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ב״הRéalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ * N’oublions pas que derrière la recherche du Hamets, nous devons surtout rechercher toute trace d’orgueil dans notre cœur et nous efforcer de nous en débarrasser. La recherche du Hamets durait toute la nuit chez l’Admour-Hazaken qui n’avait pourtant ….. Qu’une seule petite pièce ! * Il existe une liste des médicaments autorisés, prenez le temps d’interroger un Rav pour savoir quel médicament doit éventuellement être changé. * Certains Beth-Habad proposent de cacheriser votre vaisselle pour la rendre Cacher Lepessah renseignez vous des maintenant. * On n’attendra pas la dernière minute pour vente le Hamets que l’on veut garder. Sublime !!! Une fois une certaine organisation cherchant à perpétuer la mémoire de la Shoah proposa que dans chaque foyer juif soit placée près de la table, lors du seder, une chaise vide en souvenir des absents. L'idée fut proposé au rabbi qui répondit: « Je partage l'idée d'une chaise supplémentaire près de la table du seder mais a la condition que quelqu'un y soit assis. En effet on commémore l'absence et la douleur précisément en intensifiant la lumière et en permettant à un autre juif de prendre part au seder » Chabat Tsav 8 Nissan / 28 Mars 2015 Rappel Le Zohar enseigne que la tristesse détériore les canaux qui véhiculent la bénédiction divine. (Le Rabbi) Aucun intérêt !!! Je n’ai pour l’heure aucun intérêt a vous répondre, car mes propos, jusqu’à maintenant n’ont eu aucun effet sur vous. Vous ne faites qu’attendre le moment ou je vous dirai enfin ce dont vous avez-vous-même envie. Et il est de nombreux autres Hassidim qui se trouvent dans la même situation que vous ! (réponse du Rabbi) Entrée: Sortie: New-York: 6:57pm 7:58pm Paris: 18:55 20:03 Tel-Aviv: 18:26 19:35 1

Tsav 5775

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Chabath chalom!

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ב״ה

Réalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

* N’oublions pas que derrière la recherche du ‘Hamets, nous devons surtout rechercher toute trace d’orgueil dans notre cœur et nous efforcer de nous en débarrasser. La recherche du ‘Hamets durait toute la nuit chez l’Admour-Hazaken qui n’avait pourtant ….. Qu’une seule petite pièce ! * Il existe une liste des médicaments autorisés, prenez le temps d’interroger un Rav pour savoir quel médicament doit éventuellement être changé. * Certains Beth-Habad proposent de cacheriser votre vaisselle pour la rendre Cacher Lepessah renseignez vous des maintenant. * On n’attendra pas la dernière minute pour vente le Hamets que l’on veut garder.

Sublime !!! Une fois une certaine organisation cherchant à perpétuer la mémoire de la Shoah proposa que dans chaque foyer juif soit placée près de la table, lors du seder, une chaise vide en souvenir des absents. L'idée fut proposé au rabbi qui répondit: « Je partage l'idée d'une chaise supplémentaire près de la table du seder mais a la condition que quelqu'un y soit assis. En effet on commémore l'absence et la douleur précisément en intensifiant la lumière et en permettant à un autre juif de prendre part au seder »

Chabat Tsav 8 Nissan / 28 Mars 2015

Rappel

Le Zohar enseigne que la tristesse détériore les canaux

qui véhiculent la bénédiction divine. (Le Rabbi)

Aucun intérêt !!! Je n’ai pour l’heure aucun intérêt a vous répondre, car mes propos, jusqu’à maintenant n’ont eu aucun effet sur vous. Vous ne faites qu’attendre le moment ou je vous dirai enfin ce dont vous avez-vous-même envie. Et il est de nombreux autres Hassidim qui se trouvent dans la même situation que vous ! (réponse du Rabbi)

Entrée: Sortie: New-York: 6:57pm 7:58pm Paris: 18:55 20:03 Tel-Aviv: 18:26 19:35

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Chabat Hagadol

* Il est rapporte dans le Choulhan-Arouh que le Chabat précédent Pessah se nomme « Chabbath Hagadol » car il s’y est produit un grand miracle. Lorsque Moché informa les égyptiens que la prochaine plaie toucherait les premiers nés égyptiens, ces derniers vinrent demander a leurs parents (qui étaient de hauts responsables dans le gouvernement de Pharaon) d’intervenir pour faire libérer les Bne-Israël et ôter cette menace imminente. Ces hauts responsables bien sur refusèrent de se séparer de ces nombreux esclaves gratuits et il s’ensuivit une guerre entre les enfants égyptiens et leur parents. Il y eut de très nombreuses victimes ce jour la. C’est le fait que les égyptiens s’entre tuèrent qui donna a ce miracle ce caractère de « Grand » miracle. Pourtant, ce miracle ne changea strictement rien dans la vie des Bne-Israël ! La libération n’eut lieu qu’après a mort des premiers nés; et au niveau de l’esclavage non plus, il s’était déjà arrêté depuis Roch-Hachana !!! Si ce miracle s’appelle le Grand miracle, c’est que l’ennemis fut éliminé non pas par une guerre contre les Bne-Israël, mais par l’ennemis lui-même !!! C’est-à-dire que le mal, au lieu de s’opposer et de représenter un obstacle pour les Bne-Israël, se transforma en allier qui combat a sa place !!! C’est en cela que ce miracle fut si particulier * Ce Chabat, nous avons l’habitude de lire après Minha la Haggada; depuis le début jusqu’à « LEHAPERE AL KOL AVONOTENOU » * A la sortie du Chabbat précédent Pessah, on ne dit pas “Viyhi Noam” et “Véata Kadoch”. Si Pessah tombe le Chabat suivant, le Minhag chez Habad est de le dire, le Minhag des Séfaradim est de supprimer Viyhi Noam mais de dire Véata Kadoch. * Le Minhag Habad est de lire “Véharéva” comme Haftarah si Chabbat Hagadol tombe la veille de Pessah. Sinon, on lira la Haftarah de la semaine. Certains, au contraire, lisent Véharéva si ce Chabat ne tombe pas la veille de Pessa’h.

Résumé de la Paracha

- La Paracha de Tsav continue de nous donner les détails et les conditions pour les différentes sortes de sacrifices. - On nous enseigne par exemple que le feu qui brulait sur le Mizbeah ne devait jamais s’éteindre. - On nous raconte ensuite en détails comment se déroulaient les sept jours d’inauguration. -La première tache qu’effectuaient les Cohanim le matin consistait a nettoyer les cendres des sacrifices de la veille. - L’inauguration du Michkan et des Cohanim qui sont enduits avec de l’huile.

« Korban Ola » Le Hidouche Harim explique que toute chose faisant partie du domaine de la Kedoucha a besoin d’un voile afin de cacher la sainteté qui se trouve dans la chose. Ce n’est que grâce a ce voile que cette chose peut exister car la sainteté ne supporte pas la publicité, et ne vit que dans le secret. Le voile des Korbanot réside dans le fait qu’ils sont consommes par les Cohanim et parfois par le propriétaire. Cette consommation cache l’aspect essentiel du Korban. Mais puisque le Korban Ola est brule entièrement, il n’y a donc pas de « couverture ». C’est cela le sens de Hisrone Kiss, manque de couverture !!!

Le Korban Ola est la pour réparer les fautes liées aux mauvaises pensées. Or, si la bouche a des lèvres qui l’empèchent de dire des choses, les yeux ont les paupières et les oreilles ont le lob pour les empêcher d’entendre ces paroles vexantes, mensongères ou accusatrices, le tête par contre n’a aucune muraille pour la protéger des mauvaises pensées; c’est pourquoi elle nécessite une prudence infiniment plus grande.

« La fenêtre »

Un homme demanda conseil a son Rav afin de se débarrasser des mauvaises pensées qui le dérangeaient. Pour toute réponse, le Rav l’envoya chez un de ses Hassidim. Arrive chez ce dernier, il s’installa dans un coin et se mit a étudier. Le lendemain matin, le maitre des lieux quitta la maison et notre ami resta dans le salon étudier. Il remarqua une fenêtre située assez haut sur le mur et il se demanda pourquoi la fenêtre était si haute ? Il grimpa sur une chaise puis sur la table et tira le rideau pour voir ce qui se trouvait derrière. Il fut choque de voir des comportements qui correspondaient guère a un Hassid de la part de ses voisins. Le soir même, à peine l’hôte était il rentré, que l’invité lui en fit la remarque: « Comment se fait il que vous résidiez parmi des gens de basses meurs ? » La réponse ne se fit pas attendre « Sachez monsieur que cela fait plusieurs années que j’habite cette maison mais qu’il ne m’est jamais venu a l’esprit de regarder ce qui se passait chez les autres !?! Or vous venez a peine d’arriver et vous êtes déjà au courant de tout ce qui se p[asse ici !?! » L’homme comprit qu’il venait de trouver la réponse a sa question !

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Je vais l’envoyer vers le commandant en chef, lui ne

s’embarrassera pas outre mesure et l’enverra directement en Sibérie ou devant le poteau d’exécution !» Deux heures plus tard, Berel, son Sidour à la main, se retrouva devant le Commandant en chef. Il avait beau tenter de se dominer, il n’arrivait pas à empêcher son cœur de battre de plus en plus vite. «Qu’est-ce que cela ?» demanda le Commandant, le visage fermé. «Un livre de prières, camarade Commandant !» «Et que fais-tu avec cela ?» continua le Commandant en regardant Berel droit dans les yeux. Etonné par cette question, Berel répondit : «Je prie !» «Régulièrement ?» «Oui !» «Et en quelle langue ce livre est-il écrit ?» «En hébreu, la langue sainte !» «Tu sais lire l’hébreu ?» «Oui !»

Le Commandant prit le Sidour des mains de Berel et se mit à le

feuilleter. Soudain, il leva les yeux et fit signe à Berel de s’approcher. Il murmura à son oreille : «Je t’en prie ! Apprends-moi l’hébreu ! Moi je ne sais pas prier ! Donne-moi des cours et je saurai te récompenser !» Berel était stupéfait. Son cerveau fonctionnait à toute vitesse ; il se pinça pour être sûr qu’il ne rêvait pas. Peut-être était-ce un piège ? Tandis qu’il réfléchissait quelle réponse donner, il se souvint tout-à-coup du nom du Commandant, un nom relativement répandu dans la communauté juive ! «Avec plaisir !» répondit-il, soulagé.

A partir de ce jour, Berel enseigna au Commandant comment lire

l’hébreu et comment prier dans le livre qu’il chérissait tant. En échange, il bénéficia d’un traitement de faveur et, grâce à lui, son ami put aussi voir ses conditions de vie grandement facilitées. Le Commandant obtint pour eux des certificats médicaux leur interdisant de manger de la viande. Par ailleurs, tous les vendredis après-midi, ils étaient envoyés «en mission» dans des villages voisins : là, ils étaient invités à passer Chabbat chez des familles juives accueillantes. Peu de temps après, le Commandant fut appelé en mission dans une autre région. Il proposa à Berel de l’accompagner et de devenir son chauffeur personnel. Celui-ci refusa, car il ne voulait pas abandonner son ami. Le Commandant partit, non sans avoir ordonné qu’on laisse ses protégés agir comme bon leur semblait. Qu’est devenu ce Commandant ? Nul ne le sait. Mais Berel fut libéré quelques temps plus tard, de manière miraculeuse et il épousa la sœur de son ami. Tous trois réussirent à monter en Terre Sainte

Le récit de la semaine

COUTE QUE COUTE !!!

Berel Hindrick avait vingt ans quand il fut enrôlé de force, avec son

meilleur ami, dans l’Armée Rouge. Dès le début, les deux compagnons décidèrent par tous les moyens de préserver leur judaïsme, en particulier la cacherout. Effectivement, durant toute cette période, ils ne se nourrirent que de pain, de fruits et de légumes. Ils agissaient ainsi de façon aussi discrète que possible afin de pas éveiller la curiosité des autres soldats. Dès qu’on tentait de leur faire goûter les plats de la gastronomie militaire, ils s’éloignaient en inventant toutes sortes de prétextes. Ils avaient un autre problème à affronter : la prière. La vie dans la caserne était réglementée de façon très stricte et quiconque ne respectait pas les horaires et les ordres se mettait en danger.

Chaque matin, le commandant réveillait les recrues à la même heure,

avec des cris : en moins d’une minute, les soldats devaient s’habiller et se mettre au garde à vous. Pour s’acquitter de la prière du matin, Berel et son ami devaient se réveiller beaucoup plus tôt, bien avant le réveil officiel. Ils se cachaient dans un coin tranquille et priaient sans réveiller leurs camarades. Ils cachaient leurs Téfilines et livres de prière puis retournaient se coucher comme si de rien n’était. Inutile de décrire leur angoisse chaque matin. De fait, ils risquaient d’être dénoncés, emprisonnés, jugés puis envoyés en Sibérie ou même, pire encore… Cependant, ils s’obstinèrent et réussirent à prier chaque matin: l’un encourageait l’autre et tous deux puisaient de cette expérience matinale le courage et la force pour tenir bon toute la journée. Un jour, tout bascula: Berel avait oublié de cacher son Sidour, son livre de prières et le prit avec lui dans son lit. Quand le commandant arriva, Berel se leva d’un bond, s’habilla et se mit au garde à vous. L’officier passa devant les soldats debouts près de leurs lits en les toisant de la tête aux pieds.

En arrivant devant Berel, il lui jeta un regard, s’apprêta à passer au

soldat suivant, mais remarqua alors quelque chose qui dépassait sous la couverture. Quand il tendit la main pour vérifier la nature de l’objet, Berel sentit son cœur battre à tout rompre. «Qu’est-ce donc ?» demanda le commandant, soupçonneux en découvrant le livre. A cet instant, Berel décida que, puisque son secret avait été découvert, il l’assumerait pleinement et revendiquerait son judaïsme avec fierté. «C’est un livre de prières !» répondit-il d’une voix ferme. «Et à quoi cela sert-il ?» demanda le commandant sur un ton menaçant. Malgré son angoisse, Berel fit des efforts surhumains pour garder son calme : «Je m’en sers pour prier D.ieu !» répondit-il. Les yeux du commandant lançaient des flammes ! Il était si furieux que les mots ne parvenaient pas à sortir de sa bouche. Il regardait Berel, puis le Sidour; il finit par jeter à terre le Sidour d’un air dégoûté : «Je vais t’expédier en Sibérie !». Il respira profondément et se reprit : «Non ! Pas en Sibérie ! Je vais te fusiller !»

Le commandant regarda Berel avec mépris. Ses regards foudroyants

étaient autant d’épines plantés dans sa chair. Puis, de menaçants ils se firent dédaigneux : «A quoi bon le faire juger ? Je n’ai aucune envie de m’occuper de lui ! Un sale traître juif !

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*Cette bénédiction est la 17e bénédiction du Chmone-Esre. * Dans cette bénédiction, nous implorons Hachem de reconstruire le Beth-Hamikdach afin que nous puissions a nouveau apport4r des sacrifices a Yerouchalaiim. * En effet, depuis la destruction du temple, les sacrifices ont été remplaces par la prière, c’est pourquoi nous devons a Hachem de restaure le service des sacrifices. * Selon le Rambam, bien que la prière remplace les sacrifices, ceux-ci sont plus importants que la prière. * Le service des sacrifices consiste a offrir un animal et cela correspond dans son sens spirituel a soumettre notre ame animale a l’âme Divine. * Apprendre a dominer son mauvais penchant est un travail de chaque instant et la vie entière est composée de montée et de descentes, de victoires et de défaites. * Mais cette demande a Hachem de reconstruire le 3e Beth-Hamikdach doit être accompagnée d’efforts dans notre service d’Hachem, qui déclencheront le processus de la délivrance. * En effet, Hachem est encore plus presse que nous de voir se dresser dans toute sa splendeur le 3e Beth-Hamikdach et voir des milliers de Juifs s’avancer pour offrir des sacrifices a Hachem. * Mais Hachem attend pour cela que notre comportement s’améliore, que notre vie de soit pas entièrement tournée vers les plaisirs matériels mais surtout vers une vie de Thora, de bonnes actions et d’entraide pour les plus défavorises. * Chacun doit se poser chaque jour la question suivante: « Qu’ai-je fais aujourd’hui pour accélérer la venue du Machiah !?? »

Iguérot Kodesh n°69 Je conclurai ma lettre avec ce qui concerne ce mois. Selon Rabbi Eliézer, la délivrance interviendra en Tichri, alors que, pour Rabbi Yochoua, elle sera en Nissan. Le premier avis est basé sur une comparaison entre le Chofar de Roch Hachana et celui de la délivrance, alors que le second prend pour référence la nuit, protégée depuis les six jours de la création, qui fut celle de la sortie d'Egypte. Cette controverse, portant sur le temps de la délivrance, s'applique également aux âmes juives, dans leur accomplissement de la Torah et des Mitsvot. Selon Rabbi Eliézer, les enfants d'Israël connaîtront la délivrance lorsqu'ils accéderont à la Techouva par leur propre initiative. C'est également à cela que font allusion le Choffar de Roch Hachana, comme l'explique le Rambam et, de manière plus générale, le mois de Tichri. Nos Sages disent, en effet: "Sonnez du Choffar dans le mois: si vous améliorez vos actions, la balance penchera en Tichri et ce mois rachètera et blanchira les fautes de Ton peuple". Pour Rabbi Yochoua, les enfants d'Israël seront naturellement libérés, même s'ils n'accèdent pas à la Techouva, car D.ieu leur enverra un roi dont les décrets seront aussi durs que ceux de Haman et ils amélioreront ainsi leur comportement. C'est bien ce qui se passa lors de la sortie d'Egypte, quand ils furent libérés afin de pouvoir recevoir la Torah. Et nos Sages font remarquer que celle-ci leur fut donnée sous la contrainte. C'est pour cela que le mont Sinaï fut placé au dessus de leurs têtes. C'est aussi pour cela que la nuit de la sortie d'Egypte fut, selon l'expression de nos Sages, protégée depuis les six jours de la création. Cette expression établit clairement qu'une telle protection n'était pas le fait des hommes. Du reste, commentant les versets "voici les générations des cieux et de la terre, lorsqu'ils furent créés... ", nos Sages disent: "Il n'y avait pas un homme susceptible de soumettre les créatures au Saint béni soit-Il". Néanmoins, il y a une grande différence entre la période actuelle et ce qui se passa à l'époque. Lors du don de la Torah, les enfants d'Israël n'étaient pas encore astreints à la pratique de la Torah et ils pouvaient donc prétendre que celle-ci leur avait été imposée par la contrainte. Mais, à l'heure actuelle, ils doivent la mettre en pratique et, même si la Techouva leur est imposée par un roi cruel, ils doivent se dire que D.ieu est à l'origine d'une telle situation. Se plier à cette contrainte est donc bien un moyen d'agir de tout son cœur. Ainsi, dit le Rambam, celui qui, victime de son mauvais penchant, décide de négliger une Mitsva, puis subit la flagellation, jusqu'à ce qu'il la mette en pratique, n'est nullement considéré comme ayant été forcé à le faire. Car, au fond de lui, il souhaite être partie intégrante du peuple d'Israël et respecter l'ensemble des Mitsvot. Avec ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, la Techouva immédiate et la délivrance immédiate, Rav Mena'hem Schneerson, Directeur du comité exécutif

Selon le livre « Nos prières » de Reb Nissan Mindel

Ce feuillet est dédié à l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

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