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ANNEE. - N 7.238 151ç I,IUÇÎIEME ABONINENIENT9 iz fe; teracre.23faa t CIL es pauvres _- t'échec dc la grève des employés ,,e donnera lieu encore long- k--:; de nombreux commentaires. ten,!,- a déjd indiqué ici la " ' es banquiers. Je voudrais ,a part, tirer de cet évènement rouet quelques leçons, éfc,0:14cs, ce n'est pas la première os que, dans sa bataille inlassable émancipation, le proléta- M t des défait.. H y a en le, tes hérolems des Mineurs clans grandes grèves de Carmaux et du lois ; il y a eu le combat ue des cheminots pour leur tragiq ère de ceM sous et, aujourd'hu' i eue grève douloureuse des louéen jaquette et enfaux-col' de la classe moyenne, contre l'oligarchie financière. Nos camarades sont vaincus et des révocations frappent ceux qui ont este courage de prendre la tête du mouvement. Je crains que ce ne soit I" que le commencement d'un cou flit social redoutable. Il faut y Men= tire garde. Le grand patronat entend impose jses esclaves, comme règle de con' duite d'avenir, ce mot d'ordre in - arable exprimé par le ré.négat - Produire beaucoup et con- murer moins o. Ce qui veut dire longues journées de labeur et saIM- in réduits. Le patronat allemand, res hl la pierre, erre, fait déjà ainsi pi av."e peuple vaincu ses propres fautes, Bans les usines d'outre-Rhin le tea- pu vaillent allemand doit o tac ,,s, es maîtres de verser permet i" -- td' d P)" Dawe, traVaill eeP et se serrer len te tin France, pays vieciorirfetrx usais, gaunag pluie les dettes énormes e,rre IBO a enrichi la minorité les talnicants de munition fournisseurs aux armées, et dese gaylortin onlpoto rossés, qui devra a s. La classe pos- Moite se refuse aux sa ifi wLett sssraiches entendent imposer si- pauvres. _Ce qu'il y a de carie rie eu questio n, c'est 4' I'doelsidolrat t'es pourtant favorable aux PU gi ions des grévistes, n'a rien taire pour imposer ta la banque Miment de pitié et même e tt,,touer. Le gouvernement a dû, a soin t9scapituler devant la puissance ges coffres-forts nions, être les maîtres , ont dit les représentants d, houle te finance et 1 mus n'en- pu sous soyez nos or- ,,..Et,,, monisneisiltre du travail, et président ont dû accepter ce pied C1,,trit parle a/ors maintenant on tels scandales d'un Projet Oie l.titraa, . l J'ai rom- trefois sur cette qiesti Ivre Tl,," on doit retrouver da: l' tan 'nes des Bourses du 'Peu- a ,:ail, qui , ',rotacé par Aristiede Brimid - "réPoque où M. Millerand, suant. cette Naideck-Rousseau, peu_ e mesure qu'il estimait de unroole, L'homme du Bloc na- sot te était accuséuns par usly patronat de vouloir lis r lesines à l'anarchie. lass sise souviens s, ousouviens qu'en tout cas l vrière organisée faisait d sur ose législation ahi Ire mettre o ne gouvernement si ,r d imposerd es solutions 10es et dvrescotes mal taillées h ae ouvrière en bataille pour oc ptertes, que les temps sont o,iiis la guerre qu'il faut _grévisles, Pour réussir, e au eu. l'opinion recourir et que le `!.!GI-ir.ge ou de 010 d? Fine'rne te's bonnes gré. ,ua le nsdpepoojeutrtganot sortira t et des sv000s soit nettement mis au les qualifiés s syndicales, nd , l'heure qui s'ouvre suffit d, lire tes le ii esses budget de Ma.rtCalri- , frapper les biens certains domina- ",a, Une fois de plus, les ne inene, nit crier pas payer A an scandale et veulent que les pauvres paient. La puissance de l'or aura-t-elle raison, une fois de plus, avec la com- plicité du Sénat, du ministère Pain- levé voulant faire quelque chose, romme elle eut raison du ministère Herriot ? Pour durer, le nouveau ministre des finances devra-t-il ca- pituler et modifier ses ronronnons? Nous verrons à la rentrée du Parle- ment l'issue de cette bataille. Je lis, par ces temps de vacances, le curieux livre de Léon Deutsch J'ai acheté &tic femme. Il montre, en termes saisissants, un homme auque/ vient d'échoir une grosse fortune. Sensible auparavant et capable de bons sentiments, la richesse le déli- vre de a cette faiblesse ». Il achète tous les plaisirs, les relations, les consciences. a De même - écrit Deutsch - qu'il avait soldé les notes des vic- tuailles, il payait pour que les invi- tés accourmsent à ses fêtes, obéis- sants et flatteurs seton son bon plai- sir. s Et notre héros, après avoir ainsi acheté le bien-être, les plaisirs sen- suels, le luxe, le respect des gens du monde, une certaine réputation, en arrive même it acheter le talent et même_ le bonheur. La fortune fait l'emplette de l'hu- manité Mut entière. Serions-nous arrivés à cette heure répugnante du triomphe égoïste de la richesse ? Il est impossible d'y croire. Jules UHRY, Député de l'Oise. Raaetiuu et AJ i.naain.os 36, Rue Roqueleine - TOULOUSE - Té!. 0.43 . Compte Chegg4. ben, BUREAUX A PARU S. Rata ellaabolaa,3 Ge Amal...sant) Talbalaana Cama *rad ICHVOYEZ mie LETYPEs e on MAPOC-ALGÉWE 'DAKARe`lueee.1-""E LIGNÉS AÉRIENNES LAMOÉPE Sss. 44 sou. BJCEIQE3 -- Cons n'ares Tan da tont, medemoiiene, autù roue- enies.., feriez bien... Veto dies à rdge na une jeune tue du nue, je nuis - Diable 1.., alors, divorces 1 Constaiine descend datas un Mal de l'Ouest ai demande rine cl.mbre. Oc lai en mont. ans. Elle lui 11 ter inniecim ne le deo des oispagates lorsqu'il s'aperçoit - O horreur --une pans; den. tu 'saisi.n. Il mnd chapeau, a relise el <piste 116.1. Sur le eaii, il rencontra Phétalier - Vous pada, tnonsieur > fitt'a esal > - &Latinus, voue ne nie W== ober oh,, en bétel a) les punaises se semai- binent eur la eltamére mee ;e voie ocenget. Mu Chai.. °tannise une vante de charité cou donner d une manse femme les napens Poen son aroadéntire... -Ou, / emame c'est bien.- pas M. Charton mimée de sendmeen ei phi- tagropiasevog .. Si. si.- el rai .. in meùen où teve kt cati., f einme lui notanioét. Cemin - Ainai .io ne Cégemen ma/ Eléonere. - Nem Cuen Tns. - Ponsetetot non 7 Eigene. -Me,, Dion.., van., hé'Oc é coccc J,, l'état de se Scande, mnmen à uree de sa fenitte, et ma O eaase de se« enmetb... D'ail- leurs, il n'a Pes gime. &nnànE. arteinaTriTadirerleareaueneemo Lire ',know, QUE FAUT-1L PENSER DE L'EXPED1T1ON DU MAROC 2 PAR LEON MOELLE Les Mineurs chez N. Lave! Part, 1:8 septembre. - Il. Pathé 1...al, ministre des travaux publics, a cep, ce tut., ies &Mens des syndicale des ou- sciera mineurs du Nord et du Pas-de- Calais, qui Mi étaient présentés par les citoyens Cadet et Lefèvre, députés. Les délégirds ont fait connaître au mi- nistre qu'à l'entrevue qui a eu Itou Douai, le 20 septembre dernier, l'entente n'avait pu d'établir entre eux et lenrs patrons. Ils ont rappelé que le moment était venu de régler la question du re- tour au paiement oie l'allocation tempo- raire de 40 Ve, alors qu'en raison des cir- constances, elle avait été réduite h 20 u. lis mu rappelé que c'est sur leur demande, on aven lotir adhésion. que te gouverne- ment avait éM amené à examiner et prendre un certain nombre de cesseras qui devaient améliorer ja situatieg -dg marché charbon.. Ils espèrent que les pouvoirs pukilics youdrut bien appuyer leurs revendications, mena jugent kg/ti- mes. M. Pierre Layé' a rua, cet après-midi, h IT heures, les représentants des Compa- gnies houillères. Ort espère qu'une solo- tioa rapide et satisfaisante -viendra met- tre fin au conflit- . .2.- SOCIALISTE M. MULON . minime des finencee des EEE-Uni, et il insisterait. d'autre part, sur une certaine réduction cles intérêts arriérés et sur certaines facilités concernant les transferts. RORAH EST TOUJOURS INTRANSIGEANT Londr., 28 eepternbre. - On mande de Washington qu'on croit cme si M. Caillaux augasentait sa première offre et proposait un remboursement de 8 ma- n..née n'Il.. sterling Per an. qui irait La guerre au Naroc L'offensive est-elie &fautée ? UN BRUIT Paris, 28 seôlembçe.- On lit dans « l'In. transigeant n D'après des renseignements officie., un grand mouvement offensif est déchu. ciné aujourd'hui sur le front frangais. Le Ministre de la Guerre ne dément ni ne confirme la nouvelle. AJDIR EST-H, PR/S ? Selon un communiqué da général Primo de Mura, transmis à l'ambassade d'Eu. gne à Londres, les troupes espagnotes se sont emparces raidir, la capitale d'Abd- elKrint. Bien nu'aucune nouvelle de cet impor- tant sureMs ne soit encore venue par mies antre source, eau exactitude est hors de doute. L'ambassade d'Espagne à Londres avait relu auparavant ce eommuniaué or- P.i., de Madrid o Las nouvelles qui us. Parviennent, concernant notrb avance dam la région d'Alhueemas sont extrêmement favoreves. Notre nregrusion 'an, poursuivre très promptement. La siigatios ne ment pas Rte plus satisfaisants, AUCUNE CONE/PAIATION A PARIS Paris, 28 septembre, - Au début de cet après-midi, l'anbassade d'Espagne à Paris AU NORD DE TAZA LES EXPERTS TRAVAILLENT Washington. 28 septembre. - Les né- goSation.s n ont fait aucun progrès réel depuis samedi soir. Hies, la délégation française a travaillé toute la soirée à la revision finale de la répurue que M. I Caillaux soumettra aujourd'hui à la corna mission américaine. Cette réponse. déjà rédigée, serait nul développement et une explication de la première odre présentér par la mission finanCière française plutôt qu'une offre nouvelle. Il se peut cependant que la réponse de M. Gaillaux eu mémoran- dum américain indique la nossiblità dons arn.ehoratam, conditionnel° de l'offre meunière faite par la délégation fiançaise (spécialement en ce qui con- cerne les premiers versements). Mais ce document ne mentionnerait pas toutefois de mouveaux dkiffres. Il cent:le-mirait la Ji-tueuse déjà faite que l'Amérique doit accorder à la France une clanse protectrice race qui .concen ne sa capacité de paiement éventuelle, n'avait pas reçu confirmatiOn de cette non. vele. LE MARECHAL LYAUTEY DEMANDE ETRE RELEVE DE SES FONCTIONS Fe; 28 septembre. - Le maréchal Lyau- tey a annoncé au conseil hebdomadaire qu'il avait demandé au gouvertem:ent de le remplacer an hlaroc. UN CONSEIL DU e TIMES ABD-EL-KRIM s Lombes, 28 septembre. - Colnmentant la un/pagne an Maroc, le e glues t: dit que le commandement français a adapté aime succès les principes de guerre euro- péenne à une guerre coloniale. Ce journal rend hommage aux, Funçais et aux ESpa- gnols qui ont pu conduire /a,première étape de leur offensive avec succés. Le « Titres tt conclut en dfsant qu'Abd- el-Krim a devant Int des chefs et des for- ces auxquels il n'y a aucune honte se rendre il reste h savoir s'il peut .gu- jours .caupter mole la 'Myeuét des Dictjalv lad Cc journal se deniande si Abd-et-Keita s'arrangera :ivre Ms Français et lesEspa- gluas, 0mo bien s'il suivra los suggestions des ...titistes 'et autres conseillers étrangers, et continuera .c lutte dont é ne put espérer sertir vainqueur. Au pays des dellars De non Iles proposilins Anpises progressivement jusqu'à li. million,. iv Améric:ales retireraient leur demande de '30 indliZ>no de liYres sterling. Cui ne t'ose être formulé officiellement, car les négosi?nons sont à l'état .embryonnaire, mais vrai l'impression mors a dans les milieux Lien informés. - La comm,ssion américaine aubin co onelque sorte le terrorisme du sénateur Rurale et de quelques autres sénateurs qui sont ouvertement opposés à toute indulgence. Si en n était la crainte que ces .dsrpiers ne s'opposent à la ratifi- cation d'un accord, la commistiion des dettes ferait des ceridition,s très seau- touruors h In Proses, VENGENT AURIOL REND VISSTE AU lERRIBLE SENATEUR Washington, 28 septembre. - Dans ma milirau' ansûricains. cm attache une grande importance à la visite sue fit, hier renfla-midi, Vincent Auriol au sé- nateur Igor.. On croyait qu'il s'agissait d'une démarche faite au nom de M. Caillaux en vue d'arriver à un accord. L'envoYé spécial de l'agence Radio à Washington est autorisé à démentir ce bruU, Il s'agit d'une visite de caractère Privé. Auriel a simplement remis au se- nate. Borohu une lettre à lui adressée par un arnI commun. LA DELECATION FRANCAISE A MOUNT-VERNON Wahington, 28 septembre. - Hier matin, le délégation française s'est len- due à Mount-Vernon pour saluer la tombe de Washington. Elle ,o visité /a maison. transfOrmée en musée, du pre- mier °résident des Etats-Unis, sous la deourir.duuiste,clu colonel Ondé, conservateur Cette visite a pris une heure, l'ex- ception de MI. Kellog la commimion américaine était au comnIct, accomPn- anée pat M. Myron T. Herrick. MI Dues:amer et M. Caillaux. Oc prit un vif intérat à la conTérence de M. Dodd. Les trunebres des commis,ions signèrent ensuite le registre des visiteurs. Amès avoir salué les tounbes des membres de la famille du célèbre hom- me d'Etat. /es délégués s'attardèrent un moment dans le jardin eue Washington planta lui meme suivant un dessin ru- nonntque. Ensuite, ils rentrèrent â Wea- ld...a pour déjeuner elles M. Melk, secrétaire du Trésor, qui avait invité leS deux commissions. 20 CENT, OUINZE (CENT MILLE MORTS, COM- BIEN CELA FAT-IL DE DOLLARS? M. CAILLAUX PARTIRAIT AVANT LES EXPERTS Londres. 28 septembre. --- Le cone. pondant du c Times à Washington dit qu'aussitôt que l'on sera d'accord sur le rtmntant des annuités d verser. M. Caillaux pourra rentrer à Paris, laissant aux experts le soin de régler le taux de l'intérêt ainsi que le fonds d'amortisse. 1-rent. Lemecuoeoto deumnt tenir compte cies suseeebilités do ennurbc américain, ainsi que de celles du Raclement fran- çais. 1 La QUESTIOA EMIMAINE riEnnE RF-NAURU, EXPOSE A TOULON LE POINT DE VUE SOCIALISTE Teuhm, as septembre. - Pierre Renan- dei a deneé, sur l'Initiative do la Ligue mies Droits do l'Homme, une grande réu- nion publique dans la salle des fêtes de la tnairio de Toulon, député du Var devait traiter de la qnnstion marocaine. La selle était comble. M. Lbois mitron; sênatent0 Présidait. Il Miriam tout d'abord que le i(arlerunt devrait se refuser Mugie politique d'expansion colon:ale et fallait rechercher les moyens d'assu- rer la paix le plus rapidentent possible. M. Victor lirémond. élépubé, assistait êgalement t ta euee. Apres avoir &Gni la position des sedia- étales français en concordance avou les niulutiens sin Congrès internat...1 de Marseille touchant le problème colonial en général et le problème marecain particulier, Pierre. Renaudot a jugé mi termes sévères la méthode employée par le gouvernement. Il a souligne la maladresse qui a con- sisté à 1/e pas faire parvenir directement les conditions tle paix au chef ridais,. Celnimi ria aeo mangoû de déclarer qu'il n'avait pas eu connaissance de nes conditions. Renaudot a surtout reprocle ett genvernoment de n'avoir pas puble, comme il ett avait pris l'engagement de- vant la Chambre, dans In séance du P juillet, le résultat positif des négocia- tions franeo-espagnoles et d'avoir cligne ime action mditaire eommune, sans publier d'abord les conditions do paix. , Llirkteur a thiellard qoua des explications seraient demandées Mur ce point à là reng ode tin Parlement. ' " L'aï/Plainte a fait un :chaleureux accueil ers déclarations. Les mercantis du fret La section socialiste de Casablanca at- tire l'attention sur Ms armateurs qui, ayant gagne 2 milliards de 1014 b 1918, sb:P- prêtenl t réaliser de nouveau* et scanda- i.o.s bénéfices clans /a guerre du Maroc. Le section socialiste de Casablanca, à la suite dune enquête très sêrieuse, a dtabli que les Compagnies de navigation ont augmenté Irons taux de fret de 50 Vo Foie les transports de guerre. Elle deman- de aux pouvoirs publies, et plus particu- lièrement du ininistkro de la marine mar- chande, do miqubttionner immédiatement les navires de ummeree nécessite. à ces transports._ quO:in fait ça, en 10.17, et il faliut ré- i i ton pour ntettre Da à des ennehlues monts éboulés. Ce que Clemenceau, poussé par notre atni dionismat, fini par faire, il Mest pas dit que Painlevé 8'y décide. La Coofereha 0 Locarno VALU:RI:IONE sem' MONNAYER SON ENTRIAS A LA S. D. N. Berlin, 28 septembre. - Lem:tures ré- gional du parti nationaliste,-qui s'est tenu Mer h hlannheim, a vote plusieurs résolu_ La première lait qu'adent d'engager tout pOurparler touchant le parte de garantie et Ventrée du Reich dans la Ligue des nations, le gouvernemenr alle- mand doit adresser au puissannes alliées une notification officielle tendant ser los responsabilités de l'Allemagne dans In guerre et obinnir que la done de Colo- gne soit 6V-SOUée et que prennent fin les abus révoltants du reg:Male cri/empattait en Mimante et dans la Sarre. La résolution tend t inviter les puis- i sances b retirer leure notes relatives au désarmai.. et a l'aviation allemande et prendre itn engagement formel relatif i et à la restitutoin des colonies interna. il le protution des minorités allemandes ded Une Seconde résolution dit que le Reich ne doit pas consentir à entretr dans la Société 'des Nations sous les conintions stipulées par les paragraphes 10 et 12 du traité de Versailles relatifs au mensonge de la faute. Une troisième résolution dit que Mittnitif doit être subordonné à des engagements fiente% des pu...es-billées relativement d l'évacuation anticipée des deuxième et troisième zones et du bas- sin de la Sarre et au désarmement du Reich qu'el!sa renonceraient h poursui- Une cmatrietne réSolution lift que co programme est un programmé minimum du parti, qui ne devra pas sen écarter môme s'il ne faisait plus partie nu gou- vernement. e La Deutsche Zeitung °aniline l'opi- nion mul l'Allemagne doit Fireineyee-son entrée à. la S. D. N. u e Plus elle se fera prier, dit-elle, pins elle se,ra récompen- Sêe. MARDI 29 SEPTEMBRE I92e EN 'l'ARCIE, DE tiHISTOIRE Un reportage sensationnel M. Aonné Chenue,,, publie datte la Piem d'at- tachantes oltroniones sur le vol, les eenloin voire les nias den tuerie.. C'est ainsi qu'il s'est sauné amené à rune/,, un incident dont le Prinansal stet I au, jet Jen. Hemerd. Cians M. André Charpentier, C'était à l'époque de l'Affaire, avec un grand A, qui divisait violemment le PU'. Dreyfus avait été condamné à Puinutirnite par le conseil de guerre. il sa peine h Ille du Diable. Une eauguune dee plus vives titalt monde pour la rut:sien et . avait groupé de hautes persormaltles atà. partenant à tous lu milieux. Des avocats avaient:d. consultés et Mus avaient con- clu que pinte entamer une prooédure nou- velle, il fallait tan fait neuve.. - Sur ces entrefaites. Sm' prmai.it ce que en, Joseph Reine., qui's'ent comble', en cinq gros volumes, l'historien:rai/lm de l'affaire, appelle le « déjeuner Tom les dima.hes, damo sa ville - roue,. ah de Lanessan. ancien 'ni ci., ru, réunissait à va table un certain nomii.re do personnalités militaires, politiques et téraires. M. Jean-Bernard, qui titan h cette époque correspondant parisien de to- dépeodance belge et donnait à ce iste cal des interviews et des reportage. In pseudonyme d'Osioz'en grec qui a de la conscienroi, 'tut convié a Putt de eu déjeuners. A table. il se trouva pl., ii cat., d'..1 jeune capitaine de l'infanterie Montai:, le capitaine Froc/violer, qui mdciseitmet avait été un des juges do conseil de Mei lig devant lequel avait con/paru Dreyfus Durant Ie repas, On parla naturelle.. dit l'affaire. - VOUS 'ives eu n'est-ce pas, demanda M. JeaulIernard à l'officier, des tempes formel/es pour prenOncer la condamna- tion ? Assurément. En dêssier quitin nous a cetnmuniqu6 en Chambre du Conseil min- tenait des pièces convaivantes, lute. ment une lettre de l'empereur d'Al/émune mernmeacant, il nie], souvlUtt, par ces mots : Ce canaille de D... « Si l'avemtrn'oiiesilavait OnnOU COLt0 toléré.,u'.''plaidé pinnocnnee Comme' Pu fait sir la- mange. Le' preuve Mail. Irréfutable._ M. devLanessnn avait tendu l'oreille -- QI10 raconted-vnua lb, capitaine ? La vérité. Je disais à mon voisin... Et il remmvela le nuit qu'il venait de mire an journaliste. on devine' l'émoi que proyer/Meut ces pareles nenni les convives/ C'était la pre- mière fois qu'on entendait parler de ce fameux document. Il ne feuil:mit peut-ale pas, recom- manda 111. do Lanessan à M. Jean-Bernai/d et h hl. Iionnorat actuellement atinatetir des Basses-Alpes, et qui Man à l'epotine rêtiactettr . « happel ti qu'im ferle da ne fait dans les journaux. C'est très gratte, Rented t Parie.' JI. Jean-Liernerd, qui est non seulement journaliste, mais avo- cat à la (Mur, fut leie de Sernintied. O. eompumira sa perplexité. Il venait d'ap- prendre qu'unr homme, coupabie ott non, avait été condarnnd sur des pièces qu'on avait cachées à la dtlfense et qui n'avaient êtê montréer qu'aux juges en chambre da conseil. ne Hui eonstituaià une énorme, faute juridique. Sa conscience protestait. D'un autre côté, cette conversation avait été tenue à table, elle ton ami elle ne lui appartenait pas. Pouvait-il la publier ? Ln journaliste disait 10010, l'homme du mande répendait b non. M Jean Bernard etait lie d'amitié avec M. Manat,, alors procureur général à Coton de cassetin, Il vint prendre conseil auprès de lui, Ce leact magistrat Pd très dant Il faul publier eelà, et tent de suite. C'est trhs gravn, comme le dit (Si. de La- nessan, mais toutes lm Onsidérations doi- vent eeder devant l'intdrét supérieur de In justice rendue aver tontes les gara/d:es de la discussion peolique. C'est ainsi que s rtnepondance Ûrtge . publia l'interview du capitaine Froerteter qui fut reproduite par toute la presse Pi5ege'r, interrogé par Ors magistrats, confirma le papier s dia réperter. On sait ce on'il en résulte I le 110115SSII lire- ois de Rennes, etc... On peut constater, par ce laid l'impor- tance illunt, conversation rapportée pue un journaliste. Le peuple américain opposé à la prohibition Washington, 213 septembre. - Le' géné- ral Butler, qui occupait depuis vingt ans les fou.,ls de directeur de la sûreté publique b Philadelphie, sient de démis_ dissone il a derlaré met résignait ses fonctions parue qu'il constatait qua tous ses efforts pour faire reSpecter la lai, et en particulier la loi de prohibition, n'avaient pas eu 1 app. sofâmin, da public. c M. Bert/ion député communiste sers poursuivi en justice Toulon, 28 septembre. - Le juge de paix d'Hyères ayant déposé une plainte m'eV, Berthon, le député communiste sera poursuivi pour outrage à no magistrat dans l'exercice de ses fonctions. M. Bur- in., fflendant un lo.taire contre soit propriaaire, estait emporté contre le juge do paix an cours de l'audience. M. Berthon sera débonda par M. limai Lnfont, eputê de la Loire. - Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ANNEE. - N 7.238

151çI,IUÇÎIEME

ABONINENIENT9

iz fe; teracre.23faa t CIL

es pauvres_-t'échec

dc la grève des employés,,e donnera lieu encore long-

k--:; de nombreux commentaires.ten,!,- a déjd indiqué ici la" 'es banquiers. Je voudrais

,a part, tirer de cet évènementrouet quelques leçons,éfc,0:14cs, ce n'est pas la premièreos que, dans sa bataille inlassable

émancipation, le proléta-M t des défait.. H y a en le,tes hérolems des Mineurs clans

grandes grèves de Carmaux etdulois ; il y a eu le combat

ue des cheminots pour leurtragiq

ère de ceM sous et, aujourd'hu'ieue grève douloureuse des

louéen jaquette et enfaux-col'de la classe moyenne, contre

l'oligarchiefinancière.

Nos camarades sont vaincus et desrévocations

frappent ceux qui onteste courage de prendre la tête dumouvement. Je crains que ce ne soitI" que le commencement d'un

couflit social redoutable. Il faut y Men=

tire garde.Le grand patronat entend

imposejses esclaves, comme règle de con'duite d'avenir, ce mot d'ordre in -

arable exprimé par le ré.négat-Produire beaucoup et con-

murer moins o. Ce qui veut direlongues journées de labeur et saIM-in réduits.Le patronat allemand, res hl

la pierre,erre, fait déjà ainsi pi

av."epeuple vaincu ses propres fautes,Bans les usines d'outre-Rhin le

tea-puvaillent allemand doit o

tac ,,s, es maîtres de verserpermet

i" --

td' d P)" Dawe, traVailleeP et se serrer len te

tin France, pays vieciorirfetrxusais,gaunag pluie les dettes énormes

e,rre IBO a enrichi la minoritéles talnicants de munitionfournisseurs aux armées, et

desegaylortin onlpoto

rossés,qui devraa

s. La classepos-Moite se refuse aux sa ifi

wLett sssraiches entendent imposer si-

pauvres._Ce qu'il y a de carierie eu questio n, c'est 4' I'doelsidolrat

t'es pourtant favorable aux

PU

gi ions des grévistes, n'a rientaire pour imposer ta la banque

Miment de pitié et mêmeett,,touer. Le gouvernement a dû, a soin

t9scapituler devant la puissanceges coffres-forts

nions,être les maîtres

, ont dit les représentantsd, houle te finance et 1mus n'en-

pu sous soyez nos or-

,,..Et,,,

monisneisiltre

du travail, et présidentont dû accepter ce pied

C1,,trit parle a/ors maintenant ontels scandales d'un Projet

Oie l.titraa,. l

J'airom-trefois sur cette qiesti

Ivre Tl,,"on doit retrouver da: l'tan'nes des Bourses du 'Peu-

a,:ail, qui ,',rotacé par Aristiede

Brimid-

"réPoque où M. Millerand,

suant. cetteNaideck-Rousseau, peu_

e mesure qu'il estimait deunroole, L'homme du Bloc na-

sot

teétait

accuséunspar usly patronat de vouloir lisr lesines à l'anarchie.

lasssise souviens

s, ousouviens qu'en tout cas l

vrière organisée faisait dsur ose législationahiIre

mettre o ne gouvernementsi

,r d imposerd es solutions10es et dvrescotes mal taillées h

ae ouvrière en bataille pour

oc

ptertes,que les temps sont

o,iiis la guerre qu'il faut_grévisles, Pour réussir,

eau

eu. l'opinionrecourir

et que le`!.!GI-ir.ge ou de

010 d? Fine'rne te's bonnes gré.,ualensdpepoojeutrtganot

sortirat et

dessv000ssoit nettement mis aules qualifiés

s syndicales,nd , l'heure qui s'ouvresuffit d, lire tes

leii esses budget de Ma.rtCalri-, frapper les biens

certains domina-",a, Une fois de plus, les

neinene, nitcrier

pas payerA an scandale

et veulent que les pauvres paient.La puissance de l'or aura-t-elle

raison, une fois de plus, avec la com-plicité du Sénat, du ministère Pain-levé voulant faire quelque chose,romme elle eut raison du ministèreHerriot ? Pour durer, le nouveauministre des finances devra-t-il ca-pituler et modifier ses ronronnons?Nous verrons à la rentrée du Parle-ment l'issue de cette bataille.

Je lis, par ces temps de vacances,le curieux livre de Léon DeutschJ'ai acheté &tic femme.

Il montre, en termes saisissants,un homme auque/ vient d'échoir unegrosse fortune.

Sensible auparavant et capable debons sentiments, la richesse le déli-vre de a cette faiblesse ». Il achètetous les plaisirs, les relations, lesconsciences.

a De même - écrit Deutsch -qu'il avait soldé les notes des vic-tuailles, il payait pour que les invi-tés accourmsent à ses fêtes, obéis-sants et flatteurs seton son bon plai-sir. s

Et notre héros, après avoir ainsiacheté le bien-être, les plaisirs sen-suels, le luxe, le respect des gens dumonde, une certaine réputation, enarrive même it acheter le talent etmême_ le bonheur.

La fortune fait l'emplette de l'hu-manité Mut entière.

Serions-nous arrivés à cette heurerépugnante du triomphe égoïste dela richesse ? Il est impossible d'ycroire.

Jules UHRY,Député de l'Oise.

Raaetiuu et AJ i.naain.os 36, Rue Roqueleine - TOULOUSE - Té!. 0.43 . Compte Chegg4. ben,BUREAUX A PARU S. Rata ellaabolaa,3 Ge Amal...sant) Talbalaana Cama *rad

ICHVOYEZ mie LETYPEs eon MAPOC-ALGÉWE'DAKARe`lueee.1-""ELIGNÉS AÉRIENNES LAMOÉPESss.

44 sou.

BJCEIQE3-- Cons n'ares Tan da tont, medemoiiene,

autù roue- enies.., feriez bien... Veto dies àrdge na une jeune tue du

nue, je nuis- Diable 1.., alors, divorces 1

Constaiine descend datas un Mal de l'Ouestai demande rine cl.mbre. Oc lai en mont.ans. Elle lui 11 ter inniecim ne le deodes oispagates lorsqu'il s'aperçoit - O horreur--une pans; den. tu 'saisi.n. Il mndchapeau, a relise el <piste 116.1. Sur le eaii,il rencontra Phétalier

- Vous pada, tnonsieur > fitt'a esal >

- &Latinus, voue ne nie W==ober oh,, en bétel a) les punaises se semai-binent eur la eltamére mee ;e voie ocenget.

Mu Chai.. °tannise une vante de charitécou donner d une manse femme les napensPoen son aroadéntire...

-Ou, / emame c'est bien.-pas M. Charton mimée de sendmeen ei phi-

tagropiasevog.. Si. si.- el rai .. in meùen où teve kt cati.,f einme lui notanioét.

Cemin - Ainai .io ne Cégemen ma/Eléonere. - NemCuen Tns. - Ponsetetot non 7Eigene. -Me,, Dion.., van., hé'Oc é coccc

J,, l'état de se Scande, mnmen à uree de safenitte, et ma O eaase de se« enmetb... D'ail-leurs, il n'a Pes gime. &nnànE.

arteinaTriTadirerleareaueneemoLire ',know,

QUE FAUT-1L PENSERDE L'EXPED1T1ON DU MAROC 2

PAR LEON MOELLE

Les Mineurs chez N. Lave!

Part, 1:8 septembre. - Il. Pathé 1...al,ministre des travaux publics, a cep, cetut., ies &Mens des syndicale des ou-sciera mineurs du Nord et du Pas-de-Calais, qui Mi étaient présentés par lescitoyens Cadet et Lefèvre, députés.

Les délégirds ont fait connaître au mi-nistre qu'à l'entrevue qui a eu ItouDouai, le 20 septembre dernier, l'ententen'avait pu d'établir entre eux et lenrspatrons. Ils ont rappelé que le momentétait venu de régler la question du re-tour au paiement oie l'allocation tempo-raire de 40 Ve, alors qu'en raison des cir-constances, elle avait été réduite h 20 u.lis mu rappelé que c'est sur leur demande,on aven lotir adhésion. que te gouverne-ment avait éM amené à examiner etprendre un certain nombre de cesseras

qui devaient améliorer ja situatieg -dg

marché charbon.. Ils espèrent que lespouvoirs pukilics youdrut bien appuyerleurs revendications, mena jugent kg/ti-mes.

M. Pierre Layé' a rua, cet après-midi, hIT heures, les représentants des Compa-gnies houillères. Ort espère qu'une solo-tioa rapide et satisfaisante -viendra met-tre fin au conflit- . .2.-

SOCIALISTE

M. MULON. minime des finencee des EEE-Uni,

et il insisterait. d'autre part, sur unecertaine réduction cles intérêts arriérés etsur certaines facilités concernant lestransferts.

RORAHEST TOUJOURS INTRANSIGEANTLondr., 28 eepternbre. - On mande

de Washington qu'on croit cme si M.Caillaux augasentait sa première offre etproposait un remboursement de 8 ma-n..née n'Il.. sterling Per an. qui irait

La guerre au Naroc

L'offensive est-elie &fautée ?

UN BRUITParis, 28 seôlembçe.- On lit dans « l'In.

transigeantn D'après des renseignements officie.,

un grand mouvement offensif est déchu.ciné aujourd'hui sur le front frangais.

Le Ministre de la Guerre ne dément nine confirme la nouvelle.

AJDIR EST-H, PR/S ?

Selon un communiqué da général Primode Mura, transmis à l'ambassade d'Eu.gne à Londres, les troupes espagnotes sesont emparces raidir, la capitale d'Abd-elKrint.

Bien nu'aucune nouvelle de cet impor-tant sureMs ne soit encore venue par miesantre source, eau exactitude est hors dedoute. L'ambassade d'Espagne à Londresavait relu auparavant ce eommuniaué or-P.i., de Madrid

o Las nouvelles qui us. Parviennent,concernant notrb avance dam la régiond'Alhueemas sont extrêmement favoreves.Notre nregrusion 'an, poursuivre trèspromptement. La siigatios ne ment pasRte plus satisfaisants,

AUCUNE CONE/PAIATION A PARISParis, 28 septembre, - Au début de cet

après-midi, l'anbassade d'Espagne à Paris

AU NORD DE TAZA

LES EXPERTS TRAVAILLENTWashington. 28 septembre. - Les né-

goSation.s n ont fait aucun progrès réeldepuis samedi soir. Hies, la délégationfrançaise a travaillé toute la soirée à larevision finale de la répurue que M. I

Caillaux soumettra aujourd'hui à la cornamission américaine.

Cette réponse. déjà rédigée, serait nuldéveloppement et une explication de lapremière odre présentér par la missionfinanCière française plutôt qu'une offrenouvelle. Il se peut cependant que laréponse de M. Gaillaux eu mémoran-dum américain indique la nossiblitàdons arn.ehoratam, conditionnel° del'offre meunière faite par la délégationfiançaise (spécialement en ce qui con-cerne les premiers versements).

Mais ce document ne mentionneraitpas toutefois de mouveaux dkiffres. Il

cent:le-mirait la Ji-tueuse déjà faite quel'Amérique doit accorder à la Franceune clanse protectrice race qui .concenne sa capacité de paiement éventuelle,

n'avait pas reçu confirmatiOn de cette non.vele.

LE MARECHAL LYAUTEY DEMANDEETRE RELEVE DE SES FONCTIONS

Fe; 28 septembre. - Le maréchal Lyau-tey a annoncé au conseil hebdomadairequ'il avait demandé au gouvertem:ent dele remplacer an hlaroc.

UN CONSEIL DU e TIMESABD-EL-KRIM s

Lombes, 28 septembre. - Colnmentantla un/pagne an Maroc, le e glues t: ditque le commandement français a adaptéaime succès les principes de guerre euro-péenne à une guerre coloniale. Ce journalrend hommage aux, Funçais et aux ESpa-gnols qui ont pu conduire /a,premièreétape de leur offensive avec succés.

Le « Titres tt conclut en dfsant qu'Abd-el-Krim a devant Int des chefs et des for-ces auxquels il n'y a aucune honte serendre il reste h savoir s'il peut .gu-jours .caupter mole la 'Myeuét des Dictjalvlad

Cc journal se deniande si Abd-et-Keitas'arrangera :ivre Ms Français et lesEspa-gluas, 0mo bien s'il suivra los suggestionsdes ...titistes 'et autres conseillersétrangers, et continuera .c lutte dont éne put espérer sertir vainqueur.

Au pays des dellars

De non Iles proposilins Anpisesprogressivement jusqu'à li. million,. ivAméric:ales retireraient leur demande de'30 indliZ>no de liYres sterling. Cui net'ose être formulé officiellement, car lesnégosi?nons sont à l'état .embryonnaire,mais vrai l'impression mors a dans lesmilieux Lien informés.

- La comm,ssion américaine aubin coonelque sorte le terrorisme du sénateurRurale et de quelques autres sénateursqui sont ouvertement opposés à touteindulgence. Si en n était la crainte queces .dsrpiers ne s'opposent à la ratifi-cation d'un accord, la commistiion desdettes ferait des ceridition,s très seau-touruors h In Proses,

VENGENT AURIOL REND VISSTEAU lERRIBLE SENATEUR

Washington, 28 septembre. - Dansma milirau' ansûricains. cm attache unegrande importance à la visite sue fit,hier renfla-midi, Vincent Auriol au sé-nateur Igor.. On croyait qu'il s'agissaitd'une démarche faite au nom de M.Caillaux en vue d'arriver à un accord.

L'envoYé spécial de l'agence Radioà Washington est autorisé à démentir cebruU, Il s'agit d'une visite de caractèrePrivé. Auriel a simplement remis au se-nate. Borohu une lettre à lui adresséepar un arnI commun.

LA DELECATION FRANCAISEA MOUNT-VERNON

Wahington, 28 septembre. - Hiermatin, le délégation française s'est len-due à Mount-Vernon pour saluer latombe de Washington. Elle ,o visité /amaison. transfOrmée en musée, du pre-mier °résident des Etats-Unis, sous ladeourir.duuiste,clu colonel Ondé, conservateur

Cette visite a pris une heure, l'ex-ception de MI. Kellog la commimionaméricaine était au comnIct, accomPn-anée pat M. Myron T. Herrick. MIDues:amer et M. Caillaux. Oc prit unvif intérat à la conTérence de M. Dodd.Les trunebres des commis,ions signèrentensuite le registre des visiteurs.

Amès avoir salué les tounbes desmembres de la famille du célèbre hom-me d'Etat. /es délégués s'attardèrent unmoment dans le jardin eue Washingtonplanta lui meme suivant un dessin ru-nonntque. Ensuite, ils rentrèrent â Wea-ld...a pour déjeuner elles M. Melk,secrétaire du Trésor, qui avait invité leSdeux commissions.

20 CENT,

OUINZE (CENT MILLE MORTS, COM-

BIEN CELA FAT-IL DE DOLLARS?

M. CAILLAUX PARTIRAIT AVANTLES EXPERTS

Londres. 28 septembre. --- Le cone.pondant du c Times à Washingtondit qu'aussitôt que l'on sera d'accordsur le rtmntant des annuités d verser. M.Caillaux pourra rentrer à Paris, laissantaux experts le soin de régler le taux del'intérêt ainsi que le fonds d'amortisse.1-rent. Lemecuoeoto deumnt tenir comptecies suseeebilités do ennurbc américain,ainsi que de celles du Raclement fran-çais.

1

La QUESTIOA EMIMAINE

riEnnE RF-NAURU, EXPOSE A TOULONLE POINT DE VUE SOCIALISTE

Teuhm, as septembre. - Pierre Renan-dei a deneé, sur l'Initiative do la Liguemies Droits do l'Homme, une grande réu-nion publique dans la salle des fêtes de latnairio de Toulon,

député du Var devait traiter de laqnnstion marocaine.

La selle était comble. M. Lbois mitron;sênatent0 Présidait. Il Miriam tout d'abordque le i(arlerunt devrait se refuserMugie politique d'expansion colon:ale et

fallait rechercher les moyens d'assu-rer la paix le plus rapidentent possible.

M. Victor lirémond. élépubé, assistaitêgalement t ta euee.

Apres avoir &Gni la position des sedia-étales français en concordance avou lesniulutiens sin Congrès internat...1 deMarseille touchant le problème colonialen général et le problème marecainparticulier, Pierre. Renaudot a jugé mitermes sévères la méthode employée parle gouvernement.

Il a souligne la maladresse qui a con-sisté à 1/e pas faire parvenir directementles conditions tle paix au chef ridais,.

Celnimi ria aeo mangoû de déclarerqu'il n'avait pas eu connaissance de nesconditions. Renaudot a surtout reprocleett genvernoment de n'avoir pas puble,comme il ett avait pris l'engagement de-vant la Chambre, dans In séance duP juillet, le résultat positif des négocia-tions franeo-espagnoles et d'avoir cligneime action mditaire eommune, sanspublier d'abord les conditions do paix., Llirkteur a thiellard qoua des explicationsseraient demandées Mur ce point à là rengode tin Parlement. ' "

L'aï/Plainte a fait un :chaleureux accueilers déclarations.

Les mercantis du fret

La section socialiste de Casablanca at-tire l'attention sur Ms armateurs qui,ayant gagne 2 milliards de 1014 b 1918, sb:P-prêtenl t réaliser de nouveau* et scanda-i.o.s bénéfices clans /a guerre du Maroc.

Le section socialiste de Casablanca, àla suite dune enquête très sêrieuse, adtabli que les Compagnies de navigationont augmenté Irons taux de fret de 50 VoFoie les transports de guerre. Elle deman-de aux pouvoirs publies, et plus particu-lièrement du ininistkro de la marine mar-chande, do miqubttionner immédiatementles navires de ummeree nécessite. à cestransports._quO:in fait ça, en 10.17, et il faliut ré-

i i ton pour ntettre Da à des ennehluesmonts éboulés.

Ce que Clemenceau, poussé par notreatni dionismat, fini par faire, il Mest pasdit que Painlevé 8'y décide.

La Coofereha 0 Locarno

VALU:RI:IONE sem' MONNAYERSON ENTRIAS A LA S. D. N.

Berlin, 28 septembre. - Lem:tures ré-gional du parti nationaliste,-qui s'est tenuMer h hlannheim, a vote plusieurs résolu_

La première lait qu'adent d'engagertout pOurparler touchant le parte degarantie et Ventrée du Reich dans laLigue des nations, le gouvernemenr alle-mand doit adresser au puissannes alliéesune notification officielle tendantser los responsabilités de l'Allemagne dansIn guerre et obinnir que la done de Colo-gne soit 6V-SOUée et que prennent fin lesabus révoltants du reg:Male cri/empattaiten Mimante et dans la Sarre.

La résolution tend t inviter les puis-i

sances b retirer leure notes relatives audésarmai.. et a l'aviation allemande et

prendre itn engagement formel relatif i

et à la restitutoin des colonies interna.il le protution des minorités allemandes

dedUne Seconde résolution dit que le Reich

ne doit pas consentir à entretr dans laSociété 'des Nations sous les conintionsstipulées par les paragraphes 10 et 12 dutraité de Versailles relatifs au mensongede la faute.

Une troisième résolution dit queMittnitif doit être subordonné à des

engagements fiente% des pu...es-billéesrelativement d l'évacuation anticipée desdeuxième et troisième zones et du bas-sin de la Sarre et au désarmement duReich qu'el!sa renonceraient h poursui-

Une cmatrietne réSolution lift que coprogramme est un programmé minimumdu parti, qui ne devra pas sen écartermôme s'il ne faisait plus partie nu gou-vernement.

e La Deutsche Zeitung °aniline l'opi-nion mul l'Allemagne doit Fireineyee-sonentrée à. la S. D. N. u e Plus elle se feraprier, dit-elle, pins elle se,ra récompen-Sêe.

MARDI 29 SEPTEMBRE I92e

EN 'l'ARCIE, DE tiHISTOIRE

Un reportagesensationnel

M. Aonné Chenue,,, publie datte la Piem d'at-tachantes oltroniones sur le vol, les eenloin voireles nias den tuerie.. C'est ainsi qu'il s'est saunéamené à rune/,, un incident dont le Prinansal stetI au, jet Jen. Hemerd.

Cians M. André Charpentier,

C'était à l'époque de l'Affaire, avec ungrand A, qui divisait violemment le PU'.Dreyfus avait été condamné à Puinutirnitepar le conseil de guerre. il sapeine h Ille du Diable. Une eauguune deeplus vives titalt monde pour la rut:sien et .

avait groupé de hautes persormaltles atà.partenant à tous lu milieux. Des avocatsavaient:d. consultés et Mus avaient con-clu que pinte entamer une prooédure nou-velle, il fallait tan fait neuve.. -

Sur ces entrefaites. Sm' prmai.it ce queen, Joseph Reine., qui's'ent comble', encinq gros volumes, l'historien:rai/lm del'affaire, appelle le « déjeuner

Tom les dima.hes, damo sa ville -roue,. ah de Lanessan. ancien 'ni ci., ru,réunissait à va table un certain nomii.re dopersonnalités militaires, politiques ettéraires. M. Jean-Bernard, qui titan h cetteépoque correspondant parisien de to-dépeodance belge et donnait à ce istecal des interviews et des reportage.In pseudonyme d'Osioz'en grecqui a de la conscienroi, 'tut convié a Puttde eu déjeuners.

A table. il se trouva pl., ii cat., d'..1jeune capitaine de l'infanterie Montai:,le capitaine Froc/violer, qui mdciseitmetavait été un des juges do conseil de Mei ligdevant lequel avait con/paru Dreyfus

Durant Ie repas, On parla naturelle..dit l'affaire.

- VOUS 'ives eu n'est-ce pas, demandaM. JeaulIernard à l'officier, des tempesformel/es pour prenOncer la condamna-tion ?

Assurément. En dêssier quitin nous acetnmuniqu6 en Chambre du Conseil min-tenait des pièces convaivantes, lute.ment une lettre de l'empereur d'Al/émunemernmeacant, il nie], souvlUtt, par cesmots : Ce canaille de D... « Si

l'avemtrn'oiiesilavaitOnnOU COLt0 toléré.,u'.''plaidépinnocnnee Comme' Pu fait sir la-

mange. Le' preuve Mail. Irréfutable._M. devLanessnn avait tendu l'oreille

-- QI10 raconted-vnua lb, capitaine ?La vérité. Je disais à mon voisin...

Et il remmvela le nuit qu'il venait demire an journaliste.

on devine' l'émoi que proyer/Meut cespareles nenni les convives/ C'était la pre-mière fois qu'on entendait parler de cefameux document.

Il ne feuil:mit peut-ale pas, recom-manda 111. do Lanessan à M. Jean-Bernai/det h hl. Iionnorat actuellement atinatetirdes Basses-Alpes, et qui Man à l'epotinerêtiactettr . « happel ti qu'im ferle dane fait dans les journaux. C'est très gratte,

Rented t Parie.' JI. Jean-Liernerd, quiest non seulement journaliste, mais avo-cat à la (Mur, fut leie de Sernintied. O.eompumira sa perplexité. Il venait d'ap-prendre qu'unr homme, coupabie ott non,avait été condarnnd sur des pièces qu'onavait cachées à la dtlfense et qui n'avaientêtê montréer qu'aux juges en chambre daconseil. ne Hui eonstituaià une énorme,faute juridique. Sa conscience protestait.D'un autre côté, cette conversation avaitété tenue à table, elle ton ami elle ne luiappartenait pas. Pouvait-il la publier ?Ln journaliste disait 10010, l'homme dumande répendait b non.

M Jean Bernard etait lie d'amitié avecM. Manat,, alors procureur général àCoton de cassetin, Il vint prendre conseilauprès de lui, Ce leact magistrat Pd trèsdant

Il faul publier eelà, et tent de suite.C'est trhs gravn, comme le dit (Si. de La-nessan, mais toutes lm Onsidérations doi-vent eeder devant l'intdrét supérieur deIn justice rendue aver tontes les gara/d:esde la discussion peolique.

C'est ainsi que s rtnepondance Ûrtge .publia l'interview du capitaine Froerteterqui fut reproduite par toute la presse

Pi5ege'r, interrogé par Ors magistrats,confirma le papier s dia réperter. Onsait ce on'il en résulte I le 110115SSII lire-ois de Rennes, etc...

On peut constater, par ce laid l'impor-tance illunt, conversation rapportée pue

un journaliste.

Le peuple américainopposé à la prohibition

Washington, 213 septembre. - Le' géné-ral Butler, qui occupait depuis vingt ansles fou.,ls de directeur de la sûretépublique b Philadelphie, sient de démis_dissone il a derlaré met résignait sesfonctions parue qu'il constatait qua tousses efforts pour faire reSpecter la lai, eten particulier la loi de prohibition,n'avaient pas eu 1 app. sofâmin, da

public.c

M. Bert/ion député communistesers poursuivi en justice

Toulon, 28 septembre. - Le juge de paixd'Hyères ayant déposé une plainte m'eV,

Berthon, le député communiste serapoursuivi pour outrage à no magistratdans l'exercice de ses fonctions. M. Bur-in., fflendant un lo.taire contre soitpropriaaire, estait emporté contre lejuge do paix an cours de l'audience.

M. Berthon sera débonda par M. limaiLnfont, eputê de la Loire. -

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: sv000s - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925_09_29.pdftant sureMs ne soit encore venue par mies antre source, eau exactitude est hors de doute

TIMM Me.

LE NOYAUTAGE COMMUNISTE ENANCLETERRE

Avant la tionference du 741bour Partym eier-<

ln ad."... annuelle du parti tra- terventioe vient de se produire qui aura%/ailante anglais se réunira demain à laver- sans aucun doute un grur retentissement.

tort celle de Ramsay ai. Donald.Dans une lettre publie, par /o jeureM

socialiste e Forward s, de Glasgow, lare-rien promier ministre déclare impossibleune coepération queleonque avec les agentsanglais de la III' Internationale.

011 va nous demander de nouveau àLiverpool, écrit-il, de reconnaître que les

Un, des principales questions qu'elle aot x

u-ra â discuter a Iran au rapports avecles remmuniste.

La conférence do l'an dernier avait re-jeta la Omnantle d'adhésion du minusculeparti communiste anglais ; cette (nanan.e été reaouuetée.

Elle avait, d'autre part, décida certainesviesares tendant à limtter Eadhésiou et cOmmunntes partagent notre fer et Pen-aeaaaaaa, amaaadaanea des aenanammeaa, vent coopérer avec nous. Assurément, ilsam, per le canut °moise, tacqles, 110 le peuvent pas. Tous Manades mon-

Per celui des Trade-Unions. l'eat ilan cela CM ialimessible. Au pouveir, ramures ee eem meepea parjet_ et hom du pouvoir, no. avons trouvé que

inaperantes plaque le fait pour leur Peinoipal désir était de nous gêner.tamenunisto d'appartenir- à, un syndi- Leurs critiques est dé plus dénuées de

dar adhérent au Labour Party !lui confère IduPales clan tellra de ans ennemis jurifs.la émaille de membre de te parti. En fait, ils ont eu ans. de candeur pour

Las dirigeants travaillistals, émus par nasanner ueik, no veulollt arrimer au!a noyeetage de, commuanteo au sein Renvoie que pour nous en ahasser.'Ire erganisations professionnelles et poli- Si le Latour Party devait se pronone.tapies, cherchent à se prémunir contre dame tacon hésitante, conclut Mue Donaldlu,. Airent prepeeentaila de foi, apia,al aux s'il devait jouer avec l'idée de raolutitmTrade-Unions pour refuse, à Mars menas il perdrait le respect aussi bien que labrrr CstailititillielCS le droit d'être choisis eenfience de tous les heinmes qui ont desemmeeterrer de/sam, e den uen1geenaer talles pour penser et diriger leur action,

â des meetings. La lettre de Mac Donald critique en ou-M e

coaisen propositions se heu ire,â Plies- qui l récent nlgree des Trade-Unionse

Billé do e 'aile sau.ehe fieft svit) tra- eat,_ a' , availliste, quli se montre de plus on plas an annat 5anasyinpathique aux bolchevistes et bolehe-yitments. LA e LETTRE DE ZIN01,11aler ro

Tout récemment a été publié un mani- MIT UN FAUX, DECLARElesta signé de leaders du conseil gemma!rien(pream coma, mea, III. COMBE EXECUTIF DU LABOURSwales, etc.) de parlementaires apparte- PaRIEfiant à la fraction extrelne du groupe (parexemple Lansbury) pqrsormatimaa . On nia pas mata la fameuse a Lettrecomma Drailsford. directeur de l'heblie- 'rare e cette prétend. lettre de Zino-

vieff, adreSsée aux camarades anglais, grilexerea tant d Influence sur /es dernalaselectains ce Angleterre qu'on peut allie-ruer, Salle exagération, que le gnaverne-niant ronservateur do M. Balai. doit sunpoutoir à cette campagnes

Madame a New Leader », peur ...-mander la la conférence d'accepter aadhé-sierr du parti communiste.

On pont prévoir querrr lutte très vivese produira à Liverpool entre les leaders!travaillistes, amura des mantouans en,.munistes qui se multiplient en one de tamainmise sur le parti et les organisationssyndicales, et les elements qui se di-st. révolutionnaires.

L'antagonisme des deUX lel/dg/g:CS coti-sait été que tres -difficilement atténué auracent °onetrn syadical de Searhoraugh.Les eleclarations faites depuis par lesoommunistes ri Mues sympathisants ontmontré que leurs attaques continuerontsans rapit malgré la situation Milet° Mase teauve h présent la darse ouvrière au_gicler. On y a, parmi les e loft miennes »des gens croyant encore qu'une ententepeut s'établi, entre le parti travaillisteet les cemmunistes, ils font preuve d'unaveuglement ahurissant 1

LETTRE lIN 3.1AC DONALDDans la polémique très vive qui s'est

iestitua entour de cette affaire une in-twaieuemeasnearecerameentarer

A la S. D. N.LE DELEGUE LITHUANIEN SOULEVE

. UN INCIDENTGenèse, 28 septembre. Le conseil dela Société des natMns a tenu ce matin,

sens la présidence de M. Paul-Boncour,une dernière séance qui a été marquée parl'incident miment t Pour la première Misdepuis que le eouseil fonctionne, le rem..nenni dune puissance; la Lithuanie, quiavait été admis à Magr à la table du con-sei/, mécontent de voir que .o point devue ne rescon.trait paS la faveur du con-sert, a retinsse ses dossiers, s'est levé et aquate la salle des séances en guise de pro-testatiom

Les origines de l'incident étaient min-ces il s'agissait du statut de Meme/ qui,connue on /e sait, est devenue une villeadministrée par la Lithuanie, d'après unesimulation dont sont signataires les gran-des puissances alliées. La Lithuanie de-mandait que les réclamations don minori-!lais de Memel ne fussent pu prises r,, con-siaratian par le conseil do la Sociét6 desnatio,rn auquel elle contestait le droit dedonner mute a ces r.lamatuins. A Peinetord Robert C.il venait-il de proposerprojet etc résolution a ce sujet a ses col-lègues, que al. Galveneuskas émit une Pr.testahon verbale en des termes Rasez alfaet, se levant, quitta la salle des délikara-tions.

S.s se départir de Sou calme, le Canonpoursuivit délibération et vota l'un.. . ,in edeoirrelua.

Le conseil, passant 5 un autre sujet, asanctionné la résolution de t'assembléetouchant les réfugias et félicite le Bureauinternational du travail pour Pceuvre siintéressante qu'il a dela aCcoecalic en fa-vetir des réfugiés russes et arméniens, enlui donnant un crédit de 300.000 francssuisses environ pour poursuivre sa tâchedans /es mois qui viendront.

Puis le consoil a tenu une sesore privéeau cours do laquelle il a procédé à /a no-mination de la eonunission d'Investigationqui doit se rendre sur /es frontières de laTurquie et de .l'Irak, en conformité desrésolutions prises les jours précédents,

Le prochain Conseil de la Société desnations aura lieu à Genave. Le comité dutenson se rauntra quelques jours atelmare-vent pour s'occupes notrament drn pro-positions à faire au. conseil, touchant leProgramme de la conférence du désarme-ment

Ce n'est qu'au mois de mars quc le con-seil de la Société des nations pourra tenirsa aen,iva à Madrid,

Les trafiquais de hux passe ports

Pare, 28 septembre. On n'en est. Muelt décrire avee quelle facilité des dyne-nes indésirables, dont le nombre ne faitquo m'Ogre Caque jour, passent la tenn-i/ara en présentant aux commissaires spa-ce. de faux passeports.

Les fabriques de faux passeports pullu-lent; elles sont remarquablement organi-ses; à BeGin et â Vienne, elles formentdo véritables administrations.

En attendant que le Parlement ait vett100 fonds necessaires h. la craation de /anouvelle brigade que doit diriger M. Ou-aille, c'est à son collage° de la Préfec-ture, lia Outlarla qu'incombe la chasuv auxatrangers indésirables,

LN BEAU COUP DE FILETA chaque manifestation organnee par Ic

marte senrnmuniste, la police arréto desIndividus porteurs &Maries prohiaées, par-mi lesquels figurent de nombreux é/ann-ela. Rolenaig, Ruses, Itutrené, tEspa_

On sait aussi que de document, aprasmn enquêta sérieuse, a al reconeu Munpar la Centrale syndicale bratutique.

Voilà que le Comité exécutif lu LabourParty arrive à la Palme conclusion. /I a,lui aussi, institué une enquête minutie.-.., u, a entendu les dépositions de MacInaald let d'autres personnes aidées al'affaire. Et voici les points principaux durapport que le Comité exacutif va pré-sent. la semaine para-haine, au congrèsde Liverpool ;

Eitiovieff Malemit pas à Menou à /adate que porte la Icitre qu'ill est supposaaGie ognée ;

L'enquête a etabli que la lettre estun faux ;

La lettre avait êta préparée avantqu'une eleation pénarde fût prévue, etduit destinée à servir la cm/mamie contrele traita avec la BusGe.

gnols, qui fOrtrustil 10 IllaiOritte de ces agitateurs.

Condamnés pour refus de cirmar, pouroutrages à agents, ils sont reconduits à laDentier° /eur peine purgée.

Teus sont ramais en gendral de passe-ports truqués.

A la suite de Ia manifestation da laplace de l'Opéra, M. Oudart avait cana.au brigadier Asseray et à ses inspecteursel soin do rechercher, dans les milieuxcomnmnistes, des étrangers soupçonnesd'être des trafiquants de faux. passeports.

Les polieiers viennent, à la suite d'unefilature des plus adroites, d'arrêter unebande de six Polonais, qui étaient les re-pauselants on France d'agences de fauxpasseports, dont les Meg. Sont â Vienne,

Variante et à Fiume.Ces indesirahles ont dta pincés â leurs

Matait. resticatin. 11 a ét° r.onnn queles passeports dont ils étaient porteursleur avaient été délivres par tes ego..de Vienne et de Fiume, mais ils se ride.dirent d'en avoir procuré à lenrs en.-patriot..

/1 semble que l'agence de Fiume eeitune agence modale. Dans cette officine,êta. chea en marchand de vms, otenec alti initia, ontre espèces sonnanteset tranehantes, les papiers parfaitementen renie en larda desquels leurs nones-a.. entre cor France sans In moindredifficulté.

Avec ces papiers, en effet, /es indésma-bles obtenaient de 13 préfecture de policeRuin cartes d'identitê et leurs permis desajou.

On estimai que, grâce à ces agences,plusieurs centaine, de communistes étran-gers ent pu s'installer eh. nen.

Les six Polonais arrêtes seront, aprèsMur peine purgile, reconduits b la free-tière.

Lya ttey le satrapeLe maréchal Lyautey possède 120 tenues

militaires.Il a construit, an alaroc, do toutes pièces

une ville entame et de munificence inutile,pour toger les services adminmstratifs cen-traux ; c'est une depenso de phis de e 100millions ta Il y tient comme à sonde predilection et la nomme « sa villecerveauns

itLa cotruction du palais do la résidence

a coûté 9 millions, et à millions sont pré-vus pour l'aménagement intérieur.

Ses automobiles personne/1es figurent aubudget peur 1.250000 francs, dont 405.000francs pour lt/ renouvellement des voitu-res.

Il a, enfin, d'innombrables officieen etcivils attachés à son cabinet.

Son cheval favori coûte plus de 10.600francs par an à la e princesse taEt maintenant, poilu, va te battre t

Du calme en SyrieLES OFFRES DE SOWIISS/ON

SONT NOMBREUSESBeyrouth, 28 septembre. Les blessés

et les malades ont été évacués de Souffladégagée ; puis la nomme, en raison duonnque d'eau absolu, s'est établie dans larégion de Alessifrey, afM de se ravitaillerel de /martela° ses préparatifs en vue denouseas opérations destinaes â réduirele reste des rebelles.

Les offres de soarnission arrivent jour-nellement. Les pertes totales en tués et enblessés pendant /es trois jours d'opéra-lions autour de Soueïda sont inférieur. àtrente hommes.

- La-, sonaumtapette eu sousmarin américain

TOU ESPOM EST PERDU DE SIl rissL'EQUIPAGE

boss-Ton, 28 septembre. D: ont tolitela nuit darnatate, on a essaya, malsvain, de relever le sous-Marin englouti.On a tenté également d'insufier do Yerromarin) ans Ses caissons. AujOurdhoi,des scaphandriers spécialistes des p120gus Dreier:da essalliit de p.ser ticdraines sous R tt S-51 a.

On espère, avec l'aide d'une farte grue,ramener le sousemaain à la surface de-main Presque tout espar do mtrouverl'équipage vivant est abandonne. Un sca-phandrier a fait des appels en frappaclsua la CriglIC du SOuS-11-larilt liVeC MI mar-teau, alvin il n'a seau alleltrie réponse.

Murs ee h Jeunesse fasciste

ELLE MALMENE LES FRANCS-MAÇONSRome, 28 septembre. Le Message. a

Pahlie la dapêehe suivante de Florencett Dacu la journée d'hier, un certain nom-

bre de personnes appartenant à la fr.,maronnerie ont eté apprehendées dans lesrues par un grimpe de jeunet peurs etMalmenées.

« Des enme gens ont fait irruption au.Pales, où ils ont sentalatefonctionnaires nrinieipaux franas-ntaçonset les ont obligés b démissionner.

tt L'étude d'un avocat tras eenna o aienvahie. D

L'emprunt-orlimeUmm sonar-ripaais américaine d'un million

Paris, 28 ,ptembre. Le président duconseil elennunique la note suivante

« al. Painlevé a reçu de ladministrateurt'allégué de la société dos eutomobilesForet une lettre par laquelle nall-ci an-nonce que sa enciéte sousere à l'em-prunt français peur une 20:11M0 d'Urihum do de Ranis, a

Osa-,

Les inondationsEN MINE

Deux miltions de sinistresPelait 28 septembre, Une nouvelle

rupture da I adigue sud du au. Jaune aprovoqué une inondation vers le Sud, la-quelle atteindea peut-ana Yang-Tse paele grand canal.

C'est la plus épouvantable An inonda-tions qui se soient produites depuis 1987.

On évalue officiellement à 1.500.000 ne-taes carres la superficie du terrain inonde.

Deux millions «habitants sont sinistréset il y a prehableinent des centaines denoyés.

La commission iniernationalo orgaelsodes secours,

D.aNS LA RUHR

mine Mead.Essen, lus septembre. U,, désastre qui,

ribose extraordinaire, Me causa la perted'enculai vie humaine, s'est produit auDuite Hante), près d'Esterarade, dans lebassin de /a Ruhr.

Dis vendredi dernier, Peau eomameneet3 s'infiltrer dans une galerie situe° h200 mètres de profondeur.

L'infiltration gagna rapitkinent d'aubesgaleries et hientet Pane. drille, s'écroulacompta/amena

Six ouvriers qui trayaillalent à ee mo-ment purent sait:happer sans ma/.

L'eau gagna les puits voisins et la mineOsterfeld u éta. envahie par l'eau.

L'on croit qu'a ne sera gesseno'MY

'd'emPacher sa destruction. m

.

Un Express dérailleBres!, 28 septembre. -- Hier matira l'ex-

press Nantes-Brest-Paris a déraille avantd'entrer en gare de Châteaulin. Il My apas eu d'accident de personne. La Reismotive, le tender et un wagon de 2e olasserein sortis des rails. Ln voie a ébi endom-magée sue Ulla centaine de n'êtres.

Ce araidement est det à lacar un levier d'aigaillage avait ata calaIl ec des pierres du ;minet.

CHRONIQUE DE LA T. S. F.

STATION RADIOTELIIMIONIQIEDES P. T. T. DE TOULOUSE/,engueur d'onde o 320 mètres

PROGRAMME DU 29 SEPTEMBREA 9 heures et à 9 h. 30, cours du marché

municipe/ des légumes de la vi/le de Tou-louse.

A 20 h. 45, informations de la dernièreheure, bulletin mét.rologique.A 21 h., essai de retransmission un pro-gramme de PEcole supérieure des P. T. T.

RADIO-TOULOUSELoegueur d'onde 1 432 mètres.

PROGRAMME DU 29 SEPTEMBRE

A 10 h cours da marché municipal deslégumes de la ville de Toulouse, changesde /a matinée.A 10 h. 30, répétition des derniers cours

des légumes, changes de la matinée.A 13h, 30, une demi-heure de musiquevariée :

Marche des Janissaires « 1770 a ,Gré-ira-C.1.0; Berceuse (AL Alersac); MyQueen teethanka); Arlette, ouverturee(JansVice); Sur les bords de /a Nivelle (M.Soudre).

A 13 la, annonce de l'heure, meteormbogie, changes de Paris et marchés re8.naux, informations de la matinée, sema-cles et foires.

A 13 h. 15, contient par l'orchestreRa.din-Toulouse, sous la dIrection do 161, Mua.

pdverie printanière (P. Wilbert); Troischansons russ. o Sonda, Par Pitié, Ardu-s/ka (Bracey); Idylle, solo de hautbois(A. Berthe); Ses grands Yoll. (MoiloolllliGirolle-Girona, ouverture (Ch. Lecoq).A 175, 45, Bulletin de /a Confédérationagricole du Stad-Ouest, Bourse de comme,ce de Paris, changes, Bourse des valeursde Paris et de Toulouse, informations.

A 20 h. 30, Speaker : Mlle Maddy Bertel;Variation des ahanges, informations de lajournae, derniers cours .rtaercieux.

A 20 la 45, concert :

La Grande Duchesse de Gerolsteinformatas); Appasionata lut. Menardi); Ri-

weit6.951,15,7,77.7

T T. TAUX Sosafifizzajmuianfiness7s-SZIL' essfesZ'Ud2DETIrs'urefigza,

Agriculteurs,__méeez-vous dont une partie serait soluble dans le réac-

InUroidr'e 'eV:gn'tYllr's fait par012-iffD nous revient de divers catis que descarters parcourent les campagnes pour .

reposer aux agrienIteurs d es semotiasde céréales Pllectfonnées et des engraisphosphatas. Ces Marchandises sont offer-tes sous le couvert d'une mu lune qui a Prisla désignatien e d'Office », sans doute pourjeter ton clou le dans las esprits et fairecroire qu'il s'agit don des Offen agri-coles créés par In loi de Mla G qui rendent

I

tant de serviles h l'agriculturesEu fait, il s'agit lies probablement non

pas d'une Maison de commerce, mais Munagents ayant ua simple bureau et ne pré-sentant donc aucune garantie sérieuse.

Inca qui concerne les céréales, les !courtiers montrent des épis de tout, beat.té, affublés d'un nom /mien connu et qu'Ilsoffrent h des prix tard.. (liés Menés-sous prétexte qu'il s'agit de variétas Pa-tiemment sélectionnées et suseeptiblesdonne, de forts rendements. Bien entendu,il est livra un blé quelconque et la ven-deur se garde bien de noter sur la facturele. garanties prévues par la loi chi 10mars 1925. De plus, l'acheteur a la desa-arable surprise d'avoir â Peel' eu Plueprix d'achat, des frais de transport élevés,car les expéditions sont faites de la ragrondu Nord.

Pour les engrais, abst aube Phase. Netsavons sous les yeux un prospectus relatifâ un phosphate naturel, dans lequel,ne sait trop quoi souligner de l'inexactitu-de en de l'aideee. Il y est question e d'unplmephate organico-minéral, qui se pra-sente sous la forme Men Inn. très fele-ble dans lequel s'est mempa lande phos-eierlque provenant de /a ddcomPositiod dela chair et des os de nombreux emimaux(eues, ThiarsetiroS, hyèses) qurt, aux OP.Mies préhisfterimms. vol da cannelledans telle masse de Ihnen, comme en -ra-meutent les quantités d'ossemenls qu'ony rel1C0r1 re

Ce Phosphate dure, d'après le prose.-tue, de 12 b Id O d'utde phosphorique,

torija (E. Carlo.); Aveu furtif (E. Four-dram); II est venu m'aider (Debussy).

A 20 1m. 15, aux agriculteers /e tempsde demain.

Confer.. agricole par M. arasas,secrétaire de l'Office des producteurs deb/é.

Causerie sur la triode par altle MaddyBertel,

A 21 h. 15, MMO Pat;, saprano dramati-que, chantera : Prie. (Mangle.; La Clo-che (Saint Simons); Chanson Slave (Chao.nada).

A 2/ h. 25, musique de danseLe Jaya-band (P. Lincke); Cid, tango

(F. Brider); Robby, fox-tratt (L. De/me-dia-D La Jaya du neue CE. marries).

A 22 h. 15, fin de l'émission.

La Vie SportnePOIDS

12111 MATCI4 RIGOULOTiCADINE

Le Carme de Pain a êta chat pour le matchCarlina-leneelei, qui doit se dereamer s o monta prochain.

Le grre de nomme le plus fort dc mondesets en jeu et la question de nmenarité de l'unon l'autre der deux athRtea, on espère. définiti-vement tranchée.

badine et Rgoulot renthealear rine madamed.7, nf L'un ei l'amm ont aonmas la

Iran ,lLes succès de Riantei ont éma Cadi., on

us mmaa hérité à défier l'enDinvinate. Rigoulot,en athlète gel a confianne dans ses extraordiastres moyens pbysiques, a saunât accepté lodéfi.

Depnis un mnie, CariMe nrénere à agrondison redourabie adversaire. Ses progrès sont teisnue ,au amarre ont pleine confiance lû.

Riaealei ne reste pas non plas ihestifs il senqm la partie est ,,,Sa de eoaiénaences po,cm meulai nou le verrons done mendrsa p.tion sur le plateau dans une forme ausi par-faite one le jour où ers plus beaux recmdsmondefurent bmius.

A mana de ce match. il est très Miérês.ntde signaler que le retord du monde de l'arrachéà deus bres an battu hier simultanément puIttgoulot et Cadine, rea excellents athlètes av,.110

Taddis non Rigoulot opétait à la Bade, Cadineréussissait la mètre amfammence à Maar., enprésence de MM. Boyer, Delathat. Lean ô&

Cadgre détenait le record sq. I17 Ehe 500.A can fautsil l'atnibuer

RUGBY

SUR LES NOUVELLES SEULES DU RUGBYLA SORTIE EN TOUCHE

C'est chose bien décidé Les matches demea se joueront deeermaie, en Fiance, nonformâmes. à un code gni, sur ...m .,. Petdéité:em eemiblernent du code britannique. Eneffet, tandis que /es Anglais PaDireet 'eut som-me Par le passé, botter à leur ara le ballon di-rectement hors des lignes de touche, nos joueursn'amont ce droit que lorsqu'as se trouve.. aadeça de la hg. des 22 mèdes de leur camp.

Ainsi nous sous sommes eonvertis Oindremon, néonaandaire I laquelle /es différentesUnions britannique, n'osent encore adhérer pourcette rais. qu'elle leur paraît propre à rendrein jou si rapide qu'il ne pourrait être pratiquéque p. des professionnels.

C'est là, à none avit du tanins, craindre d'unemanière excessive. Rien ne prouve qu'elle soitiactement fondé. En tout ru,, devant le tris fâ-cheux caractère qm 01050,malt"dela..que/ques années, importait surtout de séagir.Oncommençait, en effet, à ee lasser grande-ment de voir lea parties ipterrompuss u toninstant parce qu'une équipe faisait reposer uni-quement tactsque mir la sortie da bailun entouche. Inini, rata la ,O.Cliaa nu code, trou-vait-mi mile de lu manière la Pies considérableau véritable esprit du jeu.

pesa nu ce on ait continué à profiter à l'ex-cès de la to/értmce du code, ou pluton s tireravantage d'une lemme qu'Il présentait, le signdu bal/on ovate stem sone doute perdu t.ttérêt.

vert da nouveau règlement, ce dangersera probablement écouté. C'est bien là le pri -m.!. Au reste, il est posibb que son apigicna-tien siée un flottement

momentané dans le 'eufrançais. Mais ce/a samait avoir une Ion' edurée et. somme toute. si notre engby travers'een effet de ln nouvelle lei, une entame périoded'incertitude, on doit espérer qu'il en sortira trèsheureusement rénové. Colinot.,Vana

franes les MO kilos.Le prospectus dit quelque part I II y a

ph.phate et phosphate, eomme il y a fa-got et fagot. Et out, il y a phosphate etphosphate. 11 y a des phosphates minérauxinsolubles, dos superphosphates nouilles;il n'y a jamais eu de phosphate neCurelorganise-mn-Mal, quelle que s'ait la maçonélégante d'en expliquer l'origine.

En fait, il s'agit d'un mauvais phosphataRineral, ce que demontre sa faible riches-se ; un phosphate de la Somme, h Ii %qui peut etre comparé à cet engran, ontactuellement coté 8 fr. 59 les MO kilos,an sac. Il y a loin au prix demandé.

D'ailler., on cOnnaît bien le prix dusuperphosphate, dosant 14 Xe d'acide phos-phorique et qua nene donnons le chaque!phorique a. 11 vaut actuellement 22â 23 Mates les 700 kilos etun o' Mande plmsphoelque stable Pansreee, dont la valeur pratique en bien su-périeure à Mai qui est insoluble.

Ainal donc, qu'il s'agisse de semencesd'engrais, les agriculteurs sont nettementvolés, c'est le terme rant. Certes, ii y aMen la loi de 1925 gai permet de . ga-rantie contre ers sortes de tromperies,mais elle est peu connue des agriculteurs.AlleSi conseillons-nous â OeS derniers derenvoyer purement, et slaildament leseourtiers qui viennent les solliciter ebesoux I' existe suffisamment de bonnes mai-sone, livrant en toutes garanties, d'excel-lentes nairehandises, peur no pas avoirrecours aux ceurfiers plus ou mons mar-re., qui caureat les earnpagnea0

Au jardin petager

Les semis et plantations que nous abusrenseignés dans les preoedentesuns, sont h présent terminés. Les re/braatomes se hâteront de faire un semis

pinards, mâches et cerfeuil. Orm préconiseberreacam Io repiquage des épinards, relis

-------ÉMISSION D'OBLIGATIONS

de la Société Méridionale

d'impression

Il reste encore à souscrire quelquesOBLIGATIONS DE CENT FRANCS,

.productivcs d'interdît à 6 p. 100 nen

tira par ensemble de I actif social.Cg, titres sont nets d'impôts présents

et fat.. à l'exception de tous =nits detransmission et de conversion.

L'intérêt est payable annuellement leles août cle claque année.

CRa obligations sont souscrites jutes%fin septeuebsc au coure de CENT UNFRANCS.

Le deuxiamecounon d'intérêt est payashic le ler août 1926.

Loa sOlacriptions stilbs reçues au Siège Ide la Sociéc6. 36. rue Requelaine. à Tou.loue,

Compte de Chèque postal n° 5277, àToulouse.

a-susw;

PETITS FAITSA PERPIGNAN, ON ARRETE

UNE MAGICIENNE

cuall entonné plus de 200,000 francsPerpignan, 28 Septembre. Une scandaleuse

again./ d'escroquerie lassée en la pratiques lmplus inemiumblablea da fétichisme, d'alchimie,sir magie noire et blanche vient d'être décomvcdc Perpignan Grâce à sen audace Mgrs.

maidulité gratrimante de ses victimes, une carsmergreme d'oc.dou, Mine Fonsigedail, figés de

3 'del. a , SOtriae yaa . espbees .tt mar-tondra phis de deux cents mille francs à deuxlemmes qu'elle a ruinées.

D'abord terrorisées par la persp.tive dei, vertsgommes de l'ausde% blmar`frsatainette Conadardet sa sieur Jeanne, les deau crédules gardèrent/e Mien,, puis elles infonnèrem de leur malheuraverses personnes amies, mu mirent la nome

coomnt.

La sorcière modern style hg arrêtée ds. lamaison qu'elle s'était offerte. On ,saisi chez elle,

chiot, a oc r as e redansés à ges Mentes peur calmer les invisibln.On y trouva de mut, depuis des peami de tissejvsqu'au piano, eh passant par des essenc. deparfum, dee pmduits comestibles, des draps delit et des stylos,

Lc mari de /a voyante, un peintre très connuet très estimé dans le monde dés ans, a été laisséen liberté-provisoire.

Le DERBY du BERGER d'ALSACEaura lieu les 24 et 21 Octebre 1926

[UNS-PARE, PARISIl est doté de 29.200 francs de prix dan t unGRAND PRIX D'HONNEUR DE 1.000 fr.

Renseignements au Secrétariat11, Rue de l'Union à GAGNY 18.-01-0.1

EMPOISONNES PAR DES CHAMPIGNONSCmatehle, 28 septeMbre. La familln Chinon.

composée de earea Pararaa. a été emOssi...4aer dei champignons. Lu, lineus ane de 9 ansstuc garçonnet de 5 ans ont uccombé. On °pênesucer le père et la mère.

UN CADAVRE DANS L'EAUCerceau.. 28 waterabra. La hman La

Diligenta D, anivée le 26 s.tembre â Péclureda Jouarre, commme d'Azille, a fait surgir deDm un paquet vehminen maint., au fondpar de gro.ca pierres

Aidés de l'éclusier. les hommes de bord ontramené avec une gaffe ce paquet sur la herge Ilsont constate mo le corps d'un homme, dont l'unde pieds dépe.ait du sac, y grain emermé forte-ment ficelé avm du fil de fer. Le corgr avait étéplace dans le sac, /a tete en bas.

Le parme Most transporté laier matin 5 l'émirs.avee M. le docteur Soum, médecin lésine. L'am1005e e relevé qu'on était on présence d'unhomme d'assez forte corpulence. Osa re/.4 à labase du crâne une fracture du dinsi droit. Le carpea été De dan le canal aprfis la mot, Le cimerementamit a huit ou sût. Dan.

La vatima est uu homme d'euea ante cor.-

pratique est SbrIoUlred'Y'qu'on Ma pn Semer au momNous avons sema finment de septembrCdes lales différentes races de chmoment de repiquerdans tanté /es plantes provenaet d,

repiquage nous fournira dfortes et aussi pins r"Continuons toujod,

des besoin. Ibtiolemeiroles, céleris.

I,ea engrais liquidesabondants au jardiajonrs, dans la mesure dles à feuilles ; nodives,chou... verts, ela Nousdans un potager, perdreRaer les parties /Mass ; ne-

'm. an (diens !endealts dares sont enlevées ; émaliannsbillons par un coup de ratcay notre reste de semence d'maches ; ne sont bien Sollvdo ce semis qui nous donner,leurs résultats à la sortie deRut si l'a/Marc-saison a Ctéverable,

On cultive souvent, en pleinaveir une plus belle vegétatiplantes d'ornement ; telles sent

: li, gêraniunte, fuchsiasmontants... t'eat le marnent Mueor, afin qu'elles aient le

mye, de s'installer dans Muro do nouvellco racines. C

ont mises perlant quelemebra, ceci pour en faciliteselles seront ensuite placéesen plein soleil. Par suite des' pliarrosages, le terre des pots sefera bien, si le en Se présrer la surfanon à l'aide d'une

15001m abois et, par la merua menden,raniY",

pour arracher les mayen./'a,mii,feuiller jaunies. Fin de ce Mais, délfilltem, les gelées pouvant se faire seubaprès Un lavage das pals, nous les rerrl

rens dans l'habitation poue y paner lli.ver, en ayant soin de les placerdans 1Sendroit bien éclaira.

lence, Laide I m. 65, âgé da entûteao menviron, blond, chaîne, portant la barin na éntrouvé tee d'un pantalon de tcdo, .mise s [aeSorr, gibt de flanelle, Is 16n monyens d'uno yeera et d'un aile de tale MiCactserré atmol du cou nar un fil de fer Ses rgrosémient crolsécs et fortement sodées aux nespar un fil de fer et nee pieds attachés ami haun fil de fer à le hgrteur des amfilos,ovni était cebn d'un homme non dépends la,.gunre

H était porteur d'un bandage mengre uni setant de la maison Ralbauel. pharnmcion, 7, nede In Rallia., à Memseille.

Deo le ne, il a ete trouve r-rama finou, Ranh« A. D. Mi le cari deorneveheha ennnglantén, des bonis,, à lens, maisme de chau.eues.

ENCORE UN CRIME DANS RN WACON

Versailles, 28 septembre. - On a couvé, uee.ièvernent blessé, yiti de la gare de

Pod-Msrly, sur la voie ferrée.sulenme élégensInent mem, Mme les poches &saride, papiers au nom .de .0,0, ni Ceci, 96,Saint-Lazare. à Paris. Le bless6 a été componédans le cms à l'harda] do SaissaGennairs. SuLino n'a pas permis de pmeeder ê un intenepatoise.

Li première brigade mobile prévoir., ésetransportée on insa Mme, C., I oOaacd'oncdent on d'ores et drie écartée. On croit nue Ir

esse a dv eue pfgete sur In ma lolos iil'in,,érnek d'un wagon /I n'avait sur Ici,, anme d'argent, ni bile.. Il en donc énilcui elnese été deseise amant/ment.

M. Men Goifieri, âgé du 23 an, m000lniaArts ecoratIfs, s'était marié, il ra Minune première d'une grande maison ris conn,mais continuait à anal.: mn a Pneu,'Cloud. Il mode peu le dernier min, hie 01r, ,esrentrer chn Jui,

En cinq lignemReval, On mande de Mon00 sa'ag

aaamite e.aidérabh de valeurs et d'a.. 46am estési à l'étrainer se phasestant rte rfeniiiiladan. In l'ana.. et dans dos .ffmsdotts Onmdepuis l'émblissement du régiment holding°ont né expédiées à Paris en nue <Dise reahkeleProfitable filà-Bovese.

L. Cso. Tram an..., dea ara

nui à berd loua ancien aganet abd do5 ara sudafrke .

D'autre part, cm magrle de Dag.° cpse 46brenx grévistes eut ienerrié lein bord pane'sont à met Tes...

Arènes de AmersLA GRAi1 CORRIDA DE GALA

DU .4 Sitil:TO.BRE A .BP,Zeg,

mm, ,Js,imdrai mois roao05Od0

Oco:,:n7ese;q: sou

tent du . c a, itanDazs sd:uleu nqoldeeilaad

ounorlordure à expédies. Er c'est leu,, PM.

Le 4 octobre Sa/mt pran4.6,6'dans la belle Plaza Biterroise ni

6ecnrciencieus, en même tempe qui,,ga a :sof, apa.:or,la;b:I:ezs nc,x,,...,,bags

Sm

eit;,,a'd

Voila dsur s0 cnn'

nr:,

oectLwp.rdigris4cede.:,°..to.re...,,,_.».........,n u6a,aul,

Avis importantas tifil

NOUS INFORMONS NOSACONS. sai

LES MANDATS PRESENTES/POSTE SERONT MAJORES 1/Ea1111.0N 11ES FRAIS DE IIECOU

!111115 P1105108. enET 'ita ONT DONC INT-- sieNT

A5'.tNT SON lOXPllt.t255t'4' l'aEN L'.nDflIPSst'iT l'aIt 5"'15g

FAIRE PARVENIR DIRECT%,e_10MONTANT .DE LEUR AB

eroTAL. COMPTE 527O ft. 25 DE FR,USe

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: sv000s - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925_09_29.pdftant sureMs ne soit encore venue par mies antre source, eau exactitude est hors de doute

û le maire, mandaté par l'asseintiVée0rrnir POU assister, avec M. Lafa-

irdrvlile,l'acati' a3lieCrt dge'p.i., ne Pourra Pas donner,

santedi prochains, ses audienceset

REUN10N DE COMMISSIONS

due linaenemeL

'Réunimni

5271 reues, mi Capitole, salle'd'elnt'Bis

bliteiion des Marchés. Réunion

g reitre.ardsaiie21%Ptitibliotilvecl'Itemant'.à

Ordre du leur Marche ,aux salaisons,place des armee.

Commiss.n grands travaux.Ri:union de la Commission des grands-eaux

demain mercredi 30 septembrecrut, à 21 heures, au Capitole, salle

In Iliothèque.

pg /a Canetière au Caritole

dier. L'administration l'apromis_Erleiéaraltut?

lissat Ce serait parfait si les haut-pars

parait one l'obscurité de leur langagedisparaîtra d'ici peu. Cru doit y cerné-

merlu, un véritable omrage en la réa-a eu me excellente idée, et, je le dis à

I eurs s'exprimaient clairement, mais il

itt eu le récit de ce voyage aux bordeIlaCiarenne, ert, tout de suite, le sén.

rire collègue Billières de Toulouseteurimaire

Flaissières. s'est déclaré en.

Sans dente, le résultat n'est pas in,

Hier dans un entretien familier,notre confrère du Petit Provençal

S de sa visite au Capitole.

deux visites de délégations, noue

médiat. Au bout de si peu de temps onmurait rementir de mirifiques effets,

mai, la municipalité toulousaine errerarhef ont pleine confiance en cette expé-rience. où la T.S.F. vient au secours dela lotte centre la vie chère.

Qu'on le comprenne bien il ne s'agitdune la Denrée dm édiles loulous

sains de foire une concurrence aux re-vendeurs II s'agit d'obliger ces deniersà matiquer dos prix de vente à bénéficenonral et licite, et par là même arriver

maittiser la force sans cesse grandis-sait, des mercantilismes scandaleux.

/es marchés au détail qui se Dennetûmir les lierûevards: aux C,annes, à Saint-Cyprien, sont en quelque sorte, dominéscar la voix des hauts parleurs et tommehem.rco de fan-unes possédent des an"sarde de réception à galène. toute lapraulation, dès 8 h. 30 du matin, est aumurant des prix ainsi déterminés. s'Ems Moutons une, à l'exemple de la

mmicipalité tomousaine, le Préfet dePolice de Paria a déclaré à l'un de nesronfrères, qu'il était dispose à faireionnaitre, iras toux les mmyens à traverstoute la capitale, de bonne heure, lesDix de ce grand marché régule.. oui!fPnelle les Halles Centrales.On le voit l'idée première de la ntu-

rareté toulousaine fait du chemin.Eu terminant, il nous sera permis

d'aicinct me dans la lutte contre la viechère, ce n'est pas seulement pour lavente des légumes que pareille initiativedoit louer, mais pour la plupart j'Os pro-duits, los fruits, par exemple, devenuel'Un cric exorbitant. Et la viande ? 11ruer curait il. une circulaire récenteadressée au préfet, qui souligne lesé.cre considérables constatés cette le'limbe' Mx bestiaux et l'étal des hon-orera, Le,ler est gvand, causé bar la cherté

li

la vie. "lent songer à des remèdes énergi-relue appliquer avec courage ; Fin-slsd

trot général d'une population cormnerelie de Toulouse se plaçant bien au-

e%niini_di)tous les petits intérêts partici,

-

Le portefaix succombeà ces b:essures

nahrtefaix Damien Gni. de lisils'sJié espagnole, qui, jeudi après-midi,si nue nous l'avons relaté, avait été>tenté tue Alsace, par l'automobile

docteur au moment où il débau-'sign. de la Me du Salé, en conduisant uniras, est decédé, cette nuit, à

ure ulrr matin, à FbiételsDieu. dese la commotion cérébrale

tvéeC.P. demeurait à Toulouse,

'i9'a,r,1e de rIndustrie. Il était âgé de1.81,1,

fa cmlarY mité einfh :rab

)0(

Pour que les lettres [enfermentaux soldats du Maroc

c)eu . ,uvlent aes retards apportés

dusiy 'L1]..tere durant les premiers motsdesTrs Le tempo remédia à cet

nue Oc il se reecoduit identi-beafilgs'asec depuis le début de nos!tu, Albd-elsKrins.

nva plusieum lettres éma-s 'vete,urs se plaignant de, la

SeMérante des correspondan-aeadae ,du Maroc, que ce soitsù Par bateau, les lettres artelment car destinataire.

..les yeux une lettre2e aérostiers datée du

oui depuis /e 28 août n'a`s1s ss lancine, chaque

Au Capitoj

Wh', lui expédie des lettres et des iour.néant par aVion

Il doit y avoir un remède ? Il y amu:ionca des remèdes guet que soit /erecul, On sait combien le facteur moral

C'er mi/nrrle'C'arj:ce.lace-Zrririfeejrnétat de la santé morale. N'ajoutaaa pasà tu souffrance ph.ique, Ira afftee dadoute et de l'angoisse.

Nul doute que cet acrel sera entenduet nue nos poilus du 1Allaroc. recevrontplus vite les lettres si impatiemment at-tendues ! D.

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Choux, pesant plus de 2 kilos, 1 fr. l'un;carottes, 28 à 30 au muet de 3 =os,1 fr. 90 el paquet; oignons gros, par

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LES MAGASINS

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Célêrbge/hut le 21^ ANNIVERSALITEde l'ouverture des Magasins

Des surprises agréables vous serontréservées.

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paquets de 78 pesant de 2 k. 700 à 3 kilos,o pr, le paquet; Menions /noyons, parpaquets de 24 pesant 850 grammes, 1 fr. 25le paquet; Oignons petits, 1 fr. le pageot;aubergines, 0 fr. 35 l'une; céent, le piedOs SOU Es., 0 Th Porc scorsonère, 2 fr. 50 lepaquet; poireaux, de 28 à 80 au Paquetde 2 k. 700, 1 fr. 75 le paquet; poireauxgielits, 0 fr. 90 te paquet; betteraves,0 fr. 35 l'une; flemmes de terre Institutde Beauvais, 0 fr. 60 te kilo, 1 fr. 15 lesdeux kilos; tomates, 0 tri 60 le kilo; ail,0 fr. 20 /a tête; navets, de 23 à 2.4 aupaquet, 0 fr. 15 /es deux; haricots engrains, 1 fr. 70 /e

Taus cru produits, fournis par la Sociétécoopérative des pros/a:Meurs maraîchersde Toulouse et des communes environ-nantes, ont 010 récoRés hier.

SOARES- ET JARDINS PUBLICS

A partir du ler octobre, les squares etjardins publie sseront ouverts à el heureset fermés h 21 heures, à texception du.fardin des Plantes, du square Armand-Duportal et du Pare Teubusain, qui se-nnt fermées à la nuit tond:net,

BIBLIOTHEQUE POPULATREMUNICIPALE

A partie du ter octobre, les heuresd'ouverture sont ainsi (bides : matin, do30 b ft h. 30; soir, de 2 heures à6 Ir, 70.

C/IAMBRE DE COMMERIE

Avis aux reit:Cite° teer" rzuSele, Nortège,

La Chambre de commerce de Toulousereçoit la note suivante de l'Attaché coin-mernial de France en SUède

« t'attention des expéditeurs de cutis-postaux destinés à la Oc du, la Norvège,ln Finlande et l'Ethonie est attirée sur lesavantages que grémille l'utilisation dufourgon direct Paris-Ma/mo, par la Bel-gique et PAllenlagne.

a Les colis acheminés par ce. Rampedirect sont transportas sans liansbOrde-ment de Paris à Mali., d'oh ils sontD/expédiés sur leur destination respec-tive.

a Par cette voie, la durée d'achemine..ment r Paris-Stoekholm est de six jours,Parts-Oslo est tle six jours, Paris-flelsing-fors est de huit jours, Paris-Reval est dehuit jours.

a Il est recommandé aux expéditeursvoulant utiliaer ce mode d'acheminementd'inscrire su rieurs ce/es, ainsi que me lesformulainra ireeipéditelon, da meulier,« par fourgon direct Paris -Main. ».

é Actuellement, le départ du fourgondirect a lied le jeudi de chaque semaine.

« Les colo doivent 01e remis au plusLard le mardi Soir dans les bureaux deville de Part et le muni, juSqu'à 05 heures, à la gare de Paris-Nord.

COMITE D'ETUDES PS'YelllIQUES

li est rappelé que la conférence annon-cée par T. g. le Hu poste Radio-Toulouseest faite sous Ms auspices du Comité d'élu-des psychiques, par 31. Grenat., sur 4,sujet L'hypnotisme en matière corn .moniale, juridique, médicate » et aura lieule dimandhe 4 octobre, à 15 heurs, dansIre salons du ca u Ehcbts,

Les pet Men. des deux sexes, et euparticulier les étudiants des Facultés demèdecine, des sciences, de droit et dePEcole de commerce sont invité,

L'entrée est absolument gratuititACCIDENT

Hier soir, à 8 h. 25, le nommé Lesplan,48 ans, demeurant rue de Pludustrie,passait à bieyelette es carrefour Lafayette,lorsque smedain il a perdu l'équilibre etma tombé sur la chaussée. Dans sa ebute,il s'est fait une blessure derrière la tête.Après avoir amati des soins à ln pharmacieDastan, il a été transporte à son domicileavec In eamonnette minucipale

VOL DE LANGES

soir, I h heures, sest présent.:M. François :Marquis, demeurant cheminde Croix-Daurade, qui a porté plaintecontre Iliceinu pourvut de langes commesdans son jardin, hier soir, à 20 heures.

IVRESSELa nommée Golias Germaine 34 ans,

fille soumise, demeurant rue du Canal,trouvée hier soir, à 9 h. 45. rue

AlsaceI.rraine,en état d'ivresse, a été déposéeA la geôle municipale.

PARTI SOCIALISTE (8. F. I. 0.)

COMMISSION ADMINISTRATIVELes membres de la Commission Administrative

sont pnes d'edams à la réunion grt aura lieuce sera 29 septembre, à 9 liernes du soir, asCafé Chahau.

Ordre du joh : Questions d'ordre intérimsportée ev.m cantons

Le snrétaire r Rouch.rtrie éducative par le secrétaire sur le Sortalismcdepuis ra naissance et les problèmes économiques:3° Adhémons, 4^ Cotation.; 2" Questions di.vel'écs. Le Secrétaire r G. Belbne.

Les mi/items et sympehhants duParti mont cordialemem invités. Le secrétaire es-père que tous les membres du gmuire se fémenun devoir d'être présents et d'amener avec busleurs amis, afin d'honorer de leur nré.ance aulne

donna toue entier à la classe ouvrtère.GROUPE DE BONMOURE, GUILLEMERY

ET PROVIDE.NCELes militants du groupe sont priés d'assister à

la réunion mensuelle qui aura lieu le memredi 30septembre, à 21 heures précises, au siège, grandCafé Pérignon

Ordre du joh r I° Acceptation d'un don terrergroupe par un camarade natit du quartier habi-tg. punis mande photographie jané.); 2^ Cati.

-

VIE OUVRIERS

Chez las Trnmilleuss de ln voie. anisedu Jour

Les Cheminots Confédérés de Teedouse réunisen assembHe générale le 15 smammbre 1975. à I4Bourse du Tmvad, après avoir emendu le comptemnitu du Congrès Confedésal National, sur lesdhereses questions qui ont fait l'objet de l'Ordredu Jon, se félicitent de la tenue de ce Congrèsou 350 Syndic, des Cheminots émient reniés..tue et constatent une fois de plan que, nolgréIre polémiques, //laissé les insultes diverses déaer,rées sur elle ainsi que sur tom /es mditants syn-dicalistee ta C. C. T. est some grandie de Con-grès, et avec l'espoir do retrouver sous peu, laforce tarde qu'elle avait en le19.

Cele pour lui &nues /a poebilité de coursuivie jumnaht bée la Iatte mrelle s'est tracéecontre le capitalisme et l'impérialisme national etintennational.

Lui font confiance pour, faire aboutir les reven-dications d'ordre irénérol nui los ist,ressm asmenue, degré.

s Application intégrale Ira 8 heures, salaires,aceitients du travail, contrôle ouvrier, réintégra-tion do, cheminots, ainsi que la réconciliation dotous les peuples. n

Adressent un pressant appel aux cemoadcsnon syndiquée et non confédérés, pour veine DesOr loi rangs de leurs atm..., respectives.Ainsi que /eue synmehie ms eive= d=,

ma eut soutenu la lutte <reine leurrer,planeurs avec une tenacité exennilidie.

Se séparent aux cris de Vive la C C. T. 1

Vive la para t Vive l'internationale Ouvrièred'Amsterdam 1

Union des chemin, rétrogoes. Les chemb

emmisammeammummerearaumnaratmaceserramemerre

BANDAGES-CEINTURESBas à Varices' timbres trIiitials

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eaaricatfen ear arescra Grar ordonna°, merneemMarron tu ples moderno tis migre.

Itraluotifir h 16, sautât.. et a hurs Paragearammem,

nGs révoqués sont prie d'asmister à la réuniongénérale le jeudi ter octobre 192S, à 20 h. 30,à la Bourse du Travail.

Ordre du jour Cmnpte rendu du Congrès du20 septembre it Tours. Présence de rigueur.

BOURSE DU TRAVAILOn den-rende ouvriers pour fabrication chaus-

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Syndicat généra/ dee emp/ouér Ais cornmereindustrie Les camarades syndiquée sn

imités à esister /e samedi 3 octo.bre à 9 heures,Bourse du Travail, à une réunion généra/e dessyndicats

Les délégués au congrès confédéral rendrontcentaure de lem mandat.

L'irnportan.ce de cette séenion n'échsppera àaucun et tous viendront écoutes les décisions Pritses au Congrès et prendront eh-même /e motd'aidec pour la campagne prochaine.

Union cire Redirais. Il est sappelé aux

d

se-

tsr'".drrour .,2rgarera laonesdirjrrnir :i21 heures, grande sallc de la Bourse du Travail,à l'effet d'entendre h compte rendu du CongrèsConfédéra/.

Syndicat dei encriers des mimes. Le Semé-taire du syndicat informe les retraités que l'artminismatton Ment de lui faite connaître que lesarrérages des indemnités de cherté de vie serontpay-és en même temps que le complément de gen.sien à l'Odes., d'octobre. rue Roquelaing

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erque et dednalion ph.aria jeun et hrares ci-dessous armardi 6 octobse120 h. 30 1 adulte etn 20 it 30 a'",,r/°/../ raidi8 cercla,,

Ln. membres du bureau sont a/Am/verne.t 9 heures précises.

Pin locdr de laCele Parée. Réneion derasaCaléI071

COURRIER ARTISTIQUE

THEATRE DU CAPITOLEPour répondre aux très nombreuses de-m n e renseignements qui lut on/ ete

adressées, S Direction du 'théâtre du Ca-pité& a l'honneur dinfornmr les intéres-sis qu'il existe trois modes d'abonnements:le premier, dit a l'année tt, donnant iedrott d'assister toutes les representationxqui ont lieu en cours de saison ; le deuxiè-me dit a ou o . I hlPlusieurs représentations . par semaim,pendant toute /a durée de /a saison ; enfini'abormement exclusif me matiaées du di-manche.

Ces deux derniers abonnements procu-rent l'avantage appréciable d'avoir /es pl.eu réservées régulièrement, te jour chosi,Lie. clou "nie. etre l'importance dup.ectaeie : créations, premières, etc.Les abonnements sont reçus tous les

jours rs ovratdes, de 16 hu àeres midi etde 15 18 hmres, an bureau du Secréta-riat du Théâtre On Copilote (entrée rueRosaient), ou par correspondance.

SUCCES MUSICALL'Hamm-de Delavrae de Muret, de se-

tour du concours de Vichy, où cette so-ciété a remporté les prennent prix, se.de passage cm matin dans .tre vide.

Cette société défilera entre 9 et '10 heu-res, rue Bayard et rue Almee et sera reçuepar la Alunicipalité, au Capitole, à 10 h I

)

EXAMENS ET CONCOURS

FACULTE DE DROITLes inscriptions aux examens de la ses-lion de novembre (capacité, licence et

doctorat) sont reçues du à au 12 octobre.On peut se faire inscrire am examenspar correspondance.

AUX STENOGRAPHESET DACTYLOGRAPHES

La 88ine Session des épreuves généralesdc sténograpnie et de MetylograPhie, or-ganisées par l'Association SténographiqueUnitaire depuis 1882, aura lieu le diman-che 22 novembre 1925, à Paris et dans ungrand.noreine de centres des départementset de l'étranger.

Les inscriptio. pour cette session se-ront reçues du ter au 15 octobre 1925.S'adresser aux Bureaux de PASSOelnej011,

MM de Chabrol, 52, Paris (10e), ou 5 Mlle/./ennonneau, professeur, 1, rue du Pont.siuilh.nery, à Toulouse.

)

VIE SPORTIVE

AU FOOTBALL...CLUB TOULOUSAIN

C'est dimanche 4 cétol. qu'aura leu l'inau-guration officieffe du nouveau Stadium de la Pm,drerie. Edifié .elon fonithe moderne entièrramen tclêturé et doté d'une belle tribune spacieusele &Amon est appelé à attirer dans mn <neer.°la périghêne sportive des quartiers avoisinante

rsDes peonne:fiés officie/lm présideront à cettefête spettve et un programme de premier ordrefigurera à cette inaumnition masoue athiéesmeL r.e-, seront à hhorincio Un excellent erhes-tiedévereis des flot, d'harmonie et nul doueeue te, enceintes ne raient trtp petites pou, raretenir la foule des sportsmen quê youd,ont encou-rager l'inhiative hardie des dirigeants du Foot-bail-Club Toulousain de doter les stands

St..Agne et St:Michel d'un Stade Moderne.Nous reviendrons am le programme officiel de latournée et nous nc shrions mppe/er que les car-tes de membre hertoraire de /a saison 1925-1926seront exigées à l'entrée et qu'on peut lm retirertous mire .0 sn,s ces Gal, alléeOr. Aine,de 10 h. 30 h 19 h 30 crii Permènékén 'ceétablie d'are, et déjà.

CIRCUIT SAINT-MICHEL

La coma excita. Toadon.-Villenonelle et re.tom, organisée par M. Bamou, avec le contrera,des Wlite-Devile Tou/eusains a autres dimancheet a obtenu un réel succès sportif. Le anniété donné à 14 h. 43 par M. Fomnier à 27

mcou-

res devant /e Café Music. elée St..-Agne où aeu Mea éga/emem l'arrivée.

Amas un pare (henns très en es,né r 30 kilo-le classement a été e suivant

I. Paze 1G OC), 2. Hébrard (J.S.T.). 3. Pra-vif, 4. Passeur. F.G.T.), 5. Courdil, 6, Res,7 St...5..e, 8 emmeruo Laban Bohas. Bonnet,

Annilhat, Rous. Gay Lute. Bac, lé. Blanc I.Pradelle, 18. Raimond; 19, Richou, 20. Limbe-corn 21. Fournier, 22, Cousis/el, 23, Armengaud,24. Lagarde, 25, Pieu, 26 Bourel Un seul ahandon par suite de crevaison a été égnalé.

La 1 e nne des vainnueur a été de 32 Se,. àPhonie. Organisation parfaite, suldic nombreux

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Dr tout le pareers.Le Comité organisateur préviem /m couse,

ayant pris part au Circuit que la distributiondes prix aura lieu demain mercredi, 021 heures,ers siège des White Devil. Toulousain, grandcarié SaineMicheL L. L.

THEATRES et CIIIMIASTHEATRE DES VAR/ETES. Ce mir, à

174-1r, 30, paris tournée A. de Mena, non laPremière fois à Toulouse. teand gela 'hum °a-lien « La Tema (en italien) avec M. Alhe.rtode Marta, dc la Pergola de Florence; M. RaoulAjani, da Conatan. de Rome; Mlle Lina Draa,de la Fenice de Verte, a La Toms opéraen 3 actes d'Eliot et Glace.. d'après Victor,Sardou, musique de G. Puccini, proprtété de laméson Ricordi et Cie, Parts.

Crue représentation s'annonce commranement artistique de la saison.

La location est ouverte.THEATRE DES NOUVEAUTF-S. Ce soir,

changement complet tr programme avec 11 dé-bets senntionnels Ge.ky, chanteur eiollo deamenés Must...Ha/1a do Per,,le na, Aar., eateMK 1Kdem., le jongleur Delco; De Lyautey, mis-matis act; Mer,. ab.siudbomedron; les Beekooa,

le eonverre Avide; le fin d' con Crevel-hmur Eesentrique Dacie, la fine diseoe Lucil/Y,

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LISLE.EN-DODON

C'ETArT FATAL I Les socialistesl'islois n'ont guère été surmis en altiPtu-nant Que le très sympathique Duc. dé-puté, conseiller général, s était montréhostile à en accort avec les conseillersgénéraux socialistes pour l'élection du

rot. TOUS LES DECE3. /MM SAINT.CYPRIES

1TADVESSER aIl RIMEAC SPECIALDE Pontifia FINESPES

IL RUE CE LA REPUBLIQUE,

bureau du conseil général et des com-missions.

Non seulement nous connaissions lesPalinodies auquel/es M. Ducos a est ILvré dans notre canton xu coms des difsférentes campa.gnes électorales, mais en-core à la fête locale de l'Isle, le 13 sep-ternbre. où il prononça un discos.ca àtoccasion du concours des voitures nem-Des. il arriva aeeomPagné des chefs dela r Ligue Catholique » et de l' r Actionfrançaise o, lesquels ne le quittèrent phispendant toute la durée de la fête.

Ploa tard. dans le canton de StsBéat,n'astll nos violé l'accord fait avec les

COSTES, Couronnes Mortuaires25, rue de Rémusat, 25

Paul: «Marius EOSTES, l, ria Il 1131111

socialistes en faisant campagne, pour lesélections cantonade, contre le candidatdu cartel ?

M. Ducos préfère sûrement la réactionon revient touiaum à ses premières

amours dit le proverbe. .

Et l'attitude de Cazamus s l'indéfec.tille républicain D , n an-il point causéquelques déceptions à nos très sectairess Be:somaliens » ?

Le parti radical a jeté son masque !

tant mieux, la lutte sera bien plus claireet notre propagande Plus aisée.LODone de sonnilidop.

GROUPE. SOCIALISTE Réuniongénérale samedi 3 octobre à 8 h. 30 dusoir au siège. Présence de rimeur.

Ordre du lotir : Mise à jour des carteset feuilles de cotisation: questions dives-ses, Le Secrétaire.

LUCHON

NECROLOCIE. Mise au Point.Au nom de la section il est de notre de-voir de faire savoir à nos camarades dela Fédération le motif qui noxo a incitésà assister avec notre drapeau aux ramé-mies de notre regretté camarade Ber-trand Blé,avC'e:L,qU,,,re,,,d:ins. la circetzttance nous

gme min de la ore-

titilint MOU, 1111M loas 35 pis ielM)

mière heure, un fervent syndicaliste descheminots de /Est on militant ardent etactif du Parti sccialiste con:moniste.

Comma à la section de Luchon nousne voulons pas détruire le contact étroitnui doit unir socialistes et coMmunistesdont les deux ne devront faire qu'am.

ET LES DEPLAMIIIIENT D'ORGANES

sent radiealement et infullffilensent SI P.I MMES par l'emploi des merveille/ri1/Tartini/ invtintéS par 1e celébrelege de Pain M. A. CLAVEDM..

Ln persanes souffrant de Normes,Efforts, DESGENTES, etc., SollivitCe,Ontnon par les rdMaines dés /m'Alun:41s gue-rimer., ne doivent rien fair' actantd'avoir es.yé cos incomparab/e, Appa-reils, les notilx vraiment se/enfin/mro theffleures.

Elles attrOnt Intérdt à rend, tisitt, àl'éminent Spéaialiste 1m, FikablistpmenksCLAVERISE qui Ms recevra de t lm n u tt.,en faisant preliter graciensement dhéranndes munis de sa timle expérience, à :

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AdEliRMIN

Que le camarade dispare. al/ait prendresa retraite sous Pen et qu'A se promettaitde venir prendre rang chez nous.

Par ce fait QU'il différait de certainssoi-disant communistes sympothisontsLuchon nui savent se n.ettre an lame/sur la langue quand il faut cornhattee lrspartis adverses y conseris la conféreere.,rublinue et contradictoire de l'abbé Di mgranges du 20 ocult dernier qui fat teesagressif à l'égard du Parti socialiste etsurtout du Parti communiste cù il cv.-cl.it par ces mots. Que le cou,.disait ceci s Ce qui est à toi en àmoi

Gest peur ces motifs Que les réa:bres du bureau r SabatIné., Sasseuse, Dé.nard. Campistinn.s ocrer toue les canut.des qui ont pu être avisés, ont tenu àaccompagner le militant regretté qui de-riait servir d'exemple aux travailleursinorganisés et indifférents. Le secré-taire Sabathé.

3A/NTAOSSCIENCES OCCULTES. - - Voici qu'in

grand evénement vieut de mettre ce émoinotre charmante commune de Saint-GyA11 est fort regrettable que le congrès despiritisme quia en lieu ccc jours devinaisà Paris ait été privé de notre VoyantesSommunbule qui promet de devenir uneMoite de grand talent Sa science riraiaxant été rêvai. clans une sem. inOtunOdile do spiritisme, par nue savante maeen scène, ou rien ne manquait, depuis

ittfameux squelette découvert lors du amla.etysme provoque par la eomete de ISI:ty.jusqu'à la ch.:ante Carmencits, nebotte, le grand jeu d'Espagne et la

loirtournante.De ce fait, la vida Thés sepm.une gronde renommée parmi les Arp!,du spiritisme et ele la sorceiterni que Colinon Beyie eut tort digit:mer. Espérons 'leiit'in peu le médium sue combie de "ontprédire les choses les Ms invraisemblicbics de l'avenir. Et notre cité deviendra hlieu recherché des superstitieux qui, rgrandes envolées, viendront chez Mitre fu,ture étoile pour y rechercher un peu deconsolation dans leur bêtise.

Le Guetteur.MONTREIEAU

U. S. 111. 111 BAT F.-C. DAUMAZAN (1)après une partie où les bleu cl blanc eu-rent constamment l'avantage.

Obéissant aux ordres dames, nos quintejoueurs firent tout leur possible loriron-vrir te jeu, et ils y réussirent parfaitement,Ils nonsprocurêrent le plaisir d'assister ieun véritable hand-balt. Les deux quinzesont à féliciter.

Malgré cela, je ne dirai pci que tout estparfait ; il y a encore du travail sérieuxO effectuer l /a mêlée est défectueuse, cer-tains hommes ont que/ques kilos à perdrepour pouvoir suivre le train rapide exigepar les nouvelles règles, enfin on ne sereplie pas assez vite, soit pour' soutenir tincamarade tenu, soit pour suDpiéer Dur-rière. Ce sont /à des défauts auxquelspeut et on doit remédier.

Deumasan possède munie toujours uneduo 'per solide, courageuse, avec p/usieurséléments de classe, mois manquant encored'entraînement. Je suis o.kmo qu'avantlongtemps, sous la direction de DereaentMarty, cc club sera parmi /es meilleurs de3me série.

M. Couenne, arbitre fédéral, arbitra ilefaçon impeccable.

A Boulogne, l'équipe 21e PU. S. M. balPU. S. Boule:Mise qui, malgré des dg..lions nambreuses, a réussi à reconstituetun quinze jeUne et ardent qui ne tarderapas à valoir requin° de la saison dernière.

VEREELL

NOTRE CLOCIILT. La PoPuishoo e°Verfeil est heureuse et fière d'adresser sesvives félicitations au elLoyen Dandrieupour la brillaate intervention qui lui avalu de la part ses Collohgthin dia Côn-seil général une nouvalte subvention de100500 francs pour ta reconstruetion duclocher do Verfeil.

La fatalité ayant venta que Verfeil futdécouronné du plus beau mmument quepessédait na Cité et qui en faisait si bellela perspective ; Nous semelles heureux derootalcr que, grâce au il:voilement et àla ténaeité de notre camarade Dandrieu.Vert./ va revoie, dominant ses vieuxmurs. la courmne lu Grien chegmos malique aujourd'hui,

En mémo temps que les administres fti-licitent leur Maire, la Commune de Ver-fiel toute oeillère adresse aux membres delAsseenbiée départementale et à M. le Pré-lat de la lioute-Caronne ses remercie-ments Inc plus vite et l'expressim de saxi. reconnaissance pour le geste grimé-.nus et la sollicitude qu'a montré le Con-seil général visà-Vie de Verleil.

Ce geste ne sera pas oublié. Verfeilsouviendra de ce que la République acesfait à son égard, en continuant de muretin@à Fayard-garde de Dames républicains)démocratique et sociale.

LE impt 9CX7IUME _ge5e "Sitagisce.

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»MEM& y SOM.LE NoLu =Aunt

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EnEttime. PARTIE

FRERES E N N EPIIS

FEUILLETON DU e

Le soleil était presque au minith... Lechaleur tempérée par uni brise douce étaitsupportable... Dans la montagne, les versdures s'étudiaient en nappes profondes,eine odeur âcre, grisante, mentait du sol.

Le silence n'était troublé que par le chantMeS insectes, les appels des ramiers...

F,1 ruisseau coulait tout proche. Sonle. claire catir bondissait de roche euVielle se brisant en cascatelles luntineuses.

Le eomMandent demeurait insensdge et.mme étrigiger la 55 si:Notule.

PAblià SOLIDYMag Dunmntler en rouge

HALADIES DE LA FEUELE RET01114 D'ÂGE

Toutes les femmes connaissmi lee dangers qul les menacentl'époque du RETOUR d'AOC. Lee symptômes sont bien con-

nus. Cuit d'abord une sensation d'étouffement et de sun:o.unqui étreint la gorge, des bouffées de chaleur qui montent auvisage pour taira place à alla sueur froide sur tout la torr.. Leventre devient dou/oureux, les règles se renouvellent irregulle.ms ou trop abondantes, et bientôt la femme /a plue robusta sotrouve affaiblie et exposée aus pires dangers. Geet alma qu'il

Erg c'en. Mut, LLL9 phis tarder, ',Lire nue mire avec Es

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même celle qui n'éprouve aucun malaise, doit, a des Intervalles réguliers. (aga usage de le 40UVINCE de PAnbrs SOUNT cl elle veut éviter Eaff/ax subit du sang aumime., la congestion, l'attaque d'apoplexie, la rupture d'anévrisme, eau... Qu'oneneublis pus que le sang qui n'a plus son murs habituel se portera de laréféreneeAliK (sanies les plus faibles et y développera les MaiLdie0 /os plus pénible, I Tu-alems, Métrite, Fibrome, Maou d'Estonie°, d'Imestins. des Nerfs, etc.

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Mais: tout à coup, d tressaillit .

Une grosse voix venait de rtsonner: pu-pres do lui, une grosse voix qui disait

-- Ah c'est vous, monsieur Barandier...bien Io bonjour.., je suis votre serviteur...

..enot /e facteur qui desservait Ics Aul-ne-17m et quo le vieil officier connaissait delonguet date.

- Bonjour,Puis, comme te dernier s'approchait- V.s mira quelque chose pour moi,

aujourd'hui ?- Ah qui diable pont metcritieLe commandant s'était levé.Le facteur, son bâton de cornouiller pas-

sé sous Io bras, cherchait dans son sacde cuir...

Il en sortit hne enveloppe que tandis

(iara de le lettre, en eaarnina la suSerip-

Elle Clati d'eue écriiure longue, flévreu-re qui /ni Mat inconnue.

Les Éialm -- il y en avait detlx, rasla lettre nFnassait le poids réglementaire- portaient er effet le cachet do Poo,

Ln facteur avant seulev é son Itepl. Oit,luth remis en Marelle.

Le commandant n'avait pas bougé. -é(

NA:prouvait une inquiétude dent il n'au-rait pu expliquer /a raison.

Celte lettre dont il vexait Er/Ordure pou,la première fois, qui la lui envoyait ?

Tout h romp, une pensée traversa son

- Est-ce que... ce inisératics aurait

- La teinte violacée de son visage devintplus foncée- ses sourcils se Grincé-rent.

D'un geste brUsque, il déchira /Réve-

il y avait quatre pages remplies par deslignes serrées... heurtées...

Si dans Cette enveloppe, une deuxièmelett.A Mademoiselle Geneviève Barandier

- Un cM de stupeur, de colère eléchappades lèvres de Paneien

Se, doigts s'étaient contrastés.Ainsi, il avait devine juste.

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Après ce qui s'était passé 1- Et par sur-Croit, il avait dentlace.., le cynisme d'on-vever une lettre à Geneviève

(Pelles nouvelles infamieSdone ?

GU. inensonges Tes ledres contenaient-.Elles ?

Le eisage du vieux soldat était devenud'one extrême dureté.

let sans jetnr On regard sur les lignesécrites par Pierre, il répétait

-- Oh ! le gueux... lx gueux !...Dans son exaspération, ses yeux flam-

baient. ses lèvres, devenues blanches, fré-missaient.

- Oui, que/les nouvelles infamies-quels nouveaux mensonges N'importe,itS no porteront pas leur fruit.., je k jurebien... Geneviève n'en aura pas cOnnais-San. et moi-même... inoi-même...

bégayait, ivre de fureur... et Rs motss'étranglaient dans sa gorge.

Lentement, nye° une sorte de raffine-ment, de Ruissance âpre, il sè mit h dé-chirer les deux lettres on morceaux me-nus.., les deux lettres où Pierre, désespii-bè, malheureux, au bord de t'abîme, avaitjeté un dernier appel.Et il en fit n'infimes parcelles et il lev:hale luto uno-olans rots du rusSeau gai

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détruits.Deux ans plus tard, une édition du Dictiennaire La Châtre état détruit«ni Maurice La Chaire se voyait ieliger cinq ans île prisec pour outrages

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.retallfillMERMIIIMINe.gungsmalierze.

DemandaiDans tous len Caf&

LAFRICAIN

les ente:dna vers l'inconnu.C'était la doruier rêve de Pierre qui s'en-

fuyait avec elles.-Et aussi le dernier rêve de Geneviève

qui n'ami. pas connaissance de cette III-ire, ti° Geneviève à qui il serait inipoSsi-hie de répondre à Pierre.

Ente foie, c'était bien fitti !

lIS ne se reverraient jamais plue !La jeune fille croirait à l'indignité -A

la trahison île celui qu'elle avait tant ai-mé... qu'elle aimait lant encore.

Eatisfint de I acte 51E11 venad d*arroin-plie, in commandant ricana

- Voilà.., misérable, le cas que je faisde leu protestations... Voilà comment jeguérirai Geneviève du fatal atimur queho 5h fait naltre en elle.

Hélas ! s'il avait su

X

LA FUITE

Le MM/mandant était rentet vers ossoheures, alors que déjà la tante et la nikecommençaient S s'inquiéter de cotte ab--sence prolongée.

Geneviève ayant. liait quelques pas àla reneâillre de son père lai tendit sonfront.

Il y déposa un lOng :baiser.Mais son regard était sombre.Sei soureils demeuraient froncées

iuo,t de suitehuilil 1.,:eulpe.h,ettétqnaliii_i° v9e.

-.talque d'e

de grave, si:montent- de trèsMais elle n'avait nas

gsautetio,t.reohrlqle,iritirequp'il ri ski

rélp.tiontdiaê sév

QllOud O fui Dam,dfi,istbarot,iiieleinetion s'oreup

Elle monta clans sa Plstin

Le (tonal/and:int la suiveInsteflé dans un fauteuil, il

dar«ioil:ritleo

drieeel'a:taleiruit .il,,de:S:Cnaaile

ATatti,to, hooatt tg: ér:ara

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