JEAN-LOUIS

BORLOOLES SECRETS

DE SON RETOUR

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24 -

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Alerte aux bestioles de l’été !

Moustiques, méduses, frelons...

2,50 € N° 1924 - DU 10 AU 16 JUILLET 2014

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2,9

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L’histoire du bébé juif devenu “parfait aryen”

Alors qu’en avril il avait démissionné de tous ses mandats,

l’ancien ministre revient petit à petit dans le jeu politique.

Un nouveau défi après avoir combattu la maladie.

LA PROPAGANDE SOUS LE IIIE REICH

Comment s’en

protéger

COUV-VSD1924S001.indd 1 07/07/14 23:35

L’ancien ministre, qui a

démissionné en avril de

tous ses mandats à la

suite d’une pneumonie

aiguë, va mieux. Il

pourrait bientôt lancer

une fondation pour l’Afrique

et, surtout, amorcer son

retour en politique.

Les derniers sondages indiquent que Jean-Louis Borloo

(ici le 1er juillet, à Paris) est passé devant Alain Juppé

comme la personnalité politique préférée des Français.

De quoi redonner des ailes à cet hypersensible.

D. R

.

Jean-Louis Borloo

TEL LE PHENIX

RETOURAUX AFFAIRES

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L’ancien ministre, qui a

démissionné en avril de

tous ses mandats à la

suite d’une pneumonie

aiguë, va mieux. Il

pourrait bientôt lancer

une fondation pour l’Afrique

et, surtout, amorcer son

retour en politique.

Les derniers sondages indiquent que Jean-Louis Borloo

(ici le 1er juillet, à Paris) est passé devant Alain Juppé

comme la personnalité politique préférée des Français.

De quoi redonner des ailes à cet hypersensible.

D. R

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Jean-Louis Borloo

TEL LE PHENIX

RETOURAUX AFFAIRES

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Inexorablement, elles re-viennent avec les tubes de l’été et l’odeur de la crème solaire. Dans le sable, la mer, les herbes, l’air, à la plage comme à la campagne, elles

nous guettent, en tapinois, prêtes à nous sucer le sang, nous piquer, nous brûler. Et empoisonner nos vacances. Si l’attaque de l’aoûtat, qui guette le moindre petit morceau de chair, ou de la vive, dont l’œil globuleux repère votre plante de pied, est plus que désagréable, celle de la tique ou du moustique-tigre peut, elle, avoir des conséquences gravissimes en nous transmettant maladie de Lyme ou chikungunya. Sans tomber dans la paranoïa ni affronter l’été en tenue de camouflage et combinaison de plongée, il convient de rester vigilant – en particulier avec les enfants. Et ne jamais oublier, à l’instar de Darwin, que chaque être vivant, aussi déplaisant et laid soit-il, a sa place sur la planète.

La méduseVous nagez dans la Méditerranée lorsque vous recevez une violente décharge suivie d’une intense brûlure…

Portrait-robot. L’attaquante est une créature gélatineuse en forme de coupelle, munie de fins tentacules. Sur nos côtes, il s’agit sans doute de la pélagie, très urticante mais moins dangereuse que la belle physalie des côtes tropicales. Ou que la cubomé-duse tueuse d’Australie.

Mode opératoire. Elle paralyse ses proies grâce à de petites vésicules terminées par un cil sensitif qui projette la toxine.

Elle est là parce que... La surpêche fait disparaître les prédateurs marins qui s’en nourrissent. Et à cause du réchauffement climatique.

Comment l’éviter. Il existe des répulsifs (pommade). Le plus sûr moyen d’éviter d’entrer en contact avec la méduse est de porter une combinaison, ou un masque pour les répérer.

Et en cas de piqûre... D’abord, regagner tranquillement le rivage. Puis retirer soigneusement les tentacules avec un gant ou une pince à épiler. À défaut, frotter délicate-ment avec du sable. Puis rincer avec de l’eau salée, chaude, le venin étant dégradé par la chaleur. Ultime recours, uriner sur la plaie. À l’abri des regards, si possible. Bonne baignade !

Alerte aux bestioles !

ELLES EMPOISONNENT VOS VACANCES. COMMENT S’EN PROTÉGER ?

LE SAVIEZ-VOUS ? Les maillots de bain flashy et les hurlements stridents ne font pas fuir les méduses.

PIER

RE P

ERRI

N/ZO

KO P

RODU

CTIO

NS

Il y a celles qui grattent, celles qui piquent, celles qui brûlent. Profi tant de notre frivolité estivale, elles s’immiscent dans notre quotidien pour nous empêcher de buller. Petit bestiaire de nos en nemies les bébêtes.

TROUSSEDE SECOURS

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Inexorablement, elles re-viennent avec les tubes de l’été et l’odeur de la crème solaire. Dans le sable, la mer, les herbes, l’air, à la plage comme à la campagne, elles

nous guettent, en tapinois, prêtes à nous sucer le sang, nous piquer, nous brûler. Et empoisonner nos vacances. Si l’attaque de l’aoûtat, qui guette le moindre petit morceau de chair, ou de la vive, dont l’œil globuleux repère votre plante de pied, est plus que désagréable, celle de la tique ou du moustique-tigre peut, elle, avoir des conséquences gravissimes en nous transmettant maladie de Lyme ou chikungunya. Sans tomber dans la paranoïa ni affronter l’été en tenue de camouflage et combinaison de plongée, il convient de rester vigilant – en particulier avec les enfants. Et ne jamais oublier, à l’instar de Darwin, que chaque être vivant, aussi déplaisant et laid soit-il, a sa place sur la planète.

La méduseVous nagez dans la Méditerranée lorsque vous recevez une violente décharge suivie d’une intense brûlure…

Portrait-robot. L’attaquante est une créature gélatineuse en forme de coupelle, munie de fins tentacules. Sur nos côtes, il s’agit sans doute de la pélagie, très urticante mais moins dangereuse que la belle physalie des côtes tropicales. Ou que la cubomé-duse tueuse d’Australie.

Mode opératoire. Elle paralyse ses proies grâce à de petites vésicules terminées par un cil sensitif qui projette la toxine.

Elle est là parce que... La surpêche fait disparaître les prédateurs marins qui s’en nourrissent. Et à cause du réchauffement climatique.

Comment l’éviter. Il existe des répulsifs (pommade). Le plus sûr moyen d’éviter d’entrer en contact avec la méduse est de porter une combinaison, ou un masque pour les répérer.

Et en cas de piqûre... D’abord, regagner tranquillement le rivage. Puis retirer soigneusement les tentacules avec un gant ou une pince à épiler. À défaut, frotter délicate-ment avec du sable. Puis rincer avec de l’eau salée, chaude, le venin étant dégradé par la chaleur. Ultime recours, uriner sur la plaie. À l’abri des regards, si possible. Bonne baignade !

Alerte aux bestioles !

ELLES EMPOISONNENT VOS VACANCES. COMMENT S’EN PROTÉGER ?

LE SAVIEZ-VOUS ? Les maillots de bain flashy et les hurlements stridents ne font pas fuir les méduses.

PIER

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Il y a celles qui grattent, celles qui piquent, celles qui brûlent. Profi tant de notre frivolité estivale, elles s’immiscent dans notre quotidien pour nous empêcher de buller. Petit bestiaire de nos en nemies les bébêtes.

TROUSSEDE SECOURS

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L’ENFANT

DE NAPLES Gino Ferrante, 28 ans, marié, deux enfants, se produit sur scène depuis ses 14 ans. Il vit dans le quartier populaire de Scampia.

Gino Ferrante

“JE CHANTE POURLA MAFIA”En Italie du Sud, les chanteurs néomélodiques vantent

le style de vie camorriste à coups de refrains à l’eau de rose.

« VSD » à suivi l’un d’eux à Scampia, dans le nord de

Naples, où la Camorra est solidement implantée. Photos : Hervé Lequeux/HansLucas pour VSD

REPORTAGENAPLES

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L’ENFANT

DE NAPLES Gino Ferrante, 28 ans, marié, deux enfants, se produit sur scène depuis ses 14 ans. Il vit dans le quartier populaire de Scampia.

Gino Ferrante

“JE CHANTE POURLA MAFIA”En Italie du Sud, les chanteurs néomélodiques vantent

le style de vie camorriste à coups de refrains à l’eau de rose.

« VSD » à suivi l’un d’eux à Scampia, dans le nord de

Naples, où la Camorra est solidement implantée. Photos : Hervé Lequeux/HansLucas pour VSD

REPORTAGENAPLES

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Sarkozy

TOUCHE MAIS PAS COULE

Alors que Nicolas Sarkozy oublie sa garde à vue au cap Nègre, les grandes manœuvres ont commencé au siège de l’UMP. Et, bon gré mal gré, les opposants se résignent.

Même à la mer, l’ex-président reste en campagne. Entre deux baignades,

s’il profite de ses vacances aux côtés de Carla Bruni et de son fi ls Louis,

il peaufine surtout sa candidature à la tête du parti qui prend l’eau.

ALA

IN R

OB

ER

T/A

PE

RÇ

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IPA

POLITIQUEENQUÊTE

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Sarkozy

TOUCHE MAIS PAS COULE

Alors que Nicolas Sarkozy oublie sa garde à vue au cap Nègre, les grandes manœuvres ont commencé au siège de l’UMP. Et, bon gré mal gré, les opposants se résignent.

Même à la mer, l’ex-président reste en campagne. Entre deux baignades,

s’il profite de ses vacances aux côtés de Carla Bruni et de son fi ls Louis,

il peaufine surtout sa candidature à la tête du parti qui prend l’eau.

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POLITIQUEENQUÊTE

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DÉLIVRANCE

Le 7 juin dernier, 227 immigrés africains et syriens sont

repérés par un hélicoptère de la marine italienne,

à 80 milles au sud de l’île de Lampedusa.

Parmi les 80 hommes à bord du Pergamini, Marco Casapieri, le commandant, un des pilotes et des cuisiniers.

DE LA TERRE

AVEC LES

NAUFRAGÉS

PHO

TOS

: MAS

SIM

O S

ESTI

NI/N

EWS

PIC

TUR

ES

GRAND ANGLE

En Méditerranée, la marine italienne est aux avant-postes pour sauver des flots les migrants en

quête d’un monde meilleur. Le photographe Massimo Sestini a suivi ces sauveteurs.

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DÉLIVRANCE

Le 7 juin dernier, 227 immigrés africains et syriens sont

repérés par un hélicoptère de la marine italienne,

à 80 milles au sud de l’île de Lampedusa.

Parmi les 80 hommes à bord du Pergamini, Marco Casapieri, le commandant, un des pilotes et des cuisiniers.

DE LA TERRE

AVEC LES

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En Méditerranée, la marine italienne est aux avant-postes pour sauver des flots les migrants en

quête d’un monde meilleur. Le photographe Massimo Sestini a suivi ces sauveteurs.

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Terre de lave L’Islande recense près de deux cents cratères. Le Thrihnukagigur est à une heure de route de Reykjavik.

Les couleurs de l'enfer L’ancienne chambre magmatique, large comme trois terrains de basket, garde les stigmates d’éruptions.

Aux commandes de la nacelle, le guide Björn Olafsson finit d’équi-per les cinq passagers qui s’apprêtent à descendre au fond du volcan Thrihnukagi-

gur. Situé dans les champs de lave des Blue Mountains, dans le sud-ouest de l’Islande, il surplombe, à 500 mètres d’altitude, la baie de Reykjavik. Suspendue au-dessus du cratère par deux filins, la cabine se balance. À bord, l’excitation monte. Cas-qués et harnachés, on se penche tous pour tenter d’apercevoir l’intérieur du volcan dont la dernière éruption remonte à il y a quatre mille ans. Un gouffre noir, profond, silencieux, effrayant, voilà la première vision de cette exploration dans les en-trailles de la Terre. « C'est le seul volcan à l'intérieur duquel on peut visiter l'ancienne chambre magmatique, c'est-à-dire l'endroit où se trouvait la lave au moment des érup-tions », indique Björn. Le Thrihnukagigur ne montre plus aucun signe d'activité. « Mais il est sous surveillance, ne vous in-quiétez pas », nous rassure-t-il. Lentement, la nacelle, semblable à celles utilisées pour laver les vitres des gratte-ciel, amorce sa plongée. Plus personne ne parle. Un der-nier regard vers la lumière du jour avant que l’obscurité nous submerge dans un monde fascinant et terrifiant à la fois. Vieux de plusieurs millions d'années, le Thrihnukagigur fut découvert en 1974 par Arni Stefansson, un spéléologue islandais passionné de volcanologie. Étudiant en médecine, il ne rêvait à l'époque que d'ex-plorer les innombrables cavités morcelant le sous-sol du pays. Il était descendu seul, en rappel avec une vieille corde, un baudrier et un casque de moto. « J’ai d’abord jeté des pierres dans le cratère pour en évaluer la profondeur. En bas, il n’y avait pas de traces d'activité volcanique. Cela ressemblait à une grotte ordinaire. J'avais quand même prévenu mes amis à la surface que s'il y avait du gaz je tirerais trois fois sur la corde pour qu'ils me remontent », se souvient-il.

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE À 120 MÈTRES SOUS

TERRE, L'EXPLORATION DU VOLCAN ISLANDAIS THRIHNUKAGIGUR VOUS PLONGE DANS L'UNIVERS DE JULES VERNE, À LA DÉCOUVERTE D'UN MONDE INCONNU. Photos : Steven Wassenaar pour VSD

ÉVASIONPARTIR

Reykjavik

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Terre de lave L’Islande recense près de deux cents cratères. Le Thrihnukagigur est à une heure de route de Reykjavik.

Les couleurs de l'enfer L’ancienne chambre magmatique, large comme trois terrains de basket, garde les stigmates d’éruptions.

Aux commandes de la nacelle, le guide Björn Olafsson finit d’équi-per les cinq passagers qui s’apprêtent à descendre au fond du volcan Thrihnukagi-

gur. Situé dans les champs de lave des Blue Mountains, dans le sud-ouest de l’Islande, il surplombe, à 500 mètres d’altitude, la baie de Reykjavik. Suspendue au-dessus du cratère par deux filins, la cabine se balance. À bord, l’excitation monte. Cas-qués et harnachés, on se penche tous pour tenter d’apercevoir l’intérieur du volcan dont la dernière éruption remonte à il y a quatre mille ans. Un gouffre noir, profond, silencieux, effrayant, voilà la première vision de cette exploration dans les en-trailles de la Terre. « C'est le seul volcan à l'intérieur duquel on peut visiter l'ancienne chambre magmatique, c'est-à-dire l'endroit où se trouvait la lave au moment des érup-tions », indique Björn. Le Thrihnukagigur ne montre plus aucun signe d'activité. « Mais il est sous surveillance, ne vous in-quiétez pas », nous rassure-t-il. Lentement, la nacelle, semblable à celles utilisées pour laver les vitres des gratte-ciel, amorce sa plongée. Plus personne ne parle. Un der-nier regard vers la lumière du jour avant que l’obscurité nous submerge dans un monde fascinant et terrifiant à la fois. Vieux de plusieurs millions d'années, le Thrihnukagigur fut découvert en 1974 par Arni Stefansson, un spéléologue islandais passionné de volcanologie. Étudiant en médecine, il ne rêvait à l'époque que d'ex-plorer les innombrables cavités morcelant le sous-sol du pays. Il était descendu seul, en rappel avec une vieille corde, un baudrier et un casque de moto. « J’ai d’abord jeté des pierres dans le cratère pour en évaluer la profondeur. En bas, il n’y avait pas de traces d'activité volcanique. Cela ressemblait à une grotte ordinaire. J'avais quand même prévenu mes amis à la surface que s'il y avait du gaz je tirerais trois fois sur la corde pour qu'ils me remontent », se souvient-il.

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE À 120 MÈTRES SOUS

TERRE, L'EXPLORATION DU VOLCAN ISLANDAIS THRIHNUKAGIGUR VOUS PLONGE DANS L'UNIVERS DE JULES VERNE, À LA DÉCOUVERTE D'UN MONDE INCONNU. Photos : Steven Wassenaar pour VSD

ÉVASIONPARTIR

Reykjavik

VSD1924D058.indd 58-59 03/07/14 17:39

par Lionel bret

Harley electric bike

Elle va faire du bruit !

MOTEUR Un moteur électrique remplace le

célèbre V-Rod. Une première.

DESIGN Un air de Buell S1, moto sportive

autrefois dans le giron Harley.

HÉRITAGE Selle monoplace, ligne ramassée, un

bel hommage au style café racer.

FICHETECHNIQUE

Moteur : électrique

Puissance : 74 ch (55 Kw) à 8 000 tr/min

Batteries : lithium-ion, 85 km d’autonomie

Temps de charge : 3 h 30

Vitesse maximale :150 km/h (sur circuit)

De 0 à 100 km/h : 4 s

Prix :non communiqué

2014Révolution

verte

Harley-Davidson présente son premier prototype de gros cube électrique à des clients survoltés. Il y a de l’électricité dans l’air !

6 2 - N ° 1 9 2 4

MOTEURFRISSONS

N ° 1 9 2 4 - 6 3

HAR

LEY

DAV

IDSO

N

VSD1924D062_S064.indd 62-63 04/07/14 11:41

par Lionel bret

Harley electric bike

Elle va faire du bruit !

MOTEUR Un moteur électrique remplace le

célèbre V-Rod. Une première.

DESIGN Un air de Buell S1, moto sportive

autrefois dans le giron Harley.

HÉRITAGE Selle monoplace, ligne ramassée, un

bel hommage au style café racer.

FICHETECHNIQUE

Moteur : électrique

Puissance : 74 ch (55 Kw) à 8 000 tr/min

Batteries : lithium-ion, 85 km d’autonomie

Temps de charge : 3 h 30

Vitesse maximale :150 km/h (sur circuit)

De 0 à 100 km/h : 4 s

Prix :non communiqué

2014Révolution

verte

Harley-Davidson présente son premier prototype de gros cube électrique à des clients survoltés. Il y a de l’électricité dans l’air !

6 2 - N ° 1 9 2 4

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N ° 1 9 2 4 - 6 3

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