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LIVRE BLANC – DECEMBER 2016

Sommaire

Synthèse 3

Postes de travail : l’heure du changement 3

L’approche VDI est-elle la seule réponse possible ? 4

Les avantages liés à l’hébergement des postes de travail

et des applications dans le Cloud 4

Les scénarios d’utilisation optimaux pour les postes de travail

hébergés dans le Cloud 6

VMware aide les clients à réussir dans l’ère du Cloud 6

Conclusion 8

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SynthèseLes infrastructures de postes de travail physiques n’ont plus de raison d’être dans l’entreprise. Coûteuses, peu sûres et lourdes à maintenir, elles sont en outre inaptes à accompagner efficacement l’évolution actuelle du paysage informatique. La lame de fond des plans de migration vers Windows 10, l’expansion de la main-d’œuvre virtuelle, la popularité croissante des périphériques mobiles, la montée des attentes en matière d’utilisation de terminaux personnels (BYOD) et les tensions qui pèsent sur le budget du département informatique : tout cela concourt à une nécessaire réévaluation des stratégies de déploiement des postes de travail. En transférant les postes de travail virtuels et les applications dans le Cloud, l’entreprise accède à tous les avantages potentiels de la virtualisation, tels que la gestion centralisée, la sécurité accrue des données et le déploiement simplifié, sans les restrictions, contraintes et coûts prohibitifs que supposerait leur gestion par ses propres ressources.

Le présent livre blanc examine les facteurs impliquant une remise en question des stratégies de postes de travail traditionnelles, les bénéfices que nombre d’entreprises peuvent retirer d’une solution de postes de travail virtuels et d’applications hébergés dans le Cloud, et les avantages potentiels d’une telle solution dans les scénarios de migration vers Windows 10, d’effectifs mobiles ou de collaborateurs saisonniers.

Postes de travail : l’heure du changementLa gestion des postes de travail est devenue une véritable contrainte pour le département informatique. Confrontés à la nécessité incontournable d’assurer l’accès des utilisateurs aux applications et services indispensables, les responsables informatiques peinent à assumer la charge de travail, la complexité et le coût inhérents à la gestion et à la sécurisation de leur parc de PC physiques. Dans le même temps, des utilisateurs de plus en plus avides de nouvelles technologies s’irritent de la rigidité et des limitations des ordinateurs mis à leur disposition.

Si les entreprises ont conscience de ces problématiques depuis plusieurs années, le point de basculement du changement vient tout juste d’être atteint. Migration vers Windows 10, utilisation accrue des périphériques d’accès mobile et resserrement des budgets informatiques : la conjonction de ces trois facteurs appelle irrésistiblement une évolution des infrastructures de postes de travail.

• Migration vers Windows 10 : avec l’interruption par Microsoft du support technique de Windows XP et le récent lancement de Windows 10, nombre d’entreprises explorent aujourd’hui l’éventualité d’actualiser leur plate-forme Windows. Nombre de PC d’ancienne génération ne sont cependant pas conçus pour exécuter Windows 10, ce qui oblige les entreprises à renouveler leur parc d’ordinateurs avant de faire migrer leurs collaborateurs vers ce système d’exploitation. Au vu du matériel et de la main-d’œuvre nécessaires pour répondre aux nouveaux besoins en termes de mémoire, de disque dur et/ou de carte graphique, les entreprises qui décident de mettre à niveau leurs ordinateurs existants au lieu de les remplacer ne feront guère d’économies.

• Développement de l’accès mobile : selon IDC, les travailleurs mobiles constitueront près des trois quarts de la main-d’œuvre totale des États-Unis en 2020.* Ces employés accéderont aux applications et aux services de l’entreprise depuis divers terminaux, tels que les iPad, tablettes Android ou smartphones, dont le succès va croissant. Les entreprises sont donc en quête de solutions autorisant l’accès en tout lieu et à tout moment.

• Resserrement des budgets informatiques : les PC peuvent consommer entre 7 et 10 % des budgets informatiques, sans pour autant apporter d’avantage concurrentiel. Dans un climat de volatilité persistante de l’économie, les entreprises tendent à resserrer la bride sur les dépenses informatiques. Les campagnes massives d’actualisation des PC et de migration vers Windows 10 ne sont plus envisageables, et l’urgence est de réduire le coût de prise en charge d’une base d’utilisateurs de plus en plus dispersée.

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L’approche VDI est-elle la seule réponse possible ?Obligées de reconsidérer leur stratégie en matière de postes de travail, de nombreuses entreprises envisagent en toute logique de déployer une infrastructure de postes de travail virtuels (VDI). VDI promet en effet de résoudre nombre des problématiques traditionnellement liées aux postes de travail physiques. En centralisant les postes de travail virtuels sur des machines virtuelles exécutées sur des serveurs du Data Center de l’entreprise, l’infrastructure VDI réduit considérablement la complexité et la charge de travail liées à certaines tâches récurrentes, telles que le déploiement de postes de travail et d’applications ou la prise en charge d’effectifs géographiquement dispersés. Les utilisateurs accédant à leur poste de travail virtuel via une technologie d’accès distant aux PC, le département informatique est en mesure de contrôler précisément le mouvement des données entrantes et sortantes à l’échelon du Data Center. Et puisque les données ne sont pas stockées sur le terminal local, l’entreprise réduit considérablement les risques liés à la perte ou au vol de PC ou de terminaux mobiles.

Quelque substantiels que soient ces avantages, plusieurs points cruciaux doivent cependant être pris en considération avant de pousser plus avant sur cette voie :

• Coûts : bien qu’une infrastructure VDI revienne moins cher qu’un parc d’ordinateurs physiques, il est important de tenir compte des dépenses d’investissement initiales qu’implique son déploiement. Pour évaluer le coût initial d’un déploiement VDI, il convient de prendre en compte les besoins en ressources (calcul, réseau et stockage) associés à la conception envisagée, mais aussi la capacité d’alimentation et de refroidissement et l’encombrement nécessaires à la réussite du déploiement.

• Complexité : les technologies nécessaires au déploiement de VDI (serveurs, stockage, réseau, clients légers et logiciels de virtualisation) émanent d’un grand nombre de fournisseurs distincts, d’où une grande perplexité au sein des équipes informatiques quant au choix des technologies à adopter. De plus, les composants technologiques de VDI sont souvent gérés par différents services informatiques internes, ce qui complique la coordination des projets de déploiement de postes de travail virtuels. VDI oblige également le département informatique à se doter de compétences et d’informaticiens spécialisés pour gérer leur infrastructure de virtualisation.

• Évolutivité : si les postes de travail virtuels sont nettement plus simples à déployer que les postes physiques, encore faut-il que le département informatique dispose des moyens nécessaires. Cette lacune s’avère particulièrement critique lorsque l’entreprise a besoin d’évoluer rapidement pour prendre en charge des projets urgents ou temporaires menés par ses propres équipes ou par des consultants externes. Enfin, les problèmes de latence font que seuls les utilisateurs installés à proximité d’un Data Center bénéficient de performances maximales. Cependant, la plupart des entreprises ne disposent pas d’une topologie de Data Centers géographiquement dispersée, pourtant indispensable pour garantir un niveau de performances optimal ou même simplement adéquat.

Les avantages liés à l’hébergement des postes de travail et des applications dans le CloudLe Cloud Computing fait l’objet d’une attention considérable en raison de la flexibilité et des économies qu’il promet. De même que la virtualisation avait d’abord fait ses preuves côté serveur avant de se propager au poste de travail, le Cloud est aujourd’hui mûr pour l’infrastructure de postes de travail.

En transférant les postes de travail et les applications dans le Cloud plutôt que dans un Data Center déployé et géré en interne, l’entreprise peut accéder à tous les avantages liés à la virtualisation des postes de travail, tels que la gestion centralisée, la sécurité accrue des données et le déploiement simplifié, sans restrictions, contraintes et coûts prohibitifs.

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Les postes de travail et les applications hébergés dans le Cloud et déployés sous forme de service offrent les avantages suivants :

• Réduction des coûts de postes de travail : l’externalisation de l’infrastructure physique supportant les postes de travail virtuels permet à l’entreprise de s’assurer d’emblée un retour sur investissement positif. Les postes de travail hébergés dans le Cloud n’ont pas seulement pour effet d’éliminer l’investissement initial et le plan d’amortissement sur trois à quatre ans inhérents à VDI : ils permettent aussi à l’entreprise de convertir les dépenses d’investissement liées aux postes de travail en coûts d’exploitation. Les postes de travail virtuels et les applications sont disponibles par abonnement selon un tarif mensuel préétabli, et l’entreprise ne paye que pour le nombre de postes dont elle a besoin. Résultat : une réduction du coût total de possession (TCO) des postes de travail obtenue dès le déploiement des postes de travail hébergés dans le Cloud et non à un horizon de 18 à 24 mois. L’entreprise peut dès lors budgétiser des frais d’abonnement mensuels fermes, sans coûts cachés ni mauvaises surprises.

• Gérabilité améliorée et support unique : les complexités associées à la conception, à la mise en œuvre et au support des postes de travail virtuels appartiennent au passé. Les postes de travail virtuels hébergés dans le Cloud sont aussi simples à acheter qu’à mettre en œuvre. L’infrastructure physique est mise à disposition d’emblée par le fournisseur, et l’entreprise externalise intégralement le déploiement et l’exploitation. L’entreprise réalise également d’importantes économies sur les budgets traditionnellement consacrés à la maintenance des postes de travail physiques, tout en minimisant les compétences techniques internes nécessaires pour exploiter des postes de travail virtuels. Et comme les postes de travail sont mis à disposition par le fournisseur via un réseau sécurisé et dans le cadre d’un contrat de niveau de service (SLA), les utilisateurs peuvent compter sur un plus haut niveau de disponibilité avec leur poste de travail virtuel qu’avec un PC physique, qui requiert souvent une visite de support en cas de problème.

• Libre choix du terminal et indépendance géographique : les entreprises ont la possibilité de prendre en charge un personnel géographiquement dispersé et de plus en plus mobile en éliminant toute dépendance vis-à-vis du terminal ou du lieu de travail.

– Libre choix du terminal : les utilisateurs peuvent travailler et accéder aux applications et aux données de l’entreprise sur n’importe quel terminal. – Indépendance géographique : dans la mesure où les fournisseurs disposent de plusieurs sites, les problèmes de proximité du Data Center sont éliminés. Les utilisateurs ont ainsi la possibilité de travailler depuis n’importe où, que ce soit à leur domicile, dans un café, ou à l’autre bout du monde.

• Flexibilité – – Indépendance vis-à-vis d’un fournisseur : le département informatique n’a plus à choisir entre différentes technologies de poste de travail virtuels, au risque de miser sur une technologie frappée d’obsolescence ou d’être assujetti au plan d’évolution d’un fournisseur particulier. – Évolutivité accélérée : l’entreprise peut rapidement monter ou descendre en puissance en ajoutant ou en retirant des postes de travail virtuels et des applications de son abonnement mensuel en l’espace de quelques minutes. Le département informatique peut ainsi mener à bien les projets (à court ou long terme) les plus exigeants, tels que la montée en charge d’un environnement de postes de travail pour les besoins d’une opération saisonnière ou le redéploiement rapide de postes de travail pour une succursale implantée sur un nouveau marché géographique. – Flexibilité géographique : l’emplacement physique des Data Centers n’est plus un frein au déploiement de postes de travail virtuels. Les postes de travail hébergés dans le Cloud peuvent être déployés à l’échelle mondiale. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder à leur poste de travail virtuel pratiquement sans contrainte de lieu. Quant aux entreprises, elles ont toute latitude pour étendre leur périmètre géographique de recrutement, indépendamment de leur implantation physique ou de la portée de leur infrastructure interne.

– Essai et achat simplifiés : sans infrastructure ni logiciel à déployer, les entreprises peuvent essayer rapidement et facilement des postes de travail virtuels hébergés dans le Cloud avant d’investir.

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Les scénarios d’utilisation optimaux pour les postes de travail hébergés dans le CloudCertains scénarios clés maximisent l’impact des postes de travail et des applications hébergés dans le Cloud sur les opérations de l’entreprise. Les scénarios suivants offrent les conditions idéales d’utilisation des postes de travail et des applications dans le Cloud :• Entreprises orientées Cloud : entreprises cherchant à exploiter les avantages du Cloud.• Petites et moyennes entreprises : entreprises ne disposant pas des vastes ressources

informatiques requises pour gérer des postes de travail physiques ou virtuels.• Travail à distance : qu’il s’agisse de télétravail, de délocalisation ou d’externalisation,

la part de travailleurs virtuels dans les effectifs de l’entreprise augmente d’année en année. Avec les postes de travail hébergés dans le Cloud, l’entreprise a le moyen de prendre en charge des collaborateurs géographiquement dispersés dans des conditions optimales d’économie et de sécurité. Les sous-traitants peuvent aisément accéder à l’environnement d’entreprise sur leurs terminaux personnels, tandis que les employés ont la possibilité de se connecter à leur poste de travail et à leurs applications depuis leur domicile ou en déplacement, sans forcément avoir leur propre ordinateur avec eux. Les collaborateurs délocalisés peuvent être autorisés à accéder au réseau d’entreprise sans risque de perte ou de vol de données sensibles, dans la mesure où celles-ci ne sont pas stockées en local.

• Demandes variables et flexibles en termes de postes de travail : de nombreuses entreprises utilisent des postes de travail pour des tâches ponctuelles ou des projets uniques. Ainsi, les développeurs ont périodiquement besoin d’environnements de génération et de test pour leurs applications. La souplesse inhérente aux postes de travail et aux applications hébergés dans le Cloud permet de redimensionner rapidement les postes de travail et les applications en fonction de l’évolution des besoins.

• Migration vers Windows 10 : plutôt que de remplacer ou de mettre à niveau ses postes de travail en prévision du déploiement de Windows 10, l’entreprise peut continuer à utiliser son parc matériel existant. Outre l’évitement des coûts qu’aurait engendrés le renouvellement à court terme de ses PC, les postes de travail hébergés dans le Cloud lui offrent la possibilité de prolonger la vie de son parc existant au-delà du terme initialement envisageable. Une fois arrêtée la décision de remplacer ses postes client lourd, l’entreprise pourra de plus opter pour des terminaux client léger, moins coûteux à l’achat et plus efficaces sur le plan énergétique.

VMware aide les clients à réussir dans l’ère du CloudVMware aide ses clients de divers secteurs d’activité à tirer parti des postes de travail hébergés dans le Cloud pour repenser leur stratégie en matière de postes de travail et résoudre leurs problématiques informatiques. VMware Horizon Cloud Service permet aux clients de gérer en toute simplicité leurs environnements de postes de travail virtuels hébergés dans le Cloud ou déployés sur site, afin de bénéficier d’un plan de contrôle Cloud pratique et simple d’utilisation qui leur apporte la liberté de choix et la souplesse requises pour évoluer vers le Cloud à leurs propres conditions.

Distribution de détailPrincipale société du groupe d’embouteillage Pepsi détenue et exploitée par des franchisés, G&J Pepsi-Cola détient 11 sites dans l’Ohio et le Kentucky, un effectif de 1 600 employés et 300 routes de distribution de boissons. Eric McKinney, responsable des services Cloud de G&J, a mis à profit les technologies Cloud pour rationaliser la communication d’informations du siège aux équipes de terrain, réalisant ainsi un gain de temps, d’argent et de ressources.

Chargé de superviser un parc de plus de 1 000 terminaux, Eric McKinney est un ardent partisan d’une stratégie axée en priorité sur le Cloud, qui permet à son département informatique de « rester concentré sur l’activité ». G&J avait d’abord misé sur une solution VDI déployée dans son Data Center, pour arriver à la conclusion que, malgré ses avantages indéniables, cette solution s’avérait difficile à gérer en continu. Cherchant à améliorer la solution existante, Eric McKinney a alors collaboré avec VMware et Peak 10, le fournisseur de Cloud de G&J, « dans le but de se dégager de son activité Data Center en confiant le service de gestion de postes de travail hébergés à VMware ». C’est ainsi que G&J est passé de ses images VDI à un service hébergé.

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Horizon Cloud permet aux utilisateurs de kiosque, aux chauffeurs de camion assurant les tournées, aux détaillants et aux fournisseurs externes de se connecter à un environnement prévisible dans lequel Eric McKinney et l’équipe du département informatique sont à même de provisionner des espaces de travail en quelques instants. Sans augmenter sensiblement ses coûts, G&J est parvenue à monter rapidement en charge pour passer de 425 utilisateurs à plus de 900, avec la possibilité d’ajouter encore des utilisateurs sans augmenter ses effectifs de support technique. « Tout s’est merveilleusement bien passé… Nous sommes plus que satisfaits. Nous avons enfin le temps de nous consacrer à des projets qui n’ont pas directement trait à l’informatique. Notre seule priorité est désormais le développement de notre portefeuille global d’offres et de services. »

Services financiersUne société de services financiers d’envergure nationale comptant 85 employés, 60 agents de crédit et trois centres d’appels répartis sur le territoire des États-Unis peinait à gérer ses 10 petites succursales. Le directeur informatique était à la recherche d’une solution plus efficace pour la gestion de l’ensemble de ces bureaux distants. « Ces sites n’étaient pas suffisamment importants pour être équipés de leurs propres pare-feu, routeur et serveur, ce qui nous mettait entièrement à la merci de Comcast et de Time Warner Cable. C’est ce qui nous a décidés à explorer les solutions VMware. » En quête d’une solution plus économique, la société a choisi VMware. « Nous avons réduit notre budget de moitié en supprimant les serveurs locaux des succursales, puis en déployant des clients zéros Dell Wyse et des postes de travail hébergés dans le Cloud. Résultat : plus moyen de faire la différence entre accès local et accès distant. »

Mieux encore : avant le déploiement de VMware, la société dépensait de 800 à 900 $ par utilisateur. Aux dires du directeur informatique, « le coût par utilisateur a été divisé par deux : 250 $ pour un client zéro, plus 200 $ pour un écran, avec l’avantage supplémentaire de pouvoir améliorer l’expérience utilisateur proposée aux employés ».

« VMware nous a apporté une expérience de poste de travail simple et cohérente, et nous avons en outre la possibilité de surveiller et sécuriser aisément les postes de travail pour l’accès à tous nos services Web. » Il y a un an, il aurait fallu affecter un administrateur informatique local à chacun de nos trois sites pour gérer ce dont nous disposons actuellement. Avec VMware, tout peut se faire à distance. Nous sommes en mesure d’installer des applications Microsoft telles que Visio en l’espace de 15 minutes, contre plusieurs heures auparavant. Et en termes de sécurité, les progrès sont énormes... Nous sommes tous devenus des inconditionnels de VMware. »

Gestion globale d’actifsResponsable des services Cloud, Scott Myers collabore étroitement avec Kelly Jones, architecte Cloud chez Zebra Technologies, une entreprise d’envergure mondiale détenant à ce jour plus de 4 200 brevets technologiques dans le domaine de la gestion d’actifs. Moins de deux ans plus tôt, la société avait racheté Motorola Solutions. Suite à cette acquisition, elle assumait quotidiennement des coûts d’entente de services de transition frôlant les six chiffres. Zebra a choisi de déployer VMware en raison de sa simplicité d’utilisation, de ses fonctionnalités de gestion des opérations et de sa capacité de réduction de l’effort de conformité. Du point de vue du département informatique, le choix d’exploiter des postes de travail à partir du Cloud a été motivé par « un énorme chantier d’intégration des deux systèmes ERP » ainsi que par le « facteur de commodité » que constitue la rapidité d’accès aux postes de travail.

Zebra dispose aujourd’hui d’une infrastructure de serveurs virtuels au sein du Data Center utilisé pour l’hébergement de ses postes de travail. Kelly Jones témoigne : « Nous avons commencé à quelques centaines de postes de travail au cours de l’année suivante, pour dépasser allègrement le millier de postes ». Alors que Zebra Technology poursuit sa dynamique d’adoption des postes de travail hébergés dans le Cloud, le département informatique est passé d’un régime de maintenance à la fourniture ultra rapide de capacité en réponse aux demandes. Selon Scott Myers, « quelle que soit la vitesse à laquelle nous mettons en place des postes de travail, ceux-ci sont immédiatement consommés. Si nous déployons 100 postes de travail, ils partent tous dans les 24 heures. Et juste pour information, nous parlons de postes de travail permanents. » Étant donné la vitesse à laquelle la demande des employés s’est propagée dans l’entreprise, le taux d’adoption a rapidement justifié l’investissement.

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ÉducationAnalyste système au sein du département Digital Initiatives and Information Technology de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA), Cindy Kimmick a collaboré au déploiement d’une vaste implémentation de VDI dans le cadre d’un projet de rénovation et de modernisation de la bibliothèque mené en 2011. À la tête d’un déploiement de 150 postes de travail, elle avait constaté que ceux-ci « étaient extrêmement rapides dans la mesure où ils résidaient dans le même Data Center que les applications, sur le réseau rapide, plutôt que sur les PC déployés à l’extérieur ». Le département a ensuite remplacé son parc de PC vieillissants par des clients légers HP, car ceux-ci permettaient aux utilisateurs de l’UCLA comme au public de se connecter pour accéder à un environnement prévisible, qui mettait à disposition des applications trop onéreuses pour être achetées par les étudiants.

En 2015, Cindy Kimmick apprenait que la solution VDI initiale ne serait plus prise en charge par le fournisseur informatique. Lors de sa participation à VMworld 2015, Cindy Kimmick a découvert VMware Horizon Cloud, dont la simplicité d’utilisation l’a enthousiasmée au point de rejoindre les rangs des clients de la première heure. Cindy Kimmick est extrêmement satisfaite de la vitesse à laquelle VMware Horizon Cloud permet de déployer les postes de travail, tout comme elle se réjouit de sa simplicité : « C’est tout l’intérêt du Cloud hybride. Nous pouvons désormais consommer une ressource déployée à l’intérieur de notre organisation ou dans le Cloud hybride via une même interface de gestion, ce qui simplifie grandement notre travail d’administration, de dépannage, mais aussi de formation des utilisateurs. » Alors que le déploiement de Horizon Cloud se poursuit, Cindy Kimmick se réjouit de la possibilité offerte au département informatique de se concentrer sur les projets spécifiques de la bibliothèque de l’UCLA plutôt qu’à l’exploitation du Data Center.

ConclusionLe marché des postes de travail est prêt à évoluer. Migration vers Windows 10, assouplissement des modèles commerciaux, nécessité de réduire le TCO des postes de travail, hausse de la demande de prise en charge des terminaux mobiles et adoption croissante des technologies de Cloud : tous ces facteurs amènent aujourd’hui les entreprises à reconsidérer leur stratégie en matière de postes de travail.

Les postes de travail virtuels hébergés dans le Cloud lèvent les barrières à l’adoption de ce modèle en déployant un poste de travail complet à partir du Cloud. Ils offrent ainsi tous les avantages de VDI en éliminant totalement l’investissement initial lié à cette approche. L’entreprise échappe ainsi aux coûts et à la complexité inhérents au déploiement et à la gestion des postes de travail, tout en offrant aux utilisateurs le haut niveau de flexibilité qu’ils attendent. Plutôt que d’assumer les dépenses d’investissement initiales liées au déploiement sur site de VDI et à l’actualisation des PC physiques, l’entreprise se dote d’un environnement de postes de travail engendrant exclusivement des coûts d’exploitation prévisibles et faciles à budgétiser. VMware facilite l’accès aux avantages des postes de travail et des applications hébergés dans le Cloud.

Pour en savoir plus : www.vmware.com/go/horizoncloud

*Prévisions IDC sur la main-d’œuvre mobile aux États-Unis, 2015-2020 - http://www.idc.com/getdoc.jsp?containerId=256194

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