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Un événement du Département de l’Aube

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Un événement

du Département

de l’Aube

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Présentant près de 150 objets (cartons, vitraux, outils, objets personnels…), l’exposition met à l’honneur le fonds d’atelier de Louis Germain Vincent-Larcher (1816-1894) reçu en don par le Département de l’Aube (Archives Départementales)

en 2012. Maître verrier installé à Troyes, Vincent-Larcher a créé et restauré environ 200 vitraux dans plus de 40 églises à Troyes (cathédrale, Saint-Rémy…) et dans l’Aube (Bar-sur-Aube, Lusigny-sur-Barse, Villemoiron-en-Othe, Bérulle…). Évoquant l’homme et son atelier, l’exposition propose de redécouvrir les vitraux du XIXe siècle dans l’Aube et explore plus largement les ateliers verriers contemporains de Vincent-Larcher.

Contacts Presse :

Département de l’Aube. Cité du vitrail Béatrice LLOZA, adjointe au chef de projet « Cité du vitrail » Tèl. : 03.25.42.52.85 [email protected]

Fanny PORTIER, médiatrice culturelle en charge de la communication Tèl. : 03.25.42.52.87 [email protected]

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Présentation de l’exposition ................................................................................. 4

La genèse de l’exposition...................................................................................... 5

Un triple commissariat scientifique ...................................................................... 7

Parcours de l’exposition ....................................................................................... 9

Les grands thèmes .............................................................................................. 9

Restauration et analyse du fonds Vincent-Larcher ............................................... 14

Analyse des objets et outils ................................................................................ 14

La restauration du fonds Vincent-Larcher ............................................................. 14

Informations pratiques ...................................................................................... 16

Autour de l’exposition ........................................................................................ 18

Les activités ..................................................................................................... 18

En boutique ...................................................................................................... 21

Les prêteurs....................................................................................................... 22

Les partenaires de l’exposition ........................................................................... 24

Les entreprises .................................................................................................. 24

De nombreux événements à l’actif de la Cité du vitrail ......................................... 25

Visuels pour la presse ........................................................................................ 26

SOMMAIRE

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Présentation de l’exposition

Vincent-Larcher.

Regards sur le vitrail du XIXe siècle Du 3 juin au 31 décembre 2017

Avec cette exposition inédite, la Cité du vitrail s’inscrit dans une démarche de revalorisation de l’art du XIXe siècle, en particulier le vitrail, auquel les chercheurs s’intéressent depuis une trentaine d’années. L’inventaire des vitraux du XIXe au XXIe siècle, mené conjointement par le Département de l’Aube et la région Grand Est de 2015 à 2017, a d’ailleurs servi de base scientifique pour la construction de l’exposition. Le don exceptionnel de plus de 2000 documents du fonds d’atelier de Vincent-Larcher au Département de l’Aube (Archives Départementales) en 2012 a été le déclencheur de cette exposition.

Louis Germain Vincent-Larcher (1816-1894), né dans l’Yonne, est un peintre verrier installé à Troyes, place Saint-Pierre. Son activité intense et prolifique entre 1844 et 1886 se concentre principalement dans les édifices religieux de l’Aube, à Troyes (églises Sainte-Madeleine, Saint-Jean-au-Marché, Saint-Rémy) et en dehors de la ville (églises de Villemoiron-en-Othe, Bar-sur-Seine, Marolles-Les-Bailly, Lusigny-sur-Barse, etc.), avec quelques incursions dans les départements limitrophes (Marne, Haute-Marne). À la fois créateur et restaurateur, il intervient sur environ 200 verrières et plus de 40 édifices. Son travail et les techniques qu’il développe en font l’un des ateliers majeurs de la renaissance de l’art du vitrail au XIXe siècle dans l’Aube.

Sur 350 m², l’exposition présente environ 150 objets et dessins parmi lesquels : cartons, esquisses, vitraux, documents d’archives, outils, objets personnels, photographies. Étudiées et restaurées, les œuvres exposées rendent hommage au vitrail du XIXe siècle sous tous ses aspects : artistiques, techniques, historiques, etc. À noter : en septembre, les œuvres graphiques (cartons, dessins) seront renouvelées pour assurer leur conservation car ce sont des documents fragiles.

� 350 m² d’exposition consacrés au vitrail du XIXe siècle : une première en France

� Des documents uniques jamais exposés au public

Présentation de l’exposition

� Le travail d’un atelier aubois au XIXe siècle dévoilé

� Deux expositions en une : les documents graphiques et les cartons renouvelés en septembre 2017

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La genèse de l’exposition

La création d’une grande Cité du vitrail, annoncée par le Département de l’Aube, encourage les actions de prêts, dépôts et dons d’institutions et de particuliers. Précurseur en la matière, le fonds Vincent-Larcher amorce donc en 2012 la constitution d’une collection, conservée aux Archives départementales de l’Aube et valorisant le vitrail dans toutes ses dimensions : de la maquette au vitrail en passant par les outils et documents d’archives.

� L’inventaire des vitraux du XIXe au XXIe siècle

Entre 2015 et 2017, le Département de l’Aube s’est engagé dans l’inventaire des vitraux des XIXe, XXe et XXIe siècles dans tout le département. Soutenue par la Région Grand Est et son service régional de l’inventaire, cette mission a été confiée à l’agence Bruno Decrock (Reims). Elle a recensé 2085 verrières réparties dans 237 communes, complétant ainsi l’inventaire des vitraux de l’Ancien Régime mené dans la seconde moitié des années 1980 sous l’égide du Corpus vitrearum (Centre André Chastel, CNRS).

Ce nouvel inventaire démontre que 69 % des vitraux repérés datent du XIXe siècle. Les années 1860-70 semblent particulièrement productives et représentent un nouvel âge d’or pour le vitrail aubois. L’atelier de Vincent-Larcher, très actif à cette même période, a donc amplement contribué à cette renaissance du vitrail dans l’Aube au XIXe siècle.

� La redécouverte d’un patrimoine oublié

Face à la richesse des vitraux du XVIe siècle, le vitrail du XIXe siècle dans l’Aube a souffert d’une relative méconnaissance, voire d’un certain mépris. Pourtant, le XIXe siècle est riche de redécouvertes, de créations et de prouesses techniques. Le talent de Louis Germain Vincent-Larcher, quoique reconnu même après sa mort, n’est véritablement redécouvert par les scientifiques que tardivement à la fin du XXe siècle, notamment lorsque Sylvie Balcon-Berry et Elizabeth Pastan étudient les vitraux de la cathédrale de Troyes. Les fonds d’atelier sont rarement conservés dans leur intégralité. Celui de Vincent-Larcher, longtemps oublié, représente aujourd’hui un trésor inestimable pour les chercheurs.

La genèse de l’exposition

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� L’histoire d’un fonds

Pendant près de 120 ans, le fonds d’atelier de Louis Germain Vincent-Larcher a été conservé par ses héritiers à l’abri de la lumière dans le grenier de la maison familiale, place Saint-Pierre à Troyes. Conscient de la richesse de ce fonds et soucieux de sa transmission, Olivier Gaillot, actuel descendant du peintre verrier, a pris la décision de faire don de ce patrimoine au Département de

l’Aube (Archives Départementales) en juillet 2012.

Dès lors, ce sont plus de 2000 documents, classés en archives privées qui ont été confiés aux Archives où ils seront conservés dans les meilleures conditions. Ce don exceptionnel dans l’Aube, plus généralement en France, est un trésor pour la recherche sur les techniques, le style et les méthodes de travail dans un atelier au XIXe siècle. L’étude de 2012 à 2015 de ce fonds mis à la disposition des chercheurs, a permis la création de cette exposition et de faire toute la lumière sur l’œuvre de Vincent-Larcher, jusqu’alors méconnue des Aubois.

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Un triple commissariat scientifique

L’exposition Vincent-Larcher. Regards sur le vitrail du XIXe siècle a été conduite par un triple commissariat scientifique. Historiennes de l’art et spécialistes du vitrail, Sylvie Balcon-Berry, Laurence de Finance et Danielle Minois se sont réunies pour élaborer une exposition abordant la diversité du travail de Vincent-Larcher en atelier et dans les églises de Troyes et l’Aube.

Sylvie Balcon-Berry, Maître de conférences en histoire de l’art et archéologie du Moyen Âge, Université Paris IV-Sorbonne/Sorbonne Universités, Centre André Chastel

Spécialiste du vitrail des XIIe-XIIIe siècles, Sylvie Balcon-Berry a étudié les verrières hautes du chœur des cathédrales de Troyes et d'Auxerre et mené des recherches sur les origines du vitrail. Elle prépare actuellement un ouvrage sur les vitraux de la cathédrale de Reims, analysés au travers de la riche documentation de l'atelier Simon-Marq. Parallèlement, elle est également responsable d'opérations archéologiques portant sur des sites religieux comme le groupe cathédral et épiscopal d'Autun ou l’ancien prieuré Saint-Martin de Mesvres (Saône-et-Loire). Membre du Conseil scientifique de la Cité du vitrail

(Troyes), elle a étudié le travail de restauration de Vincent-Larcher dans la cathédrale Saint-Pierre-Saint-Paul à Troyes.

Laurence de Finance, Conservateur général honoraire du patrimoine

Conservateur général honoraire du patrimoine, Laurence de Finance a participé de 1971 à 1990 à l'étude et à la publication des 4 premiers volumes du Recensement des vitraux anciens de la France avant de publier en 2003 Un Patrimoine de Lumière 1830-2000, synthèse sur les vitraux de la petite couronne parisienne. En qualité de directrice du musée des Monuments français à la Cité de l’architecture et du patrimoine à Paris (jusqu’en 2016), elle a été co-commissaire de plusieurs expositions, dont la dernière en 2015 : Chagall, Soulages, Benzaken…Le vitrail

contemporain. Membre du Conseil scientifique de la Cité du vitrail (Troyes) depuis sa fondation en 2011, elle est spécialiste du vitrail du XIXe siècle. À ce titre, elle a apporté

Un triple commissariat scientifique

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son expertise dans l’élaboration de l’exposition Vincent-Larcher. Regards sur le vitrail du XIXe siècle.

Danielle Minois, Docteur en histoire de l’art

Tout en étant professeure certifiée de Sciences physiques en lycée, Danielle Minois a fait des études de psychologie clinique et a exercé ce métier à l’Association de sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence de l’Aube. Un peu plus tard, elle a repris des études d’histoire de l’art médiéval et soutenu une thèse intitulée Le vitrail à Troyes : les chantiers et les hommes (1480-1560), sous la direction de Fabienne Joubert et Michel Hérold. Elle est membre du Conseil scientifique de la Cité du vitrail (Troyes) depuis sa fondation. Elle est également, depuis octobre

2016, membre correspondant de la Société académique de l’Aube. Depuis 2012, elle inventorie et étudie le fonds Vincent-Larcher aux Archives départementales de l’Aube et sur le terrain.

Ont également participé à l’élaboration de l’exposition :

Nicolas Dohrmann, conservateur en chef du patrimoine, directeur des Archives et du Patrimoine (Département de l’Aube), commissaire général de l’exposition ;

Anne-Claire Garbe, conservatrice du patrimoine, chef de projet « Cité du vitrail » (Département de l’Aube).

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Parcours de l’exposition

Sur 350 m², l’exposition Vincent-Larcher. Regards sur le vitrail du XIXe siècle

présente environ 150 objets et dessins parmi lesquels : cartons, esquisses, vitraux, documents d’archives, outils, objets personnels, photographies. Étudiées et restaurées, les œuvres exposées rendent hommage au vitrail du XIXe siècle sous tous ses aspects : artistiques, techniques, historiques, etc. En dehors de la personnalité de Vincent-Larcher, de sa formation et de son environnement familial, l’exposition s’intéresse pour une grande partie à ses nombreuses restaurations et créations dans les églises du département de l’Aube. L’identification de nombreux cartons ou dessins in situ permettent une approche concrète du travail en atelier du peintre verrier.

Les grands thèmes

Un contexte culturel propice

Les vitraux, tels que nous les observons aujourd’hui, ont subi diverses restaurations dont une majorité réalisées au XIXe siècle. La prise de conscience patrimoniale qui se généralise en France, avec la création en 1830 du Service des Monuments historiques, va mobiliser un grand nombre de peintres verriers qui redécouvrent petit à petit les techniques traditionnelles quelque peu perdues tout au long du XVIIIe siècle. Parallèlement, dans l’Aube, la Société d’agriculture, des sciences et des belles lettres (actuelle Société académique de l’Aube) encourage les érudits locaux (historiens, artistes, ecclésiastiques) à étudier, recenser, dessiner ou photographier les richesses du patrimoine aubois. C’est dans ce contexte dynamique que va évoluer Louis Germain Vincent-Larcher lorsqu’il arrive à Troyes au début des années 1840.

Louis Germain Vincent-Larcher : l’homme et son atelier

Louis Germain VINCENT naît en 1816 à Villeneuve-L’Archevêque (Yonne), dans une famille d’artisans modestes. Très tôt, il se passionne pour le vitrail en devenant apprenti verrier à Sens. Il arrive à Troyes au début des années 1840, puis se marie à Élisabeth Charlotte LARCHER en 1843. Il accole alors le patronyme de cette dernière au sien. Une pratique courante à l’époque.

Le parcours de l’exposition

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La formation de Louis Germain VINCENT-LARCHER ne nous est pas connue. N’apparaissant dans aucune école de dessin ou de Beaux-Arts de la région, c’est probablement en autodidacte qu’il se perfectionne. Copiant des modèles, il reste très attaché à la recherche des techniques du Moyen Âge qui le fascinent. Parvenant très vite à imiter les vitraux anciens, il devient restaurateur de vitraux.

À partir de 1859, il s’installe au 12 place Saint-Pierre à Troyes, près de la cathédrale et devient progressivement le peintre verrier favori des chantiers aubois. Tout en restant restaurateur de vitraux, il va également marquer les édifices de la région de son talent de créateur.

L’atelier à caractère familial emploie jusqu’à 17 personnes dont ses deux fils, Henri (1844-1869) puis Saint-Ange (1852-1914). De nombreux outils et objets de son atelier nous sont parvenus, mais l’absence de documents sur le fonctionnement de celui-ci et son état actuel ne permettent pas de le reconstituer fidèlement. L’exposition propose donc une atmosphère qui pouvait être celle d’un atelier au XIXe siècle, composée d’objets et outils d’époque.

Vincent-Larcher et la cathédrale : un face à face de plus de 40 ans

De 1846 à 1886, Vincent-Larcher travaille au chantier de la cathédrale Saint-Pierre-Saint-Paul de Troyes. Ses interventions sont alors de deux types. D’une part, il restaure en apportant une attention particulière à l’étude du vitrail ancien sur la base de relevés minutieux. D’autre part, il effectue des compléments ou des créations en s’inspirant des vitraux du Moyen Âge, ce qu’on appelle aujourd’hui des vitraux archéologiques. Par ailleurs, le fonds de l’atelier a révélé que Vincent-Larcher conservait de nombreuses plaques photographiques représentant ses vitraux après restauration. Cette originalité montre l’attention que portait le peintre verrier à la mémoire de son travail.

Les églises de Troyes et de l’Aube

Vincent-Larcher a travaillé dans plus d’une quarantaine d’églises du département. Le parcours de l’exposition propose un focus sur neuf d’entre elles parmi les plus représentatives de son travail.

Photo de Louis Germain Vincent-Larcher © Archives Départementales de l'Aube

Baie 23 de la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Troyes

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� Église Sainte-Madeleine à Troyes : Vincent-Larcher travaille sur les verrières du chœur, aujourd’hui parmi les plus photographiées du département. L’illusion y est parfaite. Pour cela, le peintre verrier reproduit chaque panneau afin de s’inspirer de la manière de peindre des maîtres du début du XVIe siècle.

� Église Saint-Sébastien de Villemoiron-en-Othe : l’analyse de la restauration des vitraux du chœur nous apprend beaucoup sur la façon dont Vincent-Larcher procède, étape par étape sur ce type de chantier.

� Église Saint-Etienne de Bar-sur-Seine : la composition monumentale des quatre fenêtres hautes du chœur représentant des scènes christiques montre que Vincent-Larcher est très à l’aise avec les grands formats.

� Église Saint-Rémy de Troyes : le vitrail de la Proclamation de saint Joseph, patron de l’Église universelle (1874) est aujourd’hui considéré comme le chef d’œuvre de l’atelier. Sa composition minutieuse et magistrale révèle une très grande connaissance des verres doublés et une maîtrise des diverses techniques de peinture sur verre (grisaille, jaune d’argent, émaux).

� Église Notre-Dame-de-la-Nativité de Bérulle : ce chantier majeur dans la carrière de Vincent-Larcher est particulièrement difficile pour deux raisons. D’abord, l’état lacunaire des vitraux du chœur nécessite la reconstitution des scènes narratives. Ensuite, Vincent-Larcher s’est vu imposer pour la première tranche de travaux (1847-48), un dessinateur dont il jugeait que le travail rompait avec la continuité stylistique du vitrail originel. Son exigence porta ses fruits, puisqu’il se vit confier seul, la seconde tranche de travaux à partir de 1858.

� Église Saint-Jean-au-Marché de Troyes : en travaillant à la restauration des vitraux tels que le Jugement de Salomon (1512) ou la vie de saint Jean-Baptiste (v. 1535), Vincent-Larcher cherche à rendre l’illusion d’une composition ancienne en se rapprochant le plus possible de la teinte des verres anciens.

� Église Saint-Martin de Lusigny-sur-Barse : transformée et agrandie au XIXe siècle, cette église vit la pose de 18 verrières entre 1859 et 1886. Elle accueille notamment en baie d’axe, un vitrail hagiographique de la vie de Saint-Martin, composé par Vincent-Larcher en 1859. Le carton et le panneau original du baptême de Saint-Martin seront réunis spécialement pour l’exposition.

Chœur de l'église Notre-Dame-de-la-Nativité – Bérulle © Noël Mazières

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� Église Saint-Rémy de Marolles-Lès-Bailly : reconstruit en grande partie au XIXe siècle, les dix baies de cet édifice ont été réalisées par Vincent-Larcher entre 1863 et 1870. Pour ce chantier, le peintre verrier réutilise beaucoup de cartons qui lui ont servi sur le chantier de l’église Saint-Rémy à Troyes.

� La chapelle du Petit Séminaire à Troyes : incluse dans l’actuel Lycée Marie-de-Champagne, cette chapelle se compose de 33 verrières aux scènes narratives intégrées dans des grisailles colorées. C’est sans doute le programme de création le plus important de la carrière de Vincent-Larcher qui y travaille de 1862 à 1866. Plusieurs pièces originales sont présentées dans l’exposition.

Les peintres verriers contemporains de Vincent-Larcher extérieurs à la région

Si Louis Germain Vincent-Larcher reste le peintre verrier le plus prolifique dans l’Aube au XIXe siècle, de nombreux autres ateliers travaillent également sur les chantiers aubois à la même époque. Dès la fin des années 1830, la manufacture de Choisy-Le-Roi (Île-de-France) installe ses premiers vitraux dans la cathédrale Saint-Pierre-Saint-Paul à Troyes. Des années 1845 à 1870, les ateliers aubois - dont celui de Martin-Hermanowska (principal concurrent de Vincent-Larcher) - se partagent les chantiers. Après 1870, les chantiers aubois sont très nombreux, c’est pourquoi on rencontre alors beaucoup d’ateliers de provenances géographiques variées comme : Le Carmel du Mans, le toulousain Gesta (75 verrières dans le département), le lorrain Emmanuel Champigneule (environ 30 verrières) ou encore le Parisien Édouard Didron qui obtient le chantier de la cathédrale en 1886, lorsque Vincent-Larcher cesse son activité.

Les techniques du vitrail au XIXe siècle

S’inscrivant dans la thématique de l’exposition temporaire, l’espace de préfiguration de la Cité du vitrail a été en partie provisoirement réaménagé pour aborder les techniques du vitrail au XIXe siècle.

Renouant avec l’art du vitrail, délaissé au XVIIIe siècle au profit de grandes verrières blanches, le XIXe siècle se traduit par une multitude d’expérimentations. Vincent-Larcher lui-même effectue des recherches quasi « archéologiques », notamment dans l’optique de percer le secret de la « patine »

Jésus, Bon Pasteur. Détail de la baie 0 pour la chapelle du Petit Séminaire à Troyes © A. Vinum

Émaux, peintures provenant de l'atelier de Vincent-Larcher

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qui aurait été appliquée par les peintres verriers du Moyen Âge visant à atténuer la transparence du verre.

Une cartographie inédite des œuvres de Vincent-Larcher

Présente dans l’exposition et disponible en ligne, cette carte interactive indique les lieux où Vincent-Larcher a travaillé, en restauration ou en création. Point de départ d’une découverte in situ, elle invite les visiteurs à se rendre dans les églises pour y observer les œuvres encore en place du peintre verrier.

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Restauration et analyse du fonds Vincent-

Larcher

Étudié par les commissaires d’exposition et le Laboratoire de recherche des Monuments historiques, le fonds Vincent-Larcher a fait l’objet d’une campagne de restauration, financée par le Département de l’Aube.

Analyse des objets et outils

Le Laboratoire de recherches des Monuments historiques - LRMH (situé à Champs-sur-Marne en Seine-et-Marne) a dépêché 2 ingénieurs de recherche, déjà familiers des œuvres de Vincent-Larcher à la cathédrale de Troyes, pour analyser les objets et outils du peintre verrier. Ainsi, ils ont notamment pu identifier l’utilisation de pigments habituellement utilisés en peinture sur toile et d’autres composés par Vincent-Larcher lui-même. L’ensemble de ces analyses et des objets retrouvés montrent que l’artiste souhaitait suivre le processus de création du début à la fin.

Découvrez ces analyses dans l’espace de préfiguration de la Cité du vitrail.

La restauration du fonds Vincent-Larcher

Deux raisons présidaient à la restauration du fonds Vincent-Larcher, Longtemps conservé dans le grenier familial. La première était esthétique afin de permettre la présentation au public des documents, parfois morcelés. La seconde concerne la conservation du fonds afin de garantir sa pérennité. De novembre 2016 à mars 2017, l’atelier Quillet (Charente-Maritime), spécialisé dans la conservation et la restauration de documents anciens a œuvré activement sur 150 cartons, dessins et calques et 351 cartons de grand format. L’ampleur du fonds et les grands formats ont nécessité l’intervention de plus d’une dizaine de restaurateurs.

Restauration et analyse du fonds Vincent-Larcher

Restauration et analyse du fonds Vincent-Larcher

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Chaque document a fait l’objet d’une réflexion propre, d’une série d’opérations et de choix en concertation avec les Archives départementales de l’Aube afin d’opter pour les actions les plus pertinentes.

Chaque document a suivi le processus suivant :

> 1. Constat : déterminer les problématiques du document.

> 2. Tests de réactivité : chaque composante du document suit une batterie de tests pour déterminer leur stabilité (encre, crayons, acidité du papier, colles…).

> 3. Dépoussiérage et gommage : ôter toutes les poussières résiduelles qui altèrent les couleurs et raccourcissent la durée de vie du document.

> 4. Doublage : choisi entre le papier japon ou de la toile de coton neutre en fonction du type de document, du mode de conservation et de son format.

> 5. Comblement de lacune : afin de rendre la cohérence visuelle du dessin en comblant d’un papier japon teinté à la forme de la lacune.

> 6. Conditionnement : en boîte ou en chemise, réalisée dans des matériaux neutres, compatibles avec la préservation de documents à long terme.

Un test de réactivité © Atelier Quillet

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Informations pratiques

Exposition temporaire Vincent-Larcher. Regards sur le vitrail du XIXe siècle du 3 juin au 31 décembre 2017

Ouverte du mardi au dimanche 9h30 – 18h (du 3 juin au 31 octobre)

9h30 – 12h30 et 13h30 – 17h (du 1er novembre au 31 décembre)

Fermée les 11 novembre, 25 et 26 décembre. Fermeture à 16h les 24 et 31 décembre

Accès

Exposition Vincent-Larcher.

Regards sur le vitrail du XIXe

siècle : Hôtel-Dieu-Le-Comte, rue de la Cité à Troyes Accès mobilité réduite : 1 rue Roger Salengro à Troyes (Accueil « Cité du vitrail ») Espace de préfiguration « Cité du vitrail » 1 rue Roger Salengro (angle quai des Comtes-de-Champagne) à Troyes Accessible aux personnes à mobilité réduite

Informations pratiques

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Tarifs de l’exposition temporaire

Individuels : 4 € Gratuité (sur présentation d’un justificatif) : moins de 18 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, invalides, seniors, journalistes et détenteurs de la carte ICOM. Groupes :

Sans visite guidée

Avec visite guidée

11 à 20 pers. 40 € 60 € 21 à 30 pers. 60 € 80 € Au-delà de 30 pers. 60 € + 2€/pers. suppl. 80 € + 3€/pers. suppl. Etablissement scolaire aubois Gratuit Gratuit Etablissement scolaire hors département 60€ 60€

Cité du vitrail

Hôtel-Dieu-le-Comte • Angle quai des Comtes-de-Champagne • rue Roger Salengro, Troyes.

Tél. : 03 25 42 52 87 • [email protected] • www.cite-vitrail.fr

Suivez l’exposition

#LGVL2017

@Citeduvitrail

Contacts Presse :

Département de l’Aube. Cité du vitrail Béatrice LLOZA, adjointe au chef de projet « Cité du vitrail » Tèl. : 03.25.42.52.85 [email protected]

Fanny PORTIER, médiatrice culturelle en charge de la communication Tèl. : 03.25.42.52.87 [email protected]

Page 19: Un événement du Département de l’Aube

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Autour de l’exposition

Les activités

Retrouvez toutes les activités de l’exposition dans un dépliant spécialement édité pour l’occasion et sur www.cite-vitrail.fr

Cycle de conférences 2017

Centre de Congrès de l’Aube (Troyes) – Entrée place de la Libération À 18h30 Sans réservation. Gratuit. La Cité du vitrail organise son cycle de conférences 2017 autour du vitrail du XIXe siècle et de l’exposition consacrée au peintre verrier Troyen Louis Germain VINCENT-LARCHER. 4 avril : « La redécouverte de la peinture sur verre (1750-1850) », par Élisabeth PILLET, Conservateur du patrimoine pour la Ville de Paris. 2 mai : « La restauration du fonds Vincent-Larcher », par Thierry LARRIEU, technicien de l'entreprise Quillet (restauration de documents anciens). 6 juin : « Vincent-Larcher, peintre verrier troyen. Premiers contacts avec l'artiste et son œuvre », par Danielle MINOIS, Docteur en histoire de l’art et commissaire scientifique de l’exposition. 4 juillet: « Vincent-Larcher face aux vitraux des XIIe-XIVe siècles » par Sylvie Balcon-Berry, Maître de conférences à Paris IV, commissaire scientifique de l’exposition. 5 septembre : « Dans le secret de l'atelier de Vincent-Larcher » par Laurence de Finance, Conservateur général du patrimoine et commissaire scientifique de l’exposition. 3 octobre : « Le vitrail photographique », par Flavie Serrière Vincent-Petit, créatrice et restauratrice diplômée de vitraux à Troyes.

Autour de l’exposition

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L’opération « Un jour, une église »

Pour la quatrième année consécutive, la Pastorale du Tourisme, le Comité départemental du Tourisme et le Département, au travers de la Cité du vitrail, organisent l’opération Un jour, Une église. Cette opération mobilise des bénévoles pour des visites et animations dans les églises de l’Aube. En 2017, le programme inclut les églises où Vincent-Larcher a travaillé. Une occasion unique de prolonger sa visite et de découvrir in situ les œuvres de ce peintre verrier ayant travaillé dans plus de 40 églises auboises.

Visite guidée

Partez à la rencontre de Vincent-Larcher, peintre verrier troyen au XIXe siècle. Un médiateur culturel vous guide dans les salles thématiques de l’exposition et vous dévoile trésors et secrets de création d’un des maîtres verriers les plus prolifiques dans l’Aube. Tous les jours sauf le vendredi À 15h (durée : 1h30) Sans réservation, sans supplément RDV à l’accueil de l’exposition

Ateliers

Toutes les dates disponibles sur réservation depuis www.cite-vitrail.fr, rubrique « Ateliers ».

Tarif en fonction de l’activité. Tarif réduit pour les étudiants, demandeurs d’emplois, invalides, journalistes, carte ICOM, seniors. Règlement sur place avant le début des activités. �Sens dessus-dessous (5-8 ans)

Tout en choisissant les différentes parties du corps de leur personnage, les enfants laissent libre cours à leur créativité en associant couleurs, motifs et scènes tirés des vitraux de Vincent-Larcher. L’enfant repart avec sa création. Durée : 1h Tarif : 6€ / enfant

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�La ronde des portraits (8-14 ans)

En jouant avec la transparence et les effets de superposition, l’enfant crée une galerie de personnages costumés à l’image de ceux de Vincent-Larcher. Les personnages changent et s’échangent leurs atours dans une joyeuse ronde de portraits. L’enfant repart avec sa création.

Durée : 2h30 Tarif : 6€ / enfant

�Comme un carton (adultes et jeunes à partir de 10 ans)

Venez reproduire les cartons de Louis Germain Vincent-Larcher à la manière, ou presque, des maîtres-verriers du XIXe siècle. Petit ou grand, vous repartez avec votre carton.

Durée : 1h30 Tarif : 10€ / adulte ; 6€/ enfant. Tarif réduit : 6€

�À la mode… (adultes et jeunes à partir de 15 ans)

Devenez un créateur du XIXe siècle en choisissant le personnage de votre choix, le décor dans lequel vous souhaitez le voir évoluer ainsi que les couleurs et motifs à imaginer et créer sur ses vêtements. Atelier sur verre où la copie laisse place à l’imagination.

Durée : 2h30 Tarif : 15€ / adulte. Tarif réduit : 10€

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En boutique

Le catalogue

L’œuvre de Louis Germain Vincent-Larcher (1816-1894) dans le domaine du vitrail domine la scène artistique troyenne de 1843 environ à 1886. Mais qui était Vincent-Larcher ? Reconnaissons-le, il n’a jusqu’à ce jour guère trouvé sa place dans la vaste histoire du vitrail du XIXe siècle, encore largement à écrire. Le catalogue de l’exposition présentée à la Cité du vitrail, à Troyes, comble ce vide et contribue à une véritable redécouverte. Prix de vente public : 29€ Éditions Snoeck. 340 pages.

Disponible dans l’exposition, dans les librairies et plateformes internet

Souvenirs

L’affiche de l’exposition, des cartes postales et des marque-pages sont en vente à la boutique de l’exposition. Un souvenir de Vincent-Larcher.

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Les prêteurs

Prêts de particuliers Monsieur Olivier GAILLOT Descendant de Vincent-Larcher

Prêt d’archives familiales (photos, dessins, peinture, objets)

Monsieur et Madame Valéry DENIS Propriétaires de la maison où a vécu

Vincent-Larcher

Prêt d’objets ayant appartenu à Vincent-Larcher

Monsieur Alain VINUM Maître verrier, consultant pour la Cité du

vitrail

Prêt d’objets anciens d’atelier et de vitraux

Prêts d’institutions publiques

Direction régionale des affaires culturelles Grand Est Dépose et prêt exceptionnel d’un panneau de la cathédrale Saint-Pierre-Saint-Paul de Troyes

Archives Nationales de France Prêt de 3 œuvres graphiques

Médiathèque de l’architecture et du patrimoine Prêt de 7 œuvres graphiques

Les prêteurs

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Département de l’Aube Archives départementales

Prêt des œuvres du fonds Vincent-Larcher

Département de l’Yonne Archives départementales

Prêt d’un acte

Ville de Troyes (Aube) Musées d’art et d’histoire

Prêt de 22 panneaux de vitraux originaux

Commune de Bar-sur-Aube (Aube) Prêt d’un vitrail de l’église Saint-Maclou

Commune d’Estissac (Aube) Prêt d’un vitrail de la chapelle Saint-Loup

Commune de Lusigny-sur-Barse (Aube) Prêt de 3 panneaux de l’église Saint-Martin

Commune des Riceys(Aube) Prêt d’un vitrail de l’église Saint-Vincent

Société académique de l’Aube Prêt d’un panneau de vitrail

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Les partenaires de l’exposition

Le Centre André Chastel (Paris)

Direction régionale des

affaires culturelles Grand Est

Les entreprises

L’exposition Vincent-Larcher. Regards sur le vitrail du XIXe siècle n’aurait pu voir le jour sans le concours des techniciens, artistes et artisans suivants :

La Manufacture Vincent-Petit (Aube) pour la restauration des vitraux et la création de la serrurerie ;

Atelier Quillet (Charente-Maritime) pour la restauration et le conditionnement du fonds graphique ;

Collectif Au fond à gauche (Val-de-Marne) pour la scénographie et le graphisme de l’exposition ;

Alain Vinum, maître verrier consultant pour ses conseils avisés et son aide technique dans la mise en œuvre de l’exposition.

Les partenaires de l’exposition

Les entreprises

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De nombreux événements à l’actif de la Cité

du vitrail Créé par le Département de l’Aube, l’espace de préfiguration de la Cité du vitrail a

ouvert ses portes en juin 2013 dans l’ancienne grange réaménagée de l’Hôtel-Dieu-Le-Comte (Troyes). Depuis, plus de 130 000 visiteurs sont déjà venus découvrir le vitrail à hauteur de regard.

Pas à pas, la Cité du vitrail a su convaincre en organisant de nombreux événements :

- Depuis 2013 : 31 conférences et plus d’une centaine de bénévoles aubois formés, sous l'égide de l'évêché de Troyes, de sa Pastorale du Tourisme et du Comité départemental du tourisme de l’Aube,

- 28 et 29 juin 2014 : premier renouvellement de l’exposition avec un week-end d’animations,

- 20 juin au 31 décembre 2015 : exposition temporaire « Lumières cisterciennes » dans le cadre du 900e anniversaire de la fondation de l’abbaye de Clairvaux (14 000 visiteurs)

- 20 et 21 novembre 2015 : premières Rencontres internationales du vitrail contemporain à Troyes ont rassemblé plus d’une centaine de personnes,

- 2015-2017 : opération d’inventaire des vitraux aubois des XIXe, XXe, XXIe siècles,

- 4 au 8 juillet 2016 : le XVIIIe colloque international du Corpus vitrearum à Troyes, a regroupé des spécialistes de 14 pays du monde autour du vitrail,

- 1er juillet au 31 décembre 2016 : l’exposition temporaire « Les Triomphes de Pétrarque. Un vitrail exceptionnel d’Ervy-Le-Châtel » attire près de 15 000 visiteurs en 6 mois. Face à ce succès, elle est prolongée jusqu’au 10 mai 2017.

La Cité du vitrail investit les espaces d’expositions temporaires aménagés en 2015

dans l’Hôtel-Dieu-Le-Comte et propose sa première exposition d’ampleur en 2017 : Vincent-Larcher. Regards sur le vitrail du XIXe siècle.

De nombreux événements à l’actif de la Cité du vitraiil

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Visuels pour la presse

Retrouvez ci-dessous les visuels disponibles pour la presse à des fins d’illustration d’articles sur l’exposition.

N° 1 Affiche de l’exposition Vincent-Larcher. Regards sur le vitrail du XIXe siècle Formats PDF ou JPG disponibles

N°2 Photographie de Louis Germain Vincent-Larcher © Archives Départementales de l’Aube (NM)

N°3 Divers outils, émaux de l’atelier Vincent-Larcher, coll. part. © Archives Départementales de l’Aube (NM)

Visuels pour la presse

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N°4 Anne Boleyn Feuille extraite de Bernard-Romain Julien (1802-1871), Étude aux deux crayons, ayant servi de modèle à la version perdue, dessinée par Vincent Larcher. Lithographie de Julien, vers 1844 d’après le tableau d’Édouard Cibot, Anne de Boleyn à la Tour de Londres, 1835 (Autun, Musée Rolin). Troyes, Arch. dép. Aube, 180J 380 © Archives Départementales de l’Aube (NM)

N°5 Monogramme de Vincent-Larcher © Danielle Minois

N°6 Bordure végétale avec rinceaux TROYES, cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, baie 9 Troyes, Arch. dép. Aube, 180J A3/3 © Archives Départementales de l’Aube (NM)

N°7 Les Rois Mages s’acheminant devant Hérode Carton à grandeur du panneau d’essai, Vers 1844 Troyes, Arch. dép. Aube, 180J-22/35. © Archives Départementales de l’Aube (NM)

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N°8 Les Rois Mages s’acheminant devant Hérode Panneau d’essai Vincent-Larcher, vers 1844 Troyes, Société académique de l’Aube. © Cité du vitrail

N°9 La création des animaux terrestres TROYES, église Sainte-Madeleine, baie 1, la Genèse Carton du panneau du début du XVIe siècle réalisé à partir du relevé Vincent-Larcher, vers 1858 AD10, fonds Vincent-Larcher, 43/12 © Archives Départementales de l’Aube (NM)

N°10 La création des animaux terrestres TROYES, église Sainte-Madeleine, baie 1, la Genèse Relevé du panneau du début XVIe siècle, réalisé d’après un frottis du panneau ancien Vincent-Larcher, vers 1858 Troyes, Arch. dép. Aube, 180J 108A/5 © Archives Départementales de l’Aube (NM)

N°11 Saint Rémy sacré évêque TROYES, église Saint-Rémy, baie 0 Relevé à grandeur avec reprise des plombs Signé et daté (1860) Troyes, Arch. dép. Aube, 180J- 82A/2 © Archives Départementales de l’Aube (NM)

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N°12 Baptême de saint Martin LUSIGNY-sur-BARSE, église Saint-Martin, baie 0, Vie de saint Martin Signé et daté (185[]) Ville de Lusigny-sur-Barse © Archives Départementales de l’Aube (NM)

N°13 La proclamation de saint Joseph patron de l’Église universelle (détail) TROYES, église Saint-Rémy Carton de vitrail (détail) Vincent-Larcher, vers 1870/1874 Troyes, Arch. dép. Aube, 180J- SN20/1 © Archives Départementales de l’Aube (NM)

N°14 Jésus, Bon Pasteur TROYES, Chapelle du Petit-Séminaire (actuel lycée Marie de Champagne), Baie 0 Ville de Troyes © Alain Vinum

Recevoir les visuels :

Cité du vitrail [email protected] (en mentionnant le ou les numéros souhaités)

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www.cite-vitrail.fr

La Cité du vitrail Une réalisation du Département de l’Aube

avec l’appui scientifique du Centre André Chastel (Paris)