SpeedLa nouvelle ère du spectacle sur glace

Avec “Speed”, Holiday on Ice ouvre de nouveaux horizons au spectacle sur glace et livre un spectacle résolument nou-veau.

Véritable virage dans l’histoire d’Holiday on Ice, Speed pro-pose aux spectateurs une expérience inoubliable basée sur la vitesse. Vitesse des machines, de la vie urbaine, de l’amour, course contre le temps… dix tableaux originaux dans un dé-cor contemporain constituent ce nouveau crû 2012. De spec-taculaires chorégraphies sur des musiques modernes en 10 tableaux.

Toujours les meilleurs patineurs du moment mais cette fois ci accompagnés de danseuses venues tout droit de Las Vegas, d’acrobates volants et de motards chevronnés et intrépides. Un étonnant mélange des genres imaginé par Bart Doerfler, metteur en scène américain, pour un show résolument nou-veau !Speed reste bien sûr un véritable spectacle Holiday on Ice avec ses classiques : les roues, les kick lines et des cos-tumes lumineux.

Un show époustouflant mêlant performance, séduction et sensationnel.

RÉSERVATION 05 34 31 10 00

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Société..................................Antidessèchement.............Social..........................Environnement....................Cuisiner Bio.........................Histoire...........................Rencontre.........................Formation.........................Brèves................................Chroniques Cds.....................Chroniques Livres................Cinéma..................................Pau Potes Show..................Mise en avant...........................P’tites actus..........................Agenda...............................

SOMMAIRE

Imprimé sur papier recyclé avec encres végétales

EDITO

FreemagDirectrice de publication : Carine Pétriat

Régie publicitaire : Pauline Trenque - Carine Pétriat

Rédaction : Martine Gabarra - Carine Pétriat - Luis Léra - Matieu Di Papet - Matthieu Lamarque - Michel Rebelle - Alain Bésème - Pauline Trenque - Pauline Delique - Jérémy Larcade -Raymond Monédi

Conception graphique : Carine Pétriat

Imprimeur : Indugraf Offset SA

Freemag est une publication de l’association Presse Purée05 59 30 90 30 / pressepuree64@orange.fr

ISSN 2114-4648

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« L’ode à la femme » ou comment lui rendre hommage en ce mois si particulier. Nous ne vous chanterons pas de poèmes car en toute humilité nous resterons sur ce que nous savons faire, ou essayons de faire au mieux, rédiger des articles pour sensi-biliser le public sur les thèmes du moment à savoir : journée de la femme le 8 mars et journée de l’eau le 22 mars.

Vous l’aurez compris ce numéro est consacré au féminin. Inutile de vous rappeler à quel point les femmes sont merveilleuses... mais plutôt vous sensibiliser sur les inégalités encore existantes aujourd’hui et notamment dans le monde du travail. On peut constater qu’à poste équivalent, certaines femmes gagnent moins que les hommes et peu de postes à responsabilité sont pourvus à ces dernières alors qu’elles ont les diplômes et expé-riences nécessaires.

Dans un second temps, nous avons mis l’accent sur un autre grand thème, « l’eau » dont une journée mondiale y est consa-crée. En effet, au 21ème siècle, tout le monde n’a malheureuse-ment toujours pas accès à l’or bleu. Il est donc important de se mobiliser et de participer activement aux événements comme le 31 mars prochain avec la 5ème édition de la Nuit de l’Eau.

Chantez, récitez des poèmes à votre femme, participez aux nettoyages des plages, voici le mois où de nombreuses oppor-tunités vous sont offertes pour exprimer votre amour et votre engagement envers notre Terre ou votre moitié. - La rédaction -

SOCIETE LA PARITE

HOMME - FEMME

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Alors que l’institution lutte pour une plus grande justice sociale - Le plan d’action égalité professionnelle entre les femmes et les hommes - la situation des femmes dans le milieu du travail s’améliore même si elles restent désa-vantagées. D’après les études de l’INSEE, les femmes ne représentent que 17% des dirigeants d’entreprise. L’amélioration de la situation professionnelle des femmes constitue pour le Ministère de la Solidarité et de la Cohé-sion Sociale un impératif démocratique. Au niveau sala-rial, les femmes perçoivent un salaire plus bas de 33 à 35% comparé aux hommes alors qu’elles effectuent les mêmes tâches voir plus. Cette inégalité dans le monde du travail entre les hommes et les femmes va sûrement évo-luer dans les années à venir, en tout cas nous l’espérons, car le prochain départ à la retraite des chefs d’entreprise actuels et de nombreux « vieux » salariés devraient lais-ser une place plus prépondérante pour les femmes qui représentent un réel vivier de compétences.

Ce plan d’action fait suite à la loi du 9 novembre 2010 qui stipule que la société française avait jusqu’à fin janvier 2012 pour mettre en place un accord collectif d’entreprise ou à défaut, un plan d’action sur l’égalité professionnelle entre femmes et hommes. Si cette décision n’est pas res-pectée alors les entreprises se verront infliger des péna-lités financières de 1% sur l’ensemble de la masse sala-riale. Ce plan d’action reste une étape décisive dans la conquête de l’égalité.

Dans le monde politiqueDepuis 1791, lors de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouges, l’histoire politique et sociale montre un mouvement d’émancipation progres-sif des femmes.Voici quelques dates les plus marquantes : reconnais-sance d’un statut civil en 1804, octroi des droits politiques dans certains pays (1893), ouverture progressive des études et des emplois aux femmes. En 1999, « la loi fa-vorise l’égal accès des femmes et des hommes aux man-dats électoraux et aux fonctions électives », ce qui donne une réelle place et un droit de parole aux femmes qui sera alors renforcée par une autre loi en juin 2000 qui ouvrant la voie à des réformes législatives destinées à imposer les femmes dans la vie politique et sociale. Le 9 mai 2001, la loi Génisson sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes vient renforcer la loi Roudy de juillet 1983. Et la dernière, datée du 23 juillet 2008, favorise l’égal ac-cès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités profes-sionnelles et sociales.Même si toutes ces lois sont faites pour promouvoir l’éga-lité entres les hommes et les femmes, il reste encore du chemin à parcourir afin que celle-ci soit complète. À l’échelon national, on ne compte encore que 18,5% de femmes à l’Assemblée Nationale et 21,8% au Sénat.

La place de la femme dans la vie socialeVoici un sujet où la femme a su trouver sa place. Au-jourd’hui, les femmes sont beaucoup plus nombreuses que les hommes à accéder aux études supérieures mais, elles sont tout de même absentes des filières les plus cotées. Un autre problème se pose : les femmes ne se tournent pas, ou en très petit nombre, vers les fi-lières d’ingénierie. Est-ce parce qu’elles se sentent moins concernées ? Peut-être pensent-elles que cette voie est destinée aux hommes et qu’il sera certaine-ment plus facile pour elles de trouver un travail ?…Au niveau de l’emploi justement, on constate que les femmes sont plus nombreuses à être inscrites au chô-mage ou encore à détenir des emplois précaires à temps partiel. Alors, même si les choses évoluent doucement, tout est loin d’être réglé. Peut-être faudrait-il que les personnes changent leur vision de la femme pour se rendre compte du potentiel qu’elle détient et qu’elle n’est pas moins capable qu’un homme. Seules une prise de conscience et l’application de toutes les lois pour l’égalité feront changer les choses.

Face à toutes les critiques faites par les médias, les chefs d’entreprise de grands groupes comme Orange ou L’Oréal se mobilisent pour donner le droit à leur employé mascu-

- 1er mars 2004 : signature par le patronat et les syn-dicats de l’Accord national interprofessionnel relatif à la mixité et à l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes.

- 23 mars 2006 : la loi relative à l’égalité salariale entre les femmes et les hommes renforce les moyens et enga-gements concernant la suppression des écarts de rému-nération entre les femmes et les hommes, et la « conci-liation » entre l’activité professionnelle et la vie familiale.

- Des recours et sanctions civiles et pénales sont pré-vus en cas de non-respect de l’égalité homme-femme. En outre, dans les conditions précisées par le décret n°2011-822 du 7 juillet 2011 cité en référence, les entre-prises d’au moins 50 salariés seront soumis à une pé-nalité à la charge de l’employeur lorsqu’elles ne seront pas couvertes par un accord ou un plan d’action relatif à l’égalité professionnelle. Cette disposition entre en vi-gueur à compter du 1er janvier 2012.

L'égalité des chances dans le monde du travail

L'égalité homme femme face au congé parental

Qu'est ce que le plan d'action égalité professionnelle ?

LA PARITE HOMME - FEMME

ANTI DESSECHEMENT

Une adresse à retenir ! Destiné aux hommes comme aux femmes, au 176 Boulevard vous avez tout sur place, le salon de coiffure et l’institut de beauté. Un rendez-vous et le tour est joué pour être plus rayonnant(e) que jamais ! Vous êtes toujours accueilli avec le sourire, dans une am-biance chaleureuse et si vous n’avez pas le moral, l’équipe saura vous le redonner.

Au 176 Boulevard, on s’occupe aussi de mettre en beauté les futures mariées avec un forfait qui leur est spéciale-ment destiné comprenant au minimum le coiffage et le maquillage. Vous pouvez compléter cette offre avec une manucure ou des séances d’UV pour vous donner un teint agréable mais aussi, préparer votre peau pour les pre-miers rayons de soleil.

Bien sûr, nous n’oublions pas les mamans pour qui nous avons mis en place des bons cadeaux pour les rendre encore plus belles et qu’elles se fassent chouchouter le temps d’une coiffure, d’un soin du corps ou encore pour qu’elles retrouvent une silhouette de rêve avec «l’impact».

Ouvert le lundi de 14h à 18h, du mardi au vendredi de 9h à 19h et le samedi de 9h à 16h.

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lin de profiter d’un congé parental ou encore d’un congé paternité sans baisse de salaire ou autre discrimination. Voici un extrait de la charte d’Orange : « Nous souhai-tons promouvoir la parentalité au masculin et combattre les stéréotypes qui retiennent les papas de se mettre en congés de parentalité. Nous souhaitons inspirer les pères qui n’osent peut-être pas le faire, en d’autres mots, les libérer de leur auto-censure ». Une bonne chose pour faire évoluer les mentalités et les mœurs, car jusqu’à au-jourd’hui, les papas qui prennent un tel congé sont rares.

Et oui Mesdames, laissons la place aux hommes car eux aussi sont capables de s’occuper des bambins, du mé-nage, des courses… ! Ne vous arrêtez pas aux préjugés des personnes ou aux ouï-dire car vous n’avancerez pas, ce qui serait très dommageable pour le combat que mè-nent de nombreuses femmes pour faire valoir nos droits et notre potentiel.Si vous voulez encore plus d’infos sur toutes les lois qui ont été mises en place, rendez-vous sur www.wikipédia.org.

- Krine -

La règle numéro une de Sinéo est le respect de l’environnement. Pour laver une voiture cette société utilise des techniques de net-toyage avec des produits 100% biodégra-dables à base d’huiles essentielles et d’ex-trait d’agrumes et seulement 3 litres d’eau. Sinéo fait à elle seule une économie d’eau po-table de 123 500 litres par mois et 1 482 000 litres par an. Sinéo s’offre une grande palette de prestations en s’adaptant à chaque client que ce soit un professionnel ou un particulier. Vous pouvez y faire laver votre voiture intérieur comme exté-rieur avec shampooing tissus et moquettes, trai-tements anti-odeurs, rénovation de plastiques...

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SOCIAL

Assez ! Assez ! Les gros riches, les trop riches. Assez de votre rapacité fricquée, de votre arrogance, de votre im-pudence et aussi de votre indifférence aux mille malheurs que, sans peut-être en avoir pleinement conscience, vous générez dans toute l’Humanité !OUI, vous l’avez deviné, je suis un «Indigné» ! Mais un «Indigné» maximum, disons même un «Révolté». Un «Révolté» contre la dictature de l’Argent et de la Finance qui, depuis longtemps, domine le Monde et affame la Pla-nète entière ! Qui peut penser aujourd’hui que même la France, 5ème puissance du Monde et qui se veut être un modèle d’humanisme, compte plus de 10 millions de citoyens qui vivent sous le seuil de précarité,... Et le plus grave, dans ce pitoyable constat, c’est que cette misère touche en priorité la jeunesse, les 18-25 ans, et bien sûr, les jeunes ménages ! Quelle honte, cet avenir que nous préparons à nos enfants.

L'inéluctable refus de la PauvretéCette Pauvreté généralisée n’est plus supportable et ne sera plus supportée bien longtemps ! La pression monte dans les esprits, et plus dangereuse que l’indignation, la révolte gronde de par le Monde ! Il serait peut-être temps d’en prendre conscience et d’y réfléchir sérieusement avant qu’il ne soit trop tard et de se poser «Ze Question» :Où allons-nous ?... ou mieux encore... Où voulons-nous aller ?- L’Argent et la Finance : un peu de réflexions devraient en effet permettre de stopper les «Filounanciers» et de mettre de l’ordre et de l’éthique dans le royaume de la finance ! C’est pourtant simple... bordel ! (oh ! pardon), tout le monde le dit, et le redit : «Il faut mettre la finance au service de l’Homme et,... non pas l’Homme au service de la finance ! »- Les Religions : des pauses de réflexions et de recueille-ment devraient également permettre aux trois religions monothéistes d’être plus tolérantes et de comprendre que pour aller au paradis, il serait quand même bien plus ma-lin et bien plus judicieux de se faire des «bisous», plutôt que de s’entre-tuer, au nom du même Dieu !

Les dirigeants du monde actuelsont des incapables

Qui d’entre-nous réalise réellement, aujourd’hui, en ce début de 3ème millénaire :- Qu’1 milliard de terriens sous-alimentés souffre de la faim ?- Que chaque année, ce chiffre s’accroît de 40 millions de personnes ?- Que toutes les 7 secondes, un enfant du monde meurt de faim ? Arriver à un constat aussi catastrophique, alors que

le total de la «Valeur du Travail Ajouté» de tous les tra-vailleurs de la planète est de plus en plus élevée,... est inadmissible ! Un tel déséquilibre dans le partage des richesses produites est inacceptable et il nous faut vite réagir ! Mais encore faut-il en avoir les compétences et surtout, ne pas se faire dominer par les financiers.Car les «Voyous de la finance», qui dirigent le monde en sous main, doivent doucement rigoler lorsqu’ils dis-cutent avec nos grands Responsables Nationaux dans leurs fameux G.7, G.8 et même le G.20 maintenant ! Nuls en politique, nuls en finance, nos avocats du baratin se sont fait rouler dans la farine au point de ne pas avoir senti venir l’énorme crise actuelle. Ce n’est certainement pas l’inénarrable couple «Merkel et Kosy»,... le nouveau duo «Laurel et Hardy», des grandes farces financières d’aujourd’hui, qui auraient senti venir la grande magouille «milliardesque» !

La pauvreté, quelle dure FatalitéQu’on le veuille ou non, tout comme la richesse, la pau-vreté se transmet par l’héritage ! Si l’on a la chance de naître dans une famille de riches, on sera... riche toute sa vie, sinon l’on a de fortes «malchances» de rester,... pauvres toute sa chienne de vie ! Même l’Article Premier de la «Déclaration Universelle des Droits de l’Homme» est assez ambiguë sur ce plan là : «Tous les êtres hu-mains naissent libres et égaux en dignité et en droits » ? Quels droits, quelle dignité, voulez-vous qu’ils aient,... les «Paumés de la Société» ? Parce que pour tous les «Pos-sédants» qui ont la chance d’avoir un travail et de vivre normalement, les Pauvres et les Chômeurs sont tous des fainéants, des «planqués», qui ont la flemme de se le-ver le matin ! De plus, aujourd’hui, des «Nantis», de plus en plus nombreux, osent considérer les compensations sociales accordées aux nécessiteux du bas comme des privilèges exorbitants. Et les leurs alors ?

LA HONTE, QUELLE HONTE ! LA PAUVRETE, A ENCORE AUGMENTE !

Coup de gueule de Raymond MONEDI

LA HONTE, QUELLE HONTE ! LA PAUVRETE, A ENCORE AUGMENTE !

Personne n'a le droit de juger les pauvresPersonne surtout, n’a le droit de les critiquer ! Car per-sonne ne peut connaître réellement la misère, la vraie, sans l’avoir vécue lui-même. Un vieil adage des Indiens d’Amérique image bien notre propos : «Personne n’a le droit de critiquer quelqu’un, s’il n’a pas,... au moins une journée entière marché avec ses mocassins » ! Par la lit-térature, le cinéma, les médias, on peut avoir des idées, on peut supposer, on peut imaginer ce qu’est la misère, mais la vraie misère n’est jamais ce que l’on pense. Les seuls qui peuvent en parler véritablement sont ceux qui l’ont vécu, ceux qui, par exemple : certains soirs dans leur lit ont pleuré de faim ; ceux qui ont passé des journées entières le ventre vide avec un manque lancinant dans les tripes ; ceux qui avaient honte d’aller à l’école avec des souliers percés... ou des vêtements rapiécés,... ou même avec les habits archis usés des frères et des sœurs qui les avaient précédés. Et que dire des Gosses qui ont vu leur mère pleurer parce qu’elle ne savait pas ce qu’elle allait bien pouvoir leur faire à manger le soir...Mais tout cela ne se sait pas ! Ne se devine même pas ! Car les pauvres ont leur amour propre, ils ont aussi leur fierté, alors ils se cachent pour pleurer.

A quand la révolte des GUEUX ?Dans nos sociétés, dites évoluées, les problèmes ma-jeurs sont «l‘insécurité» et la «drogue». Alors, on créé et on invente même de plus en plus de dispositifs de sur-veillance, de punition et de coercition sans comprendre que la cause générale de tous ces petits larcins, ces vols de toutes sortes, et parfois aussi, des crimes de sang, est très, très souvent due à la pauvreté des gens. Car, on y pense peut-être pas assez, la misère, poussée à l’ex-trême, génère la violence, génère la révolte ! A force de lutter pour vivre, on devient nerveux, et... ! A force d’être maltraité et de subir des humiliations insupportables mal-gré vous, la haine vous gagne, et alors souvent arrive,... ce qui doit arriver ! Pour en savoir plus sur ce plan là, rapprochez-vous du «Mouvement ATD Quart Monde» qui vient de lancer, en ce début d’année, une grande action intitulée : «PAUVRETE = VIOLENCE».Pour moi, stop ! Mon intention n’est pas de jouer les Victor HUGO, ni de faire pleurer Margot,... quoique..., mais plutôt de faire comprendre aux gens normaux, aux bourgeois, aux riches et surtout aux trop riches, que la pauvreté de-vient de plus en plus intolérable sur la planète et que des hommes acculés à la désespérance sont capables de tout ! Et en ce moment même, la crise accentuant la colère des nécessiteux et le formidable «Mouvement Mondial des Indignés» aidant, on peut penser qu’une «révolte des Gueux» a même d’éradiquer toute la misère du monde, pourrait être imminente !

La misère ne se soulage pas, elle s'éradique !Si l’on y réfléchit, on pourrait croire que la misère est un mal nécessaire ! A cela deux explications :D’abord, constatons que les Nantis, notamment les «Fidèles de bénitiers» et nombre de «Possédants fri-qués», ne se font pas trop de soucis pour la pauvreté, car eux, ils en ont besoin de la misère, mais de la mi-sère des autres ! En effet, un minimum de misère dans le monde leur est nécessaire pour leur permettre de faire l’aumône, de faire le don qui soulage leur conscience ! Ils pensent qu’en faisant preuve de chari-té, qu’en donnant un petit iota par-ci, un petit iota par-là, les portes du paradis leurs seront grandes ouvertes.D’autre part, et cela est quelque peu surprenant, il faut savoir que depuis l’aube des temps, la MISERE est écrite aussi dans les Livres. Dans les Livres dits inspi-rés des trois grandes religions monothéistes : la Bible, la Torah et le Coran ; Tous les trois, en effet, font l’éloge de la pauvreté ! A les lire, on pourrait croire égale-ment, que la pauvreté des hommes sur la Terre est la clé magique qui leur ouvre les portes du paradis. Mais, ces raisons sont intéressées, Il n’y a pas de petites ou de grandes misères, il y a la MISERE et c’est tout ! Rien ne sert de soulager et d’adoucir la misère pour la rendre supportable, car la rendre plus douce et plus vi-vable, c’est l’admettre, c’est la reconnaître, et à terme c’est la pérenniser. Et cela n’a aucun sens logique ! C’est un ecclésiastique, un grand spécialiste de la Pauvreté,... le Père Joseph WRESINSKI, fondateur du «Mouvement A.T.D. Quart Monde», qui a compris le premier où était la vérité, et qui a dit : «Soulager la misère, c’est s’en accom-moder ! La misère ne se soulage pas, elle s’éradique. » Là, est la réalité, la vraie ! Car ce ne sera que lorsque tous les mots qui parlent de la misère, du genre : charité, gé-nérosité, pitié, bonté, et aussi bien sûr,... pauvreté, seront totalement rayés de tous les dictionnaires du monde, que le bonheur règnera sur la Terre !

ENVIRONNEMENT

Qu'est-ce qu'un assainissement ?Un système d’assainissement traite les eaux usées do-mestiques provenant de votre cuisine (évier, lave-vais-selle…), de votre salle de bain (douche, baignoire…), de vos toilettes…Un assainissement non collectif permet le prétraite-ment, la purification et l’évacuation des eaux d’une habitation qui n’est pas raccordée à un réseau public d’assainissement. L’habitation dispose de son propre système d’assainissement qui est généralement com-posé d’une fosse sceptique, d’un bac à graisses et d’un système de traitement tel que le filtre à sable.En France, nous rejetons en moyenne 150 litres d’eaux usées par jour et par personne.

Pourquoi l'assainissement non collectif ?On parle d’assainissement non collectif quand votre habitation n’est pas reliée au tout à l’égoût comme dans les grandes villes. Comme tout le monde n’y a pas accès et dans un souci de préservation de la qua-lité de l’eau et de la salubrité publique, la Loi sur l’Eau du 3 janvier 1992 a imposé aux communes de consti-tuer un service public de contrôle des assainissements non collectifs depuis le 31 décembre 2006. Ce sont les SPANC qui ont cette compétence.

Quand faut-il se soucier de l'assainissement ?Une étude de l’assainissement d’un terrain est obliga-toire pour le dépôt du CU. Pour cela, il faut faire appel à un expert afin qu’il fasse une reconnaissance des sols et du sous-sol, des tests de porchet pour calculer le coefficient de perméabilité du terrain, une enquête

de voisinage et une recherche bibliographique. Suivant les résultats, l’expert préconisera un type d’assainisse-ment bien spécifique.Il est primordial d’avoir une bonne installation afin d’éviter toutes pollutions des sols ou cours d’eau lors du rejet des effluents.

Quel types de contrôles doivent être effectués ?- Le contrôle de conception par un bureau d’études, dans le cadre de l’instruction du permis de construire ou de la réhabilitation d’un assainissement non collectif.- Le contrôle de réalisation, lors de la mise en place de votre installation.Sur les installations existantes, on va contrôler le bon fonctionnement et le bon entretien des installations (vi-dange de la fosse). La Loi sur l’Eau du 30 décembre 2006 impose une périodicité de ces contrôles entre 4 et 8 ans. Le premier contrôle de bon fonctionnement est aussi l’occasion de faire un état des lieux de l’en-semble des installations présentes sur le territoire du Syndicat.

L'IMPORTANCE D'UN BON ASSAINISSEMENT

- Krine -

Galettes de flocons de pois cassésTemps de préparation : 20 mn / Temps de cuisson : 10 mn

Pour 2 personnes150g de flocons de pois cassés

1 bol de lait de riz 3 oeufs

2 gousses d’ail1 petite botte de cébettes

1 petite courgette ou 1 branche de céleri1 petite carotte

1 morceau de gingembre1 càs de tamari

Huile d’olive 1 càc rase de cumin

Sel, poivre

Dans un saladier, verser le lait de riz sur les flocons de pois cassés et les laisser gonfler pen-dant 10 mn.

Pendant ce temps, découper la branche de cé-leri ou la courgette en petits dés, râper la carotte, hacher l’ail et le gingembre et déposer le tout dans une petite poêle avec un filet d’huile d’olive par-dessus. Laisser fondre à feu doux quelques minutes, en remuant de temps en temps, puis ra-jouter les cébettes découpées en fines lamelles et le cumin. Remuer et laisser fondre.

Dans un saladier, battre les oeufs, rajouter le ta-mari et verser les flocons imbibés par-dessus. Mélanger intimement. Incorporer la poêlée de lé-gumes et mélanger de nouveau.

Mettre la poêle à chauffer sur feu moyen avec un filet d’huile d’olive. Lorsque l’huile est chaude, verser le contenu du saladier. Laisser cuire sur feu doux quelques minutes et, à l’aide d’un cou-vercle, retourner la galette que vous laisserez cuire encore quelques minutes toujours sur feu doux.

Servir avec une salade assaisonnée à l’huile de noisette et au citron vert.

ET QUEZAKO ?Les flocons de céréales ou de lé-gumineuses.Destinés à nous simplifier la vie, les flocons de céréales ou de légumi-neuses ont toute leur place dans les placards des mamans pressées.

Les flocons sont des «minis pé-tales» de céréales ou légumineuses dont la graine a été cuite légère-ment à la vapeur puis applatie, afin de permette une cuisson plus rapide lors de son utilisation. Ainsi, les flocons conservent presque tous les bienfaits de la petite graine origi-nelle et sont généralement plus di-gestes. Vous trouverez des flocons d’avoine, de millet, de sarrasin, de quinoa, de riz en ce qui concerne les céréales. De pois chiches, azu-kis, lentilles, pois cassés du côté des légumineuses, et pour finir, des flocons de châtaignes très utiles par temps froid.

Cette page vous est offerte par l’association «1 école pour 1 autre cuisine» qui vous propose de venir apprendre à utiliser ces «ingrédients san-té» au quotidien.

Ateliers de 3 heures 35€ : éla-boration d’un menu complet

Table découverte : prix libre avec un minimum de 5€ tous les jeudis

Cours express : Formule entre midi et 2, venez ap-prendre à cuisiner en 1/2h et déguster votre plat sur place ou à emporter

Stage au week end : Pour apprendre à cuisiner végé-tarien, sans produits laitiers et sans blé

Stage à la semaine : Pour apprendre le programme complet et connaître les rudiments de l’assimilation de notre organisme

LES POUTINES DE LA BROUCHEQui n’a pas d’orties dans son jardin ?La Nature nous offre un coffre au trésor de bonnes choses pour notre santé et l’ortie sauvage, que l’on peut trouver par-tout, en fait partie. Facile à repérer... qui ne connait pas l’ortie ?Evitez de les cueillir en bord de route, elles sont polluées par les gaz d’échappement, mais lors de vos promenades, mu-nissez-vous d’une paire de gants pour faire cette chasse au trésor et cueillez les sommités de la plante. Vous pourrez ainsi réaliser une délicieuse soupe aux or-ties bénéfique pour votre organisme en coupant quelques pommes de terre en cubes, que vous ferez cuire avec 3 gousses d’ail et de l’eau. Lorsque les pommes de terre sont cuites, rajoutez les orties dans la casserole, laissez cuire 2 à 3 minutes puis mixer. Salez, poivrez, et rajoutez un filet d’huile d’olive. Vous m’en direz des nouvelles.L’ortie piquante apporte des vitamines, minéraux, oligo élé-ments, acides aminés et protéines. Elle renforce le système immunitaire, soulage la rétention d’eau et est trés utile en cas de constipation ou de maux de ventre.N’hésitez pas à vous faire des infusions d’ortie piquante dès l’arrivée du printemps pour vous aider à renouveler votre sys-tème sanguin. L’ortie piquante nous donne énergie et dyna-misme durant toute la journée.

LA CUISINE DE PILAR

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cUISINE

HISTOIRELUIS ATTACK

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Quand une loi est inhumaine, nous nous devons de la contester et le cas échéant la combattre.A Pau, sur le lieu même de l’ancienne usine Bidegain, des familles, des enfants, des parents, des grands-parents, trente à trente cinq personnes attendent dans une précarité de ressources qui les enfoncent toujours un peu plus dans l’indigence.L’angoisse et la peur de voir venir le jour où la po-lice viendra avec un mandat de perquisition pour leur signifier leur expulsion qui est imminente si on tient compte de notre timidité à radicaliser nos luttes. Bien sûr, ils sont sur un terrain privé sur lequel ils ont bâti un abri, un toit, des cabanons construits de leurs propres mains ; En langage socio-économique, on nomme ces constructions « architectures spon-tanées » à partir de matériaux de récupération qui dans le meilleur des cas sont mis à disposition par les pouvoirs publics (ou l’aide humanitaire). On les trouve principalement dans les pays du tiers monde.A l’orée de Pau, à Bizanos, une famille (enfants, pa-rents, grands-parents) est réduite à une pauvreté pas encore dégradée avec sur la tête le poids d’une ex-pulsion de leur logement qui sera décidée le 3 mars.Cette dernière famille roumaine occupe, Avenue Léon Heid à Pau/Bizanos, un logement « vacant » qui, pré-cédemment, était un squat insalubre. Aujourd’hui, les occupants l’ont réhabilité, avec quelques travaux de réfection sacrifiant du même coup leurs petites éco-nomies alors qu’elles représentaient leur seul moyen de subsistance.

Il s’agit ici d’un appel citoyen contre le silence sur la détresse des familles face à l’égoïsme récurrent des sociétés de classes sans partage.

Pour le seul fait d’être né bulgare ou roumain, les lois de l’Union Européenne font une exception sélective au point de les écarter de ce droit.Ce paradoxe nous renvoie à la Controverse de Val-ladolid : les indiens ont-ils une âme ? Ou plus direc-tement, sont-ils des animaux ou des humains ? Les Roms sont-ils des extra-terrestres ? La France est-elle un état de droit ? Car il ne suffit pas de le dire, il faut encore en apporter les preuves. Dans un état de droit comme la France, peut-on donner la priorité à la réprimande sans faire usage d’équité et cela, in-dépendamment du droit en vigueur ? Cette situation nous paraît, toute raison gardée, extrême. Car, au lieu d’apporter l’apaisement, elle provoque un climat délé- tère. Ce à quoi aspire l’extrême droite qui fait de

l’exclusion son fond de commerce pitoyable de vul-garité. Rien n’est plus insupportable que d’entendre ici ou là, dire encore et toujours « on ne peut pas s’occuper de tous les malheurs du monde » mais il ne s’agit pas pour nous de sauver le monde, ni d’en partager tous ses malheurs.

Nous vous appelons à la solidarité contre ceux qui alimentent les malheurs à la carte.

Il n’est pas question pour nous de faire, dans une su-renchère de sentiments, allégeance à des principes qui n’ont pas leurs places dans les sociétés qui se respectent. Les « justes » aujourd’hui sont à l’hon-neur. C’est ce que nous devons mettre en évidence. Sommes-nous en capacité de rendre à l’espoir une humanité plus universelle ? Unissons-nous, refusons l’inacceptable, retrouvons ensemble les réflexes qui font notre dignité.

Quand on nous parle de

« Racaille » je pense aux

grands patrons, et quand

j'entends la « canaille »

c'est la fin de la résignation.

La douce France n’échappe pas aux effets endé-miques de la crise qui prive aujourd’hui les classes laborieuses de la part de prospérité d’un système qui leur a toujours promis la lune. Mais comment faire au-jourd’hui alors que les classes moyennes sont aussi entraînées dans les turbulences d’une mondialisation qui frise le chaos ? Un capitalisme coutumier qui pète les plombs quand il décide de vivre au-dessus de ses moyens. Un capitalisme qui pioche dans la caisse en oubliant de différencier les dépenses des recettes de l’Etat. Un capitalisme des banques qui se sont bien aménagées quelques niches, mais à quoi cela peut bien servir ? Ils ne pensent tout de même pas rassasier toutes ces bedaines de la haute Finance Internatio-nale, nourries par la rente de la spéculation. Seront-ils

Seule la lutte nous montre le chemin

blâmés pour avoir vécu au-dessus de leurs moyens ?Que faire alors des démunis en déshérence, réduits en attente de déclassement, de ces exclus. Arthur Koest-ler parlait de la « lie de la terre » ou alors « Racaille » de qui on sait. Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire dans sa pensée ? Tous les laissés-pour-compte qui, par pans entiers, sont poussés à la marge de la so-ciété, ne comptent plus pour le pouvoir. Les banlieues sont abandonnées de tous discours de campgane car ce qui est le plus important pour les décideurs, c’est encore de faire main basse sur les trésors que recèle toute une vie de travail sous-payée selon des critères d’un usurier zélé au service d’une oligarchie.

Les travailleurs déchusLa droite ne dit rien, mais patiemment elle prépare le terrain et les surprises de demain. Rentrez dans la danse, voyez comment en France vivent Exclus, Déchus et Discriminés. Une cohorte d’individus re-légués dans les quartiers insalubres des villes ne rentrent plus dans une catégorie et ne peuvent prétendre qu’à un CV qui codifie une durée de vie.Les SDF, les chômeurs longue durée français et étrangers puis, les sans-papiers, les clandestins, les Tsiganes, les Manouches, les Gitans, les Roms, ceux que nous appelons « les gens du voyage ». De qui parle-t-on quand on dit les « gens du voyage » ? Cette appellation a tout d’une discrimination. Quand je pense qu’ils vivent en France depuis plus de 600 ans. Ils sont plus français que beaucoup d’entre nous. Pensez-vous toujours après cette information qu’ils ne puissent pas prétendre aux mêmes droits que tous les français ? Saviez-vous aussi qu’ils aiment qu’on les appelle Manouches pour ceux de France, et ils en sont fiers. En général, ceux qui vivent en France

sont français comme vous et moi. Les Gitans qui ont migré en Espagne eux aussi aiment qu’on les appelle Gitans ; Cela peut paraître péjoratif pour les gadjos. Aussi ce n’est pas à nous d’en juger. Nos critères sont trop déformés par les rumeurs et légendes qui les accompagnent. La même chose pour les Roms, les Romanichels ; Tous sont issus des Tsiganes et la seule trace de cette unité ethnique est la langue qu’ils partagent. Avec toutefois des variations. En effet, leur langue a continué d’évoluer, influencée par son en-vironnement culturel et par les différentes langues en présence dans les pays où ils ont fait aujourd’hui souche, c’est-à-dire la France pour les Manouches, l’Espagne, le sud de la France et l’Afrique du Nord pour les Gitans, les pays de bohême (Allemagne, Au-triche, République Tchèque et Slovaquie) pour les Bo-hémiens, Roumanie et Bulgarie pour les Roms (mais beaucoup vivent dans l’actuelle République Tchèque, déplacés de force après la 2ème guerre mondiale, pour fournir une main d’œuvre qui faisait défaut). Les Roms font l’objet d’un arbitraire tout à fait irrespon-sable de la part des états où ils résident ; Bien qu’ori-ginaires du pays où ils sont nés, la nationalité leur est refusée. Ce peuple est poussé vers une dérive forcée, obligé de vivre « comme des loups ». Ne croyez sur-tout pas qu’ils sont différents de ce que nous serions si nous vivions les mêmes difficultés.

Un peu d'histoire populaire et socialeIl y a une peu plus d’un mois un collectif c’est consti-tué contre les menaces qui pèsent sur toute une fa-mille. Tout ce petit monde aspire à rester en france. Mais la France et ces décideurs ne le voient pas du même oeil.

11A suivre - Luis Léra -

RENCONTREPORTRAIT VOUS BIEN

Rencontre avec Paul DOLIE, entraîneur de l’équipe féminine de rugby du RC Lons.

L'INTERVIEW OU OU

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Freemag : Le rugby féminin, sport d’hommes ou de femmes ?Par définition, c’est un sport de femmes. Mais c’est à la fois un sport d’hommes et de femmes.

Freemag : Physique ou tactique?C’est l’arbre qui cache la forêt même si les anciennes générations auront un avis contraire. Mes collègues du parti vert, sont souvent engagées dans la cause féministe. Je n’ai pas, pour ma part, de complexe d’infériorité. Ma génération sera moins victime de l’inégalité des sexes que la génération précédente. Physique et tactique. Le jeu est le même qu’en mas-culin mais les femmes jouent avec leur physique et leur esprit stratégique. Les femmes cogitent plus que les hommes. Elles vont au bout des choses, veulent savoir le pourquoi du comment, pourquoi on se place ici, pourquoi on va là. Une fois que c’est intégré, il n’y a plus de souci.

Freemag : Le RC Lons, David ou Goliath ?David, le plus petit. A force de travail, de pugnacité et de volonté, le RC Lons enfile le costume de Go-liath. Il reste David pour les habitués des premières places mais il devient Goliath pour les autres.

Freemag : Premier du Top 10. Hasard ou Néces-sité ?Ni l’un, ni l’autre. Un hasard, certainement pas car c’est le fruit d’un travail, d’un investissement des di-

rigeants, du staff et surtout des joueuses. Nécessité d’être premier non, mais nécessité de bien figurer, oui. C’est un gros encouragement. Etre premier mais perdre en demi-finales contre le 4ème, la saison est morte. C’est une nécessité de pérenniser l’équipe dans le Top 10, çà c’est fait, pérenniser sa participa-tion aux demi-finales, c’est ce que l’on est en train de faire.

Freemag : Le public du RC Lons, fidèle ou curieux? Un public fidèle, un des meilleurs du Top 10 (900 personnes contre Perpignan mais 500 en moyenne). C’est un public de connaisseur mais la différence entre les 500 et 900, c’est effectivement un public qui vient une première fois par curiosité puis qui revient par fidélité.

Freemag : La discrétion médiatique : pénalité ou chance ?Une pénalité, face aux poteaux ! Cela montre que ce n’est pas le mérite qui est récompensé. Les filles mé-ritent énormément. Nous sommes un club de ban-lieue et dans le Top 10, ce qui en fait une perle rare. Il semblerait qu’il n’y ait pas d’amateur de perles rares dans les médias. Petit à petit, les médias s‘intéres-sent plus à nous. La tenue d’un match international à Pau (8500 spectateurs) avec 47 filles de Lons en Equipe de France, cela a marqué les esprits et c’est tant mieux même si cela reste fragile. Certains font

Quand on évoque le sport de haut-niveau à Pau, l’inconscient collectif béarnais pense à la famille Estanguet, à l’Elan Béarnais, à la Section Paloise voire au Billère HC. Et pourtant, l’agglomération paloise peut s’enorgueillir de posséder un club au plus haut niveau national, à sa-voir le RC Lons, qui caracole en tête du Top 10 en Rugby féminin. Derrière cette équipe, il y a un homme, Paul DOLIE, ancien joueur de la Section Paloise, qui entraîne cette équipe depuis plusieurs saisons. Un homme entier, aux multiples activités, indéfectiblement tourné vers l’humain. Un cœur gros comme çà, avec une sensibilité parfois éton-namment… féminine. Ce qui explique sans doute cela !

PORTRAIT VOUS BIEN

- Michel Rebelle -13

des mauvaises saisons mais on ne les laisse pas tomber. Mais cette année, c’est bon.

Freemag : Le coaching, paternaliste ou directif ?Directif car je suis comme cela dans la vie. Je n’en-dosse pas de costume, je me suis fait mon costume moi-même depuis tout petit donc, si je fais des er-reurs, c’est pour moi. Pourquoi devrait-on avoir un phrasé différent en fonction des contextes. Mais aus-si paternaliste, car l’humain t’aide à te construire plu-tôt qu’un contexte. Si le groupe vit bien, est heureux d’être ensemble, la performance d’un groupe sera toujours supérieure à la performance individuelle. On peut rencontrer des gens qui influent sur le cours de votre vie, je me suis bâti comme çà et je suis donc plus pour l’humain que pour les moyens.

Freemag : En mêlée, c’est crampons ou talons aiguille ? Ce n’est surtout pas talon aiguille car sur les têtes, cela ferait mal. Et pour avoir des bons appuis, il vaut mieux des crampons ! Mentalement, les filles peu-vent être très hargneuses. La mêlée est une arme pour nous, c’est un rendez-vous fort dans le match. On a crée un monstre à 16 pattes !Freemag : Votre compagne est enceinte ; son ventre est-il rond ou ovale ?Paul Dolié: Ovale !

Freemag : L’habitat social à Pau, mythe ou réalité ? C’est une réalité. Pau a de nombreux quartiers so-ciaux et habitats sociaux.

Freemag : Aux HLM de Pau, vous êtes en pre-mière ligne ou en ailier de débordementJe suis en première ligne. Je suis responsable du secteur Patrimoine et Proximité qui est en charge de l’entretien et de la réhabilitation des HLM. Je dirige 51 personnes et c’est une vraie expérience de ter-rain. Le seul débordement que j’ai pu faire, c’est à l’apéro quand j’étais plus jeune !.

Freemag : Le théâtre, passion ou raison ?Passion. Ou plutôt une curiosité qui est devenu une passion raisonnable. Il y a 5 ans, je suis un jour venu assister à 2 ateliers de 2h à l’Art Scène Théâtre. Juste pour regarder. La curiosité est finie, la passion est restée.

Freemag : Le théâtre pour vous, c’est une trans-formation ou une composition ?Si c’était une transformation, j’en serais heureux. Mais je suis trop souvent en composition car j’ai du mal à m’écarter de ma construction individuelle. J’ai toujours été un harangueur de foule. Alors, j’ai du mal à m’en extraire. De par mon vécu, je crois en moi, mais il ne faut pas que cette croyance devienne de l’aplomb. Un groupe pour moi, je dois le diriger. Il me faut apprendre à me mettre au service de celui-

ci. Je n’ai pas de problème à accepter de me faire diriger. Mais j’ai besoin alors d’être vraiment dirigé. Je suis un compétiteur, donc il me faut donner le meilleur de moi-même. La seule question que je me pose est de savoir si ce n’est pas trop tard.

Freemag : Votre rêve, c’est le Zénith ou le Stade de France ?Le Stade de France ! Et puis, le Zénith, je l’ai déjà fait (avec l’Art Scène pour « Johnny Clavier » , le 31 Décembre 2011).

Freemag : La République ou L’Eclair ?La République.

Freemag : Foot ou Rugby ?Surtout pas foot ! J’aime le foot en lui-même mais je n’aime pas ce qui tourne autour.

Freemag : Toulouse ou Stade Français ?Toulouse!

Freemag : Lièvremont ou Laporte ?Lièvremont car sa part d’humain est réelle même si cela l’a desservi à la fin. Laporte, sa partie business prend trop le dessus…

Freemag : Stones ou Beatles ?Beatles, ce fut une grande découverte.

Freemag : Lennon ou Mc Cartney ?Lennon, bien sur.

Freemag : Dans la famille Williams ? JPR ou Ten-nessee ?JPR, avec qui j’ai passé une soirée mémorable à Pa-ris lors d’une rencontre fortuite dans un bar après un match des anciens internationaux gallois.

Freemag : Travailler plus ou Gagner plus ?Gagner plus. Aujourd’hui, on travaille plus mais pas forcément pour gagner plus.

Freemag : Travailler plus ou Travailler tous ?Travailler tous quand même. Cela donnerait une meilleure mentalité à la société et éviterait de faire des généralisations du style « ceux qui n’ont pas de boulot sont des branleurs »,…. On éviterait les cari-catures.

Freemag : Votre tiercé : Liberté ou Egalité ou Fra-ternité ?Ce sont les valeurs de la République auxquelles il faudrait rajouter la Solidarité. Ma vie s’est construite sur ces 3 mots, avec la laïcité pour définition. Ces trois vertus sont indissociables. Quelque soit celle que l’on mettrait en premier, il faudrait mettre en avant des moyens exceptionnels pour la défendre.

FORMATION

FORUM de L’ALTERNANCEVous cherchez des informations sur des métiers ?

Pourquoi ne pas vous informer aussi sur l’alternance !

C’est quoi un contrat d’apprentissage ? Un contrat de pro-fessionnalisation ? Quels métiers peut-on exercer dans l’industrie, dans le bâtiment et travaux publics, … ?

Vous souhaitez rencontrer des employeurs, des forma-teurs, des jeunes apprentis !

Vous trouverez des réponses au Forum de l’AlternanceLe forum de l’Alternance, organisé par les quatre Missions Locales, s’adresse à tous les jeunes scolaires mais aussi aux jeunes adultes à la recherche d’une formation profes-sionnelle et d’une orientation.La formation par l’alternance permet de préparer des di-plômes de tous niveaux du CAP aux diplômes de l’ensei-gnement supérieur, du BTS au titre d’ingénieur, et ce dans tous les secteurs d’activités.Le forum de l’Alternance réunit sur un même site, le temps d’une journée, tous les Centres de Formations d’Apprentis du département pour présenter leurs formations et des En-treprises qui proposent des contrats en alternance.Le secteur de la métallurgie cherche des salariés ; un coup de projecteur sera mis sur ce secteur pour vous présenter ce qui pourrait être votre emploi de demain.

Véritable lieu d’informationIncontournable avant de faire vos choix

RENDEZ-VOUS AU PARC DES EXPOSITIONS DE PAUEntrée gratuite, si vous avez un CV pensez à l’amener

C’est une voie de formation qui permet de rentrer rapidement dans le monde du travail tout en obte-nant une qualification. L’alternance est un « contrat triangulaire » dont les trois acteurs sont : un centre de formation qui vous apportera les connaissances théoriques, une entreprise qui sera votre employeur et vous formera à la pratique, et vous-même.

La formation en alternance s’adresse aux 16/25 ans et aux jeunes demandeurs d’emplois qui souhaitent apprendre un métier.Pour y prétendre, il suffit d’avoir les aptitudes et les connaissances requises pour l’apprentissage du mé-tier choisi car aucun diplôme particulier n’est demandé.Avant d’entamer votre formation, vous devez recher-cher votre futur centre de formation et votre futur em-ployeur. Après accords mutuels, vous signerez en-semble un « contrat » - il en existe différents types mais les plus usuels sont le « contrat d’apprentis-sage » et le « contrat de professionnalisation » (voir l’encadré) - dans lequel apparaîtra la durée (entre

6 mois et 3 ans), le nombre d’heures, le salaire etc. Vous bénéficierez, durant votre formation, d’un temps consacré à la pratique et d’un temps consacré à la théorie, et vous serez suivi par un « tuteur » ou un « maître de stage » au sein de l’entreprise qui est chargé de contribuer à la bonne acquisition des com-pétences correspondant à votre qualification et au titre ou diplôme que vous préparez.

QU'EST-CE QUE L'ALTERNANCE ?

Le contrat d’apprentissage : pour les jeunes de 16 à 25 ans souhaitant acquérir un diplôme de l’en-seignement professionnel ou technologique ou d’un titre répertorié.

Le contrat de professionnalisation : pour les jeunes de 16 à 25 ans révolus, demandeurs d’em-ploi de 26 ans et +, bénéficiaires du RSA, ASS ou AAH ou aux personnes ayant bénéficié d’un CUI souhaitant acquérir une qualification et favoriser leur insertion ou réinsertion professionnelle.

INTERVIEW avec une responsableDU CENTRE D'ETUDES ET DES LANGUES

DE BAYONNEQu'est-ce qu'un Centre d'Etudes et des Langues ?Un CEL est un organisme de formation aux langues étrangères adaptées aux besoins et aux objectifs de l’entreprise. Nous travaillons avec de nombreuses sociétés américaines qui viennent s’implanter en France pour lesquelles il est nécessaire que le per-sonnel parle couramment l’anglais-américain. Le CEL s’appuie sur les compétences d’une équipe dynamique et performante, composée de forma-teurs, de langues maternelles, qui sont des spécia-listes de la formation pour adultes.

Comment se déroule une formation ?Des programmes adaptés aux résultats des tests de niveaux en ligne sont proposés par les Centres d’Etudes des Langues. Les différentes formules se complètent : nous proposons des sessions de 20h renouvelables mais sommes souvent amenés à tra-vailler avec des contrats de 40h qui permettent la pratique de la langue au sens général et des heures beaucoup plus spécifiques au poste occupé. Nous établissons des plans de formation sur mesure et élaborés, notamment pour les Ressources Hu-maines (acquisition du vocabulaire RH, simulation d’entretien de recrutement) et les assistantes, pour la prise de note en anglais lors de réunion. « Si l’on devait définir les avantages de ce réseau, j’insiste-rai sur la proximité géographie, le suivi régulier avec un interlocuteur unique, les tests en ligne et la sou-plesse des professeurs lors d’annulation de dernière minute. Mais surtout une compréhension parfaite de nos besoins ! »

Avec quels types d'entreprise travaillez-vous ?Nous sommes partenaires de grandes structures comme Quicksilver, Turboméca, Dassault mais aussi les Hôtels, les campings. Nous sommes très polyvalents et travaillons essentiellement avec des entreprises ce qui nous demande un grand sérieux dans nos apprentissages et perfectionnements de langues étrangères.

Demandez-vous des caractéristiques particu-lières ?Non pas spécialement. La chose la plus importante pour nous est de connaître en amont votre niveau de langue pour parvenir à mettre en place un plan de formation adapté.

Comment faut-il faire pour réaliser une forma-tion au CEL ?Généralement se sont directement les entreprises qui proposent ce type de formation à leurs employés dans le cadre de leur DIF ou d’un congés annuel de formation. Mais attention, les démarches adminis-tratives sont longues notamment pour avoir l’accord des financeurs.

Quels sont les objetifs du CEL de Bayonne pour 2012 ?Pérenniser notre position sur le terrain et continuer à nous développer. Il faut que nous arrivions à élargir notre offre de langues afin de pouvoir répondre à tout le monde.La langue n’est pas toujours une priorité pour les personnes il faut donc aller sur le terrain pour cher-cher le client.

Pour plus d'infos rendez-vous sur :www.bayonne.cci.fr

Gokarnna - Etat du KarnatakaB R E V E S AU PAYS DE L'INCROYABLE...

Où en étais-je? Ah oui, Massimo… Pour faire court, Massimo me vou-lait, je n’ai pas voulu, Bel Italiano de Prato, près de Florence, par ailleurs, très gentil, mais trop rigide, se voyant déjà comme en couple rétréci avec moi – mis les points sur les i, surtout ceux de riquiqui- et voix de stentor, insupportable, qu’il finit par adoucir grâce à ma capacité à manier la ca-rotte et le bâton ! Et ce, par grâce, car nous fûmes voisins pendant presque un mois.Donc, je suis montée dans le train pourvu de fenêtres à barreaux de mé-tal fins, avec un autre voyageur. Par-tageons le même wagon couchettes. En fait six, et six places assises. La couchette du milieu sert de dossier à celle du bas et toutes se font face, attachées par des chaînes, trois par trois. De toute façon, selon les moments et le vieil adage qui fait loi en Inde plus qu’ailleurs «Qui va à la chasse, perd sa place», les places assises ne cessent d’être dif-féremment occupées car le wagon s’est rempli de voya-geurs locaux. Coloré ce voyage, mouvementé et pas moyen de dormir, fatigue, décalage et précédente cha-leur épuisante de Bombay, couchettes rata-dures, bruit et lumière, conversations et partage de boustifaille. Intimité et silence exclus et, surtout pas encore “indianisée”. Le train, parti à 15h20, est prévu a 3h20/30 du matin en gare de Gokarnna. Arrivés là, tous les garçons, -rien que des “foreigners (étrangers) mâles- et moi attendons que 6 heures du mat se montrent en même temps que le so-leil levant pour rejoindre en marchant, sac à dos, épuisés, la petite route distante d’un peu plus d’un km, et prendre le premier bus brinqueballant puis, au bout, tout poser…

Enfin, Gokarnna, le Paradis promis. Marcher encore, chargés, dans la chaleur déjà étouffante du matin. Il a plu lourdement quelques jours auparavant et l’humidité s’évapore dans le soleil, petit à petit, avec chaque zénith brulant.Nous trouvons, Massimo et votre récitante, deux chambres huttes contigües, à l’arrière de la plage, sous la fraicheur relative des feuillages et des arbres, dans une ferme familiale et guest house, nommée Shiva Garden. Une terrasse commune faite d’un mélange de boue et de bouse de vache lissé à la main et séché, typique de toutes les habitations et longues et larges banquettes-lits intérieures du coin ; l’auvent, recouvert de palmes, tout comme le toit qu’il prolonge -armature en bambou qui repose sur les troncs fins de jeunes arbres coupés à cet effet - nous offre de quoi nous asseoir en écoutant la rumeur de la mer d’Arabie et les croassements sem-piternels des corbeaux. Cependant, ceux-ci cèdent la place, dans l’aube naîssante, à d’autres chants et trilles

plus doux et mélodieux. La nuit est terre des chiens qui dorment sur la plage et hurlent tous à qui mieux mieux dès que le signal en est donné par l’un d’eux. Le matin et la nuit voient aussi, se mêlant au concert du cru, la re-doutable concurrence des coqs aux splendides plumages et co-coricos tonitruants.

L’océan est chaud, un peu trop pour moi, fille de l’Atlantique, et mon stylo ne veut plus écrire. En face, il y a Steve, un Anglais passionné d’une théorie du zéro un tantinet absconse, très cultivé et gros fumeur de “bang” (herbe ou charass –shit local- fumé dans un tube de bambou). Juste à l’avant de nos de-

meures, un couple de jeunes Estoniens grands et très beaux, lui, tresses rasta vertes et rouges, elle, blond vé-nitien et la grâce même. Puis arrivent deux Italiens, Mor-gan et Fabio. Je me joins à eux pour des “expéditions” jusqu’aux autres plages, par un sentier de montagne en-touré de jungle. Criques superbes et allongées, plus ou moins grandes, et déjeuner excellent.Sur la plage de Gokarna, il y a des taureaux, buffles gé-néralement paisibles, et des chiens. Beaucoup de chiens. De temps en temps, deux des grosses bestioles noires s’affrontent, toutes cornes baissées, mieux vaut faire un détour et ne pas s’en mêler! Quant aux canidés, la nuit les rend plus hardis mais si on ne braque pas sur eux le faisceau d’une lampe de poche, ils aboient un peu, puis te laissent passer.Des geckos dans la chambre, c’est mignon, un gecko, petit lézard tout blanc, avec des yeux tout ronds et des

Jaipur

Gorkana

Delhi

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AU PAYS DE L'INCROYABLE...pattes munies de ventouses qui leur permettent d’arpen-ter murs et plafond. De plus, ils se font un plaisir de gober, d‘un seul coup de langue, moustiques et autres insectes: c’en est autant qui ne te piqueront pas….

A cause des rats qui se font très discrets, il faut suspendre la nourriture. Et au répertoire de la faune locale, les coqs, auxquels j’ai déjà fait allusion, qui, comme chacun le sait, chantent n’importe quand et pas seulement au lever du jour. De plus, une petite grenouille, hier soir, s’était refu-giée dans la douche commune. Et un serpent, un soir, avait pris ses quartiers sur le toit de la même. Menu fretin quotidien de l’Inde…. Et toujours, les corbeaux….La chaleur se fait, de jour en jour, plus forte. Malgré cela, nous nous rendons une après midi, Fabio, Morgan –Vis-conti, svp- et moi jusqu’à une rivière distante de 8 kms, par la piste ; fondrières et trous, bosses, cailloux et même ralentisseurs…. en terre battue. Villages bordés de fleurs, maisons mélange de boue et de bouse de vache ou en dur. Toits de palmes. Les enfants, filles et garçons confon-dus, chantent en uniforme dans les préaux des écoles rouges, vertes et blanches. Nous adressons des namas-tés à tous ceux qui passent. Et les Indiens, très polis et avenants, nous répondent avec leurs grands sourires, blancs s’ils n’abusent pas du pan –bétel- qui les rend ma-ronnasses jusqu’à la chute finale. Car autant leur den-ture peut être étincelante, autant l’on trouve de bouches édentées ou avec de pauvres chicots teintes. Tout au long du chemin, palmiers, manguiers, tamariniers, mico-couliers, papayers, hibiscus et cocotiers se succèdent et s’embrassent.Justement, Mister Ganapu, propriétaire de la ferme où nous logeons, est monté, ce matin, en haut des cocotiers, pour les élaguer, l’un après l’autre et en faire tomber les noix. Ce qui est préférable si l’on ne veut pas qu’elles tombent sur nos têtes ! Il grimpe –et l’expression consa-crée n’est pas usurpée- comme un singe. Il est vrai que sa manière d’entourer le tronc de ses pieds aux orteils re-courbés en se hissant à la force des bras, est impression-nante. D’autant qu’un cocotier, c’est haut, trente mètres souvent.Pour aller prendre le petit déjeuner, idli, boules de riz aplaties et sauce sambar ou chutney, épicées, beignets

de bananes et grand thé noir, je vais en zigzaguant au-tour des champs cultivés, derrière nos huttes, et rejoint la cour d’une autre famille, puis la petite piste qui mène à la dhaba –restau à la mode indienne. Toutes les cours sont fermées, ceintes de végétation et les seuls passages très étroits, assez larges cependant pour laisser entrer les gens mais pas les buffles, sont faits de deux branches en forme de V plantées dans le sol. Dans la dhaba, deux charmantes et efficaces jeunes femmes, Gurki et Man-gala, s’occupent de leurs clients. Et c’est un grand plaisir d’échanger avec elles des sourires et quelques mots, un peu d’anglais et mon indhi plus que déficient. Mais une relation très douce s’établit et c’est ça l’important.La plage de Gokarna est une véritable scène de théâtre, surtout aux heures moins brulantes. De jeunes femmes russes exhibent leurs enfants blonds et nus tandis que les Indiens jouent au cricket. Des lanceurs de massues et de torches s’entrainent. Un mec, de retour du Cambodge certainement, se trimballe, coiffé d’une sorte de chapeau chinois à plusieurs faces plates et argentées. Il semble que ce soit du métal, y a pas idée! Une “folle” en t-shirt minirobe, boucles d’oreilles et petite ceinture ornée de strass se pavane en roulant ses hanches de mec longi-ligne. Un homme pratique une figure de yoga inversée. Un Anglais qui dort sur le sable, appuyé sur un coude, à l’abri de son parapluie noir, regarde l’océan. Des « freaks » de toutes sortes fument de gros pétards sous le soleil accablant. Comme disent les locaux qui fu-ment aussi, « Full power twenty four hour but no shower », plaisanterie du cru et intraduisible, sorry. Indifférents à toute cette humaine gabegie, les dauphins sautent et vire-voltent devant des soleils couchants tous sublimes. Hier soir, de petits nuages moutonnants, roses interrompus de

INDE

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bleu-violet, se reflétaient sur une mer presque d’huile. Le coucher de soleil fait partie d’un rituel à ne pas manquer. Tous les soirs, il amène sur la plage, les tables des petits restaus et les abords du temple de Rama, des amateurs

de beauté et des contemplatifs méditant, indiens et étran-gers. De temps en temps un air de flute indienne soutient de ses accents acidulés ce naturel prodige sans cesse renouvelé. A moins que des tablas ne prennent la relève.Face au village des pêcheurs, la plage devant les bateaux, est émaillée de crottes. Détail de la vie de tous les jours, les toilettes sèches, connais pas, mais chier devant l’Océan Indien, en contemplation sans doute, parait opportun.Pour tirer les bateaux hors de l’eau, ces hommes de la mer utilisent un système de gros madriers qu’eux et leurs femmes remettent au fur et à mesure devant ou à l’ar-rière du bateau. Les habitants du village ont aussi installé en plusieurs points, des treuils qu’ils actionnent en tour-nant, comme une noria, pour amener les embarcations à sec. Puis le même système est utilisé à rebours pour les mettre à flot. Les filets de toutes les couleurs se déploient alors sur la plage comme des arcs en ciel mis à sécher.Le village de Gokarnna lui-même est un lieu saint, comme une foultitude de villages et villes indiennes, Les pèlerins y viennent de l’Inde entière. Les temples sont nombreux et les « marchands du temple », encore plus. J’ai vu évoluer cet endroit où quelques boutiques de vêtements et autres, commerçants d’images saintes et de statues –notamment le fameux « natarajha » en bronze dont les jambes s’enroulent avec harmonie dans une danse improbable- échoppes et chai shops, propo-saient leurs marchandises à quelques voyageurs initiés. Et maintenant, boutiques multiples, fringues dingues, et dhabas devenues restaurants avec des menus écrits en deux langues, hindi et anglais.Le grand marché du jeudi s’ajoute au marché au pois-son habituel. Il offre tout ce que le coin possède de lé-gumes, tomates, aubergines, navets, pommes de terre, lady fingers, choux rouges et blancs et choux fleur, bet-

teraves, carottes, peu de salades, quelques avocats ja-mais murs, de fruits dont papayes, pastèques et cheekos – également appelés sapotas- sont les premiers fleurons, oranges, mandarines, raisins blanc et rouge, grenades, petites bananes vertes succulentes parmi une variété in-croyable, noix de coco et même pommes rata chères. Et, comme de juste, toutes les épices, du curcuma au gingembre frais, de la coriandre, oignon et ail etc. Pois chiches grillés et assaisonnés, fritures vermicelles minus-cules et massala-pimentées, jaunes et oranges, noix de cajou, dattes…Dans une grande caisse, des poussins peints de toutes les couleurs, orange, rouge, vert, rose et bleu, du plus bel effet. En contradiction avec mon regard ravi et étonné, la pensée de l’éventuelle toxicité de la peinture me vient à l’esprit, mais qu’est-ce que c’est joli !L’expression artistique n’existe pas seulement au mar-ché. Dans la nouvelle bibliothèque, tout là-haut, au-des-sus du temple de Rama où nous allons chercher une eau pure et délicieuse, avait lieu un concert et un spectacle de barathanatyam, danse classique réputée. Harmonium indien, flute, sitar et tablas –percussions aux sons mul-tiples dont certains très profonds. Très belle musique et chants interprétés par différents groupes d’excellents mu-siciens. Danses qui racontent l’épopée de Shiva et Par-vati ainsi que de leurs acolytes et ennemis. Superbes ma-quillages, roulements des yeux effilés agrandis de khajal (khôl) et costumes rutilants et si féminins des bayadères. Le devant des ceintures très larges et arrondies sur les hanches se déploie en éventails noirs et dorés, rouge et argent, violet et or, sur les pantalons à peine bouffants de couleurs contrastées et assorties.Les événements de ce type sont rares et la vie à Gokarna passe tranquille avec ses rites minuscules. Ce matin, en allant donner des cours d’anglais dans une école près de l’endroit du petit déjeuner, j’ai croisé deux personnages ; une femme battait le rappel sur un tambour et le garçon qui l’accompagnait portant une sorte de petit autel dédié a je ne sais quel dieu- le Panthéon indien est un laby-rinthe où je ne cesse d’errer avec ravissement, plus j’en apprends et moins j’en sais- allaient de ferme en ferme demandant l’aumône en échange de leurs bénédictions. Je le suppose, car mon pauvre indhi ou kanada –langue du Karnataka- ne suffit pas et beaucoup de gens dans cette zone rurale ne parlent pas un mot d’anglais. Mis à part mes petits élèves, évidemment…. !

- Martinindia -

LA JARDINIERE ET

D'AUJOURD'HUI

Treize ans après un concert mythique à guichet fermé, HUBERT FELIX THIEFAINE retrouvera la scène du Palais Omnisport de Paris Bercy le 22 octobre 2011 et continuera sa tournée nationale durant toue l’année 2012.Une occasion exceptionnelle de parcourir en live trente ans d’une carrière inclassable mais aussi et surtout de découvrir les titres du nouvel opus du chanteur-poète.Nouvelle tournée : HOMO PLEBIS ULTIMAE TOUR dans toute la France.

Locations :Box Office - 05 34 31 10 00 - www.box.fr

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Recouper ls indices manquants dans le sens d’un ananas. Cette recette ne peut être réussie qu’avec un florilège de musique bas-rock. L’ananas aura sussuré deux nuits dans du rhum blanc, disons du rhum normal, avec trois doses de broncho-trachéite. Il aura alors la voix cassée et la voie sera libre pour tenter une invasion de mandarines fraiches sans leur mandarin. Prévoir une coiffe traditionnelle su style «ra-pemouse» du Quercy, ceci afin d’attirer quelques gousses de vanille ayant survécu à la saison d’été de Capbreton. fracas-ser une bonne livre de glaçons fondus pour rendre les odeurs supportables. Piquer du nez sans gêne et dés que le hareng sort, servir avec étonnement. Un jus de raisin grec sera le bienvenu, versé dans un trop plein d’anecdotes futiles.

Ah ! Enfin seule !...

A fond les wattsA fond les watts

OOTI« La boîte à Ooti »

LA BONNE AVENTURE« Le Dernier Bal »

PONEY EXPRESS« Palladium »

MANU LARROUY« Ides mots doux, des mots durs »

DICTAPHONE

- Pauline D. -

CHRONIQUES

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Chanteuse à la voix douce, Ooti nous en-traîne dans son monde féerique où les ténèbres flirtent avec la lumière, un univers qui rappelle celui de Tim Burton.

Chaque chanson raconte une histoire, elle nous fait découvrir les rivières hantées par les petites filles et attention le prince n’est pas charmant, Ooti préfère le mystérieux che-valier noir prisonnier du miroir !

Cet album est le fruit d’une collaboration entre la chanteuse Ooti, John Trap le compositeur et Arnaud Le Gouëffec parolier (auteur de ro-mans, chansons et BD).

Oserez-vous ouvrir la boîte à ooti ?

« Le Dernier Bal », nouvel album du groupe Billérois La Bonne Aven-ture vient de sortir. Nina & Keenoo sont de retour pour notre plus grand plaisir ! 3 ans après leur premier

disque, voilà 6 nouveaux morceaux aux sonorités mé-diterranéennes axés Rock, avec tout le savoir-faire du guitariste Keenoo. « Le dernier bal » est une production enregistrée, mixée et masterisée au studio Célestine Records, chez Pau Concerts Production. Si vous aimez Dominique A mais aussi Les Négresses Vertes, vous ai-merez La Bonne Aventure… actuellement en vente chez Cultura, à La FNAC, au Parvis3 du Leclerc et sur le net : association-leplanb.com.

Si vous aimez les artistes LA FEMME ou LESCOP, vous allez aimer la mu-sique entraînante de Poney Express et de sa pop noire. Lumière sur l’album « Palladium » sorti en 2010 sur le la-

bel Atmosphériques. Ce 2ème album a bien été composé à 4 : Anna Berthe et Robin Feix à l’origine du groupe re-joins par Michael Garçon et Gérard Gacoin. Cet album révèle un groupe désormais complet à l’humeur électrique et libérée envoyant sur orbite les claviers désuets ou fu-turistes…

Nouveau look, nouvel al-bum pour Manu Larrouy : « des mots doux, des mots durs ». Ce toulou-sain s’est fait connaître avec ses tubes « Mec à la Cool » et « Carla » en 2009. Terminé

donc, pour ce nouvel album, «le mec à la cool» pour ressortir au fond de lui des textes axés sur des rencontres amoureuses, ins-pirés par sa femme Céline. Un album frais et calme musicalement où il a opté pour un tout univers electro-pop/French touch. Titres à écouter : « Ecris-moi », « Parachute », « le Break » et « les Nuits Parisiennes ».

- Matieu Di Papet -

- Matieu Di Papet -

Voici le 3ème album de ce groupe parisien et son chanteur anglais Ducan Roberts, ambiance POP as-suré avec tout de même des sono-rités variées comme «IAM5AM» qui

nous embarque dans les temps modernes de Chaplin.On passe de la POP, à la Soul ou Folk bref un Album plutôt entraînant !Cet album a été mixé à Los Angeles par Ken Scott qui n’est autre que le producteur de Zyggy, Stardust et Bowie, il a aussi collaboré avec d‘autres artistes tels qu’Elton John, Pink Floyd...

- Matieu Di Papet -

- Pauline D. -

Les fondus de la glisse 2

 Julie et les sortilèges

Je fabrique mes produits ménagers

Les Mots se lisentLes Mots se lisentA fond les wattsA fond les watts

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J'y vois un signal fort

De Laëtitia RoyantAditions Terre Vivante

Vous l’aurez compris, je suis fan des produits mé-nagers 100% naturels. Il n’y a, en effet, que des avantages à cela. Econo-

mique, premièrement, car plus besoin d’acheter différents produits ménagers pour nettoyer chaque partie de sa maison. Avec seulement du vinaigre, du savon noir, vous pourrez détartrer, nettoyer, faire briller votre vaisselle, vos sols, vos vitres... Deuxièmement, pour son côté bon pour l’envi-ronnement car les produits naturels cités dans ce livre ne sont ni nocifs pour vous ni pour la planète. Ce bouquin est, de plus, très bien présenté que ce soit au niveau de sa mise an page avec ses illustrations, que des textes explicatifs sur l’utilité de tel produit pour tel usage. Le petit plus : un ta-bleau représentant le coût de revient du produit « fait maison » comparé aux produits ménagers en grandes surfaces.

- Pauline T. -

De et par Isabelle Lecerf-Dutilloy, label Anacrouse

La pianiste et auteur I. Le-cerf-Dutilloy édite et publie des livres CD de décou-vertes musicales pour les jeunes enfants en s’inspi-rant de grands composi-

teurs classiques. Avec « Julie et les sortilèges », elle entraîne les plus de 5 ans, dans un château hanté par de multiples petites créatures échap-pées de leurs livres de contes sur la musique des « visions fugitives » de Serge Prokofiev.Les illustrations et l’histoire sont réussies, même si j’ai trouvé le tout un peu trop long. Toutefois, je mets un bémol sur la musique qui a mon goût ne correspond pas à un univers « hanté » et qui pour le coup est un peut tristounet pour des enfants.

- Pauline T. -

Bamboo édition

Après cette vague de froid « sibérique » que nous ve-nons de subir cela a au moins eu le mérite de faire tomber la neige et de satisfaire les mor-dus de glisse qui ont pu enfin profiter de cette saison hiver-nale. L’occasion pour moi de

vous présenter cette BD. Tout au long de ses 48 pages, on suit un groupe de skieurs plus ou moins débutant à qui arrive, bien entendu, toutes les pé-ripéties liées au ski, snowboard... Gamelles assu-rées, cette BD sera réchauffer votre cœur après une bonne journée ski ou encore en rassurer plus d’un sur son niveau... - Pauline T. -

- Pauline D. -

Nova édition

Voilà un livre qui ne laisse pas indifférent sur la façon dont nous sommes gérés mais qui en plus mais l’accent sur le fait que nous sommes gouvernés par des per-sonnes qui se moquent totale-ment de la petite France.Candidats à la présidentielle, té-nors et petits nouveaux, jeunes

loups, sous fifres et conseillers, vous les retrouverez tous à travers des discours qu’ils ont rêvé de dire sans jamais y arriver.Tout ce qu’ils n’ont jamais osé dire et enfin dévoi-ler au grand jour, ce qui peut nous laisser perplexe quant à la façon de gérer ou de vouloir nous gérer.

- Krine -

CINEMACINE QUA NON!C INE QUA NON! LE PAU POTES SHOW

FAIT SON SHOW

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Interview Virginie Despentes Vendredi 10 février 2012 - Pau

Le vendredi 10 février, Virginie Despentes était invitée au Cinéma Le Méliès pour présenter en avant-premiére son film «Bye Bye Blondie» lors de la soirée d’ou-verture des «Journées Gaies et Lesbiennes de Pau». Un festival organisé en par-tenariat avec l’association IDEM. Interview video à retrouver dans son intégralité sur la chaine DES PELLICULES PLEIN LA TËTE sur Daylimotion.

- Propos receuillis par Matthieu Lamarque -

Virginie, Bienvenue à Pau.Merci

Comment ça va ?Bien, je suis contente d’être là.

Ce soir nous somme là pour l’avant-premiére de ton film «Bye Bye Blondie». C’est la seconde fois que tu le présentes au public après une premiére projection au Festival Chéries-Chéris de Paris. Ce que le pu-blic connait de «Bye Bye Blondie» c’est avant tout, le livre. Un livre dont tu es l’auteure. Donc comment comment tu es passe du statut d’auteure au statut de réalisatrice ?Il y a 6 ans, deux producteurs sont venus me voir parce qu’ils avaient envie d’adapter le livre et que je réalise le film. A l’époque , j’avais envie de réaliser un film donc pourquoi pas... Après ça a été compliqué car il a fallu quatre ans pour trouver le financement.

Dans le livre c’est l’histoire d’Eric et de Gloria et dans le film ça devient celle de Frances et de Gloria. Pour-quoi ce changement ?Au fond parce que quand j’avais 35 ans, je suis tom-bée amoureuse d’une fille, puis d’une autre avec laquelle je suis toujours. Dans les faits, j’avais Bea-trice Dalle qui devait jouer Gloria mais je ne trou-vais pas d’acteur français de sa génration avec qui j’avais envie de travailler. Beatrice Dalle m’a dit que puisque j’étais en couple avec une fille, pourquoi ça ne deviendrait pas une histoire de filles. J’’ai alors demandais à Emmanuelle Beart qui a dit oui et puis le scénarion s’est écrit en quelques jours.

Est-ce que c’était une possibilité de ré-écrire l’his-toire des années plus tard ?Oui, c’est une façon de lui redonner un intéret diffé-rent. Les histoires d’amour hétéro on connait. Les histoires d’amour de lesbiennes, beaucoup moins.

Il y a beaucoup de changement entre le roman et le scénario car ce n’est pas la même structure, la même technique donc on retrouve des personnages supplémentaires pour le film par exemple.

Puis dans le film, il y a une bande-son qui a une place importante dans l’histoire.C’est une partie du travail que j’ai préféré, c’est à dire réécouter les groupes rock et punk des années 80 pour trouver ceux qui allaient bien avec l’histoire. Pour ça internet est un outil extraordinairepuisque dès que tu penses à une chanson, tu peux la retrou-ver. Je pense que les gens qui ont écouter cette mu-sique dans les années 80, c’est vraiment une porte d’entrèe pour voir le film.

As tu reçu des impressions d’adolescents par rap-port à ce que renvoie le film sur la violence des peines de coeur que l’on peut ressentir à cet âge-là ? Ce n’est pas tellement la peine de coeur qui les marque mais l’idée de danser dans la nature, se faire hospitaliser par ses parents... C’est ça qui les amuse dans le film. Les gens qui sont le plus tou-chés par rapport à l’histoire de la peine de coeur, c’est les adultes car c’est à cet âge-là que tu sais que c’est important. Quand tu es jeune tu t’imagines que ce n’est pas grave.

On va jouer à un jeu, quelle est la question dont tu ne voudrais pas du tout que l’on te pose pendant cette période de promotion ?Ah... Oui j’en ai mais on verra... On verra. Je la garde pour moi, ça serait tendre une perche aux autres journalistes.

Va falloir y aller car le film va être lancer. En tous les cas, merci beaucoup Virginie et bonne route à toi.Merci

CINE QUA NON!C INE QUA NON! LE PAU POTES SHOW FAIT SON SHOW

LE PAU POTES SHOW FAIT SON SHOW

LE PAU-POTES SHOW (fan page facebook) et http://paupotesshow.clanteam.com.

Dans l’émission radio retrouvez musique, cinéma & infos culturelles entre rubriques, chroniques et également interviews d’artistes locaux et nationaux (se sont succédés : Luce, Axelle Red, Juveniles, Inna Modja, Orelsan, Fabrice Eboué, Anthony Kavanagh ces dernières semaines). Après l’émission à 21h05 il y a une libre antenne 100% auditeurs et pour y participer

c’est au 05.59.8000.09 (entre sujet de la semaine, jeux, délires, places de concerts à gagner, etc…)

PONY RUN RUNINDIGNADOS 7 mars 2012

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- Matthieu Lamarque -

Ils sont de retour ! Les nantais Pony Pony Run Run nous propose un second album de 12 titres écris par Gaëtan (le chanteur) et composé par le trio. Une virée en solitaire avec Gaëtan aux manettes ! Avec dans ses poches une belle fournée de morceaux composés au gré de leurs périples (Berlin, Tokyo, Angers, Ile de Ré, etc…). « Quand tu écris des textes c’est quand même le témoin de quelque chose que t’as vécu donc forcément t’as une thématique […] c’est un album qui a été composé sur 6 mois donc dans les paroles il y a forcément un fil conducteur ! » Puis le groupe s’est posé dans le Pays Basque plus heureux que jamais de re-nouer avec la création après 18 mois sur les routes (dont deux passages à Pau). « L’intention était de se faire plaisir, de partir sur une base ludique sans intention particulière. L’idée était de faire des chansons, peu importe le registre, la forme, la tonalité. » En tous les cas ce nouvel opus Pony Pony Run Run sorti le 27 février dernier chez 3ème Bureau/Wagram fait plaisir. Du titre « Just a Song » à « Don’t Stop » ou « Here I Am » et « Come back to me » vous serez d’accord pour apprécier la tonalité pop et danser sur ces titres ! Petite préférence en plus pour « Sorry », « We never try to recall » ou en-core « Notorious Lady ». Deux dates dans le Sud-Ouest à Bordeaux (4 mai) et Toulouse (26 mai). En espérant qu’ils soient programmés sur Pau bientôt !

10 ans après… « Paradize +10 ». Indochine sort un album réédité en version remasterisée. 10 années après leur retour fracassant : « J’ai demandé à la lune », « Mao Boy », « Marilyn », etc… et ce 9ème album vendu à 1,5 millions d’exem-plaires avec des morceaux au ton beaucoup plus rock que dans les précédents, l’album « Paradize » avait cartonné. 10 années plus tard donc voici de nouveaux arrangements, des remixes et 3 inédits : « Glory Hole », « Comateen II » et « le Doigt sur ton étoile ». 2 Cd’s à découvrir depuis le 13 février dernier sur un double album chez Sony Music. Il y aussi « Sound of Punker » avec Cassius, « Mao Boy » remixé par le groupe français Rinôcérôse, et aussi « Un singe en hiver » remixé par Oli de Sat (guitariste du groupe). Est-ce qu’il est bon de rappeler les statistiques de ce groupe mythique aux 30 ans de carrière, aux 11 albums studio et 9 albums live ?! A noter que le groupe Indochine compte 22 livres le concernant entre les intégrales, les biographies, l’insolence du groupe rock, etc… Indochine un groupe rock français de légende… On annonce ici et là qu’un nouvel album serait en préparation pour fin de 2012/début 2013 qui succédera donc à « La République des Meteors » de 2009 et le stade de France du 26 juin 2010 ! facebook.com/Indochine-officiel.

INDOCHINE

Découvrez chaque mois dans FREE MAG les chroniques de Matieu di Papet et Matthieu Lamarque. Ce mois-ci retrouvez une chronique cinéma et deux musiques signées par les co-animateurs de l’émission radio de divertis-sement culturel : LE PAU-POTES SHOW. A retrouver sur les ondes de Radio Pau d’Ousse tous les lundis dès 19h .

- Matieu Di Papet -

Un film de Tony Gatlif, librement Inspiré de Indignez-Vous ! de Stephane Hessel

Samedi 25 février, le réalisateur était au cinéma Le Mélès pour présenter son nou-veau film.

Ce film est bati sur la colére d’un homme. Celle qui emmerge lors du discour de Grenoble fin juin 2010... Ce moment où le pouvoir a stigmatisé les Roms. La lecture d’Indignez-Vous de Stephane Heissel fut comme une expérience ras-surante car il a ressenti exactement la même sentiment « d’Insurection Paci-fique » que l’auteur. En premiére page de son dossier de presse, il écrit : «Face à l’urgence, j ai poussé un coup de gueule. Face à l’urgence, j ai pris ma caméra. J’ai fait un film. Tout de suite, tout seul, avec mes moyens.» Indignados est le témoignage de ce qui se passe aujourd’hui, et nous plonge dans la réalité dense et pal-pable d’une Europe révoltée.Au coeur de l’actualité, au sein même des gouvernements des Indignés, nous découvrons, à travers le re-gard et le voyage de Betty, une jeune clandestine africaine, des hommes et femmes qui se dressent face à un sys-teme, pour juste pouvoir Vivre. Un film avec des images brutes, fil-mant les gens en gros plan ou de dos dans un rythme effréné allant de Pays en Pays. Ce film vous donnera l’envie de vous démenez d’avantages afin que change les choses... en mieux.

MISE EN AVANT

Les Initiatives OcéanesPlus grand rassemblement

écocitoyen en Europe

Rendez-vous à tous les défenseurs de nos côtes, berges, rives et fonds marins les 22, 23, 24, et 25 mars 2012. Symbole par excellence de la protection et de la sauvegarde de notre littoral pour lutter contre les déchets aquatiques, Surfrider Foundation Europe or-ganise la 17ème édition des Initiatives Océanes.

Pour 2012, quel message veulent-ils transmettre ?Endiguer la prépondérance de plastique est aux yeux des bénévoles la priorité. C’est à la demande des an-tennes locales de Surfrider Foundation Europe, que l’association a décidé d’intégrer les Initiatives Océanes à la campagne Rise Above Plastics.Dans le cadre de leur lutte contre l’indigestion de dé-chets, les antennes agiront désormais au nom de cette campagne.Devant l’urgence de la situation, Surfrider Foundation Europe a décidé d’alerter les citoyens à la pollution des océans face à l’invasion de nos mers et océans par les déchets plastiques.

www.initiativesoceanes.org

DEUX COMBATS

POUR UNE MEME CAUSE

L'EAUDE SON ACCESSIBILITE

A

SA PRESERVATION

VACANCES ADAPTEES POUR ADULTESAU COEUR DES PYRENEES

DU 13 AU 19 AOUT ET DU 20 AU 26 AOUTAu milieu d’un cadre exceptionnel, en plein Parc National des Pyrénées, et à la frontière espagnole, le chalet de Peyranère bénéficie d’une situation géographique unique et privilégiée, pour découvrir la montagne, sa faune, sa flore, sa gastronomie, à travers de multiples activités sportives, manuelles, de découverte.Nos séjours destinés aux adultes de bonne et moyenne autonomie comprennent tous un encadre-ment adapté.

L’engagement des PEP64Les PEP64 veulent avant toute chose favoriser l’in-tégration sur le lieu de vacances et de loisirs de la personne en situation de handicap en lui don-nant les moyens d’agir, de vivre et de participer au séjour. Pour cela les PEP64 assurent aux membres de ses équipes d’encadrement une formation ou sensibilisation spécifique pour faciliter l’insertion

psychologique et matérielle de la personne en si-tuation d’handicap. L’association les PEP64 prend connaissance des besoins spécifiques afin de réunir les conditions optimales pour que le séjour soit le plus agréable possible. Durant celui-ci, elle met en place des réunions de concertation avec l’ensemble de l’équipe afin de s’assurer des bonnes conditions de vie et de rythme de chacun des vacanciers.

Parce que les vacances sont un temps fort et at-tendues, les PEP64 s’organisent pour que cha-cun trouve un séjour adapté à ses envies.

Dans les séjours adaptés des PEP64, les partici-pants trouvent l’intensité d’une ambiance vacances, avec un cocktail d’activités qui mêle aventure, pas-sion et découverte et un état d’esprit favorisant parti-cipation, responsabilité et respect de chacun.

Séjour tourisme transfrontalierDu 13 au 19 août et du 20 au 26 août

Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche

Matin Arrivée installation

Ateliersexpression et bricolage

Ateliersexpression et bricolage

Journéecomplète

avec pique-nique

Découvertede l’Espagne

JacaSan Juande la Pena

Ateliers

Journée Pique-nique au cirque de Lescun

Grasse matinée

rangement et préparation des sacs

AprèsMidi

Promenadeet

découvertedes

alentours du centre

Promenade à Canfranc (Espagne)

La Parcanimalierde Borce

Promenade Départ à 14h

Ce prix comprend le transport au départ de Bayonne et Pau, la pension complète, l’encadrement spécialisé ainsi que l’ensemble des activités programmées

640€/pers.(Transport compris)

L E S P ' T I T E S A C T U SSORTIES

Concours d'affiches des férias de Saint Vincent de Tyrosse

20 - 24 juillet 2012A vos couleurs !

La ville de Saint Vincent de Tyrosse organise un concours pour la création de l’affiche de la Féria. Une création qui ne devra pas porter uniquement sur le programme taurin, mais au contraire, symboliser l’ensemble de la Féria ty-rossaise.Ce concours est ouvert aux amateurs comme aux professionnels jusqu’au 13 avril 2012, le tampon de la poste faisant foi. Toutes les tech-niques sont acceptées et le lauréat se verra at-tribuer un prix d’une valeur de 400€.

Le bulletin d’inscription peut être obtenu sur simple demande auprès du service communi-cation de la mairie :- par téléphone au 05 58 77 46 37 - par mail à communication@tyrosseville.com- ou directement téléchargeable sur les sites www.tyrosseville.com et www.tyrosse.fr

Exposition du 16 mars au 11 avril 2012« Le piéton contemporain, parcours ar-chitectural et photographique à Paris »

Pavillon de l'Architecture à Pau

Le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environne-ment des Pyrénées-Atlantiques et le Pavillon de l’Archi-tecture ont choisi de présenter ensemble, une exposition sur l’architecture à Pau, « Le piéton contemporain, par-cours architectural et photographique à Paris » conçue et réalisée par l’association strasbourgeoise des photo-graphes « Chambre à Part ».

Les dessins de Lionel KOECHLIN et les photographies de Jean-Marc BIRY vous emmènent à la découverte d’une série d’œuvres architecturales parisiennes et connues. Au total, une trentaine de bâtiments sont exposés, et pour chacun d’entre eux, un duo dessin/photographie, mêlent les deux regards d’artistes, dans une grande complicité d’interprétation, de lecture et d’analyse de l’architecture.

Les deux artistes auteurs, présents à l’ouverture de la soi-rée du vernissage organisée le 15 mars au Pavillon de l’Architecture, donneront une conférence à deux voix. Destinée au grand public, aux professionnels, et parti-culièrement accessible aux scolaires, l’exposition pourra être visitée sur demande, auprès de Agnès PACHEBAT au CAUE 64 : 05 59 84 53 66.

L E S P ' T I T E S A C T U S

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Création d'un point de vente N'PY à l'Aéroport Pau Pyrénées

Un point de vente N’PY est installé au cœur d’un aéroport. Il permet d’acheter à la sortie de son avion, son forfait pour skier dans les Pyrénées dans l’une des 8 stations de ski du réseau N’PY : Peyragudes, Piau, Grand Tourmalet, Pic du Midi, Luz-Ardiden, Cauterets, Gourette et La Pierre Saint Martin.

En achetant son forfait au comptoir Parking de l’aéroport de Pau, le skieur gagne ainsi du temps et de l’argent, les forfaits étant vendus au tarif Internet (jusqu’à 6,5% de réduction).

L’aéroport de Pau met tout en œuvre pour faci-liter l’accès à la région et à ses principaux sites touristiques.Ce nouveau point de vente vient compléter le réseau de distributeurs de forfaits mis en place dans les stations, loueurs de matériel, magasins de sport, hébergements des villes alentours...

Nouveau catalogue des « vols vacances 2012 »

De nombreuses destinations sont proposées au départ de Pau et en vols directs.Afin de satisfaire les futurs vacanciers, les agences de voyages et tours-opérateurs concernés, en association avec l’Aéroport Pau Pyrénées, proposent ainsi des vols vers la Tur-quie, l’Ecosse, la Croatie, la Sicile, la Corse et Madère.

Bodrum en Turquie : un vol en AvrilGlasgow en Ecosse : un vol fin Mai

Dubrovnik en Croatie : un vol en JuinPalerme en Sicile : un vol en SeptembreAjaccio en Corse : un vol en SeptembreFunchal à Madère : un vol en Octobre

Les dates programmées de ces vols vacances sont référencées dans le catalogue «vols vacances 2012» à demander par e-mail à contact@pau.aeroport.fr.

Tarbes et agglomération La fête de la Corniche

Quelques nouveautés Aquabike, effet drainant très bon résultat sur la cellulite et la peau d’orange, permet d’avoir des jambes de rêves !

Zumba, des chorégraphies inspirées des danses la-tines, c’est une forme de fitness qui permet de bouger en s’amusant. Nous vous proposons de découvrir ce concept ludique et innovant

Activités jeunesLes Bruyères pensent aussi à vos enfants et leurs acti-vités sportives.Natation, initiation et perfectionnement à partir de 5 ans. Le mardi soir, mercredi, vendredi soir et samedi. Carnet de 10 séances : 112€.Eveil aquatique, de 3 à 4 ans le mercredi à 11h. Carnet de 10 séances : 82€.Bébés nageurs, de 6 à 36 mois, le samedi à 9h30 et à 10h15. Reprise des cours le 17 mars.

Step Junior, de 9 à 12 ans, le vendredi à 17h15. Tarif pour l’année : 150€.Ecole de tennis de printemps, à partir de 4 ans sur 9 séances le mercredi et samedi. Baby Gym avec Sport Pitchoun. Destiné aux enfants de 12 mois à 7 ans, le mercredi matin et le samedi matin. Renseignements au 05 59 32 28 93.

Modalités d’inscriptionsNous adaptons vos abonnements suivant votre rythme de vie, vos envies et votre emploi du temps : abonne-ments mensuels, trimestriels, semestriels, annuels, car-net de 10, 40 séances etc. Sachez que si vous venez dans notre centre sportif, vous n’aurez aucun frais de dossier et d’inscription supplémentaires.

05 59 02 50 02www.les-bruyeres.com

Les Bruyères s’ouvrent à vousle samedi 31 mars

Le centre sportif les Bruyères vous ouvre ses portes le samedi 31 mars à partir de 14h30 pour une après-midi multi-activités afin de vous faire découvrir certaines dis-ciplines. Ce panel d’activités vous permettra d’essayer le Fiteness aux Bruyères. Ces cours de découvertes sont l’occasion de venir pra-tiquer le temps d’une après-midi l’Aquabike, la Zumba, le Ragga Dance Hall, Aquazumba ou encore le LIA et de repousser toutes vos limites. Bien sûr tous ces cours se font dans une ambiance conviviale, sans compétition mais avec du rythme. Une participation de 5€ est dé-mandée pour chaque cours et l’inscription au préalable est obligatoire.Après avoir pratiqué une ou plusieurs de ces disciplines vous pourrez profiter d’une séance de massage sur

chaise ou encore des conseils de Mr Lamugue Pierre, diététicien.

Autres activités des Bruyères

FITNESS BASSIN14H30 ZUMBA

15H45 LIA

15h45 RAGGA

DANCE HALL

17H ZUMBA

15H AQUABIKE

15H45 AQUABIKE

16H30 AQUAZUMBA

Inscription au préalable est obligatoire

expositionconcert/opéra conférence/débat/projectionthéâtre/danse philo/lecture

Tarbes et agglomérationAGENDA

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15H AQUABIKE

15H45 AQUABIKE

16H30 AQUAZUMBA

Samedi 24 mars 20h30Christophe Alévêque est Super Rebelle!... enfin ce qu’il en reste

Christophe Alévêque, candidat déclaré à la présidentielle 2012 sous le nom de Super Rebelle!.Son ironie fait mouche, preuve qu’on peut rire les yeux grands ouverts. C’est drôle. Très drôle, même.

Séance supplémentaire Samedi 24 mars à 16h

www.parvis.net - 05 62 90 06 03

Lundi 5 Ibos, Le Parvis, 14h30, Pierre à PierreTarbes, Le Celtic, 20h, Ciné - comptoir : Qui veut la peau de Roger Rabbit

Mardi 6 Tarbes, MDA, 19h, Examen jazz et musiques impro-viséesTarbes, CIDFF, 20h, Différence entre relations et sen-timents : communication relationnelle Tarbes, CCI, 14 h, La dignité de la personne humaine à l’épreuve de la vieillesseIbos, Le Parvis, 20 h 30, La liberté pour quoi faire ? D’après Georges BERNANOS

Mercredi 7 Tarbes, Théâtre des Nouveautés, 10h et 15h, Théâtre d’objets : Pierre à PierreTarbes, Médiathèque Louis Aragon,18h30 : Lectures pour les adultes, Autour du poète Serges Torni, avec intermèdes chorégraphiques d’Elena PEINADOTarbes, Conserv. Henri DUPARC, 19h, Concert Com-media, Ensemble musical et orchestre symphonique

Jeudi 8 Tarbes, Omnibus, 19h, Festival VoyELLES, Vernis-sage enchantéTarbes, Le Celtic, 20h, Le Trio pas possibleTarbes, Salle des Fêtes et Hotel de ville, 10h à 12h et 14h à 20h, Journée internationale de la Femme : Femmes… l’avenir nombreux débat et pièces de théâtre « Pour le meilleur ou pour le pire » par la com-pagnie ASTATABOOBS

Vendredi 9 Tarbes, IUT, 18 h, Cycle Mozart, La flûte enchantée et Le RequiemTarbes, Bourse du Travail, 20 h 30, Les méfaits des ondes sur la santé et l’environnement, animé par le Professeur BELPOMME, cancérologue Séméac, CAC, 20 h 30, Festival VoyELLES, La voz de las madres, Spectacle ciné documentaire et musical de Julia et Enza PrestiaTarbes, Le Celtic, 20 h, Osso Bucco + The Greeds Ibos, Le Parvis, 20 h 30, Zajal : Ars Nova

Samedi 10 Tarbes, MDA, 9 h 30 – 17 h 30, Festival VoyELLES, Stage de chant animé par Enza PRESTIATarbes, MDA, 17 h 30, Café littéraire proposé par les Mots Nomades sur le thème Femme en LutteEglise de Barbazan-Debat, 20 h 30, Concert avec Rosina de Peira et Daunas de CorTarbes, Théâtre des nouveautés, 20h 30, Mort de rire par l’association en scènes Odos, Foyer rural, 20 h 30, Soirée musicaleTarbes, Le Celtic, 20 h, In Putes + Greg Rekus

A G E N D A

Du 1er mars au 13 avrilPau, L’usine des Tramways, exposition «Lescar au XVIIè siècle : le terrier de 1643

Du 3 mars au 12 avrilBillère, médiathèque d’Este, exposition de photographie d’Anne Valentin

Samedi 3Orthez, Francis Planté - 20h30 - théâtre «Le siphon» par la Cie le petit théâtre de pin

Mardi 6 Pau, Zénith, 15h/20h30 - SpartacusPau, Show case, 19h, vernissage de l’exposition de Fran-çoise HARD Mercredi 7Billère, Médiathèque d’Este, 10h15 et 11h «A portée de comptines» spectacle clown-théâtre par la Cie es Nez BulleusesLons, médiathèque, 15h30, conte de Ladji Diallo pré-sente 1,2,3, savanePau, Palais Beaumont, 21h, Focus sur Raphael GualazziPau, Centrifugeuse, 19h30, atelier d’impro suivi à 21h, du concert de Aci E Adara en présence de frédéric Jouan-long.Pau, Show case, 21h, One Man Show de Farid Amziane & Benoît Joubert «Pourquoi pas nous ?»

Jeudi 8Pau, centrigugeuse, 21h, concert de Fox Heads en parte-nariat avec le GenepiPau Show Case, 21h, BusKerFly

Vendredi 9Orthez, Francis Planté - 14h30 - «L’abeced’erre de la vo-calchimie» d’André Minvielle (Jazz Naturel) Audaux, 20h30 - «Cherry Swing» (Jazz Naturel)Pau, Zénith - 20h30 - Rock The BalletPau, Théâtre Saint-Louis - 21h - Brigitte (Emergence)Pau, Show Case, 21h, Paminondas + La Machine en par-tenariat avec P.C.PSamedi 10Jurançon, Médiathèque, 10h30, concert de la Mademoi-selle Gabrielle, chansons CoquinePau, Show Case, 21h, Tonky de la Pena

Dimanche 11Pau, Théâtre Saint-Louis - 15h30 - musique de chambre Bach/SitkovetskyOrthez, Moutète - 16h30 - concert Mnozil Brass (Jazz Na-turel)

Lundi 12Orthez, Francis Planté - 20h30 - concert de Quarteto Gar-del (Jazz Naturel)

Mardi 13Billère, Salle Delacaze, 14h30 et 19h, Les Petits Plis Pau, l’usine des Tramways, 18h, conférence Lescar au XVIIè siècle le terrier de 1643Orthez, Francis Planté - 20h30 - concert de Dmitry Bae-vsky quartet «Baevesky» (Jazz Naturel)Pau, Théâtre Saragosse, 20h30, Bullet park par le collec-tif les possédés

Mercredi 14Billère, Salle Delacaze, 10h30 et 15h, Les Petits Plis Billère, Salle Delacaze, 19h30, Le non dits et les secrets

Pau et agglomération

10 PLACES A GAGNER EN APPELANT AU 05 59 30 90 30

Pau et agglomérationLescar, Médiathèque, 15h30, «Nin Nun Nan» conte jon-glé musical par la Cie Hors sujetPau, La Centrifugeuse - 21h - Von Magnet Show Case, 21h, Soirée Café-Théâtre « Les Phalliques» par la Cie «Les Malotrus» + Au café RougeOrthez, Francis Planté - 20h30 - concert de Post Image (Jazz Naturel)

Jeudi 15Billère, Salle Delacaze, 10h et 14h30, Les Petits Plis Orthez, Francis Planté - 20h30 - concert Raul Midon (Jazz Naturel)Pau, Palais Beaumont - 20h30 - concert symphonique Lazkano, Ginastera, BeethovenPau, Show Case, Ricky Amigos, Flamenco Rock

Vendredi 16Orthez, Moutète - 20h30 - concert de Yuri Buenaventura (Jazz Naturel)

Samedi 17Orthez, Moutète - 20h30 - concert de Lucky Peterson(Jazz Naturel)Pau, Palais Beaumont - 18h - concert symphonique Laz-kano, Ginastera, BeethovenBillère, médiathèque, 17h, Manjushri en concertPau, Show Case, 21h, Guerilla Fresca, Musiques cui-vrées & métissées

Lundi 19Pau, Uppa, Conférence «Bilan de la révolution sandi-niste» Gloria Guevara

Mardi 20Pau, Zénith, 20h30 - Holiday on icePau, théâtre Saragosse, 20h30, A time to mourn y’a trop de bruit (découverte chorégrahique)Pau, UPPA, 20h30, conférence «Aspects méconnus de la vie quotidienne et de la pensée» du Che. L. A. Lavandeyra

Mercredi 21 Pau, Zénith, 14h/17h30 - Holiday on icePau, Pépinière, 15h30 conte des 4 saisons : le prin-temps par Anne SorbadèrePau, Centrifugeuse, 21h, Neptune + Otto en concertPau, Show Case, 21, One Man Show de MARTIAL «Martial remet une couche»Pau, UPPA, 20h30, Conférence « Les dictatures et les «lois d’impunité» en Amérique Latine». La situa-tion au Chili.Eduardo Contreras.

Jeudi 22Pau, Théâtre Saint-Louis, Tetsuo Big Band & Elyas KhanPau, Show Case, 21h, Fabien Duclerc

Vendredi 23Lons, Hall de l’hôtel de ville, 21h, Chloé Lacan «Plai-

sirs solitaires»Pau, Théâtre Saint-Louis - 21h - Tetsuo Big Band + Elyas Pau, Show Case, 21h, Les MalpolisPau, Zénith, 20h30 - Les étoiles du cirque de PekinPau, théâtre Saragosse, 20h30, Sunyata par Katerina Stupecka (découverte chor

Samedi 24 Billère, médiathèque d’Este, 17h, conférence dans le cadre de la manifestation «tous pareils-Tous différents»Pau, Zénith, 20h - Magic systemPau, Médiathèque Trait d’union, 16h, concert les poupées gonflées

Dimanche 25Pau, Théâtre Saint-Louis - 15h30 - musique de chambre spectacle musical «Les bons becs en voyage de notes»Pau, Palais Beaumont, 18h, concert symphonique Bacri, Chostakovitch, Tchaikovski

Lundi 26 Pau, Zénith, 20h - Carmen

Mercredi 28Pau, Show Case, 21h, concert de MARTHA HIGH & Shaolin Temple DefenderPau, théâtre Saragosse, 20h30, Conversation full of salt desir to live de Zoltan GrecsoPau, Centrifugeuse, 21h, Dark Dark Dark en concert

Jeudi 29Pau, Centrifugeuse, Journée d’étude Marcel Duchamps Pau, Show Case, 21h, Bubblies

Vendredi 30Pau, Show Case, 21h, Mario Gaudelet Quartet (Nièvre) Jazz Manouche invite Tchavolo Hassan

expositionconcert/opéra conférence/débat/projectionthéâtre/danse apéro philo