U n U n i v e r s d ’ i n n o v a t i o n e n l i m o U s i n

JUIN 2014 • N°114

3 questions / 3 réponsesYoann Forgeneuf, expert social media et directeur - Agoralink

Comment les entreprises peuvent-elles assurer une présence performante sur le web ? Spécialiste en conversations digitales, l’agence Agoralink animait un atelier le 05 juin dernier à ESTER pour répondre, en huit conseils, aux questions posées par la communication digitale.

Quels sont enjeux de la communication digitale ?Aujourd’hui, tout le monde utilise Internet. Avec presque 100 % de la population connectée, non seulement la communication digitale est indispensable, mais il serait dommage de s’en passer.

Le digital, où la performance est mesurée avec précision, permet tout d’abord d’optimiser la stratégie de communication, en s’appuyant sur des chiffres et des statistiques. Il porte aussi un enjeu de relation client. Le défi est de réussir à s’adapter aux usages de ses clients, et à assurer une qualité de service équivalente quel que soit le support. Enfin, pour en tirer profit, les entreprises doivent comprendre que la communication digitale n’est plus descendante et unilatérale. Elle répond à des enjeux de mobilité, de dialogue, et d’interaction.

Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?Première question récurrente : « faut-il être partout ? » Il faut avant tout identifier où sont ses clients et prospects, pour définir ou adapter sa stratégie de présence sur le web. Puis comprendre que la communication digitale est un investissement. On ne s’y lance pas sans avoir anticipé les ressources à y consacrer, notamment en temps passé à créer du contenu ou animer des réseaux. En résumé, mieux vaut ne pas être présent sur les réseaux sociaux que l’être à moitié.Une autre erreur courante est de se focaliser plus sur les outils que sur les usages : or pour améliorer l’expérience avec la marque, il faut placer le client au centre de la démarche.

Comment Agoralink peut-elle accompagner les entreprises dans leurs questions liées au digital ?Nous pouvons intervenir en amont des projets, en les accompagnant au niveau des études de marché, dans la rédaction du cahier des charges, ou dans le choix des prestataires. Au niveau de la communication à proprement parler, nous pouvons les assister dans le community management, la création de contenus, et les conseiller sur les problématiques de référencement, d’influence, de trafic et de visibilité. Nous proposons également une offre de formation au digital, la montée en compétence des équipes pouvant être une alternative intéressante à l’externalisation des prestations.

En savoir plus : www.agoralink.fr

E s p a c e s c i e n t i f i q U e e t t e c h n o l o g i q U e d ’ é c h a n g e s e t d e r e c h e r c h e / l i m o g e s

4ème édition des défis de l’export, le 27 juin

l’international, les clés de la réussite

la 4ème édition des défis de l’export, organisée par le réseau limousin international et ses partenaires, aura lieu vendredi 27 juin à esTeR Technopole. Cette biennale, grand rendez-vous régional de l’international depuis 2010, a rassemblé lors de ses éditions précédentes de nombreuses entreprises régionales désireuses d’accéder à de nouveaux marchés, et de développer leur rayon d’action.

Nouveauté cette année : une approche non plus géographique mais thématique. les entreprises pourront y retrouver

des ateliers thématiques axés sur le développement à l’international, et un espace partenaires au sein duquel elles pourront obtenir des rendez-vous individualisés avec des experts pays. Clôture et point fort de cette journée, la conférence de Carlos Diaz, CEO de Kwarter, sur le thème : « Osez l’international, de Limoges à San Francisco ».

En savoir plus : m.forst@limousin.cci.fr (ou par téléphone au 05 55 71 39 43)

Lettre mensueLLe • JUiN 2014 • n°114ESTER Limoges Technopole • BP 6901 • 87069 Limoges cedex • Tél. 05 55 42 60 00 • Fax 05 55 42 60 05 • ester@ester-technopole.org

Directeur de la publication : Fabrice Macquet • Comité de rédaction : l’équipe d’ESTER • Rédaction : Céline Auzanneau

Crédits photos : : Yves Bayard, architecte DPLG © Adagp, Paris 2014, œuvre de collaboration avec Pierre Charon - © Soul Cookies.ESTER Technopole©JMPéricat 2011, Agoralink, Philippe pécher – ITI Communication et CTTC, Plateforme RAMSEI’S, Venathec.• Tirage : 3000 exemplaires

ESTER, technopole de la Communauté d’Agglomération Limoges Métropole, est également soutenue par la Ville de Limoges, la Région Limousin, le Département de la Haute-Vienne, la CCI de Limoges et de la Haute-Vienne et l’Université de Limoges.

L’agenda 05 juin 8 CoNseils poUR RéUssiR sA CommUNiCATioN DigiTAle eN 2014 Atelier pratique animé et organisé par Agoralink, en partenariat avec ESTER Technopole ESTER Technopole – salle Hermès (08h30 / 10h30)

12 juin sTART-Up AssemblY : FAiRe De soN iDée soN méTieR Rendez-vous organisés par le département incubateur de l’AVRUL, en partenariat avec ESTER Technopole, dans le cadre du Festival des start-up ESTER Technopole – Forum (16h00 / 19h00)

17 juin CoNseils AUToUR DU DéFibRillATeUR Réunion d’information organisée par ESTER Technopole, et animée par Matecir Défibril ESTER Technopole – salle Hermès (14h00 / 16h00)

18 juin iNDUsTRie : l’eFFiCACiTé hYDRiQUe eN pRATiQUe Journée technique organisée par le Pôle Environnement Limousin. ESTER Technopole - ENSIL

En brefRecherche

la plateforme RAmsei’s met la mécatronique à portée de main des entreprises

la plate-forme RAmsei’s (Réseau d’Applications mécanique et systèmes electroniques et informatique industrielle),

n o u v e l l e m e n t labellisée pFT en décembre 2013, est la plate-forme limousine dédiée à la mécatronique. Portée par le lycée Turgot à Limoges, elle s’appuie également sur les ressources humaines et techniques du lycée Cabanis de Brive, de l’ENSIL et de l’IUT (département génie mécanique et productique)

« Comme les trois autres plate-formes du Limousin – Travaux Publics, Bâtiment, et Bois construction -, elle fait le lien entre l’école et l’entreprise, et participe au transfert de technologies au même titre que les Centres de Ressources Technologiques (CRT) ou les pôles de compétitivité », explique Thierry Limanton, son animateur.

le regroupement des établissements de formation (du bac professionnel jusqu’à l’école d’ingénieurs) et de leurs moyens permet à la plateforme d’apporter aux entreprises des solutions dans les domaines du génie mécanique et du génie électrique. Son objectif est de favoriser le développement technologique des TPE et PME, et de les aider à monter en compétence à moindre coût. « Les entreprises auxquelles nous nous adressons ont des idées et des projets, mais peu de moyens, et souvent pas de bureau d’étude en interne », précise Thierry Limanton. À leur disposition, quatre types de services : la coopération technologique (échange de ressources), le transfert de technologie (diffusion de savoir-faire technologique), l’innovation (technologique ou de service), ou la prestation technologique, en lien avec les compétences d’un des établissements de formation. En fonction des possibilités, et de leur intérêt pédagogique, les projets sont réalisés par les étudiants ou par les enseignants, dans le cadre des prestations technologiques. « Mais la plate-forme agit toujours pour le compte d’une entreprise : elle n’a pas vocation à faire émerger des thématiques », précise Thierry Limanton.

Si le prototypage rapide, l’impression 3D, la scannérisation et la stratoconception sont des thématiques porteuses, nombre d’entreprises ont aussi eu recours aux prestations sur-mesure de RAMSEI’S, et pour des compétences très différentes.

ERRatum

l’AlipTiC prépare la mise en œuvre d’un Contrat d’Actions Collectives pour 2014 / 2017

Dans le dossier sur l’ALIPTIC paru en page 2 de notre numéro du mois de mai (n°113), nous indiquions en sous-titre que « l’Association Limousine des Professionnels des Technologies de l’Information et de la Communication assur[ait] la mise en œuvre d’un Contrat d’Actions

Collectives pour la période 2014-2017 ». Une affirmation erronée à ce stade, l’association nous ayant simplement expliqué « préparer » la mise en œuvre de ce CAC avec la Région Limousin et la CCI Limousin.

Toutes nos excuses aux intéressés pour cette erreur.

Pour l’entreprise « Lavage de Laines du Bourbonnais », la plate-forme a tout d’abord contribué à remplacer entièrement la technologie obsolète du process de fabrication (mise en place d’un automate et d’une supervision). Pour fiabiliser l’outil de production, une deuxième phase a consisté à apporter des améliorations par l’ajout de capteurs de sécurité

et de bourrage. Le programme automate existant a lui aussi été modifié, et un écran tactile installé : autant d’évolutions cruciales pour cette entreprise, dernière laverie traditionnelle et industrielle de France.

La faïencerie de Gien avait elle aussi fait appel aux compétences électroniques de la plateforme pour mesurer avec précision, la viscosité de sa barbotine. Ce savoir-faire ancien et manuel, transmis de bouche à oreille, menaçait de disparaître.

Actuellement, RAmsei’s intervient aussi pour Ael, pour la conception d’une machine d’encollage de goulottes électriques. les lycées Turgot et Cabanis planchent sur la problématique, pour remplacer l’encollage manuel, long et fastidieux.

L’évènement

TéléChARgEZ l’AppliCATion mobilE d’ESTER

Disponible sur l’ensemble des plateformes mobiles

www.ester-technopole.org

LES bRÈVES D’ESTER • JUIN 2014 • N°114

Sur le vifle CTTC fête ses trente ans et se projette dans « l’usine du futur ».en ouvrant ses portes au public* du 25 au 28 juin, le CTTC, seul Centre de Ressources Technologiques français spécialisé dans les céramiques techniques et leurs procédés de fabrication, présentera ses technologies et son métier.

En bref

ReTRoUvez les CooRDoNNées Des eNTRepRises eT Des pRoJeTs CiTés sUR www.esTeR-TeChNopole.oRg

en fêtant ses trente ans, le Centre de Transfert de Technologies Céramiques (CTTC) célèbre aussi un parcours et un développement en prise directe avec les évolutions industrielles et technologiques du secteur céramique.

À sa création en 1984, il est axé sur les arts de la table, mais est l’une des premières structures à se réorienter vers les procédés et les céramiques techniques, dès 1992, avant d’être labellisé CRT (voir encadré) en 1997. Ce virage l’a amené à élargir son champ d’action à des domaines très divers, comme l’énergie, l’automobile, la santé, l’aéronautique, le spatial, ou encore les technologies de l’information et de la communication.

Installé sur ESTER en 1995 (il intégrera son propre bâtiment en 2005), le CTTC voit alors sa croissance s’accélérer, entre actions de transfert de technologie au service du développement des entreprises et multiplication des projets de recherche collaboratifs. Depuis 2009, il a recentré ses activités sur des services de R&D auprès des entreprises, dans une logique d’innovation industrielle. « Notre rôle n’est plus seulement d’accompagner les mutations technologiques, mais de les anticiper, et de nous projeter dans

les nouvelles technologies que nous pourrons demain transférer aux entreprises », confirme Grégory Etchegoyen, son directeur. Chaque année, le CTTC consacre 30% de ses ressources à sa propre R&D : un effort qui lui a permis de renouveler continuellement ses technologies, et qui se poursuit aujourd’hui dans le domaine des technologies numériques de fabrication, avec la fabrication additive. Une démarche qui correspond à la vision européenne de « l’usine du futur », c’est-à-dire la production de pièces multimatériaux sur mesure, par des méthodes de fabrication rapides, flexibles (donc numériques) et à faible impact environnemental.

« L’industrie manufacturière est en train de se transformer avec les nou-velles possibilités offertes par le numérique, résume Grégory Etchegoyen. La fabrication numérique nous permet déjà de ré-pondre à de nombreuses problématiques du secteur des télécommunications et

des composants électroniques, sujets sur les-quels nous travaillons en lien étroit avec les laboratoires de recherche SPCTS et XLIM ». en 2015, les moyens du CTTC en matière de fabrication additive seront complé-tés par de nouveaux équipements, don-nant naissance à un département dédié. Pour accompagner le transfert de tech-nologie, le CTTC envisage également d’ici 2015 de créer un Fab Lab céramique. Son rôle ? Mettre le pied à l’étrier des start-up du secteur céramique qui ont des difficultés à s’équiper, et faire émerger de nouveaux projets industriels. Le principe ? Permettre

l’accès à des machines numériques pour se former, réaliser des premiers prototypes, échanger avec les autres utilisateurs.

*Programme et horaires : www.ester-technopole.org (rubrique agenda). Attention, inscription obligatoire.

ContaCt :CTTCGrégory Etchegoyen7 rue Soyouz87068 Limoges cedexetchegoyen@cttc.fr / 05 55 42 61 50www. cttc.f

NANoNoXCeRA : Des pRoTeCTioNs bAlisTiQUes plUs peRFoRmANTes

Le projet NANONOXCERA illustre le lien entre recherche et transfert de technologie. Porté par le CTTC et le SPCTS, et financé par la Direction Générale de l’Armement (DGA), il a pour objectif de mettre au point des produits de protection balistique à base de céramique, plus performants et plus légers.

Ce projet a vu le jour grâce au financement initial de la Région Limousin et du FEDER qui ont permis au CTTC et au SPCTS d’acquérir de nouvelles compétences dans le domaine du frittage SPS (« Spark Plasma Sintering » ou « frittage flash »). Le four SPS permet de fritter des nano-poudres céramiques aux propriétés mécaniques sont renforcées. Résultat : un matériau à la dureté extrême (proche du diamant) et léger, qui pourra être utilisé pour des gilets pare-balle comme pour des véhicules.Une fois la technologie développée, l’objectif serait aussi de faire émerger, à Limoges, une unité de fabrication.

UN CRT, poUR FAiRe le lieN eNTRe lA ReCheRChe eT le moNDe iNDUsTRiel

Les CRT réalisent le transfert d’échelle en transformant une innovation en production indus-trielle. Maillon de la chaine de l’inno-vation de la filière céramique, le CTTC travaille en aval du SPCTS pour le développement des

technologies imaginées par les chercheurs du laboratoire, et avec l’équipe du Pôle Eu-ropéen de la Céramique pour promouvoir la filière et trouver de nouvelles applica-tions aux céramiques. Le CTTC accompagne grands groupes (Thalès, Airbus, Peugeot, Alstom, Areva…) et PME (en moyenne 50 chaque année) dans leurs projets d’innova-tion, à travers plusieurs services : prestation d’étude, projet de R&D, diagnostic, essai, analyse, formation ou réalisation de proto-types. « Innover, c’est prendre des risques. L’accès à de nouvelles technologies au sein d’un CRT permet aux entreprises de tester des innovations sans avoir à consentir de lourds investissements. En période de crise, cela leur évite aussi de sacrifier leur straté-gie d’innovation », estime Grégory Etche-goyen.

Depuis sa création, le CTTC a mené 600 contrats de recherche et fourni 4 000 services aux entreprises.

Biotechnologies, santé

iD bio partenaire de Cosmexpert ingrédients

iD bio déploie sa force commerciale dans l’hexagone, à travers la conclusion d’un partenariat avec Cosmexpert ingrédients.

Depuis la mi-mai, Cosmexpert Ingrédients complète la force de vente d’ID bio en assurant la promotion de l’ensemble des produits du fabricant d’ingrédients botanique (extraits botaniques et actifs) auprès de ses contacts sur le territoire français. Ce partenariat permet à Cosmexpert ingrédients de s’appuyer sur une société disposant d’un outil industriel performant et d’ingrédients technologiques en adéquation avec la demande du marché. De son côté, iD bio bénéficie d’un accès privilégié aux marques de cosmétiques accompagnées dans leurs projets par Cosmexpert ingrédients.

Autre objectif du rapprochement : mutualiser les connaissances. Les deux entreprises travailleront donc de manière conjointe sur le marché français pour échanger leur savoir-faire technique, leur maîtrise des enjeux du marché ou leur connaissance des acteurs

lvl médical se développe à limogesAvec déjà quarante agences réparties sur l’ensemble du territoire, et 850 collaborateurs, lvl médical intervient chaque jour auprès de 50 000 patients. Acteur des services d’assistance médicale à domicile, l’entreprise, elle est spécialisée dans quatre domaines d’activité (respiratoire, perfusion, nutrition entérale, et insulinothérapie par pompe), pour les affections définies par les autorités de tutelles. lvl médical poursuit son développement dans le sud-ouest en s’implantant en limousin. Depuis le début du mois, c’est à la pépinière d’entreprise d’esTeR qu’elle offre ses services d’expertise respiratoire aux particuliers situés sur tout le périmètre régional. Toutes les pathologies liées à l’insuffisance respiratoire, aux maladies neuromusculaires, aux apnées du sommeil, à l’asthme, et aux broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO) sont concernées.

le bureau d’études en ingénierie acoustique venathec vient de s’installer sur le parc d’esTeR. Fondée en 1999 à Vandoeuvre les Nancy, Venathec (Ventilation, Acoustique, Thermique, Eclairage), avait déjà élargi son territoire à l’Ile de France, avec deux agences, à Colmar, et à Aix en Provence. En 2014, son réseau devrait encore s’étoffer de quatre implantations s u p p l é m e n t a i re s : o u t re Limoges et Lyon au premier semestre, ce sera Rennes et Lille en fin d’année. « L’activité a explosé ces cinq dernières années, explique Jonathan Moreau, chargé d’affaires de l’agence de Limoges. Entre 2009 et aujourd’hui, Venathec est passée de 16 à 61 salariés, et de 2 à 7 agences ». Une croissance qui s’explique par une meilleure prise en compte des problématiques acoustiques, en entreprise au niveau du poste de travail, ou dans le bâtiment avec le respect de la règlementation dans les constructions neuves. Les ouvertures d’agences

permettront donc au bureau d’études de rester compétitif et proche de ses clients, par une meilleure connaissance du terrain et des acteurs locaux. spécialiste de

l’ingénierie acoustique, venathec intervient dans quatre secteurs d’activités : industrie, e n v i r o n n e m e n t , architecture, et éolien. Dans l’industrie, l’essentiel des prestations concerne les mesures de l’impact environnemental d’une

installation industrielle, notamment pour les activités classées ICPE, et la mesure des niveaux d’expositions aux bruits et vibrations des postes de travail. « En matière d’environnement, le bruit routier constitue 80% de notre activité : plans de prévention du bruit, cartographies pour les collectivités, et études d’impact dans le cadre de la mise en place de nouvelles déviations ou de l’implantation de zones d’activités », précise Jonathan Moreau. Dans le bâtiment, Venathec peut intervenir de la conception jusqu’à la réception des projets

de construction, pour mesurer l’impact du nouveau bâtiment dans son environnement, ou l’isolation acoustique entre locaux. l’éolien est quant à lui un marché important pour l’entreprise, en France, mais aussi à l’étranger (maroc, brésil), de même qu’un pôle de développement conséquent. Outre les études d’impact en amont et les mesures de réception des projets, Venathec finalise actuellement, en partenariat avec des sociétés de notoriété internationale, un grand projet de R&D dans le domaine. À limoges, où l’agence compte deux collaborateurs, venathec peut déjà compter sur un partenariat avec eCe Cogemacoustic. Spécialisée dans la réalisation de systèmes de ventilation, l’entreprise souhaite s’adosser à Venathec pour bénéficier de son expertise technique sur ses produits.

Ingénierie

venathec choisit esTeR pour son implantation en limousin

musique : esTeR fête l’été le 24 juin

A peine quelques jours après le solstice d’été, venez profiter d’un moment de détente et de convivialité et découvrir le groupe Soul Cookies. A l’invitation de la Délégation d’ESTER, le jeune trio, mêlant compositions et reprises, se produira sur le Forum d’ESTER et vous accompagnera lors de votre pause déjeuner.

Pour en profiter pleinement, il sera exceptionnellement possible de se servir au self et de s’installer sur le Forum.

Repas sans réservation« Notre rôle est

d’anticiper les mutations technologiques, et de nous projeter dans les nouvelles

technologies ».

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