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Résumés des communications

L’immobilisation est sujette à plusieurs controverses vue son risquede raideur articulaire.Les indications chirurgicales ont considérablement diminuées. Lachirurgie a été réalisée dans 57,69 % dans notre série à cause duretard diagnostic et du taux élevé des IOA compliquées. Les IOAreste toujours de mauvais pronostic.Conclusion.— Les IOA reste toujours fréquents dans notre contexte.Seul un diagnostic précoce et une prise en charge adaptée, per-mettent d’améliorer le pronostic de ces malades.

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301Contamination bactérienne de l’autogreffe aucours des arthrodèses postérolatérales lombairesinstrumentéesFrancois Lavigne ∗, Martin Rottman , Thierry Judet ,Christian Garreau de LoubresseHôpital Raymond-Poincaré, 92380 Garches, France∗Auteur correspondant.

Données.— Les produits de laminectomie sont régulièrement utiliséscomme greffons autologues des arthrodèses postérolatérales dansla chirurgie du canal lombaire étroit. Ces greffons sont susceptiblesd’être contaminés au cours de leur préparation. L’objectif de cetteétude a été d’évaluer ce potentiel de contamination.Méthode.— Ont été inclus prospectivement tous les patients opé-rés d’une libération avec arthrodèse postérolatérale instrumentéepour sténose lombaire entre janvier 2010 et avril 2011. Les patientsavec un antécédent de chirurgie lombaire et/ou un risque infectieuxaccru ont été exclus.Trois échantillons osseux étaient prélevés à différents temps opé-ratoires et mis en culture.Tous les patients ont été suivis cliniquement au minimum un an.Résultats.— Trente-deux patients ont été inclus. Une patiente adéveloppé une infection du site opératoire trois semaines aprèsl’intervention. Contre toute attente, les cultures des prélèvementsopératoires de cette patiente étaient stériles.Dans douze cas (37,5 %), le résultat de la culture a été positif surau moins un des trois prélèvements. Un bacille gram positif (Pro-pionibacterium acnes, Corynebactérie) a été isolé dans huit cas,un cocci gram positif (Staphylocoque coagulase négative) dans cinqcas. En l’absence de signes cliniques d’infection, aucun des patientsconcernés n’a recu de traitement supplémentaire.Conclusions.— Le taux de contamination des autogreffes est élevé.Cependant, ce taux ne semble pas corrélé au risque infectieux.

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Recherche

306Aspects en microtomographie X et en histologie dela microarchitecture osseuse vertébrale au coursdes ostéoporoses avéréesFlorence Mallard ∗, Pascal Bizot , Béatrice Bouvard ,Philippe Mercier , Daniel ChappardService de chirurgie osseuse, CHU d’Angers, 4, rue Larrey, 49933Angers, France∗Auteur correspondant.

Introduction.— Dans l’ostéoporose, la microarchitecture osseuse estprofondément altérée, responsable d’une fragilité osseuse et defractures. La réparation du réseau trabéculaire vertébral est malconnue dans les stades tardifs (grade 2 et 3 selon la classification de

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enant). Aucune étude microscopique n’est disponible concernanta microarchitecture de l’os remanié après fracture. Nous avonsomparé la microarchitecture des vertèbres fracturées (VF) danses stades tardifs et précoces (grade 0, sans fracture) en microto-ographie X (microCT) et histologie.

ujets et méthodes.— Trente-quatre sujets anatomiques (âgeoyen : 85,2 ± 2,1 ans) ont été radiographiés pour identifier ceux

vec VF de T4 à L5. Seules les vertèbres de grade 2 et 3 ont étéetenues. Les vertèbres sus- et sous-jacentes de grade 0 ont été pré-evées pour comparaison. Après nettoyage, chaque vertèbre a étéectionnée sagittalement. Les hémivertèbres droites ont été analy-ées en microCT pour mesurer le volume osseux en 3D (BV/TV) eta microarchitecture. Les hémivertèbres gauches ont été analyséesistologiquement sans décalcification, qualitativement et quantita-ivement.ésultats.— Six sujets ont été retenus avec des fractures vertébralesâge moyen : 82,5 ± 5,5 ans). Dix vertèbres non fracturées (VNF) et4 VF de grades 2 et 3 ont été prélevées. En microCT, dans les VNF,es plaques et les piliers étaient parallèles aux lignes de contraintes.ans les VF, la zone fracturaire formait une bande transverse, avecravées désorganisées, anastomosées et microfractures. Dans leeste du corps vertébral, l’orientation des travées était oblique.n histologie, la bande transversale osseuse était constituée d’osbreux lamellaire et non lamellaire (woven bone) à des taux varia-les. L’intrusion du disque intervertébral dans l’os trabéculaire liél’effondrement des plateaux a été observée : plus le grade frac-

uraire était élevé, plus il y avait de nodules cartilagineux. Le test tmontré une différence significative (p < 0,05) entre les moyenneses paramètres obtenus dans les deux groupes de vertèbres.iscussion et conclusion.— L’os trabéculaire vertébral fracturé estense et condensé avec une désorganisation architecturale impor-ante : bande transverse oblique d’os lamellaire et non lamellaire,des taux variables suivant le stade d’évolution, et témoignant du

ite initial de fragilité osseuse. Il présente une modification persis-ante de la qualité osseuse portant sur la microarchitecture et laexture de l’os remodelé.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rcot.2012.08.224

07ésistance en arrachement de vis pédiculairesercutanées cimentées sur vertèbres lombairesstéoporotiquesann Philippe Charles ∗, Hervé Pelletier , Priscilla Hydier ,ébastien Schuller , Julien Garnon , Philippe Clavert ,ean-Paul Steib

Service de chirurgie du rachis, hôpitaux universitaires detrasbourg, 1, place de l’Hôpital, BP 426, 67091 Strasbourg cedex,ranceAuteur correspondant.

ntroduction.— L’ostéosynthèse percutanée représente une tech-ique mini-invasive limitant la morbidité postopératoire du patientgé. La cimentoplastie autour des vis pourrait augmenter leur tenueans l’os ostéoporotique. Le but de cette étude in vitro était’établir un modèle d’arrachement proche de celui observé in vivo,omposé d’un effort axial et d’un moment. Les forces à rupturestaient comparées pour les vis non cimentées, les vis positionnéesprès vertébroplastie, les vis fenêtrées permettant la cimentoplas-ie à travers la vis.atients et méthodes.— Six spécimens humains congelés82—96 ans) ont été instrumentés en utilisant les trois tech-iques sur L2, L3, L4 respectivement en réalisant une comparaisonntraindividuelle. Un volume de 2 mL de PMMA a été injecté par

ôté. La répartition du ciment autour des vis a été analysée paromodensitométrie. L’essai de traction a été réalisé à 10N/s surachine Instron. Les 2/3 du corps vertébral étaient enrobé par une

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