Séminaires de compétences langagières SC.ECO / INGE

Séance 1 : résumer un article d’analyse

« Il y a toujours une facture. Cela vaut aussi pour Dexia »

Le sauvetage de Dexia ne nous coûtera rien ? Balivernes et sornettes. C'est le commentaire – très joli audemeurant, même en néerlandais « larie en apekool » – émis hier par Paul De Grauwe, professeurd'économie réputé et estimé (KUL ). 

Soyons clairs : le sauvetage de Dexia Banque Belgique et la préservation au maximum des actifs de laDexia bad bank sont pleinement justifiés. Il n'y avait pas d'autre solution face à une telle débâcle et laseule priorité était la protection de l'épargne. 

Mais tous s'appliquaient hier dans les rangs ministériels à assurer que cette opération ne pèserait enrien sur les finances publiques belges et donc sur l'argent du contribuable. On peut juste l'espérer maiscomme on dit en économie : « There is no such a thing as a free lunch », comprenez : « Rien n'estjamais gratuit, il y a toujours quelqu'un qui paie en bout de course ». Le holding communal et lesrégions en font l'amère expérience, eux qui ont cru que les malheurs de Dexia ne pouvaient êtreéternels et ont redit banco alors que « la bête » était déjà très mal en point. C'est eux aujourd'hui quitirent la langue… 

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« Il y a toujours une facture. Cela vaut aussi pour Dexia »

Le sauvetage de Dexia ne nous coûtera rien ? Balivernes et sornettes. C'est le commentaire – très joli audemeurant, même en néerlandais « larie en apekool » – émis hier par Paul De Grauwe, professeurd'économie réputé et estimé (KUL ). 

Soyons clairs : le sauvetage de Dexia Banque Belgique et la préservation au maximum des actifs de laDexia bad bank sont pleinement justifiés. Il n'y avait pas d'autre solution face à une telle débâcle et laseule priorité était la protection de l'épargne. 

Mais tous s'appliquaient hier dans les rangs ministériels à assurer que cette opération ne pèserait enrien sur les finances publiques belges et donc sur l'argent du contribuable. On peut juste l'espérer maiscomme on dit en économie : « There is no such a thing as a free lunch », comprenez : « Rien n'estjamais gratuit, il y a toujours quelqu'un qui paie en bout de course ». Le holding communal et lesrégions en font l'amère expérience, eux qui ont cru que les malheurs de Dexia ne pouvaient êtreéternels et ont redit banco alors que « la bête » était déjà très mal en point. C'est eux aujourd'hui quitirent la langue… 

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« Dexia : les syndicats demandent une relance rapide »

L’incertitude continue à peser sur le personnel et les clients, estimentles syndicats. Ils ont prié le gouvernement à relancer rapidement lesactivités de Dexia. Les syndicats chrétien et libéral, la CNE et la CGSLB, appellent jeudi,dans un communiqué, le gouvernement à relancer rapidement lesactivités de Dexia Banque Belgique (DBB), à la suite de la reprise de labanque. L’incertitude continuelle pèse sur le personnel et les clients,estiment-ils. Le week-end dernier, le gouvernement fédéral avait décidé dereprendre toutes les actions de Dexia Banque Belgique. Une garantied’État a par ailleurs été attribuée à la banque résiduelle, Dexia SA.Mais l’opération n’est toutefois pas encore bouclée, parce qu’il existe toujoursdes incertitudes sur l’avenir des actionnaires du Holding Communal et d’Arco. 

Plan Article 1

• Problématique : « Coût du sauvetage de Dexia »– Sauvetage           Nécessaire

• Analyse : Les 4 milliards payés pour acheter la banque belge– coût en charges d'intérêt, – la garantie accordée à la bad bank : primes mais risque

important– Si acquittement de la garantie : Etat doit sortir 15% du PNB

Belge Risque minime MS a ne pas exclure• Conclusion : Impératif actuel : réaliser un budget

crédible et sérieux