Cap sur lCap sur l’’IndépendanceIndépendanceUn projet inscrit dans l’histoireUn projet inscrit dans l’histoire

Le combat des patriotes et la réponse britannique (Acte d’Union 1840, constitution de 1867)

•Après 1760, une deuxième conquête durement menée

•Lord Durham : châtier les patriotes et mettre en minorité les Canadiens français pour leur propre bien (Ex: On n’a pas l’expertise- N. Normandeau). Égalité du nombre de député malgré 60% de Québécois (Aujourd’hui on applique la proportion)

•La création du Canada en 1867: francophones allaient être encore davantage minorisés, composant à peine un tiers du nouvel ensemble.

•Adoption sans consultation de la population du Québec, malgré le député Antoine-Aimé Dorion. Par la suite, jamais la constitution n’allait être soumise au peuple du Québec. Pas plus les intrusions fédérale que le rapatriement de 1982, niant ainsi un principe démocratique fondamental.

Cap sur lCap sur l’’IndépendanceIndépendanceUn projet inscrit dans l’histoireUn projet inscrit dans l’histoire

1867: Deux vision nationales – Celle du vainqueur domine

•Le Canada n’a de fédéral que le nom (quasi-fédération). Déséquilibre fiscal, mais aussi déséquilibre législatif.

– Le fédéral dispose des compétences dites « nationales »– Compétence résiduaire : communication et environnement– Pouvoirs du fédéral les champs exclusive des provinces: désaveu,

déclaratoire, acquisition de propriétés publiques (Mirabel), mesures de guerre, compétence implicite

– Compétence proviciale exclusive: UN MYTHE

•Le mythe des deux nations régulièrement nié.– 1905 – création des province de l’ouest – Laurier en minorité - suppression

du français dans les prairies et en Ontario – 1982 – adoption de la loi constitutionnelle, multiculturalisme et décisions de

la cour suprême contre la loi 101

Cap sur lCap sur l’’IndépendanceIndépendanceUn projet inscrit dans la réalitéUn projet inscrit dans la réalité

20 ans après Meech - Québec bloqué, minorisé, multi-culturalisé

•Perception - Une forte majorité de canadiens anglais pensent que le fédéral n’a pas à respecter la loi 101. Pas de reconnaissance nationale, une « nation dans un Canada uni ». Or le Québec existe et le Canada n’est pas uni - Référendum de 1995

•Partage des pouvoirs - Une majorité entre 60% et 80% des canadiens anglais s’opposent aux transferts que souhaitent récupérer les trois quart des québécois: impôts, langue, culture, communication, immigration, compétence internationale du Québec, tous les slogans québécois du passé niés.

•Accession à la souveraineté - le Canada anglais nie au Québec le droit de se séparer, et même de choisir la question et la majorité requise pour ce faire lors d’un référendum. DE QUEL DROIT ! On refuse au Québec le droit de choisir librement son avenir politique, droit qu’il a pourtant exercé à deux reprises.

Cap sur lCap sur l’’IndépendanceIndépendanceUn projet inscrit dans la réalitéUn projet inscrit dans la réalité

Une liberté et une responsabilité à prendre

•Ces données témoignent d’une inconscience et d’un immense mépris envers le Québec que l’on veut voir, dans le cadre du multiculturalisme comme une simple minorité parmi d’autres et non comme une nation.

•Elles témoignent d’une attitude dominatrice où les droits démocratiques de tout un peuple sont unilatéralement niés.

•Le renouvellement du fédéralisme est une illusion

•Une situation que notre peuple ne peut subir plus longtemps sans mettre en danger son existence nationale.

• Nous ne serons les minoritaires de personne, toujours sur la défensive, nos consensus nationaux niés, notre avenir bloqué.

•Nous devons finir de quémander des pouvoirs à Ottawa.

•La liberté ne se quémande pas, elle se prend!

Cap sur lCap sur l’’IndépendanceIndépendanceUn projet inscrit dans la réalitéUn projet inscrit dans la réalité

L’indépendance est indispensable, nécessaire, réalisable et urgente

•L’indépendance est indispensable mettre fin à un statut débilitant de nation annexée a l’assimilation tranquille aux luttes défensives

•L’indépendance est nécessaire pour que les québécois prennent la responsabilité de leurs défis collectifs: l’avenir du français, l’intégration des immigrants, l’indépendance énergétique, le développement durable, les écarts de richesse.

•L’indépendance est réalisable car elle ne dépend que de la volonté majoritaire du peuple québécois et non de l’accord du Canada dont le régime politique oppresseur ne peut être réformé.

•L’indépendance du Québec est urgente : absents des forums internationaux où se décide l’avenir de la planète.

•L’indépendance c’est une question de liberté, de dignité, de responsabilité et de démocratie pour le dernier peuple en Amérique à ne pas diriger ses propres affaires.

Cap sur lCap sur l’’IndépendanceIndépendanceUn projet inscrit dans la réalitéUn projet inscrit dans la réalité

Cap sur l’indépendance, une coalition citoyenne

•Réaliser une campagne permanente pour l’indépendance par la mobilisation progressive des citoyens jusqu’à une majorité qui se donnera un pays– Ne pas se diviser sur les méthodes d’accession

•Synapse: Soutenir la mobilisation sur Internet: groupes de travail, diffusion sur les réseaux sociaux, portail militant, système d’alertes, médias, rencontres et rassemblements – 150/12 régions

•Maintenir et développer la concertation existante – coalition contre les écoles passerelles – membres de la coalition CSI

•Par une campagne citoyenne pré-référendaire dégagée des échéanciers électoraux des partis, centrée sur l’indépendance

– Les limites de l’action partisane dans le régime – objectifs électoraux– L’indépendance doit s’appuyer sur une société civile engagée, efficace

•Par une action persistante, déterminée et solidaire

•Par une critique du régime et non dans le régime Exemples

Cap sur lCap sur l’’IndépendanceIndépendanceL’EspoirL’Espoir

Nouveau climat – Fini la morosité – Nous allons réussir

•Les Québécois d’abord ou exclusivement : – Sondage récent 60% comme “Québécois seulement” ou “Québécois

d’abord”. Chez les 18-24 ans: 68%. Chez les francophones de 18-24 ans, le niveau est de 77%.

•Tous derrière la loi 101 – 79% des Québécois - et 90% des Québécois francophones – « la loi 101 est une nécessité au Québec » Maxime Bernier et Christian Paradis sur les compétences québécoise prendant que la Cour suprême détruit la loi 101.

•Les jeunes engagés - La convergence des causes - Bourgault : Deux générations - Le pays, à portée de main.

•À Cap sur l’indépendance, nous avons besoin (Daniel Boucher ) de déjoueurs de menteries, d’aideurs de mal-pris, de gros laboureux – Objectif 95 + 25 000

•Cette année, l’espoir change de camp. Vive l’indépendance.