Vous tenez entre vos mains le premier journal local d’informations positives. Tout va bien est
apolitique et souhaite faire le relais des actions positives et constructives qui se passent à côté
de nous, pour nous offrir les meilleurs exemples et les espoirs nécessaires à la construction de
demain, du mieux que l’on peut. Ce n’est pas par occultation des réalités absurdes que nous
choisissons l’optimisme mais par nécessité d’une nouveauté, par volonté de changement et
d’évolution. Si nous sommes capables du pire nous pouvons l’être aussi du meilleur. Laurianne Ploix
Edito
Des invendus alimentaires,
elle en fait des friandises
Fwee ce sont des bonbons
100% fruits qui arrivent sur le
marché en proposant une
solution au gaspillage
alimentaire.
Page 2
Le show des déclics le 8
avril prochain
L’association fera le show
pour 300 jeunes lyonnais
venus pressentir le déclic.
Rendez-vous à l’Espace de
l’Ouest lyonnais.
Page 4
Lancement du nouveau
jeu collaboratif « Quelle
énergie ! »
Ce samedi 9 avril dans les
locaux d’Anciela, Lyon 7,
pour un éveil des
sciences.
Page 5
Numéro 1 – avril 2016
Valentine est étudiante en lettres et adepte des
bons mots, elle s’essaie pour la première fois, et
avec succès, au journalisme de solutions.
Fabien est passionné de bonnes nouvelles qu’il
diffuse notamment avec les panneaux et les
kiosques des initiatives. Il aura sa propre rubrique
dans le Tout va bien.
Annabelle est investie dans le monde associatif et
engagée au quotidien pour faire bouger les
choses, elle partage son savoir avec nous.
Laurianne est la fondatrice et rédactrice en chef
du Tout va bien, retrouvez ses articles et fantaisies
un peu partout dans cette édition.
Tout va bien a besoin de
vous ! Pour se faire
connaître un peu partout,
pour s’améliorer, pour
proposer de bonnes infos
et surtout pour pouvoir se
financer. Alors si vous avez
des amis mécènes, une
bonne plume, une info
apolitique et pacifique à
diffuser, n’hésitez pas,
écrivez-nous et nous
essaierons de progresser
ensemble pour vous
proposer encore, une
nouvelle façon de voir
l’actualité. [email protected]
Le coup de cœur du mois
Avec Fwee, elle nous a conquis !
Ce n’est parfois pas plus compliqué qu’une bonne idée et
un peu, beaucoup, de volonté. L’été dernier, Soizic Osbolt
a eu l’idée de récupérer les fruits invendus de ses
producteurs voisins et de les transformer en friandises
qu’elle appela Fwee. En partant du constat que 45% des
fruits et légumes produits sont perdus, Soizic souhaite lutter
contre le gaspillage alimentaire tout en proposant des
produits de qualité. Ces gourmandises 100% naturelles, sont
le résultat de la déshydratation de ces fruits qu’elle rachète
aux
aux producteurs locaux de l’Ain. Ensuite, elle découpe les cuirs de fruits sous forme de rubans ou de
tagliatelles, et le tour est joué ! Les papilles des gourmands éthiques et exigeants sont conquises tout
comme les producteurs qui y voient une belle façon de ne pas perdre leur production. Et son projet
plaît, un financement participatif lui a permis d’acheter le matériel nécessaire à la création d’un atelier
ambulant de transformation de fruits pouvant désormais déshydrater plus de 200kgs par jour. Les
producteurs agrées bio de la région Rhône-Alpes la rejoignent, son packaging est éco-responsable et
son avenir plein de belles promesses. Sur tous les points, elle a conquis ; et pour tester ses produits à
Lyon, rendez-vous au Moulin à salades ou au Tuba café. Laurianne
2
Ailleurs
Le plâtre du futur s’imprime en 3D et permet les ultrasons
Et son nom est prometteur, « Cortex », crée par l’étudiant Jake Evill,
est le premier plâtre imprimé en 3D. En nylon, il permet de laisser la
peau respirer, d’adapter la conception du plâtre à la fracture du
patient mais aussi de réaliser des ultrasons à même la peau, ce
que ne permet pas le plâtre classique. Les infrasons permettraient
l’incorporation des ions calcium dans les os et le cartilage en
permettant ainsi une guérison plus rapide de notre squelette.
S’il met encore plusieurs heures à être imprimé à partir du scan de la fracture, le cortex semble
cependant permettre d’envisager une convalescence plus rapide et moins contraignante. Bien plus
léger et très simple à dissimuler, permettant d’éviter odeurs et inconvénients de la peau enfermée, il est
en plus recyclable et réutilisable après chaque utilisation. La combinaison ultrasons-cortex n’a été
envisagée qu’après la conception du plâtre 3D. Sa mise en circulation permettra certainement
d’inventer de nouveaux systèmes, comme le plâtre d’attente, pour permettre aux membres cassés de
se réparer plus simplement et avec des contraintes réduites. Il paraît que tout commence par un essai. Laurianne
L’essor de l’entrepreneuriat social chez les jeunes
De plus en plus sensibilisés aux problèmes sociaux et
environnementaux de notre société, les jeunes ont la
volonté de s’inscrire dans une économie davantage sociale
et solidaire.
Ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers la création
d’entreprises cherchant à produire autrement, pour faire du
profit un moyen et non une fin. En effet, selon l’institut de
sondages français Ipsos, 80% des jeunes pensent que le
secteur de l’économie sociale et solidaire (l’ESS) va se
développer dans les prochaines années et un étudiant sur
deux aimerait y travailler.
En 2010 est d’ailleurs né le Mouves, mouvement des
entrepreneurs sociaux, qui cherche à rassembler ces
entrepreneurs engagés afin de favoriser les collaborations
entre eux et avec d’autres acteurs privés, ainsi qu’à faire
reconnaître leur statut pour leur offrir une place dans les
politiques publiques. L’engouement pour ce nouveau mode
de management est tel que lors d’un concours organisé
par la fabrique Aviva en partenariat avec l’organisation,
1053 entreprises se sont affrontées, rassemblant plus de 2,5
millions de votes sur le net, et 60 d’entre elles ont obtenu une
aide financière d’un million d’euros afin de faire émerger
leurs projets.
Si ce secteur est parfois méconnu, il représente tout de
même 10% du PIB et compte plus de 2,3 millions de salariés
en France. Valentine
En bref, parce qu’il y en a
plein d’autres !
La ville de Lyon a été nominée au
Travel Awards 2016 dans la
catégorie « Europe’s Leading City
Break Destination ». On pourrait
aussi se féliciter de nombreuses
entreprises françaises qui
réussissent à l’international dont
Michel et Augustin qui cartonne
dans sa conquête de l’Ouest. Les
Ours polaires d’Alaska ne
céderont pas leurs terres aux
pétroliers. La Birmanie s’initie à la
démocratie et les relations de
nouveau pacifiques entre les
Etats-Unis et Cuba ont permis aux
Stones de donner leur premier
concert à La Havane. Des
personnes s’engagent tous les
jours pour un monde meilleur,
vous êtes en vie et savez lire
puisque vous lisez ceci :
essayons !
3
Ils font Lyon autrement
Les Déclics font leur show !
L’association lyonnaise qui se donne pour objectif de révéler le talent
des jeunes et de les aider à exploiter leurs potentiels organise ce mois-
ci son grand rendez-vous annuel : le show !
En seulement deux heures de pitchs et de conférences, l’association
sait créer des déclics chez les jeunes et leur donner envie de se saisir
de leurs avenir. Mais comment font-ils ? Pour créer le déclic, voici la
formule magique utilisée : un artiste pour éveiller les sens, un jeune qui
par Laurianne
transmet les bonnes clés dans le langage partagé et une personnalité inspirante qui les aide à se
projeter dans un avenir positif. Le 8 avril prochain, à l’Espace de l’Ouest Lyonnais, à 14h00, 350 jeunes
issus de 6 établissements scolaires de la région bénéficieront d’un show ouvert par les Body Art
(finalistes d’Incroyables talents). Ensuite, ils échangeront avec Toy, le jeune au parcours surprenant,
puis bénéficieront des conseils de Thierry Boiron (président des laboratoires Boiron) pour se familiariser
avec les trois mots-clés moteurs : motivation, responsabilité, action. Il reste encore quelques places
alors si vous êtes professeur et avez envie de stimuler vos jeunes, allez faire un tour sur le site de
l’association : www.lesdeclics.com.
Des demandeurs d’emploi « révélateurs de talents ».
Par 2,92 millions de chômeurs selon le Bureau International du Travail
(BIT), un constat pouvant faire baisser les bras et le moral de plus
d'un... Mais pas ceux de l'association Activ'Action, au contraire !
En partant de leur propre expérience, ses fondateurs ont fait le
constat qu'au-delà de la question économique, le chômage
crée progressivement un sentiment d'isolement et de perte de
confiance en soi.
Si le Petit Robert le définit comme l'action de chômer, en illustrant par le chômage des dimanches et des
jours fériés, il apparaît nettement passées quelques semaines, les grasses matinées dominicales n'ont plus
la même saveur. Changement de rythme quotidien, candidatures sans réponses, entretiens sans suites,
autant de facteurs créant un ressenti d'exclusion et d'inutilité, voire une vision négative de l'avenir (même
après la reprise d'une activité).
Pour limiter l'impact social du chômage, Activ'Action organise depuis juin 2014, des ateliers collaboratifs
en France et à l'étranger, afin de faire se rencontrer des demandeurs d'emploi venus d'horizons
multiples. Le principe ? Grâce à une méthodologie innovante et dynamique, les participants deviennent
« activ'acteurs » en reprenant conscience de leurs acquis, leurs potentiels et de leurs envies. En parallèle,
ils participent à la valorisation des compétences des autres membres et développent s'ils le souhaitent,
leur employabilité en se créant des expériences bénévoles valorisantes et valorisables auprès d'un
recruteur. Objectif de ces rencontres ? Transformer le chômage en une expérience de vie constructive
où chacun devient acteur de son propre accompagnement et de celui des autres. « Se redynamiser,
rebooster son projet professionnel tout en devenant « révélateurs de talents » », voilà la dynamique de ces
ateliers Activ Boost selon Pauline (une des fondatrices) et Marine (animatrice de l'antenne lyonnaise). Pour
permettre aux participants de monter en compétences, l'association propose également à chacun des
membres de se former à l'animation de ces ateliers. Fidèle à son envie de diffuser de l'énergie
contagieuse, elle soutient par ailleurs le développement de nouveaux ateliers (Activ'English, ateliers CV,..)
ou propose de se retrouver autour d'un verre une fois par mois, pour faire le point sur ses démarches et
surtout conserver une dynamique de réseau social.
Par Lili
Égratignant l'adage « tout seul, on va plus vite, ensemble on va plus loin », l'association démontre qu'ensemble on
peut faire les deux ! C'est en mettant nos idées et réseaux en commun que nous pouvons développer rapidement
de nouveaux projets professionnels et personnels. Et des projets, l'association en a plein, à l'image du dynamisme de
ses membres. Une façon pour les fondateurs et animateurs d'apporter leur pierre à la construction d'un monde plus
humain. Pour vous aussi faire partie de cette belle aventure, vous pouvez retrouver l'association Activ'Action sur les
réseaux sociaux ou à [email protected].
Égratignant l'adage « tout seul, on va plus vite, ensemble on va plus loin », l'association démontre
qu'ensemble on peut faire les deux ! C'est en mettant nos idées et réseaux en commun que nous pouvons
développer rapidement de nouveaux projets professionnels et personnels. Et des projets, l'association en
a plein, à l'image du dynamisme de ses membres. Une façon pour les fondateurs et animateurs d'apporter
leur pierre à la construction d'un monde plus humain. Pour vous aussi faire partie de cette belle aventure,
vous pouvez retrouver l'association Activ'Action sur les réseaux sociaux ou à [email protected].
S’éveiller en conSciences
C’est l’enjeu de la nouvelle association lyonnaise « Eveil des Sciences » qui
propose de sensibiliser les plus jeunes (ou les moins) aux questions
environnementales et scientifiques grâce à des jeux de société coopératifs.
Présentés sous forme de kits téléchargeables sur le net, à prix libre, les kits
comprennent les plateaux de jeux à monter soi-même, une expérience à réaliser
à la maison et une vidéo résumant les connaissances en développement durable
acquises. Une bonne occasion de s’amuser tout en apprenant.
par Laurianne
Il y a quelques mois à peine le projet remportait une bourse de la fondation Engie
et ce fut le déclic pour ses deux jeunes créatrices qui décidèrent alors d’aller au
bout de leur idée. Démarches administratives, études, conception graphique et
tout ce qui va avec et c’est parti, le premier jeu a vu le jour il y a quelques
semaines, et il s’appelle : « Quelle énergie ! ». A partir de 8 ans, il explique les
énergies renouvelables de manière ludique et conviviale. L’autre point fort de ce
projet, outre le prix libre et la sensibilisation dès le plus jeune âge, c’est
l’actualisation des données faite très rapidement sur le web en fonction des
actualités et innovations dans le milieu. Le premier jeu sera à découvrir « en vrai »
le samedi 9 avril prochain dans l’après-midi et dans les locaux de l’association
Anciela (1 rue Claude Boyer dans le 7ème) qui accompagne le projet. Pour
télécharger le kit ou en savoir plus : http://eveildessciences.fr
Le prêt à porter engagé, la start-up lyonnaise qui s’envole
Tandis que les problèmes quotidiens des personnes handicapées sont peu
à peu mis en lumière, une jeune lyonnaise a lancé une marque de prêt-à-
porter qui leur est destinée.
Sarah, 26 ans, s’est retrouvée confrontée à l’insuffisance du choix de
vêtements adaptés aux handicapés moteur en aidant quotidiennement
son petit frère Constant - infirme moteur cérébral - à s’habiller.
Si quelques sites internet existent, il est cependant très difficile d’acheter des
vêtements en boutique. En plus d’avoir lancé sa marque Constant & Zoé
sur un site de financement participatif, Sarah se déplace dans des centres
spécialisés, proposant des produits de 30 à 140 euros. Elle cherche à suivre
les tendances, tout en proposant des vêtements pratiques face aux petits
tracas du quotidien. L’écharpe-bavoir permet par exemple de pallier les
problèmes de déglutition tout en servant d’accessoire de mode.
Créée en 2015, cette marque est l’aboutissement de deux ans de travail
de cette jeune femme qui promeut la légende du colibri. En plein essor,
Constant & Zoé s’étend aujourd’hui à l’international, avec des clients
coréens et russes ! Pages 4 - 5
Pour aller plus loin
Ashoka nous donne la nostalgie du futur
Tous acteurs du changement. Les motivations d'Ashoka pourraient s'exprimer à travers ce
slogan, qui est devenu un " leitmotiv " repris par beaucoup d'organisations et associations au
21ème siècle.
Mais qui est Ashoka, l'ONG qui nous invite à changer le monde ?
Ashoka est le 1 er réseau mondial d'entrepreneurs sociaux, il a été fondé en 1980 par l'américain
Bill Drayton, avant-gardiste de par ses idées, et notamment " inventeur " du terme entrepreneur
social. En sanskrit, Ashoka peut se traduire par " sans souci ". L'ONG est en effet devenue un
symbole mondial incitant à croire en l'humain et en ses capacités infinies à " alléger la peine du
monde ". Il y a bien sûr les chiffres impressionnants qui parlent en faveur d'Ashoka, dont
l'optimisme suscité pourrait s'avérer de plus en plus contagieux à l'avenir. Elle a récemment été "
classée " selon certaines études, " 17ème ONG la plus influente du monde ".
Mais que fait réellement Ashoka ?
L'organisation repère en permanence des projets qui émergent partout dans le Monde. Leurs
démarches les amènent à sélectionner des hommes et des femmes dont
les idées sont suffisamment fortes et innovantes pour avoir des impacts positifs dans les domaines
où ils / elles interviennent : on les appelle des " Ashoka fellows " ou " Ashoka Changemakers ". Ce
sont des personnes ayant les qualités de l'entrepreneur, en les mettant au service des grandes
problématiques sociales. Ils sont actuellement plus de 3 000 " Ashoka fellows " répartis dans plus
de 85 pays, à travers les 5 continents, dont plus de 400 en Inde. Ils sont ainsi accompagnés dans
le développement et l'essaimage de leurs activités, que ce soit dans l'éducation, la formation, la
santé, la lutte contre les discriminations, la défense de l'environnement, le développement
durable ou les Droits de l'Homme... Ils mettent en pratique un des " credo " qui a poussé Bill Drayton
à créer Ashoka : " Il n'y a rien de plus puissant au monde qu'une idée nouvelle lorsqu'elle est entre
les mains d'un véritable entrepreneur social ". Les différents sites internet de cette ONG sont des
mines d'or de positivisme, relatant les histoires et les actions menées par ces entrepreneurs
sociaux.
En France en 2006, et dorénavant à Lyon ...
Ashoka a aussi fleuri en Europe, en lançant notamment ses activités en France en 2006, en Suisse
et en Belgique en 2007. A ce jour, ce sont 68 " Ashoka fellows " qui sont accompagnés dans ces 3
pays. Pour la première fois, le 1 er octobre 2015, la nouvelle promotion d'Ashoka France Belgique
Suisse est aussi présentée à Lyon, lors d'une soirée " boosteuse " d'énergies positives, au 27ème
étage de la Tour Oxygène. C'était le lendemain de la présentation officielle qui avait lieu à Paris.
L'ONG démontre ainsi son envie d'aider à la duplication des projets sur le territoire lyonnais, "
parfait écosystème de l'entrepreneuriat social " selon Arnaud Mourot, Directeur Ashoka Europe.
Une étape lyonnaise destinée à en appeler d'autres, dans le but de décliner ces expériences à
d'autres villes en France. De beaux élans de fraicheurs en perspectives car il est possible que près
de 70 % des métiers qu'exerceront les enfants actuellement en maternelle, n'existent pas encore.
6
Détente
Les petits plaisirs des lyonnais croisés ce mois-ci :
∞ Profitez du soleil qui revient pour aller me promener à la Tête d’or
en passant par les quais
∞ Réserver ma place pour le concert de Radiohead aux nuits de
Fourvières
∞ Découvrir le magnolia de mon voisin en fleurs
∞ Sortir du travail alors qu’il fait encore jour
∞ Bronzer depuis la fenêtre de ma cuisine en préparant les
pâtisseries pour les enfants
∞ Pouvoir de nouveau aller lire les doigts de pied dans l’herbe du
parc en bas de chez-moi
∞ Prévoir un apéro à thème et construire mon déguisement
∞ Boire une bonne Ninkasi en terrasse
∞ Planter mes plantes et légumes qui vont grandir petit à petit
∞ Ne plus avoir besoin de prendre mes gants quand je pars à vélo
L’image coupée ci-
dessous est issue
d’une œuvre célèbre
lyonnaise, vous la
reconnaissez ?
7
L’arrivée du Crowdlending à Lyon !
La plupart d’entre nous connaît déjà le crowdfunding,
littéralement la « levée de fonds dans la foule », ce nouveau
système financier qui permet à tout un chacun d’investir dans
un projet avec des contreparties symboliques ou financières, et
aux porteurs de projets de se faire financer par des particuliers.
Et depuis quelques mois, on voit apparaître le crowdlending, le
prêt par des particluiers, et Arkhelia en fait son relais à Lyon.
Depuis quelques jours seulement, l’antenne lyonnaise du réseau de placements financiers Arkhelia
a eu l’autorisation de proposer du crowlending notamment via le site « crédit.fr ». Cette plateforme
de financement participatif pour le prêt aux PME et TPE propose aux particuliers d’investir leur
épargne dans des PME en leur accordant un prêt et avec un taux de rendement pouvant aller
jusqu’à 8,70% et aux entrepreneurs d’emprunter à des particuliers sans les conditions parfois
contraignantes des banques. Un nouvel outil de financement gagnant-gagnant. Pour plus d’infos,
contacter Arkhelia qui recrute notamment des ambassadeurs : www.arkhelia.aura.com
Publireportage
8 avril : le show Déclics, cf article.
9 avril : le lancement d’Eveil des
Sciences, voir article.
12 avril : Concert Salle Erik Satie
pour soutenir les équipes Bioforce
inscrites à l’Oxfam Trailwalker. 19h
et paf au pif.
12 avril : apéro Colibris à la MJC
Jean Macé, à 19h.
16 avril : Coup de balai sur Mibribel
pic-nic et ramassage de déchets,
rdv 10h au parking du gravier blanc.
19 avril : les deux ans d’Anciela, la
pépinière d’initiatives, au 6e sens.
20 avril : Fabien au Moag pour
un kiosque des initiatives.
27 avril : Soirée Jeux « Grandes
Evasions » avec l’asso A Dedo.
2 mai : Conférence de
Matthieu Ricard et Christophe
André à l’auditorium.
Quelque chose à nous dire ?
Cette première édition est encore approximative
et pleine de capacités d'amélioration, n'hésitez
pas à nous faire part de vos retours et proposer
vos solutions.
Vous souhaitez écrire pour nous ? C'est possible, il
suffit d'avoir envie de transmettre des infos
porteuses d'espoir et de constructivisme.
Vous souhaitez voir le journal dans votre ville ?
Contacez-nous, on organise une équipe, fait des
plans sur la comète et c'est parti !
Vous souhaitez vous abonner à notre newsletter ?
Facile ! Il suffit d'envoyer un smiley à notre adresse
mail : [email protected]
On reste en contact ?
Tout va bien est un journal gratuit indépendant distribué dans
les lieux publics. Pour toute remarque sur les publications ou
contact pub, c'est ici : [email protected].
Tout va bien est un modèle déposé.
NE PAS JETER SUR LA VOIE PUBLIQUE