Upload
sara-saidi
View
160
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
Réalisé par:
Sara SaïdiChahrazed Merzouk
El habibe daho nahed
Dirigé par:Dr Mahfoud
BAKLI
Le complexe majeur d’ histocompatibilité
Faculté des Sciences BiologiquesModule immunologie
INTRODUCTION1.Les DEUX classe de cmh 2.Structure du CMH3.Caractéristiques Génétique4.le rôle des deux classe du CMH5.Fonctions du CMH5.1 Reconnaissance CMH I et CMH II par les L T CD8+ et CD45.2 Sélection Thymique5.3 Immuno-surveillance par les cellules Natural Killer (NK)5.4 phénomène de restriction allogénique. 6. A RETENIR Conclusion
Introduction
•Le complexe majeur d’ histocompatibilité (CMH) est un système de reconnaissance du soi présent chez la plupart des vertébrés. la première molécule d’histocompatibilité identifiée avait été repérée comme un antigène leucocytaire. •découvert par Jean Dausset en 1958.•les molécules du CMH sont des protiénes membranaires se trouvant à la surface des Cellules présentatrices de L’antigéne et qui assurent la présentation de l'antigène aux lymphocyte T afin de les activer.
LyT
CELLULE
1. LES DEUX CLASSE DE CMH
Le CMH, situé sur le chromosome 6 chez l'humaine est subdivisé en 3 régions qui contiennent chacune de nombreux gènesQui participent à la réponse immunitaire
CMH de classeI CMH de classeII
2-STRUCTURE DU CMH
CMH1 CMH2
Chaîne : αgènes A, B, C
Chaîne : 2 β βmicroglobuline
Ce sont des
glycoprotéines
membranaires
constituées d’une chaine Α
transmembranaire associées
à une petite
protéine extracellu
laire 2 βmicro-
globuline.
-Chaîne : αgènes DRA, DQA, DPA
-Chaîne : β gènes DRB, DQB, DPB
Ce sont des
glycoprotéines
membranaires
constituées de deux
chaines αet Les β
domaines 1 et 1 α βsont
renforcés par des ponts
disulfures.s
Figure 01 :les gènes de CMH.
Cette structure forme une cavité permettant la liaison à un peptide antigénique. La micro-globuline est essentielle pour le β
maintient de la structure de la membrane lorsqu’il absent la chaine n’est pas α
exprimée.
chaines et Ils interagissent l’un α βavec l’autre pour former une cavité
de liaison et de présentation de peptide antigénique semblable à
celle de la molécule de base Figure 02: structure moléculaire de CMH
3-CARACTÉRISTIQUES GÉNÉTIQUE
• Polymorphisme: un grand nombre de formes alléliques à chaque locus
• Transmission en haplotypes: liaison étroite entre les différents gènes HLA
•Polygénie : présence de plusieurs gènes exprimés de manièr simultanée avec des fonctions similaires.
4-LE RÔLE DES DEUX CLASSE DU CMH
1. Reconnaissance du soi modifie 2. présentation de L' Ag par les lymphocytes B tous
les types cellulaires3. présentation de peptides endogènes synthétises
par la cellule 4. responsable de réaction de cytolyse =activation
de LTc
1. Activation de lymphocyte Th2. présentation de l' Ag par les lymphocyte B ,le cellules
dendritique et les macrophage pour les lymphocyte T auxiliares
3. présentation de peptides exogènes après phagocytose
4. responsable de réaction prolifération=activation des LTh
CMHI CMHII
Figure 03 : le rôle de CMH dans la réponse immunitaire
• Réponse immunitaire adaptative:• Sélection Thymique• Surveillance exercée par les cellules Natural Killer• Situations allogéniques
5.Fonctions du CMH
5.1Reconnaissance Classe I et Classe II par les lymphocytes T
Les molécules de CMH présenter des AG aux lymphocytes T qui expriment un récepteur pour l’antigène : le TCR.
- Les molécules HLA de classe I présentent un peptide aux lymphocytes TCD8 cytotoxiques.
Les molécules HLA de classe II présentent un peptide aux lymphocytes TCD4 auxilliaires
La grande fonction du système immunitaire est de nous débarrasser des pathogènes
Pour cela, on doit s’assurer que le lymphocyte T sera capable de reconnaître un AG étranger et ne sera pas capable de reconnaître un AG du Soi. - Si TCR n’interagit avec aucun résidu ni de classe I ni de classe II, il meure par apoptose.
Lymphocytes T qui reconnaissent les molécules HLA de classe I ou de classe II mais qui ne reconnaissent pas les peptides du Soi il meure par apoptose.
5.2Sélection Thymique
Les cellules NK sont des lymphocytes qui n’ont pas de TCR mais qui ont à leur surface des récepteurs inhibiteurs et des récepteurs activateurs.
Les cellules NK sont donc- Lymphocytes répondant aux pathogènes intracellulaires en tuant les cellules infectées.- Activité cytotoxique non restreinte par le CMH, bloquée par l’expression des molécules du CMH sur sa cible.- Forte activité cytotoxique et de production de cytokines (IFN ) en absence de γmolécules du CMH sur sa cible.
5.3Immuno-surveillance par les cellules Natural Killer (NK)
Les lymphocytes T sont activés par l’association d’un peptide antigénique et d’une molécule HLA le phénomène de restriction allogénique C’est ici que siège le plus grand polymorphisme des molécules HLA de classe I et de classe IIil va y avoir une spécificité de reconnaissance du TCR par les résidus portés par ce peptide. Si le peptide est présenté par d’autres allèles HLA, ce TCR ne va rien reconnaître. Si la même molécule présente autre chose, le TCR ne le reconnaitra pas.
5.4phénomène de restriction allogénique.
•Les molécules du CMH sont extrêmement polymorphes (allotypie). Les individus sont généralement hétérozygotes pour leurs haplotypes CMH.•Les molécules de classe I et de classe II comportent un sillon de liaison à un peptide antigénique dont la possibilité d’enchâssement est déterminée par l’allotypie du CMH.•Les lymphocytes T ne peuvent reconnaître un antigène protéique qu’après que celuici ait été apprêté (fragmenté) et enchâssé par une molécule CMH.•La diversité interindividuelle considérable des molécules du CMH leur fait jouer un rôle majeur dans l’immunité adaptative
6.A RETENIR
Conclusion
à la fin on conclué que le CMH est un système complexe très important pour la réponse immunitaire comme un marquer du soi , et leur position est assurée la liaison de deux types des cellule immunitaire pour détruise l’ antigène
Le complexe majeur d'histocompatibilité caractérisé par la polymorphisme ,cette molécule est présente la carte d' identifié biologique pour chaque individu.
• (Hélène Moins-Teisserenc INSERM U662 Hôpital Saint- Loui.45p ).
•(http://www.arnobio2.com).
•M Abbal .mars 2009 Immunologie CHU Toulouse. p 87.
• V. Dubois EFS Rhône Alpes Lyon.
Référence bibliographique
Merci pour votre attention