domaine foncier et des recettes municipales est disponible en option, au dire de son concepteur, l’ingénieur ivoirien Namongo Coulibaly (directeur général de Noc System). Un expert

crédité d’une grande expérience nationale et internationale.Aussi, convaincus que l’implémentation de cette application permettra à leurs services d’établir les actes en un temps relativement courts grâce à la numérisation des fichiers, créant ainsi une vraie base de données susceptible de survivre à des sinistres éventuels, les conseils municipaux de Yamoussoukro, Dimbokro, d’Agou, de Biankouma et Kouto, entre autres, entendent faire partie des précurseurs de Interact. Entre-temps, la tutelle, le ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur et de la Sécurité étudie la possibilité, grâce à l’application, de disposer de données statistiques ainsi que d’un outil d’immatriculation des populations.

R.C

composite constitué d’un minimum de 20 à 30 prélèvements individuels par hectare, répartis de sorte à prendre en compte toutes les hétérogénéités de surface de la parcelle. Les échantillons de sols ont été acheminés et analysés au Laboratoire de pédologie. À l’issue de l’analyse, chaque producteur a reçu le plan de fertilisation adapté à la qualité de son sol de même que les quantités d’engrais nécessaires. Ainsi, au cours de la journée agricole qui a regroupé environ 70 participants au nombre desquels figurent des chercheurs, des agents de développement, des gestionnaires de projets de développement agricole et des producteurs

de maïs, 3 parcelles tests fertilisées sur la base des résultats du diagnostic de sol, dont une parcelle avec la dose de avec 75kg d’Urée/ha, une deuxième parcelle avec 100 kg/ha d’Urée et 25 Kg/ha de Chlorure de Potasse (KCl) et une troisième parcelle avec 150 kg/ha d’Urée et 25 kg/ha de KCl. À l’intérieur de chaque parcelle test, une parcelle témoin sans apport d’engrais a été mise en place. À côté de ces parcelles tests, il existait une parcelle fertilisée avec la dose standard (200 kg/ha de NPK et 50 kg/ha d’Urée) appartenant à un groupement de femmes qui a été également visitée.

La pertinence de la technologiePar ailleurs, au cours des visites des parcelles de démonstration, les participants ont échangé avec les producteurs pour recueillir leurs avis et les avantages de cette nouvelle méthode de fertilisation. Les questions liées à la pertinence de la technologie, aux techniques de prélèvement du sol, aux moyens d’acheminement des échantillons de sol vers le Laboratoire de pédologie de l’Inphb et au coût de l’analyse ont été abordées. Très émerveillé par l’aspect végétatif du maïs ainsi que la grosseur et la qualité des épis de maïs obtenus sur les parcelles tests basées sur la fertilisation raisonnée, les producteurs se sont réjouis de cette nouvelle technologie qui leur permettra d’accroître leur productivité, de réduire de façon drastique les doses d’engrais utilisées et d’améliorer leur revenu. À la suite de la visite, les participants ont, au cours d’une séance de travail, élaboré un plan d’actions en vue de la diffusion de cette technologie sur l’ensemble du territoire national. À cet effet, les modalités pratiques de prélèvement, d’acheminement des échantillons des sols au Laboratoire de pédologie de l’Esa ainsi que de la stratégie de sensibilisation et de formation des producteurs ont été définies.Au terme de la rencontre, une visite guidée du Laboratoire de pédologie de l’Esa a permis aux participants de découvrir les travaux de réhabilitation et d’équipements dudit laboratoire ainsi que des différentes étapes d’analyse des échantillons des sols.

Source (PPAO)

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FRATERNITÉ MATIN DU VENDREDI 9 JANVIER 2015

Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre, à travers le bureau d’Abidjan, vient de débuter

l’implémentation d’une nouvelle approche de vulgarisation et de promotion de la technologie en entreprise. Il s’agit d’un Centre d’expérience mobile, sorte d’espace d’exposition mettant en avant les nouvelles technologies du leader mondial de l’informatique, tout en permettant aux employés des entreprises qui l’accueillent d’expérimenter de nouvelles idées qui l’aideront à révolutionner la collaboration entre les équipes. Ce concept vise à permettre à chacun des membres des équipes de faire sa propre expérience.

« Lors de nos interactions avec nos clients au fil des années, nous avons constaté que beaucoup d’entre eux utilisent les services et solutions Microsoft. Cependant, il reste toujours beaucoup à découvrir. L’une des méthodes que nous avons trouvées pour les accompagner dans ce voyage d’exploration, c’est de créer des expériences immersives taillées sur mesure. D’où le programme Microsoft experience center», a déclaré Victoria N’dee Uwadoka directrice communication et marketing de Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre à Côte d’Ivoire Énergies.Plusieurs entreprises, en effet, dont Côte d’Ivoire Energies, Unilever et, récemment, la Cnps, ont déjà accueilli le Centre d’expérience qui se révèle finalement comme un store et un espace pédagogique.

Entre store…Installé dans les entreprises hôtes, le Centre d’expérience est un programme pour les clients premium de Microsoft. Il consiste en diverses activités de démonstration et d’immersion client taillées sur mesure. L’équipe des experts Microsoft est sur place avec des équipements sur lesquels ils démontrent des applications et services modernes. Ils profitent aussi de l’occasion pour partager l’expérience d’outils qui changent au quotidien le mode de travail au sein des différents départements du géant américain.Dans les entreprises où l’expérience a été conduite, les employés et les visiteurs ont été entretenus sur des sujets du moment

dans le domaine des technologies de l’information (It), à savoir la mobilité et son impact, la sécurité, le nouveau Windows et le Cloud – Office 365 et Azure. Profitant de cet espace d’apprentissage, les visiteurs ont eu l’occasion de demander des renseignements à des experts et tester des appareils.Le Cloud est l’une des tendances qui vont gouverner la technologie dans les dix prochaines années. Sa technologie offre, en effet, un éventail de nouvelles possibilités aux entreprises, permet de réduire la fracture numérique, de rendre les technologies accessibles aux populations, de développer les compétences du XXIe siècle, d’améliorer les économies locales. Le Cloud garantit certes des opportunités d’accès aux innovations, mais il pose également des incertitudes comme la sécurité, point qui a fait l’objet d’échanges constructifs. Des équipements Windows ont été exposés: des périphériques de toutes sortes, Pc tablettes et smartphones de nouvelle génération. Durant plusieurs jours, les visiteurs et employés ont bénéficié de diverses activités de démo et d’informations. Mieux, ils ont pu passer directement leurs commandes en matériels sur lesquels ont été démontrés des applications et services modernes. …et espace pédagogique Lieu unique pour découvrir les futures innovations, connaître les tendances en matière de technologies, le Centre d’expérience de Microsoft est aussi un espace didactique. Comme témoigne Bakayoko Issouf, conseiller technique du directeur général de la Cnps qu’il

représentait à l’ouverture du centre à leur siège, « nous sommes honorés et contents de la visite de Microsoft dans nos locaux. Nous comprenons bien que sa vision est de nous permettre d’être plus productif. Les démos ont été très enrichissantes. La direction générale, par ma voix, est résolument ouverte à l’utilisation des Tic, notamment des équipements qui viennent de nous être présentés ».Le Centre d’expérience a pour objectif de faire en sorte que les entreprises disposent des outils technologiques de dernière génération dont elles ont besoin pour se développer. Selon Mme Uwadoka, la participation d’une entreprise au Microsoft Experience Center est aussi une opportunité pour transformer l’utilisation de la technologie dans le but de répondre aux attentes de la direction et des services métiers : • La direction comprendra comment les technologies modernes Microsoft les aide à avoir des rapports en temps réel qui leur permettront de prendre des décisions éclairées.• Les équipes marketing expérimenteront la vitesse à laquelle le cycle de création d’un produit jusqu’à sa mise sur le marché est améliorée ;• Les équipes commerciales pourront profiter des applications de vente sur terrain optimisées pour les tablettes. • Les équipes It se rendront compte de la facilité de gestion d’un écosystème Microsoft, quel que soit le facteur de forme de l’équipement.

DAVID YA (Source M.A.O.C)

Centre d’expérience personnaliséAccès à l’Internet haut débit

Intranet gouvernemental

Une nouvelle approche de vulgarisation de la technologie en entreprise

Les réseaux wireless comme solutions multimédias

L’Ansut récompense les meilleurs agents

ACTU TIC

PAGE 22/IV

Le wireless ou réseau sans fil est un réseau informatique qui

connecte différents postes ou systèmes entre eux par ondes radio. C’est l’un des plus utilisés actuellement dans le domaine de l’informatique, surtout pour l’accès à l’internet haut débit. Lors du Salon sur les télécommunications en Afrique tenu récemment à l’hôtel Ivoire d’Abidjan, Ahmed Chérif, Pdg de Vipnet, a montré l’importance du réseau sans fil. L’intervention portait sur le thème « Les réseaux wireless fixes et qualité de service pour les solutions multimédias ». En effet, il y a quelques années, un débit de 56 kb pouvait répondre à plusieurs besoins. Mais, depuis l’arrivée du multimédia où l’on peut recevoir et télécharger des vidéos et photos, regarder un film en live streaming, les débits se doivent de s’adapter aux besoins. Les spécialistes démontrent que le réseau sans fil est une solution pour conforter l’utilisateur final. Ils citent l’exemple du docsis 3.0 data câble qui est une solution innovante utilisée pour répondre à tout ce qui est multimédia ; à savoir, faire de la radio en ligne, la Webtv, les data des données bancaires et autres. Pour cela, il faut émettre un signal internet pour couvrir plus de 50 km et permettre aux abonnés de recevoir jusqu’à 160 mégabytes chez eux grâce au réseau. « Choisir le wireless est avantageux autant pour le consommateur que pour le fournisseur d’accès à internet. Nous avons des applications audio, vidéos, qui correspondent aux utilisations de ce moment », a dit Ahmed Chérif. Il a également proposé de fournir des solutions sans fil qui répondent, de façon optimale, aux besoins des consommateurs du marché, étant donné que l’Internet ne doit pas être un luxe pour les abonnés, mais une évidence. « D’ici à 2020, le consommateur final pourra recevoir 10 mégabytes chez lui à la maison », révèle-t-il.

ALFRED KOUAMÉCORRESPONDANT

L’Agence nationale du service universel des télécommunications (Ansut) a organisé, le vendredi 19 décembre, à Abidjan, une cérémonie de récompense des

jeux de « l’Assistant moderne » et de « e-gouv challenge». Les secrétaires des directeurs de cabinet et des chefs de cabinet, le personnel de l’Ansut, la directrice des ressources humaines du ministère de la Poste et des Tic, le 1er meilleur utilisateur par site de la messagerie électronique professionnelle, les coachs Vip et les formateurs e-gouv ont nominés. Le premier prix a été remporté par Berthe Koffi, chef de secrétariat particulier au secrétariat général du gouvernement pour le jeu assistant moderne. Elle a reçu un Ipad. Tandis que le prix de l’e-gouv challenge a été décerné à Zoumana Doumbia, informaticien au ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative. Ces jeux avaient pour objectif de susciter un intérêt pour les outils, mais surtout d’éprouver la capacité des utilisateurs à les maîtriser. En effet, un vaste programme de gouvernance électronique dont le premier axe appelé e-administration a été entrepris par l’Etat de Côte d’Ivoire. Sa mise en œuvre passe par la réalisation de l’intranet gouvernemental reliant la Présidence de République, la Primature, le secrétariat général du gouvernement, les vingt-neuf cabinets ministériels et les institutions.

A. K.CORRESPONDANT

Victoria N’Dee Uwadoka (de face au premier plan) a expliqué tout l’intérêt du Centre d’expérience de Microsoft. (Photo : MAOC)

Microsoft a initié, il y a environ 2 mois, un nouveau concept de vulgarisation de la technologie en entreprise. Nommé Microsoft experience center – Centre d’expérience Microsoft- il est, en fait, un espace mobile d’exposition et de formation mettant en avant les innovations technologiques.

Ahmed Chérif, Pdg de Vipnet(Photo : AK)

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23Vendredi 9 janvier 2015

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24 Vendredi 9 janvier 2015

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CC’est l’évènement de larentrée artistique et lit-téraire de cette galeriedirigée par le peintre,écrivain et photographe

Jacobleu. Le livre raconte l’his-

toire du but de l’Homme surTerre. À travers des expé-riences personnelles et sur unton direct, l’auteur livre un té-moignage accrochant sur ce quifait la particularité de

l’Homme: le «Pourquoi» de savie.2000 ans plus tôt, évoquantJésus, l’auteur révèle que deshommes et des femmes ont eule privilège de rencontrer une

personnalité unique en toutpoint. Subjugués par tout cequ’il accomplissait, ils lui ontdemandé son secret en cesmots: «Maître, apprends-nousà prier!».

Aujourd’hui, comme hier, leChrist donne la même réponse:«Que Ton règne vienne». Cetteprière est dite tous les jours, de-puis des siècles. Mais quel estson sens sur cette Terre où per-

sonne n’a jamais vu «Le Père»?Un livre, ostensiblement polé-miste, qui suscitera, à coup sûr,le débat dans les chaumières etchapelles.

RÉMI COULIBALY

25Vendredi 9 janvier 2015

Dédicace

Ahouma revisite le Père et le Fils Le 14 janvier, à partir de 19 h, le Basquiat Art Gallery de la Riviera 2, route d’Attoban, dans la commune de Cocody, abritera la dédicace de l’ouvrage «Le Continent des nuages» de William Tedje Ahouma.

Culture

La Commission permanente du jury du PrixEbony prie les nominés dont les noms suivent deprendre toutes les dispositions pour être présentsà la 16ème édition des Ebony/Nuit de la Commu-nication qui se déroulera à l’hôtel Président deYamoussoukro, le samedi 10 janvier 2015 à partir de 20h.La Commission rappelle à toutes fins utiles queles journalistes nominés doivent être titulairesde :La carte d’identité de journaliste professionnelen cours de validitéLa carte de l’UNJCI 2014

Liste des NominésAdama Bakayoko (RTI Bouaké)Emmanuel Kouassi (Fraternité Matin)Emeline PEHE Amangoua (La Tribune de l’économie)Pie De Laure Nesmon (Nord-Sud)Michel Digré (RTI 1)Banhoro Assetou dite Sethou Banhoro (Fraternité Matin)Theodore Kouadio (Fraternité Matin)Yao N’Goran Elisabeth dit Elysée Yao (Soir Info)

Fait à Abidjan, le 08 janvier 2015

P/ LA COMMISSION PERMANENTE DU JURY DU PRIX ÉBONY

LE PRÉSIDENT

JOSEPH ANOMAN

Communiqué UnjciNuit de la communication

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Le stage de préparationpour la Can 2015 se déroule-t-il dans debonnes conditions?Nous sommes déjà au troi-sième jour d’entraînement(jeudi 8 Janvier). Nous avonsla chance d’être dans desconditions exceptionnelles avecdes terrains magnifiques. Lesjoueurs répondent présent. Lesconditions sont maximalespour une bonne préparation.C’est une semaine qui seraaussi assez chargée, notam-ment avec les deux séancesd’entraînement demain (Ndlr :ce vendredi matin et après-midi). Nous enchaînons en-suite samedi. Puis, nous avonsune autre séance dimanchematin. Avant de jouer notrepremier match de préparationcontre le Nigeria, ce même di-manche, dans la soirée. Après,ce sera un peu moins soutenupour que nous soyons totale-ment prêts le 20 janvier.

Les joueurs ont pourtantrejoint à compte-gouttesle groupe. Cela influence-t-il l’évolution des séancesd’entraînement?

Kolo Touré a seulement man-qué l’entraînement de lundi

après-midi. Cela ne pose doncpas de problème. Ensuite, il y a

les deux autres qui ont eu descas un peu plus particuliers. Jeveux parler de Yaya Touré quiavait une cérémonie desAwards de la Caf. Le fait devenir, dans un premier temps,à Abu Dhabi, puis de repartiren Afrique au Nigeria. Et de re-venir à Abu Dhabi… Cela faisaitbeaucoup de voyages. Il valaitdonc mieux le laisser récupé-rer, vu aussi qu’il a joué avecson club durant la période desfêtes. De sorte à ce qu’il re-vienne vendredi soir en pleineforme. Surtout qu’il joue tousles matches avec ManchesterCity. Wilfried Bony, lui, est ar-rivé jeudi matin. C’est unebonne chose. On lui souhaitede signer dans le club où il estpressenti. Je pense que celapeut être bénéfique pour legroupe. Notamment, si unjoueur est complètement satis-fait de ses choix. C’est le meil-leur buteur en Angleterre de2014. C’est quelque chose d’as-sez exceptionnel. Il faut donc

qu’on l’utilise mieux. Parce quetrès souvent, on n’a pas eu àutiliser ses qualités comme onaurait dû le faire.

Max Gradel est réclamépar son club sous pré-texte qu’il est blessé.Qu’en pensez-vous ?J’ai discuté avec ChristopheGaltier et ce n’est pas le dis-cours qu’il m’a tenu. Mainte-nant, il y a une échographie decontrôle qui a été faite hier (àAbu Dhabi). Cette échographien’a rien décelé. Les joueurs ontdonc repris l’entraînement in-dividualisé depuis mercredi.Max Gradel ne court aucunrisque. Apparemment, tout vabien. Peut-être que SaintEtienne s’inquiète un peu trop.Puisque ce sont des joueurs im-portants. Notamment MaxGradel dans le dispositif de jeudes Stéphanois. Il voulait re-prendre l’entraînement. Maisje lui ai dit qu’il fallait resterprudent. Car nous avons aussi

un devoir vis-à-vis du club etnous ne devons pas faire n’im-porte quoi. Il faut être à l’écoutedu staff médical pour ne pascompromettre la fin de saisondu joueur en club. C’est doncimportant de travailler en col-laboration.

Les matches amicauxcontre le Nigeria et la Suède vous permet-tront-ils de jauger le niveau de jeu?De par ma petite expérience,les matches amicaux ne don-nent pas forcément le ton desfuturs rencontres. L’important,c’est d’être prêt le jour j. Je me rappelle qu’en 2012(Ndlr: alors qu’il était le coachde la Zambie), on a fait troisnuls, mais, on a gagné la com-pétition. (Rire).

INTERVIEW RÉALISÉE PAR

ADAM KHALILENVOYÉ SPÉCIAL À ABU DHABI.

26 Vendredi 9 janvier 2015Sports

En préparation à Abu Dhabi, aux Émirats arabes unis, Hervé Renard répond à Christophe Galtier, l’entraîneur de l’As Saint Étienne qui réclame son milieu de terrain, Max Gradel, sous prétexte que ce dernier serait blessé.

Ballon d’or africainYaya Touré sacré pour la 4efois consécutive

Can 2015“ MaxGradel ne court aucun risque ’’

LLe milieu de terrain ivoi-rien de Manchester CityYaya Touré est devenule premier joueur à rem-porter quatre fois d’affi-

lée le trophée de joueur africainde l’année, jeudi à Lagos.Touré a égalé le record desquatre sacres du CamerounaisSamuel Eto’o, mais il est le pre-mier à être désigné quatre foisconsécutivement par les 56 sé-lectionneurs ou directeurstechniques nationaux du conti-nent.L?Ivoirien de 31 ans, grand fa-vori pour ce prix, a été préférédu Gabonais du Borussia Dort-mund Pierre-Emerick Auba-meyang et au gardien de butnigérian de Lille Vincent En-yeama.Le trophée salue notammentles performances de Touré lorsde la conquête du titre dechampion d’Angleterre deManchester City, la saison der-

nière. Durant la cérémonie deLagos, la Confédération afri-caine de football (CAF) a égale-ment décerné le prix dumeilleur joueur africain évo-luant sur le continent àNdombe Mubele (ASVita/COD).La Nigérienne Asisat Oshoala,20 ans, meilleure buteuse duMondial féminin des U20 en2014 et nommée meilleurejoueuse du tournoi, a remportéle prix de la meilleure joueuseafricaine mais également celuidu meilleur jeune.L’Algérie a été désignée meil-leure équipe nationale, saluantle parcours des Fennecs lors duMondial-2014 brésilien, du-quel elle a été éliminée par l’Al-lemagne (2-1) en 8e de finale.La star montante du FC Porto,Yacine Brahimi, a été élu talentle plus prometteur de 2014.Prix de la CAF, remis jeudi à laLagos :

Joueur africain de l’année:Yaya Touré (Côte d’Ivoire etManchester City)Joueur africain de l’année ?évoluant en Afrique: NdombeMubele (République Démocra-tique du Congo et AS Vita)Joueuse africaine de l’année :Asisat Oshoala (Nigéria et Ri-vers Angels)Jeune joueur de l’année: AsisatOshoala (Nigéria et Rivers An-gels)Talent le plus prometteur: Ya-cine Brahimi (Algérie et FCPorto)Entraîneur de l’année: Khei-reddine Madoui (ES Setif)Equipe nationale de l’année:AlgérieEquipe nationale féminine del’année: NigériaClub de l’année: ES Setif (Algé-rie)Arbitre de l’année: Papa Ba-kary Gassama (Gambie).

SOURCE : AFP

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DDouze morts, huit blessésdont quatre dans un étatcritique. Tel est le bilanprovisoire de l’effroyablefusillade qui a visé le siège

du périodique Charlie Hebdo,dans le 11e arrondissement, àParis. Un attentat perpétré par

un commando de trois indivi-dus lourdement armés et dé-terminés à tuer. Au-delà decette attaque d’une extrêmeviolence contre cet organe depresse réputé pour ses carica-tures virulentes et controver-sées sur l’islam et le Prophète

Mahomet, c’est la France touteentière qui est visée à cause desa participation à la coalitionmilitaire menée avec ses alliéescontre l’État islamique ou, dumoins, Daesh en Syrie. Pour montrer la persistancedes menaces et du danger, le

ministre français de l’Intérieur,Bernard Cazeneuve, a déclaréque plusieurs attentatsavaient été déjoués, ces der-nières semaines, grâce à l’ef-ficacité du travail des servicesde renseignement et desforces de sécurité. Cet attentat a également sus-cité diverses réactions au seinde la classe politique française.Il ressort des déclarations quegauche, droite, centre et partisextrémistes ont tous condamnéces massacres et apporté, par lamême occasion, leur soutien augouvernement pour l’encoura-ger à prendre les mesures quis’imposent en pareille situa-

tion. Et cela, en dépit du faitque tous n’étaient pas forcé-ment d’accord sur l’interven-tion militaire de leur pays enSyrie. Comme on le voit, la compas-sion, la solidarité et l’unité ontpris le pas sur les petits calculset intérêts politiques des uns etdes autres. Ne dit-on pas que la grandeurd’une opposition se mesure parsa capacité à s’unir et à fairebloc derrière l’exécutif, quelque soit le régime en place,lorsque le pays est en péril ?

CLÉMENT YAOCORRESPONDANT

PERMANENT EN FRANCE

LLa France continue d’être en-deuillée par les attentats.Après l’attaque contre lesiège du journal CharlieHebdoqui a fait 12 victimes,

un terroriste a fait usage d’unearme de guerre contre des poli-ciers municipaux à Montrouge,une banlieue proche de Paris.Les autorités policières ignorentencore si ces deux faits sont liés. L’heure est à la prise de mesuressécuritaires pour mettre horsd’état de nuire ces terroristes en-core en cavale. Alors que 8.500militaires français sont actuelle-ment déployés à l’étranger en« opérations extérieures », no-tamment en Afrique (en Centra-frique avec l’opération Sangariset dans cinq pays de la bande sa-hélo-saharienne pour l’opérationBarkhane), « quelque 2.500 au-tres militaires sont quotidienne-ment engagés en France dans lasécurité intérieure pour proté-ger l’espace aérien et les ap-proches maritimes de laFrance » et participer au planVigipirate, qui mobilise environun millier d’hommes, souligne lecolonel Gilles Jaron, porte-pa-role de l’Ema (Etat-major des ar-mées). Ce dernier souligne que – sur lesol français – les militaires sont« en appui de la gendarmerie etdes forces de sécurité inté-rieure » dans le cadre du planVigipirate qui vient d’être relevémercredi au stade maximum ditd’« alerte attentat » dans Pariset toute son agglomération, c’est-à-dire dans toute l’Ile-de-France.

Des paras en renfort à Paris «Nos militaires effectuent unemission d’observation et de sur-veillance» et transmettent leursinformations aux forces de sécu-rité intérieure (police et gendar-merie) auprès desquelles ilspatrouillent dans une quinzainede grandes villes et de sites stra-tégiques. Concrètement, des renforts mi-litaires ont été acheminés versParis et son agglomération dèsmercredi : aux 450 soldats dé-ployés mercredi matin en Ile-de-France, 150 soldatssupplémentaires sont arrivés deDouai, Agen et Fréjus et hiermidi, 200 parachutistes sont ar-rivés à Villacoublay, en prove-

nance du 1er Rcp (Régiment dechasseurs parachutistes) de Pa-miers et du 8eRpima (Régimentde parachutistes d’infanterie demarine) de Castres, portant à800 – soit la valeur d’un régi-ment complet - le nombre de mi-litaires déployés dès jeudi pour laseule région de Paris, aux ordresdu général Hervé Charpentier,gouverneur militaire de Paris.Quelque 250 militaires supplé-mentaires pourraient encoreêtre déployés sur Paris – à la de-mande de la préfecture - dès cevendredi, pour protéger les sitessensibles comme les gares, lemétro et les grands magasins.

CLÉMENT YAO CORRESPONDANT PERMANENT

EN FRANCE

• Renforcement militaire du plan Vigipirate 

27Vendredi 9 janvier 2015 International

TIRAGE DU JOUR : 16 950

DIRECTEUR DU DÉVELOPPEMENTDES RÉDACTIONSMoussa Touré

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RÉDACTEUR EN CHEF Jean - Baptiste Béhi(225) 05 00 33 43

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Quotidien d’informations généralesparaissant depuis le 9-12-1964

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SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE RÉDACTION

Franck A. Zagbayou08 11 28 99

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CHEF DU SERVICE POLITIQUEEtienne Aboua

CHEF DU SERVICE SOCIÉTÉHala Alakagni

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CHEF DU SERVICE ÉTRANGERSylvain Namoya

CHEF DU SERVICE CULTUREGermaine Boni

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CHEF DU SERVICE SPORTS Bagnini Paul

SECRÉTAIRE DE RÉDACTION

Alain TieffiRÉDACTEUR EN CHEF PHOTO

L’émotion est à son comble face à l’horreur. (PHOTO DR)

Fusillade à Paris

Union sacrée des Français contre le terrorismeL’attentat terroriste contre le siège du journal satirique Charlie Hebdo, à Paris, a plus que jamais uni les Français de tous les bords politiques.

Le Sous-préfet d’ANYAMA a l’honneur de porter à la connaissance du public, qu’une enquête de commodo et incommodo, d’une durée de trente (30) jours, allant du lundi 15 décembre 2014 au vendredi 16 janvier 2015 inclus, est ouverte dans les bureaux de la Sous-préfecture d’Anyama, en

de deux hectares, quatre vingt huit ares, seize centiares (02ha 88a 16ca), sise à ALLOKOI, présentée par Monsieur GHASSANI Khalil (01 BP 60121 ABJ 01), contact : 08 21 52 52 ou 05 17 17 17.

Madame YAO née AKA Kousso Angéline, Chef du Service des Domaines de la Sous-préfecture d’Anyama, est nommée Commissaire-Enquêteur, et a qualité pour recevoir et enregistrer toutes les oppositions et observations qui pourraient être faites dans un registre ouvert à cet effet.

Anyama, le 18 décembre 2014

Le sous-préfetGNABRO née LOBLI zihon Nicole

Le Sous-préfet d’ANYAMA a l’honneur de porter à la connaissance du public, qu’une enquête de Commodo et Incommodo, d’une durée de trente (30) jours, allant du lundi 22 décembre 2014 au mardi 20 janvier 2015 inclus, est ouverte dans les bureaux de la Sous-préfecture d’Anyama, en vue de l’attribution d’une parcelle de

un hectare, soixante cinq ares, quarante neuf centiares (01ha 65a 49ca), sise à ALLOKOI, présentée par la société SOPRIC-CI, représentée par Monsieur SAHLY Chaoky, contact 08 21 52 52 ou 05 17 17 17.

Madame YAO née AKA Kousso Angéline, Chef du Service des Domaines de la Sous-préfecture d’ANYAMA, est nommée Commissaire-Enquêteur, et a qualité pour recevoir et enregistrer toutes les oppositions et observations qui pourraient être faites dans un registre ouvert à cet effet.

Anyama, le 18 décembre 2015

Le sous-préfetGNABRO née LOBLI Zihon Nicole

Le globe tourneNigeria. Le groupe islamiste armé Boko Haram a en-tièrement détruit 16 villes et villages des rives du lac Tchaddans le nord-est du Nigeria, au cours d’un nouveau raid,ont déclaré jeudi des responsables locaux. Ce nouveau raida fait de très nombreuses victimes, selon les personnes in-terrogées, mais aucun bilan n’a pu être confirmé dans l’im-médiat de façon indépendante.

Mali. Le Premier ministre, Moussa Mara, a été limogéhier jeudi par le Président de La République Ibrahim Bou-bacar Kéita. Le désormais ancien Premier ministre est allédeux fois à Koulouba. La première fois, il est resté aumoins une quarantaine de minutes. La seconde fois,moins de dix minutes. Pourquoi utiliser le terme “limogé”?

libye. Triste semaine pour le journalisme. Au lende-main de l’attaque chez Charlie Hebdo, la branche libyennede l’organisation Etat islamique (EI) a affirmé jeudi avoirexécuté deux journalistes tunisiens portés disparus enLibye depuis le 8 septembre.”Il n’y a de dieu que Dieu”.Dans un communiqué comportant des images de SofièneChourabi et Nadhir Ktari, publié sur des forums jihadistes,le groupe affirme avoir “appliqué la loi d’Allah” à leur en-contre.

guiNée.Après le meeting de l’opposition de mercredi àConakry, l’heure est au bilan! Selon nos informations, unedizaine de personnes dont des gendarmes ont été blesséspar balle lors d’affrontements entre des forces de l’ordre etdes jeunes manifestants.

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28 Infos service / Nécrologie Vendredi 9 janvier 2015

Nanan ADOU Bibi II, Pinangohinin à Bondoukou etOuélékéhi, Nanan KOUAKOU Droh, Chef du canton Watibéet famille à Doumassi, Nanan BINI Kouakou, Bakomanhinin1er, Chef du village de Pinda et ses notables, NananKOBENAN Kossonou, Safohinin, à Kanassé et ses notables,Nanan KOUADIO Kossonou, Chef du village de Takoutou etses notables, Nanan AMON Koffi Emmanuel, Chef du villagede Doumassi et ses notables, M. TANO KobenanN’Grouma Joseph, Directeur de Cabinet Adjoint duMinistre auprès du Premier Ministre chargé del’Economie et des Finances, Epouse et enfants à Abidjan,Paris et Canada, Les grandes familles TANO, ABISSA,KOSSONOU, COFFI, et familles alliées, Les enfantsTANOH Kouamé Adolph, TANOH Affoua Dongo, TANOHAma BIO, TANOH Kossia N’Guettia Virginie, TANOHYawa Badou, TANOH Adjoua Pauline épouse TAH àAbidjan, Bondoukou, Ouélekehi, Doumassi et Mananzo, LesChefs des villages, Présidents de Mutuelles deDéveloppement, Cadres et populations de Ouélékéi,Mananzo, Pinda-Bokoko, Doumassi, Bohi, Appimandoum,Takoutou, Tissié, Abima, Kanguelé, Gbokoré, Mantoukoua,Kiendiwalogo, Kouassi N’dawa, Kouafo, Séréoudé,Gouméré, Tabagne, DuaKouamé, Kikiwéré, Lomo, Tiédio,Kinkua et Transua, MM. KOUASSI Kossonou, KOFFIKouman, Chefs de familles à Pinda-Boroko et Ouélekéhi, M.YAO Kra Denis, Doyen des Cadres de Pinda-Boroko, M.N’GUETTIA Marcel Kouadio, Directeur Général de Sociétéet famille, M. AMON Koffi Sylvestre, Inspecteur GénéralAdjoint de la Salubrité, au Ministère de L’Environnement etde la Salubrité et famille, M. KOUAME Alexis Mathias,Enseignant et famille, M. KRA Atta Kouamé, Cadre auBNETD, Président de la Mutuelle des Cadres de Ouélékéhi etfamille, M. ATTA Kouadio Arsène, Censeur au LycéeProfessionnel d’Odienné et famille, Mme OHOUBI néeABISSA Jeanne, DAF à Lydia Ludic-CI et famille,Commissaire BOUAKY Kouamé Ernest et famille, M.DATTE Kouassi Kra, Directeur de Société et famille, M.TANOH Kouassi Thomson, Cadre à la DGI à San-Pedro etfamille, M. BINI Kouamé Mathias, à la SIPIMet famille, M.YAO N’Guettia Jérôme, Sous-Préfet d’Adzopé et famille,Docteur FOFIE Jonas, Sous-Préfet au Cabinet du PremierMinistre et famille, Les grandes familles alliées, très sensiblesaux nombreuses marques d’affection, de compassion, desoutien moral, matériel, spirituel et financier qui leur ont ététémoignées lors du rappel à Dieu, le1er novembre 2014, deleur regrettée:

et dans l’impossibilité de toucher individuellement tous ceuxqui, de près ou de loin, ont compati à leur douleur, voudraientles prier de trouver ici l’expression de leur infinie gratitude.

Ils voudraient adresser particulièrement leurs sincèresremerciements à : M. Hamed BAKAYOKO, Ministre d’Etat,Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, M. Charles KoffiDIBY, Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères, M.KABA Nialé, Ministre auprès du Premier Ministre, chargé del’Economie et des Finances, M. COFFIE Goudou Raymonde,Ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, M.KOBENAN Kouassi Adjoumani, Ministre de la ProductionAnimale et des Ressources Halieutiques, M. Ibrahim CISSEBacongo, Ministre de la Fonction Publique et de la RéformeAdministrative, M. le Ministre Yaya OUATTARA, Doyen descadres du Zanzan,Mme ATTE Eliane BIMANAGBO,Secrétaire Général Adjoint du Gouvernement, M.COULIBALY Adama, Directeur de Cabinet du Ministreauprès du Premier Ministre, chargé de l’Economie et desFinances, M. KALOU Emmanuel, Directeur de Cabinet duMinistre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères, M. AGUIEAmaffou Germain, Directeur de Cabinet du Ministre d’Etat,Ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de laFormation Professionnelle, Mme Nasseré BAMBA,Directeur de Cabinet du Ministre de l’Environnement, de laSalubrité Urbaine et du Développement Durable, M.BRAGORI Marcellin, Chef de Cabinet du Premier Ministre,Ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, M.KIPEYA Koné, Directeur de Cabinet Adjoint du Ministred’Etat, Ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de laFormation Professionnelle, M. Sidy CISSE, Directeur deCabinet Adjoint du Ministre auprès du Premier Ministre,chargé du Budget, Professeur Joseph P. ASSI-KAUDJHIS,Directeur de Cabinet Adjoint du Ministre de la FonctionPublique et de la Réforme Administrative, Les ConseillersSpéciaux et Techniques du Ministre auprès du PremierMinistre, chargé de l’Economie et des Finances : Mme YAOMadeleine, Mme COULIBALY Minafou Fanta, MmeDUNCAN Christiane, Pr. BAMBA N’galadjo Lambert, M.OUATTARA Bouraïma, M. SALL Adama, M. KANGA JeanJacques, M. YAO Kouman Moïse (PCA de la Caissed’Epargne), Mme ESSOH née LATTROH Marie, M. KISSIBI Kouamé, M.CISSE Aboubacar, M. SAY N’Guetta, M.KOUADIO Kouamé Olivier, Dr ADOU Kobena, MmeAnicou KACOU, M. COULIBALY Edmond, M. PREGONBoniface, M. BAKAYOKO Abdoulaye, M. BALLE Albert.M. GOUN François, Préfet de la région du Gontougo, Préfetdu département de Bondoukou, Mme et M. les SecrétairesGénéraux de la Préfecture de Bondoukou, El hadj TIMITEKolonga, Grand Imam de Bondoukou, HonorableWOUADJA Essay, Député de Bettié, Honorable KOUADIOKonan Bertin, Député à l’Assemblée Nationale, M.KOSSONOU Ignace, Président du Conseil Régional duGontougo, Mme N’DJORE Adèle, PCA de l’ONEP et tousles membres, M. EBAGNERIN Joseph, PCA de la CNPS et

tous les membres, M.WOI Messe, PCA du VITIB et tous lesmembres, M. CISSE Souleymane, PCA de la BNI, M.TCHAGBA Bogui Laurent, Président du Comité de Gestiondu FDFP et tous les membres, Docteur YO Tiemoko,Représentant Résident de la FAO au Bénin et Mme, M.KONE Adama, DG du Trésor et de la Comptabilité Publiqueet Mme, M. SAIN Oguié, DG de l’Economie et tout lepersonnel, M. ABINAN Kouakou Pascal, DG des Impôts, M.GOHOUROU Parfait, DG de la Décentralisation et duDéveloppement Local, M. SYLLA Lassana, InspecteurGénéral des Finances et Mme, M. TRAORE Séidou, DG duBudget et des Finances, M.BAMBA Karim, DG de la CaisseNationale d’Assurance Maladie, Président du CIRPP, M.BERTHE Abdrahamane Tiémoko, DG de la CGRAE et Mme,

M.BERTE Ibrahima, DG de l’ONEP, M.KOUASSI DenisCharles, DG de la CNPS et Mme, M. KONE Habib, DG de laBACI et Mme, M. SORO Nongolougo, DG de la SNDI, M.KOUASSI Boy Emile, DG de l’Imprimerie Nationale etMme, M. CAMARA Souleymane, DG de la SOGEPIE, M.Mamah DIABAGATE, DG de la CNCE et Mme, M. KASSIN’da Eugène, DG de la BNI et Mme, M. KASSOUM Konaté,Secrétaire Général du FDFP, M. Philippe PANGO, DG deVITIB, M. MAÏZAN Koffi Noël, DG du Fonds de GarantieAutomobile, M. KAMELAN Omer, DG de la SalubritéUrbaine et Mme, M.ASSAHORE Konan Jacques, DGA duTrésor et de la Comptabilité Publique, M.FOFANA Lassina,DGA du Trésor et de la Comptabilité Publique, Honorablesmembres du Comité de Direction du Trésor Public, MmeACKAH Virginie, DGA de l’Economie, M. MALICK TioTouré, DGA de la BNI, M. KOBENAN Tah Thomas, DG deSociété et famille, M.NIANKAN Eugène, DGA de laCGRAE, Mme Noelie GANSAH, Vice-Présidente deCITIBANK, M. DJADJA Honoré, DG de Société, MaîtreKOYO Silvère, Avocat et Mme, M. OMAÏS Rami, DG deSociété, M. DIOMANDE Moussa et Mme, M. ADDAHAlphonse et Mme, M. FIRAOUI Youssef à Abidjan, L’AbbéFélicien, Chef de Cabinet de l’Archevêque d’Abidjan,L’Abbé Toussaint à l’UCAO, à Abidjan, L’Abbé KOUMANDidier à Akoupé, M. ASSAMOI Venance, SG de STAR Auto,M. Ali COULIBALY, Agent Comptable Central du Trésor, M.GBANE Tiémoko, Trésorier Général des Institutions de la

République, Président de la Mutuelle des Cadres deBondoukou et tous les membres de la mutuelle, M. ABOKadjo Fodjo, Inspecteur Général des Services Judiciaires etPénitentiaires et famille, M. GBANE Abou, membre duConseil d’Administration du Port Autonome d’Abidjan etfamille, M. CAMARA Lansacoh, Chef de Cabinet duMinistre auprès du Premier Ministre, chargé de l’Economieet des Finances, M. DIOMANDE Cyril, Président del’Association des élèves de l’ENA, promotion 1995-1996 ettous les membres de l’association, M. N’DA Sylvain, Chefdu Service Financier de la Présidence de la République, M.YAO Kouacou, Secrétaire Général de Préfecture àOuangolodougou, M. BEUGRE Koffi Amos, Directeur parintérim de la Comptabilité Publique, au Trésor Public, Mme

DIGBEU née LAGOS Denise Constance, Commandant desDouanes et Coordinatrice du Comité Sectoriel et de Luttecontre le VIH SIDA (ECOMSI), M. KOBENAN Brou, àl’Inspection Générale des Finances et Mme, M. KADJOFodjo, Cadre à la Direction Générale des Impôts et Mme, M.DIOP Serge, Directeur du Cabinet Africa Link Capital, M.OUATTARA Karim, Secrétaire Général du SYNATRESORet Mme, M. DJARATE Omer, Ancien Secrétaire Général duSYNATRESOR et Mme, Mme ASSI Josette, Présidente duSyndic du quartier SOLEIL 3, les membres du bureau et tousrésidents du quartier, Les membres du Fonds de Solidarité desAgents du Trésor de Côte d’Ivoire (FOSAT-CI), M. TAORELanciné, Trésorier Principal de Yopougon, M. OUATTARASanga, Chef de service à l’Agence Comptable de la DettePublique, M. CISSE Brahima, Secrétaire Général del’Association Syndicale des Agents du Trésor, M. GOGBEUBenjamin, Secrétaire Général de l’Organisation syndicale desagents du Trésor, M. KOUADIO Gérard, Secrétaire Généraldu Renouveau syndical des Agents du Trésor, M. KALILOUCamara, Secrétaire Général du Syndicat Libre des Agents duTrésor, M. TIA GOUE Blaise, Secrétaire Général de l’Unionsyndicale des Agents du Trésor, Le personnel du TrésorPublic, M. ABOYA Alexis, Diplomate à l’Ambassade de Côted’Ivoire en Autriche, M. KOUASSI Yao Jean Edouard,Payeur à l’Ambassade de Côte d’Ivoire à Mexico, M. MAHIRoland et Mme à Abidjan et New Delhi, M. DOLE Albert etMme, M. TANOH Konan Gervais et Mme, M. DIRO Pascal

et Madame au Darfour et à Abidjan, M. KOFFI Claude àAbidjan, M. KOUASSI Téhia Jean Baptiste, Payeur àl’Ambassade de Côte d’Ivoire à Pékin, M. DIABAGATEMorysindou, Payeur de l’Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris,M. ADOUA Kouassi, Payeur à l’Ambassade de Côte d’Ivoireà Abuja, M. OUATTARA Bouraiman, Payeur à l’Ambassadede Côte d’Ivoire à Accra, M. KOUAME Francklin, Payeuràl’Ambassade de Côte d’Ivoire à Monrovia et Mme, M.KAMAGATE Brahima, Secrétaire Exécutif chargé de laJeunesse du PDCI RDA, Mme DUNCAN Rosine àl’Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris, Les Membres del’Assistance Mutuelle des Agents du Trésor de Côte d’Ivoire(AMATCI), M. Jean-Philippe KOUAME, Directeur de laCommercialisation au Fonds d’Entretien Routier, MmeEHOUMAN A. Rosalie épse KOULOU, Fondé de Pouvoirsde Bondoukou, M.KOUASSI Kouassi Norbert, Payeur deBondoukou, M. ADOU Serge Philippe, au SecrétariatNational à la Bonne Gouvernance, M. KOUASSI YaoBernard, Magistrat à la Cour d’Appel d’Abidjan, Mme LYKadiatou née SANGARE, Agent Judiciaire du Trésor et toutle personnel, M. ADJE Yves, Chef de Sécurité de GESTOCI,M.TUO Nawa Philippe, Cadre à la Direction Générale desImpôts et Mme, M. ASSONO Dibo Jacques et Mme, LaFamille AGUIE à Abidjan,en Italie et en France, M. AKABROU Ernest, Vice-Président du Comité Interministériel dela Réforme de la Pension Publique et tous les membres duCIRPP, Maître ASSAMOI Alexandre, frères, sœurs et Mme,M. KADIO Wognin Etienne, à la Loyale Assurance, MmeKOUAKOU Eugénie, Trésorier Général Abidjan-Centre, M.YAO Yao Adolphe, à la Direction des Méthodes etOrganisations, Mme SERY Lydie, Payeur du ConseilRégional de Dimbokro, Mme GNALY Rita, Payeur de laRégion du Löh-Djiboua (Divo), Maître DAUGAUX KouassiBlaise, Notaire à Abidjan et Mme, Maître OUFFOUEDJAHA Bernard, Notaire à Abidjan et Mme, Maître YEOMassekro, Avocat, Maître AKRE Akrékou Francois, Avocat,Maître BAMBA Lydie, Avocat, Maître SOBRO Jean-Baptiste, Greffier à l’Agence Judiciaire du Trésor, MaîtreBALLO Ibrahim, Greffier à l’Agence Judiciaire du Trésor,Les Membres de l’Association ELEVEN FOR ONE, MmeAKO Pauline, M. Francis BONY, M. Nicolas SAHOUIN,Maitre KOUAME, Commissaire SIKELI, le Juge LOUAClotaire, Maître TOURE Lonan, Commissaire DOSSOSiaka, M. GNEBLE Jean-Marie, M. AKLA Konan, M.DJEDJE Gbalou Raphaël, M. GNAHORE Kodehi, MaîtreAMANI, M. KANGONE Joachim, M. DJEREKE Pascal,Cadre à la BNI, M. GONNET Jules, Directeur de laComptabilité Para Publique, M. KABRAN Ekia François,Directeur des Systèmes d’Information au Trésor Public, M.KONE Doféré, Coordonnateur de l’Observatoire de l’Ethiqueet de la Déontologie, M. BAMBA Vassogbo, Directeur desEtudes, Méthodes et Organisations au Trésor Public, M.NIMBA Kocounseu Antoine, Conseiller Technique duDirecteur Général au TrésorPublic, M. et Mme AGUI àAbidjan et Dimbokro, M. TCHREME Moïse et Mme, MmesBROU Josiane et BEUGRE, à STAR Auto, Mme BROUEmilienne à la BNI, Mme TRAORE Assétou à la SIB, M.Youl SANSAN, Directeur de Patrimoine de l’Etat, M.SANOGO Bafétégué, Inspecteur Général du Trésor, M. BEDIGnagne, Conseiller Technique du Directeur Général duTrésor et de la Comptabilité Publique, M. KOUAME Jean-Baptiste, Directeur Général de CICARE, M. N’DJA Boka,Inspecteur Vérificateur Principal au Trésor Public, M.KOUAME Vincent, Inspecteur Vérificateur PrincipalauTrésor Public, M. GUIBEI Kacou René, InspecteurVérificateur Principalau Trésor Public, M.KOUADIOMiézan, Trésorier Général de Soubré et Mme, M. SOROYerdjouma, Fondé de Pouvoirs à l’Agence ComptableCentrale du Trésor, M. TIENE Bakary, Régisseur au Cabinetdu Ministre auprès du Premier Ministre, chargé del’Economie et des Finances, M. KOUAKOU AgamanCyprien, Administrateur Général de l’AMAT-CIau TrésorPublic, Mme ASSOHOUN Henriette, à la BCEAO Abidjan,M. DJAHA Jean, Administrateur Général du Centre Médicaldu Trésor et tout le personnel, Les Docteurs BEDI Memel, DrKHISSY Kadjané, ASSOUAN Emma et tous les Médecins etPharmaciens du Centre Médical du Trésor, M. SIE René,Directeur du Cabinet « Experts-Associés» et famille, M.DROH Aurélien, Enseignant à l’Université FHB et Mme,Commissaire KOUASSI Guy Serge et Mme, CommissaireBAKAYOKO Soualiho et Mme, Commissaire SEKA Eric,M. GBANE Issouf, DGA BACI, au Burkina Faso,Commissaire TIMITE Namory, Directeur de la PoliceEconomique et Mme, M. KOUIBIERT Ibrahim, Chef deCabinet du Président de la Cour Suprême et Mme, M. PrinceADINGRA, Chargé de Protocole à la Primature et Mme, M.ADI Kouamé Isaac, Directeur de Société, M. AHIMIMGustave et famille, Mme TRAORE Korotoum, Fondé dePouvoirs à la Trésorerie Générale Abidjan-Sud, Les Cadresde la Mutuelle de Bondoukou, M. MERESSO YaoAssamoi, DG de la société MYKA SARL, M. DJEDJEROMathieu, DG de la société CICO, M. DIETH Bonaventure,DG de la société ELIS SARL, M. BESSE Eric, DG de lasociété EECB, M. DIABAGATE Mory, DG de Soleil Ivoire,M. OUATTARA Aboubakar, Expert-Comptable, DG deGoodwild, M. GBANE Bamoriba, DG de Société, M.BAMBA Brakissa, DGA de PETROCI, Colonel ZOHI Pascalet Mme, Mme AMA Yéréyo Bouaki et enfants, DocteurKOUAKOU de Lomo à Bruxelles, M. TANOK KonanGervais et Mme, Commissaire KOUASSI Guy Serge, M.FODJO Kouadio, aux Impôts, M. SEKRE Kouassi Amara,M. TANOH Parfait à Abidjan.

YAO AMA KRA,

AVIS DE REMERCIEMENTS

Frat-Mat N°111529

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29Infos service / NécrologieVendredi 9 janvier 2015

Les grandes familles AKA BONNY,HOUPHOUET-BOIGNY, SAAD, àAbidjan, N'Guessan-Pokoukro, Zahakro,Yamoussoukro, Didievi, Groyakro,Sakassou, Daloa, Dakar, Conakry et auLiban, toutes les familles alliées,profondément touchées par lesnombreuses marques de sympathie, decompassion et de solidarité qui leur ontété témoignées lors du rappel à Dieu deleur regretté fils, frère, cousin, époux,père oncle, grand-père et ami :

Dans l'impossibilité de toucherindividuellement tous ceux qui de près oude loin ont apporté un soutien moral,spirituel, matériel et financier lors decette douloureuse séparation, les prientde trouver ici l'expression de leurprofonde gratitude et de leur infiniereconnaissance.

Elles expriment tout particulièrement: àS.E.M le Président de la RépubliqueAlassane Ouattara et Mme; S.E.M HenriKonan Bédié, Président du PDCI-RDA etMme, le Premier Ministre M. KablanDuncan, Nanan BOUA KOUASSI III,Roi de l'indenié; la Cour Royale deSakassou; M. Nahounou Seman, Chef deterre de Daloa; M. le Premier MinistreAHOUSSOU KOUADIO Jeannot etMme; M. le Ministre Camille ALLIALIet famille; M. le Ministre Jean-KONANBANNY et famille; M. le PrésidentCharles KONAN BANNY; M. LePrésident Laurent DONA-FOLOGO; M.Augustin THIAM, Gouverneur duDistrict de Yamoussoukro; Monsieur leMinistre KACOU Roger; M. le MinistreJean-Claude DELAFOSSE et famille; M.le Ministre ESSY AMARA et Mme; M.le Ministre Jean-Claude KOUASSI;Monsieur le Ministre Marcel AMON-TANOH; Monsieur le Ministre AdamaTOUNKARA et Mme; Monsieur leMinistre Paul KOFFI KOFFI et Mme; M.le Ministre BABAUD DARRET; M.N'DRI YOCOLY et Mme; M. KONANYAO Patrice; M. Auguste COLOMB etMme; M. Abdoulaye DIALLO et famille,M. N'DIA COFFI Georges et Mme;Monsieur l'Ambassadeur GeorgesOUEGNIN et famille; M. l'AmbassadeurCharles GOMIS et famille; Monsieurl’Ambassadeur, GUY Alain GAUZE ; M.ADOM Julien et Mme; M. et MmeEZAN et enfants; M. Jean-Louis SOH ;veuve AKA Jacques née AngamanNiamké Jacqueline et enfants; veuveClémentine AMANI et enfants; veuveKONAN-YAHAUT Françoise et enfants;M. KACOU GUIKAHUE, SecrétaireExécutif du PDCI-RDA et la Grandefamille du PDCI, M. Pascal AFFIN'GUESSAN, Président du FPI et sadélégation; M. Nicolas DJIBO, Maire de

Bouaké, Président de la Chambre deCommerce et d'Industrie de C.I ; M. leDéputé de Sakassou; le Maire deSakassou; le Délégué départemental duPDCI RDA de Sakassou; l'HonorableKOUAME N'SIKAN. M. ABINANKOUAKOU Pascal, Directeur Généraldes Impôts, les Membres du Comité de

Direction Elargie et l'ensemble dupersonnel de la DGI; M. TOURE Faman,Premier Vice-Président de la Chambre deCommerce et d'Industrie de C.I, les Vice-Présidents, le Trésorier Général, MmeMarie-Gabrielle BOKA VARLET,Directrice Générale, le Comité de

Direction et l'ensemble du Personnel dela CCI-CI; la Direction et l'ensemble duPersonnel de la Compagnie ASCOMA; laDirection et l'ensemble du personnel dela SPDC; le Conseil de Régulation del'ARTCI, la Direction et le Personnel dela SAT, la Direction et l'ensemble dupersonnel de la SGS; M. Denis Charles

KOUASSI, Directeur Général de laCNPS et Mme; la Direction et lepersonnel d'IVOSEP ; le personnel de laSociété JLS. Monseigneur PaulAHOUANA, Evêque Métropolitain deBouaké; M. Clément AKOBE, Fondateurde la Communauté Mère du Divin Amour

et Mme; le Berger et les membres de laFraternité chrétienne Salomon; le Curé,le Vicaire et le Conseil Paroissial del'église St-Viateur de la Riviéra ; Le Curéde la Paroisse Notre-Dame de Fourvièrede Sakassou. Eglise Adventiste du 7èmejour de Cocody,

Les familles: N'Guessan Zégbè; DjiboSounkalo; Braud-Mensah; Kraidy;Lodugnon; Koffi-Oura; Aka Albert;Dunckel ; Sy Baba; Konaté Tiemoko ;Debruchard; Kangah; Diallo Abdoulaye;Moussoh Yvonne; Azagoh-Kouadio;Doka; Sanogo; Ouédraogo Abdoulaye;N'Cho Prosper; Yapi Yapi Christophe;N'Cho Vincent; Salomon; KonanFerrand; Nanan Djo; Aevoulié-Kouassi;Anglow; M'Bengue; Agoualè Latani;Aka Somla; Kouamé Kan Adiakro; TraBi Emile. Les Parents et ami(e)s: NananGrah Kple Blaise; Ayoya Bony et sesnotables ;, le Chef de la communautévillageoise de N'Guessan-Pokoukro; leChef de la Communauté Villageoise deZahakro; Chef Canton de Dibri ; M.Touré Sidia et Mme; M. Bessy Maruis etMme; Mme Mariame Fofana, MmeGeneviève Béhanzin, Mme GhusseinBillal Zeïnab ; Président Seydou Bah etMme; Mme Touré Namba; MmeGhussein Marie-Hélène; Mme N'deyePenda Leye M'Backé, sœurs et conjoints;M. Elie Bejani Mme et enfants; M. BlaiseKoffi Mme et enfants; M. Fadiga Malicket Mme; M. Lengane François; M. KonanKoffi Noël; Les enfants AttoumbréJoseph; M. N'Dri Koffi Jean-Baptiste etMme; Mme Kabas Jacqueline; M.Dieudonné N'Goumbi et Mme; M. VilaAuguste et Mme; M. Tanoh Jonas etMme; M. Pillah et Mme; M. Krah YaoJean et Mme; M. N'Dri Koffi Victor etMme; M. Kouakou Edouard; M. PatriceKouadio ; M. N'Go; M. Diop Abdoulatifet Mme; M. Lanvia Jérôme et Mme;Mme Manglé Rosine, frères et soeurs ;Veuve Blaise Laubhouet, M. AdouOlivier; M. Boka Evariste; M. BesséJean-Charles et Mme; M. Aka BonnyJeanPierre; le Chef d'Assamoikro ; M.Koumo ; M. Kouakou Koffi ; M. KonanDegbe; M. Kouassi Kan Maurice; M.Kramo Djea; M. Kouassi Yao Guillaume;M. Avit; M. Bictogo Michel; M.Traboulssi Anouar; Nanan Bli; MmeGuichard ; M. Guira Abdoulaye; M. JeanPaul Améthier, frères et sœurs; M. NoumDiallo Antoine; Mme Amani Antoinette;M. Brou Kouamé Maurice Mme etenfants; le; Mme Kouamé Bertine etenfants; Mme Léon DE CEGEX, lesmembres des comités d'organisation desobsèques; l'ensemble du personnel de feuAka Bonny Lambert.

Vous invitent par la même occasion àla messe d'action de grâce qui sera ditele Dimanche 11 janvier 2015 à 9h en laParoisse Saint-Jean de Cocody.

AKA BONNY Lambert Ex-chargé de mission à la Présidence de la

République de C.I, Membre Fondateur du SyndicatAgricole Africain et du PDCI-RDA

Grand Officier de l'Ordre du Bélier du PDCI-RDA.

AVIS DE REMERCIEMENTS

Frat-Mat N° 111579

Page 31: Société 22 mai 2012 Mont (P.6-7)scns.e-monsite.com/medias/files/fratmat-15027-20150109.pdf · Vos opinions nous intéressent oumou.midosso@yahoo.fr Hommes et femmes de lettres,

30 Infos service / Annonces légales Vendredi 9 janvier 2015

AVIS DE CONSTITUTION DELA SOCIETE COMTECHNOLOGIE

Aux termes des statuts sous seing privé faitle 08 Décembre 2014 enregistré le 04décembre 2014 il a été constitué une SARLunipersonnel ayant pour objet: laconception, la vente de logiciel de matérielsinformatique, de communication del'événementiel de publicité de prestation deservice d'intégrateur de solution et divers,dont le siège social est établi à Abidjan Port-Bouet pour une durée de 99ans à compter dela date d'immatriculation avec un capital de10000 000 fcfa souscrit et payerpartiellement libéré en numéraire. Mr N'DAKON AKPAGNY est le directeurgénéral Une expédition des statuts et unedéclaration de souscription et de versementont été déposées au greffe du tribunal ducommerce d'Abidjan

Avis de liquidation des biensde la Société de

Construction du Pont deJacqueville (SOCOJAC).

Par décret n° 2014-457 du 6 Août 2014 l'Etatde Côte d'Ivoire a procédé à la dissolutionde la Société de Construction du pont deJacqueville (SOCOJAC).Monsieur TIEMOKO KOFFI, Directeur duCabinet Audit Intercontinental, ExpertComptable Diplômé et Expert près lesTribunaux est désigné en qualité deliquidateur. Les créanciers de cette société sont tenus deproduire leurs titres de créances entre lesmains du liquidateur mentionnéconformément aux dispositions de l'acteuniforme portant organisation desprocédures collectives d'apurement dupassif à l'adresse ci -dessous : AUDIT INTERCONTINENTAL situé àAngré Djibi immeuble BANK OF AFRICA(BOA), 27 BP 1197 Abidjan 27, tél. 22 50 5424/22 50 54 25, Fax 22 50 53 91 cel. : 01 5243 07, email [email protected];[email protected] créanciers chirographaires ou munis desûretés composant la masse doivent, souspeine de forclusion conformément à I"article 78 de même acte, produire leurscréances auprès du liquidateur à partir de ladécision d'ouverture jusqu'à l'expirationd'un délais de 30 jours suivant la deuxièmeinsertion dans un journal d'annonces légalesou celles faite au J.O prévu respectivementpar les articles 36 et 37 précités. Ce délai estde 60 jours pour les créanciers domiciliéshors du territoire national ou la procédurecollective a été ouverte. La même obligationest fait au créancier qui, muni d'un titre decréance, a introduit, avant la décisiond'ouverture en condamnant en vertu d'untitre ou à défaut d'un titre pour fairereconnaître son droit les titulaires d'un droitde revendication doivent égalementproduire en précisant s'ils entendent exercerleur droit de revendication. A défaut de cetteprécision, ils sont considérés commecréanciers chirographaires. La productioninterrompt la prescription extinctive de lacréance,

Fait à Abidjan, le 20 Décembre 2014 Pour avis: Le liquidateur

TIEMOKO KOFFI

ETUDE DE MAITRE MyriamKatiawé DOGONI

NOTAIRE à Abidjan - Plateau, rue face àl'Hôtel Tiama, derrière le Commissariat duPremier Arrondissement, 01 BP 13174

Abidjan 01Tél: 20.21.20.67/ fax: 20.22.22.75/

cel: 02.83.98.86 / E-mail: [email protected]

CONSTITUTION DE SOCIETE

SOCIETE GENERALE DE PRESTATIONDE SERVICES en abrégé «S.G.P.S»Société A Responsabilité LimitéeUnipersonnelle au capital social de5.000.000 de FCFA divisé en 500 partssociales de 10.000 FCF A chacune.

SIEGE SOCIAL: Abidjan-Marcory Tiacohsur le prolongement de la banque CECP18 Boîte Postale numéro 1274 Abidjan 18

Aux termes de la DNSV et des statuts reçuspar Maître Myriam Katiawé DOGONI,Notaire à Abidjan-Plateau, en date du 19décembre 2014, il a été constitué une sociétédont les caractéristiques suivent: FORMESOCIALE: SARL-Unipersonnelle; OBJETSOCIAL: La Société a pour objet,directement ou indirectement, enRépublique de Côte d'Ivoire et à l'étranger:- La sécurité, la protection civile et laprestation de services, -La sous-traitance,l'import-export, la représentationcommerciale, -Le recrutement, la formation,le placement de personnes qualifiées ou nonqualifiées, -Le transport d'hydrocarbure, -Le transport public de voyageurs et dediverses marchandises (Transport Urbain-Interurbain et Inter-Etat), -La location devéhicules et engins des T.P, _ L'industriealimentaire, -L'usinage et lacommercialisation des produits agricoles(céréales et diverses denrées alimentaires), -

L'exploitation de mines et carrière (sable,gravier concassé et non concassé), -Comptoir d'or et diamant, -La prise departicipation des parts sociales dans lessociétés -La prise de participation oud'intérêts sous une forme quelconque danstoute entreprise ou société ; -Toutesopérations de BTP et généralement toutesopérations commerciales, industrielles,financières, mobilières et immobilièrespouvant se rattacher directement ouindirectement à l'objet social et à tous objetssimilaires ou susceptibles d'en assurer ledéveloppement. DUREE: 99 ans; GERANT:Monsieur SOULEYMANE Konaté, DEPOTAU GREFFE du Tribunal de Commerced'Abidjan le 02 janvier 2015 sous le numéro001 RCCM numéro CI-ABJ-2015-B-186 du05 janvier 2015.

Pour avis, le Notaire.

AVIS DE CONSTITUTION «UNIVERSAL TEAM »

Siège social: ABIDJAN - COCODYANONO,

01 BP 378 ABIDJAN 01

Aux termes de la DNSV et du dépôt desStatuts SSP reçus par Maître N' DOUFFOUKONAN ARSENE Notaire, il a été constituéune SARL UNIPERSONNELLE auxcaractéristiques suivantes: Dénomination:« UNIVERSAL TEAM », Objet: Lacommercialisation de matériel etconsommable informatique; le BTP et legénie civil; le marketing opérationnel etcommunication; le courtage dans la vente debillets d'avion; l'expertise et le conseil dansle domaine de l'électricité; la location devoitures; l'achat et la vente de vêtements etd'accessoires; la prestation de servicesdivers. Capital social: 1 000 000 F CFAdivisé en cent (100) Parts Sociales de DixMille (10.000) F CFA chacune ennuméraires, numérotées de 1 à 100intégralement souscrites et entièrementlibérées par l'associé unique. Siège social:ABIDJAN-COCODY ANONO, 01 BP 378ABIDJAN 01. GERANT: MadameABOUSSOU Née OSSOMAN OWOHCHRISTIAN-SUZANNE. RCCM: N°CI-ABJ-2014-B-26902 du 30/12/2014 auTribunal de Commerce d'Abidjan. Durée:99 ans. Dépôt au greffe: N°9719 du30/12/2014.

Pour avis la gérante

ETUDE DE MAITRE BEUGREGUY ROGERNOTAIRE

26, Boulevard de la République, au-dessusde la « GALERIE DU PARC ANNEXE»ABIDJAN-PLATEAU BP 72 POST

ENTREPRISESTEL 20-33-56-43 / FAX: 20-33-55-52

« AZITO ENERGIE»Société Anonyme avec Conseil

d'AdministrationAU CAPITAL DE 44.521.550.000 F CFASiège social: ABIDJAN, COCODY,

Immeuble Grand Siècle, Route du LycéeTechnique,

BP 1296 ABIDJAN CIDEX 1.RCCM N°: CI-ABJ-1997-B-215950AUGMENTATION DE CAPITAL

1/ Aux termes des résolutions de l'AssembléeGénérale Extraordinaire du 09/12/2014,dont le procès-verbal a été enregistré àABIDJAN le 30/12/2014, Registre ACP Vol01 F° 65 N° 870 Bord 870/13, lesactionnaires de la société AZITO ENERGIEont décidé d'augmenter le capital de lasomme de 2.405.060.000 F CFA, pour leporter de 42.116.490.000 F CFA à44.521.550.000 F CFA, par la création etl'émission de 240.506 actions nouvellesd'une valeur nominale de 10.000 F CFAchacune, à souscrire au pair et à libérerintégralement par les actionnaires à lasouscription, soit en numéraire, soit parcompensation avec des créances certaines,liquides et exigibles sur la société. II/ Aux termes de la déclaration notariée desouscription et de versement reçue par MeBEUGRE Guy-Roger, Notaire à ABIDJAN,le 23/12/2014, ladite augmentation de capitalest devenue définitive. Dépôt au Greffe duTribunal de Commerce d'Abidjan le06/01/12015 sous le N°064 ; Inscriptionmodificative au Registre du Commerce et duCrédit Mobilier d’ ABIDJAN le 06/01/2015sous le numéro CI-ABJ-2015:M-404.

POUR AVIS, le Notaire et le DirecteurGénéral

ETUDE DE MAITRE BEUGREGUY-ROGERNOTAIRE

(26, Boulevard de la République, au-dessusde la « GALERIE DU PARC ANNEXE »)

ABIDJAN-PLATEAU BP 72POST'ENTREPRISE

TEL 20-33-56-43 - FAX: 20-33-55-52CONSTITUTION DE SOCIETE

Aux termes de la déclaration notariée desouscription et de versement et des statutsreçus par Me BEUGRE Guy-Roger, en dateà ABIDJAN du 18/12/2014, il a été constituéune S.A.R.L ayant pour - OBJET: Achat etVente; Commerce; BTP; Nettoyage urbain;Formation hygiénique; Réparation et

entretien de véhicules; Transport demarchandises. - DENOMINATION:LIGNES ET GROUPEMENT DESOCIETE en abrégé «LEGROS », - SIEGESOCIAL: ABIDJAN, YOPOUGON, en facedu CHU, 06 BP 2179 ABIDJAN 06 -DUREE: 99 années sauf dissolutionanticipée ou prorogation. - CAPITALSOCIAL: 1.000.000 F CFA en numéraire.GERANCE: Messieurs DOSSO FALIKOUet DOSSO FAKOMA - DEPOT AUGREFFE du Tribunal de Commerced'ABIDJAN: le 31/12/2014 sous le N° 9724 -RCCM N°: CI-ABJ-2014-B-26922.POUR AVIS, le Notaire et les Cogérants.

ETUDE DE MAITRE RenéeClaire KASSY

NOTAIRE ABIDJAN-PLATEAU -IMMEUBLE DAUDET

01 B.P 2912 ABIDJAN 01 - TEL: (225) 2032 22 08 - FAX: (225) 20 32 20 24

[email protected] WEST AFRICA SA

SOCIETE ANONYME AVEC CONSEILD'ADMINISTRATION

CAPITAL SOCIAL: 60.000.000.000 DEFRANCS CFA

SIEGE SOCIAL: ABIDJAN-PLATEAU,ANGLE AVENUE TERRASSONS DEFOURGERE ET RUE GOURGAS

01 B.P 4132 ABIDJAN 01RCCM D'ABIDJAN N° CI-ABJ-2009-B-

3251

RATIFICATION DE COOPTATION ETNOMINATION D'ADMINISTRATEUR

- Aux termes de l'Extrait des délibérationsdu Conseil d'Administration en date du 30septembre 2013, les Administrateurs ontpris acte de la démission du FMO de sonmandat d'Administrateur et décide decoopter en remplacement, MonsieurBernardus ZWINKELS pour la durée dumandat de son prédécesseur, soit jusqu'àl'issue de l'Assemblée Générale Ordinaireappelée à statuer sur les comptes del'exercice clos au 31 décembre 2016 ; - Aux termes de l'Extrait des délibérationsdu Conseil d'Administration en date du 27février 2014, les Administrateurs ont prisacte de la démission de la BMCE BankInternational de son mandatd'Administrateur et décide de coopter enremplacement, Monsieur MohammedAGOUMI pour la durée du mandat de sonprédécesseur.- Suivant Procès-Verbal de l'AssembléeGénérale Ordinaire du 27 juin 2014, lesActionnaires ont:- ratifié la nomination aux fonctionsd'administrateur de Monsieur BernardusZWINKELS et Monsieur MohammedAGOUMI en remplacement des structureFMO, BMCE Bank Internationaldémissionnaire, pour la durée du mandat deleur prédécesseur restant à courir, soitjusqu'à l'issue de l'assemblée généraleordinaire qui statuera sur les comptes del'exercice clos le 31 décembre 2016 .- nommé Monsieur Khalid NASR en qualitéd’Administrateur pour une durée de sixannées.Dépôt au Greffe du Tribunal de Commerced'ABIDJAN, des pièces ci-avantmentionnées, les 05/11/2014 sous lesnuméros 8414 et 8415 et le 10/11/2014 sous lenuméro 8533. Inscriptions modificatives auRCCM le 22/12/2014 sous les numéros CI-ABJ-2014-M-26383, CI-ABJ-2014-M- 26404et CI-ABJ-2014-M-26387. Dépôt au Greffe du Tribunal de Commerced'ABIDJAN du bilan de l'exercice clos le 31décembre 2013, le 05/11/2014 sous le numéro8416.

POUR AVIS : LE NOTAIRE ET LEPRESIDENT DU CONSEIL

D'ADMINISTRATION

SOCIETE BOUTROSBOUTROS ET COMPAGNIEEn Abrégé « S.B.B.Co »Société A Responsabilité LimitéeAu capital de 1.000.000 de F CFA

Siège Social: DALOA, BP 2170 DALOACONSTITUTION DE SOCIETE

Aux termes des statuts sous seings privé ila été constitué une Société à ResponsabilitéLimitée DENOMMEE: SOCIETEBOUTROS BOUTROS ET COMPAGNIEen abrégé S.B.B.Co ayant pour OBJET:Commerce général Import - Export,Transport, SIEGE: DALOA, BP 2170DALOA, DUREE: 99 ANS, à compter deson immatriculation au RCCM auCAPITAL: 1.000.000 DE FCFA, divisé en100 PARTS de 10.000 FCFA, chacune devaleur nominale, souscrites en totalité etintégralement libérées, de 1 à 100 inclus.GERANT: M. BOUTROS BOUTROSpour une durée indéterminée. DEPOT: auGreffe du Tribunal de Commerce deDALOA, le 29/12/2014, sous le numéro CIDAL. 14. MO 775 CHRONO.IMMATRICULATION: au Registre duCommerce et du Crédit Mobilier deDALOA, le 29/12/2014, sous le numéro CIDAL. 2014 B 3903.

POUR AVISLe Gérant

ETUDE DE MAITREDOUKOURE Aliou

NOTAIREABIDJAN-PLATEAU IMMEUBLE

TALEB 4ème ETAGE;01 B.P.11.955 ABIDJAN 01«BUSINESS AUDITING ANDCONSULTING» B.A.C

S.A.R.L AU CAPITAL DE 1.000.000 F.CFASIEGE SOCIAL: A ABIDJAN MARCORY

SICOGI, SUR LE BLVD VGE,IMMEUBLE LUXURY CARS, 3EME

ETAGE18 BP 586 ABIDJAN18

RCCM D'ABIDJAN-COCODY N° CI-ABJ-2013-B-6700

MODIFICATION STATUTAIRE

Aux termes du Procès-verbal de l'AssembléeGénérale Extraordinaire du 15 Décembre2014, l'associé unique de la Société àResponsabilité Limitée «BUSINESSAUDITING AND CONSULTING »aprocédé au transfert du siège de laditesociété de Abidjan-Plateau, ImmeubleJeceda, Bureau B3, Entrée A 18 BP 586Abidjan 18 à Abidjan-Marcory Sicogi, sur leBoulevard VGE, Immeuble Luxury Cars3ème étage, 18 BP 586 Abidjan 18, Côted'Ivoire. DEPOT AU GREFFE: Le 31Décembre 2014 sous le N°9723IMMATRICULATION MODIFICATIVEau RCCM d'ABIDJAN-COCODY: sous lenuméro CI-ABJ-2015-M-193

POUR AVIS: LE NOTAIRE

ETUDE DE MAITREDOUKOURE Aliou

NOTAIRE ABIDJAN-PLATEAUIMMEUBLE TALEB 4èmeETAGE;

01 B.P. 11.955 ABIDJAN 01«TIAPOUM MONEY TRANSFER»

S.A.R.L AU CAPITAL DE 2.000.000 F.CFASIEGE SOCIAL: A TIAPOUM01 BP 4181 ABIDJAN 01

RCCM D'ABOISSO N° CI-ABS-13-MO-31

MODIFICATION STATUTAIRE

Aux termes du Procès-verbal de l'AssembléeGénérale Extraordinaire du 12 Novembre2014, les associés de la Société àResponsabilité Limitée «TIAPOUMMONEY TRANSFER » ont constaté ladémission de Madame SYLLA Fatime et ontprocédé à la nomination d'un nouveaugérant en la personne de Monsieur KADJON'TAH JEAN-BAPTISTE.DEPOT AUGREFFE: Le 05 Décembre 2014 sous leN°9232 IMMATRICULATIONMODIFICATIVE au RCCM d'ABOISSO:sous le numéro M2-245.

POUR AVIS :LE NOTAIRE

MAITRE Renée Claire KASSYNOTAIRE ABIDJAN-PLATEAU -

IMMEUBLE DAUDET01 B.P 2912 ABIDJAN 01 - TEL: (225) 20

32 22 08 - FAX: (225) 20 32 20 [email protected] / [email protected]"AGORA HOLDING S.A"

SOCIETE ANONYME AVEC CONSEILD'ADMINISTRATION

CAPITAL SOCIAL: 5.000.000.000 DEFRANCS CFA

SIEGE SOCIAL: ABIDJAN-PLATEAU,Angle Avenue Terrasson de Fourgères et

rue Gourgas01 B.P 4132 ABIDJAN 01

RCCM D'ABIDJAN N° CI-ABJ-2002-B-282.497

DEPOT DU PROCES VERBAL DEL'ASSEMBLEE GENERALE

ORDINAIRE ET DU BILAN DESCOMPTES DE L'EXERCICE CLOS LE

31 DECEMBRE 2013

Le Procès-Verbal de l'Assemblée GénéraleOrdinaire en date à Abidjan du 10 Avril2014, portant approbation du bilan et descomptes de l'exercice clos le 31 décembre2013 de la société "AGORA HOLDINGS.A", et les états financiers l'exercice clos le31 décembre 2013 ont été déposé au greffedu Tribunal de Commerce d'ABIDJAN,sous les numéros 8413 du 05/11/2014 et 9575du 22/12/2014.

POUR AVIS: LE NOTAIRE ET LEPRESIDENT DU CONSEIL

D'ADMINISTRATION.

« SO.G.I.R » S.A.R.LU.AU CAPITAL DE 3.000.000

FCFASIEGE SOCIAL: Abidjan-Cocody II

Plateaux, Boulevard Latrille, après CarrAmbassade de Chine, Résidence C2Z, 28

BP 549 Abidjan 28REDUCTION D'OBJET SOCIAL

Aux termes des délibérations de l'AssembléeGénérale Extraordinaire de l'associé de lasociété «SOCIETE DE GARDIENNAGEET D'INTERVENTION RAPIDE» enabrégé « SO.G.I.R» SARLU, en date du 10Décembre 2014, dont le procès-verbal a étéenregistré à Abidjan le 22 Décembre 2014,Registre SSP, volume 01, folio 64, numéro

865, bordereau 865/20, il a été décidé: de laréduction de l'objet social qui va être lasuivante objet social: le gardiennage,l'assistance, la garde rapprochée, la vidéosurveillance et la télésurveillance, Maître-chien; Dépôt au greffe du Tribunal duCommerce d'Abidjan le 29 Décembre 2014sous le numéro 9682 et modification auRCCM le 30 Décembre 2014 sous le N° CI -ABJ - 2014 - M - 26881.

Pour avis le Gérant

AVIS DE PERTE DECERTIFICAT DE PROPRIETE

La Société Civile Immobilière«BONHEUR» par abréviation « SCIBONHEUR» représentée par MadameOUSSOU' Adjo Alice épouse TCHIMOU, 18Boîte Postale 554 Abidjan 18, déclare avoirégaré son Certificat de Propriété N° 004976,afférent à la parcelle sise Cocody Riviera-Golf, le lot 65, îlot 04 objet du TF N° 90.319de BINGERVILLE délivré le 14/10/04 par laConservation de la Propriété Foncière et desHypothèques d'Abidjan Nord 1.

Pour avis Madame OUSSOU Adjo Aliceépouse TCHIMOU

ETUDE DE MAITRE JEAN-NOËL SAMPAH

Commissaire - Priseur 18 BP1050ABIDJAN 18 - Tél. : 21 35 22 40

VENTE PAR AUTORITE DE JUSTICE

Le lundi 12 janvier 2015 à 10 heures dans lacour de la Manutention Africaine sise àYopougon, route de Dabou, d'uncompacteur DYNAPAC CA 301, saisi surA.D.S. Requête ALIOS FINANCE. Maître Jean Noël SAMPAH

AVIS DE PERTE DECERTIFICAT DE PROPRIETE

Mademoiselle EBI Ahou Sylvie Noëlle,Directrice de société, demeurant à Abidjan,05 BP 1750 Abidjan 05, déclare avoir égaréson Certificat de Propriété N° 05006436,afférent à la parcelle sise Abidjan Cocody,Quartier Riviera Palmeraie, RésidencePARADISE, lot 345, îlot 20, objet du titrefoncier numéro QUATRE VINGT DIXHUIT MILLE DEUX CENT CINQUANTETROIS (98.253) de BINGERVILLE, délivréle 28 Octobre 2011 par la Conservation de laPropriété Foncière et des Hypothèques deRIVIERA. Pour avis Mademoiselle EBI Ahou Sylvie

Noëlle

Maître SUY BI Gohoré EmileAvocat à la Cour Cocody les Deux-plateauxVallons, Rue des Jardins, Carrefour SIB,

Résidence Valérie, RDC, Appartement C 01,

Tél.: (225) 22.41.07.97, Fax: (225)22.41.59.30,

Mail: [email protected]

AVIS DE CONSTITUTION DE SOCIETE

Par acte ssp du, 30 septembre 2014,enregistré à Abidjan le 24 octobre 2014, auRegistre SSP Vol 01, F° 62, n° 823, Bord823/12, il a été constitué une sociétédénommée « NOVAFARM IVOIRE», SARLau capital de 5.000.000 FCFA, dont le siègesocial est à Abidjan, Cocody II PlateauxVallons. Objet: Importation de matièrespremières et fabrication de produitspharmaceutiques; Importation etexportation de produits pharmaceutiques;Conditionnement de produitspharmaceutiques; Distribution de produitspharmaceutiques. Gérants: MonsieurRAMON GALLART GRAU, Monsieur DELA POIX DE FREMINVILLE ThierryHubert Marie, Monsieur ZEBI KOKOUWilliam. La société a été immatriculée auRegistre de Commerce et du CréditMobilier sous le numéro CCM: CI-ABJ-2014-B-26665 du 26/12/2014.

Pour avis,L'Avocat.

Etude de Me KOUASSILoukou Michel,Notaire à ABIDJAN,

Residence Nanan Yamousso, Esc. 1, Appt 137,

16 BP 1589 Abidjan 16 / Tél: 21.25.74.95Fax: 21.24.93.02

CONSTITUTION DE SOCIETE

Aux termes de la Déclaration Notariée deSouscription et de Versement et des Statutsétablis le 18 décembre 2014 enregistré le 24décembre 2014 reçu par Me KOUASSI L.Michel, Notaire à Abidjan il a été constituéune Société à Responsabilité Limitée ayantpour Objet: Conseil en organisation etmanagement d'entreprise, optimisation etréingénierie des processus, architecture eturbanisation des systèmes d'information,sécurité des systèmes d'informations,développement et mise en œuvre desolutions innovantes, construction deplateforme de communication et de

collaboration, Infogérance, planification,organisation et coordination de projet,construction de plateforme collaborative,benchmark et analyse décisionnelle,formation et mise à disposition decompétences, accompagnement à lacertification aux standards organisationnelsinternationaux, participation directe ouindirecte de la société dans toutes opérationsindustrielles et commerciales, mobilière ouimmobilières se rattachant à l'objet social etgénéralement toutes activités ou prestationsse rapportant directement ou indirectementà l'objet social ou de nature à favoriser ledéveloppement des activités de la société.Dénomination: «INGENIANCE COTED'IVOIRE» (ICI) Siège: Abidjan COCODYRIVIERA, 01 Boite Postale 5134 Abidjan 01Durée:99 ans Capital Social: 1.000.000 FCFA, divisé en 100 parts sociales de 10.000 FCFA chacune; Gérant: Monsieur EHUENIMiankan Bertin Charles: La société a lafaculté de constituer tous fonds de réservesDépôt: Greffe TCA le 29-12-2014 sous le n°9687 RCCM n° CI-ABJ-2014-B-26851.

POUR AVIS LE NOTAIRE

SOCIETE IVOIRIENNE DE FABRICATION DE

RADIATEURS DE TOUS ENGINSET AUTOMOBILES DE CENTRE-OUEST REPARATION DE POMPESINJECTION En Abrégé « SIFRACO »Société A Responsabilité Limitée

UnipersonnelleAu capital de 1.000.000 de F CFA

Siège Social: DALOA, BP 2170 DALOA

CONSTITUTION DE SOCIETE

Aux termes des statuts sous seings privé il aété constitué une Société à ResponsabilitéLimitée Unipersonnelle DENOMMEE:SOCIETE IVOIRIENNE DEFABRICATION DE RADIATEURS DETOUS ENGINS ET AUTOMOBILES DECENTRE-OUEST REPARATION DEPOMPES INJECTION en abrégéSIFRACO ayant pour OBJET: fabricationde radiateurs de tous engins et automobiles,réparation de pompes injection, hôtellerie etdivers, SIEGE: DALOA QUARTIERTAZIBOUO EVECHE, BP 1599 DALOA,DUREE: 99 ANS, à compter de sonimmatriculation au RCCM au CAPITAL:1.000.000 DE FCFA, divisé en 100 PARTSde 10.000 FCFA, chacune de valeurnominale, souscrites en totalité etintégralement libérées, de 1 à 100 inclus.GERANT: M. BROU KOUAME RENEpour une durée indéterminée. DEPOT: auGreffe du Tribunal de Commerce deDALOA, le 29/12/2014, sous le numéro CIDAL. 14. MO 774 CHRONO.IMMATRICULATION: au Registre duCommerce et du Crédit Mobilier deDALOA, le 29/12/2014, sous le numéro CIDAL. 2014 B 3902.

POUR AVISLe Gérant

ETUDE DE MAITRE YAPONINA ROSELYNE,

NotaireAvenue Crosson Duplessis, Abidjan-

Plateau, Immeuble Crosson Duplessis II,4ème Etage, Porte 41

01 B.P 11.741 ABIDJAN 01Tél: (00225) 20 32 29 17 Fax (00225) 20 32 29 66

E-MAILS:[email protected];[email protected]

« UNEXIMCOM » UNIVERSAL EXPORTIMPORT COMPANY

SOCIETE A RESPONSABILITELIMITEE

EN CONSTITUTIONAU CAPITAL DE 1.000.000 F CFA,SIEGE SOCIAL: ABIDJAN-COCODYRIVIERA GOLF, Lot numéro 141, ilôt

5002,25Boîte Postale numéro 1595 ABIDJAN 25

Il résulte de la DNSV et des Statuts reçuspar Maître YAPO Nina Roselyne, Notaire àABIDJAN, le13/08/2014 qu'il a été constituéla SARL dénommée: "UNIVERSALEXPORT IMPORT COMPANY" en abrégé« UNEXIMCOM » dont le siège social est àABIDJAN-COCODY RIVIERA GOLF, Lotnuméro 141, ilot 5002; 25 Boîte Postalenuméro 1595 ABIDJAN 25, ayant pourobjet: L'intermédiation en matièrecommerciale, la mise en relation à l'achat età la vente de produits de tous genres; Lareprésentation exclusive légale etcommerciale de marques de produits oud'entreprises étrangères en Côte d’Ivoire ;L'importation, la production locale, latransformation partielle ou totale de toutesdenrées en produits divers y compris enproduits de Boulangerie et de Pâtisserie; leconditionnement, la conservation, ladistribution de ces produits et différentsautres biens de consommation sous formemanufacturée; L'exportation de tousproduits tropicaux à l'état brut, semi-fini oufini; L'achat et la vente de terrainsd'habitation ou de terres cultivables pour lapromotion d'opérations immobilières et

Page 32: Société 22 mai 2012 Mont (P.6-7)scns.e-monsite.com/medias/files/fratmat-15027-20150109.pdf · Vos opinions nous intéressent oumou.midosso@yahoo.fr Hommes et femmes de lettres,

31Infos service / Annonces légales / Petites annoncesVendredi 9 janvier 2015

hôtelières; la création de fermes agricoles,pastorales et halieutiques; le montaged'agribusiness et de trading de tous genres;Le transport de voyageurs, de marchandisesdiverses, y compris de produits miniers,d'hydrocarbures raffinés liquides ougazeux; leur vente ou leur distribution parl'ouverture de comptoirs, de stationsd'essences, comportant des espaces de repos,de restauration, de garages de dépannage, lalocation de véhicules de tourisme, d'enginslourds divers de travaux publics ou demécanisation agricole; Toutes activités denégoce, de gros et de détails; Toutesprestations de services divers. DUREE: 99années. CAPITAL SOCIAL: 1.000.000F.CFA divisé en 100 parts sociales de 10.000F.CFA chacune, libéré intégralement ennuméraire. CO-GERANTS: MonsieurBEUGRE Constantin N'drin et MadameLAUBHOUET épouse BEUGRE VéroniqueLobro pour une durée non limitée; dépôt auGreffe: le 22/12/2014 sous le n°9568 ;RCCM d'ABIDJAN: le 23/12/2014 sous le n°CI-ABJ-2014-B- 26507.

Pour avis le Notaire

AVIS DE CONSTITUTION DESOCIETE

A+ INFRASTRUCTURES ETENERGIE

ABIDJAN-MARCORY REMBLAI-08 BP2644 ABIDJAN 08-TEL: (225) 57 18 03 40 /08 99 64 86CAPITAL SOCIAL: 2 000 000 DE FRANCSCFA- RCCM D'ABIDJAN N° CI-ABJ-2015-B-234ASSOCIE GERANT: M.TRAORE AbouDramane OBJET: BATIMENT-ELECTRICITE-COMMERCE (EQUIPEMENTELECTRIQUES)

Etude de Maître KOUAME AyaJocelyne NOTAIRE

Treichville Arras, Immeuble BICICI, 1er étage, porte 3,

30 BP 175 Abidjan 30 Tel: 21 3558 17- Fax:21 3559 98

Email: [email protected] FOODS INDUSTRY»

«P.F.I»Société à Responsabilité Limitée

Au capital de : 5.000.000 de Francs CFAPorté à : 105.000.000 de Francs CFA

Siège social: ABIDJAN Yopougon ZoneIndustrielle,

15 BP 1044 Abidjan 15RCCM N° CI- YOP-2010-B-603

AUGMENTATION DU CAPITAL DE LASOCIÉTÉ MISE A JOUR DES STATUTS

Aux termes des délibérations de l'AssembléeGénérale Extraordinaire du 18 Décembre2014, dont le PV a été reçu au rang desminutes du Notaire soussigné, il a été décidépar les associés de la société«PROFESSIONAL FOODS INDUSTRY »en abrégé « P.F.I » SARL l'augmentation ducapital social de la somme de CENTMILLIONS (100.000.000) DE F CFA; pourle porter de CINQ MILLIONS (5.000.000)DE F CFA à CENT CINQ MILLIONS(105.000.000) DE F CFA; par la création devingt mille (20.000) parts sociales de CINQMILLE (5.000) FRANCS CFA chacune;toutes souscrites et entièrement libéréesainsi que le constate la DNSV aprèsaugmentation de capital dressée par leNotaire soussigné le 19/12/2014; - En conséquence de la résolution quiprécède, les articles six (06) et sept (07) desstatuts de la société ont été modifiés. Dépôtau Tribunal de Commerce d'Abidjan le 29Décembre 2014 sous le numéro 9691.RCCM modificatif le 31 Décembre 2014sous le numéro CI-ABJ-2014-M-26935.

Pour Avis le Notaire

ETUDE DE MAITRE CECILEAMIAN-KONE,

NOTAIRE A ABIDJAN 01 BP 7952ABIDJAN 01/ TEL 20-22-05-70

[email protected]"SOCIETE DE BLANCHISSERIEINDUSTRIELLE" En abrégé" SBI "

SARL AU CAPITAL DE 5.000.000 F CFASIEGE SOCIAL: ABIDJAN-COCODY -

RIVIERA 301 BP 12961 ABIDJAN 01

R.C.C.M. D'ABIDJAN NUMERO: CI-ABJ-2012-B-107

CESSION DE PARTSSOCIALES/STATUTS MIS A JOUR

Aux termes des cessions de parts socialespar Madame DIOMANDE SANLE EpseBRIERE DE L'ISLE au profit de MessieursHAIDARA ALI, COULIBALY IBRAHIMet COULIBALY VALI et des décisionscollectives extraordinaires des 20/9/ et20/10/2014, les statuts ont été mis à jourconformément aux différentes modificationsstatutaires/Dépôt au Greffe du Tribunal duCommerce d'ABIDJAN de deux expéditionsde la cession de parts sociales et deuxexpéditions des statuts mis à jour, le 25/11/2014 sous le numéro 8928.

POUR AVIS LE NOTAIRE

SAN PEDRO DIESEL « S.P.D»S.A.R.L au capital de 50 000

000 de FcfaSiège social : BP 697 San Pedro Zone

IndustrielleRCCM CI -Sassandra-1990-B-6105

RENOUVELLEMENT DU MANDAT DUCOMMISSAIRE AUX COMPTES

Aux termes du procès-verbal des décisionsde l'Associé Unique du 30/06/2013, l'AssociéUnique ayant constaté que le mandat ducommissaire aux comptes est arrivé àexpiration, a décidé de reconduire dans cesfonctions Monsieur Jean-Luc RUELLEpour une durée de trois années devantarriver à expiration au jour de la tenuel'Assemblée Ordinaire appelée à statuer surl'exercice social clos le 31 décembre 2015.Deux exemplaires enregistrés du procès-verbal des décisions de l'Associé Unique ontété déposés au Greffe du Tribunal dePremière Instance de Daloa, section deSassandra, le 24/03/2014 sous le N°097/14.Modification corrélative en a été faite le15/10/2014 au Registre de Commerce sous len° CI.SAS.14.M2 493.

SOCIETE COOPERATIVEAGRICOLE DU CANTON

BAKWE (SCACB - SCOOPS)

Aux termes des statuts sous seing privéreçus au rang des minutes de maîtreKONAN KAKAHA, Greffier en Chef de lasection du Tribunal de SOUBRE le 15Décembre 2014, il a été constitué une sociétécoopérative dénommée SOCIETECOOPERATIVE AGRICOLE DUCANTON BAKWE (SCACB - SCOOPS) aucapital social de 900.000 FCFA- pour uned'urée de 99 ans. Son siège est situé ~SOUBRE, BP 589 Soubré. Elle a pour objet,la commercialisation, la collecte et latransformation des produits agricoles de sesmembres. A cette fin, elle pratiqueranotamment les opérations suivantes:l'amélioration des technique: de travail deses membres, l'ouverture d'un établissementsecondaire l'accroissement des ressourcesfinancières de ses adhérents notamment parl'approvisionnement en intrants et autresfacteurs de production, l'achatd'équipement collectifs, l'utilisation decrédit qui peut être accordé et plu:généralement toutes actions économiquessociales, culturelles et éducative propre àatteindre l'objet de la société coopérative.Dépôt au greffe de la section du Tribunal deSOUBRE le 15 Décembre 2014 et enregistréle même jour sous le numéro du registre dessociétés coopérative (RSC) : CI - SBR - 2014- CO - 237 du 15 DECEMBRE 2014.La présidence est assurée par M. SYLLAMAMADOU Cell : 05 73 96 04

ETUDE DE MAITRE AHOBAUT-BESSET Fulgence

Notaire,Av. Franchet D'Esperey, Imm. OLLO,

3ème étage Escalier C,Abidjan Plateau. BP 322 Post' Entreprises

Cedex 1 Fax: 20 22 00 62,Tél. 20 22 00 60/61, Email:[email protected]

Constitution de Société « IVOIRAVITAILLEMENT MARITIME» en

abrégé « I A M»

Il résulte de la déclaration de souscription etde versement et des statuts, reçus auxminutes du Notaire soussigné, le 12Novembre 2014, la constitution d'une sociétécommerciale ayant les caractéristiquessuivantes: Forme: SARL. Dénomination:«IVOIR AVITAILLEMENT MARITIME»en abrégé «I A M», Objet: En République deCôte d'Ivoire et à l'étranger: L'avitaillementmaritime et les activités annexes. La prise departicipation, selon toutes modalitésjuridiques, dans toutes entreprises ousociétés créées ou à créer, nationales ouétrangères, exerçant le même objet ou ayantun objet similaire ou connexe. Siège:Abidjan- Yopougon, nouveau-quartier,Appartement 63-77, Durée: 99 années.Capital: 10.000.000.F.CFA, représenté parmille (1000) parts sociales de 10 000 F .CFAà moitié libérées. Gérant Statutaire:Monsieur KOULAGNAN Gossio ArmelRodrigue. Dépôt au Tribunal de Commerced'Abidjan, le 24/12/2014 sous leN°9604/2014 Immatriculation au RCCM, le24/12/2014 sous le CI-ABJ-2014- B-26547.

Pour avis, le Notaire

ETUDE DE MAITRE AHOBAUT-BESSET Fulgence Notaire,

Av. Franchet D'Esperey, Imm. OLLO,3ème étage Escalier C,

Abidjan Plateau. BP 322 Post' EntreprisesCedex 1 Fax: 20 22 00 62,Tél. 20 22 00 60/61, Email:[email protected]

Constitution de Société «ORGAFINANCESCôte d'Ivoire»

Il résulte de la déclaration de souscription etde versement et des statuts, reçus auxminutes du Notaire soussigné, le 28 Octobre2014, la constitution d'une sociétécommerciale ayant les caractéristiques

suivantes: Forme: SARL. Dénomination:«ORGAFINANCES Côte d'Ivoire », Objet,en République de Côte d'Ivoire et àl'étranger: l'activité de conseil etd'assistance dans les domaines suivantes :Etudes de faisabilité, structuration etrecherche de financement de projets,organisation, audit et évaluationd'entreprise et ou de projets. Négociation etorganisation de tables rondes definancement et de bailleurs de fonds.Recherche de cautions et de garantiesinstitutionnelles. Mise en relation departenariat économique et commercialSiège: Abidjan-Palmeraie, cité jardin despalmeraies, lot 78, Durée: 99 années.Capital: 1.000.000.F.CFA, représenté par100 parts sociales de 10000 F.CFA. GérantStatutaire: Monsieur OBOU BokaAlexandre. Dépôt au Tribunal de Commerced'Abidjan, le 26/12/2014 sous leN°9603/2014 Immatriculation au RCCM, le26/12/2014 sous le CI-ABJ-2014-B-26682.

Pour avis, le Notaire

Maître ZEHOURI Paul-ABertin NOTAIRE

9, Rue Paris-Village, 1er Etage, ABIDJAN-Plateau 01 Abidjan 01

Tél: 20-22-94-18/20-22-93-95 Fax: 20-22-94-55

Email: [email protected] web: www.zehouri-notaire-conseil.com

CONSTITUTION DE SOCIETE«ALTHOUM SERVICES»

CAPITAL: 10.000.000 FCFA

Par actes authentiques (Statuts et DNSV)reçus par Maître ZEHOURI Bertin Paul-Arnaud, notaire le 12 Décembre 2014,enregistrés à Abidjan le 22 Décembre 2014,Registre A.C.P volume 11 A, Folio 164N°3271 Bord. 3271/01; Il a été constitué uneS.A.S.U dont les caractéristiques suivent:«ALTHOUM SERVICES S.A.S.U» Objetsocial : La société a pour objet: La mise àdisposition de personnels au profit dediverses administrations publiques etprivées ou de particuliers; la recherche et ledéveloppement; le lobbying; la prise departicipations dans toutes sociétés; Capitalsocial: 10.000.000 F CFA, divisé en 1000actions de 10.000 F CFA chacune,totalement libérées en numéraires parl'associé unique. Siège social:Provisoirement à ABIDJAN 9, rue Paris-Village, 01 BP 4152 ABIDJAN 01. Durée: 99ans. RCCM : N° CI-ABJ-2014-B-26254 du22/12/2014 au guichet unique du CEPICId'Abidjan. Dépôt au greffe: N° 9533 du22/12/2014.

Pour avis le NotaireMe ZEHOURI Paul-A. Bertin

ETUDE DE MAITRE MyriamKatiawé DOGONI

NOTAIRE à Abidjan-Plateau,rue face à l'Hôtel Tiama, derrière le

Commissariat du Premier Arrondissement,01 BP 13174 Abidjan 01

Tel: 20.21.20.67/ fax: 20.22.22.75 / cel:02.83.98.86

E-mail: [email protected]

CONSTITUTION DE SOCIETE

SOCIETE GENERALE DE PRESTATIONDE SERVICES en abrégé «S.G.P.S»Société A Responsabilité LimitéeUnipersonnelle au capital social de

5.000.000 de FCFA divisé en 500 partssociales de 10.000 FCFA chacune.

SIEGE SOCIAL: Abidjan-Marcory Tiacohsur le prolongement de la banque CE CP18 Boîte Postale numéro 1274 Abidjan 18

Aux termes de la DNSV et des statuts reçuspar Maître Myriam Katiawé DOGONI,Notaire à Abidjan-Plateau, en date du 19décembre 2014, il a été constitué une sociétédont les caractéristiques suivent: FORMESOCIALE: SARL Unipersonnelle; OBJETSOCIAL: La Société a pour objet,directement ou indirectement, enRépublique de Côte d'Ivoire et à l'étranger:-La sécurité, la protection civile et laprestation de services, -La sous-traitance,l'import-export, la représentationcommerciale, -Le recrutement, la formation,le placement de personnes qualifiées ou nonqualifiées, -Le transport d'hydrocarbure, -Le transport public de voyageurs et dediverses marchandises (Transport Urbain-Interurbain et Inter-Etat), -La location devéhicules et engins des T.P, - L'industriealimentaire, -L'usinage et lacommercialisation des produits agricoles(céréales et diverses denrées alimentaires), -L'exploitation de mines et carrière (sable,gravier concassé et non concassé), -Comptoir d'or et diamant, -La prise departicipation des parts sociales dans lessociétés -La prise de participation oud'intérêts sous une forme quelconque danstoute entreprise ou société ; -Toutesopérations de BTP et généralement toutesopérations commerciales, industrielles,financières, mobilières et immobilièrespouvant se rattacher directement ouindirectement à l'objet social et à tous objetssimilaires ou susceptibles d'en assurer ledéveloppement. DUREE: 99 ans; GERANT:Monsieur SOULEYMANE Konaté, DEPOT

AU GREFFE du Tribunal de Commerced'Abidjan le 02 janvier 2015 sous le numéro001 RCCM numéro CI-ABJ-2015-B-186 du05 janvier 2015.

Pour avis, le Notaire.

LOCATION DE GRUES ENCOTE D'IVOIRE « L.G.C.I »S.A.R.L au capital de 10000000 de F Cfa

Siège social: 01 BP 4490 Abidjan 01Abidjan Marcory Zone 4, Rue Lumière

RCCM CI-ABJ- 2014-B-16255- TRANSFORMATION EN SOCIETE A

RESPONSABILITE LIMITEEPLURIPERSONNELLE

- NOMINATION DU GERANT- ADOPTION DE NOUVEAUX STATUTS

Aux termes du Procès-verbal de l'AssembléeGénérale Extraordinaire en date du10/11/2014, enregistré à Abidjan-Sud le 03Décembre 2014, Registre S.S.P Volume 01Folio 87 N° 848 Bordereau 848, il a étédécidé de: - La transformation de la Société àResponsabilité Limitée Unipersonnelle enSociété à Responsabilité LimitéePluripersonnelle du fait de la cession departs sociales intervenue le 10 Novembre2014 entre l'associé unique, MonsieurSTINGLHAMBER Maxime et MonsieurFrançois-Xavier Marc Louis Joseph MarieVAN INNIS. - La nomination en qualité de nouveaugérant, de Monsieur STINGLHAMBERMaxime, né le 26 Décembre 1985 à Kinshasa(République Démocratique du Congo), denationalité Belge. - L'adoption, en conséquence, de nouveauxstatuts - Deux exemplaires enregistrés desditsprocès-verbaux et des statuts mis à jourconsécutivement aux décisions sus-évoquéesont été déposés au Greffe du Tribunal deCommerce d'Abidjan le 18/12/2014 et le23/12/2014 respectivement sous les n° 9510et n° 9588. Modification corrélative en a été faite auRegistre de Commerce le 26/12/2014 sous lenuméro CI-ABJ-2014-M-26703.

PricewaterhouseCoopers Tax& Legal

Immeuble" Alpha 2000 " 20ème étage, RueGourgas, Plateau

01 BP 3173 Abidjan 01Tél: 20 31 54 00, Fax: 20 31 54 61/62

SOCIETE AGENCE MARITIME DEL'OUEST AFRICAIN- COTE D'IVOIRE

(SAMOA CI)Société Anonyme avec Administrateur

GénéralAu capital de 50 000 000 FCFA

Siège Social: Rond-Point du Nouveau Port01 BP 1611 Abidjan 01

RCCM Abidjan N°CI-ABJ-1962-B-442

DISSOLUTION SANS LIQUIDATION

Aux termes du procès-verbal des décisionsde l'associé unique en date du 19 Novembre2014, enregistré à Abidjan le 16 Décembre2014, Reg S.S.P. – Vo 01, F° 87 N°8S7, Bord857, l'associé unique de la Société AgenceMaritime De L'ouest Africain - CôteD'Ivoire (SAMOA CI) a décidé de ladissolution sans liquidation de ladite société.Deux exemplaires originaux timbrés etenregistrés du procès-verbal susmentionnéont été déposés au greffe du Tribunal duCommerce d'Abidjan le 22 Décembre 2014,sous le numéro 9582.

Pour avis

ETUDE DE MAITRE N’ZI A.VICTORINE

NOTAIRECocody les Deux-Plateaux, Boulevard des

Martyrs, Face Espace Sococé,Immeuble Ziglibiti, RDC, P369, 06 BP 984Abidjan 06 - [email protected] : 22 41 94 87 - Fax: 22 41 76 02 / Cél:

02 50 10 60/05 80 39 03

CONTITUTION DE SOCIETE

Aux termes du Dépôt des Statuts et de laDNSV reçus au rang des minutes de MaîtreN'ZI A. Victorine le 27/10/2014, il a étéconstitué une SARL Unipersonnelle ayantpour objet : Le conseil, l'assistance, laréalisation d'études, de veille, d'audits,d'analyses ou de prestations, dans tous lesdomaines, notamment celui des relationsextérieures, des affaires privées oupubliques en faveur de : De toute personnephysique; De toute personne morale ouentité créée ou à créer; De tout Etat ouorganisme international, national, étatique,régional, départemental, municipal ou local,ivoirien ou non, créé ou à créer, disposantd'une compétence administrative,législative, gouvernementale, exécutive,judiciaire ou règlementaire, y compris toutministère, département, agence, bureau,organisation, ou autre division d'un telorganisme ou toute personne, entité ouorganisme bénéficiant d'une délégation depouvoirs d'un tel organisme. Et pour laréalisation de l'objet social : l'acquisition, lalocation et la vente de tous biens meubles et

immeubles. L'emprunt de toutes sommesauprès de tous établissements financiersavec possibilité de donner en garantie toutou partie des biens sociaux. La prise enlocation gérance de tous fonds de commerce.La prise de participation dans toute sociétéexistante ou devant être créée. Etgénéralement, toutes opérations financières,commerciales, industrielles, mobilières ouimmobilières, se rapportant directement ouindirectement à l'objet social ou pouvant enfaciliter l'extension ou le développement.DENOMINATION: MK CONSULTINGdont le siège social est fixé ABIDJAN-Zone4C Bietry, Lot numéro 24, Ilot numéro 5, 18Boîte Postale 3343 Abidjan 18. DUREE: 99ANS, CAPITAL: UN MILLION (1.000.000)de F CFA divisé en DEUX CENT (200) partssociales de CINQ MILLE (5.000) FCFAchacune, entièrement libérées. GERANT:Monsieur KONATE Moussa; Dépôt auGreffe du Tribunal de Commerce d'Abidjansous le numéro 9099 du 01/12/2014 etimmatriculée au RCCM le 03/12/2014 sousle numéro CI-ABJ-2014-B-24952.

POUR AVIS, le NOTAIRE

Jonas K. TANOHNOTAIRE

Abidjan Plateau-Indénié, Camp des gardes3, Rue des Avodirés, Résidence Ninive

20 BP 218 Abidjan 20, tél: 20 33 10 43/44Fax: 20 33 1055, cell: 07 89 15 52CONSTITUTION DE SOCIETE

EMERGENCE @ S.U.A.R.L CAPITAL:1.000.000 de Francs CFA

SIEGE SOCIAL: Abidjan-YopougonSICOGL Saint André

21 Boîte postale numéro 40 Abidjan 21

Suivant actes du 15 octobre 2014, reçus parMaître Jonas K. TANOH, il a été établi laDNSV et les statuts de la société auxcaractéristiques ci-après: Objet: PointOrange Money pour dépôts et retraitsd'argent au profit de tiers ; BoutiqueCANAL+ Horizon; Installation etabonnement au bouquet CANAL+ Horizon; Services divers, multimédia. Durée: 99 ansà compter de son immatriculation auR.C.C.M, sauf dissolution ou prorogationanticipée. Capital: 1.000.000 F.CFA, divisésen 100 parts sociales de valeur nominale,chacune de 10.000 F.CFA en numérairesentièrement souscrites et attribuées àl'associé unique. Gérante: Mlle ONYWrehon Diane. Dépôt Légal: Greffe duTribunal de Commerce d'Abidjan, le12/12/2014 sous le N°9399, RCCM numéroCI-ABJ-2014-B-26.111.

Pour avisLe Notaire

AVIS DE CONSTITUTION DELA SOCIETE COMTECHNOLOGIE

Aux termes des statuts sous seing privé faitle 08 Décembre 2014 enregistré le 04décembre 2014 il a été constitué une SARLunipersonnel ayant pour objet: laconception, la vente de logiciel de matérielsinformatique, de communication del'événementiel de publicité de prestation deservice d'intégrateur de solution et divers,dont le siège social est établi à Abidjan Port-Bouët pour une durée de 99ans à compter dela date d'immatriculation avec un capital de10 000 000fcfa souscrit et payerpartiellement libéré en numéraire. MrN'DAKON AKPAGNY est le directeurgénéral. Une expédition des statuts et unedéclaration de souscription et de versementont été déposées au greffe du tribunal ducommerce d'Abidjan.

Maître ZEHOURI Paul-ABertin NOTAIRE

9, Rue Paris-Village, 1er Etage,ABIDJAN-Plateau

01 Abidjan 01 / Tél: 20-22-94-18/20-22-93-95 Fax: 20-22-94-55

Email: [email protected] web: www.zehouri-notaire-

conseil.comCONSTITUTION DE SOCIETE

«ALTHOUM FASHION»CAPITAL: 5.000.000 FCFA

Par actes authentiques (Statuts et DNSV)reçus par Maître ZEHOURI Bertin Paul-Arnaud, notaire le 19 Décembre 2014,enregistrés à Abidjan le 06 Janvier 2015,Registre A.C.P volume 11 A, Folio 164N°3291 Bord. 3291/01; Il a été constituéune S.A.S.U dont les caractéristiquessuivent: «ALTHOUM FASHIONS.A.S.U» Objet social: La société a pourobjet: La représentation de toutesmarques ;la distribution de tous produitsde beauté; toutes activités liées à la modeet au maquillage; toutes activités d'agencecommerciale; toutes activités dedistribution; la prise de participationsdans toutes sociétés ... ; Capital social:5.000.000 F CFA, divisé en 500 actions de10.000 F CFA chacune, totalement libéréesen numéraires par l'associé unique. Siègesocial: Provisoirement à ABIDJAN 9, rueParis-Village, 01 BP 4152 ABIDJAN 01.

Durée: 99 ans. RCCM : N° CI-ABJ-2014-B-230 du 06/01/2015 au guichet unique duCEPICI d'Abidjan. Dépôt au greffe: N°093 du 06/01/2015.

Pour avis le NotaireMe ZEHOURI Paul-A. Bertin

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32 Infos service / Nécrologie Vendredi 9 janvier 2015

11 JANVIER 2014 - 11 JANVIER 2015

Voici bientôt un an qu’il a plu au Seigneur derappeler à lui son serviteur :

ARKHURST MATHIASExpert Consultant en Consignation et Négoce

internationalDirecteur de la société MARKEN

La grande famille Arkhurst et La grande familleOuégnin, leurs enfants : M. Arkhurst Williams,Directeur commercial & marketing de la SICOGI etson épouse Aka Flore Helena, responsablejuridique au patronat ivoirien et enfants, M.Arkhurst Franck-Olivier, M. Arkhurst Ephrem-Davy, M. Arkhurst David-Michel et Melle ArkhurstMarie- Fernande ; Mme Krikpé Marie LouiseNathalie à la Solibra, dans l’incapacité de touchertout le monde, les familles remercient spécialementMonseigneur Dacoury Tabley Paul, le père Farma etle clergé de la paroisse St Jean de Cocody ; leModérateur de la communauté Jésus en famille M.Martial Diaco et familles. Le ministre Mel egThéodore et familles, M. et Mme AKA Salomon etenfants, M. Ibrahim Magassa et famille en France,M. Camara Loukimane: DG de la SICOGI etfamille. La grande famille Gon Coulibaly à Abidjanet Korhogo. M. Essis Esmel Emmanuel, M. et MmeBernard Ndoumi, M.et Mme Claude Lepry etfamilles. Cl Agobre Roger et famille. M. BendeyDiby Valentin et famille, M. et Mme KonanKouadio. M. et Mme Braud Mensah Paul Emile, M.et Mme Karamoko Aboubacar et enfants, M. TouréJean Philippe, M. Patrick Assi et le personnel deDHL international CI. M. et Mme Paul DomaOuattara, M et Mme Roger Ehounoud Messou ; MeEssoh Yves, M. Diaha Honoré. M. Akobé GeorgesArmand, M. Gnandji serge Rodrigue. Le personnelde la SOLIBRA, Le personnel de la PISAM. Lespetits enfants de la grande Famille Adé, Lesfamilles alliées: Aka Albert, Bile, Abo, HenriBourgoin, Ahombo Gérard, Zabavy, Nebout ; OkaKoffi, Yao Kouame, Barou, Anet Bilé; DjédjeAnibié Sahiri, Krikpé, Zadi, Vagbé ; Ackah; Amon ;Ebouah Fulbert.

Ils les prient de trouver ici l’expression de leurinfinie reconnaissance.Une messe d’action de grâce sera dite le dimanche11 janvier 2015 à 9 heures à la paroisse St Jean deCocody suivie d’un partage au domicile familial desARKHURST sis à Marcory, Boulevard deBrazzaville, lot 160: villa Ste Elisabeth, non loin dela Pharmacie du petit marché.

Frat-Mat N° 111559

IN MEMORIAM Les grandes familles : Djewei Yeï Laël, Otobro Laël etMongou Laël, de Kpass et du Leboutou, M. Gnagne EssohSamuel, frères et sœurs, M. Agro Offiah Mathias, frères etsœurs à Abidjan et à Kpass, Veuve Kpami Yeï Juliette à Abidjan,les frères et sœurs: Sess Nome Louise et enfants, Sess BottyEugene et enfants, Sess Lath Salomon, épouse et enfants, AkaAyiké Adèle et enfants, Gory Nomel Alexis et enfants, GoryElisabeth, et enfant, Mme N’guessan née Gory Youh Irène,époux et enfants, Gory Mathieu, épouse et enfants, Gory Michelet enfants. M. Sess Michel, frères et sœurs, les enfants:M’Boua Christine, M’Boua Simone, M’Boua Didier et épouse,M’Boua Annick, M’Boua Saint-Bernard, M’Boua Sylvie,M’Boua Yvette, Kacou Emma, à Abidjan et à Toulouse, lespetits enfants: Revelli Nelly, Tikpa Inès Lorraine, SavanéCheick-Ismaël, BARRY Mel Hassan, Touré Lauryne, M’bouaShaïna, M’boua Olivia, M’boua Mel Kenny, à Abidjan et àToulouse, les enfants de feu Lath Mel et feu Botty Joseph, MmeKétékou Irène, frères, sœurs et enfants, Veuve Mel Valentine etenfants, Dr Adou Pierre, épouse et enfants, M. Oproh Martin,frères et sœurs, M. Adibé Jerôme, frères et sœurs, et lacommunauté Méthodiste Unie Chekinael de Vridi-Cité, ont laprofonde douleur de vous annoncer le décès de leur fille, sœur,mère et grand-mère :

Mme M’BOUA née LATH SESS HANNEMARTINE,

Secrétaire de direction au Trésor Public à la retraite, ex-choriste, ex-conductrice, ex-présidente de l’UFMU,

ex secrétaire, ex-trésorière de l’Eglise et ex-marraine de lajeunesse de l’EMU Schékinaël de Vridi-cité.

survenu le mercredi 26 novembre 2014 à Abidjan des suitesd’une longue maladie.

Le programme des obsèques est le suivant :Du Jeudi 08 au lundi 12 janvier 2015: Présentation descondoléances au domicile familial sis à Vridi Cité, Villa n° 61,face à l’école primaire chapelle.Mercredi 14 janvier 2015 de 19h à 21h30: v e i l l é ereligieuse à l’église Méthodiste Unie Schékinaël de Vridi-CitéDe 22h à 3h: veillée religieuse et traditionnelle au domicilefamilial sis à Vridi Cité villa n° 61 face à l’école primairechapelleVendredi 16 janvier 2015 de 14h à 15h: levée du corps àIvosep suivie du transfert de la dépouille à Kpass sous-préfecture de Dabou.De 20h à 5h: Veillée à l’église Méthodiste Unie de KpassSamedi 17 janvier 2015 de 9h à 11h: Culte d’inhumation àl’église Méthodiste Unie de Kpass11h30: Inhumation au cimetière méthodiste de Kpass

Frat-Mat N° 111444

AVIS DE PRISEDE CONTACT

Le juge des tutelles dutribunal de Première Instancede Yopougon invite MlleTaha Goho Pauline mère del’enfant mineur Doho GohoAngela à se présenter à soncabinet sis au palais duditTribunal le 08 janvier 2015à 8h30min pour affaire le/laconcernant.

Fait à Yopougon le 15 /12/2014

Le juge des tutellesFrat-Mat N°111279

Les familles Casanelli D’Istria, Roux, Ping, Arkhust-Cablan, M. le ministre d’Etat Jean Ping et Mme néeCasanelli D’Istria Jeanine et enfants, Mme CasanelliD’Istria Nicole et enfants, le professeur CasanelliD’Istria Jean-Marie, Mme et enfants, M. et Mme EttéVenance et enfants, Dr Roux Olivier et enfants, MlleRoux Sandrine et enfant,M. et Mme Balogoun Paul-Emmanuel et enfants, Anglow, Attoungbré, Etté,Aphing-Kouassi, Ackah, N’dia Koffi, M. Charles KonanBanny, président de la commission Dialogue, vérité etréconciliation et Mme, Apoque, Dicoh, Diomandé,Gadegbeku, Turquin, Ormon, les familles alliées auGabon et en France, M. et Mme Kipré Jean-Pierre, lesamies de tantie Elisa : Odette, Marianne, Gisèle, SolangeSow, Yvette Brou, Rose Brown, Marie Claire Adé, le PèreNazaire Mabanza et la fraternité de Montligeon, le Curéde la Paroisse Sainte Thérèse de Marcory, ont la profondedouleur de vous annoncer le décès de leur fille, sœur,mère, grand-mère, cousine, tante et amie :

CASANELLI D’ISTRIA Marie Elisabeth,

survenue le jeudi 1er janvier 2015 à la PISAM.

Le programme des obsèques s’établit comme suit :Mardi 13 et mercredi 14 janvier 2015 de 18h à 20h:présentation de condoléances au domicile familial, 9 BldAchalme, Marcory Résidentiel.

Jeudi 15 janvier 2015 de 20h à 22h: veillée de prières àla Paroisse Sainte Thérèse de Marcory.

Samedi 17 janvier de 8h à 9h: levée du corps sur leparvis de la Paroisse Sainte Thérèse de Marcory, suiviede la Messe de Requiem et de l’inhumation au cimetièrede Williamsville.

Dimanche 18 janvier à 9h: messe d’action de grâce à laChapelle Notre dame de sacré Cœur, au CHU deTreichville.

Frat-Mat N°111545

AVIS DE PRISEDE CONTACT

Dame KPEA GENEVIEVEfille de KPEA JEAN et deGUEUE JEANNE, mère del'enfant MIE TE MANSSOULAURA-SANDRINE née le 1er

novembre 1996 à Zouan-Hounien est priée de se rendreau bureau du Juge des Tutellesdu Tribunal de Grand-Bassam le08 janvier 2015 à 08h30 pouraffaire la concernant. Dame DJA GNINGLIFRANCOISE, mère de l'enfantMIE CHARLENE JULIE estpriée de se rendre au bureau duJuge des Tutelles du Tribunal deGrand-Bassam le 08 janvier2015 à 08h30 pour affaire laconcernant.

Le juge des Tutelles. Frat-Mat N°111429

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33Infos service / NécrologieVendredi 9 janvier 2015

Son Excellence M. Alassane Ouattara, Président de laRépublique de Côte d'Ivoire et famille; El Hadj BafaoCoulibaly, chef de canton, chef de la famille Zouakagnon-Gbon et toute la grande famille Gon Coulibaly; M. DaoudaOuattara, préfet de Région, préfet du Département deKorhogo, enfants (Ismaël, Yaya, Fatou et Idriss), petits-enfants à Abidjan, Montréal (Canada) et Besançon (France) ;El Hadj Sinali Ouattara, chef de la famille Ouattara àKorhogo et Zewelekaha (Komborodougou); Hadja BintouNonhonnon, doyenne de la famille Amadou Gon Coulibaly,frères et sœurs; M. Guillaume Kigbafori Soro, Président del’Assemblée nationale de Côte d'Ivoire ; M. N'GoloCoulibaly, médiateur de la République; M. CoulibalyTiémoko Yadé, Vice-président du Conseil économique etsocial, président du Conseil régional du Poro; M. AmadouGon Coulibaly, ministre d'État, Secrétaire général de laPrésidence de la République de Côte d'Ivoire, M. HamedBakayoko, ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de laSécurité; M. Gilbert Kafana Koné, ministre d'État, maire de lacommune de Yopougon; M. Gnénéma Coulibaly Mamadou,garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits del’Homme et des Libertés Publiques; M. Coulibaly SangafowaMamadou, ministre de l’Agriculture, M. Adama Toungara,Ministre du Pétrole et de l’Énergie; le Général AbdoulayeCoulibaly, président du Conseil d'Administration de AREA etde Air-Côte d'Ivoire; le ministre d'État Emile ConstantBombet, M. Fidèle Sarassoro, directeur général de l’Autoritépour la démobilisation, le désarmement et la réintégration(Addr); M. Koné Daouda Soukpafolo, Opérateur économiqueet famille à Korhogo, Abidjan et aux Etats-Unis ; M. LacinaKoné dit Cordo, vice-président de l'Assemblée nationale deCôte d'Ivoire; les honorables députés de la commune, sous-préfecture de la région du Poro; les cadres et élus de la régiondu Poro, M. Coulibaly Ali Kader, agent comptable central duTrésor; M. Coulibaly Souleymane, Directeur de Société,famille et enfants à Korhogo, Abidjan et Edmonton (Canada);le chef du village et les cadres de la sous-préfecture deKomborodougou; M. Raymond Konan, Premier vice-président du Conseil régional du Bélier, épouse et famille ; leschefs des villages de Kpouèbo, Dida Blé et les cadres de lasous-préfecture de Kpouèbo; la famille Dogo N'dri Mouradenfants et petits-enfants à Abidjan, Paris et Montréal(Canada); M. Kouamé Kouadio Abadi, gendarme à la retraiteet famille â Abidjan et Ahérémou II; M. Beugré Kongo,directeur général des Infrastructures Routières, Mme, enfants,frères et sœurs à Abidjan, Ebrah, Paris et à Montréal, M.Behinan Tapé Aimé et la grande famille Behinan à Abidjan(Attécoubé) et Wandaguhé, commune de Daloa, les famillesMourad, Hamza et Aïdara à Abidjan, Toumodi, Bouaké,Korhogo et Paris; la famille Sakandé à Besançon (France),Ouagadougou, New York et Abidjan, ont la profonde douleurd'annoncer à leurs parents, alliés, amis et connaissances, lerappel à Allah de leur belle-fille, épouse, mère, grand-mère,sœur, fille et amie :

HADJA MOURAD KADIDIA DOGANTEpouse OUATTARA,Sage-femme Spécialiste

Surveillante d'unité de soins,

survenu le lundi 22 décembre 2014 à 1h30 à la CliniqueInternationale du Parc Monceau dans le 17ème Arrondissementde Paris.

Programme :Samedi 10 au mercredi 14 janvier 2015 de 18h à 20h:Présentation des condoléances au domicile de la défunte àAngré Sicogi Djibi 1 - Villa 524 (non loin du LycéeMunicipal de Cocody-Angré)

Jeudi 15 janvier 2015 de 19h30 à 21h30: Lecturecoranique au domicile de la défunte.

Vendredi 16 janvier 2015 de 9h30 à 10h30: levée du corpsà Ivosep Treichville (Salle Prestige) suivie du transfert de ladépouille mortelle au domicile de la défunte.

-13h30: Prière mortuaire après la prière de vendredi à lamosquée d'Angré non loin du Centre de santécommunautaire, suivie de l'inhumation au cimetière deWilliamsville et des cérémonies de 7ème jour au domicile dela défunte.

Dimanche 1er février 2015 à 8h: Cérémonie de 40ème jourà Korhogo, à la place Gbondala.

Frat-Mat N° 111575

La famille Hotait, Réda, Baghdadi etalliés au Liban et Côte d'Ivoire, vousinforme que la cérémonie de 7ème jourde la mort de leur regrettée mèredécédée au Liban, le 31/12/2014, auralieu, le samedi 10/01/2015 à 18h30 aucentre islamique de Marcory.

HADJA HOTAIT KHADIJEmère de Hotait Amed et Hotait

Mohamed.

Frat-Mat N°111 571

10 janvier 2004 – 10 janvier 2015

Voilà déjà 11 ans que s’est endormie dans la paix duSeigneur notre bien-aimée :

JULIA AGATHE COLETTE AHOUNE née Dioulo

A l’occasion du 11ème anniversaire de son décès,son époux, ses enfants et ses petits-enfants ; lesfamilles N’KAYO, DIOULO, les familles alliéesvous renouvellent leur infinie gratitude à tous ceuxet celles qui leur ont apporté réconfort moral,spirituel et matériel au cours de cette douloureuseépreuve de séparation.

Ils vous prient d’assister ou de vous unir d’intentionà la messe pour le repos de son âme qui seracélébrée le samedi 10 janvier 2015 à 19 heures àla paroisse St Jacques des II Plateaux.

Frat-Mat N°111515

IN MEMORIAM

Bismillahi Rahmani RahimInna liIahi wa inna liIayhi radjioune

« Ceux qui craignent leur Seigneur serontconduits par groupes au Paradis:

Ses portes s'ouvriront à leur arrivée; ses gardiensleur diront : Paix sur vous! Vous avez été bons. Entrez ici pour y demeurer immortels ». Sourate

Az Zoumar, verset 73

11 janvier 2010 - 11 janvier 2015

Voici cinq (5) ans qu'il a plu à Allah Le Tout-Puissant, Le Miséricordieux, de rappeler à Lui sonfidèle et fervent serviteur, notre bien-aimé époux,père, frère et ami :

DICOH OUMAR,Ex-Cadre de direction à Côte d'Ivoire Télécom

Ex-Adjoint au maire de Béoumi.

En ce jour anniversaire de son décès, sa veuveDicoh née Ouattara Abiba, ses enfants, ses petits-enfants, ses frères et sœurs, les familles Dicoh,Ouattara, Konan et alliées prient tous ceux qui l'ontconnu et aimé d'avoir une pensée pieuse à sonendroit.

Papa, à jamais, tu demeures dans nos cœurs meurtrispar ton absence! Al Fatiha ! Frat-Mat N° 111567

IN MEMORIAM

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34 Infos service / Nécrologie Vendredi 9 janvier 2015

AVIS DE REMERCIEMENTS

La grande Famille de Feu El HadjMamadou LY (ancien InspecteurGénéral à la RAN – Chemins deFer) à Dimbokro, Abidjan,France, USA, Canada, Mali,Burkina Faso, M. et Mme KantéKoly (PCA du Port Autonomed’Abidjan) et famille, M. LYMamadou et Mme, frères etsœurs, leurs conjoint(e)s etfamilles en Côte d’ Ivoire, Franceet USA, les familles AlmamySylla et Kaba Diakité de FeuBintou Sylla, M. et Mme Baba Sylla, M. Daouda Camara et Mmenée Sylla Fatoumata, MM Mohamed Kice Kaba Diakité, TidianeKaba Diakité, épouses, frères et sœurs, familles à Toumodi,Abidjan, France, Mme Somali Awa (Pharmacie Le Bélier), MmeAïcha Somali, Frères et sœurs, et Familles Somali, Hamza àAbidjan, M. Ly Abdoulaye, M. Soumahoro Moussa et Mme néeLy Sala, M. Cissé Moussa et Mme née Ly Fanta, M. BakayokoIbrahima et Mme le Prof. née Ly Ramata, M. Yao Emile et Mmenée Ly Sokona, M. le Prof. Sangaré Abdoulaye et Mme née LyKadiatou, M. Sangaré Adama et Mme née Ly Aminata, Dr LyMohamed Moustapha et Mme, leurs frères et sœurs, conjoint(e)s etfamilles respectives à Abidjan, Dimbokro, France, USA, Canada,les familles alliées et amies, les amis à Abidjan et Dimbokro, trèstouchés par les nombreuses marques d'amitié, de sympathie, decompassion, de soutien et de réconfort que vous leur aveztémoignées lors du rappel à Dieu (le mardi 16 décembre 2014) deleur regretté :

LY CHEICK TIDIANEDirecteur d’Entreprise à la Retraite

Vous prient de trouver ici l'expression de leur profonde gratitude etde leur infinie reconnaissance. Que Dieu vous le rende en Grâceset en Bénédictions abondantes.

Les familles réitèrent tout particulièrement leurs sincèresremerciements à : Son Excellence, M. Alassane Ouattara, Présidentde la République; M. Gaoussou Touré, Ministre des transports etles ressortissants d’Odienné; M. le Ministre Saliou Touré, présidentde l’UIGB; M. Le Ministre Bleu-Lainé Gilbert et Mme; M.Diawara Adama, Conseiller du Président de la République encharge de l’Education, de la Formation et de la Recherche; M.Koné Abdoulaye, Questeur à l’Assemblée Nationale; M. le Prof.Abdou Touré, Ambassadeur de la Côte d’Ivoire auprès du BurkinaFaso; M. Adama Coulibaly, Directeur de Cabinet auprès de Mmela ministre chargée de l’économie et des Finances; M. le Prof.Daouda Aïdara, Président Honoraire de l’Université NanguiAbrogoua et Vice-président de l’ASCAD; Les Imams DiakitéOusmane, Kassé Mame Moda, Konaté Arna de la Mosquée duMont Arafat à la Riviéra Bonoumin, l’ensemble des AutoritésReligieuses et Fidèles de ladite Mosquée; Les Imams DembéléOumar, Mami Cissé et Samaké Lamine; Dr Diaby Mamadou et lePersonnel Médical de la Présidence de la République; M. Paul DePetter, Directeur Afrique du Groupe Barry Callebaut, M. LoïcBiardeau, Administrateur Général, le Comité de Direction, leschefs de services et l’Ensemble du Personnel des sociétés duGroupe Barry Callebaut en Côte d’Ivoire (SACO et BCN); M.Pierre Amida, Président du Groupe Amida; M. Soro Nagolo, DGAde la SCA; Les Directeurs, le personnel et les anciens employés dessociétés du groupe Amida en Côte d’Ivoire (Sca, Socofracim,Socim, Omnium Tropical, Sceso, Cofral); Le personnel de laPharmacie le Bélier à Adjamé; Mme et MM Les Présidents desUniversités Publiques de Côte d’Ivoire; MM. les Vice-Présidents,Sécrétaires Généraux de l’ Université FHB (Félix Houphouët-Boigny), MM. les Vice-Présidents des Universités Publiques deCôte d’Ivoire; Mmes et MM les Doyens des UFR, Directeursd’Instituts, de Centres de Recherche, Directeurs Centraux, chefs deservices et responsables syndicaux de l’ Université FHB; Lespersonnels enseignants-chercheurs, administratifs et techniquesdes Universités Publiques de Côte d’Ivoire; La famille AlphaKabiné Kaba; M. Koné Abdoulaye Blacky, Président du Conseild’Administration de la Mosquée de la Riviéra Golf et Mme; Lescadres de la région du Bafing; Les membres du Forum de lamosquée Al Nour de la Riviéra 2; M. et Mme Abou Gbané auMinistère de l’ Economie et des Finances; M. et MmeGbakatchétché Arsène; M. et Mme Coulibaly Amidou Tiémoko;Mme Mariam Karamoko; M. et Mme Kablan Jean Junior; MmeSandrine Coulibaly Lanzéni; M. et Mme Ludovic Gnagne Agnéro;Les Ingénieurs Industriels Généralistes de la promotion ENSIA 14;Les Anciens de ExxonMobil C.I.: MM Jean-Pierre Lebouath,Coulibaly Mamadou Tiehoule, Moulaye Haïdara et Idrissa Cissé;La Direction Générale, les Directeurs et l’ ensemble du Personnelde OILIBYA (ex-MOBIL Oil CI); La mutuelle des agents de laDQN à la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilitépublique; Les membres du Lion’s club Etimoé d’Abidjan; M. LePrésident du Syndic de Copropriété et les habitants de la Cité SCILes Rosiers Programme 3-Rive Gauche; Dr Quénum Guillaume,l’ensemble du personnel médical et administratif de la cliniquemédicale la Colombe; Dr Baby Mohamed, neurologue; M.Hermann Gogo, Kinésithérapeute; Mme Koffi Martine, Infirmière;M. et Mme Appia Oi Appia Innocent de l’Hôpital Général deMaféré.

Frat-Mat N° 111446

Jésus lui dit: Je suis larésurrection et la vie;celui qui croit en Moi,quand même il serait

mort, vivra, etquiconque vit et croit enMoi, ne mourra jamais.

Crois-tu cela?(Jean 11 : 25-26)

En ce jour anniversaire,de son rappel à Dieu, samère, son époux, sesenfants, ses frères, sa famille et ses amisrenouvellent leur infinie gratitude à tous ceux qui leur ont apporté soutien spirituel, moral,matériel et financier lors de cette douloureuseséparation.

KOFFI RITA PATRICIA épouse Fian

Ils prient tous ceux qui l’ont connue et aimée deremercier le Seigneur pour son assistance durantl’année écoulée.

Frat-Mat N°111533

IN MEMORIAM

M. Koné Pegny, chef devillage de Nienankaha, M.Coulibaly Mahama,notable à Nienankaha etfamille, M. CoulibalyFélix, notable àNienankaha et famille,Professeur WaotaCoulibaly Alexandre,Mme et enfants à Abidjanet aux Usa, M. MauriceNahaclan Coulibaly, Mmeet enfants à Abidjan et auxUsa, Veuve Coulibaly Marie Ange Kadjatou néeKoné et enfants Raïssa, Kinion Emmanuela et Guy-Maurice, M. Coulibaly Gnouwié Paul et Mme néeCoulibaly Apatioh Thérèse, M. Koné Nacouban,Mme et enfants à Abidjan, l’abbé Luc Camara,Professeur au grand séminaire d’Anyama, VeuveCamara née Coulibaly Aya Céline et enfants àNienankaha, Abidjan et Yamoussoukro, préfetDominique Tchriffo à Abidjan, M. Koné Harounan,Mme et enfants, frères et sœurs à Abidjan et Ferké,M. Koné Bakary Fidèle, Mme et enfants à Abidjan,les enfants de feu Coulibaly Ahoua Cécile : Roger,Bénédicte Kin’wo, Séraphin, Didier et Ange-Thierry à Abidjan et France, Docteur Penali KonéLouis, madame et enfants à Abidjan et Paris, lesenfants de feu Koné Lonan Pierre : Thérèse, FélixTobin, Céline, Marie et Hélène à Abidjan, Katiola etFronan, M. Thio Disso Gustave à la mairie deFronan, M. Coulibaly Albert, madame et enfants àAbidjan et Paris, M. N’guessan Sanito et Mme, lesrésidents de la cité Sogefiha à Cocody, ont laprofonde douleur de vous faire part du décès lesamedi 03 janvier 2015 de leur fils, cousin, frère,époux, père, gendre et ami :

COULIBALY Gnegnery AnatoleEx-agent administratif à la société Industries et

Commerce d’Afrique (ICA)Ex-responsable de paie à la Société Industrielle

THANRY (SIT)

Le programme des obsèques s’établit comme suit :Du lundi 12 janvier au mercredi 14 janvier de18h à 20h: présentation des condoléances audomicile de Mme et M. Coulibaly NahaclanMaurice aux II plateaux 7ème tranche rue L 133villa située entre le bureau FER (Fonds d’EntretienRoutier) et l’Ong PSIJeudi 15 janvier 2015 de 20h à 21h30: veilléereligieuse en l’église Saint Jean de Cocody.Vendredi 16 janvier 2015 de 9h à 9h30: levée ducorps sur le parvis de l’église Saint Jean, suivie dela messe de requiem puis de l’inhumation aucimetière de Williamsville.

Frat-Mat N°111530

La Direction générale deDELMAS-CI et sonPersonnel ont laprofonde douleurd’annoncer le décèsde leur collaboratricesurvenu le 05 janvier2015.

KOFFI née VOLIMakouraHubertine

Le programme des obsèques sera communiquéultérieurement.

La Direction générale présente, au nom duGroupe CMA CGM et du personnel, ses sincèrescondoléances à la famille éplorée.

Frat-Mat N°111570

La famille Ouattara Doma René à Ourogbankaha,Katiola, Dabakala et Abidjan ; Mme Ouattara BesseyYvonne à Dabakala ; M. Morrisson Famian Lucien,enfants et petits-enfants à Abidjan ; les familles Ouattara: Maurice, Jean, Cécile, Eugénie, Colette, Marie Céline,Germaine, Odile, Madeleine, Félix, Yao Paul, Léonie,enfants et petits-enfants; l’Abbé Laurent Ouattara; lesfamilles Koné Tiéoulé, Salimata, Alilou, Lama, enfants etpetits-enfants à Abidjan et Katiola ; la famille YaoCoulibaly à Katiola et à Abidjan ; les communautésMangoros, Tagouanas et Djiminis à Abidjan, Katiola,Dabakala et Bouaké ; les enfants de feu Kouamé Paul-Marie à Abidjan ; M. Brou N’guessan, planteur à Kalékoiet famille ; M. et Mme Koukoua à Abidjan ; M. N’driKoffi, chef du village de Kalékoi, S/P de Kouèbo(Toumodi) et famille ; Nanan Yao Kan II, chef du villaged’Adahou, S/P de Kouèbo (Toumodi) et famille ; MmeKouadio Amoin, chef de famille à Adahou; les famillesalliées, amies et connaissances; ont la profonde douleurde vous annoncer le décès de leur mère, grand-mère,arrière-grand-mère, sœur, cousine, tante et grand-tante :

OUATTARA née BROU AMELAN HÉLÈNE,

survenu le Mercredi 24 décembre 2014 à Bouaké.

Programme des obsèques :Vendredi 09 janvier 2015 de 20h00 à 22h00:Veillée deprières au domicile de Mme OUATTARA EugénieNicole à Air France 2 (Bouaké), non loin de l’église SaintMartin suivie d’une veillée traditionnelle ;Samedi 10 janvier 2015 à partir de 09h00: levée ducorps sur le parvis de l’église Saint Martin de Air France2 suivie de la messe de requiem et de l’inhumation aucimetière de Bouaké.

Dimanche 11 janvier 2015 à 08h30: messe d’action degrâce en l’église Saint Martin de Air France 2 (Bouaké).

Frat-Mat N° 111449

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35Infos service / NécrologieVendredi 9 janvier 2015

Les familles Mouna,Rozz, Safieddine etZayat ont la profondedouleur de vous fairepart du décès de leurregrettée mère, tante,grand-mère et belle-mère :

HAJE KALSOUMMOUNA ROZZ,(IM ISSAM),

survenu le mardi 6 janvier 2015 à Dakar.

Les condoléances sont reçues au domicile de sonfils Rozz Kamal, Immeuble Atta 1 Plateau 20èmeétage, du 7 au 10 janvier 2015, de 17h à 20h.

La cérémonie religieuse du 7ème jour aura lieu lejeudi 15 janvier 2015 à 18h30, au Centreislamique Libanais de Marcory. AL FATIHA

Frat-Mat N° 111380

AVIS DEREMERCIEMENTSET MESSE D’ACTION

DE GRACE

La famille Mohoen Côted’Ivoire et au Ghana, lafamille Chery à Saint-Louis, Dakar et Conakry,ses enfants:Mme MichèleCoulibaly, enfants etpetits-enfants, MmeSuzanne Coulibaly, sonépoux John Bénié et enfants, M. Claude Coulibaly etenfants, M. et Mme Francis Coulibaly et enfants, M.et Mme Georges Coulibaly et enfant, les enfants etpetit-enfant de Feu Noël Armand Coulibaly:Armand, Armelle, Yoan, ses oncles, tantes, cousinset cousines: M. et Mme Ernest Barruxakis etenfants, à Abidjan et Conakry, Mme Samia Olga etenfants, à Abidjan et Conakry, M. Ollou Marcathy etenfants, à Conakry et à Abidjan, Mme Anniebell àConakry, M. et Mme Ceci Godard à Conakry, lafamille Floissac à Dakar, M. Dukuly et enfants, àLibreville, Mme Monique Kane et enfants, veuveHenri Coffi, enfants et petits-enfants, veuveBenjamin Niamké, enfants et petits-enfants, veuveJoseph Ouégnin, enfants et petits-enfants, les enfantsde feu N’Guessan Kadio Bernard et famille, lesenfants de feu Mamadou Sy et famille, les enfants defeu Léon Vallée et famille, les enfants de feu EbaDodou Albert et famille, les enfants de feu LaurentYapobi et famille, M. WogninAmsan Albert etfamille, M. Wognin Amazoulé et famille, M. WogninEdoukou Benjamin et famille, veuve Dosso MarieAkobé et famille, les familles alliées : Condé, Bénié,Kassi, Abouattier, Buisson,Varlet, Quao-Gaudens,Ebagnichtie :

COULIBALY AGNES née CHERY,

survenu à Abidjan le 14 novembre 2014.Vous remercient très sincèrement et vous assurent deleur amitié et de leur reconnaissance. Une messe d’action de grâce sera célébrée ledimanche 11 janvier 2015 à Abidjan à 10h30 enl’église Sainte Thérèse de Marcory.

Frat-Mat N° 111568

M. Tiémoko YadéCoulibaly, 1er Vice-président du Conseiléconomique et social, ala profonde douleurd'annoncer le décèssurvenu le lundi 15décembre 2014 de :

IRIE Lou MézoRosalie, Epouse

BOTI,Conseillère Economiqueet Social, Présidente du Réseau des Opérateurs

Economiques du Secteur Agro-alimentaire de l'Afrique de l'Ouest

(ROESAO),Présidente de la Coopérative des

Commerçantes de Produits Vivriers de laCommune de Cocody (COCOVICO).

Le programme des obsèques se présente, ainsiqu'il suit: Du mardi 10 février au vendredi 13 février2015 de 18h à 20h: présentation descondoléances au domicile de la défunte, sis àCocody Angré, 8ème tranche, les RésidencesSoleil 1, Villa 90.

Samedi 14 février 2015 de 20 h à 00h: veilléereligieuse à Cocody Angré, 7ème tranche, au grandterrain d'Angré situé en face de la Pharmacie desLauréades ;

De 00h à l'aube: veillée traditionnelle. Mardi 17 février 2015 de 20h à 22h: veilléereligieuse à Ivosep Treichville.

Vendredi 20 février 2015 de 08 h à 09h: levéedu corps à la Salle Prestige de Ivosep Treichville;

De 09h30 mn à 10h30 mn: Piquet d'Honneur auConseil Economique et Social, suivi du transfertde la dépouille mortelle à Minfla, Sous-Préfecture de Zuénoula ;

De 21h à l'aube: veillée traditionnelle. Samedi 21 février 2015 de 9h à 10h30mn:Messe de requiem à l'Eglise Catholique deMinfla, Sous-préfecture de Zuénoula ;

- 11 heures: inhumation au cimetière duditvillage. •Dimanche 22 février 2015 de 9h à 10h:Messed'Action de Grâce à l'Eglise Catholique deZuénoula.

Frat-Mat N° 111577

Mme Kanga Florence épseN ' d o u m y - K o u a k o uN'guessan Samuel, leursenfants, Patricia, Edwige,Bécanti, Phano et leurspetits-enfants, veuveN'doumy-Kouakou KanCélestin née Yao N'dri, lamère, les frères et sœurs,Emmanuel, Suzanne,Dominique, Thérèse,Cécile, Roger, Antoinette, Sévérin, Max, Caroline etRichard, les familles paternelles, maternelles etalliées de Samuel et Florence, l'apostolat des laïcs dela paroisse Saint Ambroise du Jubilé d'Angré, lescommunautés Ecclésiastique de Base (Ceb) et Jésusen famille, vous annoncent que Dieu a rappelé à lui,son fils :

N'DOUMY-KOUAKOU N'GUESSANSAMUEL,Restaurateur,

Vice-Président de l'Apostolat des Laïcs de laParoisse Saint Ambroise du jubilé d'Angré,

endormi dans la paix du Seigneur le 29 décembre2014 à Bouaké à l'âge de 62 ans.

L'inhumation a eu lieu le dimanche 4 janvier 2015à Akanzakro (Bouaké) dans l'intimité familiale. Une messe d'action de grâce sera dite en sa mémoire,le samedi 10 janvier 2015 à 16h en sa paroisseSaint Ambroise du Jubilé d'Angré aux II Plateaux.

Un cahier de condoléances est ouvert dans larubrique nécrologie d'Abidjan.net au lienhttp://www.necrologie.ci/ Que Dieu vous bénisse pour votre soutien.

Frat-Mat N°111 563

La grande familleSahouam-Bosso deBécédi, la grande familleKaménan-Lébé-Bosso deBécédi, M. YessoEdouard, Mme et enfantsà Bécédi et Abidjan, MlleGnagne Amélie et enfantsà Abidjan, Mlle MobioLéa et enfants à Abidjan,M. Mobio Samuel, Mmeet enfants à Abidjan etBassam, M. MobioStéphane, Mme et enfants à Abidjan, M. DigueïFabrice et enfants à Abidjan, Mme EhoumanAlimata, époux et enfants à Abidjan, M. Foua YaGildas, Mme et enfants à Abidjan, Mme YessoJeanne, époux et enfants à Abidjan, M. YessoAmbroise, épse et enfants à Abidjan, Mme GnapaSolange née Yesso, époux et enfants à Tiassalé etAbidjan, M. Yesso Marie, M. Yesso Emmanuel,épouse et enfants à Abidjan, Mlle Yesso Béatriceet enfants à Abidjan, M. Amani Daho Basile, épseet enfants à Bécédi et Abidjan, Mme AmaniGnangouan Pauline, époux et enfants à Bécédi etAbidjan, Mme Yesso Germaine née Koffi etenfants à Abidjan, les enfants de feu YessoOponou Christophe à Abidjan et en France, M.Bitty Yédé Thomas, Mme et enfants à Abidjan, M.Bouaffi Brékounou Célestin, Mme et enfants àAbidjan, M. Bouaffi Brou Blaise, Mme et enfantsà Yamoussoukro, M. Kassi Boyé Marcel, Mme etenfant à Braffouéby et Bécédi, M. Kassi Philippe,Mme et enfants à Bécédi et Abidjan, M. KacouKré Victor, Mme et enfants à Bécédi et Abidjan,Mme Oponon Bla Agnès et enfants à Bécédi etAbidjan, Mme Agnon née Brou Céline, frères,époux et enfants à Bécédi, nanan Aké Alexandre,chef de village et la notabilité de Bécédi, nananKouamé Brou Félix, chef de terre de Bécédi,nanan Essi Sahouré Justin et famille à Bécédi, lecuré de l'église Notre Dame de Bécédi et sesvicaires, M. Dikébié Vincent et famille à Bécédi etAbidjan, M. N'gbinhin N'guessan Boniface etfamille à Bécédi et Abidjan, M. Sahouré EssyFrançois de Paul, Mme et enfants à Abidjan etSan-Pedro, Le familles : Akou Kouamé, AkouN'guessan, Akou Brou, Akou N'dré, Akou Wotto etfamilles alliées, ont la profonde douleur de vousannoncer le décès de leur fille, mère, sœur, tante,cousine, grand-mère, fidèle :

YESSOH BEBIHI MADELEINE,

survenu le vendredi 28 novembre 2014 au Chude Yopougon.

Le programme des obsèques s’établit comme suit :Les condoléances sont reçues tous les jours de 18hà 20h au domicile de la défunte sis à YopougonSicogi 3 derrière la Cathédrale Saint-André, LogtN° 2782.

Mercredi 7 janvier 2015 à 20h: Première veilléereligieuse en la Cathédrale Saint-André deYopougon.

Vendredi 9 janvier 2015 à 9h: Levée du corps surle parvis de la Cathédrale Saint-André deYopougon suivie de la messe ;Transfert du corps à Bécédi commune de Sikensi ;Civilités traditionnelles ;

A 21h: Deuxième veillée religieuse en l'égliseNotre Dame de Bécédi.De 00h à l’aube: Veillée traditionnelle.Samedi 10 janvier 2015 à 6h: Cérémoniestraditionnelles.

A 10h: Messe de requiem en l'église Notre Damede Bécédi, suivie de l'enterrement au cimetièredudit village.Dimanche 11 janvier 2015 à 8h: Messe d'actionde grâce en l'église Notre Dame de Bécédi.

Frat-Mat N°8843

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36 Infos service / Nécrologie Vendredi 9 janvier 2015

Les grandes famillesOuloussatouho, Gouh, FlanSaho à Facobly et àKaokossably, veuve TiétéFrançoise, née Anet Rosine,enfants et petits-enfants, lesenfants Tiété Annie Patricia,Mme Yéboué née Tiété Julie,Tiété Priscillia en France et àAbidjan, M. et Mme. KouhonMaurice commissairedivisionnaire de police à laretraite et frères et enfants àGuiglo, Abidjan, Usa, Italie etFrance, M. Séhi Gaspard, Préfet hors grade, Mme et enfants àAbidjan, Mme Oulibly Clémentine, sage femme spécialiste,2eme Adjointe au maire de Facobly, frères, sœurs et enfants àAbidjan et à Facobly, M. et Mme. Ipoté Guilof Benoit, frèreset enfants à Soubré, Oumé et à Abidjan, M. et Mme WilliamIpoté Félix, directeur de société et enfants à Abidjan, lecommandant des douanes et Mme Flan Etienne et enfants,M.et Mme Kouh D. Medelos, officier de police à Abidjan,magistrat hors Hiérarchie Koua Tiéhi Vincent, déléguédépartemental du Rdr, conseiller spécial chargé des Affairesjuridiques à la Présidence de la République, professeur agrégéen Médecine Isidore Diomandé, Mme et enfants, à Abidjan,M. et Mme Evariste Méambly, député de Facobly et présidentdu Conseil général du Guémon et enfants à Abidjan,professeur Pohé Jean, maire de Facobly et son conseilmunicipal, M. Mahé Jean, 1er Adjoint au maire de Facobly,Mme et enfants à Abidjan, honorable Séa Honoré et Mme àAbidjan, M. et Mme Pehi François et enfants à Abidjan, Pariset Londres, M. et Mme Kossa René, président des cadres dudépartement de Facobly, M. et Mme Guéi Dominique,directeur de société et enfants à Abidjan, l'adjudant de policeFlan Patrice et Mme à Bouaké, M. et Mme Flan Félix,couturier à Abidjan, M. et Mme Klahon Théodore dit Timor,agent des douanes à Pogo, M. et Mme Flan Gabriel, chauffeurà la retraite et enfants, M. et Mme Flan Joseph, planteur àFacobly et enfants, M. et Mme Séhi Gaston, Planteur àGuézou et famille, la famille feu Tché Gaston à Abidjan et àFacobly, Mme Tché kowo Désirée, épse Seregoué à Paris etenfants, M. et Mme Koua Bernard, censeur au lycéeprofessionnel de Daoukro et enfants, les membres de lamutuelle de Développement de Facobly, Mme Pagné Mélanieépse Kouamé, famille et enfants à Abidjan, le chef central desWê du département de Facobly résidant à Daloa, lesprésidents des groupes Saho, Glaho, Pleuhou, canton Sémienet leurs ressortissants résident à Daloa, les 7 villages deNidrou et leurs ressortissants résidant à Daloa, la famille FaSampegny à Bassam et à Abidjan, la famille Aney à Abidjanet Dimbokro, la grande famille Famien N'guéda à Abidjan etGrand-Bassam, la grande famille Laussin à Dimbokro et àAbidjan, M. et Mme Wadjas Victor et famille à Abidjan, MmeAney Solange et enfants, M. et Mme Akoun Laurent etenfants, M. et Mme Koné Arien et enfants, Mme AnetEdouard et enfants, Dr Aka, Mme et enfants à Daloa, DrYavoh Hubert et Mme, pharmacien à Daloa et enfants, DrBlerou et Mme, médecin chef du Csu de Gonaté et enfants,capitaine de police Gboh Jérôme, président de l'associationdes ressortissants de Séambly à Abidjan et sur toute l'étenduedu territoire. L’amicale des fonctionnaires et agents de l'étatdu département de Kounahiri, ont la profonde douleur de vousannoncer le décès de leur regretté, époux, père, frère, beau-père, oncle et ami :

Dr TIETE FRANÇOIS,Ex-Directeur Départemental de la Santé, Président de la

mutuelle de Développement de Facobly, Président de l'Amicale des Fonctionnaires de Kounahiri,

survenu le mardi 18 novembre 2014 à la clinique l'Antilopede Daloa.Le programme des obsèques s’établit comme suit : Les condoléances sont reçues tous les jours à partir du 05janvier 2015 au domicile de M. Kouhon Maurice à la Riviéra3, résidence les Rosées, face à la pharmacie Saint-Pierre desRosées, route du lycée Français.Samedi 10 janvier 2015 de 20h à l‘aube: veillée à la placeCP1 de Yopougon. Mercredi 14 janvier 2015 de 20 h à 22h: veillée religieuseen l'église Sainte- Marie de Daloa. Jeudi 15 janvier 2015 de 15h15 à 16h: levée du corps àIvosep de Daloa, suivie de la veillée sur le terrain duMaracaña de Tazibo carrefour à Daloa. Vendredi 16 janvier 2015 transfert du corps à Facobly. Vendredi 16 janvier 2015 de 20h à l'aube: veilléeTraditionnelle. Samedi 17 janvier 2015 à 10h: messe de requiem en l'égliseCatholique de Facobly, suivie de l’inhumation au cimetièrede ladite ville. Dimanche 18 janvier 2015: cérémonie traditionnelle àFacobly.

Frat-Mat N°111508

M. Yeo Nagpo, Mme,enfants et alliés à Korhogo,Bouaké et Abidjan, lesgrandes familles Soro,Nahoua, Silué, Koulibali,Yéo, Sékongo, Koré, Effi àKorhogo, Sinématiali,Bouaké, Abidjan, San-Pedro, Tafiéré,Yamoussoukro, Daoukro etFerkessédougou, lesfamilles Ehui et Yao àDabou et Yamoussoukro,Mme la ministre de la Santé et de la lutte contre lesida, le Docteur Raymonde Goudou Coffie et lepersonnel du ministère de la Santé et de la luttecontre le sida, le Directeur régional de la Santé deSan-Pedro, Dr Bi Gala Benjamin et son personnel, ladirection et le personnel de l’Ong Kodangui, lesmembres de la 34ième promotion de l’Ufr desSciences médicales de l’Université de Cocody, leCuré Abbé Eric Koyet, ses vicaires et lacommunauté Catholique de St Antoine de Padoue dePetit-Paris (Korhogo), la chefferie du village deGbambalakaha, commune Sinématiali et lespopulations du canton Nadjopi, communeSinématiali, la chefferie et les populations desvillages de Locoly et Onongokaha, commune deSinématiali, ont la profonde douleur de vousannoncer le décès de leur fils, frère, fiancé, neveu,cousin, beau-frère, oncle, collaborateur, collègue etami :

Dr YEO DOLOUROU ACHILLE,

survenu le lundi 15 décembre 2014 à Guéyo.Programme des obsèques :Vendredi 09 janvier 2015 à 16h00: Levée du corpsà la morgue du Chr de Korhogo suivie de la messede requiem en l'église saint Antoine de Padoue àPetit-Paris (Korhogo).De 22h00 - 06h00: Veillée religieuse au domiciledes parents derrière la maternité de Petit-Paris(Korhogo)Samedi 10 janvier 2015 à 06h00: Transfert ducorps à Gbambalakaha commune de Sinématialisuivie de l’inhumation au cimetière dudit village.

Frat-Mat N° 111553

BISIMILLAMIRAHMANI RAHIMI

«Allah, nulle Divinitéque lui et c'est à lui queles croyants doivent

s'en remettre »

7 Janvier 2012 7 Janvier 2015

Voici 3 ans qu'il a plu àAllah le Tout-Puissant etle très Miséricordieux de rappeler à lui notre bien-aimé :

BAMBA MAMADOU,Ex-Ministre d’Etat, Ministre des Affaires

Etrangères.

En ce jour d'anniversaire, sa veuve BAMBA Sita,ses enfants, petits-enfants et sa famille prient tousceux qui l'ont connu et aimé, d'avoir une penséepieuse pour lui en ce troisième anniversaire de sonrappel à Dieu.

Ils vous prient d'assister ou de vous unird'intention à la cérémonie de lecture du SaintCoran qui aura lieu le dimanche 5 janvier 2015 àpartir de 09h30 à sa résidence, sise près de laMosquée de la Riviera III. AL FATIHA

Frat-Mat N° 111523

IN MEMORIAM

07 janvier 2005 07 janvier 2015

Voila déjà 10 ans ques'endormait dans la paixdu Seigneur :

GOUENE NéeKABLANKAN

MARIE ADJOBA.

En ce jour du souvenir,son époux, ses enfants,ses frères et sœurs, les grandes familles Gouéné,Kablan Assemien, Yaté N'guessan et les familles,alliées, réitèrent leur infinie gratitude et leursremerciements à tous ceux, qui l'ont connue etaimée, à tous ceux qui, de prés ou de loin leur ontété d'un soutien inestimable en cette circonstancedouloureuse. Ils les informent qu'une messe en sa mémoiresera dite le dimanche 11 janvier 2015 à laparoisse Saint-Louis d'Adiaké à 10 heures.

Que le Seigneur dans son infinie miséricordegarde son âme dans la paix.

Frat-Mat N° 111574

IN MEMORIAM

Sa Majesté Kanga Assoumou,Roi des Ehé de Moossou; M.Assouan Anvo, chef de lagrande famille Samadjé ; M.Assebian Michel, chef de lagrande famille Samadjé deMoossou, Vitré et Bonoua; M.Gnangui Léonce, chef de lagrande famille Keu AbebiLamin de Grand Alépé; VeufCoffi Gérard, enfants etpetits-enfants; M. et MmeAboa Thomas, frères, sœurs,enfants et petits-enfants; M. etMme Nogbou Bernard, enfants et petits-enfants ; lesenfants: Cyriak, Marie France, Marie Antoinette, Marie-Jeanne. Sandrine Adélaïde, Georges Renaud, FranckArthur Roger, Alix-Géraldine; Mme Ouégnin Madeleineenfants et petits-enfants; Veuve Thierry Lebé, enfants etpetits-enfants; M. et Mme Sacko Julienne et enfants; M.Adjé Kouadio Emmanuel, chef de la grande familleKotoba (Assouba): M. Paul Emile Braud Mensah, sœur etenfants; Mme Nogbou Yamplé, enfants et petits-enfants;M. Nogbou Antoine, enfants et petits-enfants; M. et MmeAmand Ehié Christophe, enfants et petits-enfants : MmeTegnan Marguerite, enfants et petits-enfants; Mme NogbouAssamala, enfants et petits-enfants; Mme OuégninMarcelle, frères, sœurs et enfants; M. et Mme OuégninJoseph, enfants et petits-enfants; Veuve Dogbré Yvette,frères et sœurs; les enfants de feu Ouégnin Antoine Anzénî;les enfants de feu Ouégnin Amazan; les enfants de feuProsper Miessan, les enfants de feu Léontine Akouba,Mme Kanga née Brou, Isabelle et frères; M. Blé MoulodBenoît, frères et sœurs; Mme Assamoi Affoué et enfants ;Mme Abi Agnès enfants et petits-enfants ; M. Adon N'dolyCytin, enfants et petits-enfants ; les Amis de «Club Vâbou»de Grand Alépé; les Amis des «Frères Unis» du PlateauDokui, ont la profonde douleur de vous annoncer le décèsde leur fille, épouse, sœur, cousine, mère et amie :

NOGBOU ABBO Thérèse Epouse COFFI

survenu à la Pisam le 16 décembre 2014 des suites d'unecourte maladie.

Programme des obsèques :Jeudi 08 janvier 2014 de 20h00 à 22h00: Veilléereligieuse à la Paroisse Sainte Monique du Plateau Dokui. 22h00 à l'aube : Veillée traditionnelle au terrain duquartier les Manguiers II au Plateau Dokui. Samedi 10 janvier 2014 à 07h00: Levée du corps sur leparvis de la Paroisse Sainte Monique du Plateau Dokui. 10h00: Messe de requiem à la Paroisse Saint-Antoine dePadoue de Moossou, (Grand-Bassam); suivie del'inhumation au cimetière dudit village.

Frat-Mat N° 111518

Page 38: Société 22 mai 2012 Mont (P.6-7)scns.e-monsite.com/medias/files/fratmat-15027-20150109.pdf · Vos opinions nous intéressent oumou.midosso@yahoo.fr Hommes et femmes de lettres,

37Infos service / Nécrologie Vendredi 9 janvier 2015

M. le ministre Dano DjédjéSébastien, président descadres du département deGagnoa, M.Zialo Blé DanielMaire de Guibéroua, M.Zialo Okobé Jérôme àAbidjan, M. Guedé ZadiMichel à Abidjan, la familleDjédjé à Gand-Zia, MmeDjédjé Mama Simone, ex-Dgdu Trésor et de laComptabilité publique deCôte d’Ivoire, M. et MmePetrequin née Djédjé Madeleine et enfants à Paris, M. etMmeZadi Pauline à Abidjan, M. et Mme Djédjé Pierre àAbidjan, Mme Djédjé Elisabeth en France, M. et MmeDardoise née Doga Brigitte en France, M. Doga Séraphinà Abidjan, M. Guédé Désiré à Abidjan, M. AssoukouKrikpé au Burkina Faso, M. Yebé Krikpé à Bondoukou,M. Zokou Krikpé, M. Gohou Seri Honoré, payeur prèsde l’ambassade de Côte d’ivoire en Tunisie, le pasteurZadi Nahi Djédjé Raphael etMme, le pasteur BohuiMarcel et Mme, M.Degré Mathurin, chef du village deGrand-Zia, la grande famille Gbeutahio à Gran à Grand-Zia, M.OyourouDoga Mathias, chef de famille à Grand-Zia, M.Madou Simon et Tchetché Ferdinand à Zia, lesenfants et petits-enfants, les amis et connaissances, lacommunauté villageoise de Grand-Zia, ont la profondedouleur d’annoncer le décès de leur femme, tante, sœur,mère, grand-mère et connaissance :

VEUVE DJEDJE née ZOKOU YOUADE HELENE,

survenu le mercredi 12 novembre 2014 à Abidjan dessuites d’une courte maladieLe programme des obsèques se présente comme suit :Du samedi 10 au jeudi 15 janvier 2015: Présentationdes condoléances au domicile familial à AngréRésidence soleil 1 derrière la pharmacie 8ème Tranchevilla N°100, de 18h30 à 21h.Samedi 17 janvier 2015:Veillée religieuse ettraditionnelle à Yopougon (à la place CP1), -21h-22h: Veillée religieuse-22h à l’aube: Veillée traditionnelleVendredi 23 janvier 2015 à 14h: Levée du corps àIvosep de Gagnoa suivie du transfert du corps à Grand-Zia S/P de Guibéroua - 21h-22h: Veillée religieuse- 22h à l’aube: Veillée traditionnelleSamedi 24 janvier 2015 à 10h00: Inhumation aucimetière dudit village.

Frat-Mat N° 111535

Les chefs coutumiersd’Attobrou : Nanan YapiKouassi Dominique, chef deterre d’Attobrou, Ablo KoffiJean, chef du villaged’Attobrou; la grande familleAmoro à Attobrou ; lesveuves: Chaoua Kokola néeEkissi Yaba Mathilde àAgboville, Beda SopieJustine à Agboville ; lesenfants: Kokola-YapoHortense, époux et enfants,Kokola-Assiénan Juliette, époux et enfants, Ncho Alain,épouse et enfants, Ncho-Konan Cathérine, époux etenfants, Kokola Chaoua Désiré Martial, épouse etenfants, Kokola Julien, épouse et enfants, KokolaFrançois, épouse et enfants, Chaoua Kokola-AhonzoNiamké Marthe, époux et enfants, Kokola-KouassiKousso Adéline, époux et enfants, Kokola-Ekissi ApoValérie, époux et enfants, Kokola Edy Sylvain ; lesgrandes familles Chaoua, Bédé et Yapi à Attobrou :Chaoua Ahochi Frédéric et enfants, Bédé NtamonLambert et enfants, Ndri Nguessan et enfants, Bédé SékaEmile et enfants, Chaoua Balé et enfants, Chaoua OkoraRaphael et enfants, Chaoua Marie et enfants, ChaouaAkissi et enfants, Chaoua Apo et enfants, Chaoua Mbo etenfants, Diané Apko Paul dit Kouadjané et enfants, SekaAssi Bernard et enfants, Essehin Mbahi et enfants, lesenfants Owochi Nando Lazare ; les grandes familles :Adja Ncho à Okoudjè, Midi Mousso dit Djêtê Chi àMbérié, Ariko Ariko à Grand Morié ; les grandesfamilles : Ekissi, et Allatin à Attobrou, Akpélé àAgboville, Ango à Grand Akoudzin, Allé Béda àAttobrou, Benian à Séguié ; les cousins et cousines :Akobé Germain, frères et sœurs, Akobé EdichiGeorgette, frères et sœurs, Bessekon Aké Bernard, frèreset sœurs, Odou Essehin Rodrigue, frères et sœurs ; lesneveux : Seka Agbourou, frères et sœurs, NtamonTchasso, épouse Kindia, Ntamon Meney Charles, frèreset sœurs, Baka Henriette, épouse Kouassi Ténilde,Offoumou Baka Eudouard, frères et sœurs, Abé Philippe,frères et sœurs, Djébé Edi Belmis, frères et sœurs, AssiBédé Paul, frères et sœurs, Ahochi Oro Delphine épouseAchi, Kouadio, Ahochi Edi Appolinaire, frères et sœurs,Bongba Akissi, frères et sœurs, Bongba Bongba Bertin,frères et sœurs, Nguessan Jeanne, épouse Djama AttéRoger, Nguessan Achi Ferdinand, frères et sœurs, EdyBongba Gustave, frères et sœurs, Akpelé Yapi Marc,frères et sœurs, Okora Yaba Marie Jeanne, frères etsœurs, Okora Mousso, frères et sœurs, Balé Kousso,frères et sœurs, Balé Kokola, frères et sœurs, ont laprofonde douleur d’annoncer le décès de leur fils, époux,père, frère, beau-frère, cousin, oncle, neveu, grand père,arrière-grand-père :

Chaoua KOKOLA MICHEL.Infirmier Diplômé d’Etat à la retraite,

survenu le mardi 09 décembre 2014 au CHU deTreichville dans sa 77ème année, des suites d’une longuemaladie.

Le programme des obsèques s’établit comme suit :Du Lundi 12 au Mardi 13 janvier 2015 de 18h à 20h:Présentation de condoléances au Km17, à BimbressoCNRA, au domicile de M. & Mme ASSIENAN.Du Jeudi 15 au vendredi 16 janvier 2015 de 18h à20h: Présentation de condoléances à Agboville, audomicile familial sis quartier Hôpital, carrefour maquisbleu. Vendredi 23 janvier 2015 de 20h à 22h : Veilléede prière à Abidjan, Km 17, en la paroisse St Bernard.Vendredi 30 janvier 2015 de 20h à 22h: Veillée deprière en la paroisse Ste Monique d’Agboville, sisequartier RAN, après le CHR.Vendredi 06 février 2015 à 13h: Levée du corps à lamorgue du CHR d’Agboville, suivie du transfert àAttobrou S/P de Grand Morié ;- 20h – 00h: Veillée de prières en la paroisse ImmaculéeConception d’Attobrou ; - 00h – 06h: Animation religieuse + Veilléetraditionnelle au domicile du défunt.Samedi 07 février 2015 de 07h à 10h: Cérémoniestraditionnelles à la place publique Nanan Allechi,-10h:Messe de requiem en la paroisse ImmaculéeConception d’Attobrou, suivie de l’inhumation aucimetière catholique dudit village.

Frat-Mat N° 111520

Sa majesté Djakarakoni II,roi de Bouna, la grandefamille Ouattara etWarago-Bathou à Bouna,Bondoukou, Abidjan etParis, veuve Sery néeOuattara Mono BoyagaHortense et enfants, Sery àAbidjan, Mme Kafé Nicoleà Paris, ont la profondedouleur de vous faire partdu rappel à Dieu de leurfrère, époux, père, gendreet ami:

SERY ZOBO EDOUARD GABRIEL,Ex-coordonnateur du projet école intégrée (Pei),

le 23 décembre 2014 à l'hôpital sud francilien deCorbeil-Essonnes en France.

Les condoléances sont reçues à son domicile sis àCocody Riviéra Bonoumin non loin de l'école Aist etde l'église évangélique du réveil (22 49 15 03). Le programme des obsèques s'établit comme suit: Première veillée: le vendredi 09 janvier 2015 de 20hà 22h à Ivosep Treichville (Préau) ; Deuxième veillée: le mercredi 14 janvier 2015 de19h à 20h30 à la paroisse St Jacques des 2Plateaux. Levée du corps le samedi 17 janvier 2015 de 8h30 à9h30 à Ivosep Treichville (Préau) suivie de la messede requiem à la paroisse St Jacques des 2 Plateaux etdu transfert de la dépouille dans son village.

Frat-Mat N°111578

AVIS DEREMERCIEMENTS

Nanan Anzan Kpin III, Roides Allui à Koffi-Amonkro,Nanan Kouamé IpouPascal, chef du village deAnzan-Kouamékro, sanotabilité et la communautévillageoise ; Nanan N’daKoffi Sinan, chef du villageFlamonkro, Nanan KissiAmoa Bilé, chef de terre àTétessi et sa notabilité, M. Moise Koumoin Koffi,président du Conseil Régional de l’Iffou, les familles:Toto kan, Koumoin Kouakou Sinan, Ya KouassiKonandi et Anzan à Anzan-Kouamékro et àKouassikro ; Michael Désiré Ali Anzan, ses frères etsœurs, ses cousins et cousines, très sensibles auxnombreuses marques d’affection, de soutien spirituel,moral, matériel et financier qui leur ont ététémoignées lors du rappel à Dieu, le samedi15/11/2014, de leur regretté :

ALI CINA Emmanuel Adiel,Ex-responsable de l’agence de voyages

ATA-TOUBIA à Abidjan.

Dans l’impossibilité de toucher individuellementchacun des parents, les familles alliées, les amis et lesconnaissances, les prient de trouver ici, l’expressionde leur infinie gratitude.

Ils remercient particulièrement : Le Professeur FirminKouakou, D.G. du CHU de Cocody, le ProfesseurPaul Gérard Konan, chef du Service Urologie et sescollaborateurs du CHU de Cocody ; Docteur LamineLachiroy, Président de l’ordre des pharmaciens ; M. leMinistre Koumoué Koffi Moïse, Président du ConseilGénéral de l’Iffou, S.E.M l’Ambassadeur EkraKouassi Florent et Mme, l’Honorable Yapo et Mme,née Akora, à Abidjan et Adzopé, M. Codro et Madamenée Tanoh Elisa à Abidjan, M. Tanoh Olivier àAbidjan, M. Bley Michel, Directeur de Transit Diot àAbidjan, M. Bodoua Yao Maxime à Abidjan, lafamille Anzan Comoé à Abidjan et Koffi-Amonkro,les familles alliées : Wognin Samuel à Bonoua etAbidjan; Ossohou Pascal, Inspecteur del’enseignement primaire à Nassian et Abidjan, AdouGeorges, Infirmier d’état à Bouaflé, la famille Ehui àAbidjan et Paris, la famille Zeraga à Abidjan et Daloa,Boussin Ekra, les parents et amis de France et deBelgique, M. le Curé de la paroisse de St Ambroise duJubilée et ses vicaires, M. l’Abbé Komenan François,Curée de la paroisse St Jean Baptiste d’Ahougnanssou, Bouaké, M. l’Abbé Kouassi Yaomichel, Curé de la Paroisse St Jean Marie Vianey deKoffi Amonkro, M. l’Abbé Francis Ahonzi, Curé de laParoisse St François Xavier d’Abobo, le frèreAssiélou Michel et Mme à Abidjan, M. Alao EmileAladji et famille à Abidjan, le praesidium Notre Damede la Miséricorde et la Ceb Ste Marie de Ste Cécile duVallons des II Plateaux, la Mutuelle « Mudak »d’Anzan-Kouamékro, les amicales : Alouho-Fanga,Boka-Boka d’Anzan-Kouamékro, les amis etcollègues de Michael Ali Anzan à la CaisseD’Epargne, à la Bank Of Africa-CI et à Advans-CI.

Une messe d’action de grâce sera célébrée à l’église StAmbroise du Jubilé de Angré Pétro-Ivoire, ledimanche 11 janvier 2015 à 9h.

Frat-Mat N°111538

AVIS DE PRISEDE CONTACT

Le juge des tutelles dutribunal de Première Instancede Yopougon invite Mlle TahaGoho Pauline mère del’enfant mineur Doho GohoAngela à se présenter à soncabinet sis au palais duditTribunal le 08 janvier 2015 à8h30min pour affaire le/laconcernant.

Fait à Yopougon le 15 /12/2014

Le juge des tutellesFrat-Mat N°111279

Page 39: Société 22 mai 2012 Mont (P.6-7)scns.e-monsite.com/medias/files/fratmat-15027-20150109.pdf · Vos opinions nous intéressent oumou.midosso@yahoo.fr Hommes et femmes de lettres,

38 Infos service / Nécrologie Vendredi 9 janvier 2015

La grande famille AssokoAka à Abli, Toumodi, lagrande famille Allah Wlaà Pokoukro, Toumodi.Nanan N’Guessan Abo,chef du village d’Abli-Bonikro, Toumodi, NananN’guessan Koffi, chef duvillage d’Abli-Alloukro,Toumodi. Nanan DibiYao, chef du village dePokoukro, Toumodi.Nanan Amian Raphaël,chef du village de Gbéndréssou, Toumodi. Le Ministre Kouamé Patrice et Mme, MmeTchinah Simone, maire de Toumodi, M. DogaudKouassi Mme et enfants, Pr Tiacoh Carnot, frèreset sœurs. Mme Kouamé Amenan Martine, frères etenfants, M. Adeh Bernard frères et sœurs, M. KoffiSéraphin frères et sœurs, les enfants de feuKouadio Victor, M. Aka Amédée, frères et sœurs,les familles alliées, la famille Baï, les amis,neveux, nièces, cousins et cousines, ont la profondedouleur de vous annoncer le décès de leur fille,petite-fille, sœur, belle-sœur, cousine, tante etamie:

AKA BLA AIMEE CHANTAL,Ex-employée à la clinique vétérinaire de la

Riviéra.

survenu le 22 décembre 2014 au CHU deTreichville.

Le programme des obsèques se présente commesuit :Du dimanche 04 au mercredi 07 janvier 2015 de18h à 20h: Présentation des condoléances, audomicile familial à Cocody, Rue des GoyaviersAppt 145 ;Vendredi 09 janvier 2015 de 20h à 22h:Veilléereligieuse à la paroisse St Jean de Cocody ;Samedi 10 janvier 2015 de 07h30 à 08h00: Levéedu corps sur le parvis de l’église St Jean deCocody, suivie de la messe de requiem et del’enterrement à Abli, Toumodi.

Frat-Mat N° 111573

La grande famille Okoro ala profonde douleurd'annoncer le décès de leurregretté :

EL HADJ AKAMBIISMAILA

SOULEYMANE,Fondateur de hervécoiffure

à la retraite,

survenu le 03 décembre2014 à Abidjan.La cérémonie du 40ème jouraura lieu le Mardi 13Janvier 2015 au domicilefamilial sis à Adjamé220lgts, quartier Marie-Thérèse en face de lamosquée Mankono 2 àpartir de 09h.

Pour toute information,contactez le 06 24 74 11.

Frat-Mat N° 111524

La direction générale et lepersonnel de la SGS CIS.A., ont la profondedouleur d'annoncer le décèsde :

JEAN MARIEMAXIME LATH,

(Superviseur opérations àla SGS CI S.A),

survenu le 01 décembre2014 à Abidjan.

Le programme desobsèques se présentecomme suit:Mercredi 07/01/2015 de20h à 00h: Veillée audomicile du défunt sis àYopougon Toits rouges(face Collège OffoumouYapo).

Samedi 10/01/2015 à 08 h:Levée du corps à Ivosep deTreichville ;

A 11h: Inhumation aucimetière de NouvelOusrou s/p de Dabou.

Frat-Mat N°111 501

Les grandes familles Konéet alliés à Abidjan, Aboisso,Grand Bassam, Bonoua,Abengourou, Andé, Foro-foro, Gnamiembo, Attiakro,San-Pedro, Fresco,Burkina- Faso, Togo,France et Etats-Unis d'Amérique,

la grande famille BadiSoukpa Laël et alliés àDebrimou dans le Léboutouet Abidjan, les enfantsAboh Kenny William etYeo Tchirégnimin SaraChrist Emmanuella àYamoussoukro et à Abidjan

ont la profonde douleur devous annoncer le décès deleur fille, nièce, sœur,cousine, amie et mère :

KONE FATIMAMARIL YNNE DIANA

survenu dans sa 37ème année,le dimanche 04 Janvier2014 au CHU de Yopougondes suites d'une longuemaladie.

Le programme desobsèques s’établit commesuit : présentation descondoléances du 04 au 08janvier 2015 de 18 h à 21 hau domicile familial sis à laRiviéra palmeraie non loinde la Clinique MédicaleDivine Grâce.

veillée funèbre le vendredi09 Janvier 2015 : de 19 h à21h 30 mn au domicilefamilial sis à la Riviérapalmeraie non loin de laclinique Médicale DivineGrace.

levée du corps: le samedi10 janvier 2015 à 8 h45mn à la morgue du CHU deYopougon. Inhumation : le samedi 10janvier 2015 à 10h aucimetière municipal deYopougon.

Frat-Mat n°111531

Nanan Langui Kouadiochef du village de Langui-Broukro (commune deDimbokro],

la grande famille KrouBekoin à Dimbokro et àAbidjan, la grande familleKouakou Brou à Dimbokroet à Abidjan, la grandefamille Kouadio Ambof àAbengourou et à Abidjan,

la grande familleBossemalan à Abengourouet à Abidjan, veuve Bekoinnée Kacoutié Irène etenfants à Abidjan et à Paris,ont la profonde douleur devous annoncer le décès de :

BEKOIN BROU,Inspecteur Général de

l'Enseignement Techniqueà la retraite,

survenu le 29 décembre2014 à l'Institut decardiologie d'Abidjan.

Le programme desobsèques sera communiquéultérieurement

Frat-Mat N°111499

AVIS DEREMERCIEMENTS

la grande famille Attossi àK o u a s s l - D a t é k r o ,Tanguelan et Ghana, et lagrande famille Tindin àTikakro, Abidjan et Daloa,très touchées par voscompassions et soutienmoral, matériel, financier etspirituel lors des obsèquesde leur fils, père, beau-père,grand-père, oncle et cousin:

KOUAKOU DONGOALPHONSE,

Ingénieur à la retraite,

survenu le 02 novembre2014 au centre rural deKouassi-Datékro. Voustémoignent toute sagratitude et remercient toutparticulièrement: leministre Essy Amara etMme, le ministre AnakyKobena et famille, legénéral de corps d'arméeSoumaïla Bakayoko, chefd'Etat-major, les grandesfamilles N'diaye, N'gom,N’guessan et Koffi Louis àAbidjan et Toumodi, lagrande famille SiékouaAbidjan et Daloa, lesCadres du Bini, de Kouassi-Datékro, ex-collègues deTotal Côte d'Ivoire et amis.

Frat-Mat N°111526

AVIS DEREMERCIEMENTS

Les familles Grah-Tacka, àDassioko (s/p de Fresco) età Abidjan, Faulet, à San-Pedro et à Abidjan,Attoungbré-Bécanty, àDivo et à Abidjan, GuetNado Armand, à Dagbégo(s/p de Sassandra) et àAbidjan, généralLorougnon Jean-Pierre, àAbidjan, les familles DagoGnaba Jean à Dassioko, lesfamilles Dedé GnandouBenoit à Abidjan. Dansl'impossibilité de toucherindividuellement tous ceuxet toutes celles qui de prèsou de loin leur ont apportéréconfort, soutien moral,spirituel, physiquefinancier et matériel lors durappel à Dieu, le 17novembre 2014, de leurfrère, neveu et beau-fils :

GUET BLOWA

ROLAND.

Vous prient de bien vouloirtrouver ici l’expression deleur profonde gratitude etremerciements. Que DieuTout-Puissant vousbénisse.

Frat-Mat N°111489

Les grandes familles YaoKonan à Bamoro (Bouaké)et à Abidjan, les grandesfamilles Soma à Panigokro(M’Bahiakro) et à Abidjan,M. Kouakou N'dri Michelet enfants: Chalène,Emmanuela, Chris-Israël,Ryan-Eldad ont la profondedouleur de vous annoncer ledécès de leur fille, épse etmère :

Mme KOUAKOU néeSOMA Essé Akissi

Florence,

survenu le mercredi 24décembre 2014.

Le Programme desobsèques s'établit commesuit:

Vendredi 09 janvier 2015:levée du corps à la morguede Ouellé à 15h suivie dutransfert à Panigokro(M'Bahiakro).

Samedi 10 janvier 2015:Inhumation dans leditvillage.

Frat-Mat N°111552

La grande familleAzanhoulé à Assinie,Grand-Bassam, Abidjan etau Ghana ; la grande familleNdjouafo à Assinie, Grand-Lahou, Abidjan et au Ghana; la famille Akossé, grand-parents, parents, enfants etpetits-enfants ; la familleAbekan, grand-parents,parents, enfants et petits-enfants ; la famille Monin,grand-parents, parents,enfants et petits-enfants ; lafamille Amandè, grand-parents, parents, enfants etpetits-enfants ; amis etalliés; ont la profondedouleur de vous faire partdu rappel à Dieu, le lundi15 décembre 2014, dessuites d’une longuemaladie, de leur regrettée,fille, petite-fille, mère,sœur, belle-soeur, nièce,cousine et tante :

MONIN N’DAH ADJOLAURENCE,

Ex-commerçante à Akoupé.1982-2014

Le programme desobsèques se dérouleracomme suit : Vendredi 09janvier 2015 de 20h00 àl’aube: Veillée religieuse ettraditionnelle à la courfamiliale sise à Assinie-Mafia (près de l’anciencommissariat de police).

Samedi 10 janvier 2015 à09h00: Levée du corps à lamorgue de Bonoua suiviedu transfert à Assinie-Mafia10h00 – 13h45:Recueillement à la courfamiliale

14h00: Messe de requiemen l’église Sainte-Thérèsed ’ A s s i n i e - M a f i a15h30: Inhumation aucimetière dudit village

Dimanche 11 Janvier 2015à 8h30: Messe d’action degrâce en l’église SainteThérèse d’Assinie-Mafia

Frat-Mat N° 111491

Mme Ezouehu PauletteBadjo, Présidente de laCommission Nationale desDroits de l'Homme de Côted'Ivoire (Cndhci) a leprofond regret, d'annoncerà Mmes et MM. lescommissaires nationauxainsi qu'à l'ensemble dupersonnel de la Cndhci, ledécès survenu le 09décembre 2014, à Abidjande :

N'GUESSANKouamé Agent deMaîtrise des Travaux

Publics, (MLE 268 456 P)chauffeur à la Cndhci

Le programme desobsèques s’établit commesuit:

Samedi 27 décembre2014: de 21h à l'aube:veillée religieuse ettraditionnelle au domiciledu défunt, sis à AboboPK18, derrière pont, routede N'Dotré.

Vendredi 09 janvier 2015à 09h: levée du corps àl'hôpital Houphouët-Boignyd’Abobo, suivie du transfertà Soungassou (s/p deDimbokro) ; de 21h àl'aube: veillée religieuse ett r a d i t i o n n e l l e .Samedi 10 janvier 2015: à09h: inhumation aucimetière dudit village.

Frat-Mat N°111561

Merci de vousadresser au plus tard

à 11H pour lesAnnonces légales etPeti tes Annonces et

à 15H, pour les Avis et

Comm un iqu és ause r v i c e A v i s e tcomm un iqu és ,

A nnonc es l éga l e s e tPe t i t e s annonce s

de Frat -Mat.Tél.:20.37.06.66

Poste: 6171 ou 6020

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39Vendredi 9 janvier 2015 DétenteLa croyante

La photo du jour

Boulevard VGE, en face d’une grande brasserie. Cettesituation déplorable dure depuis 6 mois déjà. Sans quepersonne s’en émeuve.( PHOTO : D. R)

Par DÉSIRÉ ATSAIN

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40 Vendredi 9 janvier 2015