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320 86e réunion annuelle de la

ésultats.— Nous avons trouvé une diminution des douleurs chezous les patients. Un seul conservait des douleurs à l’effort et a étépéré secondairement par une double ostéotomie. Les mobilitéstaient améliorées surtout en extension.u niveau radiologique, nous n’avons noté aucune amélioration de

a déformation, y compris chez les 2 enfants les plus jeunes (9 ans),t l’aggravation s’est poursuivie jusqu’en fin de croissance dans lalupart des cas.iscussion.— La théorie selon laquelle le ligament de Vickers serait à

’origine de la déformation de Madelung est mécaniquement sédui-ante. L’intervention associant une désépiphysiodèse à la résectionu ligament semble stopper la progression radiologique de la défor-ation, voire l’améliorer. Nous ne l’avons pas constaté avec une

ésection isolée. Cependant, les patients étaient améliorés du pointe vue clinique.onclusion.— Il reste à déterminer l’âge à partir duquel

’épiphysiodèse devient irréversible et à favoriser le dépistage pré-oce du ligament pathologique, par la réalisation d’IRM du poignethez les patients à risque du fait d’antécédents familiaux ou présen-ant un début de déformation. Par ailleurs, lorsqu’une ostéotomiest indiquée, il nous semble logique d’y associer une résection duigament radio-lunaire en raison de son effet clinique bénéfique.

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12rthrodèses du poignet dans le cadre de la prise enharge du poignet neurologiqueean-Camille Mattei ∗, Elke Viehweger , Kevin Guilhem ,hristophe Boulay , Marie-Christine Maximin , Jean-Luc Jouve ,ranck Launay , Gérard Bollini

Service orthopédie pédiatrique, hôpital Timone-Enfants,niversité de la Méditerranée, 264, rue Saint-Pierre, 13385arseille cedex 05, France

Auteur correspondant.ntroduction.— Les déformations majeures du poignet survenantors d’atteintes neurologiques peuvent être traitées par arthrodèseu poignet. Différentes techniques sont proposées dans la littéra-ure pour améliorer l’apparence, l’hygiène et la fonction.’objectif de notre étude a été d’évaluer l’arthrodèse du poignetur une série consécutive de patients avec ses complications et sesésultats fonctionnels.atériel.— Quatorze patients (18 poignets), 5 filles, 9 garcons d’unge moyen de 17,3 ans (min : 12 ; max : 23) ont été opérés parrthrodèse pour des déformations en flexion sévère des poignets.l s’agissait de 15 poignets chez des patients atteints de paraly-ie cérébrale et 3 poignets séquelles de paralysie obstétricale dulexus brachial. Après résection de la première rangée du carpe,our les 4 poignets les plus anciens, l’ostéosynthèse par brochesété utilisée associée à une greffe de crête iliaque. Le temps

’immobilisation nécessaire a été de 3 mois. Ensuite 14 arthrodèsesvec ostéosynthèse par plaque verrouillée dorsale ont nécessiténe immobilisation de 2 semaines par attelle plâtrée, relayée parrthèse de posture des doigts pour 2 mois. Pour des patients spas-iques, des injections peropératoires de toxines botuliniques ontté proposées.éthode.— Le diagnostic, les objectifs initiaux, le type’arthrodèse et le matériel utilisé, ainsi que les donnéesémographiques ont été relevés. Les patients ont été égalementvalués à l’aide d’échelles fonctionnelles validées (Manual Abilitylassification System, classification de House, Disability Assessmentcale), ainsi que par une échelle visuelle analogique concernant’apparence, la fonction, l’hygiène, la facilité des soins quotidiens,

a douleur et la satisfaction globale.ésultats.— Tous les patients avaient initialement un niveau fonc-ionnel bas. Les deux complications observées (11 %) l’ont été sures broches : une infection et une douleur, ayant nécessité une abla-

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té francaise de chirurgie orthopédique et traumatologique

ion du matériel. Aucun retard de consolidation n’a été observé. Auecul l’état fonctionnel a pu être amélioré. Les échelles visuellesnalogiques (0 : bien pire — 10 : grandement amélioré) ont montréne amélioration globale de tous les critères. Les objectifs initiauxnt été atteints.iscussion.— La déformation du poignet est une composanteajeure des déformations des membres supérieurs neurologiques.

a fonction et l’apparence en sont fortement affectées. Notreérie confirme que la technique d’ostéosynthèse par plaque ver-ouillée est une technique simple, avec l’avantage d’une durée’immobilisation courte.onclusion.— L’arthrodèse du poignet neurologique sévère est uneechnique avec peu de complications, apportant un bénéfice certainans la vie quotidienne des patients.

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13omparaison à long terme du traitement desyndactylies congénitales par 2 types de lambeauxommissurauxindy Mallet ∗, Brice Ilharreborde , Pascal Jehanno , Estelleitzelmann , Keyvan Mazda , Georges-Francois Pennecot , Frankitoussi

Hôpital Robert-Debré, 48, boulevard serrurier, 75019 Paris,rance

Auteur correspondant.ntroduction- La syndactylie est l’anomalie congénitale de la main lalus fréquente. De nombreuses techniques chirurgicales de recons-ruction commisurale ont été décrites, mais peu d’études évaluentes résultats à long terme et aucune n’a comparé 2 types de commis-uroplastie. Le but de l’étude était de comparer les résultats à longerme du lambeau en T de Glicenstein et du lambeau en oméga deilbert.atients et méthodes.— Il s’agit d’une série rétrospective de9 patients (59 commissures) opérées entre 1991 et 2008. L’âgeoyen d’intervention était de 15,9mois (± 6,9). Trente-six

ommissures ont été traitées par lambeau en T et 23 par lambeaun oméga. Dans tous les cas, une de greffe de peau totale a étéssociée. Les patients ont été revus avec un recul moyen de 5 ans etmois. Ont été analysés à long terme, la rétraction commissuralet le flessum digital, l’existence d’une clinodactylie, les mobilitésigitales, la qualité des greffes de peau et des cicatrices, la qualitée l’appareil unguéal et la stabilité des résultats avec le temps.ésultats.— Une palmure résiduelle a été retrouvée dans 17 % desas, un flessum dans 3 % et une clinodactylie dans 19 %. Les syn-actylies complexes étaient plus fréquemment responsables deéformation et de raideur digitales, entraînant 96 % des clinodac-ylies. Il n’existait pas de différence entre les 2 types de lambeauxur la survenue de déformations à long terme. Cependant, 17 % desambeaux en T ont présenté une rétraction commissurale contre 5 %es lambeaux en oméga.iscussion.— Les 2 types de lambeau sont fiables et permettent laeconstruction d’une commissure de forme naturelle. Le type deambeau n’influence pas directement les résultats à long termen termes de mobilité ou désaxation. Néanmoins, la technique duambeau oméga, prenant en compte la réalisation de 2 lambeauxalmaires latéro-digitaux, évite les greffes sur les faces latéralese la commissure et limite la survenue de rétraction. Le principalacteur pronostique est le type de syndactylie avec des résultatsléatoires et un taux plus important de complications pour les syn-actylies complexes compliquées.onclusion.— La seule différence à long terme entre les 2 types de

ambeau est la survenue plus fréquente de rétraction commissuralevec les lambeaux en T.

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