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trinhthien
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SOS VICTOR : LADESCENTEENENFER
Un viol incestueux signalécar suspecté par desenseignants.Unemamanquiveutprotégersonenfant.Unclassement sans suite sansaucune investigation de lapart du procureur. Enattendantd’êtreenvoyéchezsonpère,lepetitde5ansestplacé dans un foyer où iltombemaladeetdépérit.
Mèrerusse:docteurenPhysique
Père:Ingénieur
Février2008:naissancedeVictor
Mars2008:plaintedelamèrepourcoups
Octobre2008:séparationdesparents.
LeJAFordonneunDVHclassiquepourlepèreetuneexpertisemédico-psychologique.Enattendant le jugementpourviolenceet lerésultatd’expertise, lamèren’accepte lesentrevuesdupèreetdel’enfantquesuruneairedejeu(espace«protégé»).
Novembre2008:lepèreestreconnucoupabledeviolenceconjugale.
Juin2009:résultatsdel’expertise:
L’expertécrit:
>l’enfantpeutallerchezsonpère»;
>Mr…aconnusoninitiationsexuelleàl’âgede37ansavecsonépouse.
>«Cequidominechezlui,c’estlatimiditédanslesrappportssociaux,larumination,lestroubles de la sexualité. Pour ces personnalités, ce sont les états amoureux, cesmoments fondamentaux qui posent la question de la coexistence à autrui, qui sontpropresàréactiverl’angoisse,etparfoislaritualisationdescomportements.»
Juillet2009:laJAFmaintientleDVHmaislimitelesvacancesd’aoûtàunesemaine.
Août 2009 : l’enfant revient avec une ecchymose sur la colonne vertébrale et undéplacementdevertèbre(L1D12)
LeDVHcontinueàêtreexercémaislamèrenote:
«Jeremarquedeschangementsducomportementetsurtoutdel’étatdesantéde
Victor.
L’enfantrevientdechezsonpèrechaquefoismalade.Ilesttrèsperturbé,leregarde
vide,perdudans l’espace, semetdans lecoin,nemangeplus.Lorsdubain, ilmetsesjambes écartées sur les bords de sa petite baignoire, il demandait chaque soir de luimettredelacrèmeauxfessesaprèslebain,etenmontrantl’anusilrépète:«papa,pipi,bobo ». Il commenced’avoir des troublesdu sommeil, desproblèmes avec le pot, desconstipations,des réveilsnocturneset celacontinuaitpendant3-4 joursaprèschaquevisitechezsonpère.Suiteauconseildupédiatre, j’amèneVictorchezlepsychologueàl’IPSO(InstitutpsychosomatiquedeParis,13èmearr.)àpartirlemoisdejanvier2010.
Février2010:Lamèrerapporte:«Undimanchesoir,encoreaprèssonbain,lorsquejemetsdescouchesàmonfils,ils’enfoncelui-mêmedelacrèmedanslesfesses,endisantque papa lui fait comme ça. Je me dirige vers l’hôpital, ils me conseillent d’aller aucommissariatpourfaireunedéclaration.»
Laplainteestclasséesanssuite.L’argumentprincipaldonnéà lamère:«vousêteseninstancededivorce,doncvousfaitescelapourréussirladivorce.»
Apartirdecemoment lamèreprend l’initiativederencontresessentiellementdurantles séances de « bébé nageur ». Le père porte plainte sur plainte pour nonreprésentationd’enfant.
Vacances de Pâques 2010 : l’enfant va chez son père qui a un important herpès. Auretour, Victor dit à samère « que son père prenait son sexe dans sa bouche et qu’ill’oblige à sucer le sien ». L’enfant a contracté une forme grave d’herpès, des boutons(vésicules) partout sur le corps y compris un herpès de l’œil. Il est suivi parl’ophtalmologiste. Tout est noté dans son carnet de santé par le pédiatre etl’ophtalmologiste.
Juillet2010:Victorpasselemoisentierchezsonpère.Lamèren’aaucunenouvelledesonfils.Victorrentreàlamaisonle2aoûtmalade,avecdelafièvre,iltousse,etneparlepresquepas.Ilfautpréciser,queVictoresthabituéauxdeuxlangues.Depuislarentréedesvacancesdechezsonpère,ilaarrêtédeparlerendehorsdelamaisonetilfermesaboucheavecsamain.
Lanourricedit«qu’ilestterroriséchaquefoisqu’ilvoitunhomme».Samèreleconstateaussi.Victoraperdul’appétit,ilaarrêtédeboiredulait,ilseplainttoutletempsdesonpère,ilpleure.Satouxdevientchroniquerésistantmêmeàlacorticothérapie.
Septembre2010:rentréeàl’école.Samèrerapportedenouveauxcomportements:
« Lorsque je dis « bonnenuit » àVictor, je l’embrasse sur la joue. Ilmedit : « tire lalangueetmetunefraiseouunchocolatsurtalangue».Aprèsquelquesjours,ilmeposelaquestion:«Marcel(soncopain)aussimangelalanguedesonpapa?»
Quandje luidisquepersonnenefaitcommecela, ilmerépondquec’estsonpapaquifaitçaavecVictor.Ilditaussique«dansladoucheoùilétaitavecsonpère, ilavuunserpentnoiretbrunquil’apiquédanslesfesses».
Ilditquesonpapal’avaitjetédanslelac.«Aprèsj’aitombédanslelacetlespin-ponontamené Victor à l’hôpital ». IPSO ((Institut psychosomatique de Paris) a conseillé à la
mèrede luidonnerdupapierpourqu’il fassedesdessinsaprès le retourdechezsonpère.
Samèredéposeuneplainteaucommissariat.»
Octobre2010:vacancesdelaToussaintchezlepère.L’étatdesantédeVictorempire.
Ilseréveille4-5foisdanslanuitencriant:«nopasça»,«fautpasfaireça»enfrançais(ilparleégalementlerusse).Ilvomitchaquenuitpendantunesemaine;
le médecin traitant l’a hospitalisé avec présence de sa mère pour 3 jours à l’Hôpitald’Orsay.
Après les examens, lespédiatresdécouvrentunRGO (refluxgastro-oesophagien) sansmalformation.Laseulecausepossibleseloneuxest«lestressquecetenfantasubi».
Novembre2010:Lamamanrapporte:«Samaîtresseetladirectriced’écolem’ontditque«Victoradegrossoucis».Ellesluidisentde«prendreenurgenceunrendez-vouschez la psychologue scolaire ».Lamère répond qu’effectivement elle se rend comptequ’ilsepassequelquechosedegrave,etqu’elleadéposédeuxplaintesensoupçondemaltraitance.LapsychologuescolaireadonnélepapieretdesfeutresàVictor…Quandila entendu le mot « papa », il a uriné dans sa culotte ; il a dessiné encore un sexed’hommeendisant«groskikidepapa».LapsychologuerapportequecommelepetitlitdeVictoravaitétéamenéchezsesgrands-parentspapietmamie, ildevait désormaisdormiravecpapa,sanspyjamaetsansculottesurlecanapéetlanuitilditquesonpapalui«faitmaldanslesfessesaveclesapin».
Lapsychologueajoute queVictor se comporte commes’ « il avait subiuneagressionsexuellependantunelonguepériodedesavie.Elleditqu’elleallaitfaireunsignalementde3èmedégré,c’estàdiredirectementversleProcureurdelaRépublique.».ElleaparailleursrevuVictorencoredeuxfoisàl’école.
Lamaîtresse,quantàelle,anotédanssonsignalementquelepèredeVictorl’appelaittrèssouventavecuneseulequestion:«Est-cequeVictorvousaditquelquechose?».
Etrange!
25Novembre2010:unsignalementestfaitparlemédecintraitantdel’enfant.
>>>Lestroissignalementsnedonnerontlieuàaucunesuite,aucuneréponse
endépitdesrelancesdel’avocate..Aucuneauditionpénaledel’enfantavec
vidéoneserademandée.
>>>Lamèreporteplainte.
Débutdécembre:lamèreestconvoquéeparlapolicedeP…:«lesdeux
brigadiers qui reçoivent lamère disent n’ avoir connaissance d’aucun signalement dumédecin, que la mère est une menteuse, les enseignants et la psychologue, des
incapables.Ilsontrefusédenoterlesfaitsimportantsdeladéclarationdelamèreetluiontavouéquelepèreesttenuaucourantetsuitl’affairedeprèsaveceux.»
30décembre2010:lepèredeVictordemandeletransfertderésidencedel’enfant.Samère demande elle la suspension ses droits de visite et d’hébergement suite à cessignalements.
11 janvier2011 : le JAF(MrC…, le jugeremplaçantde l’affairece jour-là)suspend lesdroitsdevisitedupèrehorsd’unlieuneutrepourquelamèreyamèneVictorpendanthuitmoisetilordonneuneexpertisemedico-psychologique.
Le16février2011:lepèredeVictorécritaujugepourannulerl’expertise
sous le prétexte que les signalements ont été classés sans suite et il redemande letransfertderésidence.Pourtant,iln’yaeuaucuneréponsedelapartduprocureursuiteàcessignalements.
Le22mars2011:Cependant,depuisqueVictornevapluschezsonpère,iln’aplusdecauchemarsnocturnesdepuisavril2011,samaîtressed’écoleetlepsychologuescolaireconfirmentqu’ilvamieux(cf compterendude l’équipeéducativeen5pagesdatéedemi-mars2011).
L’équipeéducative(parentsetpersonnelsdel’EducationNationale)seréunitetnoteàl’unanimitélesprogrèsdeVictordanstouslesdomaines(communication,participation,adhésion).Ilestvraiqu’ilnevapluschezsonpère.
Le30mars2011:Lejugedelamiseenétatordonneledroitdevisitesetd’hébergementélargi du vendredi après les classes au lundi matin . Elle déclare que l’expertisedemandéeparl’autrejugeestcaduquecarlessignalementssontconsidéréscommesanssuite mais elle ordonne une nouvelle expertise qui va être confiée à une autreassociation;(?)
Cependant Victor reste encore craintif. Il a encore des problèmes de contrôle et deconstipation.Iladesproblèmespouralleràlaselle.
Le père de Victor est venu à plusieurs reprises avec la police insistant pour qu’elledéfonce la porte pour prendre l’enfant par force, mais la police a refusé (selon letémoignagedesvoisins).
Mai 2011: l’enfant continue de voir le psychologue une fois par semaine. Il a fait degrandsprogrèspar rapportde l’annéeprécédentesur leplansantéetdéveloppementgénéral. Samèreconstatequ’à lamaison est très communicatif etéveillé, il s’est faitdeuxcopainsàl’écoleetd’autresprèsdechezlui.Alamaisonils’exprimetantenrussequ’enfrançais.
Ilcontinuecependantdefaçonobsessionnelleàracontertoutcequic’estmalpasséchezsonpère,deschoseshorribles;
Juillet2011:laJAFordonneuneenquêtesocialepournon-présentationdel’enfant.UnrapporttrèsorientéetpartialseraremisàlaJAFparl’enquêtricesocialedébutjanvier
2012.L’avocat de la mère porte plainte parce que les signalements des différentsprofessionnelsontétéécartésparl’enquêtricesociale.
Septembre2011:LeJEordonneuneIOE(Investigationd’orientationéducative)parunegrosseassociation.Lerapportseraenvoyéaujugemaisnoncommuniquéàlamèrequine pourra que le lire chez son avocat. L’association s’interroge sur le fait qu’aucuneenquêtepénalen’aitétéfaiteetconclutqu’iln’ypaslieudeconfirmeroud’infirmerlesaccusations de viol. Elle préconise, comme toujours dans ce cas, unplacement dans «l’intérêtsupérieurdel’enfant».
Parallèlement, une visite bien tardive faite par la cellule des victimes de violences del’hôpital Trousseau aboutit à la même demande : un enquête pénale normale avecauditionfilméedel’enfant.Sonrapportestégalementenvoyéàlajuge.
>>> A noter que ces deux rapports, interdits de transmission aux parents, vont êtreremisparsonavocataupèrequivalesremettreaunouvelexpertmandaté.Celui-cienseratrèsétonnéd’autantquec’estenpréalableauxauditionsdupèreetdelamère.
Aurait-onvouluoutrepasserlaloipourorientercesrapports?
Octobre 2011 : Au cours de l’éveil musical son professeur de musique constate queVictorparticipeetfaittrèsbiencequ’onluidemande.Ilacommencédedirequelquesphrasesen françaisà l’oreilledesamaitresse. Il communiqueavecsesdeuxcopainsàl’école.Ilyunanilrestaittoutseul,maintenantilcommuniqueaveclesenfants.Quandoninvitecescopainschezlui,ilsjouentbienensemble.
Novembre 2011 : Les assistante sociales commencent à venir l’une après l’autre audomicile.Leurattitudeestvisiblementhostile.
Février 2012 : Dans le cadre de l’enquête sociale, Victor avait vu son père, Lesassistantessocialesontnotéque«l’enfantaétécrispé»
Mars 2012 : l’équipe éducative s’est « enrichie » des travailleurs sociaux et duresponsable de l’IOE désigné par le JAF. Le constat des professionnels est alarmant.Victorauraitrégressédanstouslesdomainesetseraitengrandesouffrance.Onparlededécisions judiciaires imminentes.Ladirectricemet lamèreengardecontre lesennuisqui l’attendent et laisse entendre qu’on exerce des pressions sur elle-même. ElleconseilleàlamèredeVictordelelaisserallerchezsonpère.
LamèredeVictorproduitdesattestationsprécisesdepersonnesqui côtoient l’enfanthors de l’école et qui attestent d’un comportement radicalement différent de celui del’école,enparticulieravecsesamis.
La future réunion de l’équipe éducative du 8 juin confirmera que depuis avril Victorallaitmieuxetcommuniquaitenclasse.Depuisqu’ilnevapluschezsonpère.
Mai 2012 : Le 3 mai – audience JAF.>>> INVERSION TOTALE DE L’APPROCHEJUDICIAIRE
Le10mai2012–Le JAFdécide le transfertde la résidence chez lepèreet lesvisitesmédiatiséespourlamèreunefoistouslesdeuxsemaines.
Le25mai2012–Audiencechezlejugedesenfants.Lamèreestdenouveauaccuséedenon-présentation,mais le juge,quiaccorde lagardeaupère,adesdoutessur la façondontils’occupedel’enfantsibienqu’ilcommenceparleplacerpoursixmoisdansunfoyer.
Victoraétéprisdirectementdanslasalledujugementetplacédansl’internat(maisond’enfant,PPpour6mois)Lejugeaccordlesvisitesmédiatiséesunefoisparsemaineaupèreetàlamère.Lepèreaproclamésasatisfaction.Quandlamamanaditqu’iln’avaitpassondoudoupourdormir,lepèreadit:««yauraqu’àluidonnerunlego»(dixituntémoindelascène).
30mai2012:lorsd’unevisitemédiatiséeàlaMaisonDépartementaledeSolidarité
(MDS) , lamèredeVictoraconstatéqueson filss’estaffaibli,amaigri,qu’ilavait l’airperdu, avecdes larmes séchées sur sesyeux. Selon les assistantes sociales, il neparleplusdepuiscinqjours.
DepuisqueVictoraétéprisdirectementautribunalàlademandedujugedesenfants,iln’apasprononcéunseulmotousonquandsamèreluitéléphone.
Aux visites, elle a tenté de lui parler en français comme le lui ont demandé lesassistantessociales,maissonfilsagardélesilencejusqu’aumomentdelaséparation.Ilaalorspris lesacenpleurant :»Maman, jeveuxrentrerà lamaison, jeveuxêtreavecmaman…».
Jeudi 31mai : lamère est priée de venir à 14 heures pour le transfert de Victor à laMaison d’enfants Les R…. Quatre personnes l’ont accueilli là-bas et lui ont donné lecontratàsignerquiprécisequelebutdeprojetestd’effacerleconflit.Lesviolsdupèreetsaviolencenel’empêcheraientdoncpasd’êtrebonparent…
Onarecommandéàlamèredenepasprendrel’enfantdanslesbras,deneletenirparlamain,denepasluiparlersalanguematernellesouspeinedelapriverdesvisitesavecsonenfant.
Pendant lessemainesquivontsuivre : silence total,Victornesaitplusparler,n’ouvrepaslabouche.
Maintenant,lespersonnelsdelamaisond’enfanceetl’assistantesocialedisentàlamèrequ’ilsnes’inquiètentpaspourluicarilsefaitcomprendrepaslesgestes.
Mais ilsne sontpasaucourantdu traitementdumutismesélectif car ce sontpasdesspécialistes.
Le 14 juin 2012 : Les responsables du foyer annoncent à la mère, au téléphone queVictorneveutplusmanger.Ilslesollicitentmaisilaarrêtédes’exprimeraveclesgestesetnefaitquedessignesavecsatêtepourdire«oui»et«non».Ilapeurdeseleverlanuitetcommencedefairepipiaulit.
L’ interdictiondeparler la languematernellen’entraînepas la coupured’attachementaffectiveavec lamère ,mais larégressionsur leplandedéveloppementglobaldeson
fils.CequIestcontraireauxdéclarationsnotéesdanslecontratdepriseenchargelorsdeplacementprovisoire.
Le20juin2012
Victor tombe malade : il a 39°5 de température : on le met sous dose massived’antibiotiquespendantdixjours.Onprogrammedesscannersducerveaucartouscessymptômessemblentinexplicablesauxresponsables.
SOSPOURVICTOR
QUELQUESREMARQUES:
1–Pourenarriverauplacementdel’enfantenvued’untransfertdegarde,onaéliminéles signalements compromettants, on n’a pas pris en compte les conclusions dupsychiatremandatéquidonnedesinformationspréoccupantes.Onn’aprocédéàaucuneauditiondel’enfantnienregistrementvidéo,àaucuneenquêtepénale.
2- On s’en est remis à une association hautement spécialisée dans les placements, Lerapportdel’éducatricemandatéepouruneenquêteestd’unepartialitéahurissante.Dèsla première ligne, on comprend que tout est beau chez monsieur, tout est noir chezmadame.Monsieurapleuré:c’estlapreuvedesonjolicœur.Onnepeutqu’apprécierlaseuleviolencementionnée(verbale)mentionnéedanscerapportdelapartdemonsieur,à l’égardduchienet lanonpriseencomptede sa condamnationpourviolence sur lapersonneduconjoint.Encoremoinssurl’enfant.
2-Toutdanscetteaffaireestaccompagnédedysfonctionnementsévidents:
Aucuneenquêtepénalevéritableavecauditionfilméedel’enfant.
Mise à l’écart des signalements de professionnels auxquels on s’est bien gardé derépondreendépitdesdemandesdel’avocat..
Une expertise a été annulée sans raison, à la demande du père. Une autre estmandatée avec un expert , lequel s’étonne de se voir remis par l’avocat du père despièces qui devraient être tenues secrètes. (Rapport IOE et rapport de l’hôpitalTrousseau)Leconstatque les rapportsde l’équipeéducativesont trèscontradictoiresentreellesetavec lesattestationsdepersonnesquicôtoientVincentà l’extérieur.Despressionsoccultesauraient-ellesétéexercéessurl’école?
L’ETE2012
Victorestenvoyéencoloniedevacances.Samamannelevoitquetrèsrarement.Ilparlepourdiresonespérancederentrerbientôtàlamaison.
LEDERNIERJUGEMENT–LEJUGEMENTDERNIER:enroutepourl’enfer
Suiteauxpressionsexercéessurlajustice,décisionestprisedeprocéderàl’instructionordonnéedepuisunan etportantsur lesmaltraitancessubiespar l’enfant ilyadeuxans.
Maisavantquel’instructionnesoitvraimentengagée,laJEconvoqueVictoretsamèrepourdéciderde la suite…Victor, suivant lesconseilsdesassociations,vaprendreuneavocate comme leprévoient les législations tant françaisesqu’européennes.Celle-ci lerencontrel’enfantetsonauditiondedroitparlajugevaêtredemandée.Ilsaitcequ’ilvadire:«jeveuxretourneravecmamaman».
MaislejourJdecettefindenovembre2012,l’avocatepressentienesedérangerapas.Letribunal l’a récusée sans aucune raison et en infraction avec les testes qui régissentl’auditiondel’enfant.Elleaparailleursdéjàperçu1996€alorsquepourlesenfantslarègleestl’aidejuridictionnelle.Ellesefaitremplacerparunejeuneavocatequi,àpeinearrivée, repart à la demande de la juge qui obtempère aux injonctions de l’avocat dupère. Victor ne va pas être entendu. L’assistante sociale qui suit l’affaire avec uneténacité diabolique dicte à la jeune juge ce qu’elle doit décider. La juge ordonnel’élargissement du droit de visite du pèremais pas celui de lamère. On rappelle à lamaman qu’il lui est interdit de parler russe à Victor. Comme les grands-parentsmaternels neparlent pas le français,madame l’assistante sociale déclare qu’ils serontdispensésdetoutdroitdevisite.Victorestdésespéré.Ilseréfugiesouslebureaudelajuge.Ilestquatorzeheures:lefoyern’aprévuaucunrepaspourlui.Alorssamamanluidonneunsandwich.Ellel’assurequ’elleafaittoutcequ’ellepouvaitpourledéfendreetleprotéger.
L’avocatedelamèreferaremarquerquel’éducatricedulieuneutreoùsefontlesvisitesaécritdanssonrapportque«Monsieurprofitedesvisitespourdénigrer lamaman.»L’éducatrice interrogée par la juge dira : « je n’ai pas voulu dire ça, je me suis malexprimée».
L’instructionvadoncpeut-êtreavoirlieu.Quediracepetitbonhommeauboutdedeuxans?Etpeut-êtresansavocat…
Victor est un petit garçon cassé par l’institution. Il ne sait pas encore que tout cestratagèmerisquede leconduirechezsonagresseur,hommeheureux,quiabeaucoupd’amis.
Cen’estquelapetitehistoiredeladescenteenEnferd’unpetitgarçonquiaunemamandouceattentionnéeetquiétaitconfiantedans la justicedupaysqui l’aaccueilliepourutilisersescompétencesd’ingénieurnucléaire.