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v Faune sauvage Aménagements pour la perdrix : résultats d'une enquête régionale Pierre Mayot* Les difficultés que rencontrent les populations de perdrix grises en France incitent les chasseurs à se mobiliser. Bilan des efforts réalisés dans dix régions. in ' \ ^.}"`l' 'ïfîzîi Öí \M . , _ aj .r ._.._.- -«fr .*,› _×v ~; =L`*1*;«-'W l S? tv fg: V **`ï“<' -. 13 \ÎÊ *:7l#l?"'*:/*'-fl'/ff V' »..<f~rÎ'-`›~ f/;*;›` *1'..» .**°×*'_å¿*~“*,«,:“*f¢¿ 4 1 ' J f ,J , ¢.(.1*-*"' *_ f ` - . -'|.«' ` Mi - E. (tif '= * ONC Dírerfimz de ln ref/1err›'1f et flu 11'e'urIopper›Iz*›11 - CNER/l Pnírefizr/m' sf?/erzlnilr de p/nine 28 L1: BULLETIN MENSUEL DE L'0H=|cE NA'r1oNAL DE LA CHASSE n°249 DÉCEMBRE 1999 u z o X 2 o E E 9 .3

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Faune sauvage

Aménagements pourla perdrix : résultatsd'une enquête régionalePierre Mayot*

Les difficultés que rencontrent les populationsde perdrix grises en France incitent leschasseurs à se mobiliser. Bilan des effortsréalisés dans dix régions.

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* ONC Dírerfimz de ln ref/1err›'1f et flu 11'e'urIopper›Iz*›11 - CNER/l Pnírefizr/m' sf?/erzlnilr de p/nine

28 L1: BULLETIN MENSUEL DE L'0H=|cE NA'r1oNAL DE LA CHASSE n°249 DÉCEMBRE 1999

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Nli F.NQUF.TF. sur les aménage-ments réalisés en faveur de laperdrix grise a été lancée en1997 dans la moitie' nord de la

France. Plusieurs types d`aménagements ontété pris en compte : Fagrainage, la planta-tion de haies, l`implantation de jachères«environnement faune sauvage» et l`implan-tation de cultures à gibier' ou de bancles-abri.Une fiche d`enquête a été envoyée a trenteFédérations départementales des chasseurs(FDC). Vingt-neuf cl'entre elles ont répon-du. Les informations transmises par deuxFDC ne correspondaient pas précisémentau questionnaire et n'ont pu être intégréesau bilan. Des compléments d`inFormationont été obtenus pour plusieurs territoiresauprès du service technique de chaqueFDC, entre les mois de septembre 1997 etnovembre 1998.

Des informations portant notamment surles raisons de la mise en place des aménage-ments, la limitation cles prédateurs ainsi quedes données sur la dynamique des popula-tions de perdrix ont également été deman-dées. La plupart des territoires abritaientuniquement des perdrix grises autochtones.Pour quelques-uns (clans le Cher, l'[ndre, la

Mayenne et le Maine-et-Loire), des perdrixrouges étaient aussi présentes.

Limites de Penguête

Cette enquête ne se veut pas exhaustivedans la mesure où les FDC disposent prin-cipalement d`informations pour les terri-toires qui bénéficieiit de subventions oudemandent des conseils techniques. ll estmalgré tout peu probable qu'un nombreimportant de territoires bien aménagésifaient pas été signalés. En revanche, clenombreux terrains où les actions sont peudéveloppées :font sans doute pas été men-tionnés. Mais la mise en place de quelquesagrainoirs, l`implantation de quelques aresde cultures ou de jachères peuvent-elles êtreréellement considérées comme un aménage-ment ? Certains aménagements complé-mentaires comme l'implantation cl'engraisvert, la réduction volontaire de la taille desparcelles ou la plantation de bosquets nefiguraient pas au questionnaire et ontquelques fois été mentionnés en observa-tion. Cette lacune ifa semble-t-il pas limitéle nombre de réponses, d`autant que généra-

lement ils ne sont pas réalisés en dehors desaménagements concernés par l'enquête.

De ce fait, le résultats présentés sont plu-tôt représentatifs des territoires les mieuxaménagés, qui totalisent environ 5 a 10%des surfaces utilisées par la perdrix dans lesdépartements enquêtés.

Nombre de terrainset superficie concernée

Les données de 485 territoires ou groupe-ments, situés dans 27 départements apparte-nant à 10 régions administratives, ont étéanalysées. Le nombre de territoires étudiésest compris entre 1 et 96 par département,1 et 156 par région administrative.

Uensemble des territoires représente envi-ron 502 000 ha de plaine. La superficiemoyenne cliun territoire est de 1055 ha.Dans le détail, 49% ont moins de 500 ha,52% entre 500 et 1 000 ha et 19% plus de1000 ha, et même parfois plus de 5 000 ha.Les données sont analysées par région admi-nistrative et par département. Les tendancessont calculées pour 1 000 ha, surface prochede la moyenne observée.

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Aménagements pour la perdrix : résultats d'une enquête régionale

Tableau 1 : Moyenne par type des aménagements mis en place par réglon dans la moitié nord dela France (n = nombre de territoires).Les moyennes sont calculées soit pour /ensemble des territoires enquêtés (E), soil seulement pour les territoires où le type cfaménagement est présent (P).

RégionsAgrainoirs Haies Jachères faune sauvage Culture ou bandes-abri/1000 ha l 1 000 ha (en mètres) / 1 000 ha (en hectares) I 1 000 ha (en hectares)

E P E P E P

Nord-Pas-de-Calais 102n = 67

273 1494 3,4 8,8 1,5 4,9

Picardie 76n = 59

642 930 3.2 ` 5,5 0,9 1,8

Cham pagne-Ardenne 37n = 156

598 790 0,3 8,4 0,3 0.8

Bourgogne 22n = 15

218 456 1,1 1,60 0,5 1,08

Centre 50n = 73

1025 2400 8,2 14, 5 2,1 3,7

Haute-Normandie 48n = 32

947 1221 1,5 2,1 1,4 2,2

lle-de-France 60n = 55

184 1318 2,6 14,1 2,7 5,1

Basse-Normandie 20n = 21

208 282 1,4 2,4 0,5 2

Pays de Loire 12n = 6

600 600 2,1 2,2 0,01 0,3

Auvergne 26n = 1

952 952 11,6 11,6 0,7 0,7

Uagrainage

Les dispositifs d'agrainage sont générale-ment constitués soit d'une tôle-abri et d'unbidon parfois associé à un buisson, soit uni-quement d`un seau ou d'une bouteille rem-plie de grains. Uagrainage a été mentionnésur 99% des territoires. Dans 26% des cas,il représente le seul aménagement mis enplace. Dans quatre régions : Picardie, Nord-Pas-de-Calais, Champagne, et Bourgogne,Fagrainage seul est particulièrement répan-du. En Bourgogne, il représente 37.5% desaménagements. Le nourrissage est pratiquétoute l'année dans 62% des cas. Destiné enpriorité aux perdrix, il profite parfois aussiaux faisans. La densité moyenne est de 47dispositifs d'agtainage pour 1 000 ha. Laplus forte concentration est observée enNord-Pas-de-Calais (102 agrainoits/100ha) et la plus faible en Pays de Loire (12 à13/100 ha). En Nord-Pas-de-Calais etPicardie un complément d'alimentation estparfois Fourni aux jeunes perdrix.

Une densité d'un agrainoir par coupleprésent au printemps est souvent considéréecomme nécessaire pour aider efficacementles populations de perdrix. Cette enquêtemontre que celle-ci est de l'ordre de 1 à 10agrainoirs au maximum par 100 ha, pourdes densités de perdrix supérieures à 10couples/ 100 ha dans environ la moitié desterritoires. Aussi, la densité «efficace»cfagrainoírs n'est-elle atteinte probablementque sur très peu de territoires.

La jachère«environnement faune sauvage»

Ce type de jachère est présent sur 32%des territoires et sur l'ensemble des régionsadministratives. Dans quelques départe-ments (Ardennes, Yvelincs, Saône-et-Loire)elle \fest pas signalée sur les terrains aména-gés. La jachère «environnement Faune sauva-ge» est présente sur plus de la moitié des ter-rains dans quatre régions : Picardie,

Bourgogne, Basse-Normandie, Pays-de-Loire et sur le seul territoire du départementde l'A|lier.

La densité moyenne atteint 2,7 ha pour1000 ha. Elle varie selon les régions de 0,30ha aux 1000 ha en Champagne-Ardenne à8,20 ha dans le Centre, et même ll ha enAuvergne, mais sur un seul terrain. Si l'onne tient compte que des superficies de plai-ne où elle est présente, la densité moyennes'e'lève à 6,3 ha et elle varie de 2,2 ha en Paysde Loire à plus de 14 ha en région Centre etlle de France.

Les mélanges trèfle-ray grass et luzernedactyle sont le plus souvent cités (42%),suivis de près par l'association maïs-sorghoou millet-sorgho (moins fréquemmentpour ce dernier). Le semis avoine-cl1oux-sarrasin, moins souvent mentionné repré-sente 14% des cas. Les parcelles luzerne-dactyle, trèfle-ray grass sont généralementd'une superficie supérieure aux autresjachères «environnement Faune sauvage››.

30 LE BULLEHN MENSUEL DE L'0Er|cE NATIONAL DE LA cnAssE n°249 DÉcEM|mE 1999

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Une densité d'uu agrainoir par coupleprésent au printemps est .souvent

conaideree comme necessaire pour aiderebbicacement les populations de perdrix.

Les bandes-abriet les cultures à gibier

Elles sont mentionnées sur l`ensentble desrégions, dans 23 des 27 départements. Elless`e'tendent en moyenne sur 0,9 ha pour1000 ba. Cette densite' s'éléve à 2,3 ha, sil'on ne tient compte que des territoires oùelles sont installées.

Ce sont les régions lle-de-France et Centrequi en accueillent le plus avec respectivement3,1 et 2,1 ha aux 1 000 ha. Ces superficiesatteignent 5,7 et 5,7 ba en moyenne sur lesseuls terrains qui en possèdent.

Il faut remarquer que la proportion dessuperficies consacrées aux cultures à gibier,bandes-abri et jacbère «environnementfaune sauvage» reste faible. Elle ne dépasse1% en moyenne qu'en région Centre. Cettevaleur est ge'ne'ralement considérée commele minimum nécessaire pour modifier ladynamique diune population de perdrix. Sil`on ne considère que les terrains où ces cul-tures sont toutes présentes, et ils ne sont pastrès nombreux, cette proportion atteint1,8% dans le Centre, 1,3% dans le Nord-Pas-de-Calais et 1,9% en lle de France.

Les haies

Elles ont été plantées ou replantées dansl`ensemble des régions et sur 39% des terri-toires. Selon les régions, leur longueurmoyenne pour 1000 ha varie de 208 men Basse-Normandie à 1 025 m en régionCentre. La moyenne générale se situe à582 m.

Si l'on ne considère que les terrains oùces éléments linéaires sont installés, lamoyenne est comprise entre 284 m enBasse-Normandie et 2400 m dans le Centre.La moyenne générale se situe alors à 893 m.Les maxima enregistrés atteignent ou dépas-sent 10 O00 m pour 1000 ha sur quelquesterritoires (Centre, Picardie, Champagne-Ardenne).

Ifassociation des aménagements

Trois types d'aménagement sont présentssur 29% des territoires. Cette triple associa-tion représente 31,5% des territoires enrégion Centre, 42% cn Picardie, 47%en Haute-Normandie, 55% en Basse-

Aménagemenis pour la perdrix : résultats d'une enquête régionale

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Normandie, et même 85% en Pays de Loire,mais pour un nombre total de territoiresfaible.

Pour 7% des territoires, quatre typesd'aménagements sont mis en place : agrai-nage, haie, jacltère «environnement faunesauvage››, bandes-abri ou culture à gibier.Cyest en Bourgogne que cette dernière situa-tion est la plus fréquente (260/o des cas),alors que clans les autres régions elle nedépasse pas 15% des cas.

Parmi les associations possibles, celle quirassemble « agrainage - baie - bandes-abri ouculture à gibier ›› est la plus fréquemmentrencontrée avec 44% des cas. Celle réunis-sant «agrainage - jacliere - bandes-abri ouculture à gibier» représente 35% des cas.Enfin, l`association «agrainage - haies -jacltères» concerne 23% des cas.

Une analyse complémentaire portant sur

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581 terrains (analyse factorielle avec sixvariables croisées : les quatre types d`aména-gement, Pimportance du piégeage et la pré-sence de lâchers de perdrix) montre quiuneforte intensité de piégeage est associée avecun fort agrainage et la mise en place denombreuses jachercs «environnement faunesauvage››. Les efforts portant sur les deuxdernières mesures vont souvent de pair. Demême, la plantation de haies est souventassociée à l'implantation de jachères faunesauvage, et vice-versa.

L`association privilégiée de plusieurs typesd`actions ou d'ame'nagements, notammentquand le piégeage ou Vagrainage sontimportants, montre que ces interventionsrésultent souvent d'une volonte' localed`amc'liorer la situation de la perdrix partous les moyens envisageables et en utilisantles possibilités d'aides ou de subventions.

LE Burrrtm Mensuel. ne L'0rrtcE Mrtouat. me LA cimssr n°249 Dfcrntmz 1999 31

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Aménagements pour la perdrix : résultats dune enquête régionale

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Motivation de Paménagement Les nouvelles possibilités

Dans 75% des cas, l'installation d`aména-gements fait suite à la baisse de la popula-tion de perdrix et dans 71%, à la faiblessedes prélèvements réalisés. Dans 16% dessituations, ces aménagements répondent àune opération de remembrement. Une bais-se d'effectifs de perdrix associée à une fai-blesse des prélèvements est citée plus d`unefois sur deux (56%) comme motivationprincipale de lieffort diaménagement.Lorsqtfun remembrement est mentionné, ilest associé trois fois sur quatre à la baisse deseffectifs de perdrix, et dans une moindreproportion a sa stagnation. Des raisonsdiverses ont aussi été invoquées : la créationd'un CIC, une opération départementale(Ste Catherine), l'implantation de faisans,voire le lâcher de perdrix.

Lâchers de perdrix

Des lâclters de perdrix sont signalés pour41% des territoires. il sia it uel uefois deC1 qrepeuplements récents ou datant de quelquesannées, mais le lus souvent de erdrixProuges (dans une moindre proportion, deperdrix grises) lâcltées en période de chasse.

tïaménagement accordéesaux agriculteurs dans le cadre

des contrats territoriaux d'exploitationdevraient inciter les gestionnaires

à démultipiier les eflrortsdéjà entrepris.

Cela confirme les difficultés rencontréespar les gestionnaires de territoires de plainequi, pres de trois fois sur quatre, aménagentpour remédier à la baisse des populations deperdrix.

Limitation des prédateurs

La limitation des prédateurs est considé-rée comme faible sur 28% des secteurs,moyenne et forte sur 56%. Dans 41% dessituations, on a jugé qtfelle a été renforcéeen même temps ou suite à l`ame'nagement.

En Picardie, elle a été jugée forte sur 72%des terrains et dans le département du Nordsur 50%. Elle a été renforcée en raison defaménagement plus de trois fois sur quatreen Picardie et pres de deux fois sur trois dansle Nord.

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Des efforts à poursuivre

Les résultats montrent que des efforts ontété consentis pour améliorer la situation desperdrix grises sur de nombreux territoires. Sices actions sont encourageantes, elles sontmalgré tout insuffisantes et trop limitéespour être efficaces à grande échelle. ll fautsouhaiter que les conclusions de l'étudenationale «Perdrix grise››, conduite parl'ONC, PUNFDC et des Fédérationsdépartementales des chasseurs (cf. Bulletinmensuel de l'ONC, n°240, janvier 1999),ainsi que les nouvelles possibilités d`aména-gement accordées aux agriculteurs dans lecadre des contrats territoriaux d`exploitationinciteront les gestionnaires à démultiplier lesefforts déjà entrepris pour améliorer le statutdes populations de perdrix grises sauvages. I

RemerciementsCette enquête rr étépossible grâce à lacollaboration des services tec/mique: desFédératíom a'e:1m1~tenzent/iles des c/Jasseimdes ré ions concernées. Nos rerirerciements5s'¢u1'resseut e' alement aux zz *ículteurs etS'ge.rti01mnires de terrimires pour leur aidepre'ciett.te :falls la collecte des darzrrées,ainsi qtfà Frmzçoís Reítz, pour son :lidedarts le traitement statistique des données.

32 LE BULLETIN MENSUEL DE i.'0EEtcE Nsnousr DE LA CHASSE n°249 DECEMBRE 1999