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Table ronde paix et education de la jeune fille

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Plan International au Sénégal et OXFAM déjà engagés dans les #16Jours d’activisme contre les violences liées au genre. Ce matin, une table ronde a eu lieu. L’objectif de cette rencontre était de poser un regard croisé des partenaires au développement, des femmes, des responsables de médias sur les violences faites aux femmes et aux filles.

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Table Ronde Paix Et Education De La Jeune Fille

Plan International au Sénégal et OXFAM déjà engagés dans les #16Jours d’activisme contre les violences liées au genre. Ce matin, une table ronde a eu lieu. L’objectif de cette rencontre était de poser un regard croisé des partenaires au développement, des femmes, des responsables de médias sur les violences faites aux femmes et aux filles. Des discussions interactives animées par des personnes ressources, des organisations internationales et la société civile. Parmi les panelistes, on peut citer : Ndeye Marie Sam Représentante du Réseau National des jeunes filles leaders, Wore Ndiaye de AwiNews, Ndeye Marie Thiam Patronne des femmes pour la paix en Casamance, Amy Sakho de l’Association des femmes juristes du Sénégal, responsable de la boutique de droit de Pikine, Bastiaan Kuflt Directeur de Oxfam ou encore Amavi Akpagmabo Directeur Plan International au Sénégal.

« Il faut que l’on ait le devoir et le courage de dénoncer toutes ces violences faites aux femmes et aux filles. La presse y a un rôle important à jouer” Amavi Akpagmabo

« Il y a une violence faite aux femmes et aux filles souvent par les hommes. Mais il y a aussi une violence faite par les femmes aux femmes et aux filles telle que les mutilations génitales, ou encore l’attitude de certaines belles-mères, belles-sœurs vis-à-vis de leur etc… » Wore Ndiaye

« La boutique de droit permet une prise en charge gratuite pour chaque cas de violence déclaré. En une année nous avons recensé 99 cas de viol sur mineur de 0 à 18 ans. J’insiste bien de 0 à 18 ans. 25 cas de viols suivis de grossesse. 12 cas d’incestes (père). » Amy Sakho

« Les femmes de la Casamance qui ont été victimes de diverses forme de violence, elles ont besoin d’être soutenues et accompagnées » Ndeye Marie Thiam

« Les médias contribuent parfois aux stéréotypes dans le traitement de l’information liée aux filles ou aux femmes » Ndeye Marie Sam « Les réunions ne vont pas changer la situation des femmes et des filles, mais les campagnes contribuent au changement de comportement, de mentalité et des lois. » Bastiaan Kuflt