Décembre 2008

Réseau de Territoires – Paysage rural : vers un urbanisme durable

Voyage d’étude en Alsace les 23 et 24 octobre 2008 Sainte Croix-aux-Mines, Kaysersberg, Wesserling

Décembre 2008 Retour du voyage d’étude en Alsace organisé par « réseau de territoires – paysage rural : vers un urbanisme durable » 1

1. Réseau de Territoires. Paysage rural : vers un urbanisme durable

L’Agence a pour mission d’accompagner les collectivités du Pays de Montbéliard et des territoires périurbains et de les sensibiliser aux problématiques urbaines et du développement durable. Dans ce cadre elle a proposé aux intercommunalités d’adhérer à un réseau de territoire intitulé « Paysage rural : vers un urbanisme durable ». La Communauté d’Agglomération du Pays de Montbéliard et la Communauté de Communes des Balcons du Lomont ont adhéré au réseau. Les autres Communauté de Communes peuvent également le faire.

Celui-ci aborde des questions autour du développement des communes rurales face aux logiques du développement durable, avec comme objectif de partager des expériences et des questionnements, de connaître des interlocuteurs et de trouver des pistes concrètes d’action sur les questions liées au paysage rural et au développement urbain. Quatre groupes de travail ont été constitués :

- le paysage rural : contexte dans lequel se joue l’urbanisation

- l’étalement urbain des villes et des villages : économie des sols, gestion des ressources, déplacements…

- formes de l’urbanisation nouvelle : habitat, activités, voisinages, mixités

- participation, sensibilisation et culture : regards, habitudes et comportements.

Ces thématiques peuvent interpeller le développement des territoires périurbains, mais également les villages et bourgs de l’agglomération.

Dans le cadre de sa mission liée au développement durable, l’ADU poursuit l’accompagnement des collectivités par le biais de visites et autres inscriptions aux réseaux existants. Elle réalise des éclairages sur des thématiques spécifiques en lien avec les enjeux locaux et capitalise des éléments et des expériences de référence pour ses partenaires.

Le site internet du réseau de territoire est consultable à cette adresse : www.mairieconseilspaysage.net

Réseau de territoires a organisé les 23 et 24 octobre 2008 un voyage d’étude en Alsace. Ce document présente les expériences des sites visités.

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2. Sainte Croix-aux-Mines lotissement communal en cours de réalisation

Lotissement communal en cours de réalisation, 3 maisons réalisées sur 15 prévues : densité en cœur de bourg, habitat économe en énergie, gestion des eaux pluviales, architecture contemporaine en bois en périmètre monuments historiques, habitat évolutif, aménagement des espaces publics, permis de construire vendu avec le terrain…

Contexte, localisation

Sainte Croix-aux-Mines, est un bourg de 2000 habitants dans la vallée de la Liepvrette entre Sélestat et le col de Sainte Marie. La commune est située à 20km de Sélestat et 4 km de Sainte Marie-aux-Mines. Sainte Croix-aux-Mines dispose de commerces, services et équipements, dont la médiathèque intercommunale.

La Commune dispose de peu de terrains. Le site du lotissement est un des derniers terrains plats non dédié à l’agriculture.

Le terrain du projet se situe derrière l’ancienne gare, proche du coeur de Sainte Croix-aux-Mines, dans un environnement déjà bâti, desservi par les voies et les réseaux. Il est stratégique pour un développement de l’habitat (il permet notamment de ne pas urbaniser des terrains agricoles en frange de l’urbanisation.

Il s’agit d’une parcelle de 64 ares, rectangulaire, orientée est-ouest. La parcelle est bordée par une rue d’un côté et par une piste cyclable de l‘autre.

Les acteurs du projet

La commune : initiateur et porteur du projet. Travail sur son PLU à partir de 2001.

Le Conseil général du Haut-Rhin : propriétaire du terrain (friche ferroviaire). Il a souhaité un lotissement innovant et la mise en valeur de la piste cyclable départementale qui longe le site.

La Société d’Economie Mixte de Haute Alsace (SEMHA) : réalise la gestion administrative et financière du projet, le suivi technique et opérationnel, la commercialisation.

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Le CAUE 68 et le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges : accompagnent la commune dans sa démarche, font un travail de sensibilisation auprès des élus, travaillent avec la SEMHA sur le concours d’architecture, réalisent l’assistance technique et la recherche de financements…

La région Alsace : soutient une politique d’extension urbaine innovante.

L’équipe lauréate du concours lancé fin 2003 : Le cabinet G-Studio de Strasbourg.

Les principes et le cahier des charges du projet

Implanter le maximum de maison individuelle sur des parcelles peu étendues (2.5 à 3 ares). Bâti dense, lotissement innovant à proximité d’un monument historique classé.

Utiliser tout l’espace disponible pour éviter l’espace résiduel. Créer le moins de voiries possibles.

Prévoir un traitement paysager pour accompagner et structurer le lotissement.

Disposer d’un espace extérieur pour chaque logement suffisamment grand. Des maisons sur pilotis pour libérer le sol ou permettre l’évolutivité du bâti (extensions en RDC).

Proposer des logements qui répondent à de nouvelles attentes dans les coûts habituels du marché.

Avoir un bâtiment économe en énergie.

Valoriser les matériaux de qualité, notamment le bois. Des maisons en bois dans une commune forestière.

Description du lotissement

Parcelles nord-sud de 2,5 ares en moyenne, sur toute la largeur du terrain. Positionnement libre de la maison sur la parcelle.

Les parcelles sont pré-équipées : clôtures végétales, éléments techniques (coffrets électriques), places de parking. Elles sont délimitées par des noues plantées de roseaux, saules qui drainent l’eau vers l’ancien canal usinier. La commune est chargée de la plantation et de l’entretien des noues. Arbres fruitiers en fond de parcelle à proximité de la piste cyclable.

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Voirie est-ouest en limite de terrain. Toutes les parcelles y ont un accès direct (pas de création de nouvelle voirie). A l’opposé accès à la piste cyclable. Certaines parcelles sont séparées par un chemin piéton qui permet une liaison entre la rue et la piste.

Les maisons ont toutes la même structure, avec de grandes ouvertures au sud (imposé dans le règlement de lotissement). Elles sont modulables afin d’avoir des logements plus ou moins grands : du T3 au T5.

L’ossature de la maison, les planchers, les surfaces intérieures et les façades sont en bois de mélèze (certifiés). Toiture en tôle.

La consommation énergétique se situe entre 40 et 50 kw/m2 selon le choix d’isolation et du système de ventilation (double flux…).

Prix d’achat du terrain et de la maison entre 200 000 et 250 000 euros. Vente en l’Etat Futur d’Achèvement. La commercialisation commence en 2008.

Quelques conditions favorables à la réussite

- Une commune très motivée, ayant travaillé en amont du projet sur le diagnostic de son territoire, ayant posé des principes. Exemple : notion de « ruralité urbaine ».

- Un PLU dont l’objectif est de préserver l’espace, éviter les extensions urbaines.

- Un accompagnement de la commune sur la durée par le PNR et le CAUE : cahier des charges, assistance lors du concours, assistance technique, etc.

- Un travail concerté avec l’Architecte des Bâtiments de France (architecture contemporaine en secteur sauvegardé).

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Présentation en mairie de Kaysersberg

Espace nautique intercommunal :

Des capteurs photovoltaïques

Des panneaux solaires pour le bâtiment administratif et la pataugeoire

extérieure.

3. Kaysersberg Présentation par Henri Stoll, maire de Kaysersberg, de la démarche globale de développement durable de la commune et de la communauté de communes.

Démarche de développement durable engagée depuis plus de 10 ans. Actions autour de l’énergie : en produire, agir sur la consommation énergétique.

Produire de l’énergie, différentes réalisations

Plate-forme de production de copeaux de bois (avec entreprise d’insertion (CAT) et épuration par rysosphère.

Piscine intercommunale : chaufferie bois (plaquettes), et photovoltaïque. Chauffage solaire de la pataugeoire extérieure et d’un bâtiment administratif, traitement sans chlore des eaux de baignade.

Camping : eau chaude sanitaire solaire.

Papeterie : remplacement de la chaudière à charbon pulvérisé (générant un trafic de 10 poids lourds par jour) par du gaz en co-génération : revente à EDF. Retour sur investissement en 5 ans.

Production d’énergie hydraulique en projet.

Eolien : projet de 5 éoliennes au col du bonhomme (phase permis de construire).

Subventions communales aux particuliers. Au maximum : 1500 euros pour une chaudière bois granulés ou plaquettes, 1000 euros pour du photovoltaïque, 400 euros pour de l’eau chaude sanitaire solaire.

Agir sur la consommation d’énergie

Les véhicules de la communauté de commune roulent au GPL.

Installation d’une station publique de remplissage de GPL où toutes les communes et le lycée peuvent venir s’approvisionner.

Développement d’un prototype de véhicule électrique solaire avec benne et capteurs photovoltaïques sur le toit.

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Ampoules basse consommation dans les bâtiments communaux et pour l’éclairage public.

Démarche globale de la communauté de communes

La communauté de communes de la Vallée de Kaysersberg est engagée dans plusieurs projets de territoire, à différentes échelles :

- La Charte intercommunale d'aménagement et de développement de la Vallée de Kaysersberg

- Le Grand Pays de Colmar

- Le SCOT Montagne, Vignoble et Ried

- Le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges

La charte intercommunale d’aménagement et de développement 2007-2012 a pour objectif de : « faire de la Vallée de Kaysersberg, un pôle économique, résidentiel et touristique de référence en développement durable ».

Urbanisme durable :

- Réalisation d’un guide à destination de la population et des professionnels s’intitulant : «Conseils pour habiter, construire ou rénover dans la vallée de Kaysersberg».

- Projet d’éco-quartier à Kaysersberg. Proposition de gestion du site sur la biodiversité par la Ligue de Protection des Oiseaux. 15 logements en autopromotion : regroupement de candidats à la construction pour mener le projet d’aménagement et de construction dans le cadre d’une démarche d’ensemble et avec un même concepteur.

Bois énergie : réflexions pour une plate-forme commune répondant aux besoins de 7 chaudières bois (collectivités et particuliers)

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Jardins de Wesserling

4. Wesserling : requalification d’un site industriel et patrimonial en friche

Dans une vallée où le foncier est rare, Wesserling est un exemple de réutilisation intensive de friche industrielle dans un objectif d’aménagement durable.

Ce projet intercommunal cherche à recréer un attrait économique et culturel dans une vallée très urbanisée avec un fort passé industriel. Le projet d’ensemble aborde différentes thématiques : réhabilitation de patrimoine historique, évènements culturels, accueil d’entreprises et création d’emplois diversifiés en lien avec la vocation historique du site (textile et agriculture), équipements commerces et services, habitat, réutilisation d’espaces et de matériaux (travail sur la densité et l’économie), démultiplication de la démarche sur d’autres sites de la communauté de communes…

Histoire du site

Le site de Wesserling se trouve dans la vallée de la Thur en amont de Thann. La vallée est traditionnellement un important axe de passage entre Mulhouse et le col de Bussang. La commune de Husseren-Wesserling fait partie de la communauté de communes de la vallée de Saint-Amarin (CCVSAM).

La manufacture d’impression de Wesserling a été créée en 1762. Elle devient manufacture royale et le plus grand centre textile de province. A son apogée en 1865, 6 000 salariés y travaillent. En 2003, à l’arrêt de l’activité, 230 personnes travaillaient encore pour les marques Gros-Roman et Boussac.

Le site comprend 17 hectares de parc, château, villas et fermes ; 24 hectares d’usines ; 29 hectares de prés et étangs.

Premières étapes de la reconversion : parc, jardins, ferme et musée

1993 : le département rachète l’ensemble des actifs non industriels de la manufacture pour les soustraire au morcellement : 12 hectares de parcs et jardins autour du château et 5 hectares du parc rural de la ferme, 30 hectares d’espaces naturels en amont du site. Le château tombe en ruine. Installation d’un musée du textile et des costumes dans un bâtiment industriel en périphérie du parc.

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Jardins et œuvre d’artiste dans le cadre du festival « jardins métissés »

1998 :

- L’association de sauvegarde du site obtient l’inscription des 17 ha du site à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques

- L’association de gestion du parc textile de Wesserling mène le projet de réhabilitation des 17 ha du parc. Diversification des fonctions : logements, accueil petite enfance, commerces lié au tourisme.

- Trois axes de développement :

o Faire de Wersserling l’un des plus beaux jardins d’Alsace,

� La réhabilitation des jardins commence en 1999 : potagers décoratifs et productifs : gestion par une association de réinsertion « association des jardins de Wersserling »

� 2003 : Festival des jardins métissés. Entrée payante durant les 3 mois d’été. 70 000 visiteurs en 2008 pour le musée et le jardin. 30 emplois.

o Développer dans la ferme un espace de découverte de l’agriculture de montagne et du goût,

o Développer un vrai musée de l’industrie textile alsacienne axé sur l’impression.

Gestion du site des parcs et jardins

Le parc et les jardins sont gérés par « l’association de gestion du parc textile de Wesserling ». Les membres de cette association sont :

- Les représentants du département,

- Les représentants de la communauté de communes de la vallée de Saint-Amarin,

- Les représentants de la commune de Husseren-Wesserling.

- Des associations thématiques qui s’investissent dans le site et contribuent à son animation :

o Association des jardins de Wesserling : gère les jardins sociaux et leur fête,

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œuvre d’artiste dans le cadre du festival « jardins métissés »

La ferme Le parc

o Association agriculture et paysages : marché paysan

o Association culturelle ouver-thur : festival de théâtre et une fête du livre

o Association Wesserling : sauvegarde du site

o Office de tourisme de la vallée : son et lumière sur l’histoire du site

o Association de la petite enfance Les Thur-Lutins

o Le groupement des artistes

o Association d’insertion Arcs

o Club vosgien (sentiers de découverte).

2003 – Du projet touristique au projet industriel

Dès 2004, juste après l’arrêt de l’activité industrielle, la communauté de communes de Saint-Amarin rachète l’usine de Wesserling (24 ha et 60 000 m2 de bâtiments).

Le principe de base est de valoriser tout de suite les friches industrielles avant leur dégradation. Cela évite des réhabilitations trop coûteuses.

Au bout d’un an, dans le cadre d’un plan global, 20 entreprises locataires sur 16 000 m2 : PME textiles, artisanales et commerciales.

Achats par l’association de gestion du parc d’une chaîne complète d’impression. La CC confie à l’association de gestion les objets restés dans l’usine et les échantillons de tissus, les plans, les documents administratifs…

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Locaux d’activité et ateliers d’artistes avec loft

2005 – Le projet de développement économique

Le Conseil général et l’association de gestion du parc développent un éco musée du site textile.

La Communauté de Communes décide de faire de l’usine un très grand hôtel d’entreprises, 35 000 m2, 70 lots locatifs envisagés, axé sur 5 « produits économiques » :

- Une pépinière d’entreprises et des espaces logistiques textile. Partenariat avec le pôle textile de Mulhouse. Des locaux artisanaux pour entreprises locales cherchant de la surface.

- Des locaux industriels liés à la station d’épuration industrielle.

- Un centre des métiers d’art, orienté vers la création textile et les arts de la mode et des jardins. 12 lots, charte de qualité, 3 magasins d’usines.

- Des ateliers d’artistes. 13 lots avec loft sont prévus dans un bâtiment bien éclairé.

- Un espace culturel et une petite salle de spectacle.

En 2006, la communauté de communes, répond à l’appel à projet « pôle d’excellence rurale » avec la création d’un espace d’innovation et de production textile dans un site patrimonial.

Les conditions favorables à la réussite

- Maîtrise foncière du site pour un projet d’ensemble sur les 41 hectares.

- Qualité patrimoniale de l’aménagement. Image de marque.

- Un projet global, clair, ambitieux porté par une équipe. Souplesse de mise en œuvre.

- Mobilisation des acteurs locaux. Une dizaine d’associations fédérées au sein de l’Association de gestion du parc textile de Wesserling.

- Des produits immobiliers d’activité typés pour répondre aux demandes du marché. Prix de location 2 € / m2. Compétitif par rapport au marché alsacien mais dans le marché d’un site en fond de vallée.

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Locaux d’activité

Première filature « la barrette » reconvertie en logements

Futur projet d’habitat

- Services aux entreprises : gardiennage, logistique, nettoyage, secrétariat, salle de réunion, espaces de réception, show-room, etc.

- Services aux salariés : restauration, halte-garderie et crèche, centre culturel, commerces…

Le château, en devenir ?

La crèche

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Les participants au voyage d’étude

Organisateurs et intervenants

Mairie Conseils : Mathilde KEMPF et Armelle LAGDEC, animatrices du réseau.

Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges : Jérémy RONCHI et Frédéric MONIN, chargés de mission urbanisme et architecture.

Sainte Croix-aux-Mines

Commune de Sainte Croix-aux-Mines : Agnès HENRICHS maire et François BOESCH 1er adjoint.

G-Studio : Michaël OSSWALD, architecte.

Entreprise Martin, Monsieur Martin, charpentier.

Kaysersberg

Commune de Kaysersberg : Henri STOLL, maire et Frédéric SCHMITT secrétaire général.

Wesserling

CC de la Vallée de Saint-Amarin : François TACQUARD, président et Mathieu AUFAUVRE, agent de développement économique.

Axis Architecture : Laurent THOMASSIN, architecte

Participants

Mairie-Conseils : Yves GORGEU, Chargé de mission, Paris.

La Compagnie du Paysage : Odile MARCEL, philosophe, Paris

Parc Naturel Régional de la Brenne : Claire MORICEAU, chargée de mission, Rosnay.

Cc des Hauts Champs : Yvette GRANDIDIER, Présidente, Gaston LEONARD et Emmanuelle SORENSEN, conseillers communautaires, Elodie POUTRIEUX, agent de développement, Saint Michel-sur-Meurthe.

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Cc du Val de Galilée : Laura PLANCHENAULT, agent de développement, Ban-de-Laveline.

Parc Naturel Régional Loire Anjou Touraine : Philippe BAUVILLAIN, président de la cc du Pays d’Azay-le-Rideau, Michel MATTEI, responsable du pôle environnement, Florence BUSNOT-RICHARD, chargée de mission énergie, Montsoreau.

Agence de Développement et d’Urbanisme, Elisabeth SCHMITT, chargée d’études, Montbéliard.

Communauté de Commune des Balcons du Lomont : Georges HABERSTICH, élu chargé du développement durable, Marc LACOMBE, agent de développement, Blamont.

Carrefour des Pays Lorrains : Camille LENANCKER, chargée de mission développement durable, Rudi ROTH, stagiaire, Colombey-les-Belles.

CC de la Haute Bruche : Jean-Sébastien LAUMOND, chargé de mission, Schirmeck.

Chambre d'Agriculture du Haut-Rhin, Annie DURAND, chef de service aménagement, Christine WILLIG, Sainte Croix-en-Plaine.

Ministère de l'agriculture et de la pêche : Régis AMBROISE, chargé de mission paysage, Paris

Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariègeoises : Audray DURAUD, chargée de mission urbanisme architecture, La Bastide de Serou.

Conseil Général du Haut Rhin : Pascale ZINDY, chargée de communication GERPLAN, Colmar

Cc de la Vallée de Kaysersberg : Yannick GERIG, animateur du programme GERPLAN, Kaysersberg

Commune de Lutenbach-près-Munster : Charles MARTZ, adjoint au maire, Luttenbach.