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Zazie dans le métro Zazie Raymond Queneau dans …...e eiiaie .fr Zazie dans le métro Raymond Queneau (Université de Liège) Maitre en langues et littératures modernes Document

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    Zazie dans le métro

    Raymond Queneau

    (Université de Liège)Maitre en langues et littératures modernes

    Document rédigé par Mélanie Kuta

    Questionnaire de lecture

    lePetitLittéraire.fr

    Document rédigé par Mélanie Kuta

    Zazie dans le métro

    Raymond Queneau

    Questionnaire de lecture

  • QUESTIONNAIRE 7

    CORRIGÉ 10

  • - 5 -

    Raymond QueneauPoète, romancier, linguiste

    et scientifique français

    •  Né en 1903 au Havre•  Décédé en 1976 à Neuilly- sur- Seine•  Quelques- unes de ses œuvres :

    ʟ Exercices de style (1947) ʟ Cent Milliards de poèmes (1961), poésie ʟ Le Vol d’Icare (1968), roman

    Raymond Queneau nait au Havre en 1903. Passionné par les langues dès son enfance,  il explore ensuite  les domaines des mathématiques, du cinéma, du surréalisme ou encore de la psychanalyse.

    Écrivain hors norme, son œuvre regroupe une variété impor-tante de textes témoignant de sa curiosité  intellectuelle et de son originalité : romans, essais, poèmes, chansons et traductions. En 1947, il publie l’un de ses ouvrages les plus célèbres, Exercices de style, mais c’est Zazie dans le métro (1959) qui lui apporte la reconnaissance du grand public.

    En 1960,  il fonde, avec François de Lionnais (mathémati-cien  et  écrivain  français,  1901‑1984),  le  groupe  littéraire OuLiPo qui, encore aujourd’hui, propose des réflexions sur les contraintes et encourage les créations en tous genres. Il décède à Paris en 1976.

  • - 7 -- 6 -

    QUESTIONNAIRE

    1.  Questionnaire  à  choix  multiple.  Une  seule  réponse est possible.

    a) Zazie ne parvient pas à emprunter le métro parce que : il y a une grève son oncle Gabriel préfère prendre le taxi le métro est inaccessible à cause des fortes pluies qui touchent Paris

    il n’a pas encore été construit à Paris

    b)  Laverdure est : le frère de Turandot un serveur à La Cave, le café de Turandot le perroquet de Turandot le petit ami de Mado Ptits‑ pieds, serveuse à La Cave

    c)  Jeanne Lalochère confie sa fille à Gabriel car : elle a un entretien d’embauche sa maman est décédée et elle doit s’occuper de l’organisation des funérailles

    elle a rendez‑ vous avec un prétendant elle part séjourner dans un centre de désintoxication

    d) Le manipulateur du monte‑ charge, qui apparait à la fin du roman pour sauver Gabriel et ses amis, est en fait :

    Jeanne Lalochère Gabriella Marceline un touriste du groupe de Fédor Balanovitch

    Zazie dans le métroUne œuvre pittoresque

    •  Genre : roman•  Édition de référence  : Zazie dans le métro,  Paris, 

    Gallimard, coll. « Folioplus classiques », 2010, 352 p.•  1re édition : 1959•  Thématiques : enfance, monde des adultes, sexualité, 

    langage populaire, société française

    Publié en 1959, Zazie dans le métro est un véritable succès de librairie qui raconte les aventures incroyables d’une fillette délurée dans les rues de Paris à la fin des années cinquante.

    Semblable à de nombreuses œuvres d’après‑ guerre, Zazie dans le métro, sous les apparences d’un roman traditionnel, déconstruit les codes du genre au moyen de  la parodie et de  l’humour. L’action a lieu au cœur d’une société française en pleine muta-tion et des épisodes fantastiques viennent bouleverser la réalité.

    L’adaptation cinématographique par Louis Malle (cinéaste français, 1932‑1995) en 1960 confirme le succès de l’ouvrage. En 2008, Clément Oubrerie (dessinateur français, né en 1966) en fait une bande dessinée.

    Pour aller plus loin dans votre étude de l’œuvre, consultez aussi :

    •  le commentaire du chapitre 3 de Zazie dans le métro•  la fiche de lecture sur Zazie dans le métro

    Découvrez également de nombreux autres documents télé-chargeables en quelques clics sur lepetitlittéraire.fr !

  • - 9 -- 8 -

    8.  Raymond Queneau a recours de très nombreuses fois à l’intertextualité. Il reprend des détails provenant d’autres textes, d’œuvres de la littérature universelle, du théâtre, etc. Relevez divers exemples et expliquez en quoi l’inter-textualité enrichit le roman.(20 lignes)

    9.  Comment  est  dépeint  le  groupe  de  touristes  dans le roman ?(20 lignes)

    10. La ville de Paris est le lieu central de Zazie dans le métro. Comment  les  Parisiens  perçoivent‑ ils  leur  ville  dans le roman ?(10 lignes)

    2.  Queneau  s’octroie  une  liberté  totale  par  rapport  à la langue, liberté qui se retrouve au niveau du lexique, de la syntaxe ou encore de la prononciation. Relevez cinq coa-gulations phonétiques (agglutinations de mots prononcés d’une seule traite) et traduisez‑ les en « français standard ». Citez aussi deux néologismes, que vous expliquerez.(7 lignes)

    3.  Le  personnage  de  Gabriel  est  extrêmement  ambigu. On  apprend,  au  chapitre  5,  qu’il  est  « danseuse  de charme » (p. 62). Avant cet aveu, l’auteur a semé de nom-breux indices sur l’identité sexuelle et sur la profession de Gabriel. Ces indices auraient pu nous amener seuls à cette conclusion. Relevez‑ les.(7 lignes)

    4.  Dans l’œuvre, les trois unités du roman réaliste classique (temps, lieu et action) sont‑ elles respectées ?(15 lignes)

    5.  À quel type de narrateur a‑ t‑on affaire dans Zazie dans le métro ? Expliquez.(5 lignes)

    6.  En quoi Zazie dans le métro est‑ il un « roman parlé » ?(10 lignes)

    7.  Dans le roman, Raymond Queneau joue sans cesse avec les apparences. Par exemple,  l’oncle de Zazie s’appelle tantôt  Gabriel,  tantôt  Gabriella ;  le  Panthéon  est confondu avec la gare de Lyon, etc. Que peut‑ on dire à ce sujet sur le personnage de Pédro‑ surplus ?(10 lignes)

  • - 11 -‑ 10 ‑

    2.  Queneau s’octroie une  liberté  totale par  rapport à  la langue,  liberté  qui  se  retrouve  au  niveau  du  lexique, de  la  syntaxe ou encore de  la prononciation. Relevez cinq  coagulations  phonétiques  (agglutinations  de mots prononcés d’une seule traite) et traduisez‑ les en « français  standard ».  Citez  aussi  deux  néologismes, que vous expliquerez.

    Coagulations phonétiques :

    Néologismes :

    3.  Le  personnage  de  Gabriel  est  extrêmement  ambigu. On  apprend,  au  chapitre  5,  qu’il  est  « danseuse  de charme »  (p.  62).  Avant  cet  aveu,  l’auteur  a  semé de nombreux indices sur l’identité sexuelle et sur la pro-fession de Gabriel. Ces indices auraient pu nous amener seuls à cette conclusion. Relevez‑ les.

    CORRIGÉ

    1.  Questionnaire à choix multiple. Une seule réponse est  possible.

    a) Zazie ne parvient pas à emprunter le métro parce que : il y a une grève son oncle Gabriel préfère prendre le taxi le métro est inaccessible à cause des fortes pluies qui touchent Paris

    il n’a pas encore été construit à Paris

    b)  Laverdure est : le frère de Turandot un serveur à La Cave, le café de Turandot le perroquet de Turandot le petit ami de Mado Ptits‑ pieds, serveuse à La Cave

    c)  Jeanne Lalochère confie sa fille à Gabriel car : elle a un entretien d’embauche sa maman est décédée et elle doit s’occuper de l’organisation des funérailles

    elle a rendez- vous avec un prétendant elle part séjourner dans un centre de désintoxication

    d) Le manipulateur du monte‑ charge, qui apparait à la fin du roman pour sauver Gabriel et ses amis, est en fait :

    Jeanne Lalochère Gabriella Marceline un touriste du groupe de Fédor Balanovitch

  • ‑ 13 ‑‑ 12 ‑

    spectacle de Gabriel). Zazie disparait même pendant plusieurs  chapitres  (elle  est  endormie).  L’histoire  de Zazie prend donc peu de place par rapport au tourbillon des évènements annexes.

    Le roman a donc l’apparence d’un roman traditionnel, mais n’en est pas un à part entière.

    5.  À quel type de narrateur a‑ t‑on affaire dans Zazie dans le métro ? Expliquez.

    Le narrateur est omniscient car il connait tout des per-sonnages.  Il pénètre à volonté dans leur conscience et rapporte leurs réflexions personnelles. (« se demanda Gabriel excédé », p. 7 ; « Marceline s’adressa silencieu-sement la parole à elle‑ même pour se communiquer la réflexion suivante », p. 159.)

    6.  En quoi Zazie dans le métro est‑ il un « roman parlé » ?

    On peut considérer Zazie dans le métro comme un roman parlé car l’espace dédié aux dialogues est très important. Il y a peu de descriptions – il s’agit souvent de didascalies (indications sur l’attitude d’un personnage, sur la mise en scène, etc. dans une pièce de théâtre) – et la narration est fortement décousue.

    De plus, le narrateur, parfois contaminé par les person-nages, leur emprunte leur façon de parler. Les dialogues influencent donc la partie narrative du roman, comme 

    Gabriel  porte  un  parfum  très  fort,  « Barbouze, un parfum de chez Fior » (p. 7).

    Il ramène du foie gras du « cabaret » (p. 21). Il travaille de nuit (p. 21). Il se fait les mains (p. 24). Il  part  travailler  en  oubliant  son  rouge  à  lèvres (p. 29).

    4.  Dans l’œuvre, les trois unités du roman réaliste classique (temps, lieu et action) sont‑ elles respectées ?

    Oui, en partie.

    •  L’espace est clairement délimité  :  l’histoire se passe à Paris et il y a de nombreuses mentions de monuments et de quartiers parisiens.

    •  Le récit s’inscrit en outre dans un  laps de temps bien défini : l’histoire se déroule entre le moment où Jeanne Lalochère confie sa fille, Zazie, à Gabriel et le moment où elle vient la chercher. Un jour et deux nuits s’écoulent, soit environ trente‑ six heures.

    •  Quant à l’unité d’action, on peut penser de prime abord qu’elle  est  respectée  :  Zazie part  à  la découverte de Paris et plus particulièrement du métro. Cependant, Zazie dans le métro ne développe pas une seule intrigue. La visite de  la ville ne  se passe pas  comme prévu et le récit se transforme en un enchevêtrement d’anec-dotes comiques et d’aventures  fantastiques. Chaque personnage  secondaire développe  sa propre histoire (par exemple, les fiançailles de Charles et Mado, ou le 

  • - 15 -- 14 -

    Il est  impossible de dresser  ici  la  liste de tous  les élé-ments  intertextuels présents dans  le  roman. En voici cependant quelques exemples :

    ʟ « Paris n’est qu’un songe, Gabriel n’est qu’un  rêve (charmant), Zazie  le songe d’un rêve (ou d’un cau-chemar) et toute cette histoire le songe d’un songe » (p.  92).  Allusion  à  la  pièce  de  théâtre  de  Pedro Calderón de la Barca (poète dramatique espagnol, 1600‑1681), La vie est un songe (1635).

    ʟ « C’est  pour  te  faire  rire,  mon  enfant »  (p.  15). Allusion au conte de Charles Perrault (écrivain fran-çais, 1628‑1703), Le Petit Chaperon rouge (1697).

    ʟ « Ne sutor ultra crepidam » (p. 79). « Que le cordonnier ne juge pas au‑ dessus de la chaussure » : expression latine tirée de Pline l’Ancien (naturaliste et écrivain latin, 23‑79 apr. J.‑ C.) qui signifie « à chacun son métier ».

    ʟ « Gibraltar aux anciens parapets » (p. 101). Allusion à l’un des derniers vers du « Bateau ivre » (1871) de Rimbaud (poète français, 1854‑1891)  : « Je regrette l’Europe aux anciens parapets ! ».

    ʟ « L’être  ou  le  néant,  voilà  le  problème »  (p.  91). Le monologue de Gabriel qui commence par cette parole parodie Hamlet  (vers 1600) de Shakespeare (dramaturge anglais, 1564‑1616)  : « Être, ou ne pas être, telle est la question ».

    L’intertextualité joue un rôle majeur dans le roman, c’est même sa matière première. Ces allusions et clins d’œil à d’autres textes enrichissent le récit et permettent un second niveau de lecture : le lecteur doit être attentif pour comprendre ces allusions qui ajoutent de la profondeur 

    on le voit dans ces deux exemples : « Heureusement vlà ltrain qu’entre en gare » (p. 9) ; « Trouscaillon, empesté, s’escusa, salua Gabriel en se mettant au garde‑ à‑ vous, egzécuta le demi‑ tour réglementaire » (p. 121).

    7.  Dans le roman, Raymond Queneau joue sans cesse avec les apparences. Par exemple,  l’oncle de Zazie s’appelle tantôt  Gabriel,  tantôt  Gabriella ;  le  Panthéon  est confondu avec la gare de Lyon, etc. Que peut‑ on dire à ce sujet sur le personnage de Pédro‑ surplus ?

    Pédro‑ surplus  est  un  personnage  protéiforme  (qui change souvent de forme) ne disposant pas d’une iden-tité définie. Il s’appelle tantôt Trouscaillon, Bertin Poirée ou Aroun Arachide. Il est satyre, agent de police, forain, inspecteur et prince de ce monde. Selon l’identité choi-sie, il combine de différentes façons ses trois accessoires fétiches : le chapeau, le parapluie et la moustache. Il est également désigné comme « le type ».

    Il avoue à Gridoux, le cordonnier, s’être « perdu » (p. 82) et tout ignorer de lui‑ même. Il prétend ignorer son nom, son âge et sa profession. C’est le personnage du roman qui embrasse le plus la notion d’instabilité (de la langue et des apparences) revendiquée par Raymond Queneau dans son œuvre.

    8.  Raymond Queneau a recours de très nombreuses fois à l’intertextualité. Il reprend des détails provenant d’autres textes, d’œuvres de la littérature universelle, du théâtre, etc. Relevez divers exemples et expliquez en quoi l’inter-textualité enrichit le roman.

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    les gardiens de musée vont boire, une telle faille dans le programme n’étant pas réparable car  le  lendemain les  voyageurs  partaient  pour  Gibraltar,  aux  anciens parapets. Tel était leur itinéraire. » (p. 101)

    10. La ville de Paris est le lieu central de Zazie dans le métro. Comment  les  Parisiens  perçoivent‑ ils  leur  ville  dans le roman ?

    Pour les Parisiens, Paris ressemble à un labyrinthe. À cause de la grève du métro, la ville est ralentie et les embouteil-lages sont nombreux. Les petits commerces de rue côtoient les restaurants et les brocantes. La description de Paris que fait Queneau à travers les yeux des Parisiens est brouillée, comme emportée dans un brouhaha général, et est bien différente de la vision qu’en ont les touristes (« Pauvres innocents qui croient que c’est ça, Paris », p. 124).

    Le lecteur ne sait pas avec exactitude où habite Gabriel. Ce dernier ignore également où est sa maison et confond la plupart des monuments historiques.

    –  Voilà le tabac du coin. 

    – De quel coin ? demande Charles ironiquement. 

    – Du coin de la rue de chez moi où j’habite, répond Gabriel 

    avec candeur. 

    – Alors, dit Charles, c’est pas çui‑ là. » (p. 15)

    « – Et ça ! là‑ bas !! regarde !!! Le Panthéon !!! 

    – C’est pas le Panthéon, dit Charles, c’est les Invalides. 

    […]

    – J’ai trouvé, hurle alors Charles, ce truc‑ là, c’est pas les 

    Invalides, c’est le Sacré‑ Cœur. (p. 85) 

    à l’œuvre. Cette intertextualité témoigne également de la culture de Raymond Queneau : il se nourrit de ces élé-ments et les parodie pour créer son roman.

    9.  Comment  est  dépeint  le  groupe  de  touristes  dans le roman ?

    Le groupe de touristes présent dans Zazie dans le métro visite en car, à  l’aide de leur guide, Fédor Balanovitch, les  principaux  monuments  parisiens  (la  tour  Eiffel, les  Invalides,  la Sainte‑ Chapelle,  etc.).  Ils demandent avidement  à  Gabriel  « kouavouar ?  kouavouar ? kouavouar ? » (p. 93).

    Raymond Queneau critique  ici  le  tourisme de masse et  les voyages organisés apparus dans  les années cin-quante. Les touristes sont empaquetés dans des cars desquels  ils montent  et  descendent  sans  cesse  afin de  visiter  le  maximum  de monuments  en  un mini-mum  de  temps  (« Allons,  grouillons !  […]  Schnell ! Schnell !  remontons  dans  le  car  et  que  ça  saute », p. 95). Les touristes sont  ici  réduits à un troupeau de « veaux » (p. 96) peu cultivés qui boivent  les paroles de  leur guide. Par exemple,  lorsque Gabriel  leur pré-sente sa nièce, Zazie, les touristes la prennent en photo (« Les caméras crépitent », p. 93) comme s’il s’agissait d’une personne célèbre.

    Ces voyages organisés traversent souvent de nombreux pays  d’Europe  en une  seule  semaine,  c’est  pourquoi le  programme doit  être  scrupuleusement  respecté  : « Quant à Fédor Balanovitch […], il ne se souciait que de mener ses agneaux en  lieu voulu avant  l’heure où 

  • Gaudé• La Mort du roi Tsongor• Le Soleil des Scorta

    Gautier• La Morte amoureuse• Le Capitaine Fracasse

    Gavalda• 35 kilos d’espoir

    Gide• Les Faux-Monnayeurs

    Giono• Le Grand Troupeau• Le Hussard sur le toit

    Giraudoux• La guerre de Troie  n’aura pas lieu

    Golding• Sa Majesté des  Mouches

    Grimbert• Un secret

    Hemingway• Le Vieil Homme  et la Mer

    Hessel• Indignez-vous !

    Homère• L’Odyssée

    Hugo• Le Dernier Jour• d’un condamné• Les Misérables• Notre-Dame de Paris

    Huxley• Le Meilleur des mondes

    Ionesco• Rhinocéros• La Cantatrice chauve

    Jary• Ubu roi

    Jenni• L’Art français  de la guerre

    Joffo• Un sac de billes

    Kafka• La Métamorphose

    Kerouac• Sur la route

    Kessel• Le Lion

    Larsson• Millenium I. Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

    Le Clézio• Mondo

    Levi• Si c’est un homme 

    Levy• Et si c’était vrai…

    Maalouf• Léon l’Africain

    Malraux• La Condition humaine

    Marivaux• La Double Inconstance• Le Jeu de l’amour et du hasard

    Martinez• Du domaine des murmures

    Maupassant• Boule de suif• Le Horla• Une vie

    Mauriac• Le Nœud de vipères

    Mauriac• Le Sagouin

    Mérimée• Tamango• Colomba

    Merle• La mort est mon métier

    Molière• Le Misanthrope• L’Avare• Le Bourgeois gentilhomme

    Montaigne• Essais

    Morpurgo• Le Roi Arthur

    Musset• Lorenzaccio

    Musso• Que serais-je  sans toi ?

    Nothomb• Stupeur et Tremblements

    Orwell• La Ferme des animaux• 1984

    Pagnol• La Gloire de mon père

    Pancol• Les Yeux jaunes des crocodiles

    Pascal• Pensées

    Pennac• Au bonheur des ogres

    Poe• La Chute de la maison Usher

    Proust• Du côté de chez Swann

    Queneau• Zazie dans le métro

    Quignard• Tous les matins du monde

    Rabelais• Gargantua

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      des fiches de lectures  des commentaires littéraires  des questionnaires de lecture des résumés

    Anouilh• Antigone

    Austen• Orgueil et Préjugés

    Balzac• Eugénie Grandet• Le Père Goriot• Illusions perdues

    Barjavel• La Nuit des temps

    Beaumarchais• Le Mariage de Figaro

    Beckett• En attendant Godot

    Breton• Nadja

    Camus• La Peste• Les Justes• L’Étranger

    Carrère• Limonov

    Céline• Voyage au bout  de la nuit

    Cervantès• Don Quichotte de la Manche

    Chateaubriand• Mémoires  d’outre-tombe

    Choderlos de Laclos• Les Liaisons  dangereuses

    Chrétien de Troyes• Yvain ou le Chevalier au lion

    Christie• Dix Petits Nègres

    Claudel• La Petite Fille de Monsieur Linh

    • Le Rapport de Brodeck

    Coelho• L’Alchimiste

    Conan Doyle• Le Chien des Baskerville

    Dai Sijie• Balzac et la Petite• Tailleuse chinoise

    De Gaulle• Mémoires de guerre III. Le Salut. 1944-1946

    De Vigan• No et moi

    Dicker• La Vérité sur  l’affaire Harry Quebert

    Diderot• Supplément au Voyage de Bougainville

    Dumas• Les Trois Mousquetaires

    Énard• Parlez-leur  de batailles,  de rois et d’éléphants

    Ferrari• Le Sermon sur la chute de Rome

    Flaubert• Madame Bovary

    Frank• Journal  d’Anne Frank

    Fred Vargas• Pars vite et  reviens tard

    Gary• La Vie devant soi

  • Racine• Andromaque• Britannicus• Phèdre

    Rousseau• Confessions

    Rostand• Cyrano de Bergerac

    Rowling• Harry Potter à l’école des sorciers

    Saint-Exupéry• Le Petit Prince• Vol de nuit

    Sartre• Huis clos• La Nausée• Les Mouches

    Schlink• Le Liseur

    Schmitt• La Part de l’autre• Oscar et la Dame rose

    Sepulveda• Le Vieux qui lisait des romans d’amour

    Shakespeare• Roméo et Juliette

    Simenon• Le Chien jaune

    Steeman• L’Assassin habite au 21

    Steinbeck• Des souris et des hommes

    Stendhal• Le Rouge et le Noir

    Stevenson• L’Île au trésor

    Süskind• Le Parfum

    Tolstoï• Anna Karénine

    Tournier• Vendredi ou la Vie sauvage

    Toussaint• Fuir

    Uhlman• L’Ami retrouvé

    Verne• Le Tour  du monde en 80 jours

    • Vingt mille  lieues sous les mers

    • Voyage au centre de  la terre

    Vian• L’Écume des jours

    Voltaire• Candide

    Wells• La Guerre des mondes

    Yourcenar• Mémoires d’Hadrien

    Zola• Au bonheur des dames• L’Assommoir• Germinal

    Zweig• Le Joueur d’échecs

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