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LprsLpaClrsnimplantation tenant compte des spécificités locales. À Grenoble, le

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a mortalité, des infarctus du myocarde et AVC au prix d’un risqueccru d’insuffisance rénale au cours du suivi.es patients présentent le plus souvent des lésions athéromateusesxtrarénales, coronariennes et vasculaires cérébrales, et la revas-ularisation rénale prend place dans le cadre d’une stratégie globalencluant le traitement d’antihypertenseur, les antiagrégants pla-uettaires, les statines et l’arrêt du tabac. Le bénéfice—risque estétablir au niveau individuel, au mieux au sein d’une réunion de

oncertation pluridisciplinaire.

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utrition et athérome : données épidémiologiques. Blacher

Unité d’hypertension artérielle, prévention et thérapeutiqueardiovasculaires, centre de diagnostic et de thérapeutique,ôtel-Dieu, AP—HP, université Paris Descartes, Paris, France

ots clés : Athérome ; Nutrition ; Épidémiologie

ur la base d’études fondamentales, animales et in vitro, deombreux espoirs ont été portés sur la nutrition en matièree prévention des maladies cardiovasculaires, notamment athé-othrombotiques. Tel nutriment, vitamine, minéral ou autreomposant alimentaire, en cas de supplémentation, réduirait’incidence des maladies cardiovasculaires.’un des dossiers les plus emblématiques est celui des antioxy-ants ; en effet, l’oxydation des LDL est une étape indispensable

l’intégration du cholestérol dans la plaque athéroscléreuse,es antioxydants, in vitro, réduisent la propension à l’oxydationes particules de LDL et donc seraient susceptibles de réduire’incidence des évènements morbides athérothrombotiques. Cesernières années, ces espoirs ont été décus les uns après les autresvec la publication de résultats négatifs de vastes essais thérapeu-iques randomisés et contrôlés.n matière de nutrition, plus encore que pour les autres domainese la science, les études fondamentales, indispensables à la misen hypothèse de mécanismes physiopathologiques, ne doivent paseules être prises en considération. On doit attendre les résultatses études cliniques et des études épidémiologiques, d’observationt d’intervention, avant de prendre des décisions diagnostiques eturtout thérapeutiques.es espoirs décus concernent non seulement les antioxydants (pas’intérêt à une large supplémentation), le vin (qui ne montre pas’intérêt additionnel en plus de l’alcool qu’il contient), les vita-ines du groupe B (au mieux, l’effet d’une supplémentation serait

onfidentiel), les acides gras oméga-3 (grande discordance entre lesssais thérapeutiques randomisés et non randomisés), le chocolatoir, les tomates, les noisettes, les escargots. . .

ême la surcharge pondérale et l’obésité, indiscutablement pour-oyeurs de diabète et de maladies cardiovasculaires, ne semblentas être associés à une quantité d’effets aussi important que pré-édemment annoncé.ctuellement, les flashs se portent sur le régime méditerranéenui pourrait être associé à une moindre incidence des maladiesardiovasculaires. La question légitime est « Quelle est la part duégime méditerranéen dans la longévité accrue en bonne santé desopulations et des individus qui s’y soumettent ? » Quelle est la partes facteurs qui y sont associés, notamment une activité physiqueccrue, un climat souvent chaud et ensoleillé. . .

ans ce domaine plus que dans tout autre, la rigueur méthodolo-ique est indispensable si l’on veut interpréter correctement lesésultats et associations, et ne pas se fourvoyer dans des thérapeu-iques et/ou des recommandations coûteuses en temps, en énergie,

n contraintes diverses et variées mais peut-être finalement sansetour sur investissement.

oi:10.1016/j.jmv.2009.07.078

ppde

Rapports — Vendredi 9 octobre 2009

ducation thérapeutique du patient16 h 30—18 h 30)

ducation thérapeutique : « nouvelle » pratiqueédicale ou « nouveau » regard sur le patient, pouruel objectif ?. Deccache

Unité MD-ESP-RESO, faculté de médecine, éducation santéatient, université catholique, Bruxelles, Belgique

ots clés : Éducation thérapeutique ; ETP ; Concept ; Objectifs

on recu.

oi:10.1016/j.jmv.2009.07.079

ecommandations et principes de mise en place’un programme d’éducation thérapeutique. Sandrin-Berthon

Hôpital de la Colombière, CRES Languedoc-Roussillon,ontpellier, France

ots clés : Éducation thérapeutique ; ETP ; Recommandations ;rincipes

on recu.

oi:10.1016/j.jmv.2009.07.080

’ETP recommandée dans la loi HPST yrouve-t-elle les moyens de sa reconnaissancelinique et financière ?

. SanguignolClinique du Château de Vernhes, Bondigoux, France

ots clés : Éducation thérapeutique ; ETP ; Reconnaissance

on recu.

oi:10.1016/j.jmv.2009.07.081

En marche ! Mieux comprendre et mieux vivre saaladie artérielle » : un programme d’éducation ete rééducation pour les patients artériopathes. Satger, pour les équipes du programme « En marche »

CHU, Réseau Granted, Grenoble, France

ots clés : Éducation ; Artériopathie oblitérante des membresnférieurs

’éducation thérapeutique fait partie de la prise en charge desatients souffrant d’artériopathie oblitérante des membres infé-ieurs (AOMI), qu’elle soit asymptomatique ou symptomatique,elon les recommandations émises par la HAS (avril 2006) [1].e programme d’éducation thérapeutique « En marche » est pro-osé à des patients souffrant d’AOMI au stade II, éventuellementnciennement stade III ou stade IV.e programme a été initialisé grâce à l’institut de

’athérothrombose et avec l’aide de B. Sandrin-Berthon (comitéégional d’éducation pour la santé de Languedoc Roussillon)ur Grenoble et Montpellier. Actuellement, il s’étend au niveauational pour 10 équipes (hospitalières ou privées) avec une

rogramme a été intégré dans le cadre du réseau Ville-Hôpital desathologies vasculaires « Granted », il s’articule avec les structurese rééducation vasculaire existantes (centre de rééducation, prisen charge kinésithérapeutique en milieu libéral). Dernièrement, un

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