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Photo de la semaine Mivtsaïm à Rami Lévi (Talpiot) Horaires de Chabbat à Jérusalem Chabbat Parachat Pékoudei : Entrée : 17h08 - Sortie : 18h21 Yé’hi Adoneinou Moréinou VéRabénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd ! www.viveleroi770.com Vidéos inédites, Dvar Mal’hout et articles en français N°301 - Hebdomadaire - Chabbat Parachat Pékoudei Edition française - [email protected] - www.viveleroi770.com - 058-4770055 BH Bonnes Nouvelles Traductions Hébreu/Français [email protected] 053-2770419 Recevez chaque semaine la Newsletter de la Guéoula sur votre téléphone Menou’ha Ra’hel 058-4770055 La Guéoula, un effet de réaction en chaîne… La grisaille du quotidien est souvent le théâtre de scènes familiales imprévues et un homme (ou une femme) peut rester ob- nubilé par un mot ou une tirade qui a été lancé contre lui. Dans un tel cas, les fonde- ments de ce qui constitue la confiance et la sécurité de la famille subissent une fissure. Et lorsque cela se reproduit à maintes re- prises, le résultat est prévisible, c’est la fuite ou l’éclatement de la cellule familiale. Phénomène, on ne peut plus commun dans la société actuelle… La solution que l’on adopte le plus souvent est « la transgression des habitudes », c’est à dire, que l’on propose aux gens qui subissent ce type de crises, une évasion du cube dénommé par le passé « métro-boulot-dodo » (sortir en famille ou en couple, voyager, etc.). On retrouve même, malheu- reusement, ce processus au sein de la famille Juive qui, elle, devrait par la pratique de la Torah et des Mitsvot être exempte d’un tel exil du quotidien, car la Torah nous enseigne un mode de vie tout à fait original et régénérant, ou le « cube des habitudes » est sans cesse brisé par des fêtes, par les Chabbats, par l’intervention des Mitsvot tout au long de la journée, du mois, de l’année. Mais aujourd’hui, la Torah, elle-même, devient une seconde nature et le cube dans lequel on vit est juste un peu plus spa- cieux, mais le syndrome est le même ! Le Baal Chem Tov a enseigné pour palier à tout cela une nouvelle lecture de la Torah qui prend en compte les grands problèmes psychologiques que vont subir les générations qui approchent de la fin de l’exil. Mais il fallait par la suite sans cesse de nouveaux remèdes à chaque génération, de nou- veaux dévoilements d’autres aspects de cette ‘Has- sidout, jusqu’à ce que se lève la notre, la neuvième génération (à compter du Baal Chem Tov) où la septième (à compter de l’Admour Hazaken, fon- dateur de la ‘Hassidout ‘Habad) et cette génération a été définie par le septième Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h comme étant la dernière génération de l’exil. Or cet exil est à présent terminé et chacun peut en faire l’expérience en ouvrant les yeux sur l’enseignement du Dvar Mal’hout qui nous an- nonce que nous sommes surtout la première gé- nération de la délivrance. Ce qui est donc fondamentalement différent en ces temps nouveaux, c’est que tout est plus facile et notamment les communications. On accède im- médiatement à l’autre sans délai d’aucune sorte. Un Juif peut alors décider instantanément de par- ler à son prochain et de faire la paix avec lui. Dans ce cas, s’il a fait le Chalom avec son ami, l’harmo- nie qui résidera entre eux s’étendra vers un autre Juif, un troisième avec qui l’un des deux fera aussi la paix. Le troisième en fera de même et ainsi de suite car la faculté de l’harmonie et du Chalom est de se répandre jusqu’à ce que tous les Juifs vivent en paix et le Machia’h sera visible pour tous, la dé- livrance apparaîtra à l’évidence, le Beit HaMik- dach descendra du ciel, et un cri de joie, un long cri de soulagement et de bonheur sortira de toutes les gorges. Et tous les rangs de l’immense armée de toutes les Juifs de tous les temps se regroupe- ront autour du Méle’h HaMachia’h pour dire et crier ensemble : « Ye’hi HaMele’h HaMachia’h ! » Marathon à Savion Vendredi dernier a eu lieu pour la deuxième année consécutive, un grand marathon en souvenir du Soldat Omer 'Hay (que D.ieu venge son sang), en présence de deux milles personnes. Le Chalia'h local, Rav Yossef Méïr Cohen, a eu l'initiative de monter à cet occa- sion un stand de Téfi- lines et de Mivtsaïm. Plus d'une centaine de Juifs ont récité le Chéma avec les Téfi- lines à cette occa- sion. (CI) Grande Première aux Tsivot Hachem Un voyage historique aura lieu très prochaine- ment en cette année du Hakel. Un Tank des Tsivot Hachem fera une apparition dans tous les Talmoudei Torah de Terre Sainte, afin de rassembler tous les enfants (les soldats des Tsivot Hachem), les réjouir et participer à un Hakel très spécial. A cette occasion, les en- fants pourront s'inscrire à prix ré- duit pour la Grande Journée des Tsivot Hachem. (CI)

Vive le roi Machia'h n°301

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Spécial Kountrass Beit Rabbénou She Be Bavel Un numéro spécial consacré à la résidence de la Che'hina ! Infos et bonnes nouvelles. Bienvenue dans le monde de la Guéoula...

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Photo de la semaineMivtsaïm à Rami Lévi (Talpiot)

Horaires de Chabbat à JérusalemChabbat Parachat Pékoudei : Entrée : 17h08 - Sortie : 18h21

Y é ’ h i A d o n e i n o u M o r é i n o u V é R a b é n o u M é l e ’ h H a M a c h i a ’ h L é o l a m V a è d !

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La Guéoula, un effet de réaction en chaîne…

La grisaille du quotidien est souvent lethéâtre de scènes familiales imprévues etun homme (ou une femme) peut rester ob-nubilé par un mot ou une tirade qui a étélancé contre lui. Dans un tel cas, les fonde-ments de ce qui constitue la confiance et lasécurité de la famille subissent une fissure.Et lorsque cela se reproduit à maintes re-prises, le résultat est prévisible, c’est lafuite ou l’éclatement de la cellule familiale.Phénomène, on ne peut plus commun dansla société actuelle…

La solution que l’on adopte le plus souvent est « latransgression des habitudes », c’est à dire, que l’onpropose aux gens qui subissent ce type de crises,une évasion du cube dénommé par le passé« métro-boulot-dodo » (sortir en famille ou encouple, voyager, etc.). On retrouve même, malheu-reusement, ce processus au sein de la famille Juivequi, elle, devrait par la pratique de la Torah et desMitsvot être exempte d’un tel exil du quotidien, carla Torah nous enseigne un mode de vie tout à faitoriginal et régénérant, ou le « cube des habitudes »est sans cesse brisé par des fêtes, par les Chabbats,par l’intervention des Mitsvot tout au long de lajournée, du mois, de l’année. Mais aujourd’hui, laTorah, elle-même, devient une seconde nature etle cube dans lequel on vit est juste un peu plus spa-cieux, mais le syndrome est le même !

Le Baal Chem Tov a enseigné pour palier à toutcela une nouvelle lecture de la Torah qui prend encompte les grands problèmes psychologiques quevont subir les générations qui approchent de la finde l’exil. Mais il fallait par la suite sans cesse denouveaux remèdes à chaque génération, de nou-veaux dévoilements d’autres aspects de cette ‘Has-sidout, jusqu’à ce que se lève la notre, la neuvièmegénération (à compter du Baal Chem Tov) où laseptième (à compter de l’Admour Hazaken, fon-dateur de la ‘Hassidout ‘Habad) et cette générationa été définie par le septième Rabbi Chlita Méle’hHaMachia’h comme étant la dernière générationde l’exil. Or cet exil est à présent terminé et chacunpeut en faire l’expérience en ouvrant les yeux sur

l’enseignement du Dvar Mal’hout qui nous an-nonce que nous sommes surtout la première gé-nération de la délivrance.Ce qui est donc fondamentalement différent en cestemps nouveaux, c’est que tout est plus facile etnotamment les communications. On accède im-médiatement à l’autre sans délai d’aucune sorte.Un Juif peut alors décider instantanément de par-ler à son prochain et de faire la paix avec lui. Dansce cas, s’il a fait le Chalom avec son ami, l’harmo-nie qui résidera entre eux s’étendra vers un autreJuif, un troisième avec qui l’un des deux fera aussila paix. Le troisième en fera de même et ainsi desuite car la faculté de l’harmonie et du Chalom estde se répandre jusqu’à ce que tous les Juifs viventen paix et le Machia’h sera visible pour tous, la dé-livrance apparaîtra à l’évidence, le Beit HaMik-dach descendra du ciel, et un cri de joie, un longcri de soulagement et de bonheur sortira de toutesles gorges. Et tous les rangs de l’immense arméede toutes les Juifs de tous les temps se regroupe-ront autour du Méle’h HaMachia’h pour dire etcrier ensemble : « Ye’hi HaMele’h HaMachia’h ! »

Marathon à SavionVendredi dernier a eu lieu pour la deuxièmeannée consécutive, un grand marathon ensouvenir du Soldat Omer 'Hay (que D.ieuvenge son sang), en présence de deux millespersonnes. Le Chalia'h local, Rav Yossef MéïrCohen, a eu l'initiative de monter à cet occa-sion un stand de Téfi-lines et de Mivtsaïm.Plus d'une centainede Juifs ont récité leChéma avec les Téfi-lines à cette occa-sion. (CI)

Grande Première aux Tsivot HachemUn voyage historique aura lieu très prochaine-ment en cette année du Hakel. Un Tank desTsivot Hachem fera une apparition dans tousles Talmoudei Torah de Terre Sainte, afin derassembler tous les enfants (les soldats desTsivot Hachem), les réjouir et participer à unHakel très spécial. A cette occasion, les en-fants pourronts'inscrire à prix ré-duit pour la GrandeJournée des TsivotHachem. (CI)

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« Rabbi Its’hak estime : « Cela fait référenceaux synagogues et aux maisons d’étude de Ba-bylone ». Rabbi Eléazar pense : « Il s’agit deBeit Rabbeinou, la maison de notre maître » [2] Ces deux interprétations sont-elles contradic-toires ? Quel est le rapport entre les sanctuairesminiatures de Babylone et le Beit HaMikdach,le Temple de Jérusalem ? Depuis sa destruc-tion, quel est le facteur qui conduit la PrésenceDivine à choisir de résider dans des sanctuairesparticuliers ? Comment toute cette discussiontalmudique trouve-t-elle application dans notregénération, à la veille de la Délivrance ? Atoutes ces questions, et à beaucoup d’autres,ce chapitre apporte des réponses.

Un foyer loin de chez soiUn des ‘hassidim du Admour HaEmtsaï [3], RavAvraham Dov Bèr de Babroïsk, a décrit [4] lepremier voyage qu’il fit à Loubavitch, alors qu’iln’avait que six ans. En des termes vivants et in-tenses, il raconte les moments émouvants qu’ilvécut, ses rencontres avec le Rabbi et les ‘has-sidim. C’est la joie éclatante que ceux-ci manifestaientqui l’impressionna peut-être plus que touteautre chose. Il en demanda la raison à son pèrequi lui répondit en lui parlant du Beit HaMik-dach, le Temple de Jérusalem. Ceci ne fit quesusciter un étonnement croissant chez l’enfant.Comment les ‘hassidim pouvaient-ils se réjouiravec un tel enthousiasme alors que, justement,le Beit HaMikdach était toujours détruit ? Avec toute la compréhension d’un éducateuraccompli, son père lui laissa le temps de mûrirla question, puis il lui expliqua sur un ton à lafois serein et chaleureux : Jusqu’à ce que D.ieu nous montre Sa miséri-corde, qu’Il nous envoie Machia’h... et recons-truise Jérusalem et le Beit HaMikdach...,Loubavitch est notre Jérusalem, la synagoguedu Rabbi est notre Beit HaMikdach..., le Rabbiest l’Arche Sainte qui contient les Tables de laLoi. Ce sont là des sentiments qu’un père par-tagea avec son fils en un moment particulière-ment fort. Mais cela s’arrête-t-il là ? Existe-t-ilun fondement dans la Torah à de telles décla-rations ?

Près des fleuves de BabyloneTrès significativement, le prophète Yé’hézkel(Ezéchiel) exprime des idées analogueslorsqu’il entreprend de consoler les Juifs exilésà Babylone en leur transmettant la Parole deD.ieu [5] : « Ainsi a parlé l’Éternel : Bien que Jeles ai dispersés dans les pays, Je serai poureux un sanctuaire en microcosme (MikdachMéat) dans les pays où ils sont venus ». Commentant ce verset, nos Sages [6] propo-sent deux interprétations à l’expression « sanc-tuaire en microcosme » : « Rabbi Its’hakestime : « Cela fait référence aux synagogueset aux maisons d’étude de Babylone ». RabbiEléazar pense : « Cela fait référence à Beit

Rabbeinou (« la maison de notre maître »,c’est-à-dire, à cette époque, le Sage que l’ondésignait sous le simple nom de Rav [7]) à Ba-bylone ». Par ailleurs, et dans le même sens,nos Sages déclarent [8] : « Partout où les Juifsfurent exilés, la Présence Divine les accompa-gna ». Cette phrase ne laisse pas que d’être unpeu étonnante. En effet, ne nous est-il pas en-seigné que « toute la terre est pleine de Sagloire » [9]. C’est dire qu’il n’existe aucun en-droit vide de D.ieu. Dès lors, que peut signifierl’affirmation que la Présence Divine accom-pagne le peuple juif en exil ? [10] La suite du texte cité éclaire, cependant, sonsens réel. Ainsi, les Amoraïm, les Sages dutemps, désignent certaines synagogues de Ba-bylone où l’on pouvait, sans méprise, percevoirla Présence de D.ieu, à l’instar, quoiqu’en mi-crocosme, de la révélation constante qui se pro-duisait dans le Beit HaMikdach, le Temple deJérusalem. Dans ces lieux précis, la Divinité nese trouvait pas cachée, ce qui est pourtant, entout état de cause, le cas de l’univers entier. Elley était manifestement perceptible.

La résidence de D.ieu dans ce mondeDans le droit fil de l’idée développée ci-dessus,il apparaît qu’en fait les opinions de RabbiIts’hak et de Rabbi Eléazar divergent seulementsur l’accent qu’ils y mettent mais pas sur lefond. Il est clair que Rabbi Eléazar souscriraitvolontiers à l’idée que la Présence Divine rési-dait dans toutes les synagogues de Babyloneet que Rabbi Its’hak, de son côté, admettraitsans difficulté que Sa manifestation la plus évi-dente se trouvait dans Beit Rabbeinou. Qu’avait donc de particulier Beit Rabbeinou, lamaison d’étude de Rav ? Elle était le centre de

la Loi Juive pour l’ensemble du monde. Et cecaractère est essentiel. En effet, commentantle verset [11] « D.ieu aime les portes de Sionplus que toutes les demeures de Jacob », nosSages déclarent [12] : « D.ieu aime les portesde ceux qui se distinguent dans le domaine dela hala’ha (la Loi Juive) plus que les syna-gogues et les maisons d’étude..., car, du jour oùle Beit HaMikdach a été détruit, D.ieu n’a plus(de lieu de résidence) dans ce monde que lesquatre coudées de la hala’ha ». L’un des grands commentateurs du Talmud, leMaharcha, explique que la manifestation de laPrésence Divine dans le Beit HaMikdach étaitintrinsèquement liée au fait que s’y trouvait lesiège du Sanhédrin, la plus haute cour de jus-tice du peuple juif, l’autorité suprême en matièrede hala’ha. Or, dans la mesure où cette Pré-sence se manifeste dans « les quatre coudéesde la hala’ha », c’est là où se trouve le Sage dutemps qui assume cette fonction, que D.ieu ré-side. La formule « sanctuaire en microcosme »est, par conséquent, une description parfaite-ment appropriée de Beit Rabbeinou, la sourcede l’enseignement pour tout ce qui concerne ceque doit être, selon la Torah, notre comporte-ment dans le temps de l’exil.

Le retour de la Présence divineLa suite du passage cité plus haut souligne en-core le lien entre les synagogues d’exil et le BeitHaMikdach [13] : « Quand les Juifs seront libé-rés, la Présence Divine les accompagnera ».Le Maharcha précise le sens de cette phrase.Elle signifie que la Présence Divine ne resterapas dans les endroits où Elle Se révélait pen-dant l’exil, mais qu’Elle retournera en Israëlavec le peuple juif. Nos Sages le décrivent ences termes [14] : « Les synagogues et les mai-sons d’étude de (diaspora) seront installées enIsraël ». Elles se dresseront, d’ailleurs, à proxi-mité immédiate du Beit HaMikdach et la révé-lation Divine qui y apparaîtra les pénétreraégalement [15]. Plus encore, dans la période précédant la Déli-vrance, le Beit HaMikdach existera, comme enavant-première, dans le « sanctuaire en micro-cosme » établi en exil. Car c’est là que Se ré-vélera la Présence Divine, et c’est de là qu’elleretournera en Israël et à Jérusalem [16] avectout le peuple juif.

Une source de lumièreLe récit du ‘hassid, que l’on citait en introduc-tion, prend, à présent, une toute autre dimen-sion. Dans chaque génération, il existe un BeitRabbeinou, « la maison de notre maître » [17],

D v a r M a l ’ h o u tExtraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita - 5751-5752 (1991-1992)

Kountrass Beit Rabbénou Chebébavel - Prononcé les Chabbat Parachat Noa’h 5747-1986 etParchat Pin’has 5751 -1991, le 28 Sivan 5751-1991, ainsi qu’à d’autres occasions

La maison de notre Rav à BabyloneAux exilés assis au bord des fleuves de Babylone, rêvant au Sanctuaire de Jérusalem, alorsprofané, le prophète Yé’hézkel (Ezéchiel) apporta ce message de consolation : « Bien queJe les ai dispersés dans les pays, Je serai pour eux un petit sanctuaire dans les pays où ilssont venus » [1].

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D v a r M a l ’ h o u tExtraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita - 5751-5752 (1991-1992)

un « sanctuaire en microcosme » qui répondaux demandes de la génération et diffuse l’en-seignement de la Torah dans tous les points duglobe. C’est, par excellence, l’endroit où la Pré-sence Divine Se révèle. Cette révélation s’opère en faveur du peuplejuif [18]. Dès lors, c’est dans la maison de songuide, le chef de la génération, que la Traditiondénomme « le cœur de la génération » [19],qu’elle apparaît pendant le temps de l’exil. Cette idée nous permet de prendre la pleinemesure du caractère unique du Beit Rabbeinouétabli par le précédent Rabbi de Loubavitch enAmérique. Aujourd’hui, la plus grande partie du peuple juifvit dans cette région du monde, et c’est là que setrouve l’infrastructure nécessaire à une telle fonc-tion. C’est pourquoi ce pays fut choisi pour rece-voir Beit Rabbeinou, le centre de l’enseignementde Torah pour le monde entier. Il n’est pas anodinque l’Amérique ait été décrite [20] comme « l’hé-misphère inférieur ». C’est dans « l’hémisphèresupérieur » que la Torah fut donnée et c’est notretâche que de la répandre dans l’ensemble dumonde afin d’élever la totalité de l’existant. C’estcette oeuvre de « faire ici la terre d’Israël », pourreprendre l’expression du Tséma’h Tsédèk [21],qui nous prépare au temps où « la terre d’Israëls’étendra au monde entier » [22], lors de l’avène-ment de l’ère messianique.

Le défi de notre générationCe rapport étroit entre le Beit Rabbeinou duRabbi Précédent et la Délivrance se reflètedans le nom même du bâtiment, « 770 ». Eneffet, il s’agit là de la valeur numérique du termehébreu Paratsta, qui signifie « briser (les bar-rières) ». Nous trouvons ainsi, sur le verset re-latif à la naissance de Pérets, l’ancêtre deMachia’h [23], Paratsta alékha perets, un com-mentaire de nos Sages [24] : « Cela fait réfé-rence au Machia’h, comme il est écrit [25] :« Celui qui brise les barrières (Haporets) mon-tera devant eux ». Car c’est bien là la missionde Machia’h : briser les barrières de l’exil et ré-pandre la sainteté dans le monde. Un verset leproclame [26] : « Tu t’étendras (Oufaratsta) versl’ouest, vers l’est, vers le nord et vers le sud ». Le chiffre 7 est relié avec la réalité du monde,qui a été créé en sept jours, les sept jours de lacréation, et c’est aussi en rapport avec la puri-fication du monde par le travail des enfants d’Is-raël, qui sont répartis en sept catégories, lessept niveaux de service de D.ieu, les septbranches de la Ménora, du Candélabre (Likou-tei Torah Bealote’ha). Et selon tout cela, la perfection du chiffre 7 (quiest 770) montre la perfection du travail des en-fants d’Israël qui ont purifié, éclairci le mondepar nos actions et notre travail pendant tout letemps de l’exil, car c’est alors que noussommes délivrés de l’exil et nous retournons enTerre d’Israël.Par ailleurs, le nombre 770 est un multiple duchiffre 7 [27]. Or, nos Sages enseignent [28]que « tous les septièmes sont chéris ». Il a étéégalement expliqué [29] que le caractère pré-cieux du septième d’une série se reflète dansla mission centrale confiée au peuple juif : faire

descendre sur terre la Présence Divine de tellesorte qu’Elle apparaisse aussi manifeste quedans le Sanctuaire. C’est là le rôle assumé parnotre génération, la septième depuis l’AdmourHaZakène [30] : hâter la venue de Machia’h,l’avènement de l’ère où D.ieu Se révélera denouveau aux yeux de tous et plus uniquementen microcosme.

Il ne s’agit pas là d’une promesse lointaine maisbien d’une réalité imminente. Nous sommes auseuil de la Délivrance et même, sans aucundoute, en train de le franchir [31]. Nos Sagesenseignent [32] qu’un Machia’h potentiel existedans chaque génération. Cela implique qu’il vitparmi nous, attendant que nous reconnaissionssa mission et créions dans le monde un climatde nature à lui permettre de l’accomplir. Puisse cela se produire dans un futur immédiat.Alors, tous ensemble, avec les synagogues etles maisons d’étude de diaspora, les « sanc-tuaires en microcosme », nous irons en Israël,à Jérusalem, dans le Beit HaMikdach.

Notes : [1] Yé’hézkel (Ezéchiel) 11:16. Traité talmudique Mé-guilah 29a - [2] Rabbi Douber, le deuxième Rabbi de Louba-vitch - [3] HaTamim, vol. II, p. 124-126 - [4] Loc. cit - [5] Loc.cit - [6] Loc. cit - [7] Voir le commentaire de Rachi, loc. cit - [8]Traité talmudique Méguilah, loc. cit - [9] Yichayahou (Isaïe)6:3 - [10] Voir le commentaire du Maharcha sur le traité tal-mudique Méguilah, loc. cit - [11] Téhilim (Psaumes) 87:2 -[12] Traité talmudique Bera’hot 8a - [13] Traité talmudiqueMéguilah, loc. cit - [14] Ibid - [15] Voir le commentaire du Ma-harcha, loc. cit. C’est sur cette base que ce commentateurclassique explique un enseignement du Midrach selon lequel,à l’ère messianique, le Beit HaMikdach s’étendra à la totalitéde Jérusalem. En effet, puisque toutes les synagogues et lesmaisons d’étude de diaspora seront incluses en lui, l’espacequ’il occupera au sol équivaudra à l’ensemble de la ville - [16]Ce concept permet d’élucider un problème posé par le pas-sage aujourd’hui fameux du Yalkout Chimoni (vol. II, sec. 499)où il décrit la période qui précédera immédiatement la venuede Machia’h. Ce texte indique que Machia’h se tiendra sur letoit du Beit HaMikdach et, s’adressant au peuple juif, procla-mera : « Les humbles, le temps de votre Délivrance est ar-rivé ». Cet épisode présente quelques difficultés. En effet,comme le Rambam (Maïmonide) l’écrit (Michné Torah, Hil’hot

Méla’him [Lois relatives aux rois] 11:4), la construction du BeitHaMikdach sera une des dernières étapes du processusmessianique. Or, il semblerait logique de penser que Ma-chia’h informera le peuple juif de l’occurrence de la Déli-vrance avant que celle-ci soit achevée. Toutefois, ce qui a étédit permet d’apporter un éclaircissement utile : Machia’h setiendra, en fait, sur le toit du « sanctuaire en microcosme »qui existe en diaspora et c’est de là qu’il lancera son messagede Délivrance à l’ensemble du peuple juif. L’expression em-ployée, « le toit du Beit HaMikdach, l’indique d’ailleurs en al-lusion. En effet, comme Maïmonide l’énonce dans les Hil’hotBeit HaBe’hirah (Lois relatives au Temple), le toit du Beit Ha-Mikdach n’était pas consacré. Cela fait allusion à la situationd’exil qui ne présente pas cette qualité de sainteté révélée,détenue uniquement par la terre d’Israël - [17] Le commen-taire de Rachi, selon lequel l’expression « Beit Rabbeinou »désigne la maison de Rav, souligne l’idée développée. Leterme « Rav », qui signifie « Maître », indique que cette dis-tinction lui fut donnée, ainsi qu’a sa maison, non du fait deses qualités personnelles mais bien en tant que guide desJuifs de son temps en matière d’application de la Torah - [18]L’interprétation d’un verset (25:8) de Chémot (Exode) relèvecette idée. Il est écrit : « Vous ferez pour Moi un sanctuaireet Je résiderai dedans ». Le Chelah (69a) note qu’au lieud’écrire Betokho - « dans lui », le verset utilise la formule Be-tokham - « dans eux ». Ce choix implique que la révélationDivine doit, fondamentalement, prendre place en chaque Juif- [19] Voir Rambam (Maïmonide), Michné Torah, Hil’hotMéla’him (Lois relatives aux rois) 3:6. Voir aussi BamidbarRabbah 19:28 : « Le chef (de la génération) représente toutela génération » - [20] Voir le recueil de lettres, Iguerot Kodèch,du Rabbi Précédent, vol. II, p. 492 - [21] Le troisième Rabbide Loubavitch. Voir ibid., vol. 1, p. 485. Voir également le cha-pitre intitulé « Fais ici Eretz Israël » - [22] Yalkout Chimoni,vol. II, sec. 503 - [23] Béréchit (Genèse) 38:29 - [24] AggadatBéréchit, chap. 63 - [25] Mi’ha (Michée) 2:13 - [26] Béréchit(Genèse) 28:15 - [27] Il correspond à dix fois sept et cent foissept. La Kabbale enseigne que nous possédons dix attributsspirituels, chacun se subdivisant par tous les autres, soit dixfois dix égale cent. Dans ce contexte, le nombre 770 reflètele fait que le chiffre sept a imprégné chacune des dimensionsde la personnalité humaine - [28] Vayikra Rabbah 29:11 - [29]Cette idée est également développée dans les commentairesBati LéGani des années 5710 (1950) et 5711 (1951) - [30]Rabbi Chnéour Zalman de Liady, auteur du Tanya, premierRabbi de Loubavitch - [31] Voir le chapitre intitulé « Au seuilde la Délivrance » - [32] Voir le ‘Hatam Sofer, Responsa surle volume ‘Hochèn Michpat du Code des Lois Juives, vol. VI,Responsum 98 ; Sdei ‘Hémèd, Péat HaSadé, Maaré’hèt Alef,principe 70. Voir aussi le chapitre intitulé « Machia’h danschaque génération ».

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L E C A R N E TPour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël BenMercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa SarahBat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonnesanté de: Mercedès Bat Fifine, Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de:Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Ra-phaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine et SylviaHassiba Bat Nissim

Vive le roi !L’acte est essentiel. Il faut achever nos actions et demander«Ad Mataï ?». Il faut proclamer « vive le roi ! » avec le plusgrand empressement et la joie la plus profonde. Noussommes en effet en « Tisma’h » et «Haïm» années se sontécoulées depuis le début du règne du Rabbi. D.ieu se hâteradonc de dévoiler la délivrance. En son temps, le Rabbi disaitqu’il faut «faire briller les boutons». Nous le faisons depuisdes dizaines d’années et ils sont maintenant brillants. Conti-nuer à le faire diminuerait leur beauté. L’empressement ap-partient donc maintenant à D.ieu, qui doit dévoiler ladélivrance, révéler le troisième Temple qui est déjà prêt là-haut et peut donc descendre dès cette nuit. Alors nos yeux dechair, nos âmes vêtues de corps vivront la délivrance.A l’époque du Temple, la journée commençait et s’achevaitpar un sacrifice perpétuel. Actuellement, la prière remplace lesacrifice et la Tseddaka la précède. Nous donnerons doncmaintenant de la Tseddaka qui rapprochera la délivrance. LeMachia’h viendra, en particulier dans cette année de Hakhel.La délivrance sera également par le mérite des femmes ver-tueuses de notre génération qui ont les mêmes âmes quecelles qui sont sorties d’Egypte. Tout ceci se réalisera et, ausens le plus simple, ce sera la délivrance véritable et com-plète, de façon immédiate. (Dvar Mal’hout 2 Nissan 5748)

D v a r M é l e ’ h - P a r o l e s d u r o i

Petites Annonces

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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation del’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina

Histoire de Guéoula

Une histoire de Providence Divine

David Glaser habite à KiryatMala’hie et il nous raconte : « Monparcours habituel lors de mes Mivt-saïm (pose de Téfilines etc.) passepar le sud de la zone industrielle àBeer Touvia. Et lors de ma « tour-née », j’entre, à chaque fois, dansun magasin dans lequel il y a unJuif à qui je mets les Téfilines et ilen éprouve toujours une grandejoie. Les autres, grâce à D.ieu, lesposent seuls. Et c’est donc seule-ment pour lui que je me rends là-bas.

Il y a de cela près d’un mois, lorsqueje suis arrivé sur place, on m’a an-noncé qu’il était souffrant et qu’il neviendrait pas travailler aujourd’hui. Etcomme tout se passe par « Achga’haPratite, par Divine Providence », jecherchais donc la raison de ma venue.Le magasin attenant est un réparateurde pneus automobile et j’y aperçus unpetit groupe de Juifs assis et discutant.Je m’approchai en leur lançant joyeu-sement : « les amis, venez mettre lesTéfilines ! ». Le silence fut rompu parl’un d’eux : « Et bien jevoulais justement lesmettre ». Pendant qu’il li-sait le « Chéma Israël »,je leur distribuai les pros-pectus de la fête de Cha-vouot qui approchait.L’un d’eux, un certainNaty, distingua dans mesaffaires une carte qui comportait lesbénédictions que l’on doit prononcer àla vue du Méle’h HaMachia’h. Appa-remment le titre l’avait intrigué, il pritune carte et demanda : « Cela veutdire que l’on doit prononcer ces béné-dictions lorsque l’on voit le Ma-chia’h ? ». Lorsque je lui répondispositivement, Naty ajouta : « Et à quoiil ressemble ? », je lui dis : « Retournela carte et tu verras ! ». De l’autre côté,on pouvait voir la photo du RabbiChlita avec la mention « Machia’h ».Naty sourit et demanda s’il pouvait ra-conter brièvement une histoire à pro-pos du Rabbi. Je lui souris en retour etdis : « et même une longue histoire situ veux ! ». Puis, Naty relata : « J’ai unami dont le travail consistait à être legarde du corps de personnages pu-bliques, de célébrités. Tout son corpsest constitué de muscles, taillé dans leroc, 240 kilos, en bref un géant. Unjour, lors d’une chaude journée d’été,alors que nous étions installés à la ter-rasse d’un café, mon ami entrouvrit sachemise pour s’aérer un peu. Je fusstupéfait d’observer sur sa poitrine descicatrices d’un taille peu commune.

Celui-ci vit mon étonnement et memontra le même genre de plaies auxbras et aux jambes. « Tu veux savoircomment cela m’est arrivé ? » me de-manda t-il. Et sans attendre ma ré-ponse, il poursuivit : « Il y a quinzeans, j’habitais en Floride et là, je tra-vaillais comme maître-nageur sur l’unedes plages. J’étais, alors, complète-ment déconnecté de tout Judaïsme.La seule ambition que j’avais dans cedomaine, était de rencontrer le Rabbide Loubavitch.Un jour, alors que j’étais en moto, rou-lant à 250km/heure, j’eus une collisionfrontale avec un camion. La moto futlittéralement désintégrée, et mon corpscomplètement disloqué… Mes bras etmes jambes se sont tout simplementséparés de mon corps et ont été proje-tés à une bonne distance du lieu del’accident. A ma grande stupéfactionj’observais toute la scène d’en-haut.Soudain, un véhicule stoppa juste der-rière les lieux. Deux ‘hassidim de‘Habad en descendirent immédiate-ment pour prêter assistance, virent machaîne avec une grande étoile deDavid et contactèrent les autorités etservices d’urgence. D’un coup, monâme fut comme aspirée vers le haut etje me retrouvais devant le tribunald’en-haut, là, tout était sombre et terri-

fiant. Je rencontraisdes membres de mafamille qui avaientdéjà quitté cemonde-ci. Les mem-bres du tribunalavaient l’aspect deRabbanim, vêtus denoir. Ils m’appelèrentd’une manière sé-

rieuse et commencèrent à énumérermes fautes. C’est alors que je me misà fondre en larmes sans pouvoir enmaîtriser le flot. Soudain, je vis sur lecôté une porte qui s’ouvrit, puis je pusvoir, face à moi, le Rabbi de Louba-vitch qui se dirigeait vers le tribunal. Ils’installa à la tête du Beit Din ets’adressa à moi : « Est-il vrai que vousétiez maître-nageur ? », c’est à peinesi j’arrivais à confirmer par un mouve-ment de tête. Il poursuivit et me de-manda : « Est-il vrai qu’il vous estarrivé de sauver la vie d’un Juif ? », làaussi je répondis faiblement par l’affir-mative. Le Rabbi Chlita Méle’h HaMa-chia’h répliqua, alors : « Chaquepersonne qui fait vivre un membre duPeuple Juif, est considéré comme s’ilavait fait exister un monde dans sonensemble : vous resterez donc envie ! ». En une fraction de seconde, je m’éveil-lais dans un lit d’hôpital alors que lesmédecins avait déjà désespéré demon sort. Mon rétablissement ne futpas si simple, mais, grâce à D.ieu, j’aireçu ma vie en cadeau »… (Traduit dela Si’hat HaGuéoula)

High Tech (IHT)

Israël construit des usines marines pour le JaponIDE Technologies, le spécialiste is-raélien, leader mondial du marché dudessalement de l’eau de mer, va construire des usines sur desbateaux afin de pallier à la pénurie d’eau dont souffre le Japon.Le dessalement de l’eau de mer est un moyen efficace de re-médier à la pénurie de l’eau mais le coût relativement élevé deconstruction d’usines de dessalement se répercute sur le tarifde l’eau produite. Pour remédier à ce problème de coût de re-vient, la société IDE Technologies, leader mondial du marchédu dessalement de l’eau de mer, développe des usines flot-tantes au Japon.