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Robbie Cressman, un maître dans l’art du combat sans arme, était depassage au Centre des sports, le 29 avril, pour partager son savoiravec les militaires de Valcartier. Sur la photo, le caporal Pierre-LucLétourneau pratique une des techniques de combat enseignées avec lecaporal-chef Étienne Cameron (par terre).- Photo : cpl Marie-Ève Boivin, section Imagerie, Garnison Valcartier
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/ Page 3Hommage à la FO 3-07Par Simon BaillargeonJournal Adsum
Neuf militaires revenus d’Afghanistanont eu droit à un hommage particu-lier de la part du ministère de laSécurité publique, le 22 avril.
Au lieu d’un hommage traditionnel, l’ac-tivité a plutôt pris la forme d’une discus-sion entre les militaires et le sous-ministrede la Sécurité publique, qui était accom-pagné de son équipe pour l’occasion.
Cette fois-ci, le sous-ministre Paul Girardvoulait écouter ce qu’ils avaient à dire.«C’est une marque de reconnaissance qu’onvoulait vous apporter. On sait que ce n’estpas évident de mener une mission commecelle-là», a lancé M. Girard au début dela rencontre.
Les neuf frères d’armes se sont présen-tés à tour de rôle et ont décrit les tâchesauxquelles ils étaient affectés. Répondantaux questions de l’équipe du ministèrede la Sécurité publique, ils ont tracé le por-
trait de leur vie quotidienne, les joies et lesmoments difficiles qu’ils ont traversés aucours de longs mois en théâtre de guerre.
L’adjudant Stéphane Bouchard a racon-té pour sa part à quel point il était heureuxde pouvoir participer à cette mission. «C’estla mission dont je suis le plus fier. En prèsde 20 ans de service dans les Forces, c’estla première fois qu’on accomplit vraimentdu bon travail pour les gars en avant», a-t-il témoigné.
Un autre soldat a bien fait rire l’audi-ence, lorsqu’il a raconté une anecdote surles différences culturelles entre Afghanset Canadiens. «Un Afghan m’a dit qu’il neviendrait jamais en Amérique parce qu’ily a des fusillades dans les écoles», a-t-ilrapporté.
La rencontre s’est terminée par les remer-ciements du sous-ministre Girard, qui atrouvé les mots justes pour qualifier la ren-contre. «Votre visite vaut bien plus quen’importe lequel des reportages», a-t-il conclu.
Par Simon BaillargeonJournal Adsum
Les habitués de la cuisine de la troupeont sûrement remarqué le nouveauvisage qu’arbore celle-ci. Le projet demodernisation qui s’opère est presquecomplété et permettra, entre autres,d’offrir un meilleur service aux clients.
Des travaux de modernisation s’impo-saient dans la cuisine qui n’avait pas vrai-ment été rénovée depuis près de 20 ans.«Nous n’avions pas vraiment le choix. Nousnous devions de rénover pour suivre letempo opérationnel et le tempo imposépar les clients», admet l’adjudant-maîtreMark Wagner, adjum des opérations à lacuisine.
CUISINE FONCTIONNELLEL’aire de service a d’abord été modi-
fiée, question de la rendre plus fonction-nelle. Elle a été scindée en deux dans le butde faciliter la circulation des clients et descuisiniers et le travail des employés.
«Les cuisiniers n’ont plus de détour àfaire pour avoir accès aux plats et évitentainsi de se promener à travers les clients»,résume l’adjudant Guy Gravel, chef de cuisine.
Un comptoir a aussi été ajouté à l’entrée,pour remplacer une vieille table pliante.Le pain qui était rangé sur une vieille tablepliante est maintenant dans une étagèreet une planche à découper le pain a fait sonapparition sur ce nouveau comptoir.
Nouvelle stratégie santédes Forces canadiennes :on passe à la pratiquePar Simon BaillargeonJournal Adsum
La nouvelle stratégie lancée le 31 marspar le général Rick Hillier et qui viseà promouvoir la santé et le condition-nement physique dans les Forces cana-diennes fera le plus grand bien à nossoldats, si l’on en croit Martine Cimon,directrice de la Promotion de la santé.
«Oui, c’est vraiment nécessaire», répond-elle lorsque questionnée si les militairesont besoin de cette nouvelle stratégie.
«Les militaires ont beaucoup moins detemps qu’avant pour se libérer et entre-prendre un programme de la Promotionde la santé, explique Mme Cimon. Il y a lesmontées en puissance, le déploiement enAfghanistan et les retours de mission quiles occupent».
À plus long terme, cette stratégie vise àpasser de la sensibilisation à la pratique.
La nouvelle stratégie déployée par les FCdevrait donc augmenter la participationdes soldats aux différents programmesofferts par la Promotion de la santé. Lessupérieurs hiérarchiques seront invités àencourager les militaires sous leurs ordresà prendre leur santé en main et à adopterun style de vie sain.
Les FC sont déterminées à implanter uneculture de la santé et du conditionnementphysique que les militaires garderont toutau long de leur carrière. Celle-ci amè-nera les membres de la communauté mil-itaire à pratiquer régulièrement l’activitéphysique, à adopter une saine alimenta-tion pour le maintien d’un poids santé, àmener une vie sans dépendance (jeu, alcool,drogue) et à développer des habiletés àfaire face au stress.
L’hommage rendu par le ministère de la Sécurité publique a pris des allures de table ronde sur la vie quo-tidienne des militaires en Afghanistan. - Photo : sdt Jean-François Carpentier, section Imagerie, Garnison Valcartier
La charge de travail supplémentaire quedevrait amener cette nouvelle initiativen’effraie pas Mme Cimon et son équipe,qui se réjouissent de ces nouvelles mesures.«La participation à nos programmes vaaugmenter, mais quand on a l’appui deshautes instances, le message est plus facileà faire passer et ça facilite notre travail»,fait-elle remarquer.Article rédigé à l’aide d’un texte d’AlicePiotrowski, de la Promotion de la santé
Même les cuisiniers peuvent profiter des nouveaux changements. Au moment du passage de l’Adsumdans la nouvelle aire de service, ceux-ci dînaient avant que ne débute l’achalandage du midi.- Photo : Simon Baillargeon, journal Adsum
La cuisine de la troupese refait une beauté
«C’est beaucoup plus esthétique et beau-coup plus fonctionnel comme ça», observel’adj Gravel.
Plusieurs équipements dans la cuisineont aussi été modernisés et une nouvellemachine à laver la vaisselle plus éco-énergé-tique devrait être installée sous peu. «Cellequ’on a présentement prend de l’eau commevous et moi on respire de l’air», illustre l’adjGravel.
Selon ce dernier, tous ces changementsdans l’aire de service auront des répercus-sions positives.
Une quatrième caisse enregistreuse pour-ra aussi être ajoutée en cas de besoin afinde réduire le temps d’attente pour payer.
Les vieilles chaises ont déjà commencéà laisser leur place à de nouvelles pièces,beaucoup plus solides et qui «s’empilentsans se briser» selon l’adj Gravel.
Les tables aussi pourraient éventuelle-ment être remplacées par d’autres qui serontplus facilement nettoyables. «Je veux avoirdu matériel pratique et facile à nettoy-er», note-t-il.
Enfin, tout le système électrique désuetqui datait des années 50 est en révisionet certains travaux sont déjà commencés.Les lumières ont été changées dans l’airede service et offrent désormais une meilleureluminosité tout en consommant moinsd’énergie.
L’ACCÈS AUX SITESD’ENTRAÎNEMENTPERTURBÉ PAR LESPLUIES ABONDANTESLes importantes précipitations tombées sur larégion à la fin du mois d’avril ont causéplusieurs inconvénients aux militaires devant serendre sur le site des champs de tir et secteurd’entraînement (CTSE). Par mesure de sécurité,les ponts Bouchard et Cadieux ont été fermés etla circulation au nord de la rivière Jacques-Cartier a été interrompue. Les routes D’Arleux,Scarpes, Mons et le camp Dubé ont aussi étéinondées à certains endroits par la rivière auxPins et autres affluents. Même si la situations’est grandement améliorée dans les jours quiont suivi, le comportement des rivières conti-nuera d’être surveillé. Le capitaine Jean-PierreThériault, commandant de détachement duCTSE, a assuré que des patrouilleurs auront lasituation à l’œil. (S.B.)
Le pont Cadieux a été fermé par mesure de sécu-rité. Au plus fort des précipitations, l’eau aatteint la même hauteur que le pont. - Photo : sdtJean-François Carpentier, section Imagerie, Garnison Valcartier
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NOUVELLESEEXPRESSCette rubrique vous présente différentes nouvelles concernant la Défensenationale qui sont, à notre avis, d’intérêt pour nos lecteurs.
Technologie futuristepour l’arméeLes Forces canadiennes vont bientôt rejoin-dre le club sélect des pays qui équipentleurs soldats avec une technologie futu-riste de communication permettant, grâceà des satellites, des GPS et des lunettesnumériques, d’atteindre un niveau d’effi-cacité en terrain hostile jadis réservé aumonde irréaliste du jeu vidéo.
Le ministère de la Défense vient de com-mencer les consultations avec l’industrieet veut y parvenir d’ici quatre ans. Les coûtsreliés à ce projet atteignent 310 millionsde dollars. Dans le milieu de la défense, onnomme cette technologie «soldat du futur».Les FC lui ont plutôt accolé le nom de «pro-jet d’équipement intégré du soldat» (PEIS).
Il s’agit d’une petite révolution qui attendles soldats canadiens. L’époque des com-munications radio fera définitivement placeà l’ère numérique.
Plusieurs caractéristiques composent cenouveau système. D’abord, les soldats serontéquipés de capteurs insérés dans le tissude leurs vêtements de combat. Ces petitespuces électroniques communiqueront sansarrêt avec un satellite qui pourra inscrireen temps presque réel leurs déplacementssur une carte géographique de l’endroit.Les commandants à la base pourront sui-vre de près l’opération.
Les soldats en mission pourront eux aussisavoir où se trouvent leurs collègues déployés,puisque tous les fantassins auront sur euxun système GPS, lui aussi relié au satellite.L’image satellite permettra également devoir le déplacement des ennemis presqueen temps réel. Grâce au GPS, le soldat saurasi un insurgé se déplace de l’autre côté dela colline ou à l’arrière d’un immeuble.
Devant les yeux du soldat, des lunettespermettront de marquer numériquementla cible que le militaire regarde à l’aided’une simple pression sur un bouton. Lesinformations sur l’endroit ou la cible iden-tifiés par le soldat grâce à ses lunettes serontdirectement acheminées au commande-ment à la base par satellite.
En équipant les soldats de la sorte, nonseulement ceux-ci reçoivent plus d’infor-mations rapidement, mais ils contribuentaussi à collecter des données, ce qui aug-mente l’efficacité sur le terrain.
900 millions $ pourrénover 12 frégatesLe gouvernement fédéral a annoncé, lelundi 21 avril, l’octroi de deux contratsd’une valeur totale de 900 millions $ auxchantiers navals de Halifax, en Nouvelle-Écosse, et de Victoria, en Colombie-Britannique, pour rénover et entretenir12 frégates de la marine canadienne.
Les contrats sont les premiers à êtreoctroyés à même un fonds de 3,1 milliards $consacré à la rénovation, à compter de2010, de ces frégates de classe Halifax, quien sont actuellement à la moitié de leurdurée de service prévue.
Le gouvernement a annoncé l’annéedernière qu’il injecterait 3,1 milliards $dans la modernisation de l’armement,l’amélioration des postes de commande-ment et de contrôle et les modificationsnécessaires pour accueillir les nouveauxhélicoptères lourds de la marine.
Les frégates sont les pierres d’assise desforces maritimes canadiennes. Elles sontutilisées pour protéger la souveraineté duCanada, pour participer à des missionshumanitaires et pour combattre le traficde drogue, la pollution, le terrorisme et lapêche illégale.
Les FC sondent les Québécois
Parallèlement à la récente missionAfghanistan, les Forces canadiennes ontdéployé un plan de communication des-tiné à mieux faire connaître leur travailaux Québécois. Ce plan inclut un vastesondage de l’opinion publique dont ladernière tranche sera réalisée au cours desprochaines semaines.
Le projet, intitulé Attitudes et connais-sances envers les Forces canadiennes auQuébec, est divisé en quatre vagues desondage. L’échantillonnage est impression-nant : 3000 personnes en juin 2007 (avantla mission), 1000 personnes en août 2007(au moment du déploiement), 1000 per-sonnes en février 2008 (au moment duretour) et 3000 en mai 2008.
La Défense nationale souhaite évaluerla conscience, la connaissance et l’attitudedes Québécois face aux FC en général et àla mission afghane en particulier, le degré
d’appui à la mission et l’impact du plan decommunication sur l’appui aux troupes.
Les Forces canadiennessouhaitent se doter devéhicules de déminage
Dans le but de détecter la présence demines le long des routes en Afghanistan,les Forces Canadiennes projettent d’ac-quérir des véhicules blindés supplémen-taires capables de faire des opérations dedéminage.
Selon la Presse Canadienne, le ministèrede la Défense nationale seraient en traind’esquisser une proposition d’achat afind’acquérir jusqu’à 30 véhicules destinésà la formation des troupes au pays et audéminage sur le sol afghan, qui constituentle problème le plus sérieux auquel font faceles soldats canadiens déployés dans ce pays.
Les véhicules dans la mire des FC fontpartie d’un système spécialisé dans la détec-tion, l’identification et la neutralisationdes mines et des engins explosifs impro-visés.
Ce système, portant le nom de Capacitéd’ouverture d’itinéraire de circonstance(COIC), fait appel à trois types de véhiculeshautement spécialisés pour détecter lesengins explosifs enfouis le long des routes.
Les nouveaux véhicules devraient coûterenviron 60 millions $.Rappelons que la trèsgrande majorité des 82 soldats canadi-ens morts en Afghanistan ont été tués à lasuite de l’explosion de mines enfouies lelong des routes.
Les Griffon moderniséspour Vancouver 2010
Dix-neuf hélicoptères de type GriffonCH-146 des Forces canadiennes sont présen-tement modernisés avec des systèmes desurveillance infrarouge et certains d’entreeux seront utilisés pour assurer la sécuritéaux Jeux olympiques de Vancouver, en2010.
Un document de la Défense nationaleatteste que les appareils seront en mesurede détecter, reconnaître et identifier unemultitude d’objets de la grosseur d’unhumain à la grosseur d’un navire.
L’ajout de ces mécanismes de surveil-lance ne servira par seulement qu’aux JO,mais aussi pour des opérations domes-tiques et outre-mer.
Les hélicoptères de type Griffon sontgénéralement utilisés pour le transport detroupe et la reconnaissance.
PRIX DU DUC D’ÉDIMBOURG
Six Rangers Juniors honorésPour la première fois au Québec, six Rangers Juniors du 2e Groupe de patrouilledes Rangers canadiens (2 GPRC) se sont vus décerner le certificat du Mérite Argentdu Prix du Duc d’Édimbourg, lors d’une cérémonie qui s’est tenue à la salle duConseil législatif de l’Hôtel du Parlement de Québec, le 26 avril.
De la patrouille d’Inukjuak, les récipiendaires sont Deseray Cumberbatch, EliasieElijassiaapik, Andrew Kopiapik et Éric Ohaituk. De la patrouille de La Tabatière,Sancho McKinnon et Jessica Poole sont les méritants.
Pour obtenir le Mérite d’Argent, les participants doivent se distinguer dans lessecteurs des services communautaires, voyage d’aventure, conditionnement physiqueet habileté.
Le Prix du Duc d’Édimbourg est un programme international de récompensepour souligner la contribution des jeunes provenant de 125 pays. (S.B.)
De gauche à droite : adjudant Scheire, coordonnateur du programme au 2 GPRC, caporaux juniorsCarrie Robertson, Desiray Cumberbatch, Andrew Kopiapik, Jessica Poole; Pierre Duchesne, lieutenant-gouverneur du Québec, Sancho Mackinnen, Éric Ohaituk; Elijassie Elijassiapik, caporal jun-ior Betsy Epoo, sergent Bélanger, instructeur au 2 GPRC.
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OPÉRATION «ON VOUS SUIT»Le caporal Sylvain Lafrenière et son frère Christian,qui ont lancé le DVD «On est blindés», récidiventavec la suite qui sera intitulée «On vous suit». Unerandonnée de motocycliste est prévue le 10 mai,à Gatineau, pour soutenir les troupes. Cet événe-ment sera capté par des caméras et sera ensuiteintégré au DVD qui sera envoyé aux troupes enAfghanistan. Les motocyclistes sont invités àporter du rouge, en signe d’appui aux militairescanadiens. Le coup d’envoi de la randonnée sefera à l’aréna Robert-Guertin à 13 h. Déjà plus de400 motocyclistes ont confirmé leur présence.Pour plus d’information, contactez SylvainLafrenière au 844-5000 p. 7767 ou au 932-2879.
Les jeunes explorateursdébarquent sur la garnison Par Simon BaillargeonJournal Adsum
Dans le cadre du programme «jeunesexplorateurs d’un jour», 17 élèves dequatrième et cinquième secondairesont pu vivre une expérienceenrichissante qui leur a permis d’ex-plorer un métier qui les intéresse.
Ils étaient 12 à visiter la 5e Ambulancede campagne (5 Amb C), deux aux 5e Pelotonde police militaire (5 Pon PM), deux avecle Royal 22e Régiment (R22eR) et un au5e Régiment du génie de combat (5 RGC).Armés de leurs questions, ils ont passé lajournée en compagnie de membres desForces canadiennes, qui étaient chargésde leur faire découvrir le métier qu’ils exercent.
À la 5 Amb C, les étudiants ont pu visiterla garnison à bord d’un Bison, en plus d’avoiraccès au laboratoire et à différentes sallesde traitement.
Leur journée s’est terminée par la simu-lation de l’évacuation de soldats blessésdans les locaux du Centre de simulationmédicale. Une mise en scène qui a sembléles impressionner.
«L’école m’a offert la chance de venir iciet c’était une bonne idée. C’était impres-sionnant», assure Gabriel, 16 ans.
Même son de cloche pour Alexandra,16 ans, qui dit avoir découvert un métierqui lui ressemble. «Je suis une fille de ter-rain et j’aime quand ça bouge. C’est ce quej’ai retrouvé dans le métier de technicienmédical», affirme-t-elle.
Le CPPMR fête ses 5 ansPar l’adjudant-chef K. WestResponsable du CPPMR
Le Centre de perfectionnement profession-nel des militaires du rang (CPPMR) se con-sacre à l’éducation des militaires du rangdepuis sa création en avril 2003. Placé sousl’égide de l’Académie canadienne de laDéfense, le CPPMR célèbre cette année soncinquième anniversaire!
Depuis le 1er janvier 2008, il est une desorganisations constituantes du Collègemilitaire royal de Saint-Jean. Les employéscivils et militaires du CPPMR profitent decette occasion pour promouvoir cette insti-tution novatrice auprès des employés duministère de la Défense nationale et desmilitaires des Forces canadiennes (FC).
La création du CPPMR découle de lastratégie de réforme décrite dans le docu-ment intitulé Le militaire du rang des Forcescanadiennes au XXIe siècle (Corps des MRen 2020).
Les cours offerts par le CPPMR con-tribuent à l’éducation nécessaire audéveloppement de capacités intellectuelleset critiques essentielles à l’élargissementdes tâches et des responsabilités attribuéesaux militaires du rang. Dorénavant, ils sontappelés à réagir à la fois à des situationsprévisibles et imprévisibles nécessitant unecompréhension globale du monde et del’environnement opérationnel dans lesquelsils interviennent.
Les FC sont appelées à se transformeren une organisation apprenante. C’est dansce contexte que le CPPMR a été créé en2003. En 2007, on octroyait pour la pre-mière fois la responsabilité du CPPMR àun militaire du rang.
COURS OFFERTS AU CPPMRLors de la création du CPPMR en 2003,
un seul cours y était dispensé : le cours deQualification intermédiaire en leadership(QIL), destiné aux candidats à la promo-tion au rang de maître de premièreclasse/adjudant. Depuis 2005, deux autrescours se sont ajoutés au cursus : le cours
de Qualification avancée en leadership (QAL),destiné aux candidats à la promotion aurang de premier maître de deuxièmeclasse/adjudant-maître et le cours deQualification premier maître de premièreclasse/adjudant-chef (PM1/Adjuc), destinéaux candidats à la promotion au rangPM1/adjudant-chef.
L’enseignement offert au CPPMR se diviseen deux volets. Dans un premier temps, lesmilitaires du rang suivent une formationà distance, d’une durée moyenne de neufsemaines, dispensée par des enseignantscivils portant sur l’histoire militaire cana-dienne, la science politique, les relationsinternationales et les questions d’éthiqueet de leadership.
Une fois cette étape complétée, les mil-itaires du rang suivent une formation enrésidence d’une durée de trois semainesau CPPMR. Cette étape, administrée pardu personnel militaire, porte sur des aspectsplus pratiques du leadership, tels que leprocessus de prise de décisions. Via desséminaires et des conférences, les candi-dats sont exposés entre autres au systèmegénéral de la guerre et des conflits, auxcommunications, à la justice militaire, aucérémonial ainsi qu’à la gestion desressources humaines, financières et deséquipements. Jusqu’à ce jour, plus de 6500militaires ont suiv un ou plusieurs coursofferts par le centre.
UNE SOURCE D’INSPIRATION ET D’INNOVATION
Depuis sa création, le CPPMR offre unhaut niveau d’expertise servant d’exempleà l’élaboration de programmes d’éduca-tion des militaires du rang au sein d’autresforces armées du Commonwealth. Tout enfavorisant la coopération entre les employéscivils et militaires, de même que la collabo-ration entre les militaires des différentséléments, le CPPMR est un centre d’excel-lence en matière d’éducation et de perfec-tionnement professionnel qui contribuede manière significative à la formation con-tinue des militaires du rang.
Les étudiants ont particulièrement aimé la simulation d’une évacuation de soldats blessés dans les locauxdu Centre de simulation médicale. - Photo : Simon Baillargeon, journal Adsum
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Fondé par le 12e Régiment blindé du Canada
Le journal Adsum est une publication non officiellepubliée un mercredi sur deux avec la permissiondu Commandant du 5e Groupe de soutien desecteur. Les opinions et les points de vue exprimésdans ce journal ne sont pas nécessairement ceuxdu MDN, des FC et de l’ASPFC / Personnel desFNP.Le journal Adsum informe la communauté militaire de la garnison et de la grande région deQuébec depuis 1972. Notre publication constituel’un des principaux outils de communicationinterne de l’Armée au Québec. C’est un moyenprivilégié pour le Secteur du Québec de la Forceterrestre (SQFT) de communiquer avec son per-sonnel et les familles. Les succès, les intérêts etles préoccupations de la grande équipe du SQFT,voilà la matière avec laquelle est bâti l’Adsum.
Tirage : 5800 copies
ÉditeurCol Karen Ritchie, cmdt 5 GSSRédactrice en chefCaroline Charest, poste [email protected] Baillargeon, poste [email protected] militaireCapt Mathieu Dufour, poste [email protected]ère en publicitéGinette Demers, [email protected] petites annonces et comptabilitéMarie-Josée Simard poste [email protected]ée Lessard poste [email protected] Presses du Fleuve
Toute correspondance doit être adressée à larédactrice en chef. Les demandes de publicationdoivent être acheminées par courrier électroniqueà [email protected]. Soumettre les textes enformat Word et les photos en jpg. La rédactrice enchef se réserve le droit de rejeter ou de modifiertout matériel rédactionnel ou publicitaire. Lesauteurs des textes ne seront pas nécessairementavisés des modifications apportées à leurs textes.
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PROCHAINE PARUTION : jeudi 22 maiDATE DE TOMBÉE : lundi 12 mai
37e année, No 22, mercredi 7 mai 2008
Un nouveau commandant à la tête dela Musique du Royal 22e RégimentPar le sergent Geneviève ParisMusique du Royal 22e Régiment
C’est sous la présidence de la colonelKaren Ritchie, commandant du5e Groupe de soutien de secteur, qu’aeu lieu le 10 mars la passation de com-mandement de l’unité musicale dumajor Jacques Destrempes au capi-taine Patrick Picard.
La cérémonie s’est tenue dans la bâtisse85, amphithéâtre de la garnison et domi-cile de la Musique du Royal 22e Régiment(M/R22eR).
Outre les nombreux amis de la Musiqueinvités à la cérémonie, la présence hono-raire du brigadier-général Christian Barabé,commandant du Secteur du Québec dela Force terrestre et de la Force opéra-tionnelle interarmées (Est), a su donner àcet événement tout le décorum voulu.
C’est après une carrière de 28 ans de serv-ice couronnée de succès que le majorJacques Destrempes se retire. Le majorsavait tirer le meilleur de chacun de sesmusiciens et il a fait vibrer les foules soussa baguette pendant plus de six années.
Son remplaçant, le capitaine PatrickPicard, est originaire de Lévis. Après unparcours comme instrumentiste jalonnépar le succès, il a été commissionné au
grade de lieutenant au sein des musiquesdes Forces canadiennes. On lui attribuerapeu après le poste de directeur musical dela Musique de la Garde de cérémonie àOttawa et il sera par la suite promu à songrade actuel. C’est à la tête de cette forma-tion réputée que le capt Picard fait ses pre-mières armes à titre de chef d’orchestred’harmonie et c’est son incontestable réus-site en ce rôle qui le ramènera à Québec.
En raison du contexte actuel dans lequelœuvrent les Forces canadiennes, le rôle dela Musique du Royal 22e Régiment s’ori-ente progressivement vers le soutien des
troupes. C’est sous cette nouvelle lignedirectrice que le capt Picard aura à com-poser avec une unité dont le métier étaittraditionnellement tenu à l’écart des théâtresopérationnels. En effet, parmi les défis quise présentent au nouveau commandant sedresse la perspective de mener ses musi-ciens à un niveau de préparation digne destroupes déployées. Également, l’agenda dudirecteur musical est orné de parades, dedîners et de cérémonies militaires et civilesainsi que de multiples représentationstenues dans le cadre du 400e anniversairede Québec.
Le capitaine Patrick Picard, nouveau commandant de la Musique du Royal 22e Régiment, est entouré dumajor Jacques Destrempes et de la colonel Karen Ritchie.
RÉNOVATION, VENTE OU
ACQUISITION DE PROPRIÉTÉ
NotaireMMario Boilard
Ste-Catherine 875-1671Valcartier 842-4448
Vous planifiez de rénover, de vendre ou d’ac-quérir une propriété, il est recommandé deconsulter votre notaire qui discutera avecvous de certains aspects en jeu, tels que :
• La validité du titre de propriété;
• Les lois et réglements en vigueur;
• Les implications fiscales;
• Les conséquences économique légales;
• L’importance de l’offre d’achat;
• Le financement;
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fâcheuses et souvent irrémédiables.
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7 mai 200
8 / Adsum
/ Page 7Huit militaires sont figurantsdans la dernière de «Virginie»Par le capitaine Marie-Noëlle BlanchetOfficier des affaires publiques, Secteur du Québec de la Force terrestre
Visiblement ému et nerveux, Frédéric, vêtude son bel uniforme militaire rouge, se tientdroit devant l’autel de la petite chapellebondée de parents et amis. Le son perçantde la cornemuse remplit l’air d’une mélodiequ’il a maintes fois entendue par au coursde sa carrière militaire, Scotland the brave.Au pas ralenti, des soldats placés en deuxcolonnes descendent doucement l’allée.Enfin, le moment dont Frédéric a tant rêvéalors qu’il était en mission à Kandahar estsur le point d’arriver. Derrière les soldatsmarchant en cadence, il aperçoit Virginie,sa future femme.
«Et... coupé! La scène est bonne», s’écriele metteur en scène.
Contrairement à Frédéric, joué par l’ac-teur professionnel Maxime Denomée etreprésentant un capitaine ingénieur desForces canadiennes dans la série téléviséeVirginie, les huit autres militaires présentssur le plateau étaient, quant à eux, de véri-tables soldats canadiens. Le lieutenant-colonel Maurice Frenette, aumônier séniordu Secteur du Québec de la Force terrestre(SQFT), vêtu de son aube blanche, a jouéle rôle du célébrant tandis que le capo-ral-chef JeffreyMcCarthy, armé desa cornemuse, a puoffrir ses talents demusicien à la pro-duction. Six figu-rants, les capitainesMarc-André Roy (SQFT), Marie-ClaudeLabrie (SQFT), Michael Wagner (3 CSU),Marie-Noëlle Blanchet (SQFT), Jonathan
«Vous pouvez maintenant embrasser la mariée.» C’est sur ses paroles que les capitaines Blanchet etBouchard ainsi que le lieutenant de vaisseau Monette, en arrièere-plan, célèbrent l’union des nouveauxmariés, Virginie et Frédéric.
Malgré la centaine de mariages qu’il a célébrés entant qu’aumônier, le lieutenant-colonel Frenette enétait à sa première expérience en tant qu’acteur.Les comédiens Stéphanie Crête-Blais, aliasVirginie, et Maxime Denomée, alias Frédéric, ontété ravis des conseils prodigués par le lcol Frenetteafin de parfaire leur rôle.
Bouchard (École de leadership et des recruesdes Forces canadiennes [ELRFC]) et lelieutenant de vaisseau Éric Monette (ELRFC)
ont, quant à eux,escorté la belle mariéevers son prince char-mant.
L’idée d’inclure unaspect militaire danscette série culte, dif-
fusée sur les ondes de Radio-Canada depuisdéjà plus de 10 ans, a longuement germédans la tête de Fabienne Larouche, auteure
taires, écoutant leurs opinions, leurs idéeset leurs pensées tel un «vampire assoifféde sang». Elle a découvert des jeunes pas-sionnés, des jeunes qui ont choisi la pro-fession des armes, une vocation bien plusqu’un simple métier. «Ce sont des jeunesqui partagent des idéaux de paix et qui,profondément, désirent changer le mondeà leur façon, quitte à y laisser leur vie»,a-t-elle souligné.
La fin de ce dernier épisode est parti-culièrement émouvante. En guise de prièreofferte par la mariée, la voix frêle et rem-plie d’émotion, Virginie nomme un a unles soldats décédés au combat. De plus,le générique de la fin présente non pas lenom des acteurs, mais ceux des 82 mili-taires qui ont perdu la vie en Afghanistandepuis 2002.
de téléromans très réputée au Québec.Mme Larouche ne pouvait simplement paspasser à côté de la présence des Forcescanadiennes en Afghanistan et de l’influ-ence que cela a sur tout un peuple. «On estlà-bas (...). On a un travail à faire (...). Ilfaut essayer de comprendre», voilà la mis-sion que s’est donnée l’auteure.
UN ÉPISODE PARTICULIÈREMENT ÉMOUVANTDepuis que son jeune capitaine ingénieur,
Frédéric, a pris place parmi les person-nages de Virginie, Mme Larouche a eu lachance d’échanger avec plusieurs mili-
le générique de la fin présente nonpas le nom des acteurs, mais ceuxdes 82 militaires qui ont perdu lavie en Afghanistan depuis 2002
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La police de Québec procèdeà des essais sur VBS2
Des membres de la compagnie C pratiquent le combat en zone urbaine.
Par le capitaine Jérôme Robin-ThériaultOfficier de projet, Centre d’entraînement en environnement synthétique, CI SQFT
Dans le cadre de la formation annuelle desemployés du Service de Police de la Villede Québec (SPVQ), près de 550 policiersont eu l’opportunité de vivre une expéri-ence de formation hors du commun et ce,grâce à la grande collaboration des Forcescanadiennes.
En effet, les membres du SPVQ ont eula chance d’utiliser «Virtual BattlespaceSystem 2» sur une période de 22 jours entrele 18 février et le 24 avril. La formation enquestion s’est tenue au Centre d’entraîne-ment en environnement synthétique (CEES)du Centre d’instruction du Secteur duQuébec de la Force terrestre.
L’intérêt du SPVQ pour nos systèmes desimulation découle d’une présentation duVBS2, qui s’est déroulée au CEES le 9 octo-bre, et qui a été faite auprès de différentscorps policiers de la province. Après cetteséance d’information, un essai de faisabi-lité a été effectué avec un petit groupe poursavoir si la formule «théorie avec sup-port visuel, simulation et pratique physique»s’appliquait bien à leur type d’entraîne-ment. Compte tenu des réalités auxquellesils peuvent faire face dans le cadre de leurmétier, c’est le scénario du tireur actifqui semblait être le plus approprié pourappuyer leur formation.
Ainsi, un grand nombre d’agents de lapaix du SPVQ ont bénéficié d’une valeur
ajoutée à leur entraînement en se servantdes systèmes de simulation dont nous dis-posons ici à Valcartier. Les policiers ont puse remémorer leurs procédures dans unenvironnement favorable à l’apprentissageet ensuite pratiquer ces principes avec plusd’assurance.
Cette activité inter-agences nous a donnél’occasion de développer une collabora-tion étroite et de nouer d’excellents liensde partenariat avec le SPVQ. Très heureuxde leur expérience, les policiers n’ont pashésité à dire qu’ils voulaient renouvelerl’expérience dans un avenir très rapproché.
Déluge de plomb à Trois-RivièresPar le lieutenant Christian MarandaCommandant, peloton 22, compagnie B, 2e Bataillon, Royal 22e Régiment
Les équipages de VBL III de la compagnieB du Groupe tactique du 2e Bataillon, Royal22e Régiment (GT 2 R22eR) ont eu l’oppor-tunité de participer à la concentration detir réel sur tourelle 25 mm les 3 et 4 avril.
Cet exercice, planifié et dirigé de mainde maître par une équipe du 12e Régimentblindé du Canada (12 RBC), visait à quali-fier les équipages de nos VBL III au niveau2 sur le canon Bushmaster M242 de 25 mmet la mitrailleuse coaxiale C6 de 7,62 mm.
Profitant de conditions climatiques excep-tionnelles, l’équipe du 12 RBC n’a pas lé-siné sur les détails afin de rendre l’entraîne-ment le plusagréable possible.Repas chauds, can-tine, tentes chauf-fées et munitions àprofusion, tout étaiten place pour assur-er le succès de laconcentration de tir.
Pendant le tir dejour, les canonnierset les chefs d’équi-page ont pu engagerdes cibles sur desdistances allant de500 à 1800 mètressans difficulté.
Supervisé par des moniteurs de tir chevron-nés, le tir en mouvement, communémentappelé «stab run», a permis aux équipagesde s’initier aux défis du combat mécan-isé en terrain accidenté.
En soirée, le tir de nuit a été facilitépar des conditions d’observation parfaites.Aucune cible n’a pu échapper à notre zoned’abattage!
La concentration de tir sur tourelle 25 mm était une étape essentielle de lamontée en puissance du GT 2 R22eR. Aucours des prochaines semaines, la com-pagnie B envahira les secteurs d’entraîne-ment afin de perfectionner les techniques,tactiques et procédures de combat auxniveaux de section et de peloton. Bonentraînement.
Le combat en zone urbaine, ce n’est que le début!Par le soldat Sébastien BeaulieuFusilier, peloton 34, compagnie C, 2e Bataillon, Royal 22e Régiment
La compagnie C du 2e Bataillon, Royal22e Régiment (2 Re22R) a débuté sa mon-tée en puissance en vue de la FO 1-09 HDpar une semaine de combat en zone urbaine(CZU) qui s’est déroulée du 7 au 11 avril.
Le CZU est un des aspects du champde bataille moderne rencontrés enAfghanistan aujourd’hui. C’est pour cetteraison que le CZU nous est enseigné lorsde la montée en puissance afin que nouspuissions bien en maîtriser les drills.
Avec l’aide d’instructeurs expérimentés,les soldats et les caporaux de la compag-nie ont amélioré leurs techniques de déplace-ment ainsi que leurs positionnements degroupe en zone bâtie.
Certains membres de la compagnie Cayant de l’expérience en CZU ont eu uneinstruction plus approfondie afin de devenirdes personnes ressources. Ces derniersdevenaient les adjoints des instructeurs etont permis aux pelotons de pouvoir se pra-tiquer en petits sous-groupes. De ce fait,les instructeurs qualifiés pouvaient avoirune vue d’ensemble, ce qui leur permettaitd’apporter des corrections plus adéquatesaux exercices.
La dernière journée d’entraînement s’estdéroulée au camp Dubé dans un milieuplus réaliste que le terrain de parade dubataillon. De plus, l’utilisation des ballesà blanc a donné un aspect plus réaliste auCZU. «Nous pouvions ressentir l’adrénalinequ’entraîne le fait d’entrer dans un édificeavec des armes chargées, d’appliquer nosconnaissances et de prendre le contrôle de
l’endroit», a expliqué le soldat Routhier dela compagnie C.
D’autres scénarios en CZU vont suivredurant le processus d’entraînement de lamontée en puissance du GT 2 R22eR afind’améliorer nos compétences. Les mem-
bres de la compagnie C sont enthousiastesà l’idée de faire les prochains entraîne-ments en CZU. Il est certain que la parti-cipation et l’effort maximum de tous etchacun seront au rendez-vous.
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7 mai 200
8 / Adsum
/ Page 9Le 35e Régiment du géniede combat fait son deuilPar le sous-lieutenant Édouard AprilOfficier des affaires publiques, 35e Régiment du génie de combat
Le manège militaire de Québec, ce lieuhautement symbolique tant pour les mili-taires des Forces canadiennes que pour lacommunauté en général, est considérécomme perte d’un joyau historique.Construit en 1862, il a constamment étél’hôte de régiments de la Réserve. Le 35e
Régiment du génie de combat (35 RGC),les Voltigeurs de Québec ainsi que lesCadets de l’armée ont plié bagages, enfinceux qu’ils ont pu récupérer dans les ruinesdu manège ravagé par l’incendie du 4 avril.
Quelques minutes après que le feu sesoit déclaré dans la maison mère du 35 RGC,cette unité d’ingénieurs établie au manègedepuis 1965, s’est immédiatement mobil-isée et a pris le contrôle de la situationpour assurer un périmètre de sécurité surle site. La fierté d’être arrivés les premiers
sur le terrain et le patriotisme étaient àleur apogée pour ces ingénieurs qui ontperdu une partie de leur âme. Étant terri-blement déconcertés, ils se sont néanmoinsrapidement réorganisés et ont entamé leurrelocalisation dans leurs bureaux secon-daires situés à Sainte-Foy sur le boulevardHochelaga.
Dès que l’autorisation leur a été accordée,ils ont pu pénétrer à l’intérieur des mursternis et carbonisés du manège pour allerrécupérer leur matériel et leurs biens sym-boliques encore reconnaissables ou d’unequelconque utilité. Ceux-ci seront fière-ment mis en valeur dans leur nouveaumanège dont la construction est prévued’ici quelques années à Sainte-Foy.
Une atmosphère de deuil règne sur cettegrande famille, mais l’honneur d’être mem-bre des Forces canadiennes, plus particu-lièrement de la Branche du génie militaire,les poussent à garder la tête haute malgrécette épreuve.
Par le lieutenant de vaisseau Michèle TremblayOfficier des Affaires publiques, 3e Escadre de Bagotville
C’est avec émerveillement que lechroniqueur automobile et anima-teur de l’émission RPM, PierreMichaud, de passage au Saguenay,a rendu visite à la 3e Escadre deBagotville.
Le chroniqueur automobile PierreMichaud en a eu plein les yeux durant savisite à la 3e Escadre le 18 avril. Il a eu l’oc-casion de monter sur un CF-18, de visiterle simulateur de vol et de voir un CF-18faire une pratique de spectacle donnée parun pilote du 425e Escadron tactique dechasse.
Autour d’un CF-18, M. Michaud a pus’entretenir avec des pilotes d’expérience,
dont le commandant de la 3e Escadre, lecolonel Pierre Ruel, et le commandant du425 ETAC, le lieutenant-colonel AlainPelletier. «Le CF-18 est un chasseur trèspolyvalent et toujours à la fine pointe dela technologie. Depuis sa mise en service,il a été modernisé afin de continuer à rem-plir sa mission comme chasseur de pre-mière ligne pour le Canada et pour ladéfense aérienne dans le cadre du NORAD»,a rappelé le col Ruel.
La visite s’est poursuivie au simulateurde vol pour voir les installations. Mais lemoment culminant de la visite a été lorsquele chroniqueur automobile a assisté à unepratique en vue des spectacles aériens quise donneront à travers l’Amérique du Nordpendant la saison estivale 2008, dont undans le cadre du 400e de Québec.
Pierre Michaud de RPM à bordd’une machine supersonique
Le 35 RGC parade fièrement sous le drapeau arborant lescouleurs du Génie militaire lors de l’obtention de sonstatut régimentaire au manège militaire de Québec.
Les animateurs Louis Arcand de KYK FM (à gauche) et Pierre Michaud de RPM à TQS (à droite) en ontprofité pour monter sur un CF-18 en compagnie du commandant de la 3e Escadre, le colonel Pierre Ruel,et du commandant de l’Escadron 425, le lieutenant-colonel Alain Pelletier. -Photo : Soldat Eve Richardson-Claisse
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Les Fusiliers de Sherbrooke procèdentau changement du drapeau royalPar Isabelle ProvostNouvelles de l’Armée
C’est sous une chaleur intenseque le régiment Les Fusiliersde Sherbrooke a défilé versla cathédrale Saint-Michelle samedi 19 avril afin d’as-sister à la remise du nouveaudrapeau royal, effectuée parle lieutenant-gouverneur duQuébec, Pierre Duchesne,ainsi qu’à la cérémonie debénédiction présidée parl’aumônier général des Forcescanadiennes, le brigadier-général Stanley G. Johnstone.
«Cet événement a permis derenouveler le sentiment d’appar-tenance que nous avons enversla Souveraine ainsi qu’à créerdes liens avec la population sher-brookoise qui s’est rassemblée
aujourd’hui pour participer àcette cérémonie», a affirmé lesous-lieutenant Joey Thibault,officier des affaires publiquesaux Fusiliers de Sherbrooke.
C’était effectivement une belleoccasion pour la population civiled’assister à cette célébration etde prendre contact avec les tra-ditions militaires.
UN RÉGIMENT QU’ON BÉNITEn bénissant un drapeau, c’est
tout un régiment qu’on bénit.C’est l’occasion de se remémo-rer l’esprit qui anime le régiment,le sens du service rendu et desvies sacrifiées sur les champs debataille. C’est également un rap-pel du courage déployé par lesmilitaires du régiment depuisson existence et leur loyautéenvers leur pays.
Le changement du drapeauroyal n’ayant lieu que trèsrarement au cours d’un siècle,cette célébration est la troisièmeréalisée depuis la naissance durégiment qui célébrera son 100e
anniversaire en 2010. Cette journée a été préparée
des mois d’avance. Le travail s’estintensifié au cours des semainesqui ont précédé la remise offi-cielle du drapeau. «C’est un événe-ment d’une grande importancequi a été préparé avec soin. Lerégiment s’est dévoué à la réus-site de cette cérémonie de façonsignificative pendant plusieursmois», a expliqué le lieutenant-colonel Éric Beaudoin, comman-dant des Fusiliers de Sherbrooke.Plusieurs réservistes en classe B
Pierre Duschene, lieutenant gouverneur du Québec, remet au régiment LesFusiliers de Sherbrooke le nouveau drapeau royal à la cathédrale Saint-Michel.-Photo : Caporal Isabelle Provost, 35e Groupe-brigade du Canada
travaillant à l’extérieur sontvenus prêter main-forte au régiment.
Des membres du SherbrookeHussars ont assisté leur unitéconsœur tout comme le62e Régiment d’artillerie decampagne qui est venu tirer
une salve de quinze coups decanon en guise de salut royalpour accueillir le lieutenant-gouverneur.
Un tir à blanc pour le feu dejoie a également eu lieu devantla cathédrale Saint-Michel pourclore la cérémonie.
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Des Canadiens en Nouvelle-ZélandePar le lieutenant Alexis LegrosCommandant, peloton de reconnaissance,1er Bataillon Royal 22e Régiment
Le 21 mars, une section du pelotonde reconnaissance du 1er Bataillon,Royal 22e Régiment (1 R22eR) s’estrendue en Nouvelle-Zélande dans lebut d’y tenir un exercice dans le bush.
La côte ouest de la Nouvelle-Zélande,avec sa végétation dense, était idéale pource type d’entraînement.
Après 23 heures d’avion et trois escales,nous sommes arrivés à Christchurch. Nousavons été accueillis par le lieutenantChristopher Shaw, l’officier de liaison néo-zélandais, qui nous a emmenés au CampBurnham, domicile du 2/1 Royal NewZeland Infantry Battalion, une unité d’in-fanterie légère. Le Camp Burnham, cons-truit durant la 1re Guerre mondiale est mag-nifique et malgré les nombreusesrénovations qu’il a subies, il a gardé soncharme d’antan.
Les quatre premières journées enNouvelle-Zélande ont servi à nous accli-mater et à visiter la région. Nous en aurions bien profité pour faire la tournéedes magasins de Christchurch, mais enNouvelle-Zélande tout ferme pendant lafin de semaine de Pâques, alors nous avonsdû nous contenter de rester au CampBurnham. Nous sommes allés voir unmatch de rugby qui est le sport nationaldes Néo-Zélandais. L’équipe locale a gagné,ce qui a plu à nos confrères «kiwis».
Après ces quatre journées très tranquilles,nous avons commencé l’entraînement pré-déploiement qui consistait à nous fami-liariser avec l’équipement local et la SteyrAug, l’arme utilisée en Nouvelle-Zélande.
Nous sommes ensuite partis pour la côteouest, où se trouve le bush, à environ qua-tre heures de route du Camp Burnham.Le trajet pour se rendre au secteur d’en-traînement est rempli de paysages magni-fiques qui rappellent les Rocheuses cana-diennes.
Dès l’arrivée dans le bush, nous avonsmonté un campement où nous avons dormi
dans des «ponchos motels» (hoochis) néo-zélandais qui ressemblent beaucoup auponcho américain mais sans trou pour ypasser la tête. Nous nous sommes étab-lis dans un endroit idéal, près d’une rivière et non loin d’un sentier qui longeune montagne.
Le bush de la Nouvelle-Zélande ne peutpas être comparé au bush australien, ilressemble plutôt aux forêts de la Colombie-Britannique : un terrain humide avec beau-coup d’arbres géants et de buissons denses. C’est à cet endroit que nous allonsparticiper à un exercice avec l’armée néo-zélandaise.
Nous avons passé les premiers joursdans le bush à patrouiller en suivant leursdrills, très semblables aux drills canadiens,sur une quinzaine de kilomètres d’un sen-tier montagneux. Nous avons découvertpour la première fois les pluies diluviennesdont nous avaient tant parlé les «Kiwis».
Le camouflage canadien s’avère idéaldans le bush, surpassant le camouflagebritannique de nos nouveaux collègues.Nous avons utilisé évidemment des muni-tions à blanc et cela a mal fait paraître laSteyr Aug qui fait beaucoup de ratés detir.
La deuxième partie de l’exercice s’esttenue en compagnie d’un détachement dupeloton de reconnaissance néo-zélandais.Ces derniers sont très doués en milieu rap-proché. Ils nous ont enseigné d’excellentestechniques pour établir des postes d’ob-servation et briser le contact. Ils sont par-ticulièrement experts en pistage et nousavons passé deux jours complets à pisteren leur compagnie. Les «Kiwis» suiventun cours d’un cinq semaines sur le pistageet maintiennent une section opérationnelled’experts pisteurs.
Lorsque l’exercice s’est terminé et quenous sommes retournés au Camp Burnham,nous avons finalement pu jouer les touristesà Christchurch et à Akoroa, deux villestouristiques très intéressantes. Après cesquelques jours de repos, nous avons reprisl’avion en direction de Québec.
Par l’adjudant Francis BérubéCommandant de cours, 1er Bataillon, Royal 22e Régiment
Rares sont ceux qui peuvent se vanter depouvoir tirer huit missiles pendant uncours de tireurs Eryx. Eh bien, c’est le nom-bre qui devait être attribué à chaque sta-giaire du cours 0701, conduit par le1er Bataillon, Royal 22e Régiment (1 R22eR).
Au total, l’allocation du cours s’élevaità 180 missiles. Du jamais vu! Trop beaupour être vrai, direz-vous? En effet, car enraison d’un nombre de ratés anormale-ment élevé, le champ de tir a malheureuse-ment été interrompu avant la fin. Les sta-giaires ont tout de même eu la chance detirer au moins un missile chacun. Seul lesoldat Caron a eu la chance de tirer deuxmissiles. Cette même chance lui a valu lesurnom de soldat «raté», car les deux mis-siles qu’il a tirés ont démontré une défec-
tuosité anormale. L’un d’eux est mêmetombé au sol à environ 50 mètres devantle poste de tir, qui correspond à la distancenécessaire pour permettre au missile des’armer.
Avant de tirer avec de vraies munitions,les stagiaires doivent suivre de l’instruc-tion théorique et pratiquer leurs techniquesde tir sur des simulateurs. Ces simulateurssont de très bons outils qui aident les tireursà pratiquer les procédures et les techniquesde tir. Cependant, l’artificialité du systèmerend le tir extrêmement complexe. Parcontre, c’est une fois rendus sur le champde tir réel qu’ils ont compris que les nom-breuses heures de pratique avaient portéfruit. Sur les 21 tireurs, presque tous ontréussi à atteindre leur cible, qui se situaitentre 150 et 600 mètres.
Alors que l’exercice devait initialementse poursuivre pendant toute la fin desemaine, les stagiaires ont été déçus d’ap-
prendre qu’ilsdevaient cesser letir. La sensation detirer avec del’équipement de cetenvergure est uneexpérience uniquequi est donnée à trèspeu de gens. Si onécarte les résultatsobtenus avec lesmunitions défec-tueuses, tous ont étéagréablement sur-pris par l’efficacitéet la précision del’arme.
Enfin, il est évi-dent que tous lestireurs ont aimé leurexpérience de tir avec cette arme antichar,à Gagetown. Nul doute que dès qu’une
possibilité de tirer d’autres missiles seprésentera, il y aura bien des volontaires.
Cours Eryx : les stagiaires ont la chance de tirer de vrais missiles
Un tireur Eryx en train de tirer son missile.
Photo : Lieutenant Alexis Legros
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Ce qui me comble le plus dans mon rôle de mère...De voir s’épanouir mes enfants, deles voir heureux. De sentir l’amourinconditionnel que nous nous don-nons. Mes enfants sont ma plusgrande fierté! Ils me font vivre desémotions, ils m’apprennent énormé-ment de choses, me font réaliser desdéfis et me permettent d’être unemeilleure personne! Merci Kevin etPatrick, grâce à vous, je suis vraimentune mère comblée! Cathia Huot, de Québec
De voir mes deux jolies filles de 3 et7 ans s’amuser ensemble à lamaman et faire exactement ce que jefais. Leur sourire, leur bonnehumeur, leur mauvaise humeur, lespleurs quand elles se font mal ou sechicanent, tout me comble, car je medis qu’un jour va arriver où ellesn’auront plus besoin de leur mère. Jeserai toujours là pour elles, dans lesplus beaux moments comme dansles plus mauvais. Elles sont siadorables; juste à les regarder quandelles jouent, j’en ai les larmes auxyeux. Mes deux petites chériesd’amour avec leurs yeux qui brillentquand elles me voient arriver à lagarderie le soir. C’est dans desmoments comme ça qu’on appréciela chance d’avoir pu porter nosenfants et de les avoir mis au mondeen santé.Karine Côté, de Québec
Depuis sept ans, je suis devenuemaman de cinq enfants. Rien ne melaissait présager que j’aurais autantd’enfants, mais c’est la plus bellechose que la vie m’ait apportée. Cequi me comble le plus, c’est quand jeles regarde grandir, évoluer, c’estmagique. Même après cinq, jem’émerveille autant; ils sontuniques, beaux, surprenants,adorables. Quand mes yeux croisentles leurs, toute la magie du mondes’opère, le lien est indescriptible etindestructible, mais le plus beau detout, ils sont à moi!Être maman, c’est le plus beau méti-er du monde. Aujourd’hui, je jette unregard sur ma vie et grâce à monconjoint et mes enfants, je suis unemeilleure personne.Merci à mes cinq amours!Joannie Bujold, de Courcelette
Ce qui me comble dans mon rôle demaman, c’est la fierté de voir ma fillegrandir en beauté, en force, en intel-ligence et de la voir s’épanouir, et lerôle que j’ai vis-à-vis ce phénomène,c’est que c’est avec mon aide qu’ellepeut avancer dans la vie. Et mêmeaprès dix ans, je la regarde et j’aiencore de la misère à réaliser lachance que j’ai d’être une mamancomblée. J’ai 36 ans aujourd’hui, et
je n’ai plus ma mère depuis six ans etje me rends compte combien c’estimportant une maman; on a toujoursbesoin d’un conseil d’une personned’expérience, mais surtout de sesconnaissances dans la vie. J’adore cerôle et je le vis pleinement, malgréma situation pas toujours évidente, lamonoparentalité.Catherine Langevin, de Québec
Ce qui me comble dans mon rôle demère, c’est de partager ma vie avecmes trois belles filles. Depuis le jouroù j’ai donné naissance, ma vie achangé et leur présence est engrande partie la source de mon bon-heur. Je suis fière de prendre soind’elles, elles me comblent de joie etremplissent mon cœur de bonheur.Je suis privilégiée d’être leur mère etmalgré tout le travail que celademande, les sourires de mes petitesprincesses, c’est ma paie!Kim Faucher, de Shannon
Ce qui m’a comblée et qui mecomblera bientôt à nouveau, estd’avoir pu subvenir au bon départ demon enfant en l’allaitant dès ses pre-mières minutes de vie. Ça n’a pas étéfacile au début, mais avec de la per-sévérance, et de l’entêtement, de voirmon enfant rassasié après chaquetétée me comblait de joie au plushaut point, surtout quand le lait coulesur ses belle joues, la satisfaction bâtson plein à ce moment-là. Le contactmère-enfant est si doux et tendre lorsde l’allaitement que je crois que c’estla meilleure façon de créer des lienstrès rapprochés, ce qui est importantselon moi pour éviter la dépression.J’aurai la chance à la fin juillet 2008de pouvoir combler une seconde foismon futur garçon.Cpl Sylvie Dion, de Shannon
De voir ma fille devenir un être avecde bonnes valeurs. C’est une missionpérilleuse lorsque le conjoint est sou-vent absent.Marie-Hélène Lebel, de Québec
Les sourires, les je t’aime, l’affectionet le bonheur que mes enfants peu-vent m’apporter. Quand je suis triste,je n’ai qu’à les regarder ou à penserà eux et tout est plus clair. Mesenfants sont mes petits trésors, c’estle plus beau cadeau que cette terrepuisse m’avoir apporté. En tant quemère, je me sens épanouie et trèsheureuse. Je souhaite à tout lemonde de pouvoir vivre ça dans savie, car sinon ils passeront à côté dece qu’il y a de plus beau, d’unique etde vrai.Maman vous aime, Naomie et LoganxxxSdt Renée Rodrigue, de Courcelette
Étant mère monoparentale, mesdeux filles me donnent des joies ettant d’amour. Elles me poussent àfoncer dans la vie. Ce sont les deuxamours de ma vie!Du fait de ne pas avoir le soutien dupère, que ma famille n’est pas dansla région, j’ai appris à me débrouiller
pour trouver différentes idées d’acti-vités à faire avec mes filles.Ce n’est pas toujours facile mais ons’attache et on apprend tellementd’eux. On partage des fous rires quidurent une éternité.Voilà les raisons qui font que je suisune mère comblée!Cpl Julie Fillion, de Courcelette
Ma plus belle réussite dans la vie sontmes trois petits princes. Chaquesourire, chaque câlin, chaque bisoume rappelle la chance que j’ai d’êtremaman. C’est de les voir évoluer etgrandir à tous les jours qui mecomble et me rend fière d’être leurmère. J’ai été gâtée par la vie; je suisentourée de trois incroyables petitsbonhommes.Merci à vous mes petits anges(Médrick, 3 ans, Éloïc, 19 mois,Hugovik, 4 mois).Une maman débordée mais défini-tivement comblée d’amour et de joie.Geneviève Girard, de Shannon
D’être entourée de tous ceux quej’aime en leur donnant beaucoupd’amour et avoir la chance de lesgâter.Georgette Huet, de Saint-Augustin
Le sourire de mon fils quand il medit : «Je t’aime, maman». Moi aussi, jet’aime du plus profond de mon cœur,mon fils Vincent!Stl Isabelle Dufour, de Courcelette
C’est de faire des activités familialesavec mes deux garçons et mon épouxcomme du VTT ou simplement faireles foins l’été avec mon père.Adjum Sylvie Bouchard, de Québec
C’est de sentir que ma fille a besoinde moi et de voir que je suis son mo-dèle... Elle veut me ressembler.L’amour que je ressens pour elle faitde moi une mère comblée.Josée Pelletier, de Saint-Laurent,Île d’Orléans
Je suis mère de trois enfants (12 ans,13 ans et 17 ans) et belle-mère detrois autres (11 ans, 13 ans et 17 ans)et ce qui me comble le plus, c’est deles avoir tous autour de la table àdîner à placoter et à rire. Je les aimetous tellement.Paule Cimon, de Québec
Notre miracle née le 18 avril 2002, masuperbe petite fille de 5 ans qui nousaime tellement et nous saute dans lesbras à tous les jours.Line Tremblay, de Courcelette
L’amour inconditionnel que l’on seporte mutuellement. Leur franchise
me fait souvent sourire et leur inno-cence m’intrigue. Grâce à leurcuriosité, ils éveillent la mienne. Parexemple, comment on explique àVincent, 6 ans, qui demande jusqu’oùva le ciel? Qu’est-ce qu’on peutrépondre à Nicolas, alors que l’onrevient à la maison en voiture le soiret qu’il nous demande pourquoi lalune nous suit? On fouille dans leslivres, encyclopédies, dictionnaires,etc. Je les regarde grandir et je me disdéjà qu’ils feront de «beaux grandshommes»!Tina Labonté, maman de Nicolas,9 ans, et Vincent, 6 ans, de Québec
De voir le sourire qui illumine le visage de mes deux trésors lorsqu’onpasse un bon moment à boire unchocolat chaud après être allé jouerdehors.Marie-Ève Boutet, de Québec
Voir mes enfants se réveiller le matin.Se faire dire «Maman, tu devraisouvrir un restaurant, c’est tellementbon».Sylvie Caron, de Québec
Voir le bonheur dans les yeux de mesenfants lors d’activités faites avec eux.Les voir grandir et devenir de plus enplus autonomes et responsables meremplit le cœur de joie et de fierté.Hélène Boudreau, de Shannon
La bonne humeur matinale de macadette, qui est contagieuse. L’amourinconditionnel de mes filles et leurjoie de vivre. J’admire leur innocenced’enfant face à la vie.Nadine Dumais, de Québec
«Olleux maman. Olleux bizou» Mafille de 2 ans.Nancy Dufour, de Québec
Ce qui me comble dans mon rôle demère, c’est que même si bien des foisje me sens dépassée par les événe-ments, le manque flagrant de temps,les crises de larmes et les millions decorvées qui font mon quotidien,quand je serre mes enfants dans mesbras, je suis vraiment heureuse.Quand j’en parle avec mes amis, je risaux éclats de toutes ces petiteschoses, qui plus tôt me dépassaient. Iln’y rien au monde qui me rende plusfière que mes filles, même si leursexploits ne sont que banals. Je lesaime tellement, je crois que je pour-rais tout donner pour elles sansregret. Je serais comblée de les voirgrandir et être heureuses.Sdt Brigitte Marcotte, de Courcelette
D’avoir la chance d’aimer mon enfantde tout mon âme et inconditionnelle-ment. D’avoir la chance de pleurer dejoie lorsque je le sers dans mes braspour la toute première fois. D’avoir lachance de partager son émerveille-ment et sa joie de vivre. D’avoir lachance de recevoir tout son amour.D’avoir la chance de le guider à traverla vie en lui donnant les outils pourqu’il s’épanouisse à son meilleure
potentiel. D’avoir la chance de lesoutenir lorsqu’il vit de duresépreuves. D’avoir la chance de l’aimerde tout mon cœur même lorsqu’il medéteste. D’avoir la chance de donnersans attendre en retour. D’avoir lachance d’avoir donné la vie, mais pardessus tout, de prendre soin de ce quim’a été prêté comme à la prunelle demes yeux.Marie-Ève Boivin, de Loretteville
Ce qui me comble dans mon rôle demère, c’est que tout est magique avecmes filles. Un câlin, un colleux, unbobo à baiser, leur faire découvrir lavie, tout cela me fait oublier mes tra-cas, et j’ai l’impression de redevenirune enfant avec elles!Stéphanie Côté, de Québec
De voir mes enfants apprendre desmilliers de choses et de voir l’émer-veillement dans leurs yeux quand ilsréussissent quelque chose de nou-veau.Catherine Cantin, de Québec
Ce qui me comble le plus dans monrôle de mère, c’est :- le sourire espiègle de mon plusgrand quand il va faire un mauvaiscoup- les rires de mon plus jeune quand jele chatouille- les câlins du plus vieux lors des réconciliations- les soupirs de bonheur du plus jeunequand je viens le chercher le matindans son lit- les cajoleries à quatre dans le lit lesmatins de fin de semaine- les efforts de mon plus jeune pourdevenir grand- la fierté du plus vieux quand il réus-sit à faire quelque chose sans aide,par lui-mêmeBref, ce qui me comble, ce sont toutesles petites choses qui font que mesjournées sont palpitantes, sur-prenantes et occupées! Un jour, mamère m’a dit que je comprendrais lafierté et l’amour inconditionnelqu’une mère porte à son enfant. Ehbien, aujourd’hui, je peux enfin com-prendre, car être mère est la plusbelle chose qui me soit arrivée... Celafait de moi une mère et une femmecomblée!Capt Julie Maillé, de Québec
Ce qui me comble le plus en tant quemère, c’est de voir ma fille s’épanouirde jour en jour; de la voir grandir,évoluer, gagner de l’assurance; de lavoir resplendissante de santé; d’en-tendre sa jolie petite voix m’appelermaman quand elle se réveille; derecevoir les plus beaux baisers dumonde par le petit être que je chérisle plus au monde. Valérie Gagnon, de Courcelette
Ce qui me comble dans mon rôle demère, ce sont ces petits plaisirs de lavie que ma fille et moi avons ensem-ble. Par exemple, déguster unsmoothie maison, jus d’orange et
Photo de Sandra Girard, particpipante
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Notre concours de la Fête des mères
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framboises, une de nos concoctionsfavorites. Voilà ce qui me rendheureuse. Nos marches de 30 mi-nutes pour ne se rendre qu’à20 mètres de l’appartement, car mafille débute cette grande aventureque peut être la marche. Voir s’illu-miner ses petites chaussureslorsqu’elle fait un pas... puis unautre. Ce sont ces petites choses dela vie qui me comblent. En fait, c’estvoir ma fille progresser dans le plusgrand intérêt de notre petite famillequi me remplit le cœur de bonheur.Sandra Girard, de Courcelette
Ma fille est née une semaine avantque mon conjoint ne soit déployé àKandahar. Ma fille me comble, carêtre maman m’a obligée à me pren-dre en main, à ne pas me laisserabattre par l’absence de mon con-joint. Elle m’a tenu compagnie pen-dant les sept mois de déploiement. Aussi, être maman nous fait voir lavie sous un autre angle, nos prioritéschangent. Je suis beaucoup moinségoïste; en fait, je ne pense qu’aubien-être de ma fille désormais.Isabelle Robichaud, de Courcelette
Ce qui me comble dans mon rôle demère, c’est tout ce que mon filsm’amène à découvrir. Il me permetde m’épanouir et de cheminer per-sonnellement et en couple. Nous for-mons une famille unie, amoureuse
qui profite de tous les bons momentsde la vie.Julie Blanchard, de Valcartier
De recevoir tout cet amour. Les voirgrandir, évolué, changer. Les voirsourire, être heureux et parfois êtremalheureux. Être là pour les suppor-ter, les aider, les féliciter. Partageravec eux les petits moments magiques quotidiens. Profiter dumoment présent. Avoir la chance deleur dire que je les aime, les prendredans mes bras, de leur mentionnerque je suis fière d’eux. Antoine,Ariane, Anabelle et Alexandre,maman veut vous dire que même siparfois il y a des moments difficilesparce que je suis seule à m’occuperde vous, l’amour, la joie que vousm’apportez me donnent l’énergie etle courage d’avancer et de foncerdans les moments plus difficiles de lavie. Vous êtes ma raison de vivre lesamours et je vous aime gros commel’univers à la puissance infinie.MamanCpl Isabelle Pagé, de Québec
Ce qui me comble dans mon rôle demère c’est...1-...ce qui m’a permis de me rallier àla réalité, de me recentrer sur lesvraies valeurs, la vraie vie;2-...le don de soi et l’amour inconditionnel;3-...la chance d’avoir vu grandir en soiet après ces petits miracles de la vie;4-...de les aimer, les consoler, les édu-quer, les amuser, les écouter...;5-...de rester soi-même, d’apprécierchaque instant qui passe et de lesavourer pleinement;6-...finalement, d’être fière d’être lamère de Jade, Laurie, Kim et bébé àvenir...Cplc Isabelle Boutet, de Québec
J’ai toujours voulu faire ma part pourchanger le monde alors j’ai fait del’entraide humanitaire au Costa Rica.Le projet a très bien fonctionné etnous avons atteint nos objectifs.Cependant, je me suis rendue comptequ’il n’était pas nécessaire d’aller à
l’autre bout de la planète pour faireune différence autour de moi.Je crois aujourd’hui que la meilleurefaçon d’apporter un peu de soi,d’améliorer les choses de ce mondeest de le faire avec sa propre famille.Alors ce qui me comble en tant quemère, c’est d’avoir la possibilité d’in-culquer à mon enfant les valeurs aux-quelles je crois profondément, unevision de la vie positive et le couraged’être et de vivre qui nous sommesréellement. Être maman me comble,car cela me donne l’opportunité decréer mon propre univers tel que je leconçois avec mon garçon. Les valeurset façons de penser et de faire denotre société que je n’aime pas,
j’évite de les transmettre à monenfant et au contraire, ce que je veuxqu’il apprenne et retienne de celle-ciet bien je lui apprends qu’il est biende le faire.Finalement, être mère me comble carje peux me réaliser à travers le rôle deparent en accompagnant mon filsdans sa propre vie vers son bonheur àlui et du même coup je m’approchedu mien.Merci à mon fils Gabriel qui mecomble de bonheur.Ghislaine Landry, de Courcelette
L’amour et l’affection que mon enfantmanifeste pour moi et son père.Thu Nguyen, de Courcelette
La fête des Mères célébrée depuis l’AntiquitéPar le sergent Martin CôtéService Alimentation, Garnison Valcartier
La fête des Mères, on en parle, on lafête à toutes les années, sans en con-naître les origines. La fête des Mèreremonterait à l’Antiquité. Eh oui, lesmamans étaient déjà fêtées lors decultes dans les sociétés anciennes, auprintemps. Cette tradition tomba unpeu en désuétude vers le 4e siècle.
Elle réapparut d’abord chez lesAnglais au 15e siècle (dimanche desmères). Elle fut par la suite mise augoût du jour en Amérique du Nord en1872 par Julia Ward Home, écrivaincélèbre, afin que la fête des Mères soitun jour de paix. En France, Napoléoninstaura une fête des Mères célébréeaussi au printemps.
La fête des Mères fut proclamée jourde congé national en 1914 aux États-Unis puis au Canada et au Mexique.La fête des Mères fut par la suite offi-cialisée pour promouvoir les vertusde la famille.
Comme vous voyez, cette fête nedate pas d’aujourd’hui. Que ferions-nous sans notre mère? Elle est tou-jours là pour soigner nos bobos, pournous consoler lorsque nous vivons unepeine, elle sert d’intermédiaire avecnotre père lorsque nous avons quelquechose à lui demander et elle est tou-jours disponible pour nous écouter.
Les beignes de mamanPar le sergent Martin CôtéServices Alimentation, Garnison Valcartier
Ma mère nous préparait, à moi et à mon frère,une recette de beignes qui provient de ma grand-mère maternelle. Je me rappelle que lorsque mamère faisait cette recette, nous étions assis à côtéd’elle et nous nous remplissions la «panse» à nousen rendre malades lorsque les beignes sortaientde l’huile. J’espère que vous aurez autant deplaisir à réaliser cette recette avec vos enfants quej’en ai eu avec ma mère.
Ingrédients5 cuillères à table de beurre salé4 œufs moyens 5 1/2 cuillères à thé de poudre à pâte1/2 tasse de lait 2%1/2 tasse de crème 15%1 cuillère à thé de vanille 1 tasse de sucre5 tasses de farine tout usageDonne 20 beignes
-Étape 1 : mélanger tous les ingrédients secs.Mettre de côté.-Étape 2 : mélanger le lait, la crème et la vanilleensemble. Mettre de côté.-Étape 3 : battre le beurre et la moitié du sucrejusqu’à une consistance crémeuse. Mettre de côté-Étape 4 : fouetter l’autre moitié du sucre avec lesœufs. Mettre de côté.-Étape 5 : mélanger l’étape 3 avec l’étape 4 pen-dant une minute ou jusqu’à l’incorporation desdeux mélanges.-Étape 6 : ajouter en petite quantité la farine enalternant avec le lait au mélange de l’étape 5jusqu’à l’obtention d’une boule.-Étape 7 : rouler la pâte et utiliser un emporte-pièce pour façonner les beignes. Cuire dans l’huilevégétale ou canola à une température de 350degrés Farenheit jusqu’à l’obtention d’unecouleur dorée.Suggestion pour décorer vos beignes avant quevos enfants grands ou petits les mangent : lesrecouvrir avec du sucre en poudre, ou unmélange de sucre en poudre avec du cacao, ou desucre granulé avec de la cannelle, ou faire fondredu chocolat et y tremper les beignes.
Notre gagnanteUn tirage a eu lieu parmi toutes les participantes et c’est MME BRIGITTE MARCOTTE, de Courcelette qui est l’heureuse gagnante de notre concours. Elle remporte :- Un forfait-détente d’une valeur de 100$ comprenant un bilan-santé, un mas-sage de détente, une balnéothérapie et une pause santé, gracieuseté de Centrede Santé Mieux Vivre- Un chèque-cadeau d’une valeur de 50$, gracieuseté de la boutique NJ & Cie,cadeaux-décor- Un arrangement floral, gracieuseté de Fleuriste Flora-Gi- Un chèque-cadeau d’une valeur de 50$, gracieuseté de CANEX
Félicitations à notre maman comblée et merci à toutes les autresmamans qui ont pris quelques minutes de leur précieux temps pourparticiper à notre concours!
Photo : Clipart.com
Photo de Ghislaine Landry, participante
Ce qui me comble le plus dans mon rôle de mère...Notre concours de la Fête des mères
3107, avenue des Hôtels, Sainte-Foy, (Québec), G1W 4W52014 boul. Fossambault Ste-Catherine G0A 3MO
Fax : 875-0413 • Courriel : [email protected]
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M e M a r l è n e Plamondon
Notaire
Médiation familiale
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• Partage du temps de vie parents/enfants• Partage de la contribution alimentaire• Partage des biens• Rédaction de la convention des ententes
séparation - divorce à l’amiable
GRATUITÉ DE 6 SÉANCESpour couple avec enfant(s)
• Testament• Procuration• Union de fait
• Succession• Mandat d’inaptitude• Contrat de mariage
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Centre de Santé Mieux Vivre2138 Chemin des Trois Lacs, Tewkesbury
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848.0510
Forfait détenteinclus:Bilan santé
Balnéothérapie aux choix
Massage détente avec huiles essentielles
Collation
2 HEURES DE PURE RELAXATION !Spécial 100.00$ (taxes incluses)
du 13 mai au 13 juin 2008
Avec tout achat d’un forfait pour la Fête des mères,participation au tirage d'une nuité dans unluxueux condo le 13 mai 2008, gracieuseté de
Mieux Vivre! (valeur de 200.00$)
SPÉCIALFÊTE DES MÈRES
Alors en cette journée, prenons letemps de l’appeler pour lui dire quenous l’aimons et que nous apprécionsce qu’elle a fait et ce qu’elle continueà faire pour nous. Mais il ne faudraitpas attendre cette journée pour avoirune pensée pour notre mère et leurdire que nous l’aimons. Et en passant,n’oubliez pas vos épouses, car ellesaussi sont des mères.
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PROMOTIONSANTÉde la
PROMOTIONSANTÉ
Être bien dans sa tête, çaregarde tout le monde!Le thème de la Semaine antistress, qui sedéroule du 5 au 11 mai, a été choisi parl’Association canadienne de la santé men-tale pour mettre en évidence que le bien-être psychique de tout individu n’est pasuniquement une responsabilité individu-elle mais une responsabilité collective.
Tous doivent veiller à diminuer les sur-charges de stress dans la vie de chacun.Peu importe le milieu, le rôle et le statutdes individus, il est essentiel de créer denouvelles façons d’interagir pour dimi-nuer le stress individuel et collectif, d’utiliser de nouvelles façons de faire etd’agir.
Voici donc quelques trucs pour mieuxgérer son stress au quotidien :
- Enrichissez le regard que vous portezsur les autres. Apprenez à bien connaîtreles personnes avec lesquelles vous tra-vaillez afin d’évitez de les juger trop rapidement.
- Essayez de vous concentrer sur lessolutions et non sur les problèmes lorsquevous entrez en relation avec les autres.
- Ajustez votre échelle de «gravitude».Est-ce vraiment grave si ce que vous faitesn’est pas parfait? Réajustez vos standardspour qu’ils soient réalistes, car des stan-dards irréalistes, même s’ils sont élevés,vous donnent moins de résultats que desstandards moins élevés mais réalistes.Surtout, n’oubliez pas le plaisir dans ceque vous faites : il est à la base de la moti-vation et de la joie de vivre.
- Maîtrisez votre colère. Soyez à l’é-coute des moments où vous sentez lamoutarde vous monter au nez. Il nousarrive à tous de nous emporter à la suitede situations beaucoup moins importantesqu’il n’y paraît. La prochaine fois qu’unetelle situation se produira, demandez-voussi cela vaut vraiment la peine de vivre unmoment de stress et de colère pour cetteraison. Vous entraîner à maîtriser votrecolère est une bonne manière de réduirele stress. C’est tout le monde qui y gagn-era!
- Complétez vos activités une à la fois.L’impression de surcharge occasionneaussi du stress. Si vous vous concentrezsur vos tâches une à la fois, vous verrezmoins comme une montagne tout ce quevous avez à faire. Et à chaque nouvelleresponsabilité que vous éliminerez, en plusdu sentiment de satisfaction, vous voussentirez soulagé. Un pas à la fois, c’est lemeilleur moyen d’escalader une montagne.
- Attaquez le stress en groupe (l’unionfait la force). Consultez les personnes quipartagent l’environnement et les causesdu stress auquel vous faites face pour voir
comment, collectivement, vous pouvez leréduire. Pouvez-vous changer la disposi-tion des bureaux, réduire les déplacements,diminuer la force des sonneries de télé-phone? Pouvez-vous améliorer la commu-nication et clarifier des malentendus?Pouvez-vous enrichir les valeurs de votregroupe pour que le respect soit mis de l’avant?
- N’hésitez pas à consulter lesressources (livres, sites Internet, etc.)et les professionnels qui peuvent vousaider à maîtriser le stress. Cet enneminuit autant aux groupes et aux organisa-tions qu’aux personnes. Avec de la créa-tivité et de la bonne volonté, il ne fait aucundoute que vous pourrez réduire le niveaude stress que vous vivez, pour libérer desforces vives qui ne demandent qu’à s’é-panouir!Référence : Nicolas Sarrasin, M.A., conférencier et auteur,Coffre à outils, Semaine anti-stress.
Vivez-vous du stress?
Aujourd’hui, la quêted’une certaine vision dela réussite et de la per-formance nous fait sou-vent brûler la chandellepar les deux bouts. Unebonne gestion du stressest vitale pour aug-menter notre niveaud’énergie, améliorer laqualité de nos relationset de notre vie.
C’est ce que vous pro-pose le département dela Promotion de la santéen permettant une prisede conscience de vos habitudes de vie eten vous offrant des outils afin de maîtri-ser le stress dans votre vie.
La Promotion de la santé offre une ren-contre de 3 heures et demie sur la gestiondu stress : le mardi 13 mai à 8 h 30 aucentre communautaire (bât. 93), local 206.
Atelier «La colère :pour ou contre soi!»
Gardez son calme toutela journée, oui c’est pos-sible! Découvrez ouinventez d’autresmanières de réagir auxfrustrations quotidi-ennes, que ce soit sur laroute, avec votre famille,vos collègues de travailou même avec les objetsqui ne veulent pas fonctionner.
Cet atelier se veut pra-tique et concret. Il vouspermettra de mieuxcomprendre votre colère et ainsi d’avoirdes trucs pour mieux la gérer afin d’éviterde vous mettre dans tous vos états. Vousne vous en porterez que mieux!
La Promotion de la santé vous offreun atelier de 4 heures sur la gestion desmoments de colère : le jeudi 15 mai de8 h à 12 h au Centre communautaire (bât.93), local 206-208.
Atelier «Bouffe-santépour un rendementassuré!»
Lorsque vous vousentraînez, ce que vousmangez fait la dif-férence! Si voussouhaitez obtenirdavantage de vosentraînements, il estessentiel de faire le pleinavec des aliments debonne valeur nutritiveau bon moment. Unealimentation riche ennutriments à des intervalles réguliers estfondamentale pour tous les gens actifsphysiquement. Cet atelier vous donnerales outils pour examiner vos habitudes ali-mentaires et maximiser votre énergie avant,pendant et après votre activité physique.
En combinant de bonnes habitudes ali-mentaires à votre programme d’activitéphysique, vous pourrez améliorer votreperformance, contrôler votre poids et jouird’une meilleure santé! Bien manger : unestratégie gagnante!
L’atelier aura lieu le mercredi 28 maide 8 h à 12 h au Centre des sports (bât.516), local 182.
INSCRIPTIONS- Gestion du stress : au plus tard le 8 mai;- Gestion des moments de colère : au plus
tard le 12 mai;- Bouffe-santé : au plus tard le 23 mai. Veuillez contacter Sylvie Heintz au 844-5000,poste 4677, ou écrire à l’adresse +PromoSanté@5 GSS USS@Valcartier, de l’exté[email protected].
PARTICIPEZ À NOTRE CONCOURS DE RECETTESET COUREZ LA CHANCE DE GAGNER!
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Sept réservistes du 62 RAC honorés par laSociété d’histoire militaire mauricienne
Par le sergent Marie-Josée Audet62e Régiment d’artillerie de campagne
Sept réservistes du 62e Régiment d’ar-tillerie de campagne (62 RAC) de retourd’Afghanistan ont été honorés de bellefaçon par la Société d’histoire mili-taire mauricienne en collaboration avecla Ville de Shawinigan et le 62 RAC lorsd’un dîner à la chandelle qui a eu lieu le12 avril.
Les sept réservistes, nommés prési-dents d’honneur de la soirée, ont été
chaleureusement accueillis par les 150convives venus leur rendre témoignageau manège militaire de Shawinigan.
Présente, la mairesse de Shawinigan,Lise Landry, a tenu à féliciter les mili-taires pour leur participation à la mis-sion en Afghanistan.
Après le dîner, les militaires ont étéintroduits comme membres de la Sociétéd’histoire militaire mauricienne.
Debouts : lcol Kenneth Haeck, commandant du 62 RAC, bdr Mathieu Thiffeault, capitaine PatrickDesrosiers, Lise Landry, mairesse de Shawinigan, bdr Karl Tabarès-Chevarie, bdr Steve Gauthier,Guy Arcand, président de la Société d’histoire militaire mauricienne. Assis : bdr Simon Bourré-Laprise, bdr Patrick Jacques et art Frédéric Couturier. -Photo : Caporal-chef Annie Garceau
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EMBLÈME FLORAL DU 400E ANNIVERSAIRE DE LA CAPITALE
Le rosier Cap-Diamantsur le marché dès maiDéveloppé par le pépiniériste QuébecMultiplants en partenariat avec la Sociétédu 400e anniversaire de Québec, la Villede Québec et la Commission de la capitalenationale du Québec, le rosier commé-moratif du quatricentenaire de la fonda-tion de la capitale a fait son apparition surle marché, dès les premiers jours de mai.
Répondant au nom de Cap-Diamant, lerosier arbustif développé pour les célébra-tions de l’année 2008 est une plante rus-tique bien adaptée aux conditions cli-matiques du Québec. Emblème floral du400e, le rosier Cap-Diamant ne nécessiteaucune protection hivernale et offre uneexcellente résistance aux maladies com-munes des rosiers. Seul un léger nettoy-age printanier s’avère de mise pour le renou-vellement de sa floraison qui, du moisde juin aux gelées automnales, exhaleun léger parfum épicé.
Quelque 7000 rosiers Cap-Diamant seronten vente auprès d’une centaine de détail-lants participants de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et du Québec.
ROSIER ARBUSTIF RUSTIQUE AUX FLEURS ROSE MOYEN
Classe : ArbustifHauteur : Environ 1,0 à 1,4 mètrePort de la plante : Arqué et érigé, bienbranchéLongueur des tiges : De 20 à 50 cen-timètresCouleur du feuillage : Vert moyen avec desteintes de couleur oliveRésistance aux maladies : ExcellenteCouleur des fleurs : Rose moyenForme des boutons floraux : Ronds etglobuleuxForme des fleurs : Formes anciennes, fleursbien rondesGrosseur des fleurs : Entre 7 et 10 cen-timètresNombre de pétales : Près de 25 pétalesParfum : Intensité moyenne, parfum épicéHybrideur : Christian Bédard, un QuébécoisTemps de floraison : Juin aux gelées(remontant)Caractéristiques intéressantes :• Cette variété est parfaitement rustique etbien adaptée aux conditions rigoureuses duQuébec. La plante n’a besoin d’aucune pro-tection hivernale et ne nécessitera qu’un légernettoyage printanier pour recommencer sa flo-raison.• C’est une des plantes offrant la meilleurerésistance aux maladies communes desrosiers. Cette variété est résistante à la tachenoire, à l’oïdium, à la rouille et au mildiou.• Plant vigoureux recouvert d’un beau feuillagevert pâle semi-luisant.• La pollinisation donnant naissance à cettenouvelle variété a été exécutée à Québecdurant l’été 1999. La plante a survécu sansdommages hivernaux à sept hivers.• Fleurs parfumées avec des arômes d’épicessemblables à ceux des rosiers de type spin-osissima.
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La Bataille des Plaines d’Abraham (2e partie)N.D.L.R. En cette année où la ville de Québeccélèbre son 400e anniversaire, le journalAdsum a obtenu la collaboration de M. FlorentTremblay dont les textes vous raconteront lafondation et l’histoire de notre ville, en accor-dant une attention toute spéciale à son passémilitaire.Par Florent Tremblay CD, PhD, collaborateur journal Adsum
Ce soir-là du 12 septembre, Montcalm étaitau camp de l’armée française, à Beauport;tout était calme, trop calme, peut-être! Parmesure de précaution, il donna ordre à unbataillon d’aller camper à l’Anse-au-Foulon,mais un de ses officiers supérieurs -Vaudreuil - révoqua cet ordre.
Vers une heure du matin, dans la nuitdu 13 septembre, on assista à un ballet denavires sur le fleuve : les soldats britan-niques qui campaient à la pointe Lévy età Saint-Nicolas prirent place à bord desbarges de débarquement. Certains bâti-ments remontèrent le fleuve jusqu’à Cap-Rouge; d’autres allèrent jeter l’ancre enface du camp de Beauport pour faire croireà un débarquement aux deux endroits.Mais pendant ce temps, les troupes désignéespour le débarquement de l’Anse-au-Foulonse laissaient descendre lentement avecla marée.
Un peu avant 4 heures, les frégates ancréesdevant Québec commencèrent un violentbombardement de la ville. Un certain offici-er britannique du nom de James Murray(ce nom vous dit quelque chose?) et unequarantaine d’hommes en profitèrent pourgagner la rive de l’Anse-au-Foulon. Lessoldats français qui avaient pour missionde surveiller le rivage, furent trompés; ilscroyaient avoir affaire à leurs bâtiments
apportant des vivres; ils leur souhaitèrentmême la bienvenue!... Une fois à terre,Murray fit le signal convenu aux occu-pants des autres barges. Le général Wolfeet une soixantaine de ses hommes se présen-tèrent. Un premier détachement grimpajusqu’aux plaines. Sur les hauteurs, leshommes de Murray s’emparèrent du pre-mier poste de garde où se trouvaient unetrentaine de Français, dont bon nombredormaient. Ce fut le commencement dela fin!
L’AFFRONTEMENT DES DEUX ARMÉESÀ 5 h 30, on donna l’alerte dans la ville.
Le nombre de soldats britanniques ne ces-sait d’augmenter sur les plaines. L’arméefrançaise qui avait passé la nuit en bivouacau camp de Beauport, ignorait tout dece qui venait d’arriver. Soudainement, unCanadien arriva à la course; il faisait par-tie de la garde de l’Anse-au-Foulon et ilraconta qu’il avait été le seul à pouvoirs’enfuir...
Un peu avant 6 h 45, Montcalm et unecentaine d’hommes quittèrent précipita-
mment le camp de Beauport, traversèrentau pont de la rivière Saint-Charles etarrivèrent sur les plaines d’Abraham vers8 heures et, immédiatement, pour impres-sionner l’ennemi, se placèrent en ordre debataille. Peu avant 10heures, l’armée bri-tannique fit de mêmeet s’aligna sur deuxrangs.
Wolfe plaça ses4400 hommes enligne de combat. Montcalm, à cheval, seplaça au centre, devant ses 4500 combat-
tants. L’armée britannique se composaitpresque exclusivement de soldats réguliers,habitués à combattre en rangs et à obéiraux ordres. Les troupes de Montcalm étaientmoins homogènes; ses bataillons compre-naient un bon nombre d’habitants, incor-porés parmi les soldats et disposés sur troisrangs.
Vers 10 heures, Montcalm ordonna d’avancer en ligne de combat. Les bel-
ligérants n’étaient plus qu’à 20 mètres. Lessoldats britanniques subirent deux ou troisdécharges sans riposter. Un genou parterre, la première ligne attendait l’ordrede tirer. Chaque soldat avait mis deux balles
dans son fusil. Le feude cette premièreligne éclata commeun coup de canon. Ducôté français, ce futla débandade. La sec-onde ligne de soldats
britanniques n’eut même pas à tirer. Lestroupes françaises se replièrent en désor-dre, vers l’intérieur de la ville.
En moins d’une demi-heure, le combatprincipal était terminé. Des deux côtés,les morts et les blessés étaient nombreux.Wolfe, d’abord blessé à une main, reçutensuite une balle au poumon droit.S’étendant sur le côté, il dit : «Ils fuient...Maintenant, Dieu soit loué! Je peux mouriren paix.» Et il expira peu après. Montcalmconnut un sort semblable. Blessé mortelle-ment, il fut ramené à l’intérieur des mursde Québec, soutenu par trois soldats; ildécéda la nuit suivante.
Chez les Britanniques, on dénombra58 tués et 596 blessés. Chez les Français,les pertes furent trois fois plus nombreuses.
Amis lecteurs et lectrices, n’allez surtoutpas croire que c’est ici la FIN de la prisede Québec; cette guerre va durer encoreau moins huit mois, les Français vontreprendre pied sur les hauteurs des plaines,mais... C’est ce que nous verrons dans leprochain article.
Peinture représentant Wolfe au moment de rendrel’âme.
Dans la nuit du 13 au 14 septembre, Montcalmreçut les derniers sacrements et mourut.
Soudainement, un Canadien arriva à lacourse; il faisait partie de la garde de
l’Anse-au-Foulon et il raconta qu’il avaitété le seul à pouvoir s’enfuir...
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APPEL À TOUS FO 3-07Afin que la FO 3-07 passe à la postérité, lejournal Adsum s'apprête à publier une sec-tion spéciale. Nous sommes à la recherchede témoignages provenant de militairesou civils déployés, conjoints, enfants etparents sur cette grande aventure. Partagezavec nous votre fierté d'avoir contribué à l'avancement d'une nation. Faites-nous con-naître les petits et grands moments de cedéploiement. Racontez-nous vos retrou-vailles en famille. Nos pages vous sontouvertes! Vous pouvez dès maintenant nousenvoyer vos textes et photos à[email protected]
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UN FESTIVAL DU FILM G.I.
De nombreux par-ents félicitent leurenfant d’un travailbien fait; pour eux,c’est naturel.Saluer les réussitespar des paroles etdes gestes estpresque una u t o m a t i s m e .Mais est-ce que cesseuls gestes fontd’eux de bons par-ents?
Même si lesenfants réagissentbien à de telles man-ifestations d’amouret de soutien de lapart de leurs par-ents, l’établissementet le maintien d’unerelation fructueuseavec ses enfants vont beaucoup plus loin.
«Veiller à la bonne éducation de sonenfant ne se résume pas par le simple faitd’être gentil avec celui-ci», explique ChayaKulkarni, spécialiste en éducation desenfants pour Investir dans l’enfance. «Unbon parent est affectueux, compréhensif,raisonnable, un enseignant protecteur etun modèle.»
«En s’appuyant sur des décennies derecherche afin de découvrir les liens entrele comportement des parents et la façondont les jeunes enfants réagissent aux dif-ficultés de la vie, la conduite des parentsinflue considérablement sur l’évolutionde l’enfant et permetde créer une relationchaleureuse, derespect et d’affec-tion entre les par-ents et leursenfants.»
L’importance d’unbon comportement des parents est soulignéedans deux études canadiennes notables.Les résultats d’un sondage de StatistiqueCanada ont révélé que près de 30 p. 100des nouveau-nés et des jeunes enfantssouffrent de problèmes sociaux, affectifsou de problèmes d’apprentissageattribuables à l’absence d’une éducationadéquate. L’Enquête nationale auprès desparents de jeunes enfants menée par Investirdans l’enfance montre que bien que neufparents sur dix croient que l’éducationdes enfants est la chose la plus importantequ’ils font; ils pourraient tout de même
être plus efficaces dans leurs méthodes etréduire les punitions.
Investir dans l’enfance a conçu une méth-ode pratique et fascinante pour encou-rager une bonne éducation. Une approcheparentale simple : réconforter, jouer etenseigner repose sur trois interactionsde base entre les parents et leurs enfants.Chaque geste de réconfort, de jeu ou d’en-seignement d’un parent entraîne une réac-tion prévisible chez l’enfant.
L’approche enseigne aux parents com-ment transformer des moments simplesdu quotidien en occasions d’éducation.
Les parents peuventainsi voir commentleurs gestes influ-ent sur la réactionde leur enfant. Etchaque réaction dece dernier motiveles parents à en faireplus. Ce cercle d’ac-
tion-réaction, soit réconforter, jouer etenseigner, permet aux parents de consolid-er leurs connaissances, leurs aptitudes etleur confiance au sujet de l’éducation etdu développement de l’enfant, d’appuyerle développement social, affectif et intel-lectuel de l’enfant et de forger un lien solideentre le parent et l’enfant.
L’IMPORTANCE DE RÉCONFORTER LES ENFANTS
«Si l’on a appris quelque chose dans lespublications savantes des 25 dernièresannées, c’est l’importance de réconforterles enfants, de jouer avec eux et de leur
apprendre des choses», précise Mme CarolCrill Russell, associée principale à larecherche pour Investir dans l’enfance.
Le réconfort est la première chose dontles bébés ont besoin de leurs parents. Ceténoncé est clairement appuyé par larecherche sur l’attachement, la dépres-sion, le style d’éducation adopté par lesparents et la discipline, qui prouve queles enfants s’épanouissent davantage dansles milieux où il y a beaucoup de tendresse,où règne une bonne ambiance et où l’onrecourt rarement aux punitions et à lacolère. Les bébés qu’on réconforte appren-nent à se sentir en sécurité, à se sentiraimés et valorisés.
Le jeu est le travail des tout-petits et lesparents sont des partenaires essentiels.C’est un aspect essentiel de l’apprentis-
sage du langage, de la créativité et de labonne entente avec autrui. Lorsque lesparents jouent avec leurs enfants, cesderniers apprennent à explorer et à décou-vrir le monde qui les entoure et leur rôledans ce monde.
C’est grâce à l’enseignement que les pa-rents aident à leurs enfants à appren-dre. On a affirmé plus d’une fois que l’en-seignement est crucial dans ledéveloppement intellectuel, moral etéthique. Lorsque les parents enseignentquelque chose à leurs enfants, ces derniersapprennent à agir avec les autres, à résoudredes problèmes et à communiquer.Pour en apprendre davantage au sujet du bon comporte-ment parental et sur »Une approche parentale simple :réconforter, jouer et enseignerMD», consultez le www.investir-danslenfance.ca.
Par Simon BaillargeonJournal Adsum
Du 14 au 18 mai prochain aura lieula 2e édition du festival du film G.I.dans la ville de Washington, aux États-Unis.
Premier festival de la sorte à se teniren sol américain, il a pour but de célébr-er le succès et les sacrifices des militairesaméricains à travers le septième art.
Au cours de ces cinq jours de célébra-tions du film militaire, les spectateursauront l’occasion de découvrir de nou-
veaux cinéastes qui honorent les histoireshéroïques des forces armées américaineset de redécouvrir d’autres cinéastes bienconnus.
Tous les films présentés auront cepen-dant une chose en commun. Selon le siteInternet du festival, ils exprimeront d’unefaçon ou d’une autre le courage et l’altru-isme des soldats.
Ouvert aux producteurs de films detoute expérience, le festival remettra desprix dans trois catégories principales, soitdocumentaire, court métrage et longmétrage.
Lorsque les parents jouent avecleurs enfants, ces derniers
apprennent à explorer et à décou-vrir le monde qui les entoure et
leur rôle dans ce monde.
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tard le jeudi 15 mai.
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EXPOSITION ANNUELLE DU CERCLE DES FERMIÈRES DE VAL-BÉLAIR
Le Cercle de Fermières de Val-Bélairtiendra son exposition annuelle sous lethème «Le vent dans les voiles», le same-di 24 mai de 13 h à 19 h et le dimanche25 mai de 9 h à 16 h, au Bureau d’arrondisse-ment Laurentien, Centre culturel GeorgesD’Or, 3490 route de l’Aéroport, Québec.Bienvenue à tous. Infos : Françoise Dumas843-4780.
DÉJEUNER MAISON DE LA CATHLIC WOMENLEAGUE
Le dimanche 25 mai, la Catholic WomenLeague (CWL) de Shannon vous invite àun déjeuner maison au centre commu-nautaire de Shannon, 75, rue Gosford. Ledéjeuner sera servi de 9 h à midi. Le coûtest de 6$ par adulte, 4$ pour les enfantsâgés de 6 à 12 ans et gratuit pour les enfantsde 5 ans et moins. Sur place, vente de cais-settes de fleurs annuelles et de semis delégumes du Centre jardin L’Oiseau duParadis, de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Bienvenue à tous!
CATHOLIC WOMEN LEAGUE’S BREAKFASTOn Sunday May 25, 2008 the CWL of
Shannon will hold a community break-fast from 9 a.m. to 12 p.m. at the ShannonHall, 75 Gosford Road, Shannon. The priceis $6 for adults, $4 for children from 6 to12 and free for children 5 and under. Alsobeautiful flats and vegetables from CentreJardin l’Oiseau du Paradis of Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier will be sold. See youthen!
MESSE À LA CHAPELLE ST-JOSEPHLa chapelle St-Joseph invite la popula-
tion à la célébration de la messe tous lesdimanches à 9 h 30. Une messe pour lesjeunes est aussi tenue le deuxième dimanchede chaque mois. Services en anglais unique-ment. Chapelle St-Joseph, 94 rue St. Patrick,Shannon.
ST-JOSEPH’S ROMAN CATHOLIC CHAPELThe St-Joseph’s Roman Catholic Chapel
invites people to the Sunday morning serv-ice at 9:30 a.m. Please note that the chil-dren’s mass are held the second Sundayof every month. All masses celebrated inEnglish. St-Joseph Roman Catholic chapel,94 St. Patrick street, Shannon.
L’HARMONIE DE VAL-BÉLAIR EN CONCERTDans le cadre des festivités du 400e
anniversaire de Québec, L’Harmonie deVal-Bélair se produira les 19 et 26 juin, à19 h 30, sur la scène des Jardins éphémèresd’Espace 400e. L’Harmonie sera aussi enconcert le 20 juin, à 19 h 30, lors du Festivaldes harmonies de Québec au site historiquede la Maison Girardin, à Beauport, et ferapartie du concert des fêtes de quartier«Laurentien en fête», le 23 juin, au parcde la Chanterelle à Val-Bélair, à 20 h. Infos :Nancy Voiselle 661-4822.
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Rencontrez votre conseillerdes SRRL-Vous serez ainsi informé desdépenses remboursables.-Vous évitera de prendre desdécisions qui pourraient avoir unimpact majeur défavorable àvotre situation.Partez en VRD une fois votre rési-dence actuelle vendue.-Permet de planifier un démé-nagement porte-à-porte.-Permet d’éviter d’avoir des fraisreliés à deux résidences enmême temps.Choississez un agent immobilier (pour acheter à destination)-Fera les recherches pour vousselon vos critères.Tirez profit de l’appui d’uneagence de recherche de loge-ment (pour louer à destination).-Fera les recherches pour vousselon vos critères.-Vous prendra en charge pendantvotre VRD.Obtenez une préautorisationhypothécaire (avant votredépart en VRD)-Recherches axées uniquementsur les propriétés que vous pou-vez effectivement vous permet-tre.-Protège de toute hausse poten-tielle des taux d’intérêts pendantune période donnée.
Prévoyez un accompte(achat)-Requis au moment de la présen-tation d’une promesse d’achat. -Montant varie d’une région àune autre, demandez à votreagent immobilier.Prévoyez un dépôt degarantie (location)-Exigé dans certaines provinces(interdit au Québec).-Certains propriétaires peuventréclamer à l’avance le loyer du1er et du dernier mois du bail.-Apportez des chèques.Signez une prise de posses-sion le plus près possible devotre date de déménagement-Élimine des séjours de longuedurée à l’hôtel avec toute lafamille.-Élimine les besoins de l’entre-posage temporaire de vosmeubles et effets, donc par con-séquent, diminue les risques debris lors du déménagement.Ayez en mains le répertoiredes Inspecteurs, notaires,avocats participants-Disponible au site Webprotégé/formulaires/répertoiredes fournisseurs participants.-Ces fournisseurs enverront leurshonoraires directement à votreconseiller du SRRL.
Par Guylaine FortinJournal Servir
Pour plusieurs d’entre nous, démé-nager rime avec angoisser. Or,lorsque l’on joint les rangs del’Armée, on prend en quelque sorteun abonnement avec les camionsde déménagement. Heureusement,les Forces canadiennes apportenttout le soutien nécessaire à leurssoldats. Bien avant que la sectiondu Mouvement ne s’occupe desmeubles et des boîtes, transactionsimmobilières et annulations de bauxsont supervisées par les Servicesde relogement Royal LePage. Lejournal Adsum vous présente cesspécialistes qui ont à cœur le foyerde nos troupes.
Chaque année, des centaines de mili-taires arrivent ou quittent la région deQuébec. Pour chaque famille, qu’ellequitte un logement ou sa résidence, ilfaut régler les détails liés au départ etfaire le nécessaire pour qu’elle retrou-ve un endroit confortable où emménag-er.
Les Services de relogement RoyalLePage (SRRL), qui existent depuis 1964,sont la plus grande société de reloge-ment au Canada. Les employés du gou-vernement fédéral (ministères et agences),du Conseil du Trésor et de la Gendarmerieroyale peuvent compter, tout commeceux des Forces canadiennes, sur leurexpertise. Aux garnisons Valcartier,Montréal et Saint-Jean, les SRRL sedévouent exclusivement aux membresde la communauté militaire.
Grâce au Programme de réinstalla-tion intégré (FC PRI), les militaires sontà même d’effectuer leur déménagementd’une porte à une autre, sans trop de
soucis. En effet, dès leur inscription, ilssont jumelés à un conseiller qui les épaulepersonnellement tout au long du proces-sus. Lorsqu’ils arrivent enfin à destina-tion, leur dossier est transféré au bureaudes SRRL de leur nouveau lieu de rési-dence. On s’occupe alors de le réviser etd’effectuer les derniers remboursementsde dépenses.
LORSQU’IL FAUT VENDRE SA MAISON...Les SRRL ne sont pas là pour vendre
la propriété du militaire. «Le gouverne-ment souhaite rendre les membres desForces de plus en plus responsablesde leur déménagement, note MmeMadeleine Audet, chef d’équipe et con-seillère en relogement à la GarnisonSaint-Jean. Conséquemment, nous nefaisons pas les choses à leur place. Noussommes là pour les accompagner etsuperviser leur transaction immobilièreainsi que leur déménagement.»
Ainsi, les militaires sont libres dechoisir leur agent d’immeuble. Les SRRLs’assureront toutefois que le contrat decourtage respecte les normes quant auxpourcentages de commission et ils serontparticulièrement attentifs au contenudu rapport de mise en marché de l’im-meuble. Si la propriété n’est pas vendueau bout de 30 jours, l’agent devra fournirun rapport. «Cela nous permet de con-naître le nombre de visites qui ont eulieu. Au besoin, nous mettons alorsquelques incitatifs de l’avant pour favori-ser la transaction.»
ET EN ACHETER UNE AUTRE!Lorsque la propriété trouve finale-
ment un acquéreur, la pression tombe.C’est généralement à ce moment que lapetite famille part pour le voyage derecherche d’un domicile. Les SRRL s’oc-
cupent alors de réserver les billets d’avionet la voiture de location si le nouveaulieu de résidence est suffisamment éloigné.Le militaire, équipé de sa trousse d’ori-entation et muni de son dossier de créditpréautorisé, possède alors tous les ou-tils nécessaires pour effectuer une offred’achat sur une propriété. Puisque lesfrais de notaire (ou d’avocat, selon lesprovinces) et d’inspection de la rési-dence sont remboursés, une liste de pro-fessionnels de la région respectant lestaux prénégociés complète le tout.
«Lorsque les clients reviennent, ilsont généralement signé une promessed’achat. Nous remboursons leurs fraisde voyage et nous prenons les disposi-tions nécessaires pour que la sectiondes Mouvements s’occupe de leur démé-nagement. Nous révisons leur dossieret nous l’acheminons au bureau desSRRL de leur nouvelle localité.»
UN SERVICE TRÈS PARTICULIERVendre et acheter une propriété
implique des sommes importantes. Lesconseillers des SRRL en sont conscientset mettent à profit leurs nombreusesannées d’expérience. «L’argent est unecorde sensible, souligne madame Audet.On ne peut pas faire d’erreur. Il faut êtretrès concentré sur notre travail.»
Offrir le meilleur service à la clientèlepossible demeure donc le principal objec-tif des SRRL. «Nous offrons des consul-tations personnalisées, qui respectentle cheminement de chaque personne.C’est très gratifiant et ça l’est tout desuite. Souvent, avant de partir, les mili-taires viennent nous saluer et nousremercier. Inutile de vous dire qu’onadore notre travail! D’ailleurs, et il nefaudrait pas le dire à mon patron, jepense que paierais pour faire ce boulot!»
Les Services de relogement Royal LePage aidentles militaires à déménager d’un océan à l’autre
CONSEILS POUR UN VRD RÉUSSI
Par Paule BélandChef d’équipe, Service de Relogement Royal Lepage,
Garnison Valcartier
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Paroles d’aumônierPAR LE CAPITAINE JASON KOURI
AUMÔNIER 1 R22ER, PASTEUR LUTHÉRIEN
La vocation de soldat
Notre vocation de soldat nous appelle àmettre notre vie en danger pour servirnotre pays et notre prochain. Les soldatsqui doivent appliquer la violence pour fairerégner la justice sont des serviteurs deDieu. La grande équipe des Forces cana-diennes fait une différence positive ici etpartout dans le monde. Le padré joue unrôle de conseiller, et de soutien moral etspirituel auprès des troupes.
Aujourd’hui, je veux partager l’espérancede la vie éternelle. Comment aller jusqu’ausacrifice ultime sans espérance? «Car Dieua tant aimé le monde qu’il a donné son Filsunique, afin que quiconque croit en lui nepérisse point, mais qu’il ait la vie éternelle.Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le mondepour qu’il juge le monde, mais pour quele monde soit sauvé par lui.» (Jean 3 :16-17)
Sauvés de quoi? Sauvés de nous-même,de nos péchés, nos égoïsmes, nos relationsbrisées... Tout le monde remarque ce quele padré fait ou dit. On s’attend à ce qu’ilne soit pas loin de parfait! Mais la réalitéc’est qu’on a tous besoin du pardon deDieu. Ce pardon nous est offert gratuite-ment en Jésus-Christ. Il a versé son sangpour que nous soyons pardonnés. Il est
se dirigeait vers l’Afrique du Sud avec 500soldats d’infanterie à son bord (surtout du73rd Regiment of Foot). Il y avait aussi desépouses d’officiers et leurs enfants.
À 2 heures, le Birkenhead heurta un récifprès de Danger Point. Une centaine de sol-dats se noyèrent sur le coup dans le com-partiment avant du bas. Les quelques 400autres soldats furent mis en rang au cen-tre pour stabiliser le bateau. Les canotsde secours étaient en mauvais état. Seulsdeux étaient utilisables. On y mit les femmeset les enfants.
Pour empêcher que les barques soientemportées par le Birkenhead qui coulait,on les éloigna. Le lieutenant-colonel Seatonordonna aux hommes de rester sur le quaidu navire pour empêcher que les barquesoù étaient les femmes et les enfants soientdébordées d’hommes et coulent aussi. Lessoldats restèrent en rang : pas un mur-mure, pas un cri jusqu’à ce que le Birkenheadsoit complètement coulé. Tout cela en20 minutes.
Quelques soldats arrivèrent à nagerjusqu’à la plage en s’accrochant aux épavesdu navire. Mais la plupart se noyèrent oufurent tués par les requins. De cette tragédievient l’expression : «les femmes et lesenfants d’abord!» Ces femmes et leursenfants furent sauvés de la mort parce queces soldats ont donné leur vie pour eux.Seuls 193 personnes sur 643 survécurentà ce drame.
Jésus a fait de même pour vous, sauf quela vie qu’il donne est éternelle.
mort à notre place pour que nous obte-nions la vie éternelle.
«LES FEMMES ET LES ENFANTS D’ABORD»C’est comme les soldats qui meurent
pour en sauver d’autres ou améliorer lavie des autres. Jésus est le soldat parfaitqui a donné sa vie pour nous.
Les soldats du HM-Troopship Birkenheadont fait comme Jésus. En 1852, le navire
Redessiné en 2007,le GMC Sierra nousrevient en 2008 avecquelques modifica-tions. Il est à proposde se rappeler qu’en2007, ChevroletS i lverado /GMCSierra s’est vuattribuer le Récipientd’air de camion del’année 2007 par lemagazine MotorTrend’s. Ces lettresde noblesse ont faitcomprendre augéant américain qu’il n’y avait plus de com-promis à faire au niveau de la qualité deses produits.
General Motors a choisi une approcheplus conservatrice que ses concurrents auniveau des lignes de la carrosserie. Parcontre, le numéro un américain a su répon-dre aux attentes des consommateurs en yajoutant plusieurs caractéristiques trèsappréciées, comme le système OnStar, undémarreur à distance installé en usine,ainsi qu’un contrôleur intégré de freinagede remorque.
L’aménagement intérieur offert dans lesversions SL et SLE comporte des com-mandes et des poignées de portières plusgrandes, facilitant de beaucoup la manip-ulation avec des gants. Une grande boîteà gants double est intégrée à la planche debord. Des sièges en tissu sont offerts desérie, alors que la sellerie de cuir estdisponible sur les modèles SLE avec unsiège conducteur à commandes électriques.Les modèles SLT sont disponibles pourceux qui recherchent une finition intérieureencore plus luxueuse.
L’une des particularités du GMC Sierra2008 est sans aucun doute sa douceur deroulement, une transmission automatiqueefficace mais malheureusement limitée àquatre rapports seulement. La structuredu châssis, qui est une des plus rigides surle marché, pourra répondre à ceux qui endemandent plus de leur camion.
Du côté de la motorisation, ce n’est pasle choix qui manque. Mon modèle d’essaiétait muni du V8 de 5,3 litres qui produit315 chevaux à 5200 tours/minute et génère338 livres-pieds de couple à 4400tours/minute. Également disponibles, unV6 de 4,3 litres de 195 chevaux, un V8 de
4,8 litres de 295 chevaux, un V8 de 6,0 litresde 367 chevaux et sur la version DENALI,un V8 de 6,2 litres de 376 chevaux. À noterque tous ces moteurs sont jumelés avec
une transmission automatique à quatrevitesses à l’exception du 6,0 et du 6,2 litresqui sont livrés avec une transmissionautomatique à six rapports.
Force est d’admettre que la consomma-tion moyenne de 15 l/100 km en conduiteurbaine va en décourager plus d’un pourune utilisation quotidienne. Malgré tout,à un prix de base de 23 370 $ en compara-ison avec le 2RM jusqu’à plus de 60 000 $pour le modèle DENALI, le GMC Sierraou le Chevrolet Silverado offrent le plusgrand choix pour la clientèle. L’avenir pour-ra nous dire, avec les augmentationsexagérées de nos chères pétrolières, si cetype de véhicule sera toujours aussi pop-ulaire auprès des automobilistes.
L’essai routier du GMC Sierra 1500 2008a été rendu possible grâce à la collabora-tion de General Motors du Canada.
Le GMC Sierra 1500 2008 : toujoursen tête du peloton
FICHE TECHNIQUEMarque: GMCModèle: Sierra 1500 2008 (modèle d’essai)Autre(s) modèle(s): Sierra 2500 HD et Sierra 3500 HDCatégorie: Camion léger pleine grandeur Prix : 45 640 $ (modèle d’essai)Garanties : 3 ans 60 000 km / 5 ans 160 000 kmMoteur : V8 de 5,3 litres Puissance ch. (kW) : 315 (235) à 5200 tr/minCouple lb-pi (N.m) 338 (458) à 4400 tr/min Autre(s) moteur(s) : V6 de 4,3 litres, V8 de 4,8 litres, V8 de 6,0 litres et V8 de 6,2 litres Transmission : Automatique à quatre rapportsAutre(s) transmission(s) : Automatique à six rapports (V8 6,0 litres) (2500 HD et 3500 HD Diesel)Traction : 4X4Système antipatinage : Oui avec système de stabilité Suspension : Avant : indépendante, barres de torsion
Arrière: essieu rigide, lames de ressort Direction : À crémaillère, assistée Freins : Avant : disques ventilés (ABS)
Arrière : disques (ABS) et (EBD) Coussins gonflables : Frontaux et rideaux gonflables Empattement : 364,5 centimètresPoids : 2394 kgCapacité de remorquage : 4037 kg Capacité du coffre : N/ACapacité du réservoir : 98 litresConsommation : Ville : 15,1 l/100 km ou 19 mi/gal*
Route : 10,6 l/100 km ou 27 mi/gal* Émission de CO2 : 6240 kg/année*
*Selon Ressources naturelles Canada
Sécurité : Non évalué selon les tests de collision par www.iihs.org Autres modèles concurrents :- Dodge Ram 1500 - Ford F-150 - Nissan Titan -Toyota TundraPour : Contre :- Bon choix de moteurs - Consommation de carburant- Habitacle soigné - Boîte automatique à 4 rapports- Habitacle spacieux - Lignes conservatrices- Châssis rigide - Volant non télescopique- Belle finition intérieure- Silencieux sur la route
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Les soldats du Birkenhead ont fait comme Jésus. -Photo : Wikipedia
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8BIBLIOTHÈQUE COMMÉMORATIVE GÉNÉRAL-JEAN-VICTOR ALLARD
SERVICE DE PRÊT OFFERT À DISTANCE POUR VALCARTIERLe personnel militaire et civil de la GarnisonValcartier peut désormais emprunter des livres àla bibliothèque Général-Jean-Victor-Allard de laGarnison Saint-Jean. L’envoi des livres s’effectuepar le service de courrier interne. Pour réserverpar Intranet, il suffit d’aller sur le site de la biblio-thèque, de vérifier si les volumes recherchéssont disponibles, de procéder à la réservationdes documents (si vous avez votre code d’ac-cès) ou de noter l’information de base (auteur,titre et cote) et d’envoyer un courriel à +BIBLIO-THEQUE STJEAN@STJEAN. Vous pouvez égale-ment le faire par téléphone au (450) 358-7099,poste 7816. Pour obtenir votre code d’accès,communiquer avec Réjean Messier au 359-7099, poste 7509, Claire Ménard, poste 7130,ou André Brunette, poste 7557.
Des hygiénistes dentaires dansles écoles de la garnisonPar Lise Desbiens et Louise EthierHygiénistes dentaires, 1re Unité dentaire de Valcartier
Quatre hygiénistes dentaires du détache-ment de la 1re Unité dentaire à Valcartier,Jeanne Beaupré, Diane Marcoux, SophiePelletier et NancyPetit, se sont ren-dues dans les écolesde la garnison,Alexander-Wolff etD o l l a r d - d e s -Ormeaux, pour pro-mouvoir la santébuccale auprès desélèves de la mater-nelle et de la pre-mière année.
À l’aide dematériel didactiqueadapté à l’âge desélèves, elles ontdémontré l’impor-tance du brossagedes dents et de l’utilisation de la soie dentaire pour élimi-ner les bactéries qui s’accumulent surles dents. Celles-ci sont responsables, enpartie, de la carie dentaire, laquelle con-stitue encore le numéro un des problèmeschroniques de santé chez les enfants.
L’alimentation jouant également un rôledans la formation de la carie, les enfantsétaient invités à choisir entre les collationspouvant favoriser la carie dentaire (breuvagesucré, aliments sucrés collants, etc.) ou
celles qui ont une incidence positive surla santé dentaire (fruits, légumes, fromage,lait).
Ces deux exercices nous ont permis d’ob-server que les enfants, en général, saventfaire la différence entre les bonnes et les
moins bonnes collations,et que la technique debrossage était déjà connueet maîtrisée. Par contre, lasoie dentaire demeureencore une habitude à ren-forcer.
À la fin de cette activité,chaque enfant a reçu unsac contenant une brosseà dents, un porte-soie, undentifrice de même qu’undépliant qui renseigne etinvite les parents à échan-ger sur le sujet avec l’en-fant.
Nous sommes particu-lièrement fières du momentprivilégié que nous avonspassé avec les enfants ettenons à remercier lesdirecteurs, enseignants etinfirmières, sans qui cetterencontre n’aurait pu avoirlieu.
Le nombre de femmestuées par les hommesest une des causes demortalité les plus impor-tantes sur cette planète.Le nombre de victimesest plusieurs foissupérieur à celui desmorts dans toutes lesguerres du vingtième siè-cle réunies. Les victimes
se dénombrent lors des conflits, mais aussidans la vie quotidienne. Les causes sontmultiples, mais se résument trop souventau simple fait que, pour un trop grandnombre d’individus, la vie d’une femme etsa dignité valent moins que celle d’unhomme. Cette situation est tout simple-ment intolérable.
«Nous avons essayé, dans ce livre, derassembler les faits. Alors que nous avionsinitialement le projet d’écrire un livre surles aspects du sexocide qui sont directe-ment liés à notre mission, nous sommesrapidement arrivés à la conclusion quecela revenait par trop à réduire notreapproche. Les études qui examinent endétail les multiples aspects spécifiquesd’un problème sont évidemment très impor-tantes. Toutefois, une vue exhaustive dusujet est fort nécessaire. Les données doiventêtre vues dans leur totalité pour que nouspuissions commencer à comprendre cequi est en train de se passer. Nous espéronsque les faits, les données et les analysesrassemblés dans ce volume aideront à faireréagir la communauté internationale, l’hu-manité et chacun d’entre nous. Il ne peuty avoir de place pour la complaisance enface de massacres, de mutilations, de viols,de déchéance et de discrimination sociale.»
- Ambassadeur Theodor H. Winkler,directeur du Centre pour le contrôle démoc-ratique des forces armées - Genève (DCAF)1
NOS NOUVEAUTÉS ENFRANÇAIS
- Les femmes dans unmonde d’insécurité : vio-lence à l’égard desfemmes : faits, donnéeset analyses / sous ladirection de MarieVlachova et Lea Biason
- L’art de la négocia-tion / Guy Cabana
- Gites et auberges dupassant : tables et relais du Terroir au Québec(2008)
- Vérité ou conséquences : oser l’authen-ticité envers soi en couple et en famille /Marc Pistorio
- Le monde des sociétés secrètes : desdruides à Al-Qaida / John Lawrence Reynolds
- Le jour où la mort nous sépare : uneanthologie des Mystery Writers of America/ Présenté par Harlan Coben
- Ces gens qui ne se voient pas tels qu’ilssont / Steven Simring, Sue Klavans Simringavec la collab. de Florence Isaacs
- République tchèque et Slovaquie / LisaDunford, Brett Atkinson, Neil Wilson
- Les Psy-trucs pour les enfants de 0 à 3ans / Suzanne Vallières
- Gestion de carrière radicale : 100 véritéspour relancer votre emploi, votre carrière etvotre vie / Sally Hogshead
NOS NOUVEAUTÉS EN ANGLAIS- Unforgettable Canada: 100 destinations
/ George Fischer and Noel Hudson
- Defeat: why Americaand Britain lost Iraq /Jonathan Steele
- The great lakes: thenatural history of achanging region / WayneGrady
- Rangers at Dieppe:the first combat action
of U.S. Army rangers in World War II / JimDeFelice
- Empty casing: a soldier’s memoir ofSarajevo under Siege / Fred Doucette
- Worlds at war: the2500-year strugglebetween East and West/ Anthony Pagden
- The sun climbs slow:justice in the age ofImperial America / ErnaParis
- The Venetian betray-al: a novel / Steve Berry
- Baptism of fire: thesecond Battle of Ypres
and the forging of Canada, April 1915 /Nathan M. Greenfield
- Networked operations and transforma-tion: context and Canadian contributions/ Allan English, Richard Gimblett, HowardG. Coombs1 Extrait tiré de l’endos du livre Les femmes dans un monded’insécurité : violence à l’égard des femmes: faits, donnéeset analyses.
CHRONIQUE de la 1re UNITÉ DENTAIRE
La violence à l’égard des femmes, c’est assez!
Nancy Petit et Diane Marcoux à l’école Alexander-Wolff.
Jeanne Beaupré et Sophie Pelletier à l’école Dollard-des-Ormeaux.
CONCOURS DE LA FÊTE DES PÈRESPrésente-nous ton père...
Tu es tellement fier de ton père que tu aimerais le présenter à tout le monde? Poursouligner la fête des Pères, le journal Adsum t’offre la possibilité de le faire dans sonédition du 4 juin en plus de la chance de faire gagner un prix à ton papa.Remplis ce court questionnaire et retourne-le au plus tard le 26 mai* au journalAdsum...o Par courriel : [email protected] o Par télécopieur : 844-6934o Par la poste ou en personne : Journal Adsum, bât. 200, Garnison Valcartier, C.P. 1000, succ.Forces, Courcelette (Qc) G0A 4Z0
QUESTIONNAIRE
Mon père...- s’appelle (prénom, nom) :
- aime :
- n’aime pas :
- fait les meilleurs (meilleures) :
- dit toujours :
- n’oublie jamais de :
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Par Simon BaillargeonJournal Adsum
Robbie Cressman est passé maître dansl’art du combat sans arme. Il était depassage au Centre des sports, le 29 avril,pour partager son savoir avec les mili-taires de Valcartier.
Celui qui a travaillé avec le FBI, le SWATet plusieurs corps de police municipaux etprovinciaux connaît l’importance du com-bat sans arme. Lors d’un affrontement entredeux adversaires, tout peut arriver très viteet il est impératif de connaître certaines tech-niques si l’on veut sortir vainqueur
Cressman, qui n’avait que quelques heurespour transmettre ses connaissances, s’estconcentré sur une technique bien précisequi pourra servir aux militaires qui serontdéployés en Afghanistan : attaquer les yeux.
«Attaquer les yeux amènera une réponseimmédiate de l’adversaire. La vue est le sensle plus sensible et cela vous donnera un con-trôle sur votre ennemi que vous pourrezmaîtriser», explique-t-il aux quelques 200militaires qui l’écoutaient attentivement.
À la demande du caporal Frank Boily,Robbie Cressman a adapté sa clinique decombat pour la prochaine mission des mili-taires de Valcartier. «Je crois que ça va apporterune philosophie différente aux soldats. Ilsgagneront de l’estime de soi», assure le cplBoily.
«Ce système de combat modifié permet-tra aux soldats d’être plus en confiance et
CISM TAEKWONDOToujours dans le domaine du combat, le
caporal Frank Boily s’apprête à s’envolerpour le championnat de taekwondo du Conseilinternational de sport militaire (CISM)qui sera disputé en Corée du Sud, du 23 au27 mai.
Bien que la compétition soit relevée, le cplBoily s’attend à ce que la délégation canadi-
Début de la saison de tir à ValcartierPar Simon BaillargeonJournal Adsum
Avec quelques jours de retard en rai-son des immenses bancs de neige quirecouvraient le champ de tir Batoche,l’Association de tir de la province deQuébec (ATPQ) a finalement pu lancersa saison 2008 de tir à la carabine le30 avril.
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UNE HISTOIRE RICHEPar Simon BaillargeonJournal Adsum
Très peu d’associations sportives peuvent se van-ter de tenir des compétitions depuis plus d’un siè-cle. C’est pourtant ce que fera l’ATPQ, qui tiendracet été le 127e championnat provincial de tir à lacarabine. Mais avant d’en arriver à des affrontementssportifs entre les tireurs, l’association a énormé-ment évolué.Les origines de l’ATPQ remonte aussi loin qu’à lafondation du Canada. En fait, il faut se reporter en1868 pour en retrouver les premières traces. Alors appelée l’Association de Tir Dominion duCanada, cette dernière se veut plutôt une façon depromouvoir l’adresse au tir et la formation descorps de milices avec les colonies en place. «Ils’agissait d’une démarche venue d’Angleterre qui
opérait des clubs de tir civils dans le but d’aiderl’armée à défendre la nation, explique Jean-Claude Thériault, ancien président de l’ATPQ. LeCanada qui fait partie du Commonwealth a alorsadopté une politique semblable».Le temps passe et d’autres corps de milices sesont formés un peu partout dans les nouvellesprovinces. C’est à ce moment que l’ATPQ naît.«Une équipe de militaires traversait mêmel’Atlantique à chaque année pour prendre part àune compétition à Winbledon. La tradition sepoursuit encore aujourd’hui», préciseM. Thériault.Aujourd’hui la mission a beaucoup changé. Mêmesi des tournois pour les militaires sont encoretenus, le côté entraînement de tir pour la guerren’est plus requis.Le développement du tir, dans un contexte sécuri-taire rappelle le sergent Dufour, demeure de nosjours le but visé par le biais de pratiques hebdo-madaires et de compétitions d’adresse.
La nouvelle saison marquera d’ailleursl’arrivée d’une nouvelle classe qui devraitattirer un plus grand nombre de tireurs etamener une diversification des membres del’association. «Avec la classe sportive, on s’at-tend à ce que des femmes et des jeunes sejoignent au club», projette Jacques Denis,président de l’association. «Ce sera ouvertaux gens qui font du tir simplement pour s’amuser et qui n’ont pas nécessairementune carabine de compétition», ajoute-t-il.
Pour l’instant, l’ATPQ compte un soixan-taine de membres, majoritairement deshommes, dont quelques-uns sont aussi desmilitaires.
«La classe sportive a été mise en place pourpermettre aux familles des militaires de s’im-pliquer dans l’association. C’est une ported’entrée pour débuter et familiariser les gensavec le tir», ajoute le sergent Daniel Dufour,vice-président et membre de l’ATPQ.
Ceux qui désirent s’initier au tir à la cara-bine peuvent d’ailleurs profiter de forfaitsoù ils seront sous la supervision d’un mem-
Les francs-tireurs de l’ATPQ qui trépi-gnaient d’impatience à l’idée de jouer de lagâchette ont dû patienter quelque temps àcause de Dame nature. Les quelques 545 cen-timètres de neige qu’elle a laissée derrièreelle cet hiver ont retardé de plusieurs joursles premiers coups de feu du club sur laGarnison Valcartier.
Il n’y a pas que l’amour qui peut rendre aveugle.Robbie Creesman aussi. - Photo : cpl Marc-AndréGaudreault, section Imagerie, Garnison Valcartier
L’art du combat sans armeLes militaires étaient invités à pratiquerles mouvements enseignés. Sur la photo,un militaire est renversé par sa collègue.- Photo : cpl Marie-Ève Boivin, section Imagerie,Garnison Valcartier
bre du club. Les armes sont prêtées et il nereste qu’à payer les munitions.
SÉCURITÉ D’ABORDFace aux réticences des gens qui craignent
les armes à feu et les dangers qui entourentleur manipulation, les dirigeants de l’ATPQinsistent beaucoup sur l’aspect sécuritairequi est mis à l’avant-plan dans la pratiquedu sport.
L’affiche promotionnelle le prouve d’ailleurs,alors que le premier point inscrit sur celle-ci aborde la sécurité. «Ce n’est pas juste unchamp de tir libre, c’est un champ de tirencadré où de l’enseignement est donné»,assure le sgt Dufour.
«C’est toujours la sécurité qui prime enpremier. On joue pas avec des couteaux etdes fourchettes non plus», indique M. Denis.
Pour plus d’information, le sitewww.pqra.org fournit les renseignementsnécessaires à ceux et celles qui désirent s’ini-tier au tir à la carabine.
d’avoir plus d’aptitudes s’ils ont à faire faceà une situation qui impliquera une bagarreavec un ennemi et que leur vie est en jeu»,ajoute M. Cressman.
Les militaires rencontrés au cours de l’ac-tivité étaient d’ailleurs unanimes quant à l’utilité des méthodes enseignées.
«J’ai appris de bonnes techniques pour medéfaire d’un adversaire même si je suis malprise», soutient le major Hélène Martel.
«J’avais déjà vu quelques notions de com-bat, mais pas comme celle-là. Je n’hési-terai pas à m’en servir au besoin», ajoute lecaporal Christina Villeneuve.
enne face bonne figure. «On a des athlètesqui sont capables de gagner. On espère repar-tir de Séoul avec au moins trois médailles»,explique celui qui est chargé de la prépara-tion des athlètes.
«On va travailler avec de la vidéo là-bas.Je serai chargé de faire des montages pourles athlètes et leur montrer les points fortset les points faibles», signale le cpl Boily.
-Photo: Simon Baillargeon, journal Adsum
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FINALES DES LIGUES INTER-UNITÉS DE LA GARNISON VALCARTIERSPORTSLES
HOCKEY - DIVISION A HOCKEY - DIVISION B
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2eBataillon, Royal 22
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5eBataillon des services du Canada
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3eBataillon, Royal 22
eRégiment
5eRégim
ent du génie de combat
HOCKEY - DIVISION C
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5eRégim
ent d’artillerie légère du CanadaService des Transm
issions
4eédition
Tournoi de golfdu Club Kaeble
InscriptionDate limite d'inscription : 9 juin 2008Les inscriptions ont lieu SEULEMENTau bureau d'administration du Club Kaeblede 8h00 à 12h00 et de 13h00 à 16h00du lundi au vendredi. (À partir du 26 mai 2008)
17 juin 08
Droits de jeuMembre du MESS et NON-membre du CPAC 17$Membre du MESS et membre du CPAC 0$Invité d'un membre et NON-membre du CPAC 27$Invité d'un membre et membre du CPAC 10$(CPAC : Centre de Plein Air Castor)
DépartDépart simultané (SHOT GUN) à 13h00.
RemboursementAucun remboursement, c'est au participantde se trouver son remplaçant !
RepasLe tournoi sera suivi d'un repas au Club Kaeble(Steak, pomme de terre au four et salade du chef).membre : 5$non-membre : 7,50$
Payable lors de l'inscription !
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présence!
FÉLICITATIONSAUX CHAMPIONS!
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FINALES DES LIGUES INTER-UNITÉS DE LA GARNISON VALCARTIERSPORTSLES
HOCKEY - DIVISION C2
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bulance de campagne
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HOCKEY BALLE
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POUR INFORMATIONSET INSCRIPTIONM. Dany GagnéClub Chasse et Pêche de Valcartier
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Endroit : Centre de Plein Air Castor - Garnison Valcartier (Club de golf)
Coûts : Gratuit incluant le repas du midi.
Personnes visée par l’activité : Jeunes de 6 à 17 ans
Disponibilité : Il reste 40 places
Requis : Le jeune doit apporter ses breuvages pour la journée (bouteilles d’eau, jus),sa veste de flottaison et des vêtements de pluie.
On se revoità la prochaine saison!
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Populaire le nouveau club de vélo de ValcartierPar Simon BaillargeonJournal Adsum
Officiellement mis sur pied il y a unmois, le nouveau club de vélo de laGarnison Valcartier connaît déjà beau-coup de popularité et ce, même si lasaison n’est pas encore tout à faitentamée.
«On a déjà au-dessus de 80 membres,c’est au-delà de nos attentes», lance le ser-gent Lortie, président du club.
«Il y a des clubs qui existent depuis déjàplusieurs années qui ont à peine plus demembres que celui-ci», ajoute MartinJuneau, directeur des loisirs communau-taires, qui a aidé à lancer le club.
Ce n’est pas le premier club de vélo àvoir le jour sur la garnison, «mais celui-ciest là pour rester, assure le sgt Lortie. Le
besoin est énorme. Sur la base, il y a unnombre incroyable de cyclistes», ajoute-t-il.
Les amateurs de vélo de route commeles mordus de vélo de montagne y trou-veront leur compte. Les dizaines de kilo-mètres de sentier du Centre Myriam-Bédardet du Centre plein air Castor (CPAC) serontaccessibles aux membres du personnelmilitaire et aussi civil à des coûts modiques.
De plus, tous les équipements du CentreCastor comme les douches et une baie delavage pour les vélos seront disponiblespour les cyclistes. En offrant ces services,les dirigeants du club souhaitent fidéliserleur clientèle.
«On veut faire en sorte que les gens appré-cient les sentiers, qu’ils apprécient l’en-droit. Ensuite ils vont prendre l’habi-
tude de venir pédaler ici», mentionneMichel Dugas, vice-président du club.
«Mon objectif est que les militaires aientle réflexe de faire leur entraînement per-sonnel en vélo, comme ils le font en hiveren ski de fond ou en raquette», avance poursa part Denis Jullien, directeur du CPAC.
UN ÉTÉ QUI PROMETLe club n’en est qu’à ses premiers pas et
déjà deux événements majeurs sont prévuscet été avec la tenue de courses régionalesle 25 juin et le 3 août. Des dizaines decyclistes de la région s’affronteront dansles sentiers du Centre Myriam-Bédard.
«Il n’y a pas beaucoup de clubs qui offrentdeux courses. Pour nous, c’est un départtrès intéressant», admet M. Dugas.
Pour plus d’information, vous pouvezjoindre le sgt Éric Lortie au poste 5027.
Le caporal-chef Steve Lapierre, le sergent ÉricLortie et Michel Dugas n’attendent que la fontedes dernières neiges dans les bois avant d’atta-quer les pistes. - Photo : Simon Baillargeon, journal Adsum
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