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71 TDC2 – E12 F TARDE VENIENTIBUS OSSA Bergère pas de tentation. Origine lointaine, Usage régional. Décrypte le sens caché des mots. Et in Arcadia ego, Terminera ta quête. 32 127 15 113 275 154 103 101 14 58 12 65 39 76 180 3 53 51 44 22 4 5 218 71 205 176 230 51 31 111 354 149 258 261 173 51 145 231 226 33 60 45 149 111 44 205 111 36 12 440 258 208 316 219 265 101 33 432 29 145 233 198 92 208 258 137 36 323 Dans l’attente, Celui qui reste te fournira la clef. On ne se souvient pas De ce qui est ancien. Et ce qui arrivera dans la suite, Ne laissera pas de souvenir, Chez ceux qui vivront plus tard. 39 99 82 32 115 107 4 114 30 41 20 99 107 20 99 15 39 114 54 107

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71

TDC2 – E12

F

TARDE VENIENTIBUS OSSA

Bergère pas de tentation. Origine lointaine, Usage régional.

Décrypte le sens caché des mots.

Et in Arcadia ego, Terminera ta quête.

32 127 15 113 275 154 103 101 14 58 12 65 39 76 180 3 53 51 44 22 4 5 218 71 205 176 230 51 31 111 354 149 258 261

173 51 145 231 226 33 60 45 149 111 44 205 111 36 12 440 258 208 316 219 265 101 33 432 29 145 233 198 92 208 258 137 36 323

Dans l’attente, Celui qui reste te fournira la clef.

On ne se souvient pas De ce qui est ancien.

Et ce qui arrivera dans la suite, Ne laissera pas de souvenir,

Chez ceux qui vivront plus tard.

39 99 82 32 115 107 4 114 30 41 20 99 107 20 99 15 39 114 54 107

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SOLUTION ENIGME FEVRIER: TARDE VENIENTIBUS OSSA TARDE VENIENTIBUS OSSA

Ceux qui viennent tard à table ne trouvent plus que des os.

Ces mots s'emploient au propre et au figuré. Dans ce dernier cas, ils s'appliquent à tous ceux qui, par négligence ou par oubli, manquent une bonne affaire.

Dans une première lecture, on remarque l'acrostiche : Bergère pas de tentation. Origine lointaine, Usage régional. Décrypte le sens caché des mots. Et in arcadia ego, Terminera ta quête. « Origine lointaine, Usage régional » fait référence à « La vraie langue celtique » , ouvrage écrit par l’abbé Boudet, très connu des amateurs de Rennes le château.

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Les langues celtiques forment un groupe de langues indo-européennes séparé en deux branches. Parmi les langues celtiques parlées aujourd'hui, et après la reconnaissance en juillet 2002 du cornique comme langue minoritaire par les autorités du Royaume-Uni, la langue bretonne, parlée en France par 300 000 locuteurs, reste la seule langue celtique encore parlée à ne pas avoir de statut officiel dans sa zone culturelle.

(Usage régional)

Cet ouvrage est facilement accessible par le web, et nous allons nous servir du texte qui compose le début du premier chapitre :

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CHAPITRE PREMIER.

LANGUE CELTIQUE

I

PRÉCIS DE L'OCCUPATION PREMIÈRE

DES GAULES.

Il n'est pas sans utilité, croyons-nous, de faire précéder cette étude d'un rapide

résumé des connaissances actuelles sur la célèbre nation Gauloise. La Gaule a été le point central de l'établissement définitif de la famille celtique dans les contrées occidentales de l'Europe, et le nom même de Gaule qu'elle a conservé, témoigne de la domination persistante, dans ce pays, de son peuple valeureux.

Elle était comprise entre l'Océan, les Pyrénées, la Méditerranée, les Alpes et le Rhin. La partie méridionale, depuis le golfe de Gascogne jusqu'a la Méditerranée, a été occupée d'abord par les

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Avec une allusion marquée au menhir de Peyrolles qui justement ne figure pas dans l’ouvrage de Boudet (Cf texte ci-dessus).

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Le dernier paragraphe de l'énigme "on ne se souviendra pas ... chez ceux qui vivront plus tard" est un passage de la bible 'Ecclésiaste 1 : 11) qui est cité sur la stèle funéraire de Henri BOUDET. L'énigme fait écho à ce qui a été découvert dans l'énigme précédente : - le tombeau des Pontils - le tombeau de Napoléon Bonaparte Le piège consiste à s'en tenir à Rennes le Château et décrypter à partir de "la vraie langue celtique" de Boudet. Mais "décrypte le sens caché des mots" met en garde le chercheur : il ne faut pas s'en tenir aux apparences. "Et in arcadia ego terminera ta quête" indique au chercheur qu'il faudra se servir du tableau des bergers d'Arcadie réinterprété par la Comtesse Oriane du Plessis pour trouver la cache. Il faudra identifier les bergers et la bergère et le VRAI TOMBEAU. La bonne piste intégrera donc la découverte du tombeau de Napoléon dans l'énigme précédente, en se demandant quel livre de Napoléon 1° peut servir de support de décryptage. il s'agit bien sûr du Code Civil de Napoléon dont l’édition originale et officielle est facilement consultable sur Gallica. Les allusions E1 (Waterloo) et E11 (Tombeau de Napoléon) s’inscrivent en filigrane pour orienter le chercheur sagace sur le texte de référence.

France. Code civil des français : éd. originale et seule officielle. 1804. : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1061517.pagination Nous utiliserons donc le début de l’article 1er, figurant en page 1 de l’édition originale :

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Le cryptogramme : 32 127 15 113 275 154 103 101 14 58 12 65 39 76 180 3 53 51 44 22 4 5 218 71 205 176 230 51 31 111 354 149 258 261

173 51 145 231 226 33 60 45 149 111 44 205 111 36 12 440 258 208 316 219 265 101 33 432 29 145 233 198 92 208 258 137 36 323 Se décode de 2 manières (la bonne et la mauvaise) : Nous obtenons donc la grille de codage suivante, qui reprend la numérotation simultanée des 2 bases (en noir, La vraie langue celtique. En rouge, le code civil) :

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Cela nous donne les correspondances suivantes :

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Afin d’obtenir un double décodage, selon la source qu’on utilise :

Où le texte en rouge sur fond vert s’obtient à partir du Code civil, tandis que le texte en noir sur fond jaune s’obtient à partir de la vraie langue celtique.

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La vraie langue celtique donnant : DU TOMBEAU UNE POINTE DRESSEE A L’EST SERT DE REPERE ET D’ET IN ARCADIA EGO ROSE CROIX. Tandis que le code civil nous donne : ENCORE UNE DE MOINS VERS L’ORIGINE LES BERGERS ET LA BERGERE VEILLENT SUR LA PIERRE.

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EXPLICATION FAUSSE PISTE : DU TOMBEAU UNE POINTE DRESSEE A L’EST SERT DE REPERE ET D’ET IN ARCADIA EGO ROSE CROIX.

La flèche indique l’emplacement du tombeau des Pontils (Du tombeau), et à l’est on remarque une curiosité : la « Pierre dressée » (une pointe dressée à l’est) :

http://www.chez.com/lieuxinsolites/aude/pierre%20dresse/pierredresse.php Un beau menhir de 3m de haut se dresse fièrement au cœur de la garrigue. C’est une pierre de section presque carrée d’environ 60 cm sur 50. Les côtés les plus larges sont orientés vers l’est et l’ouest. La partie supérieure est arrondie en dôme. L’érosion générale que subit la montagne, et notamment le sol à la base du menhir, Le fait fortement pencher vers le sud. Ce menhir va probablement tomber au sol dans les prochaines années. De Couiza, prendre la direction d’Arques. Passer le village de Serres, puis le hameau « Les Pontils ». La route traverse deux ponts. Laisser la voiture sur le grand dégagement suivant, à droite de la route. Prendre à pied le chemin forestier partant à gauche, le long de la route en direction d’Arques. Le menhir est à droite de ce chemin après 5 minutes de montée. GPS 42 N 57.014 - 02 E 20.778 .Altitude 332m.

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Cette pierre dressée est particulièrement intéressante dans l’histoire de Rennes, car son autre nom est le menhir de Peyrolles, étrangement absent de l’ouvrage de Boudet (cf textes ci-dessus). Mais les implications ne s’arrêtent pas là :

Alignement : Château de Serres, Tombeau des Pontils, Menhir, Grotte d'Arques

Car les recherches sur Rennes en font un lieu symbolique : http://www.rennes-le-chateau-la-revelation.com/dossier22.htm Une rapide vérification nous a permis de constater que le pilier wisigothique a été intentionnellement placé sur une droite reliant la serre et la grotte miniature, de façon à nous indiquer que la grotte à découvrir se trouve sur le prolongement d’une droite partant du château de Serres et passant par une pierre dressée = menhir de Peyrolles (assimilé au pilier)

En relation avec la stèle de Blanchefort (utilisée en E11) :

L’anagramme que nous avons découverte est simple, et sa signification explicite. Ecrivons bout à bout les inscriptions centrales : « REDDIS REGIS CELLIS ARCIS PS PRAE-CUM »

L’anagramme est : « IS REGIS REDDIS CELLIS CUM ARC PRAE P.S » « IS, JESUS-CHRIST, CACHE A RHEDAE AVEC L’ARCHE, A COTE DE P.S »

Dans ce cas, P.S. doit se lire « Pierre Sacrée », et désigne le Menhir de Peyrolles, encore nommé « Pierre dressée » sur la carte IGN.

Selon l’historien Louis FEDIE : « Le menhir de PEYROLLES n’est qu’à 200 mètres environ de la route, en face de la BORNE kilométrique 65 km.. Il est en calcaire ancien (sic !), incliné S.S.O. et s’élève au-dessus du sol à 2 m 50. Sa plus grande largeur est de 0,75 m, son épaisseur de 0,60 m. On prétend qu’une VASTE EXCAVATION EXISTE SOUS LE MONUMENT, la terre résonnant en creux au pied du mégalithe (note de feu M. l’abbé ANCE). Mais nous voici enfin en face du château d’ARQUES ». « Nous devons mentionner une circonstance qui nous a vivement frappés. Aux alentours, et presque à la base du monument, le terrain ferme et qui semble garni d’une incrustation de cailloux, présente un singulier phénomène. Il sonne creux sous les pieds des chevaux, comme si le cavalier passait sur une voûte. Existe-t-il à proximité de la pierre celtique une caverne creusée par la nature ? Ou bien est-ce la main de l’homme qui a fouillé le sol sur ce point et creusé une cavité d’une certaine étendue ?». « Nous sommes fondés à croire qu’il existe sous ce peulvan une cavité, grotte naturelle ou caverne creusée de main d’homme, dans laquelle il serait bon de pratiquer des fouilles ». http://www.rennes-le-chateau-la-revelation.com/christ2-1.htm

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Selon monsieur G. SICARD (1926) : « Le sol résonne sous les pas à l’entour du monument et l’on prétend qu’une cavité ou excavation assez large existerait dans le sous-sol ».

Selon monsieur MAZIERES : « M. COURTEJAIRE avait établi que là, où l’on regarde la pierre levée des Pontils, près du village d’ARQUES, donc au nord-est de RENNES-LE-CHATEAU, il y a une faille. Par déductions, il était persuadé qu’il y avait dans ce lieu, un ancien temple ibéro-gaulois, volque, et peut-être des caches... ».

Et in arcadia ego désignant le tombeau, « et d’Et in arcadia ego » Rose croix. Cette assertion incitera les chercheurs à relier le tombeau et la pierre dressée, de manière à retomber sur l’alignement :

Qui pourrait leur indiquer une direction, en relation avec la rose croix qui figurera sur la toile des bergers. Le cryptogramme suivant fournira une distance.

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EXPLICATION BONNE PISTE : ENCORE UNE DE MOINS VERS L’ORIGINE LES BERGERS ET LA BERGERE VEILLENT SUR LA PIERRE. Encore une (mesure) de moins vers l’origine, nous ramène au bout de l’empan (nous étions au bout de la palme dans l’énigme précédente : Chartreuse des Portes)

Encore une mesure de moins à compter de la chartreuse des portes, soit vers SAINT AMAND ROCHE SAVINE :

On tire un trait vers PONT A MOUSSON (origine ou lieu de naissance de DUROC) :

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Du milieu du segment ANGERS - LES ANDELYS (nos 2 peintres - bergers), on trace un trait vers Jeanne d'Arc (bergère) localisée au ballon d’Alsace :

Les 2 traits se croisent à la pierre d'ALOT :

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Qui servira de repère final :

Dolmen "La Pierre Alot"

Celui-ci est situé dans la forêt de Lardigny, près de l’ancienne voie romaine (dolmen : du celte Dol, table et Men, pierre). Présence d’une borne armoriée à proximité. Les "Pierres de l’eau" portent sur leur surface horizontale une excavation dont on n’arrive pas à déterminer si elle est naturelle ou faite de main d’homme. Cette appellation provient peut-être de ce que l’eau de pluie demeure dans cette cavité. Quant à son usage, certaines traditions rapportent qu’elle servait à recueillir le sang des victimes sacrifiées ou simplement les offrandes. La tradition veut également qu’un illustre guerrier soit enterré là. Site inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.

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Dans l’attente, Celui qui reste te fournira la clef. N’oublions pas que la toile des bergers comporte une bergère et 3 bergers. Seuls MB et Poussin ont été utilisés pour nous mener à la pierre d’Alot. C’est donc naturellement que le Comte de Chambord refait son entrée, puisqu’il avait déjà servi, avec MB à nous mener à Jeanne d’Arc. Dans le cryptogramme suivant, bâti sur le même principe que le premier, nous utiliserons donc la source de référence suivante :

Cette plaque est située à Versailles (lieu où la toile était conservée sous Louis XIV, comme nous l’avons vu dans E2). « Dans l’attente » figure sur cette plaque.

Dernier séjour

Du 9 au 20 novembre 1873 a lieu le dernier séjour de Monseigneur en France. La république, votée par défaut par une assemblée aux deux tiers royaliste, semble peiner alors à voir clair dans la suite qu’elle souhaite se donner.

C’est à la suite de la très officielle réconciliation publique entre les Orléans et le comte de Chambord que celui-ci arrive incognito à Versailles le 9 novembre 1873. Il s’installe dans une maison de la rue Saint-Louis appartenant à Vanssay, avec ses plus proches fidèles (Blacas, Monti, Chevigné et Charlemagne : son vieux serviteur), où il occupe un pavillon situé dans le jardin, tandis que son hôte continue de recevoir dans la maison principale, pour donner le change. Cette maison, que l’on peut encore voir aujourd’hui, est située non loin de la cathédrale, et c’est au cours de ce séjour que va se dérouler ce qui est sans doute la dernière

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véritable occasion d’une restauration monarchique de notre Histoire.

Refusant d’être redevable de quoi que ce soit envers une assemblée, c’est avec le président Mac-Mahon qu’il veut traiter, comptant sur le soutien de l‘épouse de celui-ci, Elisabeth de Castries : une légitimiste de toujours. Mais Mac-Mahon, par l’intermédiaire de Blacas qui joue l’émissaire, refuse d’aller le rencontrer, même en catimini. Il interdit même à son épouse toute démarche, et fait savoir qu’il n’est pas dans ses intentions de tenter quoi que ce soit. Le comte de Chambord (qui, dépité d’un tel manque de courage, s’écrie : « Je croyais avoir affaire à un Connétable, je n’ai trouvé qu’un capitaine de gendarmerie ! ».), refusant de se déplacer lui-même pour ne pas s’exposer à un refus qui serait un point de non-retour, reste cloîtré dans la maison versaillaise prêtée par Vanssay. Il y demeure une dizaine de jours, assistant quotidiennement à la Messe du père Marcel, un capucin qui vient sur place pour la célébrer. C’est là qu’il apprend, le 20 novembre 1873, que les députés viennent de voter le septennat, avec soixante-huit voix de majorité. Mac-Mahon a réussi son coup : il devient donc président pour sept ans. Prétextant un soi-disant refus du comte de Chambord, il a présenté le septennat comme la solution-miracle permettant d’attendre le décès de ce dernier pour couronner son cousin le comte de Paris. Ce vote est d’autant plus regrettable que plusieurs députés royalistes déclareront plus tard que leur suffrage aurait été tout autre s’ils avaient su la présence et les intentions de Monseigneur. En outre, on sait bien, hélas, ce que vaudra cette solution pour une hypothétique restauration : à la mort du comte de Chambord, la république a tout fait pour s’installer durablement : les groupes parlementaires sont cassés, l’emprise de l’Etat sur l’école commence à se faire sentir dans les mentalités, et l’anticléricalisme devient la nouvelle religion d'Etat.

On peut donc dire que c’est ce 20 novembre 1873 que le comte de Chambord quitte définitivement la scène politique : ne voulant pas devenir le jeu d’un parti, il préfère l’exil, et quitte cette maison de Versailles pour reprendre la route de Froshdorf. La fourberie des uns et la faiblesse des autres ont eu raison de cette restauration dont le bénéfice aurait été évident pour cette France en plein désarroi, et ce sont les Français qui ne cessent depuis de payer cette erreur de l’Histoire.

http://membres.lycos.fr/comtedechambord/ Pour la fausse piste, nous continuerons sur Boudet, en nous servant de l’inscription qui figure sur sa tombe, le texte suivant étant une allusion : On ne se souvient pas De ce qui est ancien. Et ce qui arrivera dans la suite, Ne laissera pas de souvenir, Chez ceux qui vivront plus tard.

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Les textes de références sont donc : LE COMTE DE CHAMBORD PRETENDANT AU TRONE SEJOURNA DANS CETTE MAISON DU 9 AU 20 NOVEMBRE 1873 DANS L ATTENTE DU RETABLISSEMENT DE LA MONARCHIE ET : ICI REPOSE HENRI BOUDET ANCIEN CURE DE RENNES LES BAINS DECEDE DANS LA PAIX DU SEIGNEUR A AXAT LE 30 MARS 1915 A L AGE DE 78 ANS IL FUT UN PRETRE SELON LE COURS DE DIEU BON AFFABLE ENVERS TOUS AIME DE DIEU ET DE CEUX QUI L ONT CONNU SA MEMOIRE EST EN BENEDICTION E C C I 11 MISERICORDIEUX JESUS DONNEZ LUI LE REPOS ETERNEL Nous obtenons donc la grille de codage suivante, qui reprend la numérotation simultanée des 2 bases (en noir, l’inscription de la tombe de Boudet. En rouge, la plaque de Versailles) :

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 I C I R E P O S E H E N R I B L E C O M T E D E C H A M B O 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 O U D E T A N C I E N C U R E R D P R E T E N D A N T A U T 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 D E R E N N E S L E S B A I N R O N E S E J O U R N A D A N 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 S D E C E D E D A N S L A P A S C E T T E M A I S O N D U 9 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 I X D U S E I G N E U R A A X A U 2 0 N O V E M B R E 1 8 7 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 A T L E 3 0 M A R S 1 9 1 5 A 3 D A N S L A T T E N T E D U 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 L A G E D E 7 8 A N S I L F U R E T A B L I S S E M E N T D

106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 T U N P R E T R E S E L E L A M O N A R C H I E

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Cela nous donne les correspondances suivantes :

A B C D E F G H I L M N O P R S T U X A 42 53 25 44 78 82 12 112 28 B 95 70 14 C 47 114 10 3 D 43 24 8 77 17 E 92 2 51 9 68 102 117 22 7 72 85 20 F G H 11 115 I 54 116 J 37 K L 96 1 107 M 5 69 109 13 101 N 23 79 57 26 33 41 O 15 32 4 38 P 18 Q R 31 19 91 16 113 71 S 99 35 46 T 21 27 30 104 93 6 84 U 90 39 59 29 62 V 67

La grille codée est : 39 99 82 32 115 107 4 114 30 41 20 99 107 20 99 15 39 114 54 107

Elle nous permet d’obtenir un double décodage, selon la source qu’on utilise :

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L A M E S U R E E S T A U T A B L E A U A 78 82 25 28 25 25 112 28 112 42 78 25 28 B 70 70 70 70 C 114 114 114 114 D 43 8 17 8 77 43 17 77 43 43 17 E 117 92 9 85 72 9 9 85 20 92 20 92 117 9 92 F G H 11 115 11 11 115 11 I 54 116 116 116 54 54 116 54 J 37 37 37 37 K L 96 107 96 96 107 96 107 M 5 101 13 5 5 101 5 N 57 79 41 33 79 79 41 57 79 O 32 38 4 32 32 38 15 32 P Q R 91 19 71 113 19 19 71 91 19 71 S 99 46 46 99 99 99 T 21 30 84 30 30 21 21 30 21 U 39 90 29 90 90 39 90 V W X Y Z 39 99 82 32 115 107 4 114 30 41 20 99 107 20 99 15 39 114 54 107

U S A O H L O C T N E S L E S O U C I L S O U S L E S O L E I L C O U C H A N T 4 2 6 8

Où le texte en rouge sur fond vert s’obtient à partir de la plaque de Versailles, tandis que le texte en noir sur fond jaune (en haut) s’obtient à partir de l’inscription de la tombe de Boudet. L’inscription de la tombe de Boudet donnant : LA MESURE EST AU TABLEAU Tandis que la plaque de Versailles nous donne, après décryptage d’un surcodage : SOUS LE SOLEIL COUCHANT

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EXPLICATION FAUSSE PISTE : LA MESURE EST AU TABLEAU Libre interprétation est laissée aux chercheurs de cette phrase qui suggère de chercher dans le tableau l’indication du spot. Cette insertion sera à mettre en rapport avec la bonne piste, qui nécessitera la présence de chiffres dans la toile des bergers. Ils pourront toujours expérimenter leurs solutions hasardeuses, données par le tableau, autour de la pierre dressée, ils pourront toujours trouver le trésor de Rennes, mais pas la contremarque. EXPLICATION BONNE PISTE : Dans un premier temps, les chercheurs vont pouvoir extraire ceci de la plaque de Versailles : U S A O H L O C T N E S L E S O U C I L

Ce qui pourra leur faire penser qu’ils font fausse route. Mais le cryptage est surcodé par une anagramme. Sur le tombeau de la toile des bergers figurera la suite de chiffres suivante : 4 2 6 8 (qui donnera du grain à moudre dans la fausse piste, et révèlera le nombre de lettres composant les mots de l’anagramme. Il suffira alors de les remettre dans le bon ordre pour obtenir : S O U S L E S O L E I L C O U C H A N T 4 2 6 8 SOUS LE SOLEIL COUCHANT Le soleil couchant désigne le ponant, donc l’ouest ponant nom masculin (latin populaire sol ponens, soleil couchant) 1. Régional ou litt. Ouest, occident. Le ponant et le levant. 2. Vent d'ouest, dans le Midi. 3. Anc., régional (Midi). Océan. Le Petit Larousse Copyright © Larousse/HER, 1999 © Havas Interactive, 1999 LOCALISATION DU SPOT : La contremarque est enterrée en forêt de Lardigny, sous l’extrémité ouest de la pierre d’Alot. Orientée Sud – Nord quand on y accède (voir photos) La pointe à l’opposé du chemin est orientée à l’ouest. La marque sur la photo indique le spot.

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INDICATION VISUELLES Un livre dont la couverture porte l’inscription de la photo ci-dessous, des os de poulet, des arêtes de poisson, et des fruits pourris (dont une figue et du raisin)

Sur la stèle de Blanchefort, les suites suivantes donnant le nombre de lettres de chaque mot formant l'anagramme finale ! 4 2 6 8 (SOUS LE SOLEIL COUCHANT) 10 3 6 6 (UNDERNEATH THE GOLDEN SUNSET)