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Traduction de la vidéo

Le Docteur Richy et Gaby

Dr Richy : J’accompagne le père James depuis une vingtaine d’années. Ma mère,

Gaby, mon épouse Jeanine et nos enfants avons été témoins d’une foule de phénomènes qui se sont produits dans la vie du père James et dans la nôtre.

Je désire aujourd’hui en témoigner car ces derniers temps on a pu voir sur Internet des images concernant les blessures du corps du père James en hindi ou en malayam (langues de son pays). Il m’a donc paru important de témoigner de la vérité.

C’est un privilège de témoigner de ce que j’ai pu observer. Le père Manjackal est un prêtre catholique des Missionnaires de Saint-François de

Sales. Je l'ai rencontré pour la première fois en l'an 2000. Lorsque j'ai vu les blessures sur ses mains, j'ai fini par croire en Jésus-Christ comme mon Seigneur et mon Sauveur. Ce que j'ai vu : ce sont les blessures du Christ sur les mains d'un

saint prêtre de l'église catholique romaine. Depuis plus de 20 ans que je le connais, je sais que le père James s'efforce de ne

pas publier d'informations sur les blessures de son corps. Toutefois des publications sur Internet concernant ses blessures ayant été publiées avec la possibilité d’une origine naturelle ou surnaturelle, j'ai pris cette décision, dans un

souci de transparence et d'éclaircissement, d'établir et de donner un rapport précis de la vérité, en réalisant ce documentaire sur les blessures du Père James. Nous avons vécu et travaillé ensemble avec le Père James, et il est pour moi plus

que mon père spirituel ou mon conseiller spirituel, il est l'un de mes amis les plus proches. En effet, quand je pense au père James, je le vois comme je vois mon propre

père. Au cours de cette dernière année, ma mère Gaby, ma famille et moi-même, nous avons eu de nombreuses occasions de discuter avec lui de ses blessures. Il n'a jamais aimé en parler, mais au fil des ans, nous avons pu réunir ici et là des

informations.

(ATTENTION : INFORMATION IMPORTANTE) : Au cours de cette vidéo, vous verrez des images graphiques des blessures sur le corps d'un homme, le père James. Des blessures qui vous rappelleront les

souffrances de Jésus. Ces blessures peuvent ne pas être agréables à voir. Je sais qu'elles sont même difficiles à voir, donc si vous avez l'impression que le

contenu graphique et les images de cette vidéo peuvent être offensants pour vous ou pour vos proches, ou pour votre public ou pour quiconque regarde cette vidéo, je vous suggère d'arrêter la vidéo maintenant.

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Je voudrais donc vous faire part de ce que nous avons pu constater et confirmer

comme étant la vérité sur l'histoire, l'évolution et l'état actuel du père James aujourd'hui.

Voici un rapport précis sur le développement, l'histoire et l'état des blessures du père James :

- Le Père James a fondé une maison de retraite spirituelle « Charis Bhavan ». Dès son ouverture, en 1989 un millier de personnes s'y pressaient pour un renouveau spirituel du matin au soir. Le Père James y travaillait sans repos,

rempli de zèle, de joie et de force que seul l'Esprit Saint peut donner. Il y donnait des retraites hebdomadaires ; il avait une école d'évangélisation, un programme

respectivement pour les enfants, pour les jeunes, pour les mariés, pour les veuves.

- Sur inspiration du Seigneur, il a ensuite fondé une communauté de femmes

célibataires consacrées connue sous le nom de « Charis Marian Maids », Communauté apostolique dans le diocèse de Vijajapuram, Kottayam, sous

l’autorité de son Évêque au Kerala. http://www.jmanjackal.net/eng/engconsa.htm Il a également lancé un magazine, le « Charis Team », et a organisé, une association des bienfaiteurs « Crista Familia » Tous ceux qui ont participé aux

retraites du Père James Manjackal ont été très généreux pour l’aider dans ses projets. Ils le considéraient tous comme un grand modèle. Lui aussi les aimait et faisait tout ce qu'il pouvait faire pour eux.

- Le Père James participait à des conventions « Charis Bhavan » dans différentes régions du Kerala, du Karnataka et de Bombay. Certains de ses confrères et

même de ses Supérieurs étaient jaloux et envieux de son nom, de sa renommée et il semble qu’ils auraient été très heureux de le voir transférer ailleurs. C'est à cette époque que le père James a été kidnappé et c'est à partir de ce moment-là,

une série de choses malheureuses se sont produites dans sa vie et en même temps, d'étranges blessures sont alors apparues sur ses mains et ses pieds. Il a

consulté médecins et dermatologue. Le dermatologue qui a examiné le Père James a dit clairement et avec insistance que ces blessures semblaient être d'origine surnaturelle, l'origine n'étant pas explicable par la science de l'époque

où elles ont été documentées et diagnostiquées. Je crois qu’il y a environ 27 ans de cela.

- Sœur Marcelina, médecin de l'hôpital de Little Lourdes à Oulavar, a dit que ces

blessures étaient pour Jésus. Elle l'a testé et a fait un scanner des 5 plaies et elle a dit au père Divisia Nuropi, le Supérieur du Charis Bhavan, de ne pas

inquiéter le père James à ce sujet. - Un jour, le célèbre prédicateur charismatique du Kerala et du monde entier, le

Père Matthew Michael Bomby, qui avait entendu parler des blessures du Père

James a voulu le mettre à l'épreuve. Il est donc venu célébrer la Sainte Messe avec le Père James et a vu que les blessures de ses mains, saignaient pendant la Sainte Messe. Il a donc conseillé au Père James de le montrer aux autres

pendant la Sainte Messe et de ne plus le garder pour lui en secret. Le père James respectait beaucoup le père Matthew, il a donc suivi son conseil et montrait les

blessures à ceux qui le lui demandaient, sans jamais l'exposer publiquement et sans jamais les qualifier de stigmates ou de blessures du Christ.

- Lorsqu'on l'interrogeait sur l'origine de ses blessures, il disait simplement que

ces blessures étaient dues à ses varices, sinon des blessures de diabète type 2 ou des blessures qui auraient pu survenir pour toute autre raison ou encore tels

des dons spéciaux de souffrance pour le Seigneur.

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- Le Père James considère qu'il n'est pas assez saint pour avoir les stigmates

comme les saints de l'histoire en ont eu. Aujourd'hui, nous savons que les saints de l'histoire n'étaient aussi que des

hommes. - Lorsqu'il a commencé à montrer ses blessures à certaines personnes sur les

conseils du père Matthew, ses Supérieurs l'ont mal pris et ont commencé à dire

qu'il exposait ses blessures pour se faire apprécier ou sympathiser, pour se faire de la publicité...

- Au début, nous n’avions vu que ses blessures sur ses mains qui saignent

pendant la Sainte Messe. Lorsque ses cinq blessures se sont ouvertes, ma mère Gaby lui a demandé si ces blessures étaient des stigmates sacrés comme ceux

de François d'Assise ou du Padre Pio. Sa réponse a été : "Non Gaby, je suis un pauvre pécheur, les stigmates ne sont que pour des personnes saintes. C'est un don de souffrance que le

Seigneur m'a donné pour une prédication efficace de l'évangile. Mais toutes ces souffrances je les porte à Jésus qui m'a appelé à ce merveilleux ministère pour

le salut des âmes." - Puis il a continué à expliquer quand et où cela a commencé et comment il a dû

subir des humiliations, des incompréhensions de la part de ses Supérieurs de

sa propre congrégation ainsi que de beaucoup d'autres personnes dans le monde entier.

Ma mère a noté toutes les paroles du Père James dans son journal personnel,

voici un extrait :

"A partir du 8 septembre 1993, j'ai reçu deux blessures aux paumes, aux pieds et à

la poitrine pendant l'adoration devant le Saint Sacrement lors d'un service de guérison à Kottayam. Elles saignaient tous les jours, surtout pendant la Sainte

Messe. Je souffrais beaucoup de ces blessures, surtout le vendredi. Au début, mes confrères et quelques amis ont fini par me dire que c'était une blessure auto-infligée. J'ai dû faire face à de nombreux malentendus, des jugements erronés et des

humiliations à cause de ces cinq blessures. Mon provincial m'avait emmené chez des médecins et des psychiatres qui en cherchaient l'origine. Mais aucun d'entre eux

n'a pu me donner d'explication. Ils ont tous dit que cela ne relevait pas de la science médicale, car c'était quelque chose d'extrêmement peu commun. Je ne voulais pas admettre qu'il s'agissait de stigmates car je n'étais pas une personne sainte comme

les saints qui avaient de tels phénomènes mais je savais très bien qu'il s’agissait des dons de souffrance que le Seigneur m'avait donné pour mon ministère. Ainsi, à tous ceux qui me demandaient des explications sur mes blessures et mes saignements,

je disais que c'était une hémorragie de varices, même si je savais que c'était un don de Dieu. Je savais que les gens dans le monde ne comprendraient pas le phénomène

spirituel. Je ne veux jamais me montrer comme une personne sainte parce que je sais que je suis un pauvre pécheur. Bien sûr, j'ai le problème des varices depuis longtemps.

- J'avais l'habitude de prier Jésus de me les enlever de mon corps car c'était une nuisance pour moi, surtout pendant la messe. »

- « En janvier 2013, lorsque je me suis réveillé de mon coma à l'hôpital de la clinique chrétienne en Autriche, ces blessures avaient disparu ne laissant que de très faibles traces. Gaby et les autres pensaient que j’allais mourir comme

cela s'est passé dans la vie de Saint Padre Pio dont les stigmates ont disparu quelques jours avant sa mort.»

Dr Richy : Personnellement, j'étais pleinement convaincu de l'origine

surnaturelle de ces blessures car j'ai vu ces plaies apparaître, disparaitre et réapparaître sous mes propres yeux. Mais j'y reviendrai plus loin dans ce rapport.

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Jusqu'à ce jour, le père James n’a jamais voulu exposer ses blessures ni en faire

un spectacle. - Une fois, les organisateurs de sa retraite en Suisse ont fait 10 000 tracts pour

annoncer une retraite avec lui. Ils ont écrit :"Un prêtre de l'Inde avec des stigmates " et en entendant cela, il a été très furieux et leur a demandé de retirer les tracts. Comme ils ne lui ont pas obéi, il a annulé la retraite.

- Nous savons qu'il souffre beaucoup tous les vendredis, surtout les premiers vendredis du mois. Nous sommes aujourd'hui, le 2 mai 2020 ; Hier c'était le 1er mai, fête de Saint Joseph le Travailleur et c'était aussi le 1er vendredi du mois ;

il souffrait donc atrocement. Je peux dire en toute franchise et sincérité, en tant que médecin, de toute ma vie, je n'ai jamais vu une telle souffrance humaine, je

n'ai jamais vu un homme endurer une telle douleur comme j'ai vu le père James endurer de telles souffrances jusqu'à ce jour.

- Chaque jeudi soir, ses blessures s'ouvrent et saignent. Nous lui avons donné un

linge spécial pour dormir... Ma mère peut l'entendre appeler le nom de Jésus et de Marie, pleurant parfois ses nuits blanches et douloureuses.

- Maintenant, le père James a également développé d'autres blessures sur la tête.

Il a de nombreuses blessures autour de la tête. Je les ai photographiées et vous verrez ces blessures sur sa tête... J'ai examiné sa tête des dizaines de fois. Un

jeudi soir, il n’y avait aucune blessure sur sa tête, le vendredi matin il avait une couronne de blessures couvrant sa tête. Le dimanche matin, sa peau semblait nette comme si elle n'avait jamais été

touchée, dans un état virginal. Cela m'étonne beaucoup moi-même et je trouve que c'est une explication peu naturelle. Je suppose donc qu'il s'agit d'un

phénomène surnaturel. - À la sortie de son coma du au syndrome de Gillain-Barre dont il a souffert entre

2012 et 2013, le père James a parlé de ses blessures dans son livre "I Saw

Eternity" qu'il a écrit un an après (sur la demande et insistance de son père spirituel).

- Il n'admet jamais qu'il a des stigmates. En réalité, tous ceux d'entre nous qui voyons ses blessures savons qu'elles sont des stigmates comme en avaient les mystiques. Sans doute est-ce son humilité qui ne lui permet pas de le dire. Je

sais qu'il a ses blessures depuis que nous l'avons rencontré. Le témoignage de ses blessures est l’origine de ma conversion et de celle de plusieurs milliers de

personnes, en particulier les blessures sur ses mains qui saignent pendant la sainte messe.

- Nous avons de nombreux mouchoirs tachés de sang qui sont apparus pendant la messe. Les mouchoirs présentent des taches de sang en forme de croix.

- Lors de ses messes publiques, il essayait toujours de cacher ses blessures. Il

levait ses mains de telle manière que les gens ne voient pas les blessures. (J’avais en effet remarqué que ses mains étaient parfois fermées, retournées vers lui. Je me souviens également, lorsqu’il faisait une accolade au Cardinal Barbarin à l’issue de la messe, ses mains fermées touchaient le Cardinal, sans doute pour éviter de tacher son vêtement. ) C’est la raison pour laquelle, il a interdit à

quiconque de prendre des photos pendant la Sainte Messe de peur que ses blessures ne soient exposées mais aussi car le temps de la messe n'est pas le

moment de prendre des photos. Il nous a demandé de supprimer les photos, de modifier les dvd ou les scènes où les blessures pouvaient être trop évidentes. Il ne voulait pas être ostentatoire. Mais des gens le savaient et ont commencé à

l'appeler le nouveau « Padre Pio ». Et il y a ses photos avec le Padre Pio qui ont été diffusées dans plusieurs pays.

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- Du point de vue médical, en 2016 / 2017, j’ai rédigé un rapport sur les

souffrances du père James afin de bien documenter ses blessures. A cette époque, certains événements auxquels nous avons assisté ces derniers

temps n'avaient pas encore eu lieu. Jusqu'à présent, on a beaucoup écrit sur la façon dont le père James souffre dans son attitude vertueuse au cours des plus pénibles épreuves. Dans un souci de vérité,

de transparence et d'information complète, je m'efforce d'élucider les souffrances physiologiques du père James de la manière la plus concise et la plus complète possible dans le cadre de cette publication et ce présent documentaire.

J’aborderai les maux et les douleurs du père James de la tête aux pieds. Je tiens à souligner que les stigmatisés… en raison de l’intensité de la souffrance de

leurs blessures vivaient quasiment au lit. Anna Catarina Emrich par exemple, stigmatisée elle aussi, bien que non canonisée, était alitée par la douleur. - Je n'ai jamais vu le père James cloué au lit. Je l'ai vu dans des douleurs

extrêmes, mais sa douleur n'a jamais limité son zèle pour l'Évangile et les efforts qu'il a entrepris pour prêcher la parole de Dieu parce que la parole de Dieu et

l'évangélisation dans sa vie ne seront pas interrompues. - Le père James a aujourd'hui 74 ans. Il est lié à un fauteuil roulant souffrant une

douleur inhumaine, surnaturelle je crois. Néanmoins s'il ne donne pas de

retraite en ce moment, les restrictions gouvernementales qui nous sont imposées en sont pour cause ainsi que la crise du Coronavirus. Nous ne pouvons pas voyager parce que les frontières sont fermées.

- La douleur et la maladie n'ont jamais été une restriction à la prédication de la parole de Dieu dans sa vie.

- Chaque jour, chaque vendredi, diverses blessures s'ouvrent sur la tête du Père James, de petites lacérations apparaîtront dans la nuit du jeudi au vendredi avec une intensité croissante avant le lever du soleil. Réparties sur son cuir chevelu

et sur le haut de son front, elles le démangent et sont douloureuses. Elles saignent exclusivement pendant la messe, en particulier pendant le carême et à

Pâques. Ces blessures disparaissent pour la plupart sans laisser de trace le dimanche matin, ne laissant absolument aucune trace le dimanche matin.

- En de très rares occasions, avant les grandes retraites ou en période de crise

mondiale intense comme la guerre ou l'escalade des tensions mondiales, la crise dans l'Église ou par exemple en raison de la crise « Covid », le saignement peut continuer jusqu'au dimanche ou au-delà. Et la profondeur et l'ampleur de ses

blessures peuvent s'intensifier pendant ces périodes. Il est rare que ces blessures laissent des croûtes sèches derrière elles. J'ai vu ces blessures apparaître

littéralement à partir de rien devant mes yeux lors d'un examen médical approfondi de son cuir chevelu et de son front.

- Les blessures du père James vont provoquer une sécheresse et une décoloration

de la peau, des démangeaisons et une sensibilité accrue de la peau. La peau du père James est plus sensible à la douleur en raison de ses blessures.

- En 2014, une partie de la langue du père James a dû être retirée en raison d'une

tumeur précancéreuse. Pendant cette période, le père James a souffert très intensément car il ne pouvait ni manger, ni boire, ni parler.

- Pendant des décennies, le père James a été exposé à de mauvais réglages de microphones, à des systèmes de haut-parleurs surchargés. Cela avait provoqué une surdité partielle des deux oreilles, ses conversations devaient être sur un

ton de voix fort. Il ne peut utiliser les téléphones qu'avec un haut-parleur et il a parfois des difficultés à écouter. Il se heurte souvent à un manque de

compréhension et à une impatience manifeste de la part de ses interlocuteurs.

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- Selon les examens effectués par les ortho-laryngologues, les cordes vocales du

père James sont complètement détruites au point d'être incapables de fonctionner. Je cite les paroles du spécialiste : "Je ne comprends pas comment

vous pouvez encore parler, selon moi c'est un miracle, vous ne devriez pas pouvoir parler".

- Aujourd'hui encore, le père James porte la cicatrice de la trachéotomie qu'il a

subie pendant son séjour aux soins intensifs. - La thyroïde du père James a été partiellement détruite par les effets secondaires

de différents traitements et médicaments, ce qui a entraîné une fatigue et une

faiblesse accrues. - Le père James a besoin d'une substitution à vie des hormones thyroïdiennes.

- Sur le plan musculaire et squelettique, le père James porte les conséquences de la dégénérescence neurale dont il a souffert pendant la phase aiguë du syndrome de Guillain-Barret. Cela signifie que ses muscles ont rétréci et qu'ils sont faibles

et ne peuvent plus soutenir que de façon très limitée sa structure osseuse. Cela représente un obstacle au niveau de ses mouvements. Ses extrémités et son

tronc doivent être partiellement paralysés, ce qui l'oblige à rester allongé et assis pendant de longues périodes. De plus, la paralysie due à la faiblesse musculaire a entraîné une déformation progressive et graduelle de ses os, ce qui a entraîné

une déformation de ses vertèbres, de multiples compressions des nerfs spinaux et des douleurs généralisées sur tout son corps.

- Ses mains sont déformées. Il a donc beaucoup de mal à écrire, à manipuler

couteau et fourchette ou à s'adonner à toute activité impliquant une motricité plus élevée.

- Son bras droit a été cassé lors de son enlèvement et il a toujours le clou métallique qui lui cause des douleurs débilitantes sous la pression ou la tension, comme par exemple lorsqu'il marche avec une béquille.

- Le père James est né avec une malformation vasculaire au niveau du cœur. Cela a provoqué des crises soudaines et prévisibles de trachéo-cardiaque avec des

battements de cœur qui augmentaient et dépassaient les 200 bpm. Ces épisodes s'accompagnent d'un manque d'oxygène dans le cœur et de douleurs thoraciques intenses comparables à celles subies lors d'une crise cardiaque. À son âge

avancé, ces épisodes de palpitations peuvent très bien provoquer un arrêt cardiaque soudain et la mort. Le père James est actuellement traité avec des médicaments à base de « neuradone », c'est le seul médicament qu'il peut tolérer

avec des effets secondaires limités. Parmi les effets secondaires de ce médicament figurent la fatigue, la faiblesse du cœur et les lésions hépatiques.

- Le père James souffre de tous ces problèmes. De plus, il a besoin d'agents anticoagulants pour réduire le risque d'une éventuelle attaque. Ces agents anticoagulants augmenteront la quantité de sang qu'il perd lors d'une

hémorragie. - Actuellement, il souffre également de diabète 2. Il se voit contraint de restreindre

son alimentation, ce qui diminue sa force et son potentiel de réadaptation, et lui

fait subir les effets secondaires des médicaments à base de sucre. - En raison de sa faiblesse musculaire, le père James est en fauteuil roulant. Bien

qu'il puisse marcher avec une canne, son équilibre est précaire et la marche implique un risque important de chute et de blessure conséquente. Il peut rester assis jusqu'à 16 heures sur son fauteuil roulant sans aucune pause. Liée à cette

posture douloureuse malsaine, au-delà de la déformation dégénérative de sa vertèbre, au-delà des douleurs radicales qui en découlent.

- Le père James souffre également de douleurs neuropathiques intensifiées pendant la nuit et persistant pendant la journée.

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- Une description précise de ces douleurs et une comparaison exacte serait la

sensation d'être brûlé vif ou d'être déchiqueté par un broyeur à viande. - Lorsque le père James a été kidnappé, un morceau de chair a été arraché de la

partie inférieure de sa jambe droite, laissant une hernie musculaire ainsi qu'une zone hypersensible.

Le père James a plusieurs blessures qui sont toujours visibles :

- Une sur chaque paume de ses mains ; elles mesurent entre 3 et 5 cm de long et

entre 3 et 5 cm de profondeur selon le jour et la saison.

- La troisième blessure est toujours visible sur la partie inférieure droite de sa

poitrine, au-dessus du diaphragme. Cette plaie mesure 7 cm de long et ne peut pas être pénétrée avec un instrument de mesure en raison de la douleur

inhumaine que l'intervention entraînera. Ces plaies saignent abondamment selon le même schéma que les plaies mentionnées ci-dessus.

- Il a 2 autres blessures, une sur chaque pied, Avant, elles n'étaient visibles que lorsqu'elles saignaient. Elles sont toujours visibles maintenant car elles saignent

continuellement, il lui est donc très difficile de porter des chaussures ou des sandales, de porter des chaussettes ou de marcher, ce qui a également un effet négatif sur la réhabilitation actuelle que nous essayons

de faire avec le père James afin qu'il puisse rester en bonne santé et fort pour pouvoir donner d'autres retraites.

En résumé, le père James souffre des graves conséquences du syndrome de Guillain-Barret :

- Perte de muscles, mauvaise formation des os, douleurs atroces et brûlantes sous la taille.

- Il souffre des conséquences des palpitations cardiaques dues au rétinol,

notamment des douleurs thoraciques de fatigue, une inefficacité cardiaque ainsi que la menace imminente d'un arrêt cardiaque.

- Il souffre également, avec le diabète, des effets secondaires de divers médicaments

qu'il doit prendre pour survivre. - IL doit également tolérer les douleurs aiguës qu'impliquent l'ouverture, le

saignement abondant et la fermeture régulière de multiples blessures sur son corps.

- La complexité et la plénitude de ces maux rendent le sommeil du père James

presque impossible. - Le grand public ignore généralement les souffrances du père James. Lorsqu'il est

assis devant un public, il donne l'impression d'être en parfaite santé. Ce phénomène ira jusqu'au point où les gens refuseront de croire qu'il est malade.

- En outre, le Père James est infatigable dans sa lutte pour s'améliorer

physiquement, mentalement et surtout spirituellement. Il suivra 5 heures par jour de physiothérapie intensive et se déplacera en voiture, en bus et en avion, quelles que soient la distance et la durée du transport. Il y a quelques mois, nous avons

pris un vol de 15 heures pour l'Afrique, aux Seychelles. Nous avons enduré une chaleur de 30 à 40 degrés. C'était déjà très difficile pour moi en tant qu'homme

en bonne santé. Il ne pouvait pas dormir, la douleur ne s'arrêtait pas. Il aurait pu choisir de rester au lit et de se détendre, mais il a choisi de prendre sur lui la coupe de la souffrance pour l'évangélisation.

- D'un point de vue psychologique, la seule motivation possible de la surabondance de force et de détermination du père James réside dans son

pouvoir d'évangéliser.

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Sa douleur semble disparaître lorsqu'il est devant un microphone. Parfois, j'ai envie

de lui donner un micro dans la main pour qu'il puisse mieux dormir. - Il pleure beaucoup de douleur chaque nuit en appelant Jésus et Marie. Le

phénomène surnaturel que je postule ici fait partie intégrante de sa souffrance. - On dit que les cordes vocales du père James sont au-delà de la fonctionnalité.

Pourtant, il peut parler, rire et chanter fort et clairement.

- Les blessures du père James semblent saigner et disparaître avec plus ou moins de gravité selon le calendrier liturgique catholique romain et les événements personnels, mondiaux et ecclésiastiques.

- Le père James a des blessures permanentes aux mains et à la poitrine. Ces blessures saignent selon le même schéma que celui décrit ci-dessus.

Indépendamment de la quantité de sang que le père James perd en raison du saignement des plaies, l'analyse hématologique montrera qu'aucune perte de sang n'a eu lieu. J'ai prélevé des échantillons de son sang avant et après son

hémorragie. Je quantifie le montant de son saignement pendant son calvaire du jeudi au vendredi à 250 ml au moins et c'est un montant pertinent qui devrait

être, si cela se produit sur une base hebdomadaire, représentable d'un point de vue hématologique, clinique et analytique. Pourtant, il ne présente aucune perte de sang.

- Pendant les périodes où ses blessures saignent, on peut percevoir une

intense odeur de rose ou d'encens. (J’ai retrouvé dans mes notes de la retraite de Bergerac « 17h : pendant son homélie de la messe du samedi 28 septembre 2019, j’ai senti une forte odeur d’encens, ma voisine a confirmé – nous savons qu’il n’y avait pas d’encens ni d’encensoir – nous étions dans une salle de la ville)

- En lisant ces lignes aujourd'hui, je peux témoigner du fait que cette odeur intense de rose est permanente et qu'elle est liée à ses blessures. Lorsque je

regarde ses blessures, celles de ses mains, je les ai examinées régulièrement pour voir pourquoi elles se développent ou diminuent, si elles s'approfondissent

ou non. Je peux sentir directement les roses qui proviennent de ces blessures. En conclusion, nous pouvons affirmer que les souffrances du père James sont d'origine naturelle, mystique ou surnaturelle et qu'elles nous rappellent la

Passion de Jésus-Christ.

Mon témoignage personnel est que je veux rendre témoignage à la vérité que j'ai proclamée : que les blessures de Jésus-Christ sont sur le corps du père

James. Les blessures ne lui appartiennent pas, elles appartiennent à Jésus-Christ le Seigneur, la deuxième personne de la Sainte Trinité.

Je présente maintenant ma mère, Gaby, afin qu'elle nous éclaire sur les expériences que nous avons vécues en famille avec les blessures du père James depuis ses écrits.

C'est ma joie, mon privilège de vous présenter ma mère, Gaby Landauro. Pour ceux qui ne la connaissent pas, elle accompagne le Père James depuis l'an 2000. Elle a travaillé comme secrétaire, comme servante, comme bonne, comme

infirmière, comme sœur, comme mère, faisant essentiellement tout et n'importe quoi pour le Père James au cours de ces deux dernières décennies.

Gaby : Très Exactement, je le connais maintenant depuis 20 ans.

Dr Richi (fait office de journaliste et interview sa mère) : Pourriez-vous nous décrire les expériences que vous et votre famille avez vécues

entre le 15 et le 18 mars 2018 ?

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Gaby : C'était la Semaine Sainte de la Passion, dans la nuit du 15 au 16, le père

James a crié très fort : Jésus, au milieu de la nuit et j'ai pensé qu'il avait fait une sorte de rêve spécial et je l'ai appelé et il a dit : " Oh j'ai eu beaucoup de douleur "

« Je souffre beaucoup" Pour moi c'était normal, et je lui ai demandé comme d’habitude : "voulez-vous un comprimé contre la douleur ou des gouttes ou autre chose ?" et il m'a répondu "non, non, non" et c'est tout. Le lendemain, je suis allée

à l'Institut comme toujours et il se plaignait de la douleur. - Et Jeanine, ma belle-fille, a essayé de lui mettre les pieds dans l'eau et elle a

découvert des blessures spéciales. En fait, un peu au-dessus de ses talons, au bout des jambes, il y avait des cercles aux chevilles comme une corde tendues et complètement humides. Quand je suis revenu de l'Institut, il me l'a montré et

nous avons réalisé que ce sont les mêmes marques sur son visage et sur ses bras. C’est alors que le père James m'a expliqué qu'il avait fait un rêve, qu'il avait vu

Jésus ligoté à la croix et que Jésus avait l'air très mal en point et qu'Il pleurait. Le père James Lui a dit : "J'aimerais vous aider mais je ne peux pas parce que

je suis paralysé." Il m'a dit que Jésus était attaché avec des cordes et ce fut alors que le Père James a crié "Jésus ".

- Il m'expliquait qu'il a eu ces marques sur ses bras et ses chevilles lorsqu'il priait

pour les évêques, pour le clergé et l’Église, pour la sanctification de l'église. Il pense qu'il a eues ces souffrances à cause de l'église. Nous le croyons et nous

prions aussi pour l'église. Et nous avons pensé que c'était fini, c'était donc le 17 mars, jour de son anniversaire que bien sûr, nous n'avons pratiquement pas pu fêter.

- Au milieu de la nuit, un parfum très, très fort m'a réveillé. C'était un mélange de roses et d'encens et c'était dans mon nez et m'étouffait pratiquement. Je me suis levée et j'ai entendu le père James crier "Jésus" très fort. Puis il m'a dit "Gaby,

je vais mourir" et j'ai dit "Père, ne dis pas ça". Puis le lendemain matin, je crois qu'il a appelé Richi, je lui laisse la parole :

Dr Richy : Oui, je me souviens très bien. Il m'a appelé le 18 mars, c'était un dimanche, le dimanche des Rameaux, le dimanche de la Passion et ce jour-là, il était entre 6h30 et 7h00 du matin, j'ai entendu sa voix dans une grande douleur et une

grande détresse : « Je suis en train de mourir ». Je suis allé le voir immédiatement et je l'ai trouvé souffrant vraiment d'une douleur atroce et immense sur le lit et je

lui ai demandé ce qui n'allait pas. Il a dit : « Mes épaules, mes épaules ! » alors j'ai pensé que peut-être parce qu'il parlait des épaules, il pouvait avoir une crise cardiaque. Il a dit que c'était son épaule droite, et cela m'a rendu un peu méfiant

parce que l'épaule droite n'est pas typiquement l'épaule qui vous ferait souffrir quand vous avez une crise cardiaque. Je lui ai donc dit d'enlever son tee-shirt et j'ai vu devant mes yeux une énorme plaie qui s'étendait sur le haut de la poitrine, sur

l'épaule droite, jusqu'au milieu du dos droit, et sa peau semblait bouillir, comme si quelqu'un cuisait sa peau. Lorsque j'ai touché sa peau, elle n'était ni plus chaude

ni plus froide, mais les bulles montaient devant moi et ces bulles se sont ensuite développées en excoriation et la peau est tombée, laissant une énorme zone ouverte sur son dos droit.

À ce jour, je ne peux pas, expliquer comment cela a pu se produire, sans qu'il y ait eu de causes ou d'agents extérieurs.

Gaby : En fait, cette année-là était aussi une année spéciale. Pendant la semaine

sainte, je l'ai entendu dire plusieurs fois "Jésus Marie" pendant la nuit, "Jésus Marie, Jésus Marie", surtout du jeudi au vendredi saint et le vendredi saint, nous avons vu

que son ventre et son dos étaient comme si un animal l’avait griffé, c'était comme

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des coups de fouets qui va s'étendre comme si c'était quelque chose de plus long.

Parfois je pense que c'est plus facile à dire mais c'est très difficile à voir et je suis sûr que pour le Père James, c'est encore plus difficile de supporter ces douleurs. Ce

fut une Semaine Sainte bien spéciale et depuis lors, il a ces blessures chaque vendredi, parfois les autres jours de la semaine. Nous avions l'habitude de regarder des vidéos tous les Vendredi Saint sur la Passion

du Christ mais j'ai dit que je ne voulais plus les regarder. Je me souviens alors d’un verset dans Isaïe 15, 14 : « Je pense qu'ils vont tourner leur visage parce qu'ils ne pourront pas le regarder parce qu'il sera tellement blessé » et bien souvent, je vois

les blessures du Père James et vraiment, vraiment je peux vous dire que je ne veux pas les voir.

Dr Richy : Oui, ça fait mal de voir, c'est une expérience douloureuse de voir ces douleurs intenses, ces blessures graves. C'est un énorme fardeau pour lui et c'est une expérience très douloureuse pour quiconque y est confronté.

Gaby : Bien sûr, nous sommes heureux de pouvoir l'aider d'une manière ou d'une autre, mais parfois, nous voudrions que cela s'arrête.

Dr Richy : Expliquez-nous comment s'est développée cette blessure intense à l'épaule

qui est allée dans son bras droit et est devenue une douleur débilitante.

Gaby : Cette douleur est devenue tellement intense que nous avons dû l'emmener

chez le médecin. Le médecin a dit que cet homme portait un poids énorme et que celui-ci pouvait l’écraser. C’était au niveau de la Cervicale 5 et 6 autour du cou et elles ont été écrasées. Richi a trouvé un chirurgien en Espagne et nous y sommes

allés. Il a pu être opéré. Les 2 Cervicales ont été enlevées et remplacées par du métal. Ensuite, au lieu de se reposer, nous sommes immédiatement allés en Pologne avec

une minerve autour de son cou parce que des milliers de gens l'attendaient. Le voyage en avion a été extrêmement difficile pour lui, mais il a voulu absolument honorer ce rendez-vous.

Dr Richy : Il y a eu peu après une nouvelle intervention chirurgicale sur sa colonne vertébrale...

En raison des effets secondaires de son anesthésie, il a développé des palpitations et j'ai dû arrêter les palpitations pour qu'il puisse voyager. Je lui ai donc donné un médicament pour le cœur. J'ai dû arrêter son cœur pendant 3 secondes, puis il s'est

remis à battre très lentement. J’ai dû lui dire : « Père James, vous devriez aller vous reposer maintenant parce que votre cœur ne pourra pas battre normalement et régulièrement pendant les deux ou

trois prochains jours à cause des effets secondaires de ce produit cardiaque. » Sa réponse fut : "Non, je dois évangéliser ".

Mon cœur se réjouit quand je vois cela chez un prêtre.

Gaby : Il dit toujours : "Je veux mourir en évangélisant, je veux mourir en prêchant."

Dr Richy : "Je veux mourir en prêchant " est une attitude magnifique et je dois dire que cette seule chose compte pour le Père James : avoir cet amour et ce

zèle pour l'évangélisation qui est le numéro 1 dans sa vie. C'est là un très beau témoignage parce qu’il a tenu juste quelques heures après que j'ai arrêté son cœur.

Gaby : Oui, c'était comme si rien ne s'était passé et bien sûr les gens pensent qu'il est complètement bien.

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Dr Richy : On le pense tout naturellement puisqu’il vient évangéliser et qu'il peut

supporter tout ce que cela implique : « il est bien ». Oui c'est incroyable, c’est vraiment admirable !

Gaby : Richi nous dit que si vous donnez un micro au Père James, il oublie la douleur.

Dr Richy : Oui, en effet, il est toujours un être humain. J'étais vraiment inquiet, il

peut mourir à tout moment alors que les gens étaient heureux, se réjouissant, applaudissant, oui mais moi, j'espérais juste qu'il arrive au bout.

Mon Dieu, un tel courage, un si grand courage !

Gaby : Tant de gens ont été guéris dans ce programme d'un jour, c'était incroyable.

Dr Richy : Oui j'ai dû rédiger une évaluation médicale pour l’envoyer au Père Abraham Vetuvelli, son Supérieur.

Gaby : le 4 octobre 2019, jour de la fête de St François d'Assise, il priait devant le

Saint Sacrement et tout à coup, deux blessures sont apparues sur ses mains.

Dr Richy : Il a donc maintenant 2 blessures sur chaque main ; une, dessus et l’autre

à l’intérieure.

Gaby : Parfois, j'ai le sentiment que ses blessures vont guérir. Lors de la Semaine Sainte, ses blessures étaient si ouvertes et si profondes que je m'attendais à ce

qu'elles ne guérissent jamais et qu'il n'arrive même plus à se déplacer en fauteuil roulant. Alors maintenant, selon moi, elles guérissent lentement. Je veux dire que

dans un moment, il devra sans doute porter des gants. C'est donc une telle douleur incroyable.

Dr Richy : Oui, je prie vraiment pour qu'il n'ait pas à endurer cela.

Gaby : C'est à cause de la foule, des personnes qu’il a en face de lui, que le Père James transpire autant, donc avec les gants, ses mains seront complètement en

sueur et ce ne sera pas agréable pour lui.

Dr Richy : En résumé, nous pouvons dire que les blessures sur ses mains deviennent de plus en plus profondes, doucement et lentement. C’est la même chose pour celles

aux chevilles et aux pieds. D'une certaine manière, les blessures se développent, deviennent plus profondes et la blessure sur son épaule est celle qui le fait le plus souffrir. Ça a l’air très grave.

Gaby : Et ce n’est pas beau à voir…

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Dr Richy : Oui c'est vraiment laid et le Père James dit qu'il comprend maintenant la

réponse de Saint Pio lorsqu’on lui a demandé quelle était la blessure la plus douloureuse, il a dit que c'était la blessure à l'épaule, c'est la blessure de la croix.

Gaby : Oui, cette blessure est comme si tous les jeudis soir, quelqu'un se brûle, c’est quelque chose de brûlant ou comme un fer à repasser brûlant sur son épaule et le vendredi matin ce n’est plus chaud.

Dr Richy : oui c'est vraiment terrible, un de ses pieds saigne régulièrement.

Gaby : Le 4 octobre, je ne sais pas si c'est la situation de l'Église ou dans le monde

ou à cause du Coronavirus ou non, mais elle ne s'arrête pas…

Dr Richy : Oui, vraiment j'admire profondément le Père James parce qu'il a encore plusieurs projets en cours et dans le monde entier.

Gaby : Oui, oui, oui, il ne s'arrête pas même s’il ne peut pas prêcher actuellement en raison des restrictions sanitaires... :

- Il a commencé à porter le Saint Sacrement dans la ville (c’était au début du confinement) parce qu'il ressentait cette incroyable foi dans la Sainte Eucharistie.

- Puis il a commencé, parmi l'un des

premiers à lancer cette diffusion de sa messe en direct sur Internet. Lorsqu'il célébrait la messe, il ne

pouvait même pas se lever. Certains jours, il doit célébrer la

messe assis à cause des douleurs sur ses pieds. En le regardant par Internet, les gens ne peuvent pas

le savoir, mais bien sûr nous, nous le savons et nous souffrons avec

lui.

-

Dr Richy : Il a, pour autant que je sache, des projets aux Philippines.

Gaby : Il répond toujours à tous ses courriels et à tous ces gens, des personnes

privées qui demandent de l'aide et il a des projets pour des séminaires aux Philippines. Maintenant, il veut faire quelque chose pour les pauvres, les pauvres en Inde et il en a un autre en Afrique. Il continue donc à utiliser tout l'argent qu'il reçoit

et dont il n'a pas besoin pour son traitement, pour aider sa congrégation, les pauvres et les gens qui le sollicitent dans leurs projets.

Dr Richy : Il aide aussi les pauvres en Europe, il aide à financer la maison à Glucas.

Gaby : Oui, il aide à financer tant de choses que l’on connait et tant d’autres que l’on ne connait pas vraiment.

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Lorsque je lui demandais, il me répondait toujours "Qu'une main ne doit pas savoir ce que fait l'autre main". Mais avec le temps, j'ai rassemblé quelques photos et certaines de ses œuvres. J'ai donc seulement quelques uns de ses projets, mais il y

en a beaucoup d'autres que j’ignore. Je le sais quand il fait un chèque ou quand il appelle la banque. Je comprends que c'est pour aider quelqu'un et bien sûr, bien

souvent, je ne lui demande pas d’explication. D'autres fois, je pense que les gens ne veulent pas être publiés car personne n'aime demander de l'aide, personne n'aime demander de l'argent. Il se peut qu'ils ne veuillent pas que le Père James dise leur

nom. Il le fait quand les personnes l’y autorisent. Il a encore beaucoup, beaucoup de projets.

Gaby : le père James a 74 ans et il travaille comme s'il était encore jeune. Je pense

que c'est dû à l'Esprit Saint et au fait d’être porté par la prière de beaucoup de gens. Oui vraiment, priez pour lui, priez pour nous aussi parce que d'une certaine

manière, nous sommes tous dans le même bateau. Il a besoin de beaucoup de prières et nous avons besoin de beaucoup de prières. Priez pour qu'il vive encore de nombreuses années, qu'il puisse aider les gens et qu'il puisse réaliser son souhait,

de prêcher l'Évangile, de prêcher Jésus, parce qu’il veut que tout le monde soit sauvé. (Une chaine de prière a été lancée en France pour l’accompagner ainsi que ses proches)

Dr Richy : Je vous remercie beaucoup de regarder ce documentaire sur les blessures et les souffrances et sur les œuvres du Père James Manjackal.

C'est un témoignage personnel, c'est ce que nous avons vécu, ce que nous avons vu au cours de ces 20 dernières années de notre vie. Nous vous remercions d'avoir

écouté nos témoignages et d'avoir regardé ces images très difficiles que nous vous avons montrées. Nous prions pour que le Seigneur vous bénisse et bénisse toutes les personnes qui ont pris part à notre mission, à la mission du père James

jusqu'aujourd'hui et à notre époque, et pour que le Seigneur bénisse et guérisse tous ceux qui ont regardé et qui regardent ou regarderont ce documentaire à l'avenir. Je vous remercie beaucoup pour votre amour, vos prières et votre soutien.

Que Dieu vous bénisse.

Gaby : Que Dieu vous bénisse.

Vidéo du 2 Mai 2020

Traduit en français par Christian et diffusée en juillet 2020

Gisèle Bomal