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Une femme au pouvoir!!! A tous les Machos que cela dérange… Définition: Homme mettant sa masculinité en avant de façon considérée comme excessive, pouvant aller jusqu'à la phallocratie ou la misogynie Pour faire avancer cliquer sur «Enter»

Une femme au pouvoir!!!

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Une femme qui a mon admiration!

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Une femme au pouvoir!!!A tous les Machos que cela dérange…

Définition: Homme mettant sa masculinité en avant de façon considérée comme excessive, pouvant

aller jusqu'à la phallocratie ou la misogynie

Pour faire avancer cliquer sur «Enter»

UNE FEMME FORTEQui à su se débattre devant la controverse et

s’assumer devant les déserteurs et les fortes têtes de son parti en force.

Une femme qui a grandi dans un milieu modeste — son père était mécanicien dans un garage de Québec. Elle est titulaire d'un baccalauréat en service social (B. Serv. soc.) de l’Université de Laval  (1971) et d'une maîtrise en administration des affaires (M.B.A.) de l‘École des hautes études commerciales de l‘Université de Montréal (1976).

 

Une mère de familleElle est mariée depuis 1969 à Claude Blanchet

avec qui elle a eu quatre enfants.Enceinte de sept mois, Pauline Marois hésite à

se lancer en politique active. Elle est finalement convaincue par son conjoint et René Lévesque

et se porte candidate dans la circonscription de La Peltrie, dans la région de Québec. Elle est élue avec une confortable majorité de 5 337 voix sur son adversaire libéral, le 13avril 1981. Elle donne naissance à son deuxième enfant 11 jours plus tard, le 24 avril.

Une femme engagéeElle entre immédiatement au conseil des

ministres, d'abord comme responsable de la Condition féminine, de 30 avril 1981 au 29 novembre 1983, et pendant quatre mois en 1985. Elle est ensuite promue à la vice-présidence du Conseil du trésor, le 9 septembre 1982, puis devient ministre de la Main-d'œuvre et de la Sécurité du revenu, lors du remaniement de novembre 1983.

Une femme engagée….Elle signe, le 9 novembre 1984, la « lettre des

douze », dans laquelle la moitié des ministres du gouvernement Lévesque s'opposent à la stratégie du « beau risque » du premier ministre et réclament que la souveraineté soit au cœur de la campagne électorale de l'année suivante. Cependant, elle ne se joint pas à sept de ses collègues signataires qui démissionneront à la fin du mois.

Une femme courageuseAu départ de René Lévesque, elle se présente

à la course à la direction du Parti québécois, malgré un sondage défavorable. Après une campagne où elle fait la promotion du plein-emploi et de la souveraineté, elle termine en deuxième place avec 19,7 % des suffrages, mais se dit satisfaite et prête à continuer son engagement.

Une femme courageuseDéfaite dans La Peltrie, lors de l'élection

générale québécoise du 2 décembre 1985, elle poursuit son implication au sein de l'exécutif national du Parti québécois, tout en militant au sein d'organismes féministes. Elle est trésorière de la Fédération des femmes du Québec et agit à titre de consultante à la société Elizabeth Fry, un organisme qui vient en aide aux femmes détenues et ex-détenues.

Une femme courageuse….À l'instar de Jean Garon, Bernard

Landry et Louise Harel, Pauline Marois désapprouve la stratégie d'« affirmation nationale » et la réorientation idéologique défendue par Pierre Marc Johnson. Notant que le PQ « doit redéfinir sa voie de gauche », elle se retire temporairement de la direction du parti au terme du congrès de juin 1987, pour aller enseigner à l'Université du Québec à Hull.

Une femme déterminéeMalgré certaines critiques formulées à

l'endroit de Jacques Parizeau, elle accepte l'offre du nouvel homme fort souverainiste et devient conseillère au programme du PQ en février 1988. Elle se présente à l'élection partielle dans la circonscription d'Anjou, le 20 juin 1988, mais subit la défaite par 1 147 voix.

Elle revient à l'Assemblée nationale en tant que députée de Taillon en 1989 et se fait réélire en 1994, 1998 et 2003.

De nouveau une femme engagéeDe retour au pouvoir après l'élection générale

de 1994, le premier ministre Jacques Parizeau lui confie des dossiers à la fois sociaux — le ministère de la Famille — et économiques — le Conseil du trésor, et au lendemain du référendum de 1995, le ministère des Finances.

Elle a occupé pas moins de 14 charges ministérielles, parmi lesquelles : les Finances, l'Éducation et la Santé. Elle a également occupé pendant deux ans le poste de vice-première ministre du Québec (2001-2003).

Une femme toujours engagéeElle a, entre autres, donné naissance

aux centres de la petite enfance, piloté le dossier de la transformation du réseau des écoles confessionnelles catholiques et protestantes de langue anglaise et française — une disposition datant de l'Acte de l'Amérique du Nord britannique de 1867 —, en deux réseaux de commissions scolaires organisées sur une base linguistique et instauré la maternelle à temps plein.

Encore un second rôle de femme…En 2001, après le départ de Lucien

Bouchard, alors Premier ministre du Québec, Bernard Landry ne perd pas de temps et récolte tous les appuis. Il se fait couronner chef du parti, puis Premier ministre. Pauline Marois rate sa chance une seconde fois. Bernard Landry en fera sa ministre des Finances et vice-première ministre, poste qu'elle occupa jusqu'à la défaite du Parti québécois en 2003.

Toujours au poste malgré tout….Jusqu'à son intermède de femme politique à

temps plein, elle occupait le poste de porte-parole de l'opposition officielle en matière de relations internationales suite au remaniement du cabinet fantôme du Parti québécois

Une femme courageuseEn 2004, cherchant à provoquer le destin, Pauline

Marois demande ouvertement le départ de Bernard Landry alors chef du Parti québécois. En 2005, ce dernier démissionne après avoir été soumis à un vote de confiance où il obtient 76,2 % des appuis. À la suite de cette démission, elle se lance officiellement et sans attendre dans la course à la direction du Parti québécois en juin 2005. Elle reçoit l'appui de Joseph Facal, Jonathan Valois, Maka Kotto et Marie Malavoy et une vingtaine de députés de son parti et du Bloc québécois, parti souverainiste campé à Ottawa.

Une femme réfléchieEn cas de victoire, elle promettait de tenir

un référendum dans les six mois à un an après l'élection d'un gouvernement péquiste, à condition qu'il soit gagnant :

« C'est une tâche immense que nous avons à accomplir ensemble, pour préparer le Québec à faire la souveraineté, surtout à la réussir et à gagner le référendum. Il ne s'agit pas de tenir un référendum n'importe quand, demain matin, il s'agit d'en tenir un gagnant. »

Une femme appréciéeElle reçoit beaucoup d'appuis à l'extérieur du Parti

québécois, comme celui de l'ex-présidente de la Fédération des infirmières, Jennie Skeene, de l'ancienne présidente de la CEQ,Lorraine Pagé, de l'écrivaine Hélène Pedneault et de l'ancienne présidente du Comité exécutif de la ville de Montréal, Léa Cousineau.

La semaine avant l'élection, elle reçoit l'appui de Pierre Dubuc, candidat dans la course. Le 10 novembre, Gilbert Paquette abandonne la course et demande à ses partisans de voter pour Pauline Marois.

Une femme raisonnableLe 15 novembre 2005, elle perd finalement

l'élection avec 30,56 %, soit la 2e position, avec 32 166 votes, alors que André Boisclair est élu avec une majorité de 53,68 %. Son rêve de devenir Première ministre du Québec – et première femme à le devenir - lui échappe encore une fois. Elle accepte le verdict clair et se rallie au nouveau chef. Elle se montre tout de même satisfaite de la campagne électorale, mais avoue être un peu peinée.

Une femme à bout….Le 20 mars 2006, sans amertume, Pauline Marois

annonce qu'elle quitte la vie politique active. Ce départ précipité cause une certaine surprise puisqu'elle venait tout juste d'accepter d'occuper le poste de critique en matière de Relations internationales. Cependant, depuis janvier, la rumeur courait qu'un départ imminent de Madame Marois risquait de survenir. Elle se retire après plus de 25 ans de vie publique et politique, non sans peine. Cependant, elle avouera lors de son discours de démission que « le cœur n'y est plus ».

Une femme super courageuseÀ la suite de la démission d'André Boisclair,

le 8 mai 2007, Pauline Marois choisit de se présenter dans une éventuelle course à la direction du Parti québécois, le 11 mai 2007. Pour elle, il s'agit d'une troisième tentative pour devenir chef de ce parti.

Le 13 mai 2007, Pauline Marois déclare officiellement sa candidature, soit dix-huit mois après sa défaite lors de la course à la direction du Parti québécois de 2005. Elle veut mettre de côté le projet référendaire et veut modifier son approche d'un futur pays. Elle souhaite changer tout le programme du Parti québécois pour adapter celui-ci aux volontés des Québécois.

Enfin plus de 25 ans plus tard….Pauline Marois est la seule personne officiellement en

lice pour la succession d'André Boisclair, son seul rival potentiel (Gilles Duceppe, chef du Bloc québécois) s'étant désisté un jour après avoir annoncé sa candidature, probablement convaincu des conséquences néfastes pour le mouvement souverainiste d'un tel affrontement et percevant peut-être aussi un manque d'appuis suffisants. En effet, Pauline Marois a joui d'un très grand nombre d'appuis dès le premier jour de l'annonce de sa candidature, à la fois au sein de la mouvance péquiste et au sein de la population (selon les premiers sondages).

Enfin Chef du Parti QuébécoisElle reçoit l'appui du club politique SPQ-Libre.

Aussi, elle rallie la quasi-totalité des députés du Parti québécois.

Le 14 mai 2007, Pauline Marois assiste à un souper-bénéfice du Bloc québécois, à Montréal, et Gilles Duceppe profite de l'occasion pour l'assurer de son appui inconditionnel.

Elle devient officiellement chef du Parti québécois, à la fermeture de la période des mises en candidature, le 26 juin, étant la seule personne ayant déposé les signatures requises.

Retour en politique activeLe 13 août 2007, Rosaire Bertrand, du Parti

québécois, démissionne comme député de la circonscription de Charlevoix, à la limite est de la grande région de la Capitale-Nationale. Du même coup, il force le déclenchement d'une élection partielle, fournissant l'opportunité à Pauline Marois de pouvoir accéder à l'Assemblée nationale du Québec. Le jour même de la démission de Rosaire Bertrand, Pauline Marois annonce qu'elle sera candidate à cette élection.

Une femme souvent attaquée En septembre 2007, deux jours avant le

scrutin, une controverse éclate lorsqu'un journaliste du quotidien The Gazette révèle que Mme Marois et son conjoint possèdent une résidence située sur des terres anciennement agricoles, jusqu'à leur dézonage, en 1991, et sur des terrains publics expropriés en 1978 et destinés à la prolongation de l'autoroute 440.

Bravo Pauline tu ne l’as pas volé!Le 24 septembre 2007, jour du scrutin, Pauline

Marois est élue avec 59,16 % des suffrages, devenant députée de Charlevoix. Son principal adversaire, l'adéquiste Conrad Harvey, obtient quant à lui 37,04 % des voix. L'assermentation de Pauline Marois a lieu le11 octobre 2007.

Le 8 décembre 2008, Pauline Marois devient la chef de l'opposition officielle du Québec, à la tête de l'opposition officielle la plus forte depuis la Révolution tranquille, avec 51 députés élus à l'Assemblée nationale.

Une grande dame d’expérienceLe 16 avril 2011, lors du XVIe congrès

national du Parti québécois, Pauline Marois obtient plus de 93,08 % d'approbations lors du vote de confiance des délégués, un appui un peu plus fort que ceux obtenus dans le passé par Jacques Parizeau et Lucien Bouchard.

Et y a encore des machos qui doutent après plus de 31 ans d’expérience….. Bonne chance Madame Marois Vous êtes Madame la femme la plus douée,

courageuse et déterminée pour devenir Notre Première ….

Première Ministre du Québec

Références de cette présentation

http://fr.wikipedia.org

Michelyne LangevinMembre du Parti Québécois de GranbyCirconscription Granby: Candidat M. Luc Perron