2.1 Quels sont les fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ?
Acquis de première : gains à l'échange, spécialisation, échange
marchand.
Avantage comparatif, dotation factorielle, libre-échange et protectionnisme, commerce intra-firme, compétitivité prix et hors prix, délocalisation, externalisation, firmes multinationales, spécialisation.
Indications complémentaires
1. En partant d'une présentation stylisée des évolutions du commerce mondial et en faisant référence à la notion d'avantage comparatif
2. On s'interrogera sur les déterminants des échanges internationaux de biens et services et de la spécialisation. 3. On analysera les avantages et les inconvénients des échanges internationaux pour les producteurs comme pour
les consommateurs. 4. On présentera à cette occasion les fondements des politiques protectionnistes et on en montrera les risques. 5. En s'appuyant sur des données concernant le commerce intra-firme et sur des exemples d'entreprises
multinationales, on abordera la mondialisation de la production. On analysera les choix de localisation des entreprises et leurs stratégies d'internationalisation. On étudiera à cette occasion les principaux déterminants de la division internationale du travail, en insistant sur le rôle des coûtset la recherche d'une compétitivité hors prix.
Rappel : Tous les termes signalés par * sont à définir comme base (le minimum !) de toute préparation etc…
I.Les fondements du
commerce international*
et de
l'internationalisation* de
la production ? Une
réalité…
A. A travers les faits …
B. …mais pas seulement :
dans les « idées » également
(approche théoriques du
commerce international*)
II… et des implications : entre réelles opportunités et vraies contraintes.
A.Avantages et inconvénients des échanges internationaux…
1. Analyse pour les producteurs … a. Faits et chiffres : constats…
b… qui révèle un enjeu crucial en amont: la localisation des entreprises et ses principaux déterminants…
c…. tandis que la recherche de compétitivité devient une nécessité permanente.
2….comme pour les consommateurs.
a.Baisse des coûts et baisse des prix ? La recherche de compétitivité, un jeu à somme positive…
b…ou à somme nulle ? A la recherche des perdants.
II… et des implications : entre réelles opportunités et vraies contraintes.
A.Avantages et inconvénients des échanges internationaux…
1. Analyse pour les producteurs … a. Faits et chiffres : constats…
Pour évaluer l'ampleur du développement des firmes multinationales, et même si leur définition
prête à discussion, il est fréquent de recourir à la mesure des investissements directs à l'étranger
(IDE*), dont on constate une vive accélération à partir du milieu des années 1980.
On peut également se référer au nombre de sociétés mères* et filiales*, au chiffre d’affaires ou à la
valeur de la production réalisée, au nombre de salariés, etc. En 1977, il y avait 11 000 sociétés mères
et 82 000 filiales internationales ; en l’an 2000 il y avait plus de 63 000 sociétés mères et plus de 820
000 filiales internationales. Les firmes multinationales ont réalisé une production d’environ 16 000
milliards de dollars en 2010, soit environ le quart du PIB mondial ; la même année, la valeur ajoutée
par les filiales implantées à l’étranger représentait environ 6 600 milliards de dollars et ces filiales
faisaient travailler environ 68 millions de personnes. En 2008, l’entreprise multinationale possédant le
plus grand stock d’actifs hors de son territoire d’origine était General Electric dont la moitié du capital
était détenue hors des Etats-Unis, son territoire d’origine ; General Electric faisait travailler 323 000
personnes dont 171 000 hors des Etats-Unis. Les firmes multinationales peuvent aussi être des
entreprises financières : en 2009, Citigroup, d’origine américaine, était implantée dans 75 pays hôtes ;
BNP Paribas était implantée dans 61 pays et disposait de 596 filiales à l’étranger.
Jusqu'aux années 1990, l'écrasante majorité des flux d’IDE provenait des pays développés à
économie de marché et était destinée à ces mêmes pays. À partir des années 1990, de plus en plus de
filiales de firmes multinationales ont été implantées dans les pays d'Europe centrale et orientale, dans
les pays du Sud-est asiatique et en Chine et plus généralement dans la plupart des pays en
développement, ceux-ci cherchant à attirer des firmes multinationales pour accélérer leur croissance
après s'en être protégés dans le passé de peur de perdre leur indépendance nationale. L’installation
durable de filiales de FMN dans certains pays comme la Chine, le Brésil, voire l’Inde, a contribué à
l'accélération de la croissance de ces pays, ce qui leur a fourni la possibilité de devenir à leur tour les
pays d'origine de gigantesques firmes multinationales. Depuis les années 2000, et surtout depuis la
crise de 2008, la domination des firmes originaires de pays développés devient moins exclusive
qu’elle ne l’a été. Eduscol, 2013
II.A.1.a.1 Redonnez le sens de
l’IDE et ses différentes formes.
En quoi cela ne doit pas être
systématiquement confondu
avec le sens de la FBCF ?
II.A.1.a.2 Quels sont les
principaux indicateurs du poids
des FMN ? En quoi est-ce un
apport pour les territoires
d’accueil ?
II.A.1.a.3 En quoi les flux
d’IDE jusqu’aux années 90
permettent de lever un mythe
quant à la logique des
multinationales ? Pourquoi
néanmoins cette logique n’est
pas absente voire reprend sens,
y compris au sein de l’Europe,
à partir des années 90 ?
II.A.1.a.4 Qu’est-ce qu’un
investissement de portefeuille à
l’étranger ? En quoi est-ce un
engagement plus réversible que
l’IDE ? Comment dès lors les
donneurs d’ordre (FTN)
peuvent mettre en concurrence
les firmes locales ?
b… qui révèle un enjeu crucial en amont: la localisation des entreprises et ses principaux déterminants…
F.T.N.* et F.M.N.* au cœur de la D.I.T.* et de la D.I.P.P.* : le rôle des I.D.E.*
Pourquoi Carrefour quitte les pays émergents Par Julie de la Brosse, publié le 20/11/2012 à 18:23 - L’expansion
Indonésie, Malaisie, Colombie, Grèce, Singapour... Cinq cessions depuis l'été. C'est peu dire que
Georges Plassat, le nouveau patron de Carrefour, est un homme pressé. Ce mardi, il a annoncé la vente des
60% qu'il détient dans CT Corp, son franchisé exclusif en Indonésie, pour 525 millions d'euros. Fin octobre,
il annonçait la cession de Carrefour Malaisie au groupe japonais Aeon pour un montant de 250 millions
d'euros. Soit quinze jours après celle de sa filiale* colombienne au groupe chilien Cencosud pour 2
milliards d'euros. A chaque fois, la Bourse a applaudi joyeusement ces annonces. Ce mardi matin, le titre
Carrefour a trusté la plus haute place du CAC 40, pour clôturer en hausse de près de 3%. En six mois, le
titre a même progressé de plus de 30%. La stratégie de désinvestissement de Carrefour est un mal
nécessaire pour ce groupe qui s'est beaucoup dispersé ces dernières années, notamment à l'international.
Depuis des années, le distributeur souffre de son niveau très élevé de dette -près de 7 milliards d'euros fin
2011- et de son manque de marge de manœuvre financière, l'empêchant d'être commercialement offensif.
En juin dernier, à son arrivée aux manettes, Georges Plassat, avait donc promis de faire le ménage dans ses
actifs non stratégiques, pour récupérer du cash et réaliser les investissements nécessaires dans les pays jugés
à fort potentiel de croissance. Il évoquait alors des cessions possibles en Malaisie, en Indonésie mais aussi
en Turquie, Pologne et en Roumanie.
II.A.1.b.1 Redonnez le sens
des 5 sigles du titre du
document, les organiser dans
un schéma logique. Boeing
est-elle une FMN ou une FTN
? Justifiez
II.A.1.b.2 Lister les activités
conservées par Boeing et
celles confiées à d’autres
entreprises. Ces entreprises
sont-elles dans des pays à bas
salaire ? Quelle est
l’explication de cette
orientation ? Les motivations
de Boeing sont-elles liées à
une recherche de coûts du
travail plus faible ?
II.A.1.b.3 En quoi certains
pays d’accueil peuvent-ils
bénéficier de transferts de
technologie *?
II.A.1.b.4 Quel est le but des
investissements de grands
distributeurs ? Pourquoi
choisir des pays à fort
potentiel de croissance ?
II.A.1.b.5 Sur quel élément
comptable du partage de la
VAB pèse l’endettement ?
Pourquoi les actionnaires
réagissent ici positivement ?
c…. tandis que la recherche de compétitivité devient une nécessité permanente.
Sud-Ouest. Fr Publié le 18/03/2013
Deux logiques
[…] Si les capitaux et les biens et services circulent de plus en plus librement et à coût décroissant, il est
dans la logique des firmes de localiser leurs différentes activités (recherche-développement, conception,
fabrication, finance, etc.) au sein des territoires où il est le plus rentable pour elles de le faire. A partir du
moment où, au sein d'un ensemble de firmes en compétition, certaines s'engagent dans ce type de
mouvement et y trouvent un avantage compétitif, les autres sont obligées de le suivre, sauf à disparaître. Il
ne peut en aucune façon leur être reproché d'agir ainsi, lorsque les conditions de la compétition au sein de
nos économies de marchés capitalistes les y contraignent. Pierre-Noël GIRAUD - 26 09 1994 | Séminaire Les Invités de l'École de Paris | Compte rendu de séance
II.A.1.c.1 Illustrez le
concept en entourant en
rouge les éléments de la
compétitivité prix*
II.A.1.c.2 Illustrez le
concept en entourant en
vert les éléments de la
compétitivité hors prix*.
II.A.1.c.3 Repérez un
élément permettant des
économies d’échelle*.
Expliquez l’effet sur le
prix du transport des
personnes ou des biens.
II.A.1.c.4 En quoi la
distance et la technique
voire la technologie ont
longtemps étaient des
freins à la
délocalisation* ?
II.A.1.c.5 Quels sont les
caractères structurels du
cadre de l’économie
globalisée ? Pourquoi,
dès lors, la logique
d’une firme s’impose-t-
elle de façon systémique
aux autres firmes ?
BILAN : Les FTN tentent donc de profiter des conditions d’offre dans une optique de rentabiliser le capital investi des actionnaires et de poursuivre
une logique de croissance interne* et externe* des unités de production. Elles cherchent aussi à approcher la demande limitant les coûts de transports,
contournant les freins à l’entrée (douanes, réglementation …), adaptant les produits à la culture locale (préférences des consommateurs)
2….comme pour les consommateurs.
a.Baisse des coûts et baisse des prix ? La recherche de compétitivité, un jeu à somme positive…
La mondialisation au quotidien… Avec (à gauche) ou sans (à droite) les biens importés
« Si j’achète 100 francs une paire de chaussures importées, au lieu de celles que me propose à 250 francs un producteur français, il s’ensuit certes que celui-ci, sauf à innover ou à se
diversifier, risque d’être contraint de réduire sa production, de débaucher voire de disparaître. Ce que l’on voit c’est la disparition d’emplois. Ce que l’on ne voit pas ce sont les
150 francs ainsi économisés. Ils me permettront d’acheter un livre ou d’aller au restaurant. Ce que l’on ne voit pas non plus, c’est que les 100 francs reçus par mon producteur étranger constituent une créance sur la production française. Ils reviendront inéluctablement -
directement ou indirectement, après bien des tribulations dans l’économie mondiale- dans l’économie française, sous la forme d’achat de biens et services. »
Alain Madelin, ministre des Entreprises et du Développement économique, Le Monde, 24 juin 1994.
II.A.2.a.1 En quoi la photo
illustre bien que les importations
sont des ressources de l’économie
nationale du côté de la variété
des « emplois » ?
II.A.2.a.2 Donnez des exemples
de biens importés à partir de cette
photo. Quel(s) autres secteurs
peuvent être concernés du côté de
la demande ?
II.A.2.a.3 Illustrez ce que les SNF
résidentes en France peuvent
attendre d’essentiel du côté des
importations?
II.A.2.a.4 Comment s’écrit le
Pouvoir d’Achat (P.A.) d’un
revenu ? Quel serait l’effet
attendu des prix des produits
importés sur le P.A. des ménages
résidents ? Pourquoi est-ce
l’équivalent d’une hausse du
revenu réel* ? En quoi le gain
dégagé peut être source de
nouveaux emplois sur le
territoire national ?
II.A.2.a.5 En quoi peut-on
rapprocher ces évolutions
favorables des économies
d’échelle* dues à la taille des
FTN ?
b…ou à somme nulle ? A la recherche des perdants.
Pour analyser les conséquences du libre échange, je propose d'abord de diviser en trois catégories la
population active des pays industrialisés. D'abord, les "compétitifs": ils possèdent les qualifications et les
savoir-faire qui permettent aux pays industrialisés d'être toujours capables de produire des biens et services que
les pays à bas salaires et à capacités technologiques (PBSCT), ne peuvent imiter: cela va pour la France des
Airbus aux parfums, en passant par les camemberts. Les "exposés" sont ceux qui, via la circulation de plus en
plus libre et facile des capitaux, des biens et même des services, sont directement en compétition avec les
salariés des pays à bas salaires, de l'ouvrier à l'informaticien. Enfin les "protégés" produisent des biens et
services qui, par nature, ne peuvent pas « voyager ».
Il faut ensuite reconnaître, or ce point est particulièrement obscur dans les débats actuels, que l'accroissement
des échanges d'un pays riche, la France par exemple, avec les pays à bas salaires commence d'abord par détruire
en France plus d'emplois exposés qu'il ne crée d'emplois compétitifs, tout simplement parce que ces derniers se
vendent plus cher. Échanger du travail qualifié cher -compétitif- contre du travail moins qualifié bon marché -
exposé- est en effet la "raison d'être" de l'échange et en fait tout l'intérêt pour les deux pays qui s'y livrent.
[…] Le problème est donc essentiellement dynamique, puisqu'il s'agit de comparer deux rythmes : celui de
destruction d'emplois exposés par l'ouverture croissante et la compétition des pays à bas salaires et à capacités
technologiques (PBSCT), celui de la création d'emplois compétitifs dans les pays riches car c'est lui qui
commande aussi la création nette d'emplois protégés. Il faut bien en effet que le nombre et les revenus des
compétitifs augmentent pour que s'accroisse la demande de biens et services protégés.
[…] Y a-t-il dans ces conditions la moindre chance pour que nous courions assez vite devant la puissante
dynamique de rattrapage des nouveaux pays à bas salaires et à capacités technologiques, c'est-à-dire que nous
créions assez d'emplois ? Oui, mais à une condition : que le coût du travail des actifs exposés et protégés
décroisse régulièrement. D'une part, cela freine le rythme de destruction d'emplois exposés, d'autre part et
surtout, la baisse induite du prix des biens et services protégés incite les compétitifs, le seul groupe dont les
revenus augmentent, à en consommer plus, ce qui permet la création de suffisamment d'emplois protégés pour
absorber l'excès des destructions d'emplois exposés sur les créations d'emplois compétitifs. Quant aux pays à
bas salaires, les inégalités vont également y croître. Les nouveaux capitalistes de ces pays (et les anciens
capitalistes des pays riches installés dans ces pays) ayant devant eux de riches et vastes marchés à l'exportation,
ne sont nullement contraints, par les exigences d'une croissance autocentrée, de trouver des consommateurs
chez eux et donc d'élever rapidement (du moins aussi vite que croît la productivité) les revenus de leurs
employés. Pierre-Noël GIRAUD - 26 09 1994 | Séminaire Les Invités de l'École de Paris | Compte rendu de séance
II.A.2.b.1 En quoi
l’exemple précédent (cf.a.)
fait déjà un perdant ? En
quoi cela peut-il avoir un
coût social s’il y a des
salariés ?
II.A.2.b.2 Pourquoi et de
quoi les emplois dans de
nombreux services privés
ou publics sont-ils
« protégés » ? Donnez des
exemples.
II.A.2.b.3 Montrez que
l’auteur fait référence aux
avantages comparatifs et
expliquez et posez les
conditions de résolution du
« problème… dynamique »
II.A.2.b.4 Expliquez les
inégalités de revenu au
Nord et au Sud à partir des
passages soulignés du
dernier §.
II.A.2.b.5 Pourquoi dans
les enquêtes les ouvriers se
trouvent être davantage
hostiles à la mondialisation
que les cadres (moins de 30
ans) ? BILAN : Des ménages « satisfaits » ? C’est d’abord affaire de statuts : consommateurs, actifs ou citoyens… d’où les débats quant aux bienfaits de la
mondialisation et des politiques attendues en matière d’ouverture de l’économie nationale.
Bilan II.A.
Globalisation versus mondialisation Les notions de globalisation et de mondialisation sont couramment utilisées l'une pour l'autre. Pour Henri Bartoli, professeur d'économie à l'université de Paris-I, il s'agit pourtant de réalités différentes. « Ce qui se "globalise", rappelle-t-il, tend à devenir un ensemble régi par des règles telles que le tout organisé constitue un "système". » A l'inverse, « ce qui se "mondialise" tisse de multiples liens et interconnexions entre les Etats-nations, les entreprises, les sociétés de telle sorte que les événements, les décisions survenant en un lieu de la planète retentissent plus ou moins intensément sur les individus et les collectivités vivant en d'autres lieux ». Définie en ce sens, la mondialisation, ajoute H. Bartoli, ne peut être assimilée trop vite à une loi qui s'appliquerait uniformément aux quatre coins de la planète. Et quid de l'internationalisation (des entreprises) qu'on prend aussi parfois pour un effet de la globalisation (des marchés) ? Pour Hervé Dumez, du Centre de recherche en gestion de l'Ecole polytechnique, et Alain Jeunemaître du Nuffield College (Oxford), il s'agit encore de deux tendances distinctes, voire contradictoires. Alors que la première « se conjugue avec le maintien de la logique locale des marchés », la seconde signifie l'« interconnexion brutale » de ces marchés. Aussi est-elle rarement le fait des entreprises internationales les plus anciennes mais de nouveaux entrants, voire des Etats eux-mêmes, lesquels « appuient à la fois sur l'accélérateur (les politiques de concurrence, de libéralisation des marchés) et sur le frein (les politiques antidumping, les quotas, les protections) ». Faut-il s'en étonner ? Une entreprise installée de longue date sur un marché local ne voit généralement pas d'un bon œil son ouverture à la concurrence étrangère.
Sc humaines. H. Bartoli, « La mondialisation doit être gouvernée », revue Quart Monde, n° 175, septembre 2000 ;
H. Dumez et A. Jeunemaître, « Comprendre la globalisation », La Gazette de la société et des techniques, n° 4, septembre 2000.
Q.1. Associez un terme pour
chaque processus :
globalisation,
internationalisation,
mondialisation
système institutionnalisé,
liens avec le RDM,
interdépendance due à
l’effacement des
frontières.
Q.3. Choix d’EC 1 Présentez deux avantages du
commerce international pour
les producteurs. (Antilles
Guyane 2015)
Comment une entreprise
peut-elle améliorer sa
compétitivité hors-prix ?
(Polynésie 2015)
Distinguez compétitivité prix
et compétitivité hors-prix.
(Sujet Asie 2014)
Présenter les principaux
déterminants des
délocalisations de la production
des entreprises. (Métropole
2015)
En quoi la délocalisation
améliore-t-elle la compétitivité
des entreprises ?