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Victor HugoOcéan prose
Savoir, penser, rêver.Tout est là.
Assemblée nationale
Spectacle invitéC’est à un tour d’horizon, comme unehistoire de la danse en raccourci, partielleet partiale, que nous vous convions.Trois chorégraphies de trois chorégraphesqui ont marqué la fin du XXe siècle.Il y a donc là comme une promessed’un plaisir de danse.
Plaisir des danseurs,plaisir du spectateur.
CCN Ballet de LorraineWilliam Forsythe, Jean-Claude Gallotta,Maguy Marin
Jeudi 2 et vendredi 3 février 2012 à 20h30
Durée : 1h10 avec entracteTarif : 6 euros
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Spectacle invitéComment vous dire? Cinquante personneset pas une de plus. Impossible. Impossible de se glisserdans un coin, impossible de passer d’une représen-tation à l’autre. Et c’est complet. Au chiffre exact.Alors peut-être... Une épidémie de grippe,l’étourderie d’un heureux possesseur de billetqui aurait oublié, une tempête de neige,tout autant d’impondérables qui libéreraientdes places. Peut-être...
Quant à ceux qui auraient leur place,soyez vraiment à l’heure.Ce spectacle ne permet l’entréed’aucun retardataire.
Solo#2 - fréquencesBrice Leroux
Jeudi 2 février 2012 à 18h30 et 20h30Dimanche 5 février 2012 à 15h et 17h
Durée : 30 minutesTarif : 6 euros
À partir de 15 ansClaustrophobes s’abstenir
Restitutions par les élèvesVoir et pratiquer la danse. Et donc se confronterà la scène et aux langages du corps.C’est aussi ce qu’attendent les deux cents élèves.Répartis en quatre groupes, ils présenteront leurstravaux, leurs chorégraphies, à tous ceux qui voudrontbien les voir.
Pour ceux qui souhaiteraient réserver leurplace, nous indiquons ci-après les horaires.
Restitution AVendredi 3 février 2012 à 17h45
Restitution BSamedi 4 février 2012 à 17h30
Restitution CSamedi 4 février 2012 à 18h30
Restitution DDimanche 5 février 2012 à 11h
Durée : 1h environGratuit sur réservation
TransformationsTout de même. Quel lieu.La grande halle.Magnifique la nuit du 31décembre avec sa scène,ses tables, un bar centralet un gradin à l’autre boutet deux mille cinq centspersonnes.Et, huit jours plus tard,la voilà transformée,pénombre et cathédrale.Tout en noir et petiteslumières suspendues, pourune exposition singulière,une autre façon de percevoirle monde, parcours physiquedans le parcours mentalde cette science de l’idiotdont Le Guillerm s’est faitle maître.
Ce lieu nous inspire.Tout simplement.
Le ChannelScène nationaleDirectionFrancis Peduzzi
B.P. 7762102 Calais cedexTél. 03 21 46 77 10Fax 03 21 46 77 [email protected]
Les partenaires du Channel
UneOù il est possible de se direque Victor Hugo aurait étéun bien bel auteur de projetpour présidentiable et qu’ilsurclasse de plusieurs années-lumière tous ces prétentieuxdirecteurs d’agence decommunication, inventeurde slogans vides de sens.À Victor Hugo, sur l’échellede nos valeurs, nousaccordons donc la lettre A.
Casse-têteÀ ce propos, à l’issue dela représentation du cirqueRomanès que nous venonsde voir, Alexandre Romanèsparla au public et cita unproverbe tzigane : Si unhomme veut à tout prix lepouvoir, surtout ne lui donnepas. Il nous faudra pourtantbientôt choisir.
DigressionEt au retour, dans le métro,nous croisons une grandeaffiche publicitaire quivante un site de rencontre.La publicité fait direà une femme: J’ai découvertmon voisin sur CelibParis.Un esprit espiègle y a réagiavec beaucoup d’à propos.
LogiqueSur le visage de la jeunefemme, il était écritau marqueur : Pauv’ blonde!Moi, mon voisin, j’ai justefrappé à sa porte !!!!Complété de : La publicitérend con! Nous voulions vousfaire partager ce momentréjouissant.
ExpressionUn lecteur attentif nous fitremarquer que le derniernuméro de Sillage utiliseà deux reprises l’expressionau final. En insistant surle fait que nous avons ainsimalmené quelque peula langue française.Au final, ils eurent beaucoupd’enfants, c’est vrai quece n’est pas terrible.
LeçonAlors, résumons. Il convientd’écrire et de dire à la fin etnon au final. En revanche,il convient d’écrire et de direau début et non à le début.C’est assez simple. Alors,c’est promis, nous y seronsdésormais attentifs. Commequoi, au final, on apprendtoujours quelque chose deses erreurs.
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#2
C’est le Channel qui a été choisi par le Ministère de l’édu-cation nationale. Choisi pour accueillir le regroupementnational des sections art-danse de l’ensemble des académies.Ce sont donc près de deux cents élèves, (de seconde,
première et terminale), venus de toute la France métropolitaine et mêmede la Réunion, qui seront présents au Channel. Ils suivront des ateliers, présenterontleurs travaux, vous côtoieront aux spectacles. Le programme est étoffé.
Nous vous l’offrons ici dans le détail.
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On ira tous au paradisC’est le second volet (et avant-dernier) des Errances familières cette saison.Pour celles et ceux qui n’auraient pas suivi, nous avons inauguré cette formule au mois de novembre dernieravec Minifocus. Pendant dix jours, les enfants et leur famille sont invités dans les sillons tracéspar une compagnie. C’est Regina Welk, metteur en scène de la compagnie Docha, qui officie.
Spectacle, veillées, ateliers et un repas imaginé avec le restaurant des grandes Tablesdu Channel sont au programme.
Carnet de notesAntoine Hervé revient. Dans le dernier Sillage, nous avons conté les coulisses de sa venue en décembre.
Nous espérons que nous aurons moins de sueurs froides pour cette seconde étapedes Leçons de jazz.
Après Oscar Peterson en décembre dernier, c’est Bill Evans qui est à l’honneur.Né en 1929, disparu en 1980, nous vous proposons une petite présentation de ce pianiste,glanée sur le site de France musique.
C’est dire si ce journal sait être sérieux de temps à autre.
Bill Evans, mort depuis trente ans, n’est pas une star : c’est un mythe.Il est aussi ce que le jazz a produit de plus proche du chantdes sirènes : une beauté qui vous entraîne au fond de vous-même,vous étreint au point qu’il faut parfois s’en défendre...
Mais si tous les pianistes qui sont venus depuis reconnaissent son influenceprimordiale, elle est bien difficile à cerner : révolutionnaire de velours,révolutionnaire d’œillets, il a évidemment inventé une nouvelle harmonie,ouverte, en croisant le be-bop et Debussy, qui irrigue encore toutela musique d’aujourd’hui. Mais il serait absurde de n’en fairequ’un coloriste impressionniste : son sens de la forme, son intuitionde l’architecture, son habileté de jongleur immobile, son swingincomparable viennent irradier les nouveaux accords qu’il propose :
sa nostalgie est incandescente.
Les veilléesComme leur nom l’indique, cesrendez-vous prennent place dansl’atmosphère du soir. Pour seretrouver à la fin d’une journée,pour s’engager ensemble dansle monde des rêves et amorcerla nuit avant de s’y lover.Les veillées seront au nombrede trois, ouvertes à tous :bébés, enfants, adultes pourronty prendre part.
Veillée 1Le temps perdu
Laissez-vous guider et, surtout,ne faites rien. La compagniea imaginé une séancedododoudoudétente dansun espace ultra-doux, dansun autre temps… commeun instant de paradis.
Vendredi 17 février 2012 à 19h30
Durée : 30 minutesTarif : 1 euro
Veillée 2Les pas pressés
Cette fois le mouvement estconvié : tissus, robes, matièresévanescentes, révélerontleur étoffe dans une lenteurmajestueuse et vous emmènerontprobablement dans une dansehors du temps.
Mardi 21 février 2012 à 19h30
Durée : 30 minutesTarif : 1 euro
Veillée 3Murmures et petits pas
Pendant son séjour, la compagnierécoltera des mots et desimages des jeunes personnesrencontrées au Channelau détour d’un spectacle,d’une veillée, d’un atelier.Elle présentera le montagevidéo comme une installationplastique. Un dernier rendez-vous pour céder la paroleaux passagers de ces Errancesfamilières.
Vendredi 24 février 2012 à 19h30
Durée : 30 minutesTarif : 1 euro
Les ateliersparents-enfantsAtelier 1Mon doudou de rêve
À l’aide de différents matériaux,imaginer ce que pourrait êtrele doudou de nos rêves…
Samedi 18 février 2012 de 9h à 10h
À partir de 2 ansTarif : 3 euros
Atelier 2Pas pétries ni pas poterie
Le titre mystérieux nous dit,au moins, qu’il ne s’agitni de pétrir, ni de poterie.C’est donc autre chose.
Samedi 18 février 2012de 10h45 à 12h15
À partir de 5 ansTarif : 3 euros
Le repas du dimancheL’intitulé en sera peut-êtreSuprême d’image, veloutéde paradis, ou Île flottante,ou Conversation culinaire.On ne le saura qu’au derniermoment. L’atmosphère de Petitparadis servira de cadre audéjeuner. Projections d’imageset comédiens feront partie del’histoire, c’est pour l’instant le peuque nous savons. Normalement,enfants et adultes sont censésse régaler.
Dimanche 19 février 2012 à 12h30
Tarif : 12 euros
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Les leçons de jazzLeçon 2, Bill EvansAntoine Hervé
Vendredi 10 février 2012 à 20h30
Durée : 1h20Tarif : 6 euros
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GoujaterieIls ont cru faire une bonneaffaire mais ils se sontfourvoyés. Nous parlons deces indélicats qui se sont crusmalins en emportant chezeux les bougies électriquesque nous avions disposéessur les tables du bistrot le 31décembre au soir. S’ils lisentces lignes, qu’ils sachentque nous les rapporter,même discrètement,serait fortement apprécié.
PigeonNous avions posé ces bougiessur les tables avec générosité,pour que ce soit beau,agréable, intime. Là où c’estencore plus bête, c’est queces bougies ne peuventêtre rechargées qu’avec unappareil que nous sommesseuls à posséder. Ce vol estdonc à la fois blessant,inutile et totalement stupide.
RadioUn spectateur du Channelnous a signalé que Franceinter avait parlé à plusieursreprises de la scène nationale.Annonces pour Faimd’année et présentationplutôt louangeuse dela plaquette mémoireet des photographies deMichel Vanden Eeckoudt.
VocabulaireC’est sur cette même antennequ’a fait rage le débat autourdu terme populaire.Pour synthétiser, populaire neveut pas dire nécessairementvulgaire. Si, par exemple,quelqu’un dit que le Channelest populaire, cela ne signifiepas que le Channel estvulgaire. Il paraît quele Fouquet’s, lui aussi,est populaire. Et vulgaire?
ChoixToujours sur la mêmeantenne, une journaliste,à une heure très matinale,évoqua la ville de Bogotadont la municipalité a fait lepari d’investir dans la cultureet les transports publics.Résultat : baisse de 35%de la délinquance.
GastronomieL’ouvrage s’intitule Les yeuxplus gros que le ventre etsoixante-quatre libraires ypassent du livre à la casserole,en nous proposant chacunune recette. Laure Colin,libraire du Channel, cuisinièrepar ailleurs émérite, a été elleaussi choisie par l’éditeur.Le livre coûte quinze euros,dédicace comprise.
2Leçon
Le spectacleRegina Welk nous avait déjà invitésdans un monde de suavité avecle spectacle Lune en 2006et la restitution d’un atelier,Jardin d’Éden, en 2009.Pour son dernier spectacle,elle a rencontré des enfants et s’estmise en quête de leur petit paradis,sorte de ciel intime depuis lequelse fabriquent les rêves. Des bribesde rêves rapportées, est néeune rêverie dansée, nouvelleoccasion de goûter à la douceuronctueuse qui caractérisela compagnie Docha.
Petit paradisCompagnie Docha
Mercredi 15, samedi 18, dimanche19 et mercredi 22 février 2012 à 16h
Représentations scolairesJeudi 16 février 2012 à 10h et 15hVendredi 17 février 2012 à 10hMardi 21 février 2012 à 10h et 15hJeudi 23 février 2012 à 10h et 15hVendredi 24 février 2012 à 10h
Durée : 40 minutesTarif : 3 euros
À partir de 4 ans
Spectacle et ateliers parents-enfants ont fait l’objetde réservations dès l’ouverture de billetterie en début de saison.En revanche, veillées et repas s’ajoutent au programme.
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Le livre Les misérables fut commencéen 1845 pour paraître en 1862.Ce livre est donc tout à fait contemporaind’une situation décrite dans le texte suivant,situation qui fait elle-même échoà ce début 2012, résonnant étrangementavec les temps que nous vivons.
«L’endettement de l’État était, bien au contraire, d’un intérêt directpour la fraction de la bourgeoisie qui gouvernait et légiférait au moyendes Chambres. C’était précisément le déficit de l’État, qui était l’objetmême de ses spéculations et le poste principal de son enrichissement.
À la fin de chaque année, nouveau déficit.Au bout de quatre ou cinq ans, nouvel emprunt.
Or, chaque nouvel emprunt fournissait à l’aristocratie une nouvelleoccasion de rançonner l’État, qui, maintenu artificiellement au bordde la banqueroute, était obligé de traiter avec les banquiers dansles conditions les plus défavorables.»
C’est Karl Marx qui écrit ça en 1850.
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Notre règle implicite est de programmer des spectacles dont la durée s’établit entre l’heure et l’heure et demie, limite de notre capacité de concentration.Ici, nous vous embarquons pour quatre heures. Un périple. C’est que, bien que très mal assis là où nous l’avons vu, nous avons été captivéspar cette adaptation de ce chef-d’œuvre de la littérature, Les misérables. Avez-vous lu Victor Hugo? demandait Aragon. Peut-être, peut-être pas.
Peu importe. Il est encore temps d’y goûter. Venez voir et écouter.
Les mains d’orYeung Faï, véritable virtuose de la marionnette, a commencé à l’âge de cinq ans.Mais il n’a eu le droit de toucher sa première marionnette que vers dix ans.Entre-temps, son apprentissage supposait d’exercer sa dextérité avec des baguettes.Les Chinois sont ainsi, discipline et rigueur de l’enseignement.
Quarante ans plus tard, il possède un savoir et une aisance que très peu de personnes égalent.Vous êtes invités à le vérifier par vous-mêmes.
Depuis des années, Yeung Faï voulait raconter l’histoire de sa familleà travers l’art qu’il a reçu en héritage, la marionnette à gaine chinoise.Issu d’une famille de marionnettistes, cet héritier honore et réinvente satradition. Avec ses outils – et quelques bribes de répertoire traditionnel –le marionnettiste raconte et tout y passe : son apprentissage dès la primeenfance, la relégation du père pendant la Révolution culturelle,les brimades, l’exil.
La virtuosité est indéniable. Mais la dextérité ne serait riensi elle n’était au service du sens et de l’émotion.Sur la base d’une succession de saynètes qui sont autantd’étapes de sa vie, c’est une double histoire (la grandeet la petite) qui défilesous nos yeux.
Avec ses doigts de fée et des petitesmarionnettes, Yeung Faï livreun spectacle intime et d’une infiniepoésie.
Hand storiesYeung Faï
Jeudi 23 et vendredi 24 février 2012à 20h30Samedi 25 février 2012 à 19h30
Durée : 1hTarif : 6 euros
À partir de 10 ans
Tempête sous un crâned’après Les misérables, Victor HugoCompagnie Air de lune,Jean Bellorini
Samedi 18 février 2012 à 19h30
Durée : 4h avec entracteTarif : 6 euros
À partir de 13 ans
IntouchablesIl y a l’avenir du Channel.Mais il existe un autre lieudont la fermeture seraitdramatique pour ceux quiveulent échapper à lasinistrose. C’est le cinémal’Alhambra, animé désormaispar une jeune équipe desplus motivées. Le fréquenter,c’est la meilleure façon del’aider à vivre et à durer.
FictionPour les amoureux de cinémaqui seraient allés voir le filmLe Havre, et qui ne connaissentpas Calais, (il y en a),précisons que la petite placepavée et bucolique avec unepetite fontaine sculptéecensée se trouver à Calaisn’existe pas. C’est une petiteville de Normandie quisupplante Calais. Pure libertéde cinéaste.
PrécautionEn feuilletant ce journal,il ne vous aura pas échappéque nous avons reportéd’une semaine l’ouverturede la billetterie des futuresLibertés de séjour.Elle aura lieu le dimanche19 février 2012 à 10h.Nous avions besoin d’unesemaine de plus pour mieuxpréparer la manifestation.
RécessionMoins de brèves qu’àl’habitude dans ce numérode Sillage. La raison en estuniquement le souci d’unemise en page plus aéréepour les pages consacréesà Tempête sous un crâneet les Errances familières.
PrécisionC’est dans la petite sallede répétition d’ArianeMnouchkine au Théâtre dela Cartoucherie à Vincennesque nous avons vu Tempêtesous un crâne. Comme écritdans sa présentation, lespectacle a réussi à nous faireoublier sa durée inhabituelleet les bancs plutôt spartiateset bondés.
PariFaim d’année nous a donnéune folle envie de vousproposer à nouveau Feuxd’hiver en décembre 2013.La force de cette manifes-tation fait tellementévidence. Nous allons donctout faire pour qu’il en soitainsi. Nous verrons. Vivre està ce prix. Comme diraitVictor Hugo : Savoir, penser,rêver. Tout est là.
...Tant qu’il y aura
sur la terre ignorance et misère,
des livres de la nature
de celui-ci pourront ne pas
être inutiles.
Hauteville-House, 1852
Victor Hugoà propos des Misérables
Cosette au coin du feu
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OuvertureDu mardi au samedi de 11h à 19het soirs de spectacle
BrigadesDes coups de cœur ou de griffes àpartager, des idées de lectures àpiocher, n’hésitez pas à vous yjoindre.
Brigade des lycéensJeudi 23 février 2012 à 12h
Brigade des lecteursJeudi 23 février 2012 à 18h30
Rencontre lecture au muséeAvec Frédéric Touchard, réalisateurde films documentaires et auteurde Nu rouge dans la collection1er / mille. C’est son premier romanet il nous entraîne dans une grandebalade à travers le Nord jusqu’àCalais, sur les traces d’ÉdouardPignon.
Dimanche 19 février 2012à 15h30 au musée des beaux-arts
OuvertureDu lundi au dimancheLes grandes Tables du Channelsont ouvertestous les midis, les vendredis soir,les samedis soir, les soirsde spectacle,et pour toutes les manifestationsdu Channel.
Des ateliers pour (mieux) fairela cuisineLe poissonSamedi 25 février 2012de 9h30 à 11h30
Tarif unique : 15 eurospar personnePour rappel, réservation à partirdu vendredi 27 janvier 2012
Libertés de séjourManifestation artistique,humaine et inattendue
Étienne Saglio, Monstre(s)Du vendredi 9au samedi 24 mars 2012
Ouverture de la billetteriele dimanche 19 février 2012à 10h
Programme disponibledébut février 2012
avec le soutien de l’Union européenne :Fonds Européen de DéveloppementRégional et INTERREG efface les frontières
Nous vous convions de nouveauà Bruges où nos amis de Bruggeplus fêtent l’anniversaire des dixans de Bruges, capitaleeuropéenne de la culture.Deux spectacles, en plein air età tous les vents, amis nous sommestout de même bien plus au sudque la Hollande, avec le spectacleK@osmos de la compagnie hispano-argentine Grupo Puja ! et Le chantdes sirènes de la compagnieMécanique vivante.
Dimanche 19 février 2012Départ du Channel à 14hDépart de Bruges à 19h30
Le bus et les spectacles sontgratuits, grâce au concoursdes fonds européens.Information à la billetteriedu Channel et inscription avantle mercredi 8 février 2012
Un nouveau rendez-vous desTremplins. Comme d’habitude,le concert se déroule au bistrotet l’entrée est libre.Créé fin 2011, Vibrations estun ensemble de cuivres composéde musiciens et musiciennesd’Audruicq et de ses environs.Tant qu’à faire, citons-les,Marie et Rémi Lieven, AlexandreMuys, Antoine Legrand, DavidDanquigny, à la trompette,Miguel Dubois et Mickael
Marquillier au tuba, MathieuCadyck, Olivier Fontaine au cor,Grégory Danquigny, AlexandreVerkarre au trombone.
Un phrasé de notes des plusmélodieux, au serviced’un univers qui va dela musique classiqueà la musique de film.C’est ce qu’ils nous promettent.
VibrationsDimanche 26 février 2012 à 17h
Autobus et chocolat
Du côté de la librairieDu côté des grandes Tables
Durs à cuivre