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EMBRASEMENT GENERALISE
ECLAIR « E.G.E »
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• J ’ai vu le ciel s ’embraser avant les végétaux,
• Au niveau du flash qui claque, le moment paroxystique dure au maximum 1 à 2 minutes.
Ce sont les témoignages des collègues SP ayant vécus des EGE.
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La sécurité des intervenants lors des feux de forêts
Forest & Fire ResearchN.RAFFALLI, Col C.PICARD, Dr F.GIROUD
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Centre d’essais et de Recherche de l’EntenteEntente Interdépartementale – Sécurité Civile Valabre
13120 GARDANNETél : (33) 04.42.94.95.10 Fax : (33) 04.42.94.95.27
E-mail : [email protected]
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ECASC – CEREN - EGE 5/64
LES PARTENAIRES
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• Travail réalisé avec :
– Colonel Maret (DSC),
– Capitaine de corvette Maurin (BMPM)
– Commandant Persoglio (SDIS 83),
– Dr Bonin (LBEM-Université de Marseille),
– Colonel Baldassari (SDIS 2B).
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PLAN DE L’INTERVENTION
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• Bilan des accidents survenus en France, et analyse des retours d’expériences,
• Analyse d’un accident survenu le 14 février 1989.
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BILAN DES ACCIDENTS SURVENUS EN FRANCE
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En 15 ans, 7 accidents ont causés la mort de 12 pompiers et de nombreux blessés graves.
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1982 : Ste Maxime col du Gratteloup,
2 brûlés graves après l’inflammation explosive d’un fond de vallée,
ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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Coup de canon ;
fumée noire ;
onde de chaleur
Végétation
préchauffée par
les fumées
T° de l'air élevée (AM)Végétation très touffue
assez haute très sèche
Ste Maxime :
inflammation
explosive
1982
Peu d'accès Relief très
prononcé fond de
talweg ne facilitant
pas l'écoulement
des gaz
Feu arrivant en
descendant ;
Feu virulent
avec fumées peu
denses dans le
vallon
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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1985 : Grimaud, 1 mort après l’inflammation brutale d’une pente raide située à 90° de l’axe supposé du feu,
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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Visibilité réduite par la
fumée ; front de feu
non visible
Grimaud :
flambée
explosive
1985
Feu rapide
descendant
dans les
talwegs
Pas de signe
avant coureur
Végétation haute
avec pinède, forte
sécheresse
Pente très forte
remontant sur les
environs mais feu
attendu vers le haut
Vent fort avec turbulence
de relief et enroulement
dans les talwegs
T° de l'air élevée (AM)
Feu arrivant de
front
Bonne
accessibilité
Front de feu attendu
d'un côté et arrivé à
90° et non visible
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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1989 : Les Pennes Mirabeau, 1 mort et 1 blessé grave après l’inflammation brutale d’un flanc opposé au feu,
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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1990 : Cabasson, 4 morts et 2 blessés après l’inflammation brutale d’un talweg situé sur le flanc droit du feu,
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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Cabasson :
flambée
explosive
1990
Fumée noire et
très dense avec
onde de chaleur
pas de front de
flammes
Pas de fumée
préalable
T° maxi
(début AM)
Très bons accès Vent moyen
Pente forte avec
enchaînements de
talwegs parallèles dans
l'axe de propagationLe front du feu est passé
et le flanc attaque le
talweg (à 80m des
sauveteurs) sur le côté
Végétation haute et
dense ; fort sous
bois
Végétation préchauffée
Faible sécheresse sauf en
surface
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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1995 : Lançon de Provence, 2 morts et plusieurs brûlés après l’inflammation brutale d’une pente située dans l’axe du feu,
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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Lançon :
flambées
explosives
1995
Plusieurs axes
de fuite
Perte de la
visibilité
Fumée soudaine
très épaisse
T° élevée (15h00)Vent très fort (90/100 km/h),
turbulent dans le fond des talwegs
Front peu actif en
bas des talwegs à
cause des
turbulences
Végétation argelas
+ pins
Sommet de crête après
un relief tourmenté
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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2000: Cornillon, 2 morts après l’inflammation brutale d’un talweg situé sur le flanc gauche du feu,
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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Cornillon:
flambées
explosives
2000
Un seul axe de
fuite
Perte de la
visibilité
Fumée soudainement
épaisse – onde de
chaleur
T° de l’air élevée
(17h00)
Front principal très rapide dont le
flanc gauche devient le front de
flamme lors de la modification de la
direction du vent
Relief tourmenté
en amont et
dispositif dans un
creux entre deux
crêtes
Végétation
moyenne très
sèche
Vent fort (80/100 km/h qui
tourne de 15°
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ANALYSE DES RETOURS D’EXPERIENCES
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17 septembre 2000 : Corse, commune de Palasca ; inflammation brutale d’un flanc du feu faisant 2 morts et 5 brûlés graves.
Exposé réalisé par le
Service Départemental d’Incendie
Et de Secours de Haute Corse.
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BASTIA
LUCCIANACALVI
CORTE
GHISONACCIACentre de Secours Principal
Centre de Secours
Centre de Première Intervention
SDIS
PALASCA
ILE ROUSSE
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1
PHASE 1
1
2
PHASE 2
Départ du feu : alerte GH 6h57 GH : 7h10 environ.
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12
34
9
PHASE 3
Idée de manœuvre : contenir
le feu sur le versant nord-
ouest du talweg et éviter qu’il
n’atteigne le versant opposé
(côté piste).
GH : 7h15 environ.
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1
2
3
45
7
8
9
10
8
6
PHASE 4
GH : 7h30 environ.
Idée de manœuvre : canaliser
le feu sur son flanc droit au
delà du talweg par action de
jalonnement (établissement
tuyaux de 23 mm)
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87
5
4
3
29
6
1011
PHASE 5
PHOTOGRAPHIE PHASE 5
POSITION ETABLISSEMENT FLANC DROIT
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PHASE 6
78
1110
6
5
4
3
29
GH : à 7h50 environ.
Le lieutenant BENETEAU,
chef du CSP Calvi, se présente sur les lieux.
8h15 : fin de la phase 6 / début de la phase 7
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Départ du phénomène 8 secondes :
17 secondes : le feu passe la piste 21 secondes :
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24 secondes :37 secondes : le feu
atteint la crête
41 secondes : le feu a tout
embrasé jusqu’à la crête 47 secondes :
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PHASE 7
78
1110
6
5
4
3
29
GH : 8h15
c’est un phénomène rare et d’une force
exceptionnelle qui s’est produit vers
8h15 et qui va entourer les 5 camions
de pompiers.
Le bilan est dramatique :
- 2 militaires de l ’UIISC 5 DCD (1
initial et 1 secondaire),
- 5 brûlés très graves au 3éme degré
(4 militaires de l ’UIISC 5 et le chef du
CSP Calvi, SPP).
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Une inflammation très rapide
de la zone aval et amont de la
piste, au droit des positions de
ces 5 camions intervenue dans
un délai très court de l’ordre de
15 secondes, pour former ce
que l’on peut appeler un “ lac
de feu ” sur une surface de 6
hectares.
ENTRE LES PHASES 6 ET 7 :
Surface d’inflammation : 5,74 ha
==> 6 hectares environ.
Distance parcourue : 250 m environ.
Temps : moins de 50 secondes.
Vitesse estimée du feu : 250 m / 50 s = 5 m/s soit
18 km/h environ.
1
2
Phénomène d’inflammation
de gaz de distillation
de la végétation
Distance entre
les points
1 et 2 : 250 m
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Après l’accident, le feu a
rapidement baissé
d’intensité pour reprendre
l’aspect d’un feu classique
de maquis bas.
Il a été pendant un temps
en progression libre
jusqu’à l’arrivée sur zone
des moyens aériens.
PHASE 8 :
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Facteurs communs :
– Cinétique très rapide (des dizaines de mètres par seconde),
– Visibilité devient très faible,
– La sécheresse du végétal (sécheresse en surface) est un facteur aggravant,
– Relief généralement tourmenté,
– Préchauffage de la végétation.
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
• Lieu du sinistre : Les Pennes Mirabeau (Bouches du Rhône),
• Accident qui a fait 1 mort et 1 blessé grave,
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
Accident dû à une inflammation subite d’une poche de gaz en amont du feu.
Comment se forment ces poches de gaz ?
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
Présentation du lieu de l’accident :
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
Conditions météorologiques
– Temps clair, ciel dégagé,
– Vent fort (80 à 100 km/h) de secteur Nord-Ouest à Nord, avec des rafales à 130km/h.
Le couvert végétal :
– Type garrigue (chêne kermès, ciste, argeiras, romarin…) + pins.
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
Présentation de l’accident :
– Descente du feu dans le vallon,
– Combustion des végétaux en fond de vallon, le feu est lent et peu virulent,
– Explosion soudaine de grande intensité, tout le versant opposé est embrasé.
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
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ACCIDENT DU 14 FEVRIER 1989
CONCLUSION :
Pas de vent dans le vallon, favorisant ainsi l’accumulation des Composés Organiques Volatils (COV).
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LES COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS
Apparition des COV :
• Les COV participent au refroidissement des plantes (évapotranspiration, diffraction de la lumière),
• Ils sont à l ’origine des odeurs aromatiques des sous-bois et garrigues,
• ils sont composés de 15 molécules de terpène différentes,
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LES COMPOSES ORGANIQUES VOLATILSIdentification des Composés Organiques Volatils (COV) émis par le romarin:
– Par Spectro
chromatographie
composésTricyclène p-Cimène
α-Pinène Limonène
Canphène 1-8 Cineole
β-Pinène γ-Terpinène
β-Myrcène α-Terpinolène
α-Phéllandrène Camphre
β-Carène Bornéol
α-Terpinène
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LES COMPOSES ORGANIQUES VOLATILSImportance des facteurs environnementaux sur l’émission de ces molécules :
PARAMÈTRES INFLUENCE SUR LA NATURE
INFLUENCE SUR LA QUANTITÉ
LUMIÈRE OUI OUI
PRÉSENCE D’UN COUVERTVÉGÉTAL
NON OUI
NATURE DE LA PLANTE OUI OUI
HAUTEUR DEPRÉLÈVEMENT
NON OUI
NATURE DE LA SAISON OUI OUI
AGE DE LA PLANTE PAS VÉRIFIÉ PAS VÉRIFIÉ
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LES COMPOSES ORGANIQUES VOLATILSTerpènes émis en fonction de la
température
0
50000000
100000000
150000000
200000000
50 70 90 110 130 150 170 190 210
Température du four
Su
rfa
ce
du
pic
Tricyclène
α-Pinène
Canphène
β-Pinène
β-Myrcène
α-Phéllandréne
β-Carène
α-Terpinène
p-Cimène
Limonéne
1-8 Cineole
-Terpinène
α-Terpinoléne
Camphre
Bornéol
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LES COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS
Conclusions :– Influence des saisons : en été, l’émission globale des
COV est plus importante,
– Influence du couvert arboré : l’émission est plus importante en l’absence de couvert arboré,
– Influence de la température : il existe une température pour laquelle l’émission est maximale : 175°C (compétition entre émission des COV et leurs dégradation).
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EMBRASEMENT GENERALISE ECLAIR
CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES
• Hypothèse vérifiée concernant l’émission des COV,
• Etude pour d’autres espèces florales,
• Prélèvement d’air dans des talwegs lors de la saison estivale (et sans feu),
• Prélèvements sur feux.
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CONCLUSIONS GENERALESEN L’ETAT ACTUEL DES CONNAISSANCES (FIN 2004)
• Fumée dense et noire,
• Température intense,
• Cinétique du phénomène importante, difficulté de rejoindre son véhicule,
• Quantité maximale des COV à 170°C, LIE = 0,7%,
• Forte sécheresse des végétaux,
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EMBRASEMENT GENERALISE ECLAIR
CONCLUSIONS GENERALESEN L’ETAT ACTUEL DES CONNAISSANCES (FIN 2004)
• Présence de talweg,
• Feu progressant lentement à proximité d’un fond de vallon,
• Pas ou peu de vent présent dans la zone…
• La végétation est généralement basse (il n’y a pas de couvert arboré),
• Les intervenants se sentent en sécurité, et sous estiment le risque.
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