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Théâtre Cinéma Conférence Spectacle Cabaret Exposition Espace culturel itinerant

La petite baraque®

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Page 1: La petite baraque®

Théâtre Cinéma Conférence

SpectacleCabaret Exposition

Espace culturel itinerant

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« C’est une ''culture'' que le théâtre démontable. Elle ne s’étudie pas elle vous est transmise comme cela de génération en génération. Dans notre dynastie de saltimbanques, nous sommes la huitième génération qui perpétue, sans discontinuité et depuis près de deux siècles, cette saga. Ceux qui nous ont devancé ne voulaient pas être des forains mais revendiquaient le statut d’artistes itinérants. Cette notion était, pour eux, d’une importance fondamentale.

Nous avons reçu cette éducation qui faisait de vous bien plus qu’un acteur. Vous étiez un ''banquiste'' dont les valeurs premières étaient la conscience professionnelle, le respect du public en un mot l’amour du ''métier''.

Nous, nous avons reçu cet héritage en regardant le répertoire, cachés dans un petit coin des coulisses de notre ''baraque''. C’était notre cours pratique. Apprentissage fascinant, intransigeant, passionné, pendant lequel nos parents nous ont inculqué, pour toujours, l’impérieuse nécessité de l’exigence.

En 1967, quelques années après la disparition de notre ''baraque'' nous nous engagions dans le théâtre en milieu rural. Pendant plus de vingt cinq ans, plusieurs générations de publics et d’élèves du Sud-ouest, ont pu voir nos spectacles.

Par la suite il y eu, ensemble ou séparément, de nombreuses aventures, de belles rencontres, l’expérience de l’action culturelle, de la mise en scène, des festivals etc... En résumé c’est plus de quarante ans de pratique dans la création artistique et culturelle.

Nous aussi nous ressentons, à ce moment de notre parcours, le besoin puissant de retrouver nos racines. Alors ce désir enfoui de reprendre le flambeau remonte, moins juvénile, évidemment, mais assurément plus fort. »

Joël et Dominique Durozier

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Véritable outil de décentralisation, La Petite Baraque® à pour but premier de permettre l'organisation d'événements artistiques et culturels sur des territoires dépourvus de structures adaptées.

La Petite Baraque® est une réponse aux problèmes d’animation artistiques et culturels suscités par la crise globale sans précédent que nous connaissons. Cet équipement itinérant reprend le concept socioculturel des théâtres démontables des « Baraques ».

La Petite Baraque® est multifonctionnelle et itinérante. Son emprise au sol lui permet de s’installer sur la plupart des places publiques. Sa mobilité et sa polyvalence d’une part, ses qualités techniques et son confort d’autre part en font une solution totalement innovante. Sa capacité d’accueil, la rapidité du montage et du démontage, sont des atouts techniques déterminants. Ils résolvent sensiblement tous les problèmes identifiés précédemment.

La Petite Baraque® est, avant tout, un lieu « ouvert » ou tout sera possible grâce à ses trois formules : la salle de spectacles, la salle dite « cabaret », la salle d’exposition qui peut être aussi utilisée pour d’autres manifestations nécessitant beaucoup d’espace.

Eric-Emmanuel Schmitt, dramaturge, nouvelliste, romancier et réalisateur parraine ce projet et, contribue à sa promotion.

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L’itinérance est à l’origine même du spectacle vivant

De Thespis d'Icare au VIème siècle av. J.-C. à la commedia dell’arte, des tréteaux du moyen-âge à ceux de Molière et jusqu’aux théâtres ambulants contemporains, se sont des siècles de rencontres, d’échanges, de vies, de bonheurs communs et de souvenirs impérissables qui en témoignent.

La dernière ''Baraque'' car c’est ainsi qu’on les appelait ces théâtres ambulants dans le jargon des saltimbanques, s’est arrêtée au milieu des années 60, emportées par l’emballement technologiques du monde. Elles ont fait place à des expériences, sous toile, s’inspirant de la formule «cirque». Elles pensaient répondre à l’évolution des comportements. Mais le lien qui unissait les baraques à leur public ne s’est jamais retrouvé parce que trop éphémère. Aujourd’hui encore de nombreuses expériences existent sous cette dernière forme. Au delà des problèmes techniques qu’elle génère, la formule reste fortement connotée «foraine». Elle est trop «nomade» donc marginale.

Joêl et Dominique Durozier, en compagnie de professionnels de l'événement, reprennent le concept socio culturel de la ''baraque''. « Nous la connaissons bien car c’est notre histoire ». Une succession de huit générations de ''banquistes'',

Les valeurs qui ont été la source de la formidable réussite des théâtres démontables sont à nouveau présentes. C’est une tendance profonde, lourde et sans aucun doute durable. Alors le moment est venu où Phénix peut renaître de ses cendres.

C'est pourquoi La Petite Baraque® sans être nouvelle est totalement novatrice.

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Pallier l'absence d'équipement culturel permanent

Les baraques ont disparues sous les effets conjugués de la télévision, de l’automobile, de l’aménagement du territoire et de l’exode rural. Mais aujourd’hui la prise de conscience écologique, la crise socio- économique profonde que nous traversons et les causes dont nous parlons plus haut agissent comme un effet boomerang.

L’automobile particulière, l’évolution des transports collectifs, les infrastructures routières, les nouvelles technologies permettent et suscitent concrètement un ''retour aux sources'' et à la vie collective locale si indispensable aux individus.

Les événements festifs, le spectacle vivant, ont toujours rythmé la vie locale et constitué le fondement de l’épanouissement du sentiment ''d’appartenance'', primordial selon A. Maslow. Le fait culturel et artistique a toujours été un vecteur essentiel de la cohésion communautaire. Quand un théâtre démontable installait ses tréteaux, il étoffait la vie artistique locale et la valorisait en s’y insérant. La nature même de l’équipement stimulait la cité, comme au temps des grandes foires ou celui des ''Mystères'', qui s’en trouvait transformée et transcendée.

Les progrès technologiques n’ont pas modifié les aspirations fondamentales des hommes et c’est pourquoi La Petite Baraque® apporte ce supplément d'âme à la communauté.

Elle offre une véritable alternative pour pallier l'absence d'un équipement culturel et/ou événementiel permanent. Outre les collectivités locales, les départements et les régions y trouverons un outil performant conçu pour la décentralisation.

Toutes les disciplines de l'événementiel, comme celle du spectacle vivant, à la seule condition qu'ils soient adaptés à sa configuration, sont accueillies. Les organisateurs ont la possibilité d'y prévoir la totalité de leur programme ou quelques éléments seulement de la manifestation.

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DÉCOUVREZ LE THÉÂTRE ITINÉRANT

LE CINÉMA ITINÉRANT

LA SALLE DE CONFÉRENCE ITINÉRANTE

...185 fauteuils avec accoudoirs.

1 Plateau de plain pied de 7m x 6m

« Grill » technique

Jeu de pendrillons noirs pour la scène

Murs de la salle en rideaux de velours bleu nuit

Longueur : 20 m - largeur 10 m

Parade : 2,5 m x 20 m

Hauteur des murs : 4 m - faîtage 5,70 m

Espace au sol nécessaire : 40 m x 25 m

Climatisation réversible

Caravane loges et Cabine technique

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DÉCOUVREZ LE SPECTACLE ITINÉRANT

LE CABARET ITINÉRANT

...

8 box sur les cotés avec banquettes et tables

Tables rondes sur la piste centrale avec chaises

Bar en fond de salle

Murs en tentures de velours rouge

Longueur : 20 m - largeur 10 m

Parade : 2,5 m x 20 m

Hauteur des murs : 4 m - faîtage 5,70 m

Espace au sol nécessaire : 40 m x 25 m

Climatisation réversible

Caravane loges et Cabine technique

Page 9: La petite baraque®

DÉCOUVREZ L'EXPOSITION ITINÉRANTE

...

Longueur : 20 m - largeur 10 m

Parade : 2,5 m x 20 m

Hauteur des murs : 4 m - faîtage 5,70 m

Espace au sol nécessaire : 40 m x 25 m

Climatisation réversible

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La Compagnie Joël Durozier

avec La Petite Baraque®

présente

Gros-Câlin

D’après «Gros-Câlin» de Romain Gary

Adaptation, mise en scène et interprétation

Joël Durozier

Création 2014

Mercure de France ⒸDroits Théâtre gérés par les Editions Gallimard

Magie du théâtre

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L'HISTOIRE

Cousin, vit à au cœur de la solitude.

Il est employé dans une grande entreprise d’informatique où il est statisticien.

Au cours d’un voyage organisé au Maroc, il a eu un coup de foudre pour un serpent python de deux mètres vingt de long. C’est « Gros-Câlin ».

Il l’adopte et le ramène dans son petit appartement où il coule des jours paisibles.

Cousin est amoureux, en secret d’une collègue de bureau, Mlle Dreyfus, une Guyanaise. Il a l'intention de l’épouser. Elle travaille au même étage que lui et tous les jours ils prennent l’ascenseur ensemble.

Il n’ose lui avouer ses sentiments car il appréhende sa réaction face au python. Comme celui-ci ne se nourrit que de proies vivantes, Cousin lui achète une souris blanche, qu'il appelle Blondine, mais ne peut se résigner à la faire manger par Gros-Câlin car il s'est épris de la souris.

Puis, le reptile faisant des fugues et provoquant la panique chez les voisins, il est convoqué plusieurs fois chez le commissaire de police.

Ainsi Gros-Câlin, indirectement, sera la cause de rencontres aussi étonnantes que cocasses pour Cousin. Mlle Dreyfus, refuse la promiscuité du serpent, disparaît même, et il la retrouve en d'étonnantes circonstances.

Monsieur Cousin pense que les pythons, aussi rêvent de quelqu'un à aimer.

Gros-Câlin est une fable humoristique étrangement annonciatrice, d’une part de la société individualiste et technocrate mais aussi des problèmes écologiques actuels.

NOTE POUR L’ADAPTATION ET LA MISE EN SCENE

« Je suis le fils d’un homme qui m’a laissé toute ma vie en état de manque » confesse Romain Gary.

Cela pourrait résumer Gros-Câlin.

Cousin a perdu ses parents très jeune dans un accident. Il est en état de manque. Il lui manque deux autres bras pour s’étreindre. Il est plus atteint de surplus affectif que d’une quelconque inadaptation au monde qui l’entoure et qui, lui, en est dépourvu.

J’ai lu ''Les Cerfs-volants'', le dernier roman de Romain Gary, peu de temps après sa disparition. Ce fut une véritable révélation. Par la suite j’ai pu d’assister à une représentation d’une adaptation de ''Gros-Câlin''. Ce jour-là je me suis promis de travailler sur ce texte. Dans la dernière édition parue fin 2012, j’ai découvert la fin ''écologique'' non publiée en 1974. Dans son livre testament « Vie et mort d’Emile Ajar », Romain Gary la considère comme très importante mais, c'est une fin à laquelle il avait dû renoncé. Trente ans après elle est d’une brûlante actualité et prend tout son sens.

C’est la raison pour laquelle je l’ai voulu dans l’adaptation. Je me suis efforcé de rester au plus près du texte originel et d’en conserver ce qui me semble être l’essence du roman. A savoir le rapport aux autres, qu’entretien Cousin et son univers intime. Mais principalement cet humanisme chevillé au corps dont il déborde empreint de liberté et de tolérance. L’univers de Cousin est comme son approche du monde, sans artifice ni faux semblant.

La mise en scène se fonde sur cette constatation. L’espace scénique laissera le champ libre, à l’imaginaire, aux rêves et je l’espère aux mêmes émotions que celles de Cousin. La scénographie plus subjective que figurative proposera les éléments du voyage. Des extraits de « La flûte enchantée » de Mozart accompagne le texte en contrepoint du récit.

Joël Durozier

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La Cie Illumina

avec La Petite Baraque®

présente

-Des Ordres-

Duo chorégraphique

Choregraphie : Eric Lafosse

Distribution : Thomas Lafosse, Eric Lafosse.

Création 2014

Magie de la danse

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-DES ORDRES-

« Mieux vaut mourir debout, que de vivre toute une vie à genoux »

Emilano Zapata Salazar

Pour notre premier duo, la compagnie illumina interroge la culture hip hop en revenant aux origines de celle- ci : hédoniste et contestataire. Nous questionnons notre danse, et l'image de celle-ci souvent véhiculée par le prisme des médias, seuls détenteurs d'une réalité malheureusement déformée.

Comment tout simplement être fidèle à ses convictions, tout en proposant une autre vision d'un mouvement qui nous a portés jusqu'alors ?

Comment exister, être soi, et conserver l'essence même de ce que l'on est ?... Sans s'enfermer dans les carcans d'une culture et d'une danse de plus en plus codée, au risque de perdre ses fondamentaux et sa valeur première : révéler la personnalité de l'individu en lui laissant un espace d'expression hors de toute convention.

Des corps se plient, se renversent, se meuvent, avec tension et parfois abandon- pour ne pas dire soumission. Individus désemparés, désorientés. Nous utilisons bien sûr la base de notre danse, qui est la danse hip hop debout, ou du moins ses énergies et attitudes, ses états de corps... Nous construisons notre propre vocabulaire, entre danse hip hop et danse contemporaine, jouant de nos « outils dansés », pour développer une danse authentique et sincère.

NOTE D’INTENTION

Un duo comme une confrontation ! Symbole d’une dualité entre deux frères et leur rapport au monde, avec pourtant la volonté de partager un espace de liberté commun, de complémentarité... Questionner ce lien qui nous unit, sur scène comme dans notre quotidien, tout en affirmant l’identité propre à chacun. Questionner ce miroir identitaire et culturel !

Est-ce que le « être hip-hop », ne réside pas plus dans son aspect contestataire ?

Des Ordres est une pièce chorégraphique basée sur un constat : celui des informations que nous transmettent les médias, influant inexorablement sur notre libre arbitre... Réinterprétées, et assénées tels des ordres que l’on nous donne, pour mieux conditionner nos opinions. Tout comme la question de l’image, du lien au réel, au monde, et à soi même.

Comme une addiction créée de toute pièce, menant au besoin et à l’enfermement; en proposant l’illusion d’une ouverture sur le monde. Comment concevoir notre rapport au corps dans un univers formaté, étalonné, et totalement aseptisé ? Comment respecter ce que l’on est, sans être « à contre-courant » de ce que l’on croit ?

Imaginons : la réalité d'une scène où tout un chacun peut s'identifier tel un homme regardant la TV dans son salon. Image symbolisant toute la banalité et pourtant tout le caractère intrusif de cet élément dans notre quotidien.

Les interprètes évoluent dans un univers teinté de langueur et de fragilité : comme une mise à nu sur le fil , avec pourtant l'espoir de trouver leur place dans ce décor qu'ils façonnent à leur image et selon leurs convictions !

Scénographie qui évoluera lors de manipulations pour devenir notamment écran de projection vidéo, comme une fenêtre ouverte sur la vie; ou encore s’animant dans un dialogue avec le danseur, comme le chuchotement d’un esprit en perte de repères.

Les danseurs questionneront leur rapport au monde extérieur, à leurs valeurs, à leur positionnement dans ce qu'ils considèrent comme étant le reflet de leur personnalité; les amenant à évoluer dans un univers de plus en plus onirique, et s’échapper de la violence d’un quotidien parfois déshumanisé...

Eric Lafosse

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Sven de Rennes

avec La Petite Baraque®

présente

Homo-onirique

Illustrations

Jouer avec les situations érotiques, parfois soft, parfois moins tout en essayant d’intégrer une part d’humour, de tendresse et de sentiments dans les liens qui unissent les personnages...

Magie d'une exposition

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SVEN DE RENNES

Né le: 25.08.1971

Signe: Vierge ascendant Cancer

Location: Rennes (35)

Je travaille comme illustrateur sous le pseudonyme de Sven de Rennes depuis mars 2002.

Tout petit, j’ai cru que le dessin était un pouvoir magique, le moyen de montrer aux autres ce que j’imaginais où ce que j’avais en tête. Mon but était de réussir à représenter toutes ces choses de la façon la plus réaliste possible.

Après mes études à la faculté d’Arts Plastiques de Rennes II, j’ai plutôt abordé les univers de la Science Fiction et du Fantastique, une fascination à créer des mondes lointains, des ambiances irréelles, des cités lumineuses...

Et puis c’est en 2002 que j’ai décidé de faire mon « coming-out » et de m’intéresser aussi à l’univers gay. J’aime jouer avec les situations érotiques, parfois soft, parfois moins tout en essayant d’intégrer une part d’humour, de tendresse et de sentiments dans les liens qui unissent mes personnages.

Au fil du temps, mes sujets évoluent, mais je sais que j’ai toujours plus envie d’approfondir les décors, les lumières, la mise en scène mais surtout l'ambiance.

J’espère en tout cas que mes illustrations sauront stimuler votre imagination, vous faire rêver et vous évader un peu. Elles sont là pour ça.

Sven

UN CRÉATEUR DISCRET

Sven de Rennes est un artiste d’exception, un créateur discret, mais quelque peu étiqueté « so gay »...

Le marché ne voient pas ou ne veut pas voir l'extraordinaire talent de cet illustrateur dont les magnifiques desseins sont inscrits dans l'inconscient collectif en France comme à l'étranger.

Outre un univers homo-onirique, Sven de Rennes possède la capacité de nous surprendre par l'infini précision des détails de ces personnages et des arrière- plans.

Les p'tits mecs de Sven très contemporains, très ancré dans notre époque, et représentatifs de la nouvelle génération sont transposé dans l'histoire ancienne ou un univers fantastique.

Ses personnages se caractérisent par leur jovialité et leur impudence, sans vulgarité aucune mais, libérés.

Son inspiration est favorisée par les garçons croisés, les connaissances, les amis. Il est amusant de retrouver le visage de tel ou tel dans ses dessins.

Sven nous fait entrer dans des mondes lointains, des ambiances irréelles, des cités lumineuses... où ses p'tits mecs vivent des aventures au sens propre comme au figuré.

Magie d'une exposition

Page 16: La petite baraque®

Administration & Diffusion :+33 681 480 141

www.jeanpierreleclerc.com

24, rue du Pont Louis – 64230 Lescar – France

www.lapetitebaraque.com

Siret 531 041 242 00011 – APE : 9499Z