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Sylvie VEILLITH-GARANGER
166, rue des allobroges
74120 MEGÈVE
T : + 33(0)6.52.76.92.58
Site Web :
http://www.sylvieveillithpeintre.sitew.fr/
Réseaux sociaux :
Voir aussi les pages Facebook et
Instagram de l’artiste.14/10/2019 1
BIOGRAPHIE DE L’ARTISTE
Sylvie VEILLITH- GARANGER, née à Paris (famille Le Camus - de
Colbert) est originaire, du côté maternel, d'une propriété viticole
située dans l'Aude, au lieu-dit Château de Cabezac, sur la commune de
Bize-Minervois. Elle entreprend des études d’arts plastiques à l’Atelier
des Bons Enfants à Paris et à l’Ecole de dessin technique et artistique
Sornas (arts décoratifs, plâtre, nu, graphisme, publicité).
En même temps que ses études de droit et d’avocat, elle suit un
cursus d’art à l'Université de Paris X. et obtient deux U.V. en histoire
de l’art sur Matisse et les primitifs italiens. Ses recherches se
poursuivent par un voyage d’étude à Padova, en Italie. Á Venise, la
chapelle des Scrovegni, les artistes Giotto, Cimabue, Dellafrancesca,
Botticelli influenceront remarquablement sa peinture .
Ses débuts ont été guidés par l’ambiance familiale orientée vers l’art
et la peinture : Michèle Garanger- Le Camus, sa mère, ancienne élève
de l'Ecole des Beaux- Arts de Paris à l’atelier Malaquais, lui transmet
sa passion pour la peinture. Ayant exposé dès l'âge de 16 ans, Michèle
est reconnue par le dictionnaire des peintres, sculpteurs, graveurs,
dessinateurs et architectes du Languedoc-Roussillon (1800-1950)
publié en 2008 par Jean Lepage, alors conservateur en chef des
musées de Narbonne.
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Son arrière grand- père, Georges Le Camus, également cité dans
ce dictionnaire comme ancien élève des Beaux-Arts de Paris à
l’atelier BONNAT, avec d’autres élèves tels que Braque, Othon-
Friesz et Dufy, avait concouru pour le Prix de Rome et fut un
architecte renommé à Narbonne et ses alentours.
Plus tard son oncle paternel, le peintre polonais Janusz Janicki
de Rola, lui a insufflé sa passion pour les couleurs fauves et la
lumière du midi.
Pour profiter intensément de cette lumière si particulière, il
avait installé son atelier dans le domaine de Jacques Veillith à
Pignans dans le Var .
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Sylvie Veillith- Garanger prédisposée à ce double atavisme,
s’est très vite orientée vers l’art naïf, C’est à la galerie Mona
–Lisa, rue de Varenne à Paris qu’elle se fait connaître dans
une exposition avec les peintres yougoslaves de l’école de
Lhebline.
Elle exposera ensuite au Musée des Beaux-arts de Pau, à
l’hôtel de ville de Megève, etc.
Á la disparition de sa mère, en 1997, Sylvie change
radicalement de style et peint sur des grandes toiles, des
modèles contemporains, quelquefois encore empreints d’art
naïf et utilise de préférence la technique mixte, peinture à
l’huile et acrylique. De 2003 à 2007, les expositions se
succèdent sur le site des Ecluses à Béziers , au Salon des
Indépendants à Paris, au Centre culturel Peugeot à Paris, à
l’Espace culturel de la Poudrière à Narbonne, au premier
S’MART d’ Aix- en-Provence. Son exposition au Grand Palais à
Paris en 2004 et au Salon d'Art Curial en 2006, confirme son
orientation vers l’abstraction.
Á partir de 2007, la ville de Béziers lui organise une très belle
exposition à l’Espace Riquet.
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Elle participe à des salons à Marseille, puis à Bruxelles avec
le groupe des Beaux-Arts de Béziers, et expose en solo au
Domaine des Deux Ruisseaux, à Sauvian, dans le Biterrois.
En septembre 2015, les cimaises du Château de Perdiguier
à Béziers accueillent ses dernières œuvres, sous forme
d’une étonnante galerie de personnages et de
compositions abstraites.
En 2016, elle concourt à la Biennale d’Art Sacré de
Collioure dans les Pyrénées Orientales .
Au printemps 2017, la ville de Narbonne l’accueille avec ses
naïfs contemporains dans une belle salle médiévale du
Palais-musée des Archevêques.
En 2018, l’espace Gibert à Lézignan-Corbières montre la
richesse de son univers dans une exposition duo.
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Dernièrement, son exposition originale, aux cimaises de
l’Office de Tourisme de Narbonne, a présenté, ses
nouvelles créations, autour d’un atelier de la couleur
surprenant d’émotions.
Le vernissage a rassemblé un très nombreux public.
D’autres expositions rétrospectives de son œuvre sont
actuellement en préparation, dont plusieurs projets en
France et à l’Étranger programmés pour 2020-2021.
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« Comme une ode aux artistes qui ont accompagné ma vie, la
peinture est pour moi un vaste champ de liberté.
Imprégnée de leur art, je travaille avec passion dans la
recherche ininterrompue d’une sérénité d’âme.
Cette quête fantaisiste d’instants fugaces qui n’ont pas de prise
sur le temps, m’emporte dans un élan créatif salvateur.
Je vis ma relation à la peinture comme l’expression d’un
enchantement du quotidien où tout est désormais possible.
La légèreté de l’être est devenue mon credo ; le voyage, réel ou
imaginaire, une nouvelle philosophie de vie »
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LU DANS LA PRESSE
« Amoureuse de la vie, Sylvie Veillith-Garanger
dévoile avec pudeur et nostalgie son attachement
aux choses du passé ».
« Librement inspirée de l’œuvre de Matisse, son
travail sur la couleur révèle une réelle frénésie
picturale ».
« Dans ses dernières expositions, elle nous donne
à voir une peinture onirique imprégnée de la
culture méditerranéenne qu’elle chérit tant »
« Un voyage dans la peinture de S. V.-G. restitue
les scènes de la vie quotidienne et les évènements
heureux et malheureux qui ont jalonnés sa vie ».
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Dans un style tout à fait inédit, à mi-chemin entre le détournement du constructivisme du Bauhaus, le travail de Sylvie Veillith-Garanger n’a cessé d’évoluer.
De Paul Klee à Kasimir Malevitch, elle n’a pas cherché à transformer l’Art et ses certitudes, juste à se les approprier pour elle-même…Et c’est là tout le génie de son expression picturale basée sur l’utilisation d’applats de couleurs pures.
Si la nature demeure un sujet de prédilection, les portraits suivent les principes du Fauvisme. La palette est librement inspirée de Matisse.
On retrouve le questionnement sur le rôle et la place de la couleur dans la représentation picturale. Les couleurs chatoyantes priment sur le dessin et la représentation de la réalité est volontairement éludée.
Cette façon de penser la peinture est une constante dans l’œuvre de S. V.-G.L’artiste ne respecte plus la réalité observable mais bien une réalité intérieure, picturalement exacerbée, puisque le choix des couleurs est toujours arbitraire : le arbres peuvent ainsi être rouges, bleus, verts ou la peau orangée…
Ses références constantes aux Arts premiers, océaniens et africains rappellent le point commun entre le Fauvisme et le Cubisme, un mouvement qui se développe à la même période.
Cette influence se retrouve particulièrement dans les portraits, les visages présentant des similitudes avec des masques africains.Librement inspirée de l’Art Naïf, S.V.-G. peint comme elle vit. Drôle, impétueusement gaie et spontanée, le trait sort d’un seul jet ,et le geste jaillit toujours du cœur.
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I . Période naïve « La magie de l’enfance »
( 6 œuvres composent cette série. Ce sont des petits formats avec cadres.
Certaines toiles ne peuvent être exposées, Elles sont chez des
collectionneurs privés . Prêt sur demande )
Cette série d’œuvres parle de l’enfance de l’artiste, des paysages de
lumière, des lieux et des êtres qui lui ont été si chers. Autant de scènes de
la vie quotidienne qui ont jalonnées son existence . Une douce musique
faite de notes colorées compose cette partition émotionnelle. Comme un
écho à son histoire personnelle, l’œuvre de Sylvie Veillith-Garanger
témoigne d’une poésie du temps qui passe.
Une nature humaine à l’épreuve. Troublante et vraie.
,
Carcassonne: la Cité (0,50 x 0,60). Collection privée.
Technique utilisée : peinture à l’huile ou à l’eau -pinceaux
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I. Période naïve « La magie de l’enfance ».
Gouache
Village sous la neige ( 0,35 x 0,50 ) Collection privée.
Gouache
Megève: l’église ( 0,50 x 0,40 ) Collection privée
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Narbonne : la cathédrale ( 0,60 x 0,60 ) Collection privée
Huile sur toile
Venise : ses canaux ( 0,60 x 0,50 ) Collection privée
1. Période naïve « La magie de l’enfance ».
Huile sur toile
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I. Période naïve « La magie de l’enfance ».
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II . Période actuelle « une œuvre inclassable »
« Du symbolisme au détournement du constructivisme»
Sont ici représentés en peinture, des moments de vie issus du
quotidien, empreints de symbolisme et d’une propension à la
rêverie. L’univers onirique de l’artiste laisse transparaître un talent
inné de coloriste. Dans un style bien maîtrisé, c’est une œuvre
lumineuse et bouleversante qui nous est donnée à voir.
Ponctuée d’énigmes, elle suggère un réalisme spiritualisé. La
sensorialité qui émane de l’œuvre de Sylvie Veillith-Garanger
éveille nos sens, et évoque un questionnement philosophique
propre à l’artiste. Son œuvre, en perpétuelle mutation, est
proprement inclassable.
Huile sur toile
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« Du symbolisme au détournement du constructivisme»
8 œuvres composent cette série.
Sans cadres.
Technique utilisée : fond peint à l’acrylique et recouvert de peinture à l’huile, essence
térébenthine ; outils : pinceaux.
Dates à déterminer pour la disponibilité des œuvres.
Libre fin avril 2019
La statue noire (0,60 x 0,50)
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LAST WORKS FROM PRIVATE COLLECTION
Collection privée –
Une fille tranquille
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SOLO EXHIBITION
LAST WORKS
Hommage à Notre Dame,
S. V.-G., 2019
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SOLO EXHIBITION LAST WORKS
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Le fauteuil jaune ( 1 x 0,80 )
Huile sur toile
Le clarinettiste des îles (1x 0,80).
Acrylique sur toile
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Période moderne « Symbolisme et abstraction ».
Le potager d’Armando (0,60 x 0,50)
Acrylique sur toile
Cathédrale de Béziers : vue de la terrasse ( 1 X 0,80).
Huile sur toile
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Période moderne « Symbolisme et abstraction »
Arabesques (1 x 1) -Collection particulière-
Acrylique sur toile
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Période moderne « Symbolisme et abstraction »
Tapisseries ( 1 x 0,80 )
Acrylique sur toile
Figure moderne (1 x 0,80)
Acrylique sur toile
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« Introspection »
Emblématique de son œuvre, le trait sensible de l’artiste, où la
clarté du dessin se spiritualise, se fait introspection. Entre temps
vécu et réalité objective, celui qu’on ne peut arrêter et celui du
rêve, le même qu’explore la dramaturgie de l’opéra ou du cinéma,
Sylvie Veillith-Garanger, nous offre un florilège d’instants volés
magiquement réinterprétés. Quel est le rôle du peintre ? Celui-ci
n'est-il pas, comme le soulignait l'historien d'art Ernst Gombrich, «
d'équilibrer des formes et des couleurs jusqu'à ce qu'elles sonnent
juste » ? De communiquer l'indicible ? On retrouve ces
questionnements dans l’œuvre de Sylvie Veillith-Garanger, qui
cherche avant tout à être elle-même dans sa peinture.
« Le rêve est une seconde vie. Je n’ai pu percer sans frémir ces
portes d’ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible
»[1]. Gérard de NERVAL.
[1] NERVAL, Gérard, (de), (1855). Aurelia, Paris : Libretti livre de
poches, p. 3.
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Juliette (0,60 x 0,60) disponible
Acrylique sur toile
La baigneuse : farniente (0,80 X 1 m)
Acrylique sur toile
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Arrivée par la mer (0,70 x 0,60) Collection privée
Huile sur toile
Arrivée sur le port de Gruissan (1 x 1)
Huile sur toile
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Collection privée Petite fille endormie (1 X 0,80)
*Huile sur toile
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