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Page 1: Les scores cliniques peuvent-ils remplacer les examens paracliniques ?

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on système d’aspiration de la fumée et souvent d’une anesthé-ie efficace mais non indispensable avec tous les types de laser, ilaudrait surtout choisir le laser adapté aux différents cas de xanthé-asma et ajuster les fluences d’un patient à l’autre et d’une séancel’autre.

our en savoir plusaulin C et al., Lasers Surg Med 1999; 24:122—127.orelli C et al., Lasers Surg Med 2001; 29:260±264.. Fusade. Br J Dermatol 2008 158, pp. 84—87.arsai S et al., American society for dermatologic surgery. Dermatolurg 2009; 35:1962—1969.arsai S et al., American society for dermatologic surgery. Dermatolurg 2010; 36:610—617.oukil T et al., Journées laser 2009 Hammamet: 24—25 janvierasar E et al., Int Ophthalmol 2004; 25(1):9—11.

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ONF33as cliniques

. FennicheService de dermatologie, hôpital Habib Thameur, Tunis, Tunisie

e laser Nd-YAG 1064 nm long pulse est connu pour ses nombreusesndications cosmétiques ou médicales notamment en photoépi-ation ou dans le traitement des lésions vasculaires (varicositéses membres inférieurs, couperose. . .). Sa faible absorption par’oxyhémoglobine et la mélanine, est cependant compensée par uneonne profondeur de pénétration cutanée. À travers deux cas cli-iques, nous allons illustrer l’efficacité du Laser Nd-YAG dans desndications où l’utilisation de ce type de laser est moins fréquentet moins connue :dans le premier cas, il s’agissait de lésions d’hidosadénites traités

ar laser Nd-YAG à raison d’une séance/mois pendant quatre mois ;dans le second cas, il s’agissait de lésions d’angiokératomes du

crotum traités par laser Nd-YAG en une seule séance.ans les deux cas, les résultats étaient excellents, sans séquellesicatricielles, sans aucune récidive après un suivi de six mois poure premier cas et de cinq ans pour le second cas.

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ONF34as cliniques

. LounisAlger, Algérie

Résumé non parvenu)

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2013.01.372

ONF 35uizz

. ZouhairCasablanca, Maroc

Résumé non parvenu)

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2013.01.373

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ADF 2013

ONF36es scores cliniques peuvent-ils remplaceres examens paracliniques ?.T. Dieng

Service de dermatologie, CHU Le Dantes, Dakar, Sénégal

Résumé non parvenu)

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2013.01.374

ONF37es photoprotecteurs externes et les antioxydantsont-ils néfastes pour la santé ?. Bedane

Service de dermatologie, CHU de Limoges, Limoges, France

Résumé non parvenu)

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ONF38aut-il interdire les médicaments dangereux ?. Revuz

11, chaussée de la Muette, 75016 Paris, France

lusieurs questions préalables devraient aider à cerner le problème.a t-il des médicaments sans danger ?anger & risque : deux notions très différentes et souvent confon-ues.connaître et caractériser les dangers INTRINSEQUES d’un médi-

ament. Ciclosporine/insuffisance rénale ; minocycline/DRESS ;otrimoxazole/Lyell ; sulfone/anémie hémolytique ;risque ; situation à risque le risque commence lorsque nous admi-

istrons un médicament dangereux à un patient ;peut-on prévoir et prévenir le risque ;risque prévisible : effets cutanés de l’isotrètinoïne,risque imprévisible : DRESS à la minocycline,risque prévisible et contrôlable : APS et toxicité oculaire,peut-on mesurer le risque ?isotrétinoïne chez l’homme ; risque de tératogénèse ∼zéro,accident fréquent, rare, très rare, exceptionnel,peut-on contrôler le danger de facon à minimiser le risque ?dans certains cas oui : surveillance clinique et/ou biologique ;iminution de posologie ou arrêt ; traitement adjuvant,dans certains cas non !énéfices et risquesrapport B/R : pso- et biologiques ; acné et isotrétinoïne ; méla-

ome et anti-BRAFF ;qui calcule ce rapport ?le médecin,le malade,les agences (interdire ?).onclusion.— Tous les médicaments comportent des dangers ; Toutes

es situations médicales comportent des risques ; le vrai médecin ane culture du risque ; il évalue systématiquement le B/R.l ne faut pas interdire les médicaments dangereux mais faire

quelque chose » vis-à-vis des médecins dangereux.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2013.01.376

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