2/27/2014
RAPPOT DE STAGE Group O.C.P SAFI
Stage Effectué à :
Réalisé par : SOUIED AYOUB
Encadré par :
Service :
Période de stage : De 01/04/2013 Au 30/04/2013
Filière :
TSMFM 1
A la fin de mon stage d’observation, j'ai l'immense plaisir d'exprimer
ma profonde gratitude et mes sincères remerciements à :
Mes parents qui m’ont toujours soutenue par leur compréhension et
leur amour afin de m’aider à continuer mes études et à réaliser un
avenir à hauteur de leurs aspirations. Je leur signifie par le présent
toute ma gratitude et ma reconnaissance qui sont inépuisable.
Mes formateurs, Mes amies et toutes les personnes qui ont participé
à la bonne marche de mon stage et à tous ceux qui auront l’occasion
de lire ce mémoire.
Je souhaite que ce simple travail soit un témoignage de tous mes
respects.
TSMFM 2
Tout d’abord, j’adresse mes remerciements avec mon profond
respect à monsieur le directeur de L’INSTITUT SPECIALISE DE TECHNOLOGIE APPLIQUEE 2 SAFI.
Aussi mes vifs remerciements à tous les professeurs de notre
formation à l’ISTA 2.
Mes sincères gratitudes à Monsieur le directeur des industries
chimiques, Monsieur le chef de la division, Monsieur le chef d’atelier et
le chefs d’équipes de bien vouloir m’accepter en tant que stagiaire au
sein de leur société sans oublier également l’ensemble du personnel
qui m’a dirigé avec compétence pour réaliser ce rapport.
TSMFM 3
Dédicace……………………………………………………………………………..2 Remerciements…………………………………………………………………….3 SOMMAIRE………………………………………………………………………….4 Introduction………………………………………………………………………..5
Chapitre 1: Présentation de l’organisme d’accueil Partie 1 : Généralitéssur l’OCP…………………………………………………………….6 Partie 2 : Présentation du service IDS/L/M……………………………………………10
1. Présentation de la division maintenance IDS/L/M ………………10 2. Service maintenance mécanique centralisée IDS/L/M ……….12
2.1. Les travaux assurés par les ACX …………………………………………………..12 2.2. Les moyens matériels …………………………………………………………………13
Chapitre 2 : Etude sur les réducteurs Partie 1 : généralités sur les réducteurs……………………………………………………17
1. Définition……………………………………………………………………………….17 2. Fonction…………………………………………………………………………………17 3. Différents types de réducteurs………………………………………………….18
3.1. Réducteur à engrenage………………………………………………….18 3.2. Réducteur à roue et vis sans fin………………………………………19 3.3. Réducteur à train d’engrenages……………………………………….19
3.3.1 Définition……………………………………………………….…….19 3.3.2 Classification…………………………………………………………19
3.3.2.1 Train simple ………………………………………………....19 3.3.2.2 Train épicycloïdale………………………………….………20
Partie 2 : travaux effectué: 1. réparation d’un réducteur……………………………………………………………..22
Fiche technique………………………………………………………………….22 Dessin……………………………………………………………………………….23 Nomenclature…………………………………………………………………….24 Schéma cinématique…………………………………………………………..25 Gamme de démontage………………………………………………………..25
- Outillage nécessaire pour le montage et le démontage………25 1.1 Démontage……………………………………………………………………….26
- Pièces de rechange……………………………………………………….28 1.2 Expertise……………………………………………………………………………29 1.3 Montage……………………………………………………………………………29
2. différents travaux effectué sur les machines outils…………………………..29 2.1 Tour parallèle……………………………………………………………………..29 2.2 Fraiseuse universelle………………………………………………………….31 2.3 Mortaiseuse verticale…………………………………………………………..33
TSMFM 4
Chapitre 3 : Etude sur les Pompes: Partie 1 : les Pompes
1. Les Pompes Hydraulique……………………………………………………………...31 1) Généralités…………………………………………………………………………….31 2) Caractéristiques……………………………………………………………………..32 3) Rendement Des Pompes…………………………………………………………33
Les pompes à engrenages…………………………………………….34 Les pompes à palettes………………………………………………….36 Les pompes à piston et plateau…………………………………….37
Pompes à pistons axiaux…………………………………….38 Pompes à pistions radiaux…………………………………..39
2. Les Pompes Centrifuges………………………………………………………………40 1) Principe De Fonctionnement………………………………………………40 2) Amorçage………………………………………………………………………..40 3) Utilisation………………………………………………………………………..40 4) Fonction avec la canalisation de refoulement bouchée………….41 5) Réglage Du débit………………………………………………………………41
Rappel……………………………………………………………………42
TSMFM 5
Le stage est une traduction qui a pour but d’une part la
découverte du monde professionnel par le stagiaire avec l’amélioration
de ces connaissances techniques et d’autre part, la confection et
l’exécution des méthodes et des techniques enseignées avec les
pratiques en vigueur au sein de l’entreprise, c’est pour cela que ce
rapport est considéré comme un compte rendu des faits et des actions
rencontrés pendant la durée du stage au sein de l’entreprise.
Premièrement, j’ai essayé de décrire tout d’abord la présentation
du groupe OCP, sa création et ses activités.
Ensuite je passe à ce qui m’a intéressé dans mon stage, les
réducteurs.
TSMFM 6
Partie 1 : Généralités sur l’OCP
Présentation : 1) Fiche technique de l’entreprise:
2) Historique: Le groupe office chérifien des phosphates (OCP), a été créé en 1920. Le
début de l’extraction du phosphate à lieu à BOUJNIBA dans la zone de KHOURIBGA (1er mars 1921), et sa première exportation du phosphate date du 23 juillet 1921.
En 1930, un nouveau centre de production a été ouvert à YOUSSOUFIA connu sous le nom de : Louis Gentil (1931), vingt-huit années plus tard, un centre de formation professionnelle a été lancé à KHOURIBGA (1958), en renforcement des efforts menés depuis des décennies sur ce plan ; puis création par la suite d’autres unités de formation et perfectionnement : école de maîtrise de BOUJNIBA (1965).
En 1960, démarrage de Maroc chimie à Safi, pour la fabrication de dérivés phosphatés : acide phosphorique et engrais. Seize ans plus tard (1976),
Raison social Office Chérifien des Phosphates OCP
Forme juridique Société anonyme
Date de création Dahir du 07/08/1920
Mise en place de la structure du groupe
Juillet 1975
Siège social Angle Route d’El Jadida et BD de la Grande ceinture BP 5196 CASA
MAARIF -CASABLANCA-
Président Directeur Général M. MUSTAPHA TERRAB
Secteur d’activités Extraction, valorisation et commercialisation Des phosphates
et produits dérivés.
Ports d'embarquement Casablanca, Safi, Jorf-lasfar et Laâyoune.
TSMFM 7
démarrage de nouvelles unités de valorisation à Safi : Maroc phosphore I et puis Maroc phosphate II en 1981.
En 1990, exploration de nouveaux projets de partenariats industriels et de renforcement de capacité.
Et en 2000, démarrage d’une nouvelle unité qui va renforcer Maroc phosphore II à Safi et une unité de flottation de phosphate à KHOURIBGA.
Organigramme du group OCP
TSMFM 8
Identification de PCS :
Le pôle Chimie Maroc phosphore Safi (PCS) est une direction issue de l’office
des phosphates. Elle dispose de cinq divisions, solidairement liées:
Division Maroc Chimie (PC).
Division Maroc Phosphore (PP).
Division Développement (PM).
Division Infrastructure (PI).
Division Maintenance Centralisée (LM).
Ces cinq unités se complètent entres elles et participent dans l’économie
marocaine en produisant de l’acide phosphorique, acide sulfurique et des engrains.
1. Maroc Chimie :
Crée en 1965 pour la fabrication des engrais et produits chimiques de toutes
natures, notamment par la transformation phosphates, cette entité a connu son
développement à partir des années soixante-dix.
Il est constitué de:
Une centrale thermique. Production de l’acide sulfurique. Production des engrais. Atelier mécanique.
2. Maroc Phosphore I :
Ce complexe MPI a démarré en 1976 sur la base d’utilisation du phosphate clair
de Youssoufia et du soufre importé pour la production d’acide phosphorique,
l’usine est constituée des unités suivantes :
Atelier de fusion du soufre. Atelier de production de l’acide phosphorique. Atelier énergie et fluide. Atelier de production engrais. Installation de stockage.
3. Maroc Phosphore II :
L’usine MPII a démarré en 1981 sur la base d’utilisation du phosphate humide
de ben guérir et du soufre importé, et livré à l’état liquide à partir de MPI.
L’usine est constituée des unités suivantes : Atelier de production d’acide sulfurique. Atelier énergie et fluide. Atelier de production d’acide phosphorique.
TSMFM 9
Présentation de la division Maroc Chimie:
Depuis plus de trois décennies, la part des produits dérivés dans le commerce
international des phosphates se développe continûment au détriment de celle du
minerai brut. Cette évolution structurelle associée à la volonté d'une valorisation
locale, plus importante et plus diversifiée, ont conduit à la mise en place d'une
large industrie de transformation chimique.
Ainsi, après une première expérience à Safi, avec la mise en service en 1965
de l'usine Maroc Chimie, des efforts ont été menés depuis le début des années
70, aboutissant progressivement à la construction des usines Maroc Phosphore I
et II dans la même ville.
Maroc chimie est l’une des divisions de PCS (Pôle chimique de Safi), cette
division comprend les services suivants :
MATERIEL :
Mécanique : s’occupe de l’entretien mécanique des installations sulfuriques, phosphoriques, centrales électrique et engrais.
Le bureau d’études. Contrôle de matériel.
PRODUCTION :
Engrais : ce sont les plus importants produits du PCS car ils sont les seuls
produits qu’on vend entièrement.
Acide Sulfurique : c’est un produit utilisé pour la production de l’acide
phosphorique et les engrais, une faible quantité de ce produit sera vendue.
Energie Electrique :A l’aide d’une centrale thermique, Maroc chimie
produit l’énergie électrique utilisée pour les installations et l’éclairage.
TSMFM 10
Partie 2 : Présentation du service IDS/L/M
1. Présentation de la Division Maintenance Centralisée
IDS/L/M: La division Maintenance Centralisée assure les prestations de maintenance
aux quatre divisions de production. Elle se compose des ateliers suivants :
Service régulation :
Le service régulation s’occupe de la maintenance des instruments de
mesure et de l’appareillage de régulation des paramètres du processus tels que
:La température, la pression et le volume de l’ensemble des ateliers de production
du complexe. Le service régulation se compose des sections suivantes
L’atelier de réparation;
Section préparation ;
Bureau de méthode.
Service électrique :
Ce service est responsable de l’entretien et de la maintenance des
installations électriques du complexe de Safi, il assure les tâches suivantes :
Les travaux de dépannage ;
La maintenance préventive et travaux neufs ;
La révision des moteurs électriques et bobinage.
Service génie civil :
Le service Moyens Logistiques a été créé en novembre 2000 résultant
du regroupement des ateliers garages des 4 divisions opérationnelles de la CIS :
CIS/PC, CIS/PP, CIS/PM et CIS/PI. Ce service s’occupe principalement du
transport des produits, du personnel ou du matériel par les véhicules et les
engins qui lui sont affectés.
Une partie mécanique, destinée à la maintenance des compresseurs à air
de la plate forme CIS, est assurée par les moyens du service Logistique.
Gestion des stocks et approvisionnement :
Cette entité s’occupe de l’approvisionnement et la gestion des stocks que
ça soit en termes de pièces de rechanges et d’outils de travail pour les ateliers de
production et d’entretien ou de fourniture bureautique pour l’administration.
TSMFM 11
Depuis la réception des articles jusqu’à leur distribution, le magasin est
responsable de leur classification, stockage et conditionnement.
Service optimisation et externalisation :
Vu la politique de sous-traitance et d’externalisation qu’entreprend le
groupe OCP, ce service a été créé afin de répondre aux besoins des différentes
divisions et d’adopter la politique la plus appropriée au complexe de Safi. Il
centralise la gestion des projets externalisés ou en phase d’externalisation à
IDS.
2. Service Maintenance / Mécanique Centralisé
IDS/L/M/M :
Ce service est responsable de la révision des éléments tournants tel que les
pompes, les réducteurs, les coupleurs hydrauliques, les supports d’agitateurs …
etc.
Organigramme de l’atelier :
2.1. Les travaux assurés par les ACX :
Les Ateliers Centraux assurent l’entretien et la révision des équipements
tournants de tout le complexe de Safi. Il s’occupe des travaux de confection des
pièces sous demande des services prestataires, que ce soient des pièces à usiner
(arbre, accouplement,…), ou des éléments en charpente métallique (silo, bac,…).
Ces ateliers sont constitués de différentes sections :
2.2. Section de préparation :
Cette section est responsable de la réception du matériel et de sa
remise au service demandeur à la fin des travaux, c’est l’interface entre le client
et le service.
TSMFM 12
2.3. Section mécanique :
Elle est responsable de la révision de tous les équipements des systèmes
mécaniques que ce soit dans le préventif ou le correctif, en l’occurrence, les
pompes, les réducteurs, les agitateurs, et les coupleurs.
2.1.1 Section machines-outils :
Cette section est responsable de l’ajustage et l’usinage des pièces
mécaniques.
2.4. Les moyens matériels :
Pour assurer les prestations demandées aux ateliers centraux, ils sont
dotés de plusieurs machines.
2.2.1 Section montage et ajustage mécanique (entretien mécanique) :
2 presses hydrauliques : Une à commande électrique et une autre
commandée manuellement.
2 scies alternatives : Pour le découpage des pièces longues (une
commandée manuellement et l’autre automatisée).
2.2.2 Section machines outils :
4 Tours parallèles : Pour la fabrication des pièces cylindriques
(fabrication des arbres pour un mécanisme, test d’alignement d’un
arbre…).
2 Tours parallèles à commande numérique.
2 Perceuses.
fraiseuse : Pour la fabrication des pièces prismatiques
Une mortaiseuse verticale : pour faire les rainures des clavetages.
Une affuteuse universelle : Munie d’un étau à aimant pour mieux fixer la
pièce. Elle permet d’établir une bonne précision pour une bonne pièce en
choisissant une passe qui est toujours faible.
Un étau-limeur : Il est horizontal et il permet la réalisation des
rainures des clavettes. Son avantage réside dans le fait qu’il peut effectuer
des rainures sur les pièces longues.
TSMFM 13
Ce service est équipé également de deux palans roulants : Un d’une
capacité de 5 tonnes et un autre de 15 tonnes.
Pour assurer une prestation de qualité et dans des conditions
sécuritaires, on doit assurer la fiabilité et la disponibilité de l’ensemble des
machines.
Tour a commande numérique
Perceuse radiale
TSMFM 14
Tours parallèles
Une mortaiseuse verticale
TSMFM 15
Un étau-limeur
Fraiseuse universelle
Partie 1 : Réducteurs mécaniques. 1. Définition.
- Un réducteur mécanique a pour but de modifier le rapport de vitesse ou/et le couple entre l’axe d’entrée et l’axe de sortie d’un mécanisme
- Le nom de réducteur est réserve a un mécanisme sépare s’intercalant entre un moteur et un récepteur.
- Lorsque le moteur est fixe sur le carter du réducteur, l’ensemble porte le nom de motoréducteur.
TSMFM 16
2. Fonction.
Un réducteur sert a réduire la vitesse d’un moteur ( hydraulique ,pneumatique, thermique, électrique ) avec transmission de la puissance motrice vers une machine réceptrice en absorbant le moins d’énergie .Il permet d’augmenter le couple moteur afin d’entrainer en rotation un organe récepteur sous l’effet d’un
nouveau couple. Remarques · La fréquence de rotation du moteur électrique généralement utilise est : Nm = 1500 tr/min · La transmission de puissance se fait par engrenages · Les réducteurs réversibles peuvent être utilises comme multiplicateur.
Rapport de réduction
K= NR/NM
k = 1 Nr = Nm k < 1 Nr < Nm réducteur K > 1 Nr > Nm multiplicateur
3. Différents types de réducteurs
3.1. Réducteurs à engrenage 3.1.1 à roues cylindriques
MOTEUR REDUCTEUR RECEPTEUR
TSMFM 17
3.1.2 à roues coniques
3.2. Réducteur à roue et vis sans fin.
3.3. Réducteur à train d’engrenages.
3.3.1 Définition d’un train d’engrenages.
un train d’engrenage est une suite d’engrenage destines a transmettre une puissance d’un arbre d’entrée vers un arbre de sortie avec ou sans modification de la vitesse ou du sens de rotation en absorbant le moins possible d’énergie.
3.3.2 Classification.
Cinématiquement les trains d’engrenages sont classes en deux familles : · Les trains simples ou ordinaires · Les trains épicycloïdaux ou planétaires.
3.3.2.1 Les réducteurs à train simple.
TSMFM 18
3.3.2.1.1 Trains à roues cylindriques.
3.3.2.1.2 Trains à roues cylindriques et
coniques.
3.3.2.2 Réducteurs à train épicycloïdal. 3.3.2.2.1 Principe
Un pignon central appelé planétaire transmet un mouvement de rotation aux roues appelées satellites libres autour de leur axe, portes par le porte satellite mobile autour de l’axe du planétaire (Oy). Le satellite transmet le mouvement à la roue appelée planétaire extérieur ou couronne. Les satellites sont animes de
TSMFM 19
2mouvements simultanés, l’un autour de leur axe, l’autre autour de l’axe du planétaire .
Chaque point de leur circonférence décrit une épicycloïde ( dans le cas d’un engrenage extérieur ) ou une hypocycloïde ( dans le cas d’un engrenage intérieur).
3.3.2.2.2 Différents types de trains épicycloïdaux
Les trains épicycloïdaux sont dits : · plans : quand les axes des roues sont parallèles (engrenages cylindriques) · sphériques : quand les axes sont concourants ( engrenages concourants) · gauches : quand les axes sont quelconques.
TSMFM 20
Train épicycloïdal sphérique
Train épicycloïdal plan
Schématiquement ils sont composes de 5 éléments dans le cas général : 1. bâti fixe 2. planétaire (arbre d’entrée) 3. dernière roue (arbre de sortie) 4. porte satellite 5. satellite.
Partie 2 : travaux effectué
TSMFM 21
1. réparation d’un réducteur Fiche technique :
Marque : Brook hansan Type : P4-QHPE4-RLN et P4-QHPE4 – LRN Rapport :98.801 Rendement :97% Facteur de service :2 Antidévireur : incorporé Lubrification : barbotage Puissance nominale : 49 KW Puissance thermique à 50 ° : 40 KW Couple nominale /C max : 45000Nm /90000Nm
Dessin :
Nomenclature :
Rep Qt Dénomination N° de pièce
TSMFM 22
26.01 1 Arbre-Schaft-As E26.H020B.001
27.01 1 Engranage-Gear-zahnreader
E27.0753B.001
27.02 1 Engranage-Gear-zahnreader
E27.0717B.102
27.03 1 Engranage-Gear-zahnreader
C27.0477B.001
27.04 1 Engranage-Gear-zahnreader
C27.0417B.261
27.05 1 Engranage-Gear-zahnreader
A27.0375B.001
27.06 1 Engranage-Gear-zahnreader
C27.0319B.101
27.07 1 Engranage-Gear-zahnreader
Y27.02558.001
27.08 1 Engranage-Gear-zahnreader
A27.0227B.151
60.01 1 Roulement-Bearing-Loger U60.22228CCJ
60.02 1 Roulement-Bearing-Loger U60.22228CCJ
60.03 1 Roulement-Bearing-Loger U6022317EQJ
60.04 1 Roulement-Bearing-Loger X60.S192317
60.05 1 Roulement-Bearing-Loger U60.32313QQ
60.06 1 Roulement-Bearing-Loger U60.32313QQ
60.07 1 Roulement-Bearing-Loger U60.32309QQ
60.08 1 Roulement-Bearing-Loger U60.T2ED050
60.11 1 Roulement-Bearing-Loger U60.30308QQ
60.12 1 Roulement-Bearing-Loger U60.30308QQ
65.02 2 Bague d’étanchéité-OII seal-Dichtung
U65.1403115
65.12 1 Bague d’étanchéité-OII seal-Dichtung
268.9RBV40580
65.32 1 Bague d’étanchéité-OII seal-Dichtung
268.9RBV40580
Schéma cinématique :
TSMFM 23
Gamme de démontage : Outillage nécessaire pour le montage et démontage :
- Clés plat
- Clés six pans
- Clé à cliquet
- Clés à pipe
- Palan pour la manutention
- Pince à circlips intérieure et extérieur
1.1 Démontage 1.1.1 Repérage : avant tout démontage il faut absolument faire un
repérage du réducteur afin de pouvoir le remonter tel qu’il était avant
le démonter.
TSMFM 24
1.1.2 Démontage des flasques à l’aide d’un clé à pipe et clé à cliquet.
TSMFM 25
1.1.3 Démontage de l’antidévireur Les antidévireurs se montent en principe entre l’arbre et le carter, de
sorte que l’arbre puisse tourner uniquement dans le sens définie. La
rotation en sens inverse est verrouillée par l’antidévireur.
TSMFM 26
1.1.4 Démontage de cartère à l’aide de palan roulant .
Liste des pièces de rechange :
- 02: roulements
- 02: roulements
- 02: roulements
- 01: roulement
- 01: roulement
- 01: roulement
- 01: roulement
- 01: arrêt d’huile
- 01: arrêt d’huile
o Train roue de sortie
o Pignon arbré du train de sortie
o Roue de 3eme train
o Pignon arbré de 3eme train
o Roue de 2eme train
o Pignon arbré de 2eme train
o Roue de pignon arbré d’entrée
o Pignon arbré d’entrée
TSMFM 27
1.2 Expertise :
Fait après le démontage pour voir les pièces qu’on peut les réparer et les pièces qu’on peut les modifier
1.3 Montage : j'ai attendu jusqu'au mon dernier jour de mon stage mais les pièces de rechange n'ont pas aménagé. nous avons monté le réducteur a blanc en attendant l’arrivée des pièces manquantes .
2. défirent travaux effectué sur les machines outils (tour parallèle, Mortaiseuse verticale, fraiseuse )
2.1 Tour parallèle : réalisation d’une piece en téflon
Les opérations effectué :
- Dressage :Opération qui consiste à usiner une surface plane perpendiculaire à l’axe de la broche extérieure ou intérieure.
TSMFM 28
- Chariotage : Opération qui consiste à usiner une surface cylindrique ou conique extérieure.
- Perçage : Opération qui consiste à usiner un trou à l’aide d’un forêt .
- Alésage : Opération qui consiste à usiner une surface cylindrique ou conique
intérieure.
- Chanfreinage : Opération qui consiste à usiner un cône de petite
dimension de façon à supprimer un angle vif.
TSMFM 29
Et voila la forme finale de la pièce :
2.2 fraiseuse universelle : réalisation d’une surface plane sur
une pièce cylindrique
TSMFM 30
Opération effectué :
- Tréflage : Il permet d'usiner des cavités profondes par des coupes axiales successives avec un foret ou une fraise
2.3 Mortaiseuse verticale : réalisation d’une rainure sur un moyeu
Opération effectué :
- Rainurage
TSMFM 31
Partie : les Pompes
1. LES POMPES HYDRAULIQUE
1) Généralités :
Les pompes sont utilisées dans les circuits hydrauliques pour convertir
l'énergie mécanique qui lui est fournie par un moteur thermique ou électrique
en énergie hydraulique.
Cette conversion se fait en deux temps :
- L'aspirationest l'action mécanique qui crée un vide partiel à l'entrée de la
pompe, permettant à la pression atmosphérique, dans le réservoir, de forcer le
liquide du réservoir vers la pompe à traverser la conduite d'aspiration ou
d'alimentation. Certaines pompes n'arrivent pas à créer un vide suffisant
pour s'alimenter. De ce fait, lors de l'utilisation des pompes, on veillera à ce
qu’elles soient en charge; C'est à dire que le réservoir soit situé au-dessus de
L’orifice d'alimentation de la pompe. Si ce montage ne peut être réalisé, on
utilise une seconde pompe qui a pour rôle d'alimenter la première, ces
pompes sont dites pompes de gavage.
- Le refoulement : Le liquide pénétrant à l'intérieur de la pompe est
transporté puis refoulé, soit par la réduction du volume de la chambre le
contenant, soit par addition forcée de volumes dans une chambre à capacité
constante ou par centrifugation. La pression relevée au refoulement d'une pompe
n'est pas créée par la pompe. Cette pression s'établit en fonction de différentes
résistances qui vont s'opposer au flux débité par la pompe. Elles ont pour origine
TSMFM 32
le frottement du fluide sur les canalisations, raccords et organes du circuit
et la charge extérieure (charge utile et frottement mécanique).
2) Caractéristiques :
Elles sont données par les constructeurs et permettent lors de l'élaboration d'un
circuit de déterminer le choix de la pompe en fonction du travail qu'elle devra
remplir.
La cylindrée : Volume théorique de fluide pour un tour de pompe.
La hauteur d'aspiration: Hauteur à laquelle une pompe se suffit à elle-
même pour s'alimenter. Elle est variable en fonction du type de pompe et du
poids spécifiques du liquide à aspirer. cette hauteur est limitée car il faut tenir
compte de la tension de vapeur qui dépend de la température du fluide, c'est
à dire que plus la pression augmente et plus le fluide a tendance à se
vaporiser. Ce phénomène dit de cavitation perturbe le fonctionnement de
la pompe et diminue son rendement. Il en abrège la durée de vie.
Le débit refoulé : C'est la quantité de fluide refoulée par unité de
temps dans des conditions données. Un grand nombre de constructeurs donne
le débit de leurs pompes en litre par minute à différentes pressions et vitesses
de rotation.
Plage de vitesse : Ce sont les vitesses maximum et minimum entre
lesquelles la pompe pourra être utilisée. Elles s'expriment en tour par
minute. Il pourra y avoir des discontinuités de fonctionnement à cause des
fuites internes variables en fonction de la vitesse et de la pression.
Pression de pointe: C'est la pression maximum qu'il est possible d'atteindre
avec une pompe. Cette pression ne peut être considérée comme la pression
d'utilisation car la durée de vie s'en trouverait écourtée.
TSMFM 33
Pression d'utilisation: C'est la pression continue qui peut être maintenue à
la sortie de la pompe lors de son utilisation dans le circuit. Elle assure une durée
de vie maximale à la pompe.
Puissance d'entraînement : C'est la puissance qu'il est nécessaire de
fournir à l'entraînement d'une pompe. Celle-ci est fonction du débit, de la
pression désirée ainsi que du type de pompe utilisée.
L'entraînement: Certains entraînements sont à proscrire (poulies courroie).
Se référer aux recommandations du constructeur.
Le sens de rotation: En général, un seul sens de rotation est possible, dans
la majorité des cas, il est gravé sur le corps de pompe afin d'éviter les erreurs
de montage.
3) Rendement des pompes :
Rendement volumétrique: C'est le rapport entre le débit théorique à
pression nulle et le débit réel au refoulement à une pression considérée. Ce
rapport s'exprime en pourcentage. Le débit théorique d'une pompe est le
produit de sa cylindrée par sa vitesse de rotation.
Rendement mécanique: C'est le rapport entre le couple théorique à fournir
et le couple réel qui est transmis à l'arbre d'entraînement.
Rendement global: C'est le rapport entre la puissance hydraulique relevée
au refoulement et la puissance fournie à l'arbre d'entrée. C'est le produit
du rendement volumétrique par le rendement mécanique.
Tableau comparatif en fonction du type de pompe:
Type De
Pompe
Rendement
Volumétrique
Rendement
Mécanique
Rendement
Global
à
engrenages
80 à 95 % 75 à 95 % 60 à 85 %
TSMFM 34
à palettes 75 à 95 % 80 à 93% 60 à 88 %
à pistons 90 à 98% 80 à 95 % 72 à 96 %
Les pompes à engrenages
Fonctionnement: Elles sont essentiellement constituées par deux roues
dentées engrenant l'une dans l'autre et contenues dans un carter. Le fluide
hydraulique, retenu entre les dents des roues et le caner est transporté le long
de celui-ci vers le côté de refoulement. Les roues tournant en sens inverse, les
dents s'engrènent à nouveau et chassent le fluide vers la sortie de la pompe.
Dès que les dents se séparent, il s'établit une dépression qui provoque
l'aspiration.
L'étanchéité: L'étanchéité entre le côté refoulement et le côté aspiration est
assurée radialement par les roues en position d'engrènement ainsi que par les
dents contre le cancer. L'étanchéité axiale est assurée par les faces des
roues appliquées directement sur le carter. cette étanchéité est donc
obtenue par la présence d'un film de graissage remplissant les interstices.
L'étanchéité peut être améliorée par l'adjonction de plaques d'appui, de paliers-
lunettes ou de coussinets intercalés entre l'engrenage et le carter.
TSMFM 35
TSMFM 36
Les pompes à palettes
Construction: Elles se composent principalement d'un rotor présentant des
rainures dans lesquelles se déplacent radialement des palettes rectangulaires de
faible épaisseur. Ces palettes, s'appuyant sur les surfaces curvilignes du stator,
forment des cellules individuelles limitées latéralement par des plaques de
pression. Le rotor et le stator ne sont pas concentriques.
Principe de fonctionnement: Lorsque le rotor tourne, l'accroissement de
volume des cellules provoque l'aspiration du fluide. Le mouvement de rotation
se poursuivant, le volume des cellules se restreint et le fluide est refoulé de la
chambre de refoulement.
TSMFM 37
Les pompes à pistons et plateau :
Construction : les pièces principales sont :
- Un carter avec une bride de fixation
- Un arbre de transmission avec un plateau oscillant
- Un corps de pompe avec les pistons et ressorts
- Un couvercle avec des clapets de refoulement.
Le plateau oscillant est monté sur l'arbre de transmission et tourne avec
lui. Les pistons sont mobiles dans le corps de pompe fixe et, sous l'action d'un
TSMFM 38
ressort s'appuient sur le plateau oscillant. Ils exécutent un aller et retour en
translation lorsque le plateau tourne.
Fonctionnement : Pendant la course de descente d'un piston (clapet de
refoulement fermé), le fluide hydraulique venant de l'orifice d'aspiration
est aspiré dans la chambre la chambre en passant par un canal annulaire
et une fente d' aspiration. Une fois le piston au
point mort bas, le plateau oscillant, en tournant, le repousse vers le haut
contre le ressort antagoniste. Une fois la fente d'aspiration dépassée, le fluide
emprisonné est refoulé dans le canal annulaire du couvercle en passant par le
clapet de refoulement puis dans la conduite de refoulement.
Pompe à pistons axiaux :
Les pistons sont situés parallèlement ou inclinés par rapport à l'axe d'entraînement. Le
cœur de la pompe est constitué d'un barillet, de glaces de distribution et de pistons.Elle
pénètre tous les secteurs : agriculture, industrie, sidérurgie, aéronautique, travaux
publics, etc.
TSMFM 39
Pompe à pistons radiaux :
Les pistons sont disposés perpendiculairement à l'axe de rotation principal de la
pompe. Elles sont adaptées à des vitesses très faibles, et des pressions très
élevées pouvant aller jusqu'à 1700 bars.
Leur cylindrée est fixe.
TSMFM 40
2. LES POMPES CENTRIFUGES :
1) Principe de fonctionnement :
Une pompe centrifuge est constituée par:
• une roue à aubes tournant autour de son axe
• un distributeur dans l'axe de la roue
• un collecteur de section croissante, en forme de spirale appelée volute.
Le liquide arrive dans l'axe de l'appareil par le distributeur et la force centrifuge
le projette vers l'extérieur de la turbine. Il acquiert une grande énergie cinétique
qui se transforme en énergie de pression dans le collecteur où la section est
croissante.
L'utilisation d'un diffuseur (roue à aubes fixe) à la périphérie de la roue mobile
permet une diminution de la perte d'énergie.
2) Amorçage :
Les pompes centrifuges ne peuvent s'amorcer seules. L’air contenu nécessite
d'être préalablement chassé. On peut utiliser un réservoir annexe placé en
charge sur la pompe pour réaliser cet amorçage par gravité.
Pour éviter de désamorcer la pompe à chaque redémarrage il peut être
intéressant d'utiliser un clapet anti-retour au pied de la canalisation d'aspiration.
3) Utilisation
Ce sont les pompes les plus utilisées dans le domaine industriel à cause de la
large gamme d'utilisation qu'elles peuvent couvrir, de leur simplicité et de leur
faible coût.
Néanmoins, il existe des applications pour lesquelles elles ne conviennent pas:
TSMFM 41
• utilisation de liquides visqueux: la pompe centrifuge nécessaire serait énorme
par rapport aux débits possibles.
• utilisation de liquides "susceptibles" c'est-à-dire ne supportant pas la très forte
agitation dans la pompe (liquides alimentaires tels que le vin, le lait et La bière).
• utilisation comme pompe doseuse: la nécessité de réaliser des dosages précis
instantanés risque d'entraîner la pompe en dehors de ses caractéristiques
optimales.
Ces types d'application nécessitent l'utilisation de pompes volumétriques.
Par contre contrairement à la plupart des pompes volumétriques, les pompes
centrifuges admettent les suspensions chargées de solides.
4) Fonctionnement avec la canalisation de refoulement
bouchée :
Ce type de fonctionnement consécutif à une erreur est sans danger s'il ne se
prolonge pas trop. Le risque à la longue est l'échauffement de la pompe, car le
liquide n'évacue plus la chaleur. A ce moment la pompe peut se détériorer et ce
d'autant plus qu'elle comporte des parties en plastique.
Remarque: pour une pompe centrifuge fonctionnant avec un moteur électrique,
on comprend qu'il est préférable de démarrer la pompe centrifuge avec la vanne
de refoulement fermée. En effet pour un débit nul la puissance consommée est
alors la plus faible ce qui constitue un avantage pour un moteur électrique car
l'intensité électrique le traversant est alors la plus faible. Les contraintes
mécaniques sont également les plus faibles dans ce cas. Bien entendu il faut
assez rapidement ouvrir cette vanne sous peine d'entraîner un échauffement de
la pompe.
5) Réglage du débit
Trois moyens sont possibles:
• variation de la vitesse de rotation de la pompe par un dispositif électronique
TSMFM 42
• vanne de réglage située sur la canalisation de refoulement de la pompe pour
éviter le risque de cavitation: suivant son degré d'ouverture, la perte de charge
du réseau va augmenter ou diminuer ce qui va entraîner la variation du point de
fonctionnement
• réglage en "canard" avec renvoi à l'aspiration d'une partie du débit.
Le réglage du débit est important pour des besoins dus au procédé mais aussi
pour se placer dans des plages de fonctionnement où le rendement est meilleur.
Rappel :
Il existe plusieurs types des pompes, mais limités aux pompes que j'ai vu dans le
Stage.
TSMFM 43
Au terme de ce stage, je tiens à exprimer mes
sentiments de satisfaction non seulement pour les
connaissances que j’ai reçus mais pour les jours que j’ai
passés auprès des gens ayant une compétence.
Aussi, ce stage a été pour moi, une occasion d'élargir
mon champ de connaissance, un échange culturel fructueux
avec le monde ouvrier, un canal de se familiariser avec le
monde de travail auquel nous appartiendrons à l'avenir. Pour
la deuxième fois j'ai affronté la réalité du terrain, apprécié les
relations entre patron et ouvrier, expérience qui a germé en
moi une certaine maturité et qui restera à jamais collé dans
ma mémoire.
Tout de même j'ai appris une chose importante à savoir
que le monde de travail est très différent de celui étudié car il
implique plus de responsabilité, pour cela il faut avoir du cœur
et de la finesse dans le jugement