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UNESCO HANDBOOK
BRENDA VALDÉZ – JOSÉ MARÍN – JIMENA MORALES – TANIA BELTRÁN
--
UNESCO – MONUUNAM 2017
Índice
1 Carta de Bienvenida
2 - 6 Introducción al comité
7 - 16 Tópico A
17 – 25 Tópico B.
UNESCO – MONUUNAM 2017
Chers délégués,
La tribune de l´Organisation des Nations Unies pour L´Éducation, la Science et la
Culture se trouve profondément heureuse de pouvoir retourner, après 5 ans, un comité
en langue française au Modèle de notre chère Université, MONUUNAM 2017.
Nous avons eu une préparation pendant 8 mois parce qu'on voulait vous surprendre
pas seulement avec un débat dans une langue étrangère, mais aussi avec des
thématiques actuelles, lesquelles on croit qu’elles doivent être étudiées par les
nouvelles générations, parce que nous, la jeunesse du XXIesiècle, nous devons travailler
ensemble pour la formation d'une société ouverte aux nouvelles idées et aux
changements; Une société préparée pour un échange multiculturel, qui nous permet
d’accepter notre identité conformé par la diversité mais surtout, pour être empathique
aux problèmes internationaux.
Nous vous félicitons pour vous avoirencouragé á faire partie d'un débaten français
pendant les prochains trois jours, ce qui nous montre un effort extraordinaire de votre
part; mais aussi, nous sommes vraiment satisfaits, parce que vous nous ayez choisi entre
les autres dix comités. Dans notre comité, vous seriez une délégation appelée au forum
pour lever la voix en nom de ceux qui ne peuvent pas parler par eux-mêmes par la
peur à la discrimination où bien, par le manque de tolérance à la diversité.
Nous vous rappelons que nous travaillerons ensembleet que nous sommes prêts à
résoudre n’importe quel doute qui puisse survenir pendant les jours de travail. Nous
sommes ici pourvous aider à trouver une résolution qui récompense toutes les nations
présentes.
Cordialement,
MORALES Jimena • RAMIREZ José Marín • VALDEZ Brenda Joseline • BELTRAN Tania
UNESCO – MONUUNAM 2017
Description du comité
« Construire la paix dans l'esprit des hommes et des femmes »
Histoire
Dans le passé, au cours de la Société des Nations il y avait le Comité de
Coopération Intellectuelle lequel il peut être considéré comme
l'antécédent direct pour la création de l'UNESCO.
L'Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la
Culture (UNESCO) est une entité spécialisée du Système de
l'Organisation des Nations Unies (ONU). L'UNESCO a émergé en
novembre 1945, après avoir fini la deuxième guerre mondiale une
conférence sur les Nations Unies a été réalisée à Londres pour instaurer
une institution éducative et culturelle. Cet événement a réuni des
mandataires de 37 nations, les délégués ont décidé de fonder une
organisation qui avait à un objet : constituer une culture de paix ferme
avec l'objectif de réconforter la solidarité intellectuelle et morale entre
l'humanité et de réussir à éviter un autre conflit de guerre au plan
mondial.1
À la fin de cette conférence il y eu 37 Etats signataires de l’Acte
constitutif dont naître l'Organisation des Nations Unies pour l’Éducation,
la Science et la Culture (UNESCO) qui est rentré en vigueur en 1946,
ratifié par vingt États:
L'histoire dans UNESCO sur les membres fondateurs et l'additif de
nouveaux États à l’Organisation a été marquée par les conditions
politiques et les conséquences de la Deuxième Guerre Mondiale, par
exemple le Japon et la République Fédérale d'Allemagne deviennent
membres jusqu'à 1951 et l'Espagne en 1953. La Constitution de l'UNESCO
1 SRE, Mission permanente du Mexique devant l'ONU: qu'est-ce qui est l'UNESCO? (en ligne). (Il consulte le 10 février 2017). Disponible dans un web: https://mision.sre.gob.mx/unesco/index.php/que-es-la-unesco
UNESCO – MONUUNAM 2017
est entrée en vigueur le 4 novembre 1946, au préalable après avoir été
ratifié par 20 nations signataires. Le 14 décembre il s'est officiellement
converti comme un organisme spécialisé des Nations Unies.
Facultés de l'UNESCO
L'UNESCO s'occupe de forger les qualités appropriées pour commencer
un dialogue entre les civilisations, les cultures et les peuples, cimenté à
l'égard des valeurs collectives. De la même façon, aide à la préservation
de la paix et le maintien de la sécurité mondiale, au moyen de
l'impulsion de la coopération entre les nations au moyen de l'éducation,
la science, la culture, la communication et l'information. À traversde ces
activités ils attendent promouvoir un plus grand respect universel par la
justice et l'état de droit et par la vigueur des droits de l'homme et de
liberté fondamentale sans aucune distinction. Il promeut la
connaissance et la compréhension mutuelle entre les nations. Il aide à la
conservation, le progrès et la diffusion du savoir. La coopération
intellectuelle internationale et les activités des opérations socioculturelles
sont entre les préoccupations principales. L’UNESCO s'occupe de
protéger le patrimoine culturel.
Conformation de l'UNESCO.
En premier lieu, l'UNESCO est dirigé par la Conférence générale, qui est
l'organe principal d’action. La Conférence se compose par des
représentants de tous les États membres, qui se réunissent tous les deux
ans pour régler les différences qui affligent les pays, ceci afin de
proposer des initiatives et des actions au niveau multilatéral. Il détermine
la politique, il convoque lesdifférentes conférences internationales
relatives à ses propos; il prépare des conventions, il approuve son
budget, il fixe les quotas, il choisit les membres du Conseil Exécutif et le
UNESCO – MONUUNAM 2017
directeur général par recommandation du conseil.2 Il est l’autorité qui
décide qui dirigera la Direction générale de l'UNESCO, pour une période
de quatre ans, et de même, ratifier le budget du programme de
l'Organisation par l'émission d'un vote pour chaque État membre
représentant.
En deuxième lieu, le Conseil Exécutif qui est composé par 58 États,est
responsable d’un bon progrès du programme adopté par la
Conférence générale. Sa tâche est de projeter le travail de la
Conférence Générale et de garder que ses décisions soient
convenablement faites. Ses fonctions et responsabilités trouvent l'origine
essentielle dans la Constitution et les règlements ou les comités
directeurs établis par la Conférence Générale. Leurs réunions ont lieu
deux fois par an pour suivre le programme pour fonctionner
correctement, et le budget de l'Organisation.
En tant que troisième organe de gouvernance; la Secrétariat général,
qui est dirigé par le directeur général Irina Bokova. Il est le directeur
général de l'UNESCO et il est habilité à proposer des mesures au Conseil
exécutif et de la Conférence générale, il prépare le projet de
programme et de budget biennal.
L'UNESCO a un système de 192 commissions nationales et il dispose d’un
support d’environ 4,000 associations, des centres et des clubs de
coexistence. Il soutient des relations officielles avec 340 organisations
non gouvernementales et 25 fondations et des institutions similaires, il
2Figueroa, U., (2014), Organisations internationales, Santiago, République du Chili, Maison d'édition Juridique du Chili.
UNESCO – MONUUNAM 2017
collabore avec un réseau de 7,900 institutions éducatives dans 176
pays.3
L'UNESCO dispose de 195 États membres et 10 Membres Associés. Cela
veut dire que les derniers sont des territoires ou groupes de territoires qui
ne s'occupent pas de la manipulation de ses relations extérieures. Le
siège officiel de l'organisation se trouve à Paris, de même dispose de
plus de 50 bureaux outre le Siège.
L'UNESCO travaille pour créer des conditions appropriées pour obtenir un
dialogue entre les nations, les cultures et les peuples basé sur le respect
des valeurs communes. Grâce à ce dialogue le monde pourra construire
des connaissances et des structures sur le développement durable qui
suppose l'observance des droits de l'homme, de la tolérance et d'autres
objectifs qui trouvent formés dans la constitution de l'organisation.
L'UNESCO a été créé pour des différentes missions, mais la principale
consiste à consolider la paix, la diminution de la pauvreté et du
développement durable, de même avoir un dialogue interculturel à
travers l'éducation, les sciences, la culture, la communication et
l'information. L'organisation se concentre principalement sur les priorités
suivantes. 4
3 ONU, Les Nations Unies aujourd'hui, New York, 2010. ISBN : 978-92-1-300212-4. 4 Nations Unies, Organisation des Nations Unies pour L’éducation la Science et la Culture, “A propos de
l'UNESCO”, 06 Mai 2017, récupéré de : http://www.unesco.org/new/fr/unesco/about-us/who-we-are/introducing-unesco/
UNESCO – MONUUNAM 2017
Programmes majeurs
Education
Sciences naturelles
Sciences sociales et humaines
Culture
Communication et information
UNESCO – MONUUNAM 2017
THEME A: LE DROIT D´IDENTITE CULTUREL DES ETHNIES INDIGENES A
L´AMERIQUE DU NORD.
1.1Sur les racines de la discrimination á la Nouvelle Espagne (Le cas du
Mexique)
Les personnes indigènes ont témoigné l´exploitation et la discrimination à
cause des préjugés de la société, le pillage puis d’une conquête,
l’éradication de son identité culturelle et spirituelle à conséquence de
l´évangélisation et la colonisation de leurs territoires, ce problème a été
le cas du continent Américain.
Toute cette histoire d´abus commence avant 1521, plus spécifiquement,
à la région de l´Amérique du Nord (dans le cas du Mexique), l´Amérique
Central et l’Amérique du Sud. Au Mexique, il y avait des différents
cultures lesquelles, avec des certaines recherches archéologiques, on
sait qu’elles étaient des cultures complexes et avec une solide structure
sociale, contraire à certaines opinions qui affirment que les civilisations
d’avant n´étaient pas si développés pour former des sociétés :
C´est fréquent qu´il s´imagine á toutes les sociétés
préhispaniques comme des tyrannies dans lesquelles
un group immensément riche soumisait aux
communautés de productoires á un ardu travail avec
un ferreux control politique. Et certainement, ils
n’étaient pas des démocraties, mais leur structure
interne était beaucoup plus complexe de ce que le
préjuge suggère. (Escalante, 2004)[1]
Il est vrai que grâce à l´arrivée des espagnols les civilisations américaines
ont pu connaitre d´autres manières d´exploitation de la terre, des
nouvelles espèces d´animaux et de graines ; ainsi que des nouvelles
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techniques de construction plus efficaces et durables, mais pendant
que tout cet apprentissage se produisait, il n’y avait aucune
considération pour la dignité des personnes indigènes, le travail qu´ils
faisaient et le salaire qu´ils recevaient en échange.
Á cette époque-là le monde entier se concentrait seulement dans le
continent européen. L’Europe signifiait la supériorité économique, les
avances scientifiques, le sein des sciences de la pensée, les régimes
monarchistes avec leurs flottes d´explorateurs traversaient les mers pour
apporteur avec eux des esclaves d´origine africaine et asiatique, et aussi
pour commercialiser avec les ressources naturelles comme les minéraux.
Cette disparité économique a montré une mauvaise idée de supériorité,
racial, religieuse et culturel, et avec la conquête de l´Amérique, toutes ces
pratiques discriminatoires ont était établies pour affecter directement aux
habitants indigènes.
En premier lieu, il faut dire de quelle manière l´identité culturel des
espagnols a rempli presque complètement celle des aztèques avec la
religion. Avant de l’arrivé des espagnols, les civilisations préhispaniques
prolongés par l´Amérique du Nord, l´Amérique Central et l´Amérique du
Sud professaient une religion polythéiste, dans laquelle leurs dieux
représentaient des éléments naturelles ou bien des phénomènes, et une
coutume entre ces religions était l´offre des sacrifices humaines et de
leur ensemencements. Quand les espagnoles s´étaient déjà installés au
Mexique, la couronne espagnole a envoyé missionnaires pour
commencer l´endoctrinement des peuples indigènes. Le problème ici a
été que les missionnaires ont imposé le christianisme rapidement : En
moins de 50 ans, la majorité de la population est devenue chrétienne.
L´adoration aux vieux dieux s´est interdit et les temples ont été détruits
pour construire au-dessus d´eux les églises, des bâtiments publics, autels
UNESCO – MONUUNAM 2017
et chapelles. Cela, nous montre la destruction et le rejet d’une identité
culturelle considéré comme sauvage et inferieure.
La conquête linguistique : Évidement l´espagnol est devenue la langue
reconnue dans les colonnes espagnoles en Amérique. Comme on a déjà
mentionné, l’une des principales justifications pour la conquête était
l´évangélisation, mais comment évangéliser aux indigènes si les
missionnaires ne sauvaient pas le nahuatl, purepecha, otomí, etc ? Alors, ils
ont dû commencer à apprendre les lingues natives, et ici il y a eu un
échange linguistique entre les colonisateurs et les colonisés : les
espagnoles ont appris avec des grands efforts une manière de
communiquer le gospel aux indigènes. Dans le XV siècle, l´hispanité
représentait une caractéristique de supériorité, puisque le pouvoir qu´à ce
moment avait la couronne espagnole, il représentait une identité culturel
sacré et civilisé ; c´est pour ça que « Les indiens, physiquement nus, sont
aussi pour les yeux de Colón d´êtres dépouillés de toute identité culturel
».(Todorov,44)[2]
Une autre manière de discrimination était la division des castes. Dans
l´époque colonial, il s´est établi le système des castes, une manière de
diviser les droits des habitants de la Nouvelle Espagne d´accord á son
couleur de peau et la précédence d´origine de leur parents. Il y avait
sept types de castes: 1 Les personnes natives de L´ Europe, 2) les
espagnoles créoles ou les blanches européens né en L´ Amérique ; 3) les
métisses descendus de blanches et d´indiens ;4) les mulâtres descendus
de blanches et de noires ; 5) les zambos descendus des noires et des
indiens, 6) les mêmes indiens ; et 7) les noires africaines. [3] Ce type de
pratiques renforcé l´idée de la supériorité racial des espagnoles,
comparé avec cela des africains et américains. Par apport de cette
discrimination, le chercheur Carlos LópezBeltrán mentionne que :
UNESCO – MONUUNAM 2017
Pendant le période colonial, ils se sont formés dans les
colonies américaines une série de régimes de définition des
distincts mélanges. Au même temps, il s´est forgé une
régulation laquelle ambitionnait annuler, par moyenne des
mariages, le mélange de saigne et de tonalités
épidermiques, pour retourner aux celles de meilleure
qualités, espagnoles et blanches. [4] (Beltrán).
Aujourd’hui, en plein XXIème siècle, les pratiques de discrimination et en
faveur de l´éradication de l´identité des cultures des peuples
autochtones continue. Le Mexique n´est pas un pays raciste, mais bien
sûr, il est classiste.
Il faut mentionner 3 facteurs qui aident à la discrimination et
dégradation de leur identité culturelle qui sont la discrimination
linguistique et le classisme.
La discrimination linguistique : Au Mexique il y a 72 langues indigènes
[5], desquelles les plus parlées sont le Náhuatl, le Maya et le Tzetzal. Le
problème ici c’est que les parlants des langues indigènes sentent de la
honte au moment de s´exprimer avec leur langue. L´écrivant Roland
Terbourg mentionne que l´économie a un grand impact sur la
fréquence avec laquelle les indigènes vont parler leur langue, parce
que si une communauté native comprendre que l’un des obstacles
pour obtenir du travail est sa langue, elles vont préférer de ne pas les
parler quand elles soient avec des communautés qui sont plus fortes
économiquement et nombreuses:
Quand le contact est sur tout économique, les
membres de la communauté linguistique
économiquement plus faible, qui ont connaissance
de la lingue de la communauté économiquement
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plus forte, ils obtiennent d´avantages que ne
peuvent pas obtenir ceux qui ne connaissent pas
l´autre lingue. Ceci attire d´avantages comme
l´accès aux marchandises et services attractives,
ce qui contribue a que les parleurs du groupe le
plus faible économiquement aient l´impression de
que leur lingue se devienne inutile dans la situation
économique qui forme leur contexte…le fait
provoquera qu´ils sous-estiment plus chaque fois
leur propre lingue et utilisent avec plus fréquence la
lingue de la communauté la plus forte
économiquement …jusqu’à ce que les anciennes
finissent en soient les uniques que l´utilise avec
régularité. (Wurum, 200 :34)[6]
La discrimination contre les artisans et le travail des peuples indigènes :
Au Mexique il y a 59 groupes d´indigènes (10 millions de personnes) qu´á
cause de leur condition, ils ont né avec beaucoup moins d’opportunités
pour obtenir un travail. Selon un article publié par la Faculté latino-
américaine des sciences sociales (FLACSO), intitulé La Discrimination
dans l'emploi des peuples autochtones sur les marchés du travail urbain
au Mexique: Examen et évaluation d'un phénomène persistant, la
discrimination dans l'emploi commence lorsque les employeurs notent
un rendement plus élevé et la production par une certaine population
par rapport à l'autre. Dans le cas des populations autochtones, les
principaux problèmes auxquels ils sont confrontés pour obtenir du travail
sont enracinés dans le manque d'alphabétisation, la ségrégation et les
préjugés. De toute évidence, la ségrégation d'une communauté
autochtone est en grande partie due pas seulement à cause de sa
position géographique, mais aussi à cause du manque de
compréhension de leur culture et de la langue; qui va générer des
UNESCO – MONUUNAM 2017
emplois qui ne peuvent pas demander aux employeurs qui ne parlent
pas leur langue. De plus, la stigmatisation des analphabètes indigènes se
pose en raison du manque d'éducation et la pauvreté qui les
empêchent éventuellement la société inclus pour devenir des
professionnels dans un marché sur le terrain. Enfin, voir leurs possibilités de
travail complètement fermé, décider des autochtones de poursuivre le
développement des artisans, la vente de leurs cultures et de travailler
leurs terres, dont il est le premier cas où plus vers la négation des racines
indigènes est notée: Il est plus susceptible d'acheter un produit artisanal
étranger fait par indigène d'un mexicain de le faire, le plus souvent
parce que le Mexique ne se sent pas d'intérêt ou de soins d'identité qui
le rend comme tel.[7]
1.2 La condition actuelle de personnes indiennes aux États-Unis :
Information démographique
Aux États-Unis il y a environ 566 de tribus reconnues et corporations
natives d´Alaska, avec presque 1.9 million de membres ajoutés.
D´accord avec une étude de population fait pendant l’année 2010, la
population américaine indienne/ Alaska-native, est représenté par un
.9% (2.9 million de personnes) ; et la population AI/AN mélangé avec
d´autres races est représenté par 1.7% (5.2 million de personnes) .5. Á
continuation on montre une carte qui nous permettre de voir la majorité
de tribus dispersés aux États-Unis.
5National Congress of American Indians.Indian Country Demographics.
http://www.ncai.org/about-tribes/demographics#R1
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La région sud-ouest du territoire américain concentre la majorité de
races et de tribus : Nouveau Mexique compte avec 22 de tribus
indiennes (dix-neuf Peuples, deux tribus Apache et la Nation Navajo.
Dans un autre côté, on trouve á l´État de Colorado la tribu Ute et la tribu
Ute Montagne Ute tribu, les deux, reconnues au niveau fédéral. Le
gouvernement américain a organisé beaucoup de ces tribus dans des
réserves naturelles avec une juridiction spécifique pour que les peuples
puissent habiter et pratiquer leurs habitudes.
Problèmes concernant aux tribus natives :
Les réserves naturelles et la surpopulation.
Dans un premier temps, il faut dire qu´une réserve naturelle est un area
avec un désignation légal dirigé par une tribu native contingent au US
Bureau of IndianAffairs. Il y a environ 326 réserves naturelles, dans les
quelles il peut habiter qu’une seule tribu et il y en a celles qui n´ont pas
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aucun territoire. Cependant, un facteur qui complique la condition des
réserves ; Le fait que par fois les réserves naturelles peuvent être vendues
aux personnes non-natives, ce qui cause la fragmentation du territoire
entre immobiliers privées et publiques. Il est important de mentionner
que les peuples natifs qui habitent dans une réserve ont une certaine
souveraineté tribale qui est limité par les juridictions de congrès locaux et
la Constitution
Les réserves naturelles que le gouvernement a destiné pour les peuples
ont été thème de critique et de plaintes parce que plusieurs de fois les
kilomètres assignés aux tribus ne sont pas suffissent pour la quantité de
personnes, par conséquence on a eu des problèmes de santé á cause
de la surpopulation.6
Éducation
Bien que le pourcentage d´étudiants qui ont reçu une éducation
primaire et secondaire et qui ont obtenu un diplôme ou certification
s´est redoublé pendant les dernières 30 ans ; cependant, seulement 5%
d´Américains Indiens et de Alaska natives ont reçu une certification
professionnel, en comparaison avec le 10% de la totalité de la
population américaine.
Pauvreté et emploi
Malheureusement, quatre à huit sur dix adultes dans une réserve
naturelle n´ont pas d´emploi. En fait, 28.2% correspond au pourcentage
des personnes native-américains qui vivent au-dessous de la ligne de la
pauvreté fédérale ; en tant que l´écart de native-américains qui vivent
au-dessous de la pauvreté aux réserves est de 38% á 63%.7
6"FrequentlyAsked Questions, Bureau of IndianAffairs". Department of the Interior.
7Native AmericainAid. Linving conditions
http://www.nativepartnership.org/site/PageServer?pagename=naa_livingconditions
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Santé
Bien que l´espoir de vie pour les native-américains a augmenté, la vérité
est que leur santé dépends du Service de Santé Indien, dont plusieurs
fois ne compte pas avec le financement nécessaire pour compléter les
services de prévention des maladies ; ou bien, aussi plusieurs de fois dans
les réserves naturelles il n’y a pas de pharmacies ou d’hôpitaux.
Les principales causes de morte en personnes natives-américaines sont
les suivantes :
1. La maladie cardiaque est la principale cause de décès chez les
Indiens en Amérique (2003, Centre pour le contrôle des maladies).
2. En raison du lien entre les maladies cardiaques, le diabète, la
pauvreté et la qualité de la nutrition et des soins de santé, 36% des
autochtones atteints de maladie cardiaque vont mourir avant
l'âge de 65 ans, comparativement à 15% de caucasiens (2001,
HHS Office of MinorityHealth).
3. Les Indiens d'Amérique sont 177% plus susceptibles de mourir du
diabète (2011, IndianHealthDisparities).
4. 500% sont plus susceptibles de mourir de tuberculose (2011,
Disparités de santé indiennes 82% sont plus susceptibles de mourir
à cause d’un suicide (2011, IndianHealthDisparities).
5. Les taux de cancer et les disparités liées au traitement du cancer
sont plus élevés que pour les autres Américains (2005, Personnes
autochtones pour le contrôle du cancer) .
6. Les taux de mortalité infantile sont 60% plus élevés que chez les
Caucasiens (2001, HHS Office of MinorityHealth).
UNESCO – MONUUNAM 2017
http://cuentame.inegi.org.mx/poblacion/lindigena.aspx?tema=P
#uno
[1]Gonzalbo, Escalante, et.al. Nouvelle Historie Minimum du Mexique .Le
College du Mexique, Mexique,2004,p.27
[2]Tzvetan Todorov. La conquete de L´Amerique: Le probleme de
l´autre. XXI Espagne, Espagne 1987, p.44
[3]Alexandr Humboldt. Rédaction Politique à propos du Royaume de la
Nouvelle Espagne, Porrúa, México, 1996, p.51
[4]. Beltrán, Carlos. Sangre y temperamento, México,p.293
[5] INEGI. Parleurs des lingues indigènes à Mexique.
http://cuentame.inegi.org.mx/poblacion/lindigena.aspx?tema=P#uno
[6]Terbourg, Roland et García Laura (Wurum,200:34). Mort et vitalité des
lingues indigènes. CELE, México,2011,p.21
[7]Horbath, Jorge. La Discrimination dans l'emploi des peuples
autochtones sur les marchés du travail urbain au Mexique: Examen et
évaluation d'un phénomène persistant. FLACSO, Mexique,2006, p.8-1
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Sujet B : « Pillage, trafic et destruction du Patrimoine et biens Culturels
par le Daech».
Les actions violentes contre le patrimoine culturel et les destructions sont
monnaie courante. D’anciens phénomènes comme l’iconoclasme sont
bel et bien de retour. On se rappelle des fureurs iconoclastes qui ont eu
lieu en Europe en 1566 quand les calvinistes ont détruit des statues dans
des églises et des monastères catholiques. En plus des motifs religieux
invoqués, la destruction des antiquités et des objets culturels de
l’héritage de la région au Moyen-Orient semble être utilisée comme une
forme moderne de guerre psychologique. Les attaques contre le
patrimoine culturel sont aussi des éléments de génocide culturel et
reconnu par les Nations Unies comme des crimes de guerre ou même
comme des crimes contre l’humanité.
Actuellement, il y a des choses vraiment importantes, qu’on doit
préserver pour les prochaines générations. Son importance est grâce à
sa valeur économique ou pour symboliser une grande pièce de l'histoire
d'une nation. Les objets et les constructions sont dépêche d'un
patrimoine; dans un monde plein de conflits armés, notre patrimoine
culturel exige que la société fasse un grand effort pour assurer sa
protection.
Pour des effets de cette recherche, par patrimoine culturel8 ils se
comprennent :
i) Les monuments : des œuvres architectoniques, d'une sculpture
ou de peinture monumentale, des éléments ou des structures
de caractère archéologique, d'inscriptions, de cavernes et les
groupes d'éléments, qui ont une valeur universelle
8 L’UNESCO, “indicateurs UNESCO de Culture pour le développement, patrimoine”, pages 134 et 135, disponible dans : http://es.unesco.org/creativity/sites/creativity/files/digital-library/cdis/Patrimonio.pdf
UNESCO – MONUUNAM 2017
ii) exceptionnelle du point de vue de l'histoire, de l'art ou de la
science;
iii) Les ensembles : des groupes de constructions, isolées ou
réunies, dont l'architecture, une unité et une intégration dans le
paysage leur donne une valeur universelle exceptionnelle du
point de vue de l'histoire, de l'art ou de la science;
iv) Les lieux : des œuvres de l'homme ou des œuvres conjointes de
l'homme et la nature, ainsi que les zones, inclus les lieux
archéologiques, qui ont une valeur universelle exceptionnelle
du point de vue historique, esthétique ou anthropologique.
Par des Biens culturels9 les biens se comprennent, n'importe lequel qui est
son origine et propriétaire, que, pour des motifs religieux ou profanes, les
autorités nationales désignent spécifiquement comme importants pour
l'archéologie, la préhistoire, l'histoire, la littérature, l'art ou la science, et
qui appartiennent aux catégories suivantes :
a. Les collections et de rares exemplaires de zoologie, de botanique,
de minéralogie, d’anatomie, et les objets d'intérêt
paléontologique;
b. Les biens relatifs à l'histoire, à l’inclusion de l'histoire des sciences et
des techniques, l'histoire militaire et l'histoire sociale, ainsi que avec
la vie des dirigeants, de penseurs, de savants et les artistes
nationaux et avec les événements d'importance nationale;
certain.
c. Le produit des excavations (tant autorisées comme clandestines)
ou des découvertes archéologiques;
d. Les éléments originaires du démembrement de monuments
artistiques ou historiques et de lieux d'intérêt archéologique;
9ídem
UNESCO – MONUUNAM 2017
e. Les antiquités qui ont plus de 100 ans, tels comme des inscriptions,
des monnaies et des timbres gravés; fort.
f. Le matériel éthologique;**
g. Des biens d'intérêt artistique, coupe comme : i) des carrés, des
peintures et des dessins faits entièrement à la main sur n'importe
quel support et dans n'importe quel matériel (avec exclusion des
dessins industriels et des articles manufacturés décorés à une
main); ii) des productions originales d'art statuaire et de sculpture
dans n'importe quel matériel; iii) des gravures, des images et des
lithographies originales; iv) les ensembles et les montages
artistiques originaux dans n'importe quel matériel;
h. De rares manuscrits antiques et incunables, des livres, des
documents et des publications d'intérêt spécial (historique,
artistique, scientifique, littéraire, etc..) libres ou dans des
collections;
i. Des timbres de courrier, de timbres fiscaux et analogues, libres ou
dans des collections;
j. Des fichiers, inclus phonographiques, photographiques et
cinématographiques;
k. Les objets de mobilier qui ont plus de 100 ans et des instruments
antiques de musique.
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Précédentes
Le Daech, Al Qaeda et les talibans des bouddhistes ont détruit des
monuments, des manuscrits, des édifices et un art préislamique dans les
15 dernières années par lequel, des autorités de la Syrie et de l'Irak
demandent un secours au monde pour sauver un legs culturel.
La haine vers d'autres cultures, même elle de ceux-ci mêmes, n'est pas
tout à fait nouvelle dans ces groupes extrémistes. L'une des crimes
culturelles les plus atroces est arrivée en 2001, à l'Afghanistan, où les
talibansont abattu les budasgéants de Bamiyán.
Il faut rappeler que le 11 juin 2014 a commencé la croisade du Daech
pour s'emparer d'un territoire à l'Irak et en Syrie, avec l'intention de
fonder un califat, qui se rapporte au premier système de gouvernement
dans l'islam, dont la fin est de gouverner conformément à la loi
religieuse, connue comme sharia.
Au Moyen-Orient, la terreur que provoque le groupe terroriste ne fait pas
que des victimes humaines; Ces dernières années le patrimoine culturel
de l’humanité a été menacé par le Daech.
Avec sa stratégie de terrorisme culturel, le Daechessaie de capter
l'attention des médias de tout le monde, d'augmenter la portée de ses
campagnes de publicité et d'obtenir de grands gains économiques
pour le financement de l'organisation. Au cours du temps et des
dommages causés, peu à peu, la richesse historique d'une région
continue de détruire au jour le jour. Avec la destruction de ces endroits
emblématiques, le groupe démontre son mépris vers n'importe quelle
trace historique et culturelle de la civilisation qui ne partage pas les
mêmes croyances. La vente aux particuliers de ces richesses culturelles
est l'un de ses plus grands outils d'un financement, près du pétrole et le
système d'impôts.
UNESCO – MONUUNAM 2017
L'obstination des islamistes à vouloir rayer tout ce qui ne correspond pas
à leur vision religieuse revêt deux aspects: 10
10
Delevaux, M. (le jeudi 26 mars 2015), "Irak et Syrie: un génocide culturel du patrimoine
mondial (Infographie)", disponible dans : http://www.lalibre.be/actu/international/irak-et-syrie-un-genocide-culturel-du-patrimoine-mondial-infographie-5512f22935707e3e941ad2c3
UNESCO – MONUUNAM 2017
Destruction de l'héritage culturel et Contrebande de Biens Culturels
La valeur des biens culturels est évaluée aux quantités économiques
exorbitantes, pour tel motif, l'UNESCO, l'Interpol et les gouvernements
locaux ont exécuté quelques mesures pour éviter la vente de ces
antiquités sur le marché noir. En 2012 la Direction d'Antiquités et de
Musées Syriens a initié un programme pour évacuer les pièces et pour les
porter aux lieux sûrs.
Pas moins de 1300 objets ont été dérobés sur les sites archéologiques et
les musées de Syrie, selon Interpol et sa «Stolen Works of Art Database»,
liste des œuvres d’arts volées. Selon l’ONU le trafic d’antiquités est la
deuxième source de financement du terrorisme. La résolution 2199
adoptée le 12 février charge d’ailleurs l’Unesco et Interpol de lutter
contre le trafic de biens culturels.**
UNESCO – MONUUNAM 2017
Des actions prises pour l'UNESCO
Le 12 février 2015, les Nations Unies ont adopté la résolution 2199,
interdisant le commerce de biens culturels en provenance d’Irak et de
Syrie, par d’une cinquantaine d’Etats, a renforcé la législation contre le
trafic illicite des antiquités. Ces derniers partagent leurs données avec
l’Unesco, Interpol, les services des douanes, le groupe de travail « Unis
Pour Le Patrimoine », afin de démanteler les filières de ce trafic. Lequel
finance les réseaux djihadistes, comme celui de l’Organisation Etat
islamique au Proche Orient, qui incite aux fouilles sauvages et rétribue les
pilleurs. Deux associations ont été créées par les archéologues, historiens
et philologues qui travaillent sur le Proche-Orient ancien : Shirin
(linkisexternal) (SyrianHeritage in Danger : an International Research
Initiative & Network) et Rashid (ResearchAssessment and Safeguarding of
the Heritage of Iraq in Danger). L’antenne française de Shirin réunie il y a
peu a mis l’accent sur le soutien aux collègues et étudiants syriens en
situation précaire en France, la formation de restaurateurs et
conservateurs pour l’après-conflit, la numérisation des archives des
missions françaises en Syrie, l’analyse des dommages sur les sites
archéologiques et l’expertise sur le trafic d’objets. L’Association for the
Protection of SyrianArchaeology (linkisexternal) publie des informations
régulières sur les sites. L’International Association for Assyriology
(linkisexternal), qui regroupe assyriologues et archéologues du Proche-
Orient, a publié dès août 2014 une déclaration en dix langues sur son site
Internet pour alerter populations et gouvernements sur la situation.
L’association a redessiné l’intégralité de son site Web afin de s’adresser à
un plus large public dans un but pédagogique.**
La directrice générale de l'UNESCO a convoqué une "réunion de crise"
du Conseil de sécurité de l'ONU, après les attaques exécutées contre le
patrimoine culturel. Irina Bokova a déclaré dans un communiqué le
suivant:
UNESCO – MONUUNAM 2017
"Cette attaque est bien plus qu'une tragédie culturelle, c'est
également une question de sécurité parce qu'elle alimente le
sectarisme, l'extrémisme violent et le conflit en Irak".
Le vendredi 24 mars de cette année, à New York, devant le Conseil de
sécurité des Nations Unies, la résolution 2347 en faveur de la protection
du patrimoine a été adoptée à l’unanimité, après les destructions par le
groupe Etat Islamique (EI) des sites antiques de Ninive et Nimroud en
Irak, ou Palmyre en Syrie, Tombouctou au Mali, ou des Bouddhas de
Bamiyan, en Afghanistan, par l'organisation terroriste Al-Qaida en 2001.
C’est la première fois qu’une telle résolution portant exclusivement sur le
patrimoine culturel est votée par le Conseil de sécurité.
L'organisation a déclaré:
“La destruction délibérée du patrimoine est un crime de guerre,
elle est devenue une tactique de guerre pour mettre à mal les
sociétés sur le long terme, dans une stratégie de nettoyage
culturel. C’est la raison pour laquelle la défense du patrimoine
culturel est bien plus qu’un enjeu culturel, c’est un impératif de
sécurité, inséparable de la défense des vies humaines, a déclaré
Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco. Les armes ne sont
pas suffisantes pour vaincre l’extrémisme violent. Bâtir la paix passe
aussi par la culture ; cela passe par l’éducation, la prévention et la
transmission du patrimoine. C’est tout le sens de cette résolution
historique”.
L’éducation est la meilleure arme contre l’ignorance et le barbarisme ;
elle doit s’adresser à tous. Certaines associations, comme Héritage for
Peace (linkisexternal), tentent de sensibiliser les réfugiés dans les camps
en Turquie, en Jordanie et au Liban aux vestiges de leur passé. Cette
ouverture au monde doit aussi se faire chez nous, en France, par le biais
de conférences, films (linkisexternal), livres grand public, animations
UNESCO – MONUUNAM 2017
diverses, expositions… L’enseignement de l’histoire antique du Proche-
Orient, avec l’invention de l’écriture et de la base 60 que l’on utilise
aujourd’hui encore pour la mesure du temps, fait prendre conscience
aux jeunes, quel que soit leur milieu ou leur origine, des racines
communes de leur histoire. Les monuments et objets culturels sont le
socle de l’identité des groupes et des individus. Si vous voulez blesser au
cœur une société ou une nation ou effacer son existence de la mémoire
historique, son patrimoine culturel est une proie de choix. La grande
inquiétude est qu’il n’existe pas actuellement de concept de protection
opérationnelle en vigueur sur la base d’une coopération et d’une
coordination internationale.
Les obligations légales et les sanctions judiciaires ne sont pas
suffisamment mises en œuvre et appliquées – ainsi, les crimes de guerre
culturels devaient faire l’objet de poursuites du Tribunal pénal
international. Pouvons-nous arrêter la destruction de notre patrimoine
culturel commun au Moyen-Orient? Cela est difficile à dire mais nous
devons plus que jamais, et l’Europe plus spécialement, résister au
démantèlement de notre identité partagée, et devenir proactifs.