2
NOUVEL ALBUM SORTIE LE 3 MARS 2011 harmonia mundi distribution harmonia mundi distribution www.lechantdumonde.com 274 2022  DDD JEUNESSE JAZZ MANOUCHE CHANSONS JAZZ WORLD © Yann Orhan 7:+JEIIB=^^YUWv.1 CONTACT CONCERT Tél. +33 (0)6 16 71 72 58 [email protected] CONTACT PRESSE Le Chant du Monde Céline Breugnon Tél. +33 (0)1 53 80 37 98 [email protected] SONIA CAT-BERRO soniacatberro.com www.myspace.com/soniacatberro retrouvez Sonia Cat-Berro sur Facebook SONIA CAT-BERRO : VOCALS, LYRICS GILLES BARIKOSKY : SAXOPHONE, COMPOSITIONS PIERRE DE BEHTMANN : RHODES YONI ZELNIK : DOUBLEBASS KARL JANNUSKA : DRUMS GILLES “VÉZIL” OLIVESI : MIX, ELECTRONIC EN CONCERT 26 mars Le Camion Jazz Louvigny 11 mai Studio de l’Ermitage Paris puis en tournée dans toute la France

Toy Balloons Dossier

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Toy Balloons Dossier

NOUVEL ALBUMSORTIE LE 3 MARS 2011

harmonia mundidistribution

harmonia mundidistributionwww.lechantdumonde.com

274 2022  DDD

JEUNESSE JAZZ MANOUCHECHANSONS JAZZ WORLD

© Y

ann 

Orha

n

7:+JEIIB=^^YUWv.1

CONTACT CONCERTTél. +33 (0)6 16 71 72 58

[email protected]

CONTACT PRESSELe Chant du MondeCéline Breugnon

Tél. +33 (0)1 53 80 37 [email protected]

SONIA CAT-BERRO

soniacatberro.comwww.myspace.com/soniacatberro

retrouvez Sonia Cat-Berro sur Facebook

SONIA CAT-BERRO : VOCALS, LYRICSGILLES BARIKOSKY : SAXOPHONE, COMPOSITIONS

PIERRE DE BEHTMANN : RHODESYONI ZELNIK : DOUBLEBASSKARL JANNUSKA : DRUMS

GILLES “VÉZIL” OLIVESI : MIX, ELECTRONIC

EN CONCERT26 mars Le Camion Jazz Louvigny11 mai Studio de l’Ermitage Parispuis en tournée dans toute la France

Page 2: Toy Balloons Dossier

LE PARCOURSC’est une formation précoce qu’a reçue Sonia Cat-Berro : les premiers disques qu’elle a écoutés, issus de la « discothèque idéale » de son père fan de jazz, ont été ceux de Monk, Mingus, Coltrane, et elle fut bien surprise de constater un peu plus tard que tous les enfants de son âge ne se passionnaient pas comme elle pour Ella Fitzgerald, Steve Lacy ou Louis Scla-vis. Sa fibre artistique trouve à s’épanouir tout au long de son enfance, entre cours de piano, cho-rale, danse, théâtre, clarinette... Puis les études, brillantes, prennent le dessus : après sa khâgne, elle rentre en Licence d’Histoire à la Sorbonne, les écoles de journalisme en ligne de mire.

1994, l’année de ses 21 ans, est celle où tout bascule : elle quitte ces mêmes études, où elle

s’ennuie en fait depuis longtemps, et rejoint la mu-sique qui la fait vibrer depuis toujours. Elle trouve un petit boulot

pour se payer les cours au CIM à Paris, la plus ancienne des écoles de jazz en Europe, où elle étudie le chant, le piano, l’harmonie, et développe des qualités reconnues au-jourd’hui par ses pairs musiciens, qui voient en elle plus qu’une chanteuse qu’on accompagne: une vraie musicienne. L’intimité avec le travail vocal, la recherche sur l’instrument qu’est le corps, ont donné naissance à un son très personnel, solide sans jamais forcer, où tout paraît toujours facile et allant de soi, même lors des challenges les plus techniques.

En 1996 elle donne ses premiers concerts à Paris dans les clubs, et s’entoure de la fine fleur des musiciens de jazz de sa génération pour visiter tout ce que la capitale compte de lieux de jazz. Elle a l’occasion de collaborer, entre autres, avec Guillaume Naud, Philippe Soirat, Laurent Coq, Stéphane Kerecki, Dré Pallemaerts, Gildas Boclé, Edouard Ferlet, Gilles Naturel, Antoine Hervé, Steve Lacy, Glenn Ferris, Jocelyn Mienniel, Tony Paeleman... et de-puis plusieurs années son quintet est à l’équilibre parfait avec Pierre de Bethmann (fender rhodes), Yoni Zelnik (contrebasse), Karl Jannuska (batterie), et Gilles Barikosky, le complice musical de toujours. Le public est conquis par cette jeune femme espiègle, qui interprète le jazz avec aisance et naturel, et qui « lead » son groupe avec la détermination de celle qui sait où elle veut aller. Depuis, ce sont bientôt quinze années sur les planches, des centaines de concerts, des rencontres avec des milliers de personnes en festivals (Jazz in Marciac, Jazz à Vannes, Orléans Jazz, Festival d’Enghien, Montlouis-sur-Loire...), avec les parisiens (Duc des Lombards, Sunside, L’Auditorium Saint Germain, Petit Journal Montparnasse...), avec les amateurs dans les belles salles des saisons culturelles dans toute la France (Théâtre de Sens, Phénix de Valenciennes, Théâtre de Caen, Théâtre de Meaux...).

En 1999, A Singing Affair, son premier disque, autoproduit à l’origine et repéré en Fnac, sort sur le label Charlotte Productions, qui produira le suivant, Keep in touch (2003): un deuxième album qui reflète en grande partie le fruit de la collaboration musicale avec Gilles Barikosky, compositeur des musiques des chansons originales sur lesquelles Sonia écrit les paroles en anglais. La critique (Jazzman, Jazz Hot, Le Nouvel Obs, TSF, France Musiques, France Bleu, France 3...) suit depuis le début la carrière de cette chanteuse qui a su passer d’un premier album de standards réussi (« Sonia Cat-Berro est entrée dans le rang si rare des bonnes chan-teuses de jazz », André Francis, Radio France), à un univers personnel et affirmé (« Une valeur sûre du jazz vocal français », La Terrasse).La sortie de son troisième album, Toy Balloons (Chant du Monde / Harmonia Mundi) en 2011, est l’occasion de prendre toute la mesure de la personnalité artistique que Sonia Cat-Berro donne à entendre aujourd’hui, une voix moderne et ancrée dans son époque.

Sonia Cat-Berro

sur scene

© Jean-François Grossin

L’ALBUMUn troisième album étonnant, résolument actuel et créatif dans lequel rien ne peut être qualifié d’entendu ou de calibré.Quinze ans de carrière et deux précédents disques avaient laissé s’épanouir chez Sonia Cat-Berro une voix et une culture du jazz parfaitement maîtrisées, richement explorées, qui rendent l’expression « chanteuse de jazz » bien trop figée, trop « cliché » pour qualifier cette vocaliste à la personnalité lumineuse.La voix d’abord, frappe par ce mélange troublant de naturel et de perfection technique qui sont la marque de fabrique de la demoiselle.Plénitude du son, souplesse, justesse et précision du phrasé répondent à la chaleur et à la sensualité du timbre, à l’émotion d’une interprétation sans fard. On touche à l’essence même du chant, tant tout paraît à la fois spontané et sophistiqué.Au cœur des compositions originales (du saxophoniste Gilles Barikosky), Sonia Cat-Berro révèle un autre de ses talents, que laissait présager son accent américain impeccable: elle écrit en anglais des textes ciselés, qui sont autant de tranches de vie dans lesquelles elle se dévoile, souvent émouvantes et profondes, parfois légères et piquantes.C’est aussi grâce à un son inédit et très travaillé que s’affirme l’esthétique de Toy Balloons : l’invention et la prise de risques sont partout.Il fallait oser ancrer le « The Man I love » de Gershwin dans cette moder-nité, oser réinventer une interprétation d’un tube comme « Still lovingyou » de Scorpions qui le débarrasse des scories du ressassementradiophonique, ou trouver le décalage qui nous fasse redécouvrir,émerveillés, la pureté mélodique de « What are you doing the restof your life? » (Michel Legrand).Parmi les originaux, le final d’« Easy to fall in love » évoque lesexpérimentations les plus avant-gardistes de Björk ou de Radiohead,et partout, comme à la base de tout, le groove relie la musique decet album au corps, à l’organique, au charnel.

,